lundi 19 septembre 2022

Les WC étaient occupés Ch. 07

 Texte de gkcdqho

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Nicole est encore bien baisée par Marcel.

Dimanche matin dans la buanderie, je remplis le lave-linge, Jacques vient se coller dans mon dos. Il ouvre ma robe de chambre puis le haut de ma chemise de nuit, il me caresse les seins qui se dressent. Ils sont devenus sensibles avec ce que Marcel leur fait subir.

Je sens contre mes fesses son érection se développer. Je me retourne et nous nous embrassons. Je m'accroupis avec le bas de son pyjama dans les mains pour prendre sa belle queue tendue dans ma bouche, je passe ma langue autour de son gland pour bien le décalotter. Je donne un baiser sur la pointe du gland , je l'aspire pour le faire rentrer dans ma bouche. Mes lèvres mouillées collent à son membre pendant l'introduction, mon nez est dans ses poils. Je recule ma bouche en mordillant sa tige, j’arrête quand mes dents touchent la base de son gland. Je replonge sur sa tige ma langue caressant le dessous de celle ci.

Tout excité, il me relève pour m'asseoir sur le bord du lave-linge. il s'accroupit, m'écarte les cuisses, passe sa langue mouillée de sa salive entre mes grandes lèvres, et il ouvre l'entrée de ma grotte. Il se relève entre mes cuisses, sa queue tendue. Il pose son gland à l'entrée de ma chatte.

Sa bouche se colle à la mienne, nos langues se mélangent, je ferme les yeux de bonheur. D'une seule poussée il me pénètre. Je croise mes jambes autour de sa taille, nos bouches toujours unies. Jacques me fait l'amour divinement et nous jouissons ensemble, mélangeant nos souffles, nos salives. 

Après cette tempête d'amour, le calme. Soudés l'un à l'autre, nous sommes restés ainsi un bon moment. Ses yeux brillent d'amour, j'ai posé ma tête dans le creux de son cou, je suis bien. Sans le vouloir Marcel avec ses séances a réveillé mon corps endormi par l'habitude de la vie.

Le vendredi est vite là, je voudrais qu'il n'y ait plus de vendredi dans la semaine. Je rentre dans la grange pour une nouvelle séance, que va-t-il inventer aujourd'hui ?

Me voilà au bord du lit, en corsage et jupe légère avec poches. Le sac est toujours là.

- Fous-toi à poil !

- Marcel ! Tu t’adresses à une femme ! Pas à une pute !

- A partir de maintenant tu n’es plus une femme. Tu es ma salope, Nicole. Ma salope personnelle.

Sa salope personnelle ? Malgré tout, j’aime l’entendre me traiter de salope. Cela me fait chaud au ventre et ma chatte me démange.

En salope obéissante, je m’allonge complètement nue sur le lit, en me demandant quelle perversité il a en tête aujourd'hui.

- Écarte tes cuisses !

Obéissante, j’écarte lentement mes jambes sous le regard concupiscent de Marcel qui caresse doucement son sexe.

- T’as vraiment une belle chatte. Relève tes genoux et maintiens-les bien écartés.

Sa tête plonge entre mes cuisses et sa bouche aspire mes lèvres vaginales pour les sucer et les aspirer. Je sens sa langue qui s’insinue entre elles et qui fouille mon sexe. HUMM… que c’est bon une bouche gourmande !

Sa langue court le long de mes lèvres pour aller débusquer mon clitoris et comme une sangsue, sa bouche essaye de l’aspirer le plus loin. Et il recommence son petit manège fouillant chaque recoin de ma chatte et lorsqu’il reprend mon clito excité, ses dents me mordent légèrement.

- OOOOH, Marcel ! Viens ! Prends-moi !

Il s’écarte de mon entrecuisse en fixant ma grotte déjà bien humide.

- Je fais ce que je veux. Tu es ma chose à moi ! N’est-ce pas ?

- OUUUIIII !!!

- C’est mieux ! Mais tu es surtout une salope qui aime se faire baiser ! Dis-le !

- Oui ! Je suis une salope ! Je veux qu’on me baise ! Encore et encore !

A son regard lubrique, je vois qu’il aime ça que je lui dise que je suis une salope soumise. Maintenant il bande carrément et moi je reconnais que ça m’échauffe les sens et ça m’excite qu’il bande, bien sûr, mais surtout qu’il me traite et me prenne comme une salope.

Un gode force l'entrée de mon puits d'amour, la tête est plus proéminente, il ne grossit pas pendant  l'introduction, aucune vibration, il n'est pas froid ainsi que le gel lubrifiant dont il est enduit. Marcel se met en position dite de soixante-neuf, sa queue sur ma bouche le gode sur mon clito. Il entreprend un piston long et régulier du bord jusqu'au fond de ma grotte.

Ça recommence !! Mon corps cède, les vagues de plaisir de plus en plus fortes me submergent. Je suce, j’engloutis sa bite avec avidité. Le plaisir est là ,il l’a vu, il accélère le rythme. Soudain une chaleur chaude, épaisse, tapisse les parois de mon vagin, se colle à l'utérus.

Cette arrivée de chaleur déclenche l'orgasme, je jouis sans me poser de question. Je jouis de cette chaleur qui n'en finit pas, ça dégouline de ma chatte maculant sexe et cuisses. Un frisson agréable part de l'intérieur de mon ventre, remonte à mes seins jusque dans ma tête. Quand ça s'arrête, je lâche la queue de Marcel pour reprendre mon souffle, repue d'une telle jouissance.

Je le regarde qui retire ce gode de mon vagin. A l'extrémité il y a un tuyau avec une grosse poire. Je comprends tout, le liquide chaud préparé à l'avance par Marcel m'a fait monter rapidement au ciel avec son abondance et son onctuosité en se répandant partout dans mon vagin.

- Mets- toi à quatre pattes !

Il va recommencer ? Je vais y avoir droit à chaque séance ! Je me tourne et je lui présente mon cul.

- Écarte tes fesses !

A genoux, j’attrape mes fesses et je lui présente ma grotte et la petite porte de mes reins. Sa main glisse entre mes cuisses, son pouce s’enfonce dans ma grotte, son index et son majeur emprisonnent  mon clito. Il me doigte pendant deux ou trois minutes, je mouille de plus en plus.

- OUUUIII… Encore ! Prends-moi !

Il retire sa main et d’un seul coup il défonce ma chatte trempée en enfouissant sa queue bien à fond.

- AAAARRFF !! OUIII… baise-la ta salope !

Il commence à me baiser mais après quelques aller-retour, je sens un doigt qui caresse mon anus. Sur le coup je ne dis rien, mais quand le bout de son doigt essaye de s’enfoncer dedans, je crie :

- Marcel ! Arrête ! Pas encore ???

- Ferme-la, salope ! N’oublie pas que tu m’appartiens ! Dis-le !

- Oui, Marcel, je t’appartiens ! Même par là !

- Tu es ma salope, ma pute. J’ai bien envie de te prendre ton petit cul. Tu vas découvrir que c’est bon d’avoir quelque chose dans le cul.

- Non ! Je veux que ta bite reste dans ma chatte !

A ce moment-là, le pervers Marcel retire son sexe de ma grotte.

- NOOOONN… Reste ! Je suis a toi... Baise-moi…

- Mets tes mains dans ton dos !

Sans bien m’en rendre compte, j’obéis et il attrape mes poignets pour les lier dans mon dos avec une sangle velcros. Je veux allonger mes jambes pour me mettre sur le ventre, mais il m’en empêche. Il replie mes cuisses sous moi en les écartant un peu, passe sa main entre et fait glisser un doigt entre mes lèvres intimes en le remontant entre la raie de mes fesses qui se retrouvent bien en l’air. Il m’attrape par les cheveux pour me faire tourner ma tête et dit :

- Tu as des fesses sublimes dans cette position… bien rondes et provocantes.

Il écarte mes fesses et ajoute :

- Au milieu une belle étoile qui palpite et qui ne demande qu’à s’ouvrir. Quel cul de pute tu as !!!

Je prends deux claques sur les fesses avant qu’il n’ajoute :

- Bouge-pas, salope !

Il se remet derrière mon cul, il fait couler sur ma rosette un gel lubrifiant.

- Marcel ! Détache-moi !

Mais j’ai beau crier, je sens un doigt qui caresse mon anus en tournant autour pour ensuite s’enfoncer doucement dedans. Il enfonce plus loin son doigt puis il le fait aller et venir en le tournant doucement. Un frisson parcourt mon ventre. Je tremble un peu avec un doigt dans mon cul.

Maintenant c’est deux doigts qui me fouillent. Ils ont poussé la petite porte de mes reins et malgré moi, je me détends, j’ai presque envie qu’il continue. Il renfonce sa bite dans ma grotte et continue de me branler l'anus en disant :

- Quand on est une salope comme toi, on obéit et on la ferme ! Je vais m’amuser avec ton superbe cul qui commence malgré toi à frémir de plus en plus sous mes doigts.

Le pire c’est qu’il a raison. J’ai des petites contractions de mon sphincter car avec sa queue dans ma chatte, ses doigts commencent à m’exciter encore plus.

- J’ai un truc qui devrait te plaire ! Des boules de geishas… tu connais ?

Mon dieu ! Bien sûr que je connais ! Enfin je sais ce que c’est. Mais je n’en ai jamais utilisé !

- OOOOHH ? Il vient de m’enfoncer une boule dans le cul !

Sa queue se retire de ma chatte, il la renfonce lentement. Je sens, en même temps qu’elle glisse en moi, une deuxième boule qui rentre dans mon postérieur. Je tremble de plaisir en me sentant fouillée ainsi, je geins quand il recommence et qu’une troisième boule pénètre dans mon cul. Il continue de me baiser tout doucement. Il finit par m’introduire cinq boules dans mon jardin secret et les dernières sont sûrement plus grosses car elles dilatent drôlement mon boyau.

Sa queue va et vient dans mon vagin en feu. Elle fait vibrer les boules en frottant la mince cloison qui sépare ma chatte de ma turbine à chocolat. Indépendamment de ma volonté il se contracte sur ses boules qui électrisent mes sens. Je ne me rebelle plus tellement c’est bon.

- OOOOHHH !!! Putain ! C’est bon ! Continue !

Je suis au bord de la jouissance, il le sait parfaitement. Ses doigts cherchent mon clito et quand il le pince, je crie de douleur, mais immédiatement mon orgasme éclate dans mon corps.

- OOOUUIIIII !!! AAARRFFFF !!! JEEEEEEEEE !!! JOUIIIIS…

Son sexe est bien enfoncé dans ma chatte parcourue de spasmes de jouissance, je le sens merveilleusement bien. Mon orgasme diminue d’intensité, mais il repince mon clito en tirant sur la chaînette des boules de geishas et une des boules sort de mon jardin secret.

- AAAAGGGRRRFFFF !!!!!!

Mon corps entre une nouvelle fois en éruption, une nouvelle vague de plaisir déferle dans ma grotte, mon ventre et aussi… dans mes reins. Dès que l’intensité de ma jouissance diminue, il recommence à martyriser mon clito et à tirer sur la chaînette. Je n’arrête pas de jouir, car il réactive mon orgasme constamment avec sa bite, ses doigts et ces saloperies de boules dans mon fion.

Lorsque toutes les boules sont sorties de mes reins, il prend dans ses mains mes seins aux tétons tout durs, et toujours en moi, il murmure à mon oreille :

- Tu vois que tu es une belle salope, hein ? Avoue…

Haletante, je réussis à articuler :

- OUIII…

-Quoi ! Je n’entends rien ! Répète !

- Oui ! Je suis une salope ! Et toi un putain de salaud ! Mais je n’ai jamais autant joui !

- Ça te plaît d’être une salope hein…

- OUIIII ! OUUUUII ! C’est bien ce que tu voulais… non ? Détache-moi maintenant.

- Tut, Tut… ce n’est pas fini…

Je sens sa bite qui glisse dans mon sexe dégoulinant de jus tellement j’ai joui, qui sort et qui…remonte sur mon cul !

- Marcel ! Non ! Tu ne vas pas encore m’enculer !

- Tais-toi salope ! A moi de prendre du plaisir ! Et avec un trou du cul aussi accueillant je ne vais pas m’en priver ! Je n’ai plus qu’à fourrer ma bite dedans. Si tu voyais ton cul ! Il est grand ouvert ! Il me dit, viens rentre !!!

Je n'ai pas le temps d'avoir honte car je sens son gland sur mon anus et d’un seul coup, il est en moi.

- OOOOOUUUFFFF !!!

- Détends-toi ma pute… Laisse-toi faire…

J’obéis, j’arrête de contracter le muscle de mon rectum, je me détends en respirant plus calmement. Sa main caresse ma chatte avec deux ou trois doigts dedans, sa queue dans mon cul ne me fait plus mal. Au contraire… je me sens remplie et ça me procure un plaisir nouveau, mon corps s'adapte encore à sa grosse bite.

Une nouvelle sensation me donne du plaisir. Je me sens non seulement salope pour répondre à ses désirs pervers, mais aussi sale, souillée… en un seul mot… pute ! Marcel me traite comme telle… et il me donne du plaisir ! J’aime ces frissons qui commencent de nouveau à faire trembler mon corps, c’est intense, électrisant. Je ne sais pas s’il le ressent, mais son sexe reprend sa progression et je crie :

- OOOOOHHHHHH… OUIIIIIIIIIII !

Tout doucement, centimètres par centimètres, je sens sa queue qui s’enfonce. Elle dilate à l’extrême mes entrailles. Enfin je sens les poils de son pubis qui chatouillent mes fesses. Je suis empalée ! Il est entièrement dans mon derrière ! Marcel vient encore de m’enculer ! Lentement, il commence à me baiser le cul tout en continuant de fouiller ma chatte de ses doigts.

- Alors… Tu la sens bien ma bite dans ton cul, salope ? Je suis à fond ! Ça te fait quoi d’avoir une bite dans ton cul ?

- J’ai l’impression d’être une pute ! Salope et pute en même temps !

- Mais tu es une salope de pute ! Ma salope !

Il reprend ses va et vient dans mon cul. Je ne peux m’empêcher de gémir, car mon plaisir grimpe en flèche.

- OOOUUUU… AARRRGGGNNN… MMMM…

- Tu vois que t’aime ça ! Dis-le !

- OUUIII !!! Baise-moi ! Encule-moi ! Prends-moi comme une chienne !

- Tiens salope !

Comme un sauvage, il vient frapper mes fesses à chacune de ses poussées profondes, je sens ses couilles qui claquent sur ma chatte.

- OUUUIII ! Encore ! Plus fort ! AAAAAAARRRRGGNN…

Il se déchaîne, il laboure mon trou du cul frénétiquement en me criant des mots obscènes du genre : Enculée de putain de salope ! Chienne, pute !!! Et j’en passe…

Moi aussi je ne sais même plus ce que je dis et après un dernier cri :

-Salaud ! OUUIII !!!! Défonce-la ta salope de chienne !

Un nouveau et terrible orgasme explose dans tout mon corps et je jouis comme une folle sous les coups de bite de Marcel qui me défonce le cul. Je viens de jouir par le cul et lui, sur une dernière poussée, il jouit en moi en gueulant.

- AARRRFFFF ! Tiens prends ça dans ton cul, salope !

Je peux vous dire que j'aime ça… être une salope. Qu'est-ce que c'est bon de se faire défoncer la chatte et le cul. Je n'ai jamais eu autant de plaisir.

Je m'étale sur le lit, il reste collé à moi comme soudé ensemble, il ne débande pas. Marcel sur mon dos reprend comme moi ses esprits. Nous avons jouis de concert. Il libère mon anus.

Nous n’avons jamais usé de gadgets avec mon mari, on a eu tort, ces séances me le prouvent.

Il me donne une serviette de toilette sorti du sac pour que je m’essuie. Oh ! délicate attention ! Je me rhabille pendant qu'il range son matériel enveloppé de la serviette de toilette.

-Tu ne peux pas nier que tu as trouvé du plaisir dans ces séances de baise ???

Il n'a pas tort, il a réveillé mon corps en me révélant des pratiques qui m'étaient inconnues. Je finis par y prendre goût, moi qui n'ai jamais eu d'amant, me voilà prise au piège du plaisir.

-Dis-le que tu aimes jouir, que tu es à moi, que tu feras tout ce que je te dis , hein dis-le !

-Oui je me donne à toi pour que tu me fasses jouir, j'aime jouir avec toi.

-Maintenant tu ne pourras plus dire le contraire.

Du doigt, il désigne une webcam dans un trou du mur, elle est dirigée sur le lit. Le salaud!!! il vient de me piéger encore une fois avec mon aveu. Je suis vraiment naïve, j'ai voulu l’adoucir avec mon aveu et ça se retourne contre moi.

Je remonte en colère dans ma voiture, je rentre énervée, une bonne douche me fera du bien.

A suivre...

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