Texte degkcdqho
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Marcel prend sa soumise pour une chèvre.
Le vendredi suivant, c'est résigné, mais avec cinq minutes de retard que j'arrive. Il est là. Je le suis dans l'écurie, rien à changer, le drap du lit est propre, le sac au pied est là aussi. Me voilà au bord du lit, debout dans ma robe à fleur avec deux poches qui contiennent, un mouchoir et la crème anesthésiante, car je suis sûr qu'il recommencera la sodomisation.
Il m'embrasse, nos langues se nouent, je ferme les yeux de bonheur, son baiser m’adoucit, me liquéfie. Il ouvre ma robe pendant notre baiser, je me retrouve nue rapidement, ses mains parcourent mon dos, je frissonne sous ses caresses.
Vendredi dernier, mes tétons étaient si sensibles que j'ai ouvert mon chemisier pour les mettre a l'air pendant le trajet. Arrivée à la maison, après la douche, j'ai mis du coton dans mon soutif. Samedi après la pharmacie je me suis tartinée les tétons ainsi que mon anus de crème apaisante.
Cette fois il me fait allonger sur le dos, jambes écartées. Il prend ma chatte avec sa bouche, il aspire mes grandes lèvres, lèche l'entrée de ma grotte, remonte au clito qu'il suce, mordille. Il s’y prend tellement bien que le plaisir monte malgré moi, mes sens me trahissent une nouvelle fois. Un gode froid se présente à l'entrée de ma chatte en forçant le passage entrouvert. Il est plus gros que l'autre, je ne suis pas assez humide pour une entrée sans douleur.
AARRH ! Il est au fond, fini l'introduction, un moment de répit, je sens mon entrée écartelée, la main qui le tient touche mes grandes lèvres écartelées par ce godemiché, il le ressort presque pour le replongé dans ma chatte et il entame un va-et-vient.
La main qui le tient fermement vient frapper à l'entrée sur mes grandes lèvres et sur mon clito ce qui provoque des ondes de chaleur de mon entrejambe au mont de venus. Le gode se met à vibrer en me labourant la grotte, ce labour avec toutes ces vibrations accentue la montée du plaisir qui se fait plus intense, plus fort, plus merveilleux, je gémis, râle, secoue la tête.
Marcel me regarde. Mes mains empoignent le drap, le tordent, le tirent. Un orgasme me submerge. Salaud !! Il a réussi !! Oui !!! Il est là, il déborde, ça y est, il éclate. Je jouiiiiiiis ! Je suis anéantie, repue. Malgré le pistonnage qui continue, le plaisir retombe doucement.
Marcel arrête le gode, le retire, enlève son pantalon, son slip, Ouvre sa chemise, s'assoit sur le lit, me fait mettre en levrette. Il attire ma bouche vers ses tétons, son torse poilu sent bon, c'est déjà ça ! Ils sont déjà sortis, je m’y prends comme les hommes nous le font, je suce, mordille ,aspire. Il passe ses mains dans mes cheveux, me masse la tête tendrement. Il frissonne, il apprécie, puis des deux mains il recule ma tête.
- Reste comme ça, à quatre pattes !
- Si c’est pour encore me sodomiser, j'ai apporté de la pommade dans la poche de ma robe.
Je viens de faire une grosse boulette ! Comme une gourde je lui avoue qu'il peut recommencer. Quelle conne je suis !! Maintenant il a compris que je me soumets à ses moindres désirs,. Il sort de sous le lit deux tubes en inox de la grosseur d'une banane, l'ouverture est entourée de caoutchouc, l'autre extrémité est ronde avec un tuyau en bout qui disparaît sous le lit. J’entends le bruit d'une pompe électrique qui est mise en marche sous le lit.
- C'est une trayeuse pour les chèvres, elles ont deux mamelles. J'ai toujours eu envie de baiser une
chèvre pendant la traite ! Me dit Marcel.
Mais je ne suis pas une chèvre moi !! Pour qui il me prend ce con !!
Il met les deux embouts sur mes seins. Immédiatement mes mamelons sont aspirés dans les cylindres creux. Je sens mes seins se déformer par la succion de la pompe, mes tétons sont entrés dans les trayons, sont aspirés en alternance par à-coups. J'ai l’impression que la pompe va avaler mes seins en entier, j’ai l’impression qu’ils disparaissent un peu plus à chaque aspiration, j'ai l'impression que mes seins sont aspirés de l'intérieur, la taille de mes tétons devient stupéfiante.
Le plus incroyable, c’est que je me rends compte que j’aime le traitement infligé à mes seins. À aucun moment, je ne cherche à me soustraire à la succion mécanique de mes pointes, ni à tenter de dissuader Marcel de son projet. J'aime que l'on joue avec ma poitrine, mais je ne me serai pas doutée à quel point je peux prendre du plaisir avec cette partie de mon corps.
Les yeux fermés, la tête partant vers l’arrière, je suis en proie à un plaisir intense comme en témoignent mes gémissements qui se fond entendre malgré le bruit de l’aspiration. Brusquement mon corps se cambre, quelques larmes perlent sur mes joues, je fais une grimace pour cacher ce que je ressens. À la répugnance éprouvée pour Marcel de ce qu’il me fait subir, vient s’ajouter la honte de jouir du pétrissage mammaire, du supplice exercé sur mes tétons.
Marcel s’en rend compte également.
- Voilà. C’est bon ça hein Nicole ? Tu aimes bien jouir des mamelles dis donc ! Tu dois être bien prête alors. Comme une petite chèvre ? Allez !
Marcel se positionne derrière moi, masse mon trou du cul avec la pommade anesthésiante. Sa queue ouvre ma grotte et sombre dans le tunnel humide du dernier orgasme. Il commence un délicieux va et vient qui me redonne l'envie de jouir encore. Un doigt s'engage dans ma corolle, il me lime un instant avant qu'un deuxième le rejoigne. Il me fait un peu mal, il me prépare pour une nouvelle sodomisation. C'est au bord de l'orgasme qu'il sort de ma chatte pour poser son gland sur mon anus. Il l'enfonce dans mon cul jusqu'à passer la barrière de mes sphincters, il ressort et réitère plusieurs fois l'opération avant de me bourrer intégralement le cul.
Je gémis de plaisir et de douleur. Mon cœur bat vite avec le bien que me fait la trayeuse à mes seins, avec le plaisir dans mon antre humide qu'il vient de me donner. Je ne suis pas contre une sodomie maintenant. Sa queue complètement enfoncée, il s'immobilise. Ses mains caressent mon dos, mes hanches, plus de douleur la crème agit enfin, ses mains me chauffent les reins.
Comment peut-on trouver du plaisir dans cet acte aussi bestial, le cul en feu, les seins étirés. Les mamelons irrités, je serre les dents pour pas crier alors que ce délicieux supplice s'éternise. Son ventre claque sur mes fesses à chaque coup de rein, ses couilles tapent sur ma chatte. Ses mains se crispent sur mes hanches, sa queue tressaute dans mes entrailles.Il jouit. Je sens la chaleur de son sperme dans mon ventre, c'est du plaisir que je ressens, pas du dégoût de servir de chèvre à Marcel, d'être soumise à ses turpitudes, je me laisse faire.
Il se retire, arrête la machine et libère mes seins. La moitié de mes seins est violet foncé. Mes mamelons sont démesurément déformés et allongés par la succion de l’aspirateur. Ils ont quadruplé de volume et quand je les touche, c'est comme s’ils n’étaient plus les miens. Mes tétons sont bandés à l'extrême, gorgés de sang d'une sensibilité douloureuse.
Je m'allonge sur le dos, des larmes perlent aux coins des yeux, mon cul déborde de jus. Monsieur a vécu son fantasme de la chèvre, il débarrasse les trayons, il remet sa trayeuse sous le lit. Il me regarde m’allonger sur le lit jambes serrées, les yeux mouillés de larmes. En se rhabillant il me congédie comme une vulgaire fille de joie que je suis devenue.
Je rentre chez moi les mamelons, le cul en feu, malgré tout je viens de découvrir un nouveau plaisir. Je prends un bain pour éteindre les feux de cette séance qui n'a pas durée longtemps.
Dans la soirée Jacques me trouve un air morose, fatiguée. Que lui répondre ? Je ne peux lui dire la vérité, ce serait la catastrophe, il ne comprendrait pas.
Pendant la semaine, à l'usine, Marcel passe à côté de moi en bêlant. Les filles me disent alors :
- Il ne s'arrange pas le Marcel !! Voilà qu'il se prend pour une chèvre !
A suivre...
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