lundi 5 septembre 2022

Comment je suis devenue une pute

Traduction d'un texte de Just Plain Bob  par Coulybaca.

 *****

J'étais là, me regardant dans le miroir. J'y voyais une femme mariée de trente-neuf ans, mère d'un fils majeur et femme d'un époux travailleur. C'était une bonne image, qui ne me causait aucun préjudice à la femme que j'étais encore il y a peu !

Je mesurais 1,70 m pour 54 kg, ma poitrine était ronde et bien ferme, mes longs cheveux blonds cascadaient sur mes épaules, ma bouche était pulpeuse et sensuelle.

La femme que je regardais dans ce miroir semblait être une femme fidèle, mais sans plus. Et voila que maintenant c'était une salope, une pute, une truie, le jouet sexuel de jeunes gens. Je baissais la tête en me remémorant comment cela était arrivé.

* * * * *

Chad, mon fils âgé de 19 ans, fréquentait l'université d'état et était revenu à la maison à l'occasion des vacances de printemps. Il avait passé une semaine à courir de droite et de gauche, visitant ses copains et participant à plusieurs fiestas.

Dimanche après-midi, il reçut le coup de fil qui déclencha tout. Le copain avec qui il voyageait avait eu un accident la veille au soir, sa voiture était détruite, il ne pouvait donc pas l'emmener à la fac. Mon mari venait tout juste de nous quitter pour l'aéroport où il devait prendre un vol pour Atlanta. Il devait assister à une réunion importante le lendemain matin et il voulait y arriver en pleine forme, c'est pourquoi il avait préféré un vol du dimanche après-midi plutôt que le premier du lundi matin.

Puisque Dale ne pouvait pas l'y conduire, Chad me demanda si je pouvais l'emmener lui et ses quatre copains qui rentraient avec lui. Je ne voulais pas le faire car je détestais voyager seule et de nuit. Je jouirai de leur compagnie à l'aller, mais je me retrouverai seule pour les trois heures du trajet retour, et de plus ce retour se ferait de nuit. Je répondis que je voulais bien en toute dernière extrémité si ses copains ne trouvaient pas d'autre chauffeur.

Une heure plus tard Chad me téléphonait la mauvaise nouvelle, ses copains n'avaient trouvé personne pour les conduire. A 16 heures je décidais de démarrer, en accord avec Chad, on partit chercher ses 4 copains. Le voyage se déroula sans heurt, sans aucun problème, bien qu'il fut déconcertant.

Avez-vous déjà voyagé, trois heures durant, en compagnie de jeunes gens de 20 ans vos cadets ? On aurait dit qu'ils parlaient une langue étrangère ! 

Je déposais les jeunes à la porte de leur appartement, embrassait Chad sur la joue et me préparait au retour : trois heures de trajet, seule dans la nuit. Billy qui était le dernier à sortir de la voiture intervint alors :

-Une minute madame BB (mon nom est Brenda Blankenship, mais les amis de Chad m'ont surnommée madame BB) j'ai quelque chose à demander aux copains !

Et ils se ruèrent dans leur appart. Quelques cinq minutes plus tard, Billy et Chad revinrent à la voiture.

- On sait tous que tu n'aimes pas conduire de nuit... commença Chad, Billy a eu une idée : pour te remercier de nous avoir emmenés si gentiment, ils se sont cotisés pour t'offrir une chambre d'hôtel pour la nuit... Comme je suis ici et Papa à Atlanta tu n'as aucune raison de rentrer précipitamment à la maison... Tu peux te reposer une bonne nuit et regagner la maison fraîche et dispos demain matin... Pour l'instant, on a décidé de t'emmener dîner avec nous !

C'était vrai. Comme Dale était à Atlanta, une maison vide m'attendait à mon retour, de ce fait, acceptais-je leur proposition. Billy me donna la somme correspondant à la location de la chambre d'hôtel, me conseilla d'aller retenir une chambre, qu'ils seraient prêts à aller dîner à mon retour.

Le restaurant se trouvait hors du campus, c'était un endroit fort convivial, on y servait des pizzas et des bières aux jeunes qui le fréquentait. On y trouvait un juke-box et une piste de danse. Une fois restauré chaque gars voulut faire une danse avec moi. Bien sûr, je n'aurais pas du céder à leur demande, mais en compagnie de mon fils, je me sentais totalement en sûreté. Nous sommes allés danser après avoir vidé trois pichets de bière, je me sentais bien, tout aussi détendue que les 5 jeunes.

Après quelques tours de piste ils commencèrent à me serrer de plus près en dansant. J'aurais du me fâcher à cet instant, mais je ne le fis pas, j'étais de bonne humeur et pour être honnête j'étais flattée de cette attention particulière que me prêtait ces jeunes gens. En outre, Je me trouvais en compagnie de mon fils Chad et je savais que ses copains n'oseraient pas aller trop loin en sa présence.

Les gars commandèrent une quatrième tournée de bière, je leur dis que j'avais assez bu et que je voulais regagner ma chambre d'hôtel. Billy objecta :

- Finissons d'abord nos pichets, puis on s'en ira !

J'avais à peine bu la moitié de ma cruche que je commençais à me sentir déphasée. Je dansais avec Billy, j'étais éméchée, désorientée et je chancelais en dansant.

- Waw madame BB, je crois que vous bu un peu trop de bière ce soir ! Il vaudrait mieux que l'on sorte et qu'on vous ramène à votre hôtel.

Je dus lui répondre que c'était une bonne idée, mais je ne suis pas sûre de mes souvenirs.

Les choses sont bien moins claires ensuite, je ne me rappelle que de fragments de mémoires, une sorte de puzzle que je tente vainement de reconstituer. Je me rappelle avoir eu les yeux braqués sur une grosse bite érigée sous mes yeux alors qu'on mes poussait la tête à son contact... Je me souviens de flashs lumineux... Je me rappelle la douleur créée par quelque chose qu'on insérait dans mon anus, et je me remémore avoir crié :

-Oh mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...

Je me souviens surtout que 3 ou 4 heures de ma vie furent mises entre parenthèses sans que je sache ce qui se passait. Je ne réalisais ce qui s'était passé cette fameuse nuit que le lendemain marin, lorsque Billy me fit visionner une cassette vidéo franchement porno, qu'il avait tournée avec sa caméra digitale.

Je m'étais réveillée avec quelqu'un collé contre mon dos, à moitié endormie je pensais que c'était mon mari et je me pressais contre son membre érigé. Je le sentis se lover tout contre moi et j'écartais les cuisses pour livrer un meilleur accès à ma chatte à celui que je croyais mon mari. Il enfouit immédiatement son gros pénis dans ma chatte enfiévrée.

- J'adore cette façon de se réveiller... s'esclaffa une voix triomphante, ce n'était pas la voix de Dale ! 

Je criais et m'écartais vivement de mon suborneur et me retournais pour voir Billy qui me souriait ironiquement. Dès que je le vis, le peu de souvenirs que j'avais conservé de ma nuit me revinrent en tête.

- J'aurai préféré que tu termines ce que tu faisais ma petite chérie, mais avant que tu ne perdes ton temps en vains hurlements je vais t'expliquer la situation dans laquelle tu te trouves, tu décideras ensuite si veux faire autre chose que hurler !

C'est alors qu'il me montra les vidéos qu'il avait tirées de cette nuit de stupre. On m'y voyait une bite plantée jusqu'à la garde dans mon anus, jambes grandes écartées on pouvait même m'entendre crier :

- Au prochain ! Je veux une autre bite ! Que quelqu'un vienne me baiser, je vous en prie ! 

Je comptais sept différents jeunes qui participaient au tournage de cette vidéo, et il y en avait peut-être plus. Je n'avais aucune idée du nombre de gars qui m'avaient possédée avant que Billy n'enregistre mon viol.

- Pourquoi fais-tu ça Billy ? Pourquoi me fais-tu ça ? Je croyais que tu m'aimais bien !

- Ca dépend de ta définition du terme aimer Brenda ! Tu es l'objet de mes meilleurs fantasmes depuis que suis assez grand pour me branler ! J'ai vu l'occasion de te posséder lors de ce voyage et j'ai sauté dessus !

- Mais pourquoi tous ces autres types ?

- Pour améliorer la qualité de la vidéo ! Il te sera plus difficile de nier cette vidéo que si l'on était que deux ! 

- Nier cette vidéo ? Vous m'avez violée, et tout ce que révèle cette cassette c'est l'identité de mes violeurs ! Jamais tu n'oseras la montrer à qui que ce soit !

- Je ne t'ai jamais entendu dire non au cours du tournage ! Tout ce qu'on entend c'est ta voix suppliant : je vous en prie baisez-moi... Faites moi jouir... une autre bite... Encore... Ce sera ta parole contre la mienne et la vidéo confortera mes dires !

- Toutes les personnes qui me connaissent savent bien que jamais je ne ferai de choses comme ça ! 

- Non ma chère Brenda, toute les personnes qui te connaissent pensent que t'es le genre de bonne femme qui ne se comporterait pas ainsi, mais lorsqu'ils auront visionné la bande vidéo beaucoup d'entre elles changeront d'idée à ton égard et diront : Bordel, ces images ne peuvent pas nous tromper !

- Tu sous-entends que je ferai mieux de me taire, et qu'ainsi personne ne verrait cette foutue vidéo !

- Pas tout à fait madame BB, je veux obtenir un peu plus de toi ! 

- Que veux-tu dire ?

-Je veux dire que désormais t'es ma nouvelle petite amie, ça veut dire que t'es mon nouveau jouet sexuel !

-T'es malade ?

-Non, tout simplement c'est moi qui a le contrôle de la situation ! Nous avons drogué Chad pour l'écarter de notre chemin... Il se réveillera dans deux bonnes heures avec une gueule de bois carabinée... Imagine qu'il sorte de sa chambre et voit ces photos de toi sur le placard dédié à l'affichage journalier... Imagine la tête de Dale lorsqu'il recevra une enveloppe délivrée à son bureau refermant ces photos de toi. Représente-toi la tête de tes amis et tes proches lorsque quelqu'un leur indiquera de se brancher sur un site web et qu'ils pourront te voir avoir du bon temps avec de jeunes gaillards de l'âge de ton fils ! Pense bien à tout ça ma chère Brenda ! Tu as adoré ce qui s'est passé cette nuit. Et tu le sais bien. Tout ce que tu as à faire pour que ta vie ne bascule pas dans le scandale c'est de continuer à exulter ! Ca ne devrait pas être bien difficile ! Et tu ne me verras que lorsque je serai à la maison, 1 ou 2 week-ends par mois... Bien sûr, le temps des vacances d'été, de Noël, et de printemps tu seras un peu plus occupée à me complaire mais tu y parviendras facilement ! Je ne pense pas que tu veuilles voir ta vie ruinée par le scandale. Je vais pisser dans la salle de bain, je veux que tu mes répondes à mon retour ! Si c'est non, il faut que je me hâte de retourner aux appartements pour afficher tes photos.

Il pénétra dans la salle de bain, je restai figée devant la vidéo que diffusait toujours la caméra, si je parvenais à m'en saisir c'en serait fini de son chantage, je n'aurai plus qu'à me précipiter demi-nue jusqu'à ma voiture, les chances que quelqu'un me voient faire étaient minimes.

Je n'avais pas même le temps d'enfiler mes chaussures ma petite culotte et mon soutien-gorge, je devais juste les rassembler, peut être juste revêtir mon chemisier et mettre quelques dizaines de mètres entre moi et cette chambre d'hôtel. J'étais tendue, prête à agir lorsque Billy sortit de la salle de bain. Il s'arrêta me regarda droit dans les yeux et éructa :

- Je crois qu'il ne faut pas trop te tenter !

Et il se dirigea vers les caméras et s'en saisit ainsi que de mon sac à main.

- Réponds-moi à mon retour petite salope ? insista-t-il en retournant dans la salle de bain.

J'étais piégée et bien piégée. Je ne pouvais pas me permettre de voir ces photos et cette vidéo apparaîtrent au grand jour. Billy avait entièrement raison. La nature humaine est telle que même les gens qui me connaissaient bien se demanderaient juste, dans le meilleur des cas, si j'avais agi ainsi délibérément. Même Chad et Dale douteraient de moi ! Ils déclareraient être à 100 % derrière moi, mais ils se rappelleraient toujours de ces images où je suppliais des jeunes gens de me sauter, de me fourrer leurs grosses bites dans la chatte et le cul !

Je devais me plier aux volontés de Billy tant que je ne trouverai pas le moyen de me tirer d'affaire, j'y réfléchirai calmement lors de mes 3 heures de trajet pour rentrer à la maison. Lorsque Billy revint dans la chambre il me demanda ce que j'avais décidé de faire, je ne pus que lui répondre que je n'avais pas vraiment le choix.

- En fait, tu n'as effectivement pas le choix ma petite salope, et maintenant montre-moi ta bonne volonté ! me confia-t-il en s'approchant du lit sur lequel j'étais assis.

- Suce-moi la bite ! 

Je n'avais pas d'autre choix que d'accepter, et je le savais pertinemment. J'ouvris la bouche en grand et il engouffra sa grosse bite bandée entre mes lèvres accueillantes. Je n'avais qu'une envie : fuir cette chambre d'hôtel et le meilleur moyen d'y parvenir était de me presser de satisfaire les envies lubriques de Billy. Cela sous-entendait que je devais lui faire une excellente pipe afin de me libérer momentanément de lui. Je léchai sa bite avec cœur, le branlant lascivement d'une main habile alors que de l'autre je lui manipulai tendrement les burnes, il semblait adorer ce traitement.

Il posa sa main sur ma nuque alors que j'allais et venais sur sa hampe tendue l'enfouissant jusqu'aux amygdales dans ma gorge asservie. Il se mit à gémir, je serrai fermement mes lèvres sur sa queue et augmentai le rythme de mes coups de tête.

- Oh oui... grogna-t-il.

- Comme ça... Juste comme ça... J'adore !

Je sentis ses burnes vibrer entre mes doigts, je sus alors qu'il ne tarderait plus à éjaculer, j'étais prête à affronter cette épreuve. Je tentai de tout avaler, mais quelques filets glaireux suintèrent des commissures de mes lèvres pour venir s'étaler sur son menton. Je sentis sa bite se ramollir entre mes lèvres, je voulus me retirer mais il intervint autoritairement :

- Continue de me sucer ma chérie... Fais moi bander à nouveau, je veux te baiser une dernière fois avant ton départ ! 

J'en aurai pleuré, je voulais fuir loin de cette chambre et de lui. Il tenait ma tête à deux mains et faisait lentement coulisser sa bite dans ma bouche révulsée, bien vite je sentis sa bite se déployer à nouveau. Il me repoussa sur le lit, m'écarta les cuisses en grand et m'enfourcha. J'étais en son pouvoir et il le savait. Je devais me soumettre à ses assauts, mais je n'aimais pas cela. J'étais déterminée à rester étendue sous lui sans mouvement espérant qu'il préférerait se branler plutôt que de baiser un bout de veau, et qu'il me laisserait tranquillement quitter cette pièce. C'est alors que mon corps me trahit. Je haïssais cela, mais mon corps répondait aux assauts fiévreux de Billy.

Il tendit les mains et agrippa mes fesses dodues et me remonta sur lui alors qu'il m'empalait sur sa grosse bite tendue, je sentis mon bas ventre s'embraser de vagues de plaisir se répandant dans tout mon corps. 
Je grognai et pressai mes hanches contre son bas-ventre. Je me retrouvai sur le point de jouir, je criai :

- Baise-moi, bordel ! Enfonce ta bite plus profond...

Je verrouillai mes chevilles sur ses fesses alors que mes ongles griffaient son dos. Je haletai comme une chienne en chaleur quand un puissant orgasme me terrassa.

- T'es vraiment une chaude salope ma petite chérie. Et je sais maintenant où se trouve ton point G ! 

Il se retira de moi et je le suppliai presque de revenir en moi alors qu'il me faisait rouler sur le flanc et me tirait les genoux en arrière.

- Je sais comment tu réagis quand on t'encule ma petite chérie !

Et il pressa son gland contre mon œillet frémissant. Tant de bites s'étaient enfoncées entre mes fesses cette nuit qu'il me pénétra aisément. J'adorai me faire enculer, mais n'y parvenait que rarement, Dale détestant cette pratique, mais ce jeune gaillard m'enculait énergiquement, c'était là une bien petite vengeance. 

Billy m'enculait vigoureusement, et bien que je haïsse cela je m'écriai :

- Oh mon Dieu, encule-moi, baise-moi le trou du cul, plus profondément encore !

Billy continuait à marteler mon sphincter anal plongeant de plus en plus profondément dans les profondeurs de mon intestin, le feu se ralluma dans mon bas-ventre alors que Billy se régalait. Je hurlai de plus belle :

- Bordel, encule-moi à couilles rabattues ! Fourre-moi jusqu'au nombril !

Mon corps tout entier soubresautait alors que je rebondissais d'orgasme en orgasme. Billy grogna et grommela :

- Ca y'est... Je jouis. Je me vide les couilles dans ton trou du cul !

Ma tête était enfouie dans un oreiller, de grosses larmes ruisselaient sur mes joues alors que je réalisais ce qui venait de se passer. Je détestais cela, mais j'avais donné à Billy tout le plaisir qu'il réclamait de mon corps et ce qui était pire encore, j'avais moi aussi pris mon pied.

* * * * *

Mais ni pendant le voyage de retour, ni pendant les mois qui suivirent, je ne trouvais de solutions à mon problème. La seule idée que j'avais était de tout raconter à Dale et de voir ce qui arriverait et ce qu'il ferait des ces infâmes informations, mais je ne parvenais pas à m'y résoudre. Je savais que si je lui révélais mon épreuve, il se demanderait dès lors si son épouse était une malheureuse victime d'un chantage ou si en fait c'était une fieffée salope.

Trois semaines s'écoulèrent avant que Billy revienne passer un week-end chez ses parents. Chad était resté dans sa fac et Dale, grand amateur de golf, n'avait d'autre envie que de faire 18 trous le samedi et le dimanche lorsque le temps le permettait. Billy le savait comme tous les gens qui connaissaient Dale, la voiture de mon époux avait à peine passée le virage au bout de la rue que déjà Billy toquait à ma porte.

Sans un mot je me reculai pour le laisser entrer. Sans dire un mot il me saisit la main et m'entraîna dans la chambre à conjuguer conjugale. Je retins mes larmes et le suivis docilement, puis je le regardai se déshabiller et s'installer à plat dos sur mon lit.

- Si nous commencions par une petite pipe ma chère Brenda ?

Je me tins devant lui yeux rivés sur son érection, je me dégoûtai de penser que si je lui donnais suffisamment plaisir il me prendrait peut-être par le trou du cul avant de partir. Je lui fis la meilleure fellation que je pus, avalai toute sa décharge et je continuai à le sucer le temps que sa bite reprenne une raideur de bon aloi, puis je m'installai à quatre pattes l'invitant à opérer d'un signe de tête incitatif. Il sourit et commenta hilare :

- Ne te casses pas chérie, je me suis programmé une petite virée, mais je ne partirai pas tant que tu ne m'auras pas supplié de te baiser... Et maintenant allonge-toi à plat dos !

Je roulai sur le dos, écartai mes cuisses en grand dans l'attente de son assaut. Je voulais le satisfaire pleinement dans l'espoir de me faire enculer avant son départ. Je ne pouvais m'en empêcher bien que je détestas ce que je faisais et ce dans le seul espoir qu'il plante son épieu dans mon tour du cul.

C'était vrai, mais comme de toute manière que j'aime ça ou pas Billy allait me baiser copieusement et j'étais prête à le supplier de me sodomiser ensuite.

Il me baisa longuement, je suçai à nouveau sa bite pour la ranimer, je quittai alors le lit, saisit une bouteille de lubrifiant et revins m'allonger en la tendant à Billy pour l'inciter à m'enculer. Je criai et le suppliai de me bourrer le cul jusqu'à ce que je rebondisse d'orgasme en orgasme tandis qu'il me remplirait les intestins de son foutre crémeux. Le pire c'est que j'espérais déjà qu'il revienne rapidement se servir de cet orifice qu'il comblait si bien.

Pendant ce dernier trimestre de classe, Billy revint chez lui au rythme d'un week-end par mois. Si le temps était bon, il me possédait vigoureusement dans ma chambre à coucher, si le temps était mauvais, et que de ce fait Dale restait à la maison ou quand Chad était là, Billy me faisait prendre une chambre dans un hôtel. Il ne me restait plus qu'à trouver une excuse pour quitter la maison et le rejoindre.

J'étais déchirée par les remords, bien que je détestais me faire sauter sous la contrainte, je prenais tant de plaisir à me faire enculer que dès son départ, je guettais son prochain retour. A chaque fois j'étais décidée à m'étendre sur le lit et de rester inerte sous ses assauts dans l'espoir qu'il me dise :

- Je ferais mieux de me branler, j'aurai plus de plaisir qu'à baiser un mou de veau !

Et qu'il partirait alors me laissant tranquille.

Mais cela se terminait toujours par de multiples orgasmes alors qu'il me baisait et m'enculait divinement. A chaque fois j'agrippais ses fesses l'invitant à m'investir plus profondément la foufoune, puis je me disposais à quatre pattes et l'invitais de façon obscène à me bourrer le trou du cul. Et je me détestais, à chaque fois de prendre autant de plaisir sous ses assauts.

* * * * *

Ce n'est qu'à la fin des classes, au début des vacances d'été que je compris que les choses allaient empirer. 

Dale et Chad étaient paris faire une partie de golf, lorsque résonna la sonnette de l'entrée, je savais que c'était Billy. Il m'avait téléphoné de l'attendre sur le pas de porte ne portant qu'un porte-jarretelles et des bas nylons. Je ne voulais pas lui ouvrir dans cette tenue, mais je savais que je devais lui obéir.

Lorsque j'ouvris la porte, Billy se trouvait effectivement sur le palier, mais Al, Matt et Tony lui tenaient compagnie. Ils m'avaient tous trois partousés le jour où je les avais ramenés en ville. J'étais terriblement choquée de les voir, alors que je me tenais devant eux dans cette tenue plutôt succincte, cela dut s'inscrire nettement sur mon visage, car Billy me dit :

- Hello Brenda, tu ne pensais tout de même pas qu'après avoir goûté une première fois à tes charmes, ils ne voudraient pas recommencer ? Tu avais aimé te faire partouser par de nombreuses bites ce soir là ! Et tu aimeras recommencer, tu vas voir !

Puis il me poussa vers la chambre. Je pris une profonde inspiration et les accompagnai docilement. Je les regardai se déshabiller en échangeant quelques plaisanteries salaces, Billy fut le premier à être entièrement nue, bite bandée. Sur un signe de sa main, je m'approchai de lui, m'agenouillai et embouchai sa grosse bite pour la sucer consciencieusement.

Les trois autres nous entourèrent, Al s'empara de ma main gauche et la posa sur sa bite, Matt en fit même avec ma main droite. Je suivis des yeux son geste, un intense fourmillement s'éveilla dans ma chatte à la vue de sa queue, elle était longue et fine - L'engin parfait pour se faire enculer - Et j'imaginai déjà combien se serait bon de l'avoir plantée jusqu'à la garde dans mon cul.

Tony, se sentant délaissé se posta derrière moi, s'agenouilla à son tour et pressa sa bite contre ma chatte, l'angle de pénétration n'était pas bon, et il dut se satisfaire de frôler mes babines embrasées. Je désembouchai la bite de Billy et dit à Tony de s'allonger sur le dos, et lorsqu'il fut en position, je m'assis sur sa bite. Billy explosa de rire et commenta :

- C'est excellent Brenda, t'as trouvé le meilleur moyen pour qu'on te partage ! Ca va balancer ! 

Et sur ces mots il enfouit à nouveau sa grosse bite dans ma gorge.

Je chevauchai lascivement Tony, branlai langoureusement Al et Matt et suçai consciencieusement Billy. Lorsque ce dernier éjacula au fin fond de ma gorge, nous avons gagné le lit. L'heure suivante, ils me sautèrent tour à tour se vidant dans ma chatte puis se faisant nettoyer la queue dans ma bouche.

Puis ils s'assirent tous sur le bord du lit et je rampai sur le sol d'une bite à l'autre jusqu'à ce que je parvienne à redéployer leurs mentules avant qu'ils ne se vident chacun leur tour dans ma gorge totalement asservie.

Al fut le dernier à se soulager dans ma bouche et, tandis que je le suçai avec entrain, Billy qui connaissait bien la pièce à force d'y venir souvent, et savait où les choses étaient rangées s'approcha de la commode et prit le tube de lubrifiant rangé dans le tiroir avant de revenir vers le lit.

- Donne le à Matt... lui demandai-je humblement, j'aimerais qu'il soit le premier à m'enculer aujourd'hui.

Billy se marra à pleines dents et tendit le tube de gel à Matt :

- A toi l'honneur de lui exploser le trou du cul mon gars !

Je terminai la pipe à Al, avalai son sperme et rampai sur le lit. Je me mis à genoux la tête enfouie dans un oreiller. Matt se positionna dans mon dos, lubrifia sa bite et mon trou du cul, le prépara quelques instants en vrillant son index dans l'étroit goulot, puis il pressa le gland de sa mentule contre mon oeillet palpitant de hâte. J'avais raison - Sa bite était d'une taille parfaite et en moins de 20 secondes il m'empala jusqu'à la garde. Il me pénétrait profondément et âprement à chaque coup de boutoir, je gémissais en cambrant mes fesses pour faciliter et amplifier encore la pénétration.

Tony se posta face à moi et engouffra sa queue dans ma bouche. Je criai à Matt de m'enculer avec plus d'ardeur, mais comme la bite de Tony me bâillonnait, on entendit qu'une vague purée de sons inintelligibles sortir de ma bouche.

Matt dut cependant comprendre ce que je désirais car il me pilonna avec encore plus d'ardeur. Je sentis soudain sa bite tressauter alors qu'il projetait ses longs jets de foutre chaud au fin fond de mes intestins, puis il se retira. Avant même que je me plaigne de sentir mon trou du cul déserté, Al le remplaça.

Ils m'enculèrent tous, tour à tour et se servirent de ma bouche et de ma chatte. Billy dit alors qu'ils voulaient qu'ils se servent de moi simultanément par tous mes trous. Matt proposa :

- Je m'occupe de son trou du cul...

Mais Billy leur dit que c'était remis à leur prochaine visite parce qu'il était temps qu'ils me quittent pour que je puisse nettoyer la chambre et prendre une douche avant le retour de mon mari.

Ils me prendraient par tous mes trous simultanément la prochaine fois et je jouirai tant que je les supplierai tant de me prendre ainsi à chaque rencontre à venir.

* * * * *

Cet été fut la pire période de ma vie.

Je nageais en pleine confusion, Billy, Matt, Al et Tony me baisaient environ deux fois par semaine, bien que je me gendarmais, j'attendais avec impatience leurs visites.

Lorsque Billy se pointait seul j'étais désappointée et lorsqu'ils venaient tous ensembles, j'étais humiliée de m'en réjouir.

Lorsque Billy décida que c'était trop dangereux de nous rencontrer le week-end et décida qu'on se verrait le mardi je rageais de devoir changer mon planning hebdomadaire. En même temps je me réjouissais car au lieu de 4 heures, ils disposeraient de la journée entière pour me partouser.

Le lundi matin je cherchais comment me libérer des griffes de Billy, et le lundi après-midi je me réjouissais déjà de sentir la longue et fine queue de Matt plantée dans mon trou du cul alors que je chevaucherai la bite de Tony, sucerai celle d'Al et branlerai Billy ou vice-versa.

Le temps passa rapidement, et la fin de l'été arriva avec la reprise des cours je me réjouissais de les voir repartir en ville, mais je savais déjà qu'ils me manqueraient au-delà de toute expression. J'étais toujours aussi indécise.

C'était notre dernier mardi de l'été et je les rencontrais dans une chambre d'hôtel. Ils commencèrent comme toujours par m'embrasser avidement m'explorant la bouche de la langue tout en malaxant mes nichons et mes fesses alors que déjà un doigt curieux inspectait ma chatte engluée de cyprine.

Ils me déshabillèrent prestement, je ne portais qu'une robe légère, je saisis leurs bites et m'agenouillai, tout de suite j'embouchai Al alors que Tony plantait caressait ma chatte à pleine main. Matt avait pris le tube de gel dans mon sac et lubrifiait sa bite préparant mon premier enculage de la semaine.

Comme il approchait du lit, Al se retira de ma bouche s'allongea sur le dos, je me penchai en avant jusqu'au moment ou mes tétons frôlèrent son torse, Matt s'installa dans mon dos, fora mon goulot de son index, l'évasa en le lubrifiant précautionneusement et tout de suite je le sentis presser son gland contre mon sphincter avide de l'absorber. Ce fut alors une orgie de sons alors que je hurlais le suppliant :

-Encule-moi plus fort.. Plus profond... Encore...

Tony enfourna sa bite dans ma bouche alors que Tony me fourrait en foufoune, une fois de plus j'étais prise par tous mes trous, ils continuèrent ainsi une bonne partie de l'après midi, se relayant dans mes trois orifices entièrement disponibles. Je rebondis d'orgasme en orgasme et je leur promis de les emmener en ville et de recommencer avec eux notre petite séance initiale dans la chambre d'hôtel.

Lorsque Billy réclama une pause, j'étais épuisée et trempée de sueur. Lorsque les autres furent partis, Billy me déclara :

- Je t'ai trouvé une nouvelle expérience. Mon cousin va se marier et je dois organiser l'enterrement de sa vie de garçon...

- En quoi cela me concerne-t-il ? Demandai-je stupéfaite.

- Ce sera toi chère madame BB le clou du spectacle... J'ai remarqué combien tu aimais te faire fourrer par nous quatre, imagine ce que tu vas ressentir à te faire sauter par dix ou douze mecs fortement membrés.

- Il n'en est pas question Billy... Jamais je n'accepterai de...

- Oh mais si que tu le feras ma petite salope. Tu oublies les photos et la cassette ! Trouve une excuse pour t'absenter de chez toi mardi prochain. On ne te libérera pas avant au moins minuit.

"Dix ou douze mecs" me disai-je en retournant chez moi... "Dix ou douze... mon Dieu, comment allais-je m'en tirer ?" Ma chatte se satisfaisait pleinement de quatre bites à la fois, mais dix ou douze à la fois fichtre, fichtre, fichtre. "Dix ou douze" pensai-je en me regardant dans le miroir. "Dix ou douze grosses bites qui me feraient hurler de plaisir !"

Dix ou douze mecs qui de plus qui connaitraient mon secret. C'en était trop. Il fallait que je mette fin à ce chantage avant que ça n'aille encore plus loin. Le soir même, lors du repas, je pris une profonde inspiration et je racontai mon histoire à Dale et Chad. J'étais assez satisfaite - Beaucoup plus qu'assez satisfaite en fait - Mais je ne leur racontai que le nécessaire.

Je leur racontai cette nuit où j'avais été droguée, partousée et filmée, que depuis grâce à la cassette de ce viol il me faisait chanter sexuellement (je laissais de coté le fait qu'Al, Matt, et Tony participaient activement à ma dégradation), et je leur parlai de la soirée de célibataires à laquelle Billy avait l'intention de me faire participer. Chad jaillit de la table :

- Mon meilleur copain se fait ma mère ! souffla-t-il furieux.

- Je vais tuer ce bâtard ! 

Et sur ces mots il se dirigea vers la porte. Dale lui enjoignit d'une voix forte de revenir à table et de s'asseoir. Dale ne dit rien, mais visiblement il était en colère après moi, et je ne pouvais l'en blâmer. Je n'avais aucune idée de ce que j'allais devenir après cette amère confession, mais je devais la faire. Plus de gens seraient au courant de ma mésaventure, plus le risque que cette histoire revienne aux oreilles de Dale ou de Chad était à craindre, il était donc préférable que je prenne le taureau par les cornes et que leur narre moi-même ma sordide aventure.

Une fois remis du choc initial, ils s'attaquèrent au problème, il fallait neutraliser Billy de façon à ce qu'il ne puisse plus jamais se servir de ces photos et cette cassette pour me faire chanter. C'est Chad qui suggéra de filmer Billy dans une position compromettante ou infamante, une cassette qu'il ne voudrait surtout pas voir diffusée, ce serait du donnant-donnant : nous ne diffuserions pas la cassette l'impliquant s'il renonçait à diffuser la cassette m'impliquant. En quelque sorte il s'agissait de prendre une Assurance de Mutuelle Destruction.

* * * * *

- Veux-tu venir me baiser ? Chad et Dale sont partis visiter les parents de Dale pour les aider à déménager de lourdes fournitures. Ils en ont pour trois bonnes heures... Je t'attends... Dépêche-toi mon chéri ! 

Je l'attendais à la porte lorsque la sonnette tinta, je l'invitai à entrer :

- Dépêche-toi Billy, j'ai follement envie de toi et je veux prendre le plus possible de plaisir dans le temps qu'on dispose.

- Pas de problème ! Montons dans ta chambre ! Rétorqua-t-il ravi de sa prière.

* * * * *

- Mal à la tête... Deamndai-je railleusement alors qu'il secouait la tête pour reprendre ses esprits.

Il était étendu sur le ventre, lorsqu'il voulut bouger, il se rendit compte qu'il était entravé. Puis il se rendit compte qu'il était entièrement nu et ligoté sur le lit.

- Rappelle-toi mon cher Billy, tu m'as droguée, puis filmée alors que vous ma partousiez allégrement... J'ai décidé de te rendre la monnaie de ta pièce ! Je ne disposais pas de drogue aussi ais-je du t'assommer d'un bon coup de poêle à frire, mais l'effet sera le même ! Je t'ai laissé assez de temps pour reprendre tes esprits... C'est bien ce que tu m'as dit le lendemain matin. Et oui je me souviens de tout ça ! Décontracte-toi, tu vas adorer ce qui va t'arriver !

Billy jeta un coup d'œil circulaire dans la chambre, il remarqua tout de suite la caméra numérique montée sur un trépied et pointée sur le lit. Je vis toute couleur se retirer de son visage alors qu'il comprenait ce qui allait se passer.

-Allez les gars, il est à vous ! criais-je.

Et deux hommes nus, le visage dissimulé par des passe-montagnes entrèrent dans la chambre. L'un d'eux avait en main un tube de lubrifiant, le visage de Billy affichait maintenant une panique totale.

-Non oh mon Dieu non ! Ne me faites pas ça ! Pour l'amour de Dieu ne me faites pas subir ça ! Je vous rendrai les photos et la cassette... Mais laissez moi partir ! Je cours à la maison et je vous les ramène !

-Désolée Billy... Je n'ai pas confiance en toi ! Tu pourrais tout aussi bien ne pas me les rapporter et de toute manière rien ne t'empêcherait de faire des copies. Non mon cher Billy, je préfère ma façon de faire... C'est celle qui m'apportera le plus de satisfaction! Si qui que ce soit voit le film ou les photos de mon viol, tout le monde pourra voir le film te concernant que je vais faire !

Billy hurla tout le temps que ses deux vengeurs l'enculèrent sauvagement lui cassant le cul. Lorsqu'ils étaient fatigués de l'enculer, ils se faisaient sucer le temps que leurs bites reprennent assez de vigueur. Ils terminèrent en l'embrochant par les deux bouts, les larmes ruisselaient sur son visage, jamais plus il ne verrait la vie du même œil.

Jamais il n'aurait pensé que telle horreur puisse lui arriver, la punition était terrible. Il était fou de honte, dégradé. Ils avaient fait de lui une tantouse. Personne ne devait jamais savoir ! Il avait déjà assez de mal à l'assumer ! Jamais cette terrible épreuve ne s'effacerait de son esprit.

* * * * *

Il est encore trop tôt pour savoir comment vont évoluer mes rapports avec Dale. Pour l'instant nous vivons cote à cote avec prudence. Je cherche à lui démontrer combien je l'aime et combien j'aime être sa femme. Il sait que j'ai profité de la situation, et que cela n'aurait jamais pu perdurer autrement, mais il sait aussi à quel point j'aime faire l'amour et je pense qu'il suspecte qu'il n'était nul besoin de me faire chanter pour user de mes charmes.

Je ne lui ai jamais révélé ce qui se passait en dehors du chantage de Billy, je ne lui ai jamais parlé des autres participants.

Je cherche à lui expliquer que le mal était fait avant même les trois heures de retour à la maison, que si je ne m'étais pas pliée à sa volonté des photos compromettantes auraient été affichées sur le planning mural de la résidence universitaire avant même qu'il puisse prendre un vol le ramenant d'Atlanta, je tentais de lui faire comprendre qu'en fait le fait que j'aime faire l'amour m'avait dissuadé de lui révéler le maitre-chantage que je subissais.

- Je pensais que tu croirais que j'acceptais d'endurer cette épreuve parce qu'en fait j'adorais me faire baiser ! Je ne voulais pas que tu me regardes comme si je n'étais qu'une salope offrant mon cul à mes admirateurs !

Dale n'avait pas montré la volonté de me chasser de la maison, et d'aussi loin que je puisse l'observer, il n'a pas contacté d'homme de loi dans le but de divorcer. J'espère et je prie qu'il n'en sera jamais question et je fais tout pour le conserver et continuer çà vivre à ses cotés.

* * * * *

C'en est fini de mon problème avec Billy, mais j'en ai un autre maintenant.

Alors que j'étais supposée me trouver à une partie de présentation de produits de beauté Avon, je m'étais sentie malade et j'avais quitté mes amies pour rentrer chez moi. Dale était en voyage, Chad n'était pas encore retourné en fac.

Chad ne m'entendit pas rentrer et j'eus le choc de ma vie lorsque je le vis assis sur le canapé se masturbant allégrement en regardant la télé. Je ne sais pas comment il s'était procuré cette copie auprès de Billy, mais il visionnait la cassette de mon gang bang. Mon fils se branlait à la vue de sa mère embrochée par ses trois trous, je voyais sa main se promener lentement su sa hampe, il semblait prendre un énorme plaisir à regarder cette cassette témoignant de ma dégradation. Il avait une jolie queue, longue fine, comparable à celle de Matt que j'aimais tant prendre dans le cul.

Oh mon Dieu, ma chatte commençais à frémir alors que je quittais discrètement la maison. Par l'enfer qu'allait-il advenir de nous maintenant ?

FIN

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