mardi 27 septembre 2022

La vengeance d'un cocu.

 Récit de Macom84600

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C’est l’histoire d’un couple sans histoire, 35-40 ans, banlieue un peu huppée, lui bonne situation, elle femme au foyer, pas mariés parce que c’est à la mode, bien vus dans le quartier. Niveau sexuel c’est une fois par semaine, avec un extra pour la Saint-Valentin ou l’anniversaire de la rencontre, ou encore pour une très rare soirée trop arrosée. La routine s’installe, lui travaille beaucoup, elle s’emmerde chez elle, et puis un beau jour elle va voir ailleurs, et lui finit par se rendre compte qu’il est cocu. D’où la soirée de dispute, le ton monte, elle pleure, il gueule, et elle finit à la porte. Une histoire tragiquement banale, si ce n’est que c’est la mienne ! Et oui, je viens de foutre ma fiancée infidèle à la porte.

Deux semaines après, alors que tous mes amis ont tenté de me réconforter à grands coups de « elle l’avait bien cherché », « elle n’était pas faite pour toi », « heureusement qu’il n’y a pas d’enfants », ou le traditionnel « une de perdue... », je vois arriver la meilleure amie de mon ex chez moi.

— Salut !

— Salut !

— Je peux entrer 5 minutes, j’ai un truc à te dire ?

N’aillant rien à lui reprocher je l’invite à entrer.

— Tu sais, j’héberge Sylvie depuis que tu l’as virée.

Je la coupe sèchement :

— Elle s’attendait à quoi ! Elle pensait quand même pas que j’allais continuer à l’entretenir alors qu’elle baisait ailleurs !

— Pas du tout, elle comprend très bien pourquoi elle est à la rue, et elle reconnaît que c’est elle qui a déconné, et pour être honnête je pense que je ferais la même chose si mon mec me trompait ! Je suis juste venu te dire qu’elle voudrait te parler une fois pour s’expliquer, pas pour demander pardon, mais pour expliquer une chose. Après elle partira.

— De quoi elle veut parler ?

— J’en sais rien, je suis juste la messagère. Elle attend dans la voiture, tu dis oui ou non, je transmets le message et je m’en vais, la suite ne me regarde pas.

Plus pressé d’en finir définitivement qu’autre chose je lui dis oui, et elle sort dans la rue. Trois minutes plus tard Sophie sonne à la porte. Je lui ouvre assez sèchement, elle reste comme paralysée sur le perron, le regard bas. Sans un mot je m’écarte de la porte pour la laisser entrer. Cela fait bien cinq longues minutes que nous sommes assis dans le salon, et aucun d’entre nous n’a encore prononcé le moindre mot. Un peu énervé je lui dis :

— Si tu n’as rien d’autre à dire je ne te retiens pas !

— Si si, attends, s’il te plaît. C’est juste que c’est pas facile à dire.

— Je ne vois pas ce qu’il y a de compliqué : tu m’as trompé, je t’ai viré, point ! Je ne suis pas le premier cocu du monde, pas même le premier du quartier !

— Non, c’est pas ça. Je voudrais t’expliquer pourquoi j’ai fait ce que j’ai fait.

— Je ne suis pas certain de vouloir l’entendre, mais vas-y, pond ton laïus, qu’on en finisse.

— Voila. je veux d’abord te dire que je t’aimais.

— C’est pour ça que tu m’as trompé ? Tu aurais pu inventer une excuse plus crédible !

— Non non, attends, en fait.

Sophie rougit de plus en plus, elle se torture les mains, son regard ne quitte pas le tapis.

— En fait notre sexualité était assez classique, et j’avais...

— Le feu au cul, oui, ça j’avais deviné tout seul !

— Non, c’est pas ça, en fait j’avais un fantasme. C’est un peu gênant.

— Etre le cocu du quartier c’est pas confortable non plus, alors accouche !

— Voila, j’ai toujours eu un fantasme un peu particulier, et j’ai appris sur internet qu’il y avait un endroit dans la région où je pouvais accomplir ce fantasme. et j’ai craqué.

— Et c’est quoi ce fantasme ?

Le visage de Sophie tourne à l’écarlate, et dans un murmure elle dit juste un mot :

— Soumission.

— Pardon ?

— J’avais un fantasme de soumission, et j’ai trouvé un club dans lequel on peut aller avec un masque pour rester incognito, et assouvir toute sorte de fantasmes.

— Et pourquoi tu ne m’en a pas parlé plutôt ?

— J’avais trop de respect pour toi.

La moutarde commençait à me monter au nez, et contrairement à mon habitude je me suis laissé aller à la vulgarité :

— Si je comprends bien c’est par respect pour moi que tu es allée faire la pute, te faire sauter par tous les trous par d’illustres inconnus, faisant de moi la risée du quartier ! Bravo ! Super crédible ton excuse. Et alors, c’était bon ? Tu as pris ton pied ? Vas-y, raconte ! Je veux savoir combien de fois tu y es allée, combien de mec tu t’es tapée, ce qu’ils t’ont fait, tout ! Vas-y, tu es venue pour vider ton sac, vide-le ! Vas-y, je t’écoute, je veux tout savoir.

Je me suis planté dans mon fauteuil, les bras croisés, le regard fixé sur elle.

Sophie est en larmes. Le visage caché dans ses mains elle commence à raconter :

- Je n’y suis allée qu’une fois. Je te jure ! J’ai trouvé l’adresse sur internet, ils ont un site. Ils disaient pouvoir assouvir mon fantasme. Alors je leur ai décrit ce que j’attendais. J’ai pris rendez-vous pour une séance de soumission, et j’y suis allée avec une cagoule qu’ils m’ont envoyée par la poste. Il y avait trois hommes et une femme. Dès que je suis entrée ils m’ont gueulé dessus, ils m’ont insulté. et puis ils m’ont donné une combinaison en latex, et comme je n’arrivais pas à la mettre ils m’ont giflée, et un des hommes m’a donné un coup de pied dans le ventre. Et après la femme m’a déshabillée et m’a enfilé la combinaison. J’avais les seins à l’air, et aussi le cul et la chatte. Ils m’ont bâillonnée, ils m’ont mis un collier de chien avec une laisse, et puis ils m’ont obligé à me mettre à quatre pattes. Ils m’ont mis des entraves aux poignets et aux chevilles, et ils m’ont promenée dans toutes les pièces à quatre pattes. Je suis passée le cul à l’air devant tous les autres clients, ceux qui venaient pour des fantasmes homosexuels, ou de domination, ou du SM. Ils m’ont tous insulté, traité de chienne, de salope, ils m’ont craché dessus, ils m’ont frappée. Et le pire c’est que j’aimais ça. A un moment celui qui me tenait en laisse a dit à un client : « Regarde comme elle mouille cette salope !

- Alors le gars m’a planté d’un coup deux doigts dans la chatte, je crois que j’ai joui. Instantanément. Il m’a ramonée, de plus en plus vite, et puis d’un coup il a enfoncé toute sa main dans ma chatte, et j’ai encore joui. J’étais écroulée par terre, mais mon maître m’a relevé en tirant sur la laisse, et puis il m’a ramenée dans la première pièce. Ils m’ont fait boire de l’eau dans une gamelle dans un coin, et puis ils m’ont fait pisser à quatre pattes comme une chienne. Ensuite le maître m’a tirée jusque à l’autre bout de la pièce. La femme était assise dans un grand fauteuil, les cuisses écartées. Elle a enlevé le bâillon et m’a enfoncé la tête entre ses cuisses. C’était la première fois que je léchais une femme. Comme je ne savais pas m’y prendre au début l’un des gars m’a fouetté le cul en punition. Et puis quand j’ai réussi à la faire jouir elle m’a récompensé avec un biscuit.

Je dois avouer que ce récit commençait à m’exciter, mais comme Sophie avait toujours le visage dans ses mains elle n’a pas vu qu’une bosse déformait mon pantalon. Elle a continué son récit.

- Ils n’arrêtaient pas de m’insulter, et de me donner des claques sur les fesses. Et plus ils frappaient, plus je mouillais. Les trois hommes se sont succédés dans le fauteuil, et à chaque fois je me faisais fouetter pendant que je leur suçais la bite. Les deux premiers m’ont craché dans la bouche, en me forçant à tout avaler. Ensuite j’avais droit à un biscuit. Le troisième m’a pissé dessus, et dans la bouche aussi. Et puis la femme a repris la place dans le fauteuil, et j’ai recommencé à la lécher. Je m’attendais à recevoir des coups de fouet, mais à la place le troisième homme qui n’avait pas encore éjaculé m’a attrapée par les hanches et il a planté sa bite d’un coup dans mon cul. Il m’a ramonée pendant dix minutes en me traitant de salle pute, de chienne, de sac à merde. Et je mouillais plus que jamais. Un des hommes tirait sur la laisse pour m’étrangler, et quand mon maître a balancé dans mon cul j’ai eu le plus gros orgasme de ma vie. Je crois bien que la femme a joui en même temps que nous.

Sophie continuait de me raconter comment elle s’était faite baiser par tous les trous et dans toutes les positions par ses quatre maîtres et quelques clients toute la soirée, en se faisant insulter et pisser dessus. Je bandais tellement fort que j’ai été obligé d’ouvrir ma braguette. Au fur et à mesure du récit je perdais complètement le peu de respect qui me restait de mon ex, je ne la voyais plus maintenant que comme une pute, une pauvre femme qui veut qu’on la brutalise, une esclave sexuelle.

Au bout d’un moment j’ai vu rouge, je me suis levé d’un coup, et je me suis jeté sur Sophie. Elle était trop concentrée sur son récit, le visage toujours dans ses mains, elle n’a rien vu venir. Je l’ai giflée, et quand elle a levé la tête vers moi en se demandant ce qui se passait je l’ai attrapée par les cheveux et j’ai enfoncé ma bite bien bandée dans sa bouche. Je lui baisais la bouche, tellement profond qu’elle était à deux doigts de vomir. Elle avait le souffle coupé, les yeux exorbités, elle n’a pourtant pas cherché à fuir, ni même à se débattre. Quand j’ai joui au fond de sa gorge elle a presque tout avalé. Seul un mince filet de foutre et de salive lui a coulé sur le menton, puis est tombé sur ma chaussure.

— Tu es vraiment une sale chienne. Lèche ma chaussure !

Et elle l’a fait. Totalement soumise, elle était à quatre pattes en train de me lécher les pompes, une main s’agitant entre ses cuisses. Je n’en revenais pas : mon ex, si sage, si BCBG, si fade, cachait en fait une belle salope. Dire que j’aurai pu en profiter bien avant ! En tout cas à partir de maintenant je ne raterai plus une occasion: j’ai une esclave totalement à ma botte (c’est le cas de le dire) et je compte bien en profiter !

FIN

1 commentaire:

  1. Dommage qu'il n'y ai pas de suite. Il pourrait la soumettre et l'offrir à ses maitresses ou la mettre sur le trottoir

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