mardi 13 septembre 2022

Le détective

 Histoire d'Elko (ou Géronimo)

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Je m'appelle Pedro. La trentaine. Je suis détective privé. Ma spécialité, comme tous les privés, c'est le constat d'adultère. Mais moi, j'ai trouvé un moyen d'arrondir mes fins de mois. Quand je possède les preuves de son adultère, photos ou même films parfois, je fais chanter l'épouse ou l'époux adultère et je réclame une somme d'argent en échange de mon silence et comme je me fais payer également par le client, je gagne sur les deux tableaux. Il m'arrive aussi, quand l'épouse infidèle me plaît, de demander des faveurs sexuelles contre mon silence. Et ces dames, en général des bourgeoises bien nées, n'hésitent pas longtemps avant de me donner satisfaction. Je sais, je suis un salaud...

J'ai du coup un harem de bourgeoises à ma disposition. Je peux tout leurs demander et je ne m'en prive pas. La dernière en date me plaît beaucoup. Anne-Catherine, épouse d'un député, filmée en train de se faire prendre en levrette dans un hôtel 5 étoiles par un des collaborateurs de son mari. La cinquantaine épanouie , très bourgeoise, fausse blonde mais vraie salope. Je l'ai déjà appelée et lui ai mis le marché en mains. Elle a accepté. Je l'ai convoqué aujourd'hui dans mon bureau. Ma secrétaire, Hélène, est dans la confidence et, étant légèrement lesbienne sur les bords, elle ne se prive pas non plus de « jouer » avec mes clientes.

Anne-Catherine rentre dans mon bureau la démarche un peu hésitante. Hélène la pousse et referme la porte en restant avec nous. Je vois dans ses yeux une lueur perverse, elle s'imagine déjà en train d'humilier l'épouse du député. Anne-Catherine est vêtue d'un tailleur blanc virginale. Ses talons aiguilles blancs également lui font des jambes superbes. Elle s'assied d'autorité et ça ne me plaît pas du tout.

- Qui vous a dit de vous asseoir ?

Elle blêmit et se lève précipitamment.

- Mais.. Je... Heu... Pardon...

- Relevez votre jupe, Madame.

- Quoi ! Mais, j'ai votre argent, la somme convenue.

- Et je vais le prendre mais je voudrai voir votre chatte...

J'adore leur parler crûment à ces bourgeoises respectables... Enfin... Supposées respectables !

Rougissante, elle soulève sa jupe dévoilant un collant couleur chair. Elle le porte sans sous-vêtement. La réaction d'Hélène est immédiate, elle s'approche et lui donne une claque sur son cul moulée dans le lycra. Anne-Catherine pousse un petit cri.

- Pas de string ! T'es vraiment une salope !

- Ouvrez votre veste.

Elle s'exécute. Elle porte un soutien-gorge qui a du mal à contenir un poitrine imposante. Je fais le tour de mon bureau et m'approche d'elle. Je lui baisse les balconnets. Mes mains s'emparent de ses seins et je les malaxent sans douceur. Hélène lui caresse les fesses. Anne-Catherine est rouge pivoine et sa respiration s'accélère.

- Arrêtez! Je vous en prie...

- Tu crois que t'as le choix salope ! Lui lance Hélène en lui fessant le cul ce qui arrache un petit cri à Anne-Catherine.

- Laissez moi faire, patron.

Hélène pousse Anne-Catherine sur le bord de mon bureau. Elle se penche suçant la pointe des seins de notre victime. Quand elle fait mine de se rebeller, Hélène lui donne des claques sur les seins la faisant couiner. Je me masturbe en regardant la scène. Hélène retourne violemment Anne-Catherine et la cambre en avant écrasant ses seins sur le bureau. De nouveau, elle lui claque les fesses violemment plusieurs minutes. J'entends les cris et les supplications de la distinguée épouse du député. Hélène déchire le collant et se penche, enfonçant son index et son majeur dans la chatte d'Anne-Catherine les faisant coulisser rapidement. Je n'en peux plus, je m'approche et enfourne ma queue dans la bouche de notre bourgeoise soumise. Elle proteste, tente de recracher ma bite mais je lui agrippe les cheveux et la force à garder mon sexe en bouche. Elle a les yeux exorbités. Je donne des coups de reins faisant coulisser ma queue la faisant baver. Hélène continue de faire coulisser ses doigts et elle lui titille le clitoris avec son pouce. Par moment, elle se penche et lui bouffe la chatte. Je me retire de sa bouche et m'amuse à lui donner des « bifles » l'humiliant encore plus...

Hélène la redresse en la tirant par les cheveux la faisant crier.

- Tu vas me bouffer la chatte salope! Et t'as intérêt à t'appliquer!

Elle soulève sa jupe dévoilant des bas noirs et elle écarte son string. Je l'aide à positionner Anne-Catherine à quatre pattes devant Hélène. Elle résiste et je suis contraint de pousser sa tête vers la fente humide d'Hélène. Timidement, elle sort sa langue et la passe avec un air dégoutté sur la vulve d'Hélène. Je lui appuie sur la tête la contraignant à enfoncer sa langue plus profondément. Je lui tire la tête en arrière et lui ordonne de me sucer la bite ce qu'elle fait passant sa langue sur mon gland, léchant la hampe puis mes couilles. elle suit toutes mes instructions. C'est jouissif. De nouveau elle doit sucer le clitoris d'Hélène qui lance des commentaires.

- Aaah, c'est bon salope, continue ! T'es une bonne bouffeuse de chatte, t'as déjà fait ça sale pute ? Répond !

- Oui, il y a longtemps... Plus jeune...

- Avec qui ? Entre étudiantes ?

Elle rougit violemment et hésite à répondre, il faut que je lui donne quelques claques sur les fesses pour qu'elle bredouille.

- Avec ma sœur...

Hélène éclate de rire.

- Putain ! On est tombé sur du premier choix patron cette fois, une famille de salopes !! Faudrait voir si on pourrait pas s'occuper de la sœur de madame !

- Oooooh ! Non ! S'il vous plaît, pas ma sœur ! Pleurniche t'elle. Vous êtes des pervers ! Vous êtes ignobles !

Cet aveux m'a terriblement excité. Je relève Anne-Catherine et la cambre en avant. Bien campée sur ses talons aiguilles, elle continue de lécher la chatte d'Hélène. Je la pénètre lui arrachant une protestation étouffée. Je la saisis aux hanches et commence à la pilonner comme un fou. Mon ventre vient claquer contre ses fesses qui tressautent sous mes coups de boutoirs. Hélène la repousse et sort du bureau. Anne-Catherine halète et gémit sous mes puissants coups de reins. Hélène revient avec un gode long et d'une épaisseur impressionnante. Elle force Anne-Catherine a sucer le gode qu'elle enfonce le plus loin possible l'étouffant à moitié. Les seins d'Anne-Catherine ballottent dans tous les sens. Je me retire raide comme la Justice et ordonne :

- A quatre pattes ! Comme une chienne !

Anne-Catherine s'exécute. Je pointe mon gland sur l'ouverture de ses reins et elle pousse un cri...

- Oh non ! Pitié ! Pas par la...

Mais je n'en ai cure de ses cris et ses supplications.

Je force et mon sexe épais s'enfonce d'un coup dans le trou du cul de cette bourgeoise avilie. Elle pousse un hurlement étouffé par le gode qu'Hélène fait coulisser rapidement dans sa bouche. Elle a la mâchoire déformée par l'épaisseur du sex-toy.

J 'élargis le sphincter d'Anne-Catherine en la défonçant comme un malade. Hélène l'oblige à lui lécher ses escarpins. Puis elle doit sucer le talon aiguille de sa chaussure comme s'il s'agissait d'une bite.

Nous changeons de position. Je m'allonge par terre et Hélène, à grand renfort de claques sur le cul rougi, contraint Anne-Catherine a s'empaler sur ma queue. Elle bouge son bas-ventre sur ma bite, doucement d'abord puis de plus en plus vite la faisant gémir. Ses seins gigotent devant mes yeux et je mordille ses tétons. Hélène lui enfonce le gode dans son anus et le fait coulisser. Elle prend une photo avec son portable de cette scène mémorable. L'épouse du député, la jupe de son élégant tailleur tire-bouchonnée autour de la taille, le collant en lambeau, les seins jaillissants par l'ouverture de sa veste, empalée sur une bite, un gode dans le cul, en sueur, les yeux hagards, échevelée...

Je n'arrive plus à me retenir. Je me relève et Hélène force Anne-Catherine à se mettre à genoux devant ma bite.

- Tire la langue, salope, voilà ta récompense et t'avalera tout ! Pas d'histoire !

Je libère un torrent de sperme qui va s'écraser sur le front, les yeux et le menton de l'épouse du député. Les ultimes derniers jets vont s'écraser dans sa bouche et elle avale le liquide poisseux en faisant la grimace...

Anne-Catherine m'a donné l'argent et elle est partie sans demander son reste. Je reste songeur dans mon bureau. Me demandant si je dois soumettre aussi la sœur.

Qu'en pensez vous ?

FIN

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