Traduction par Coulybaca d'un texte de Black Demon.
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Viols lors de la croisière inaugurale.
Le paquebot de luxe 'Islands of Pleasure" allait partir pour sa première croisière, un long périple de Charleston aux Bahamas. Cette sortie initiale servait à tester le navire au plan commercial. Naturellement comme il s'agissait d'une première sortie au départ de Charleston les passagers étaient pour la plupart des autochtones. Les dates des croisières futures dépendraient du succès de ce voyage inaugural, d'autres villes étaient envisagées comme ports de départ. Le navire avait embarqué environ 2.000 invités et 800 membres d'équipage.
Beaucoup d'invités voyageaient en couples, jeunes et vieux en vacances et même des jeunes mariés en lune de miel. Tous ces invités recherchaient les plaisirs de la vie, ils étaient approvisionnés pour la prochaine semaine.
L'équipage savait qu'il allait avoir une rude semaine pour satisfaire les demandes émanant des touristes à bord. Un membre de l'équipage regardait anxieusement les passagers qui embarquaient, ils s'impatientaient de voir toutes les somptueuses beautés qui faisaient la croisière, et plus particulièrement les femmes blanches ravissantes. Cela faisait 15 ans qu'il travaillait sur des bateaux, Omar Shoron avait obtenu la position qu'il désirait, il était chargé de manager l'équipage. Dans cette nouvelle fonction, il détenait toutes les informations qui lui étaient indispensables pour atteindre ses buts, c'est à dire satisfaire ses luxurieux appétits de viande blanche. Il aimait sentir vibrer de peur les femmes blanches qu'il violait.
Depuis des années, il violait des passagères blanches alors même qu'il n'était que simple membre d'équipage. La plupart des femmes étaient bien trop honteuses pour révéler à leurs compagnons qu'elles venaient de se faire violer, elles ne pouvaient pas l'identifier, il n'apparaissait que brièvement dans l'obscurité des cabines où il les entraînait prestement.
Il n'y avait qu'un viol qui avait fait l'objet d'une plainte, mais les lois de la mer prévalaient, et il n'y avait pas eu d'enquête, plus particulièrement parce que la beauté violée avait quitté le bateau en arrivant au port.
Comme les passagers embarquaient, Omar cherchait la ravissante jeune femme qui sortirait de l'ordinaire. Il saluerait alors la jeune femme et son escorte s'enquérant de son numéro de cabine pour lui indiquer le chemin ou l'y faire conduire par un membre d'équipage. Bien sur il notait par ailleurs le numéro de cabine de ces beautés qui retenaient son attention.
Pendant que les passagers s'installaient à bord, il relut son calepin et sourit, il avait pris des notes sur une vingtaine de femmes. Il savait qu'il avait manqué quelques somptueuses créatures alors qu'il s'occupait des autres, il voulait pouvoir les ajouter à la liste de ses victimes potentielles. Il se lécha les lèvres, se demandant avec combien de ces beautés il pourrait assouvir ses appétits luxurieux.
Comme son travail de base était de surveiller les agissements de l'équipage, il disposait de beaucoup de temps pour faire ce qu'il voulait. Un des aspects de ces nouvelles fonctions lui permettait de connaître les numéros des cabines vides, son passe lui donnait accès à toutes les cabines du navire. Les cabines inoccupées se trouvaient à l'intérieur du navire, toutes les cabines extérieures étaient retenues, elles étaient bien plus confortables avec leurs hublots leur ménageant un peu de lumière naturelle, ainsi qu'une vue sur l'extérieur.
Il adorait les cabines intérieures, comme il n'y avait pas de hublots, elles étaient totalement obscures la porte fermée. Ce qui voulait dire que ses victimes ne pouvaient l'identifier à moins de voir son visage lorsqu'il les transportait dans une des cabines disponibles.
Il ne voulait pas être pris, il ne voulait pas que le mari d'une de ses victimes arrive en hurlant au plus mauvais moment, ce qui entraînait qu'il ne voulait pas faire leurs affaires à ses victimes dans leurs cabines même si elles avaient une cabine interne.
Ce premier jour de mer était toujours très fiévreux, les couples restaient collés ensemble, aucune opportunité de trouver une jeune beauté isolée. Le soir, assis dans sa couchette, Omar avait éliminé la moitié de la liste, il avait étudié l'emplacement de leurs cabines, ne gardant que celle qui se trouvaient proches d'une cabine vide, ce qui validait ses projets. Mais encore fallait-il un coup de pot pour qu'une de ces beautés soit vulnérable pendant un certain temps, il fallait que leur mari, ou leur petit ami soit pris par ailleurs.
Le deuxième jour de la croisière s'était avéré extrêmement frustrant pour Omar, à trois reprises il n'avait pu s'emparer de proies qu'il convoitait. A chaque fois, des passagers étaient apparus dans le couloir ouvrant sur leurs cabines, lui rendant la tâche impossible.
Lors de l'une de ces opportunités, il allait empoigner la jeune femme lorsqu'un autre couple apparut dans le couloir, il dut admettre que cette fois encore sa proie lui glissait entre les griffes. Il avait été tenté de forcer sa porte, le couple importun ayant disparu, mais elle pourrait l'identifier avant qu'il ne coupe la lumière, le risque était trop grand.
Le soir suivant, il observait une des beautés portées sur sa liste prendre le chemin du casino. Contrôler le personnel du casino lui fournissait un prétexte pour continuer à épier l'adorable beauté. A l'évidence c'était une femme mariée, elle arborait une alliance en diamant à l'annulaire. C'était une ravissante blonde, la trentaine, de longues jambes blanches. La bite d'Omar palpitait dans son pantalon, à l'idée de ses perdre entre ces délicieuses jambes.
Melissa et Brad Moore s'étaient offert cette croisière pour célébrer leur dixième anniversaire de mariage, ils étaient toujours aussi amoureux l'un de l'autre, et cela durait depuis leurs années collège. Ils avaient deux enfants, une fille et un garçon, respectivement âgés de 7 et 5 ans. Ils étaient en vacances chez les parents de Melissa pour la durée de la croisière. A 32 ans, Melissa faisait tourner bien des têtes masculines sur son passage, elle était en pleine forme. Melissa adorait son boulot de dessinatrice d'intérieur alors que Brad travaillait dans une banque d'affaires.
Comme ils avaient dîné dans la salle à manger d'honneur, les hommes portaient le smoking et les femmes de somptueuses robes du soir. Ce soir, pour se rendre au casino, Melissa portait une robe du soir noire, des bas noirs et ses hauts talons. Elle était si élégante que le commandant lui même lui en fit le compliment. Ses longs cheveux blonds encadrant ses yeux bleus de bébé faisaient bander bien des hommes dans l'assistance.
Mais un admirateur plus décidé la couvait des yeux ce soir, épiant chacun de ses mouvements, espérant bien lui tendre un traquenard cette nuit même. Omar observait le couple qui se préparait à jouer, l'époux s'était dirigé vers la table de Blackjack pendant que sa belle femme préférait les machines à sous. Il voyait à ses attitudes et ses enjeux que ce n'était pas une véritable joueuse, elle baillait tout en tirant le manche des "bandits manchots".
- "Peut-être bien que la chance va tourner ce soir... Je l'espère bien..." se dit-il alors se voyant déjà enfourner sa grosse bite noire dans sa soyeuse chatte blonde.
Rejetant un œil sur le plan de leur quartier, il nota qu'une des cabines face à celle du couple Moore était libre. Se pourléchant les babines, Omar vit la ravissante jeune femme quitter les machines à sous pour rejoindre la table de Blackjack, se postant derrière son mari. Après deux mains, alors que le banquier mélangeait les cartes, ils s'embrassèrent langoureusement puis il lui fit un petit signe.
- "Ohhhhh... T'es vraiment stupide mec... On ne doit jamais laisser une telle beauté seule... Hey, hey, hey... c'est très bien... Un crime va être commis à cause de ta stupidité et ta soif du jeu..." marmotta Omar en se ruant dans le vestibule.
Omar savait qu'elle devait rejoindre l'ascenseur 4 étages plus bas pour retourner à sa cabine. Empruntant le monte charge de service, il gagna rapidement le 5ème niveau et reprit son souffle dans l'ombre entre deux cabines. Il jeta un coup d'œil circulaire et calmement se dirigea vers la cabine 515, juste face à celle de madame Moore, il laissa la porte ouverte, il pouvait ainsi s'assurer que nul importun ne survenait lorsque la ravissante beauté inconsciente du danger arriverait à sa cabine.
Le personnel était si aimable, si serviable que les Moore étaient inconscients des dangers que pouvaient présenter une croisière. Comme l'équipage était composé en grandes parties d'étrangers et que les lois de la mer variaient d'un pays à l'autre, c'était un véritable sanctuaire pour les pervers comme Omar. Ils n'avaient pas vu le dernier documentaire sur les croisières qui décrivait les dangers des croisières et plus spécialement ceux encourus par les jeunes femmes qui déambulaient sans escorte dans les couloirs.
Ereintée par une première journée de croisière si excitante, Melissa attendait l'ascenseur avec un groupe de passagers sortant du casino. L'ascenseur se vidait en descendant les étages, elle était seule en arrivant au 5ème. Elle parcourut le long couloir qui menait à sa cabine, incapable de saisir sa carte magnétique en marchant, elle s'arrêta face à sa porte, et chercha sa clé dans son sac.
Soudain une large main se plaqua sur sa bouche, une autre la ceintura et saisit son sac et on la tira brutalement dans la cabine dans son dos. La cabine était plongée dans l'obscurité la plus profonde, Melissa frémit de peur, la main la bâillonnant l'empêchant de pousser un cri alors que l'autre rampait sur son corps. Elle entendit alors une voix à l'accent étranger lui susurrer à l'oreille :
- "Ca fait longtemps que j'espère me faire une ravissante américaine comme toi... Ce soir mes rêves les plus fous vont se réaliser..."
Puis il la menaça pour prévenir ses cris :
- "Crie jolie petite madame, et ce sera ton dernier cri !"
Se faisant il appuya sur sa gorge illustrant sa menace. Lentement il enleva sa main posée sur sa bouche, elle sanglota sourdement tandis qu'il caressait son corps. Elle sanglotait de façon incontrôlable, des grosses larmes ruisselant sur ses joues. La grande main qui lui serrait la gorge l'empêchait de bouger. Pendant ce temps l'autre main dans son dos tirait la fermeture éclair de sa robe, une grosse langue mouillée fouilla son oreille, lui donnant des nausées.
- "T'es si belle madame Moore, je t'ai surveillée toute la soirée, ton mari est stupide de te laisser seule alors qu'il joue au casino."
- "S'il vous plait... Laissez moi partir... S'il vous plait... Non... Non... Mon mari... Il va me chercher... Je vous en prie, j'ai de l'argent dans mon sac... Prenez le... Ne me faite pas mal..." sanglotait Melissa affolée.
- "Oh s'il vous plait... Non Je vous en prieeeeeeeeeee... Ne me faite pas ça... S'il vous plait, s'il vous pait... Je vous en supplie... " se lamentait-elle alors qu'une main empaumait ses seins les serrant fermement.
- "S'il vous plait, je vous en prie... Je vous en prie ne me violez pas... S'il vous plait ..." sanglota-t-elle de plus belle.
Pantelante, elle réalisa qu'il devait s'agir d'un homme d'équipage, puisqu'il connaissait son nom et il semblait étranger, à en croire son accent, comme beaucoup des membres d'équipage. Elle gémit sachant que la majorité des hommes d'équipage qu'elle avait vu venaient d'Afrique. Elle frémit à l'horrible d'idée d'être violée par un noir. Elle sentit à ce moment sa robe chuter à ses pieds, la large main courut sur sa poitrine, lui pinçant et roulant les tétons au travers de la fine étoffe de son soutien-gorge en dentelle. Elle sentit les mains de son agresseur dégrafer son soutien-gorge, le repoussant sur ses épaules. Elle gémit seins nus livrés à sa convoitise, il les tritura rudement.
Tétanisée elle sentit alors sa main libre saisir la ceinture élastiquée de ses collants et de sa petite culotte les roulant d'un même geste à mi cuisses. Elle frissonna alors qu'il lui caressait la face interne des cuisses, s'approchant lentement de son intimité.
- "Oohhhhhhh... Oohhhhhhhhhhh... Ohhh mon Dieu... S'il vous plait..."
Un doigt cherchait son clito si sensible.
- "Mon Dieu... Mon Dieu... Je vous en priiiiiiiiiiiiieeee... Nonn-nnnnnnnn..." larmoyait-elle alors que des frissons couraient dans tout son corps stimulait par les caresses ensorcelantes de son clito.
- "Oahhhhhh... Ahhhhh... Ohhhhhh !" gémit-elle humiliée alors qu'un doigt long et épais allait et venait lascivement dans sa féminité.
Omar s'était prestement dévêtu il ne portait plus que son cache sexe.
- "Tends tes mains derrière toi... Tu vas avoir la chance d'être la première beauté américaine à tester cette conséquente virilité africaine... Allez tends les mains dans ton dos pour voir ce que j'ai rien que pour toi..." gronda-t-il soudain lui serrant brutalement la gorge pour lui enjoindre de s'exécuter.
Tremblant comme une feuille Melissa obéit tendant ses mains dans son dos, ses doigts entrèrent en contact avec le fin tissu de son caleçon. Enervée, elle se força à glisser ses doigts sous l'élastique de la taille, puis elle descendit la main dans son cache sexe. Elle haleta lourdement lorsque ses doigts rencontrèrent une barre de chair d'une taille monstrueuse, bien plus grosse qu'elle se serait jamais imaginée qu'une bite puisse l'être.
- "Ohhhhhhhhh... Mon Dieu... Qu'elle est grossssssssssse... Ca va me tuer... Peut être qu'il se contentera d'une branlette à la main..." priait-elle serrant ses doigts sur l'épaisse hampe de chair, la branlant le poing fermé.
Elle se mit à le branler de plus en plus rudement, de plus en plus rapidement, elle espérait satisfaire ses appétits de cette façon, puis qu'il la laisserait s'enfuir. Omar sourit ironiquement en sentant ses mains s'agiter sur sa colonne, il savait pertinemment ce qu'elle espérait. Sans dénier le plaisir de ses mains le branlant vigoureusement, il savait que son contrôle de soi était suffisant pour éviter toute éjaculation précoce.
- "On va voir qui jouira le premier ma petite madame !" se marrait-il tout en triturant son clito de plus en plus fort, de plus en plus vite, la fourrant de plus en plus profondément de trois doigts joints.
Melissa suppliait son agresseur :
- "S'il vous plait... Je vous en prie... Laissez moi partir... Je vous en prie... Je ne le dirai à personne... Ne me violez pas... S'il vous plait ne me violez pas... Je vous en prie ne faite pas ça, je pourrai tomber enceinte."
Mais sous les continuelles caresses sur son clito, alors que ses doigts entraient et sortaient divinement de sa chatte, elle ne pouvait s'empêcher de serrer les cuisses sur l'ensorcelante main, ses muscles vaginaux étreignant fermement ses doigts.
- "Ooh,.. oooohhhhh... Nonnnnnnn... Nonnnnnnn....." gémit elle à haute voix, elle frissonnait terrassée par un orgasme non désiré.
Elle n'avait jamais atteint l'orgasme de cette façon, pas plus avec d'autres hommes qu'avec son mari. Alors que son corps était parcouru de frissons de plaisir, il lui lâcha la gorge, sa main descendit et captura un de ses mamelons, le triturant langoureusement, la stimulant encore plus.
- "C'est bon petite chienne... Enlève tes chaussures et ne réfléchis pas à comment me blesser en le faisant !"
Sur ce, comme il connaissait l'exacte disposition de la cabine, l'obscurité ne le gêna pas pour l'entraîner, toute pleurnicheuse, vers le lit. La retenant d'une main, il la dépouilla rudement de ses collants et de sa petite culotte de l'autre, il disposait d'elle, maintenant, entièrement nue. Ses pleurs redoublèrent alors qu'elle plaidait :
- "S'il vous plait ... S'il vous plait laissez moi partir ... Je vous en prie ne me violez pas... S'il vous plait... J'aime mon mari... Je vous en prie... Ne me faite pas de mal... Ne me violez pas... Je ne veux pas être enceinte !..."
Ses pleurs redoublèrent tandis que son agresseur lui caressait tendrement les seins, roulant ses mamelons dardés, stimulant ses sens contre son gré. C'est alors qu'une horrible idée la traversa :
- "Je voulais que Brand me mette enceinte au cours de cette croisière... Je ne peux pas laisser ce noir m'engrosser... Je ne veux pas qu'il me mette enceinte !"
- "Ooh,.. nonnnnn... Nonnnnnnnnn !" geignait-elle alors qu'il s'appesantissait sur elle, s'installant de force entre ses cuisses.
- "S'il vous plait... Je vous en prie... S'il vous plait laissez moi partir... Ne me violez pas... Je vous en supplie... S'il vous plait ne me faite pas de mal... " soupirait-elle effrayée.
Elle sentait le gland épais s'immiscer entre ses babines et savait qu'elle ne pourrait rien faire pour empêcher ce vicieux viol, maintenant qu'elle connaissait la taille énorme de son pénis, elle craignait qu'il la déchire. La douleur de l'intrusion initiale était si vive, qu'elle s'obligea à écarter les cuisses au maximum pour minorer la douleur.
- " Nonnnnnnn... Ohhhhhhh... Ohhhhhh... Ohhh, s'il vous plait... Je vous en prie... Ne faite pas cela... Argghhhhhhhhhhhh !"cria Melissa alors que l'épais gourdin s'enfouissait dans son étroite petite chatte.
Puis son agresseur la poignarda de plus en plus profondément, forant impitoyablement son chemin jusqu'au col de son utérus.
- "Oh mon Dieu... Oh... Oh... Oh... Oh... Oh... Oh...Oh, nonnnnnnn... Oh mon Dieu... Nonnnnnnnn !" hurlait-elle trahie par son corps.
Ses jambes se levaient d'elles mêmes pour se nouer dans le dos de son assaillant, alors que son bassin s'arquait pour accueillir plus profondément son monstrueux visiteur.
Une heure après avoir soumis la jeune américaine, Omar se rhabilla. Sortant son appareil photo, il prit quelques clichés au flash, la capturant nue, souillée de sperme. Il se pencha sur la jeune femme qui pleurnichait, lui lécha tendrement les lobes des oreilles, susurrant :
- "Rien de mieux qu'un bonne bite d'Africain, n'est ce pas mignonne petite Américaine... J'ai ton adresse et ton numéro de téléphone à Charleston madame Moore... Peut-être qu'une prochaine croisière me ramènera dans ce port... Je t'appellerai alors de façon à ce que tu puisses à nouveau goûter à ma grosse queue d'Africain..."
Sûr qu'elle lui tournait le dos, il ouvrit la porte et disparut aussitôt, laissant la jeune femme sangloter dans l'obscurité de la cabine. Remâchant son épreuve, Melissa explora à tâtons la cabine obscure et trouva finalement le commutateur. Elle jeta un œil sur l'horloge du bureau et réalisa qu'il y avait plus d'une heure qu'il l'avait enlevée. Elle réalisa soudain, que son mari venait certainement de rejoindre leur cabine ; il lui avait dit qu'il jouait encore une petite heure à la table de Blackjack, puis qu'il rentrerait. Elle frissonna, sachant qu'elle était incapable de lui avouer qu'elle venait de se faire violer par un noir dans la cabine face à la leur. Assise sur le lit elle réfléchissait à ce qu'elle pouvait bien faire, puis elle décida de prendre une bonne douche.
Se regardant dans le miroir, elle chassa ses larmes, et se fit présentable avant de retourner à sa cabine. Elle se brossa les cheveux et se remaquilla, puis elle chercha sa petite culotte, mais en vain. Son soutien-gorge était déchiré, sa fermeture était cassée, il était inutilisable, elle le rangea donc dans son sac. Ses collants noirs aussi étaient déchirés, ils rejoignirent son soutien-gorge dans son sac. Elle ne pouvait qu'espérer que Brad ne remarquerait pas ces changements dans sa tenue. Elle remit sa robe noire, et se chaussa avant d'ouvrir la porte de la cabine à quelque pas de la sienne.
Prenant un bon bol d'air, elle se prépara, se força à sourire, Melissa ouvrit la porte de leur cabine et entra. Ne voulant pas ravoir à répondre à ses questions, elle mit tout de suite les choses au point, elle pensait que dans ce cas la meilleure défense était l'attaque.
- "Oh chéri, je suis désolée... J'aurai du te laisser un mot te disant que je sortais un petit moment... Je suis allée boire un coca au bar, mais le pianiste était si bon que je me suis assise pour l'écouter et j'ai perdu la notion du temps qui passait !" mentit-elle sans vergogne.
Elle fut très heureuse de voir que Brad lui souriait et se relevait pour venir l'embrasser, mais elle frémit lorsqu'il la prit dans ses bras, elle se sentait indigne de son amour. Elle chassa ses larmes, réalisant que fort probablement son agresseur l'avait violée alors que son mari était dans une cabine à quelques mètres d'eux.
Le jour suivant fut encore un jour de totale frustration pour Omar, deux beautés insouciantes lui échappèrent de justesse. Sauvées par d'autres passagers qui étaient apparus dans le couloir à l'instant où il allait les agresser. Cette nuit, il ne pourrait que rêver à ces ravissantes jeunes femmes et se remémorer le plaisir qu'il avait pris à violer la jeune blonde la veille.
Le lendemain après-midi, Omar se pourlécha les lèvres en lorgnant une de ses proies potentielles se faire bronzer étendue sur une chaise longue sur le pont supérieur. C'était une voluptueuse rousse, avec un joli ton de peau, avec un corps sans défaut. Il dévisageait tous les hommes présents avec insistance cherchant à repérer son compagnon.
Omar avait les yeux braqués sur la jeune beauté lorsqu'elle se retourna sur le dos pour se faire dorer l'autre face. Elle portait un minuscule bikini blanc.
- "Ohhhhhh Je n'ai jamais vu d'aussi jolie rousse auparavant ! Ca doit être un excellent coup... Mmmmmmmmm je sens qu'elle va se défendre pour m'empêcher de lui fourrer ma grosse bite noire d'Africain dans son ravissant petit corps ! " réfléchissait-il envieusement.
Jetant un œil sur ses notes, il constata que la jeune beauté avait une cabine au 6ème niveau, au milieu du couloir, la cabine était enregistrée au nom de monsieur et madame John Atkins. Il remarqua une pastille verte dans les notifications particulières concernant le couple, il consulta alors son lexique pour déterminer la signification de cette marque. Il sourit en lisant que ce point vert signifiait qu'il s'agissait d'un couple de jeunes mariés en lune de miel.
La seule cabine libre dans ce couloir, était située entre l'ascenseur et la leur au N° 638. Ce ne serait pas aussi facile que la nuit dernière. Quitterait-elle un moment donné son mari pour regagner seule sa cabine se demandait-il assez anxieux. Sa bite palpitait follement dans son caleçon, il avait une envie folle de se faire cette beauté rousse.
Sous son poste de guet, John et Carol Atkins allongés côte à côte se tenaient main dans la main. Leur lune de miel se déroulait au mieux. La noce s'était déroulée sans accros, et ils éperdument épris l'un de l'autre, et ce depuis leur dernière année collège. Ils avaient quitté le collège ensemble, avaient obtenus leurs diplômes ensemble, ils avaient tous deux un bon boulot et semblait former un couple modèle.
Les quatre premiers jours de croisière, ils se seraient crus au paradis gaspillant leur temps au restaurant d'honneur, mais le plus souvent, ils restaient dans leur cabine à faire l'amour. La chaleur du soleil augmentant, Carol se dit qu'elle ne pouvait pas s'exposer plus longtemps, elle risquait un coup de soleil.
Soucieuse de ne pas écourter les délices de son mari, elle lui dit de rester sur le pont à profiter du soleil, qu'elle allait se changer puis qu'elle irait visiter la galerie d'art. Elle savait pertinemment que John n'aimait pas ce genre de distraction, ils convinrent de se retrouver à la cabine une paire d'heures plus tard pour se rendre au restaurant français.
Omar commença à saliver en voyant la jeune beauté prendre son sac et sa serviette. Il se dirigea vers le chemin menant aux ponts inférieurs dans l'espoir de voir ses espoirs se concrétiser. Il l'observa se pencher pour embrasser son mari, puis posant la serviette sur ses épaules puis elle traversa la haie de choses longues garnissant le pont. Si elle se rendait à sa cabine, il avait tout le temps de lui dresser un traquenard, il emprunta rapidement le monte charge de l'équipage.
Il saisit une pile de serviettes disposée à chaque niveau passager, les étendit sur son bras et se posta près des portes des ascenseurs. Lorsque le signal indiqua qu'il allait s'arrêter au 6ème niveau, suivit du bruit sourd de l'ouverture de la porte, il partit vers la cabine vide. Il tenait le bras tendu, serviettes pendantes, faisant comme s'il amenait des serviettes dans une cabine.
Comme l'ascenseur descendait au 6ème niveau, Carol ne pouvait réprimer un large sourire en voyant les deux hommes dans l'ascenseur lorgnaient discrètement ses charmes alors qu'ils étaient en compagnie de leurs épouses. En quittant l'ascenseur, elle sentait leurs yeux collés à sa croupe.
- "Désolé les gars, mais mon petit cul n'est plus libre ! " rigolait-elle intérieurement en prenant le chemin de sa cabine.
Elle savait que ses formes captivaient les hommes et ces deux là ne dérogeaient pas à la règle, en la voyant parader dans son minuscule bikini.
Gardant une distance constante entre l'insouciante jeune femme et lui, Omar se tourna de profil pour ouvrir la porte de la cabine sans fournir d'image claire de lui-même. Il laissa dépasser une serviette qui bloquait la fermeture de la porte, la jeune femme était sur le point de le dépasser, une seconde plus tard il lui couvrait la bouche de sa large main et l'entraînait dans la cabine obscure. Sentant la jeune femme serrée contre lui frémir d'angoisse, il relâcha son étreinte la laissant respirer tout en lui susurrant à l'oreille :
- "Apprécies tu ta lune de miel madame Atkins ? Un époux attentionné ne devrait pas laisser sa délicieuse jeune femme déambuler seule, pas même une seconde... Il devrait se soucier de la protéger à chaque instant... On ne sait jamais ce qui peut arriver sur un paquebot aussi grand que celui-ci... Quelqu'un pourrait entraîner sa jeune épouse dans une cabine déserte pour lui faire goûter une grosse bite africaine..." accablait-il la jeune femme qui se débattait.
Carol était en pleine panique, se débattant de toutes ses forces, cherchant à lui donner des coups de pieds et à desserrer son étreinte. Elle avait perdu ses sandales dans la lutte, ses coups de pieds n'avaient aucun effet sur lui. Elle sentit même qu'il l'entraînait plus loin, elle tomba sur le lit, le corps de son agresseur la recouvrant immédiatement. La main la bâillonnant lui interdisait de crier.
- "Oh non... Nonn... Mon Dieu..." se disait-elle alors qu'elle le sentait lui arracher son cache sexe, puis son soutien-gorge.
Epinglée sur le lit, incapable de résister plus longtemps, elle frissonnait de peur. Ses larmes jaillirent et ruisselèrent sur ses joues, elle émettait des cris voilés, soudain une main entreprit de lui caresser l'intérieur des cuisses. Elle entendit son assaillant lui enjoindre de ne pas crier si elle voulait revoir son mari. Elle frissonna alors que la main fureteuse la touchait là où jusqu'ici seul son mari l'avait touchée.
Il la menaça à nouveau et soudain enleva sa main qui la bâillonnait, elle était si effrayée qu'elle éclata en sanglots.
Omar caressait sa tendre jeune chair à deux mains, excité à la pensée de posséder cette beauté aux cheveux roux flamboyants. Il aimait sa façon de se tortiller alors qu'il lui pinçait les tétons, alors que son autre main empaumait son pubis, un doigt se posant sur son clito si sensible. Puis pour assommer la tendre jeune épouse, il lui murmura à l'oreille :
- "Bien qu'avec du retard, je vais offrir mon cadeau de noce à la jeune épousée... Une chose qu'one lui a jamais offert ! Eh oui ma petite chérie, un vrai homme va te posséder aujourd'hui..."
Remontant un peu, il disposa sa bite devant sa fentine lisse, la parcourant d'un gland suintant. Il poussa sa bite entre ses babines, il adora le cri angoissé qu'elle poussa alors que sa grosse bite s'immisçait dans son étroite petite chatte. Centimètre par centimètre il s'enfonçait lentement dans le fourreau étroit de la jeune femme qui sanglotait. Il l'agrippa aux hanches se préparant à la défoncer d'un brutal coup de boutoir.
- "Oh s'il vous plait... Non, je vous en prie... J'ai mal... J'ai trop mal... S'il vous plait nonnnnnnnn... Vous êtes beaucoup trop gros..." le suppliai-t-elle misérablement.
Elle ne pouvait que sangloter alors que son épreuve se poursuivait, la douleur au creux de son entrecuisse grandissait encore, la paralysant.
- "Oh mon Dieu... Que vais-je dire à John... Il ne voudra plus jamais me toucher s'il vient à savoir que j'ai été violée par un nègre... Oh mon Dieu dire qu'il me répétait que mon petit bikini était bien trop provocant ! Il me blâmera à coup sur d'avoir allumé cet homme..." se tracassait-elle.
L'empoignant fermement aux hanches, il prit son élan et s'engouffra en elle brutalement.
- "Oaieeeeeeeeeee... Arrrrrggggggh... Nonnnnnnnnn... Nonnnnnnn... Ohhhhhhhhh... Nonnnnnnnn ! " geignait la pitoyable jeune femme effondrée.
Ses plaintes enchantaient Omar comme le faisait une douce musique, il n'aimait rien de mieux que d'entendre gémir les jeunes femme qu'il défonçait comme des truies. Engagé de moitié en elle, il se retira et s'enfouit d'un dernier élan définitif que brutal.
- "Oarrrrghhhhhhh... S'il vous plait... Oh, Je vous en prie... Arrêtez... Arrêtez..." sanglotait-elle de plus belle.
Omar rit, sa bite était maintenant entièrement enfouie dans son ventre, il savait qu'elle n'avait jamais été baisée par une bite aussi longue et épaisse. Il lui massa le clito du pouce alors qu'il entamait des vas et viens langoureux dans sa chatoune dévastée.
Carol n'avait jamais été prise dans cette position, elle ne parvenait pas à repousser ses sensations enivrantes.
- "Ooh... Oh... Ohhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhh !" geignait-elle alors que le doigt expert affolait ses sens.
- "Oohhhhhhhh... Oh, mon Dieu... Ohhhhh... Nonnnnnnn... Que m'arrive-t-il ? Mon Dieu, je vais jouiiiiiiiiir !" haletait-elle serrant les cuisses sur la bite fureteuse.
Terrassée par l'orgasme elle s'est écroulée hors de service pour un bon moment. Paniquée elle revint à elle quelques instants plus tard, toujours épinglée sur le lit par la grosse mentule de son agresseur. Alors qu'il reprenait ses allées et venues en elle, elle sanglotait constatant que son corps réagissait mécaniquement s'offrant lubriquement à ses assauts.
- "Ohhh mon Dieu... Mon Dieu... Oh... Oh... Oh... Nonnnnn ' se lamentait-elle, alors que la grosse bite palpitait et battait follement dans son ventre, ce qu'annonçait ces prémisses étaient facile à concevoir.
- "Ohh Mon Dieu... Non ! Non... S'il vous plait... Nonnnn... Ne faites pas ça... Ne jouissez pas en moi... Je vous en prie... S'il vous plait... Je suis en pleine période de fécondité..." le suppliait-elle.
- "Ohhhhhh... Ma chère madame Atkins, tu devrais être honteuse de jouir sous les assauts d'un autre homme alors que t'es en voyage de noce... Je sens que je vais te faire couler à nouveau chérie... " gronda-t-il la baisant encore et encore.
Lui titillant le clito alors qu'il la labourait furieusement, il savait qu'il amenait cette petite salope juste au point qu'il le voulait, il sentait son corps trembler lorsqu'un orgasme majeur la terrassa à nouveau. En entendant ses lourds gémissements, il sut qu'elle jouissait à nouveau. Lui agrippant les hanches, il bourra son énorme bite au fin fond de son utérus lui demandant ironiquement :
- "Ton petit couple avait-il programmé de démarrer sa famille pendant cette croisière ?Alors laisse-moi t'aider..."
Sur ces mots, Omar s'enfouit au plus profond de son fourreau embrasé et projeta des salves de sperme actif dans son ventre fertile.
Une heure plus tard, la belle Madame Carol Atkins sanglotait assise sur le lit. Ayant trouvé le commutateur, et la salle de bain, elle avait lié ses vêtements déchirés sur son corps, ils dissimuleraient ses charmes le temps de regagner sa cabine. Ses cuisses lui faisaient mal d'avoir été si brutalement écartées, il lui semblait que sa chatte avait été déchirée lors de ce viol brutal. Lorsqu'il eut fini de la baiser de dos, il l'avait retournée et était reparti pour une seconde chevauchée.
- "Mon Dieu, pourquoi ai-je répondu à ses assauts ?" sanglotait-elle, se rappelant avoir verrouillé ses chevilles dans son dos le suppliant de la faire jouir à nouveau.
Elle frissonna en se rappelant les deux flashs lumineux alors qu'elle gisait cuisses grandes écartées sur le lit puis son violeur lui avait dit qu'il l'appellerait lorsqu'il reviendrait à Charleston.
La croisière se terminait dans une journée et ses plans pour se faire une dernière touriste avaient tous échoué pour différentes raisons. Il avait eu plusieurs opportunités, mais à chaque fois d'autres passagers avaient surgi au mauvais moment, le laissant totalement frustré dans la cabine vide. Ainsi plusieurs innocentes beautés ignoraient à quel point elles avaient proches de se faire violer.
Les chances de se faire une ultime victime le dernier jour étaient quasiment nulles, le navire venait de s'amarrer et l'on déchargeait les bagages. Omar soupira de désappointement, les choses avaient été de mal en pis depuis le cinquième jour de croisière. Maintenant les invités avaient quasiment tous quittés leurs cabines et flânaient sur les ponts attendant le moment du départ.
Omar braqua les yeux sur une jeune beauté aux cheveux bruns, couleur de miel, une jeune beauté sur laquelle il avait flashé dès les premiers jours. Une jeune beauté qu'il avait rayée de sa liste des proies potentielles étant donné le manque de cabine libre proche de la sienne. Il l'avait vu plusieurs fois, toujours aussi élégante dans ses vêtements de jour et toujours si sensuelle dans ses petits bikinis. Aujourd'hui elle portait une robe vert émeraude, visiblement elle se préparait à quitter le navire.
Sa bite frémit en observant ses longues jambes, regrettant amèrement de ne pas avoir pu goûter à ses charmes.
Mariés depuis trois ans, Wendy et Peter Anderson avaient posés leurs vacances avec leurs employeurs lorsqu'ils avaient entendu parler de la croisière inaugurale programmée au départ de Charleston. Agés de 26 ans ils possédaient une jolie maison en banlieue et les choses allaient bien pour eux. C'était un rêve qu'ils caressaient depuis longtemps, ils voulaient aller aux Bahamas mais la plupart des départs se faisaient de Miami et cela demandait un long voyage pour s'y rendre. Cette croisière au départ de Charleston leur offrait la possibilité de concrétiser leur rêve. Ils n'avaient pas d'enfants et se disaient qu'il était temps maintenant de fonder leur famille puisque tous deux jouissaient d'un travail sécurisé et bien payé.
La chance tourna brusquement lorsqu'Omar vit la jeune femme paniquée. Elle venait de découvrir qu'elle avait oublié un de ses bracelets dans sa cabine. Le couple écouta le speaker annoncer la couleur de leur code de départ, les avisant de procéder à l'enregistrement de leurs bagages.
Se tenant à proximité du couple, il entendit la jeune femme dire à son mari de s'occuper de leurs bagages tandis qu'elle retournait à leur cabine pour y chercher le bracelet oublié. Omar quitta rapidement le pont et empruntant le monte charge de l'équipage il se pressa de rejoindre le lieu vers lequel elle se dirigeait. Ouvrant la porte, il vit un homme de service nanti d'un chariot de nettoyage sur le point de nettoyer les cabines. L'interpellant il l'informa qu'il y avait un changement et que ce travail était reporté.
Le bruit de l'ascenseur s'arrêtant à ce niveau retentit alors que l'homme de service disparaissait au coin du couloir. Se ruant dans le couloir, il passa le coin, épiant l'insouciante jeune femme qui s'approchait. Il entendit les pas s'approcher puis le bruit de la clenche de porte que l'on secoue, Omar surgit dans son dos au moment ou elle ouvrait la porte de la cabine. Avant qu'elle n'ait pu appuyer sur le commutateur, il l'avait poussée dans la cabine obscure et l'avait bâillonnée de la main. Comme son mari attendait son retour sur le pont, il devait la baiser vite fait bien fait. Mais il avait été si frustré ces deux derniers jours, cela ne prendrait pas longtemps lorsqu'il aurait inséré sa grosse bite entre les lèvres de son petit chaton.
S'entendant menacée par une grosse voix rude, Wendy s'étranglait de peur, alors qu'une large main rampait sur sa robe.
- "Oh s'il vous plait... Je vous en prie... Ne faite pas ça..." se lamentait-elle alors qu'il roulait sa petite culotte sur ses cuisses, la repoussant sous ses genoux d'où elle chut au sol.
Le sentant tâtonner dans son dos, puis entendant le "zip" d'une fermeture éclair que l'on descendait, elle se débattit tout en reprenant ses supplications :
- "Ohhh... S'il vous plait... Arrêtez... Arrêtez... je vous en prie... je suis mariée... S'il vous plait... Je veux rester fidèle à mon mari... S'il vous plait... Nonnnnnn... Arrêtez... Arrêtez..."
Il la repoussa contre le mur l'élevant, elle sentit alors un gros bourgeon frôler sa chatte, soudain il la projeta contre le mur, l'épais gland s'encastrant d'un seul coup de boutoir dans sa chatte affolée.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Aargggggggggggggg !" grogna-t-elle alors que son violeur bourrait sa bite dans son fourreau.
- "Oh s'il vous plait... Je vous en prie... Mon Dieu... J'ai mal... Si mal... Si maaaaaaal..." criait-elle au bord de l'agonie, elle pleurnicha de plus belle lorsqu'il s'enfouit au cœur de son intimité.
- "Ooh... Oh... Oh... Nonnnnnnnnnn !" se lamentait-elle alors que son impitoyable envahisseur commençait d'aller et venir lascivement dans sa moule.
Puis un doigt épais vint frotter rudement son clito, elle en grogna alors que ses muscles vaginaux se crispaient sur l'imposante hampe, inconsciemment ses glandes secrétaient un flot de cyprine qui facilitait le coulissement de la grosse bite en elle. Ses larges mains posées sur ses hanches, son violeur la martelait, visiblement pressé de conclure son viol.
- "Oh mon Dieu... Nonnnnnnn... Ahhhhhhhhhh... Nonnnnnnnn !" gémissait-elle alors que son corps était saisi de convulsions lubriques.
Sentant l'adorable jeune femme jouir, Omar s'enfonça jusqu'à la racine dans sa cramouille affolée et projeta ses chaudes salves de foutre au fin fond de son intimité. Se penchant sur elle il lui murmura à l'oreille :
- "Tu représentes exactement ce que j'ai lu dans les magazines américains... Une belle plante du sud... Maintenant tu pourras dire à ton mari que tu as goûté à une grosse bite africaine... Dis-lui comment une grosse bite noire t'as dévastée..."
Sur ces mots, il abandonna la jeune femme sanglotant dans la cabine et gagna une planque où il pourrait l'épier. Dix minutes plus tard, il vit sa dernière victime se diriger lentement vers le pont supérieur, il la regarda rejoindre son mari pour se rendre au bureau des douanes. Il était un peu embêté de l'avoir violée alors qu'ils étaient au port, il se disait que si par malheur elle portait plainte, il risquait de tomber sous la juridiction locale. Ce serait bien plus dangereux que si son crime avait eu lieu dans les eaux internationales. De toute manière, il paraissait évident que madame Anderson ne voulait pas que son mari sache qu'elle avait été violée dans le court laps de temps où elle s'était absentée.
Six mois plus tard, "l'Island of pleasure" était à l'ancre dans le port de Charleston, l'équipage préparait la croisière suivante au départ de Charleston. C'est le petit matin, l'équipage avait eu toute la nuit pour satisfaire leurs envies. Une grande partie du personnel du navire était rassemblée dans la suite d'un hôtel des bas fonds de Charleston. Ils étaient tous vêtus comme s'ils se rendaient à une réunion d'affaires. Et de fait c'en était une, chaque membre d'équipage avait payé 500 $ pour obtenir une invitation pour assister à l'affaire proposée par leur chef.
Omar souriait en voyant la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il avait traité en ami le patron de cet hôtel lorsqu'il l'avait rencontré sur le navire. En échange de ses faveurs, le patron avait lui loué la suite pour un prix très compétitif, de ce fait il était invité à titre gracieux à cette petite fête qu'Omar comptait bien renouveler chaque fois qu'ils feraient escale à Charleston.
Jetant un œil circulaire sur la pièce, il regarda ses homme d'équipage se réjouirent ensemble, choisissant les boissons de leur goût. Tous les visages de ces mâles noirs s'éclairaient de larges sourires lorsqu'ils braquaient leurs regards sur une des trois hôtesses qui les servaient.
Tous ces gaillards musclés se rassemblaient autour d'elles essayant d'échanger quelques mots avec la ravissante hôtesse la plus proche, ils pensaient tous qu'ils seraient très heureux de faire l'amour avec de si exquises créatures.
Omar les avait prévenu qu'il pourrait être remboursé s'ils partaient lors de la première heure de la petite fête, mais il savait que personne ne partirait. Il sourit, ses 30 invités avaient tous acquittés leurs droits d'entrée, ce qui laissait quand même 10.000 $ dans la poche d'Omar une fois les frais déduits.
Arpentant la pièce, Omar sourit en voyant que les belles hôtesses faisaient vraiment tourner la tête de ces hommes. Les hôtesses avaient préparées la soirée un heure avant le début de la fête, il leur avait dit comment exciter ces hommes qu'elles allaient rencontrer, et de quel façon il avait appris qu'aucun de ces hommes n'avaient jamais envisagé de se trouver un jour dans les bras d'une femme blanche, il avait apprécié de les voir sourire en apprenant cela.
Il savourait la vue de ces trois jeunes femmes faisant de leurs mieux pour attirer ces hommes, chacune tenant sa coupe de champagne de la main gauche. Omar savait qu'elle faisait cela pour les allumer. Il les avait prévenues qu'ils savaient tous qu'elles étaient mariées, et mariées avec des blancs.
- "Rien ne plait plus à un noir que de s'envoyer une blanche, et plus spécialement si elle est mariée à un blanc !" les avait-il instruites.
Le verre dans la main gauche, ils savouraient la façon dont elles faisaient miroiter leurs alliances cherchant à les exciter à mort à l'idée de posséder la propriété d'un homme blanc.
Alors que l'alcool coulait à flot arriva le moment où Omar devait tirer au sort le nom du premier gagnant, l'instant d'après il partait au bras d'une des hôtesses dans une des trois chambres.
Encore un peu pus tard, les trois chambres étaient occupées par les heureux gagnants. Une fois que tous les noms furent appelés, alors ils purent choisir leur hôtesse, bien sûr ils devaient avoir mis leurs noms sur la liste et devaient attendre leur tour.
A minuit, afin que les hommes restent sereins, et pour faire avancer plus rapidement les choses c'est par groupe de 2 ou 3 qu'ils entrèrent dans les chambres, les adorables hôtesses s'occupant d'eux simultanément.
La fête dura pendant une bonne partie de la nuit, jusqu'au moment où l'équipage devait réintégrer le navire.
Le lendemain, les trois hôtesses étaient attablées dans la suite de l'hôtel, le personnel leur avait amené un fabuleux déjeuner. L'organisateur de la fête avait tenu à ce qu'elles soient traitées comme des reines, elles avaient pris du champagne pour aiguiser leur appétit, à leur grande surprise on leur remit à chacune une enveloppe. Ouvrant celles-ci elles y trouvèrent 10 billet s de 100 $.
Elles n'avaient été présentées les unes aux autres que la nuit précédente, juste avant l'arrivée des invités, de ce fait elles ignoraient toutes ce qui les avaient amenés à participer à cette fête. En discutant, elle se trouvèrent pas mal de points communs et se lièrent d'amitié. Sans même en discuter, elles savaient que toutes trois elles aimaient se faire baiser par de grosses bites noires, en discutant elles comprirent qu'elles participaient à cette petite fête pour les mêmes raisons.
Elles avaient toutes trois participé à la croisière inaugurale de Charleston aux Bahamas.
Une fois cette similitude établie, elles se regardèrent les unes les autres, hésitant toutes trois à dire ce qu'elles avaient en tête. Un silence total régna quelques instants, puis, Melissa Moore demanda :
- "Carol... Wendy... Avez-vous... Avez-vous été violée à bord du navire ?"
Comme Wendy et Carol opinaient de la tête, elles surent que toutes trois elles avaient vécues des événements similaires. Elles se racontèrent alors leur histoire, s'attardant sur le viol subi dans une cabine vide.
- "Melissa... Wendy... Omar vous a-t-il appelées trois mois plus tard alors que le navire était à dock avant sa deuxième croisière? " les interrogea Carol.
Voyant les deux jeunes femmes hocher la tête, elle poursuivit :
- "Moi aussi... Il ma 'appelée chez moi... Il ne m'a ni menacée ni fait chanter... Il m'a tout simplement demandé... Si je voulais... Si je voulais goûter à nouveau à sa grosse bite noire... Si je voulais qu'il me baise à nouveau comme lors de la croisière ! Si je voulais goûter à nouveau à sa queue, il me donnait rendez-vous dans sa chambre dans cet hôtel... J'ai menti à mon mari... Lui disant que de bonnes amies venaient en ville Vendredi... Que j'allais les rejoindre pour faire des courses avec elles... Et que nous passerions la nuit à l'hôtel ! Je quittais tôt mon travail ce vendredi, passais la soirée et la nuit avec Omar et je rentrais chez moi le lendemain matin !"
- "Mon Dieu... J'ai déjeuné avec Omar samedi midi, ici même dans cet hôtel, puis j'ai passé le reste de la journée et la nuit au lit à me faire baiser comme jamais. Il m'a baisée si ardemment que je pensais qu'il y avait une bonne semaine qu'il n'avait pas rencontré de femme" s'exclama Wendy.
- "Je me suis servie du même mensonge que Carol en disant à mon mari que j'allais faire du shopping en ville avec des amies et que je passerai la nuit en ville ! J'aurai aimé rester avec lui le dimanche matin, mais il me dit de partir tôt le matin, prétextant un rendez-vous..."
- "Je suppose que c'était moi la cause de ton départ prématuré, Wendy,.. Il m'attendait en bas de l'escalier pour le déjeuner au champagne servi le dimanche, inutile de vous dire que comme vous deux j'ai passé le reste de la journée sur le dos à me faire baiser par Omar, j'ai utilisé la même excuse que vous ; le rendez-vous avec des amies pour faire du shopping, mais je n'ai pas pu rester la nuit avec lui, pas un dimanche soir, pas avec deux enfants allant à l'école le lundi, je suis rentrée rapidement chez moi pour préparer le souper et mettre les enfants au lits " leur rapporta Melissa.
Dès qu'il fut établi que toutes trois elles avaient fait la même chose, elles dégustèrent leur festin arrosé de champagne. Elles étaient rapidement devenues des amies riant de concert en se racontant leurs exploits avec Omar. Puis elles comparèrent leurs expériences avec les invités de la petite fête, elles avaient toute trois perdu le compte du nombre d'hommes qui avaient visités leur chambre cette nuit.
Il y en a un cependant dont elles se rappelaient toutes trois, un colosse de 175 kg qui se les étaient faites, toutes trois, brutalement, par les trois trous, elles se rappelaient la monstrueuse taille de sa bite et sa manière brutale d'en user.
- "Mon Dieu, il m'a littéralement fait grimper aux rideaux quand il m'a fourré sa grosse bite dans le trou du cul ! Je crois qu'il s'appelait Tiny..." s'esclaffa Wendy sous les rires de ses deux nouvelles amies.
- "Sûr qu'il a tiré le meilleur de moi, j'ai essayé de boucler mes chevilles dans son dos, mais c'était physiquement impossible, je n'en faisais pas le tour..." se marra Melissa."
Carol ajouta alors :
- "C'était le premier gagnant à disposer de moi et son fantasme était de voir une belle femme blanche agenouillée lui faire une pipe... J'étouffais quasiment lorsqu'il éjacula dans ma bouche, il se retira alors de ma bouche et m'envoya ses dernières salves sur le visage... La seconde fois, il m'a prise en levrette tandis que je suçais un de ses copains..."
Trois semaines plus tard, dans la maison de banlieue des Anderson, les trois couples étaient assis autour de la table du patio tandis que les steaks grillaient sur le barbecue. Wendy avait présenté son mari lors de l'arrivée de ses amies, et tout se passait bien. Lorsqu'ils évoquèrent la croisière, Wendy commenta :
- "Je suis heureuse de vous avoir rencontrée lors du récital de piano sur le bateau, sans cela, nous ne serions jamais devenus amies et nous n'aurions pas pu nous livrer à ces deux formidables journées de shopping que nous avons organisée ensuite... Je suis très contente que Melissa ait suggéré qu'on se rencontre tous, ainsi vous avez pu vous rencontrer les hommes."
- "Ouais, nous ne voudrions surtout pas que vous pensiez qu'on vous trompe lorsque nous sortons toutes trois ensembles et qu'on discute entre filles toute la nuit..." renchérit Carol.
Melissa se lova contre son mari, l'embrassa sur la joue et poursuivit :
- "Tu sais bien que tu es mon seul amour, chéri !"
- "En ce qui me concerne, vous pouvez bien passer autant de temps que vous le voulez ensembles ! Carol était si heureuse la dernière fois que vous êtes sorties que j'aimerai vous sortiez ensembles deux fois par mois !" commenta John Atkins.
- "On a vraiment pris du bon temps lors de cette croisière ! " ajouta Carol posant sa tête sur l'épaule de son mari.
- "J'espère bien que Charleston deviendra le port d'attache de ces croisières, j'ai justement vu dans les journaux l'annonce que la prochaine croisière au départ de Charleston était prévue fin septembre..." intervint alors Brad Moore.
- "Oh mais c'est à peu prêt le moment où nous avions programmé notre prochaine sortie entre filles... Mais bon sang que ça paraît loin... Je pense qu'on devrait faire un petit voyage entre temps... " répondit sa femme, espérant une réponse favorable de la part de ses amies.
Lorsqu'elles se retrouvèrent toutes trois dans la cuisine pour faire la vaisselle, elles commentèrent excitées le prochain départ d'une croisière. La dernière petite fête avait attiré tant de monde, au vu de son succès, les jeunes femmes en conclurent que cela ne ferait que croître et que la prochaine fois il y aurait sans doute le double "d'invités".
- "Mon Dieu, Ils m'ont baisée jusqu'au petit matin, au moment de leur départ, que va-t-il se passer s'il vient le double de clients ?" dit Carol tracassée.
- "Oui mais rappelle toi qu'il y a eu deux nouvelles croisières depuis la notre, Je suis bien sûre qu'Omar à du recruter de nouvelles "hôtesses" pour ses petites fêtes... " rit Melissa.
Comme par un coup de veine, les trois amies avaient organisée une sortie fin juillet, avec la bénédiction de leurs tendres époux. Elle voulaient visiter la ville de Savanah, et y passer un week-end, plusieurs heures de voyage séparaient les deux villes. Lorsque les trois jeunes femmes avaient été prévenues que l'"Island of pleasure" allait faire sa première croisière au départ de Savanah, il n'y avait pas d'autres "hôtesses" de disponibles à cet instant. Aussi étaient-elles en chemin pour se rendre à Savanah. Elles allaient y participer à un petite fête dans un hôtel retenu pour cette occasion, et cela les réjouissaient toutes trois.
Sur le long chemin elles se relayèrent au volant de la voiture de Carol, toutes trois impatientes d'arriver sur les lieux de la fête.
- "Lorsqu'Omar m'a appelée, il m'a dit que c'était Tiny qui nous avait réclamées... Il parait qu'il veut vous faire grimper toutes deux aux rideaux cette fois... Je vous plains les filles... Laissez moi vous dire qu'il m'a fait hurler de douleur quand il m'a enfoncé sa monstrueuse bite dans la chatte " se marrait Wendy.
A suivre...
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