jeudi 29 septembre 2022

Les WC étaient occupés Ch. 08

  Texte de gkcdqho

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Nicole découvre le fist.

Dimanche, Jacques veut faire une balade du côté du hameau de Marcel, je le persuade de faire plutôt le tour du lac. Je ne veux pas rencontrer Marcel dans mon lieu de supplice et de turpitude. Avec mon mari, nous avons fait l'amour, mais même si j'ai pris du plaisir, je n'ai pas eu d'orgasme comme ceux que Marcel me donne lors de ses séances.

Je passe une semaine tranquille, mon tourmenteur est en congé. Ce jeudi soir je prépare un sac de voyage. Jacques part demain matin en déplacement sur la côte tunisienne, pour réparer un bateau d'un riche du pays, bientôt les croisières vont recommencer. Il ne doit rentrer qu'a la fin de semaine prochaine.

Aujourd'hui, vendredi après midi, je me retrouve nue au bord du lit dans l'écurie de Marcel. Me prenant la main et le sac, il me mène dans la grange à l'échelle qui sert pour l'étage à foin. Il m'y adosse, sort deux paires de menottes du sac, lève mes bras au-dessus de ma tête, attache mes poignets à un barreau en hauteur ça me tire aux épaules, mes seins remontent. Mes pieds reposent au sol, un barreau au milieu de mes reins me fait sortir le ventre. Marcel me prend les pieds, les remontent de chaque côté de mon corps, mes genoux plient. Il les pose sur le plus haut barreau possible, je me retrouve les cuisses pliées, écartées dans cette position je ne peux redescendre mes jambes, je suis bloquée.

Mes fesses reposent partiellement sur un barreau et un autre me cambre les reins. Mes deux trous intimes sont livrés à sa vue, à sa merci, ils sont offerts avec obscénité. Il passe son gland sur mon anus, remonte en écartant ma grotte jusqu'au clito, c'est bon. Par quel trou va t-il me prendre, j'attends dans l'angoisse, mon sexe baille, mon cul se serre. Il colle sa bouche à la mienne, nos langues se mélangent, son baiser me fait fondre, il émoustille mes sens. 

Ma chatte s'ouvre sous la poussée de sa queue. Je la sens glisser avec douceur tellement je suis humide. Il attrape le bout de mes seins, les roulent dans ses doigts, ils durcissent de plus en plus. J'aime qu'on triture mes tétons. Il donne des coups de reins lents et puissants, il ressort pour mieux replonger au fond en écrasant mon petit bouton, je suis au bord de l'orgasme. Ma grotte enserre cette queue palpitante avec des petits spasmes de plaisir. Il accélère le mouvement, à grands coups de rein il vient taper au fond de ma grotte d'amour.

Son pubis écrase mon clito, le plaisir monte, à chaque coup de rein, du fond de mon ventre. Sa bouche se colle à la mienne grande ouverte pour taire le cri de ma jouissance qui explose de mille feus, je bois son râle de plaisir qu'il déverse à grands coups de rein au fond de moi. Nous reprenons notre souffle, soudé ensemble, moi toujours prisonnière de cette échelle. 

Il se retire de mon antre, masse ma moule, graisse sa main de son sperme et de mouille qui sort de ma chatte. Il rentre quelques doigts dans ma grotte, il me fouille, pousse ses doigts en cône dans l'entrée de ma moule qui baille du plaisir reçue. Il entreprend un va-et-vient avec ses quatre doigts en pointes puis y ajoute son pouce qui les colle, ma grotte s'élargit encore. Sa main recule puis il la renfonce toujours un peu plus loin, il pousse encore toujours plus loin sa main dans ma chatte.

Il est fou !! Il va pas rentrer sa main entière dans ma chatte, il va la détruire. Je sens la bosse des phalanges sur mon entrée, il pousse d'un seul coup sa main en la tournant. Je sens mes chairs s’écarter largement, bien plus qu’avec une grosse bite.

- AAAIE !!

Toute sa main est rentrée dans ma chatte, je sens mes grandes lèvres sur son poignet. C'est pas vrai ! Je regarde ce qu’il a fait ! Sa main est entrée en totalité. Il l'a enfoncée jusqu'au poignet. J’ai mal et je ressens un plaisir étrange. La douleur disparaît pour faire place à un plaisir malsain. Il me semble être prise pas un cheval. Ça passe dans mon inconscient en un éclair, submergé par le plaisir qui arrive. 

Maintenant il tourne sa main de droite à gauche, remue un peu ses doigts, il sourit d'un air triomphal. J' y crois pas ! Je me sens envahie par cette main, ma grotte va craquer, drôle de sensation. Il entame un va-et-vient, son poing fermé vient buter sur le seuil de ma grotte puis repart taper fort sur mon utérus. Petit à petit je m'abandonne à cette douleur qui devient du plaisir.

Mes gémissements s'accélèrent au rythme de ses coups de poing dans ma chatte. Marcel profite de mon relâchement musculaire dû a la jouissance pour enfoncer un doigt dans mon anus relâché par le plaisir. Je ne suis pas au bout de mes surprises, outre un puis deux puis trois doigts, puis rapidement il y rentre ainsi toute sa main enduite sûrement de son sperme. Il l'a fait si rapidement que je n'ai pas rein faire pour l’empêcher. Maintenant toute sa main est dans mon anus.

Marcel calque ses aller et venue sur ceux de son autre main qui est dans ma chatte. J’ai un peu mal au début, le plaisir remonte vite, décuplé par rapport à la dernière sodomie de Marcel. Cette double pénétration est nouvelle pour moi, mais tellement bonne. Ma tête secouée dans tous les sens, j'atteins mon deuxième orgasme dans un cri libérateur. Je deviens son jouet sexuel entièrement soumise à ses fantasmes, mon corps lui est acquis. Je jouis deux ou trois fois, je n’en sais plus rien.

Ma tête repose sur mon avant-bras, je redescends sur terre les yeux encore humides de plaisir. Les mains de Marcel sortent de mon ventre lentement dans un bruit de succion, un air frais s'engouffre dans mes deux trous. Je ressens un soulagement et un vide. Il m'embrasse sans cesse.

Marcel lèche son poing qui était dans ma chatte d'un air gourmand, ses yeux dans mes yeux, il jubile de triomphe. Son poing bien léché, il tire sur mes pieds, les descend sur un barreau inférieur, je repose mes fesses sur un barreau de l'échelle, mes jambes sont ankylosées, mes bras libérés retombent sur ses épaules.

C'est avec son soutien que je regagne le lit pour m’écrouler complètement vannée. C'est fini pour aujourd'hui, mais je dois m'attendre à d'autres nouveautés les prochaines fois. 

Je rentre chez moi et me mets sous la douche. Je laisse couler l’eau longtemps sur moi avant de me laver au savon.

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Je prends la suite des aventures de Nicole, elle ne veut pas se confier sur sa masturbation.

Nicole est réveillée dans son lit par la sonnerie de son téléphone. C'est son mari Jacques qui l'appelle de Tunisie. Nicole l'écoute parler pendant trente minutes et elle a du mal à lui répondre. Son esprit se remémore les événements de la veille dans la grange. Alors que Jacques va finir son appel, il demande :

- Nicole ? Tout va bien ? Tu sembles lointaine et pas à l'écoute.

Sa femme ment :

- Chéri, j'ai eu une rude journée hier. Je me suis endormie direct en arrivant à la maison. Quand rentres-tu mon chéri ?

- Je suis désolé ma chérie. Mon patron m'a dit que je devais prolonger mon séjour pendant encore deux à trois semaines. Il semble que la panne est plus importante que prévu et il y a un deuxième bateau à réparer. Mon patron n'a pas les moyens d'envoyer quelqu'un d'autre. D'accord ma belle ?

Nicole, presque en colère, dit :

- Est-ce que j'ai le choix Jacques ? Je suis d'accord, mais je ne vais pas rester à t'attendre assise à la maison. Je pense que je vais aller voir ma sœur dans sa maison près de la plage pour le week-end. Ça te va ?

Jacques détecte tout de suite la colère de sa femme alors il répond :

- Bien sûr chérie. Prends le temps d'aller voir Michelle. Je suis sûr qu'elle sera contente de te voir.

Ensuite, Nicole dit au revoir à son mari et qu'elle l'aime. Elle sait que ce voyage vers sa sœur n'est pas pratique en ce moment. Étant donné qu'il faut qu'elle se sorte de ce chantage, que son mari soit absent un peu plus lui laisse le temps pour se préparer pour un bon alibi de ses absences répétées. Elle n'ira pas rendre visite à sa sœur, c'était un prétexte pour justifier son absence téléphonique.

Allongée dans son lit, l'esprit de Nicole revient à l'épisode avec Marcel qui l'a attachée sur l'échelle. Elle se souvient, la sensation de ses mains sur ses seins, ses jambes puis sur sa toison pubienne et de ses deux poings qui rentrent dans ses deux trou. Marcel lui a fait découvrir une autre façon pour jouir. Elle n'avait jamais été aussi remplie.

Lentement, les mains de Nicole descendent le long de son corps et de sa nuisette en soie blanche. Quand ses mains trouvent l'ourlet de celle-ci, elle la remonte jusqu'au-dessus de ses seins. La main droite de Nicole repose sur sa touffe de poils pubiens. Marcel a dit qu'il est dégoûtant d'avoir une telle quantité de poils. Espiègle, Nicole tire sur ce monticule de poils avant que sa main se pose sur sa chatte déjà humide. Son index trouve son clitoris déjà brûlant et humide de son jus. Elle commence lentement à stimuler son clito avec des mouvements circulaires du doigt.

Sa main gauche monte jusqu'à sa poitrine et trouve ses tétons dressés. Son pouce et son index se ferme sur un mamelon pour le pincer doucement, provoquant encore plus le durcissement du téton. Tandis que les doigts de Nicole travaillent sur sa chatte poilue, elle tord plus brutalement ses mamelons. Elle tourne la tête sur le côté et se rappelle du petit atomiseur de déodorant dans le tiroir de la table de chevet. 

Elle tend la main et attrape l'objet pour placer la tête sur les lèvres de sa chatte. Tout en se rappelant le poing d'hier après-midi, elle enfouit la tête de la bombe entre ses lèvres et la fait glisser lentement dans sa bouche afin de l'humidifier pour qu'elle pénètre plus facilement sa grotte. La main gauche de Nicole retourne sur sa moule afin d'en écarter les petites lèvres. La main droite sort la bombe de sa bouche pour l'abaisser vers sa grotte brûlante. Tandis que la tête de l'objet pénètre lentement son vagin, elle laisse échapper un cri quand elle trouve son point G. Les pensées de notre Nicole reviennent à la grange et aussi à la réserve. 

Alors qu'elle baise sa moule avec la bombe de déodorant, son corps commence à trembler et annonce plusieurs orgasmes intenses. Elle accélère le mouvement tout en s'aidant des hanches qu'elle bouge en rythme. Elle crie de la douleur qu'elle inflige à ses mamelons, une douleur qu'elle associe au plaisir infligé par la bombe dans son vagin. Puis, à un moment, la tête du gode improvisé trouve le point qui fait exploser le corps de la femme dans un orgasme qui lui coupe le souffle.

Tandis que ce premier orgasme s'estompe, Nicole continue à baiser de plus en plus vite sa grotte humide avec la bombe. Puis la dernière poussée du gode improvisé dans son ventre entraîne un nouvel orgasme puissant. Toutefois, le besoin de jouir de la femme lui fait écarter encore plus les jambes afin d'introduire encore plus durement l'objet en elle. Jusqu'au moment où elle crie de bonheur pendant son troisième orgasme.

Quand Nicole est en mesure de reprendre ses esprits après ces trois orgasmes, elle remarque que sa nuisette est complètement trempée de sueur, même si elle est remontée au-dessus de ses seins. Elle pose l'atomiseur sur la table de chevet, elle écarquille les yeux en voyant que l'atomiseur a un bouchon qui aurait pu rester dans sa chatte ? Ouf ! Elle doit y penser la prochaine fois.

Elle saute du lit, enlève la nuisette et va prendre une douche. Tandis que l'eau chaude coule en cascade sur son corps, elle se lave avec un savon parfumé lilas. Elle frotte son corps et commence à se détendre en profitant de la sensation de ses mains sur sa peau. Mais soudain elle se dit :

- Arrête donc !!! Pourquoi je me caresse ainsi et pourquoi je n'arrive pas à arrêter ?

Rapidement, Nicole ferme l'eau de la douche et se tamponne la peau avec une serviette éponge. Ensuite elle se masse avec ses lotions et huiles préférées. Elle se tourne pour se regarder dans le miroir. Elle contemple sa toison de poils au-dessus de son sexe. Elle sèche ses poils puis attrape son peignoir en soie qu'elle enfile. Elle met les pieds dans ses pantoufles à talons et descend l'escalier pour rejoindre la cuisine. Elle se verse une tasse de café chaud, met une moitié de sucre et allume la télé pour regarder les nouvelles du matin.

A suivre...

mardi 27 septembre 2022

La vengeance d'un cocu.

 Récit de Macom84600

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C’est l’histoire d’un couple sans histoire, 35-40 ans, banlieue un peu huppée, lui bonne situation, elle femme au foyer, pas mariés parce que c’est à la mode, bien vus dans le quartier. Niveau sexuel c’est une fois par semaine, avec un extra pour la Saint-Valentin ou l’anniversaire de la rencontre, ou encore pour une très rare soirée trop arrosée. La routine s’installe, lui travaille beaucoup, elle s’emmerde chez elle, et puis un beau jour elle va voir ailleurs, et lui finit par se rendre compte qu’il est cocu. D’où la soirée de dispute, le ton monte, elle pleure, il gueule, et elle finit à la porte. Une histoire tragiquement banale, si ce n’est que c’est la mienne ! Et oui, je viens de foutre ma fiancée infidèle à la porte.

Deux semaines après, alors que tous mes amis ont tenté de me réconforter à grands coups de « elle l’avait bien cherché », « elle n’était pas faite pour toi », « heureusement qu’il n’y a pas d’enfants », ou le traditionnel « une de perdue... », je vois arriver la meilleure amie de mon ex chez moi.

— Salut !

— Salut !

— Je peux entrer 5 minutes, j’ai un truc à te dire ?

N’aillant rien à lui reprocher je l’invite à entrer.

— Tu sais, j’héberge Sylvie depuis que tu l’as virée.

Je la coupe sèchement :

— Elle s’attendait à quoi ! Elle pensait quand même pas que j’allais continuer à l’entretenir alors qu’elle baisait ailleurs !

— Pas du tout, elle comprend très bien pourquoi elle est à la rue, et elle reconnaît que c’est elle qui a déconné, et pour être honnête je pense que je ferais la même chose si mon mec me trompait ! Je suis juste venu te dire qu’elle voudrait te parler une fois pour s’expliquer, pas pour demander pardon, mais pour expliquer une chose. Après elle partira.

— De quoi elle veut parler ?

— J’en sais rien, je suis juste la messagère. Elle attend dans la voiture, tu dis oui ou non, je transmets le message et je m’en vais, la suite ne me regarde pas.

Plus pressé d’en finir définitivement qu’autre chose je lui dis oui, et elle sort dans la rue. Trois minutes plus tard Sophie sonne à la porte. Je lui ouvre assez sèchement, elle reste comme paralysée sur le perron, le regard bas. Sans un mot je m’écarte de la porte pour la laisser entrer. Cela fait bien cinq longues minutes que nous sommes assis dans le salon, et aucun d’entre nous n’a encore prononcé le moindre mot. Un peu énervé je lui dis :

— Si tu n’as rien d’autre à dire je ne te retiens pas !

— Si si, attends, s’il te plaît. C’est juste que c’est pas facile à dire.

— Je ne vois pas ce qu’il y a de compliqué : tu m’as trompé, je t’ai viré, point ! Je ne suis pas le premier cocu du monde, pas même le premier du quartier !

— Non, c’est pas ça. Je voudrais t’expliquer pourquoi j’ai fait ce que j’ai fait.

— Je ne suis pas certain de vouloir l’entendre, mais vas-y, pond ton laïus, qu’on en finisse.

— Voila. je veux d’abord te dire que je t’aimais.

— C’est pour ça que tu m’as trompé ? Tu aurais pu inventer une excuse plus crédible !

— Non non, attends, en fait.

Sophie rougit de plus en plus, elle se torture les mains, son regard ne quitte pas le tapis.

— En fait notre sexualité était assez classique, et j’avais...

— Le feu au cul, oui, ça j’avais deviné tout seul !

— Non, c’est pas ça, en fait j’avais un fantasme. C’est un peu gênant.

— Etre le cocu du quartier c’est pas confortable non plus, alors accouche !

— Voila, j’ai toujours eu un fantasme un peu particulier, et j’ai appris sur internet qu’il y avait un endroit dans la région où je pouvais accomplir ce fantasme. et j’ai craqué.

— Et c’est quoi ce fantasme ?

Le visage de Sophie tourne à l’écarlate, et dans un murmure elle dit juste un mot :

— Soumission.

— Pardon ?

— J’avais un fantasme de soumission, et j’ai trouvé un club dans lequel on peut aller avec un masque pour rester incognito, et assouvir toute sorte de fantasmes.

— Et pourquoi tu ne m’en a pas parlé plutôt ?

— J’avais trop de respect pour toi.

La moutarde commençait à me monter au nez, et contrairement à mon habitude je me suis laissé aller à la vulgarité :

— Si je comprends bien c’est par respect pour moi que tu es allée faire la pute, te faire sauter par tous les trous par d’illustres inconnus, faisant de moi la risée du quartier ! Bravo ! Super crédible ton excuse. Et alors, c’était bon ? Tu as pris ton pied ? Vas-y, raconte ! Je veux savoir combien de fois tu y es allée, combien de mec tu t’es tapée, ce qu’ils t’ont fait, tout ! Vas-y, tu es venue pour vider ton sac, vide-le ! Vas-y, je t’écoute, je veux tout savoir.

Je me suis planté dans mon fauteuil, les bras croisés, le regard fixé sur elle.

Sophie est en larmes. Le visage caché dans ses mains elle commence à raconter :

- Je n’y suis allée qu’une fois. Je te jure ! J’ai trouvé l’adresse sur internet, ils ont un site. Ils disaient pouvoir assouvir mon fantasme. Alors je leur ai décrit ce que j’attendais. J’ai pris rendez-vous pour une séance de soumission, et j’y suis allée avec une cagoule qu’ils m’ont envoyée par la poste. Il y avait trois hommes et une femme. Dès que je suis entrée ils m’ont gueulé dessus, ils m’ont insulté. et puis ils m’ont donné une combinaison en latex, et comme je n’arrivais pas à la mettre ils m’ont giflée, et un des hommes m’a donné un coup de pied dans le ventre. Et après la femme m’a déshabillée et m’a enfilé la combinaison. J’avais les seins à l’air, et aussi le cul et la chatte. Ils m’ont bâillonnée, ils m’ont mis un collier de chien avec une laisse, et puis ils m’ont obligé à me mettre à quatre pattes. Ils m’ont mis des entraves aux poignets et aux chevilles, et ils m’ont promenée dans toutes les pièces à quatre pattes. Je suis passée le cul à l’air devant tous les autres clients, ceux qui venaient pour des fantasmes homosexuels, ou de domination, ou du SM. Ils m’ont tous insulté, traité de chienne, de salope, ils m’ont craché dessus, ils m’ont frappée. Et le pire c’est que j’aimais ça. A un moment celui qui me tenait en laisse a dit à un client : « Regarde comme elle mouille cette salope !

- Alors le gars m’a planté d’un coup deux doigts dans la chatte, je crois que j’ai joui. Instantanément. Il m’a ramonée, de plus en plus vite, et puis d’un coup il a enfoncé toute sa main dans ma chatte, et j’ai encore joui. J’étais écroulée par terre, mais mon maître m’a relevé en tirant sur la laisse, et puis il m’a ramenée dans la première pièce. Ils m’ont fait boire de l’eau dans une gamelle dans un coin, et puis ils m’ont fait pisser à quatre pattes comme une chienne. Ensuite le maître m’a tirée jusque à l’autre bout de la pièce. La femme était assise dans un grand fauteuil, les cuisses écartées. Elle a enlevé le bâillon et m’a enfoncé la tête entre ses cuisses. C’était la première fois que je léchais une femme. Comme je ne savais pas m’y prendre au début l’un des gars m’a fouetté le cul en punition. Et puis quand j’ai réussi à la faire jouir elle m’a récompensé avec un biscuit.

Je dois avouer que ce récit commençait à m’exciter, mais comme Sophie avait toujours le visage dans ses mains elle n’a pas vu qu’une bosse déformait mon pantalon. Elle a continué son récit.

- Ils n’arrêtaient pas de m’insulter, et de me donner des claques sur les fesses. Et plus ils frappaient, plus je mouillais. Les trois hommes se sont succédés dans le fauteuil, et à chaque fois je me faisais fouetter pendant que je leur suçais la bite. Les deux premiers m’ont craché dans la bouche, en me forçant à tout avaler. Ensuite j’avais droit à un biscuit. Le troisième m’a pissé dessus, et dans la bouche aussi. Et puis la femme a repris la place dans le fauteuil, et j’ai recommencé à la lécher. Je m’attendais à recevoir des coups de fouet, mais à la place le troisième homme qui n’avait pas encore éjaculé m’a attrapée par les hanches et il a planté sa bite d’un coup dans mon cul. Il m’a ramonée pendant dix minutes en me traitant de salle pute, de chienne, de sac à merde. Et je mouillais plus que jamais. Un des hommes tirait sur la laisse pour m’étrangler, et quand mon maître a balancé dans mon cul j’ai eu le plus gros orgasme de ma vie. Je crois bien que la femme a joui en même temps que nous.

Sophie continuait de me raconter comment elle s’était faite baiser par tous les trous et dans toutes les positions par ses quatre maîtres et quelques clients toute la soirée, en se faisant insulter et pisser dessus. Je bandais tellement fort que j’ai été obligé d’ouvrir ma braguette. Au fur et à mesure du récit je perdais complètement le peu de respect qui me restait de mon ex, je ne la voyais plus maintenant que comme une pute, une pauvre femme qui veut qu’on la brutalise, une esclave sexuelle.

Au bout d’un moment j’ai vu rouge, je me suis levé d’un coup, et je me suis jeté sur Sophie. Elle était trop concentrée sur son récit, le visage toujours dans ses mains, elle n’a rien vu venir. Je l’ai giflée, et quand elle a levé la tête vers moi en se demandant ce qui se passait je l’ai attrapée par les cheveux et j’ai enfoncé ma bite bien bandée dans sa bouche. Je lui baisais la bouche, tellement profond qu’elle était à deux doigts de vomir. Elle avait le souffle coupé, les yeux exorbités, elle n’a pourtant pas cherché à fuir, ni même à se débattre. Quand j’ai joui au fond de sa gorge elle a presque tout avalé. Seul un mince filet de foutre et de salive lui a coulé sur le menton, puis est tombé sur ma chaussure.

— Tu es vraiment une sale chienne. Lèche ma chaussure !

Et elle l’a fait. Totalement soumise, elle était à quatre pattes en train de me lécher les pompes, une main s’agitant entre ses cuisses. Je n’en revenais pas : mon ex, si sage, si BCBG, si fade, cachait en fait une belle salope. Dire que j’aurai pu en profiter bien avant ! En tout cas à partir de maintenant je ne raterai plus une occasion: j’ai une esclave totalement à ma botte (c’est le cas de le dire) et je compte bien en profiter !

FIN

dimanche 25 septembre 2022

Omar et la traite des blanches Ch. 02

Traduction par Coulybaca d'un texte de Black Demon.

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Omar le premier jour de croisière.

Omar Shoron ne pouvait désirer meilleur poste que le sien, il était maître d'équipage sur le navire de croisière "Isle of Pleasure". Il avait fait son chemin sur ce bateau, il occupait désormais la meilleure place pour assouvir son bon plaisir... Celui de posséder de ravissantes jeunes femmes... Et plus précisément de ravissantes jeunes femmes blanches ! Des femmes blanches mariées de préférence !

L'idée de posséder ces femmes qui appartenaient à des petits cons arrogants de blancs s'avérait le summum du plaisir pour Omar. Il n'était pas question de séduire ou de charmer ces somptueuses salopes qui retenaient son attention, ce n'était pas le style d'Omar, ce qu'il aimait le plus, c'était de les baiser alors qu'elles étaient effrayées et qu'elles se débattaient en le suppliant d'épargner leur vertu.

Il avait eu l'idée du "moment d'Omar" comme il aimait l'appeler en regardant une série américaine portant sur les crimes sexuels où les victimes étaient souvent des jeunes femmes insouciantes désœuvrées, il adorait agresser ces somptueuses proies alors qu'elles rejoignaient seules leurs cabines. Il empoignait ces jeunes femme insoucieuses et les entraînait dans des cabines inoccupées, les douces jeunes épouses se trouvaient alors entièrement à sa merci, il se réjouissait alors d'entendre leurs supplications, leurs cris et leurs pleurs alors qu'elles l'imploraient :

- "S'il vous plait... Je vous en prie, non... Nonnnn... Ne me violez pas..."

Comme les cabines étaient insonorisées, Omar pouvait les laisser crier miséricorde tout leur saoul, puis les laisser pousser des plaintes, des cris de douleur alors qu'il les violait sauvagement, fourrant sa grosse bite épaisse dans leurs petites chattes étroites et sèches. Les cris, les pleurs et les plaintes de ses malheureuses victimes terrifiées en comprenant leur triste sort sonnaient comme une douce musique dans sa tête... Cela l'encourageait à les violer, à dévaster encore plus leur corps.

Et dans les ténèbres des cabines il aurait aimé qu'elles se défendent encore plus, lorsqu'il leur annonçait à ces salopes de blanches qu'elles allaient servir de casse-croûtes à un africain bon teint. Se faire violer par un inconnu était une chose, mais pour ces victimes blanches, savoir que leur agresseur était noir rendait la chose encore plus insoutenable, les amenant à résister de toutes leurs forces pour échapper à cet infâme destin. Il tenait fermement leurs mains jointes au dessus de leurs têtes tant qu'elles se débattaient, Omar prenait un énorme plaisir à labourer leurs étroites fentes de son énorme braquemart. Et encore plus tard lorsqu'il les accablait en leur annonçant son intention de gicler au fin fond de leur utérus, elles se débattaient à nouveau, cherchant à le désarçonner pour échapper à cette ignoble conclusion.

Omar atteignait l'extase alors qu'elles jetaient leurs dernières forces dan la bataille, et que ses burnes se contractaient et expulsaient de longs jets de foutre brûlant dans leurs utérus fertiles.

Les ravissantes jeunes violées étaient totalement défaites à cet instant, leur combat était terminé, elles étaient maintenant ruinées, dévastées alors qu'elles sanglotaient folles de honte et d'humiliation.

Des informations récentes concernant les crimes sur des navires de croisières, et plus particulièrement sur l'un deux incluant la disparition d'un passager alors que des taches de sang avaient été relevées près de sa cabine révélaient que les investigations qui s'ensuivaient étaient minables, peu efficaces. De ce fait, les individus concernés avaient pris conscience que les crimes commis en haute mer ne relevaient en fait de la juridiction d'aucun pays.

C'était l'idéal pour Omar : au vu du pourcentage extrêmement bas de femmes se plaignant d'avoir été violées au cours de croisières, il était évident que la plupart des victimes, voire même la totalité, ne rapportait pas leurs viols aux autorités. Et même si le violeur était pris, le bateau de croisière ne pourrait que débarquer l'agresseur dans le port le plus proche en lui disant de tailler la route sans faire de publicité nuisible au renom de la compagnie.

Comme les lignes de croisière s'efforçaient de contenter leurs passagers, et en particulier les célébrités, les clients, et en particulier ceux qui prenaient leurs billets sur internet étaient tenus de révéler les raisons de leurs voyages. Et comme Omar avait la charge de l'équipage, il pouvait se procurer facilement toutes ces infos qui étaient transmises au service du personnel chargé de veiller au bien-être des voyageurs.

Certains de ces hôtes, dont ils s'attachaient à satisfaire le moindre désir étaient là dans des circonstances mémorables, Omar se chargeait en particulier de leur bien-être.

Pour cette semaine de croisière aller retour à Mexico, environ1.800 passagers s'étaient inscrits, Omar avait noté deux douzaines de couples qui étaient là pour fêter quelque chose, qui réclamaient donc une attention spéciale. Il avait vérifié que le personnel était bien en place, de ce fait, il pouvait surveiller l'embarquement des voyageurs.

Dans son agenda, Omar inscrivait le nom et le numéro des cabines des couples qui retenaient son attention. En les voyant présenté au capitaine, Omar décidait de les maintenir sur sa liste, ou de les rayer. Une fois qu'il avait observé les couples dont il avait noté le nom, c'était juste son instinct qui emportait sa décision.

Il jeta un œil sur la composition de la table d'honneur où seraient accueillis les couples à choyer, ceux qui avaient indiqués qu'ils étaient en voyage de noce ou qu'ils fêtaient l'anniversaire de leurs épousailles. Se pourléchant les babines, il observait quelques ravissantes jeunes femmes... De somptueuses jeunes beautés qui fêtaient leurs noces ou son anniversaire... Omar devait alors décider, avec sa queue s'il les gardait sur sa liste ou s'il les en rayait.

Omar voulait ramener sa liste à une petite douzaine de couples, il devait donc en éliminer la moitié, il gardait celles le plus à son goût, rayant celles qui ne correspondait pas à ses propres standards. De cette douzaine d'élues, seule la chance et les opportunités décideraient du nombre de celles qu'il se ferait.

L'insouciance, l'impression de séjourner dans un paradis faisait chuter l'attention de ses proies qui ne se tenaient plus sur leurs gardes et commettait alors l'erreur qui les précipitait dans les bras d'Omar leur séjour paradisiaque se transformait alors en ticket pour l'enfer.

La jeune et belle madame Lori Walker âgée de 25 ans était très élégante dans sa longue robe noir ornée d'un galon rose autour de la taille, la bite d'Omar avait tressauté d'impatience à sa vue. Elle faisait cette croisière avec son mari pour fêter leur première année de mariage, il avait gratifié son nom de 5 étoiles dans son agenda. Elle était si heureuse, si relaxée d'effectuer cette croisière loin du bruit et des nuisances de "Wall Street", elle se croyait totalement en sécurité à bord de ce navire où tout semblait clair et net. Elle se promenait parmi une foule de joggers et de promeneurs qui allaient et venaient sur le pont, elle avait planifié elle-même leur croisière. Cette première matinée, après s'être adaptée aux lentes oscillations du bateau et avoir passé une bonne nuit, Lori s'était levée tôt pour faire ses exercices parcourant environ deux kilomètres sur le pont. Le temps étant assez frais, elle avait enfilé son sweat-shirt et les écouteurs sur les oreilles elle avait écouté de la musique tout au long de on jogging.

Dès qu'elle avait mis le pied sur le pont extérieur, elle avait attiré l'attention d'Omar alors qu'il surveillait la foule de son poste de commandement. Elle devait peser une petite soixantaine de kilos pour 1,70 m, la proie idéale pour un futur agresseur ne pesant pas moins de 120 kg qui saurait aisément la maîtriser. La bite vibrante d'envie Omar avait décidé de consommer cette première proie dès le premier jour de la traversée.

Regardant la ravissante jeune femme vêtue d'un survêtement blanc, il grommela :

- "Bordel, elle semble bonne en tout... Et je parie qu'elle est encore meilleure dans certaines disciplines ! hey, hey, hey..."

S'emparant de son agenda, Omar nota qu'elle était au niveau bleu, dans une cabine extérieure située à bâbord à l'arrière du navire. Il chercha alors le document de gestion du pont bleu, vérifia la liste des cabines occupées en espérant qu'une des cabines intérieures serait libre.

Il se demandait combien de temps elle s'accordait pour ses exercices matinaux, Omar appela un de ses assistants pour se faire remplacer arguant de vérifications à effectuer sur le pont inférieur, il le prévint qu'il en aurait pour un bon moment. Armé de son passe-partout qui lui permettait de pénétrer dans toutes les cabines du navire, Omar se dirigea lentement vers le pont situé juste au dessus de celui où la ravissante blonde se livrait à ses exercices.

Il se trouva une place d'où il pouvait confortablement épier la somptueuse jeune femme, il chercha alors une bonne raison pour envoyer ailleurs le marin de service qui parcourait le pont en tous sens à la disposition des voyageurs. Il se trouvait du coté du pont où la jeune épouse était apparue pour se livrer à sa promenade sportive, Omar croisait les doigts espérant qu'elle reviendrait par ici lorsqu'elle en aurait terminé avec son jogging et qu'elle ne partirait pas par l'autre coté couvert d'une pergola.

Juste au moment où cette pensée lui traversa l'esprit, l'insouciante beauté revint vers lui et soufflant avec force elle consulta la montre à son poignet. Elle ralentit alors son rythme, s'arrêta et s'assit sur un transatlantique en bois pour se reposer un instant sous la caresse du soleil levant.

Descendu sur le pont inférieur, il vit que la jeune femme avait tendu les bras au dessus du fauteuil, derrière sa tête. Sa bite frémit dans son pantalon à la vue du diamant étincelant à son index.

- "Tu seras bientôt à moi ! " se promit-il.

Puis il bouscula le marin de service dans sa hâte de descendre au niveau bleu. Rencontrant Raheed un des hommes d'équipage chargé de ce pont qui amenait de nouvelles serviettes dans une cabine, Omar l'envoya aider Musad, un jeune effectuant sa première croisière, en retour, Musad le seconderait ensuite pour gérer le pont bleu. A peine Raheed disparu, Omar entendit s'ouvrir le loquet de la porte utilisée par les passagers.

Il se cacha prestement dans la cabine inoccupée située juste en face de celle occupée par monsieur et madame Walker, il tenait la porte entrouverte pour surveiller aisément l'insouciante jeune beauté. Un peu essoufflée au retour de son jogging, Lori avait quitté son transat pour gagner sa cabine, baissant la fermeture éclaire la banane qui lui ceignait la taille. Bien que son mari lui ait conseillé, la nuit dernière, de déjeuner sans lui car il avait programmé de dormir jusqu'à midi, Lori voulait le réveiller pour qu'il prenne son petit déjeuner avec elle. Et, même si elle n'y parvenait pas, elle voulait se rafraîchir un peu et enfiler une tenue plus appropriée pour déjeuner en compagnie d'autres passagers.

Cette croisière pour célébrer leur premier anniversaire de mariage concluait une année pleine de félicités pour Lori et son mari. Et maintenant, elle brûlait d'envie de recevoir le cadeau d'anniversaire que lui avait promis son époux... Ils voulaient fonder une famille. Elle avait momentanément arrêté de prendre la pilule comme sur les conseils avisés de son médecin, elle se trouvait maintenant en pleine période de fertilité, prête à être fécondée par son mari.

- "Hummmmm, si je ne parviens pas à le faire lever... Peut être qu'on pourrais-je le décider à me faire l'amour avant d'aller déjeuner !" se sourit-elle à elle même, ressentant des fourmillements entre les cuisses à cette idée et ce aujourd'hui même le 14, le jour anniversaire de leur mariage.

- "Ce serait drôlement approprié... De faire l'amour... De me faire engrosser juste le jour de notre premier anniversaire de mariage ! Ce serait le cadeau que je préférerai recevoir..."

- "Je sais comment je vais m'y prendre ! Oh oui... C'est ça... Je vais me glisser dans la cabine, prendre une bonne douche chaude, puis j'enfilerai ma chemise de nuit rose qui excite toujours John... je vais le séduire... Et je suppose que nous n'aurons qu'à penser à ce qui se passera ensuite..."

Lori gloussait en son fort intérieur sachant très bien ce qui se passerait dès qu'elle se glisserait sous la couette. Tâtonnant dans sa banane, Lori cherchait la clé de sa cabine lorsque soudain une main ferme fut pressée contre sa bouche tandis qu'on l'entraînait en arrière dans la cabine faisant face à la leur.

- "Aieeeeeeeeeee... A l'aideeeeeeeeee... Aieeeeeeeeeeee... Arrêtez... Arrêtzzzzzzzzzzzzz... Nonnnnnnnnnnn... Au secourssssssss... Arrêtezzzzzzzzzzz !" aurait-elle aimé hurler si la main la bâillonnant fermement ne l'en avait empêchée.

Enveloppé par les ténèbres de l'intérieur de la cabine, Lori recula alors que l'homme enlevait la main la bâillonnant une fois la porte de la cabine verrouillée. Elle hurlait alors que les grosses mains s'attaquaient à ses vêtements la dépouillant de son pantalon de jogging et de sa petite culotte. Comme elle cherchait à décocher des coups de pied à son agresseur, il les lui empoigna lui arrachant des pieds tennis et socquettes. Ses cris qui résonnaient dans la cabine ne formaient qu'une douce musique aux oreilles d'Omar qui maîtrisait bien la ravissante jeune femme paniquée, lui tenant les mains au dessus de la tête. Il réunit ses deux poignets dans une seule de ses grosses mains, libérant l'autre qu'il put glisser dans son dos. Il était ravi de la sentir trembler sous ses caresses alors qu'elle se débattait cherchant à le repousser. Il empoigna son soutien-gorge, dégrafa le clip au creux de ses omoplates et tira, lui arrachant son soutien-gorge déchiré.

- " Oh mon Dieu... Mon Dieu... Mon Dieu... " balbutiait-elle sourdement alors qu'il lui palpait le nibard gauche, puis le droit.

- "Nonnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnn..." sanglotait-elle alors qu'il la dépouillait de sa veste de gym, il pouvait maintenant lui mignoter les deux mamelons, les prenant voluptueusement en bouche.

Elle pantelait alors qu'il manipulait lascivement les deux jumeaux, les suçant tout à tour.

- "Owwwwwwwwwww... Ow... Arrêtez.... Ne faites pas ça..." l'implorait-elle alors qu'il mordillait la chair tendre de ses tétins dardés.

Il se guida lui même entre ses cuisses tremblantes. Faisant bien attention de ne pas se prendre un coup de genoux dans les joyeuses, Omar se disposa correctement, frottant son épais bourgeon sur la face interne de ses cuisses pour lui faire évaluer la taille de la bite qui allait bientôt enfouir au plus profond de son sexe.

Ses tétons raidissaient entre ses lèvres sous ses caresses indésirées, Omar sut alors que la jeune beauté s'obligeait à refréner ses envies de répondre à ses assauts.

Et maintenant, alors qu'il s'engouffrait jusqu'au col de son utérus, elle se débattait de plus belle cherchant à s'épargner un sort que bien des femmes considèrent comme pire que la mort. Elevée dans la chaude atmosphère d'une famille de la haute bourgeoisie conservative, allant à l'église chaque semaine, Lori ne pouvait même pas concevoir qu'une chose aussi dégradante, aussi infâme, puisse lui arriver. En fait, elle avait déjà lu dans les journaux et vu des reportages à la télé relatant des arrestations de violeurs noirs identifiés par leurs victimes, comme ce violeur en série qui avait terrifié une des petites villes côtières proche de l'endroit où elle demeurait, Lori avait frémi en voyant des photos de cet ignoble individu, elle avait pensé au fond d'elle même :

- "Mon Dieu... J'aurai préféré mourir que de sentir ses mains se poser sur moi !"

Et maintenant alors qu'elle essayait désespérément d'échapper à cet assaillant surpuissant, allongée sur le lit, Lori se tordait sous l'homme qui lui clouait les mains au dessus de la tête. Elle sentait la dure colonne de chair vibrer entre ses cuisses, se braquant sur sa petite chatte affolée, Lori était affolée en sentant quelque chose de la taille du bras d'un enfant se positionner à l'entrée de sa féminité, ce n'était sûrement pas le bras d'un bébé.

- "Mon Dieu... Mon Dieu... Personne... personne ne peut avoir... Ne peut avoir un membre aussi démesuré... " frissonnait-elle totalement paniquée.

- "S'il vous plait... Je vous en prie... Je vous en prie, ne me violez pas... S'il vous plait... Votre... Votre pénis... Est trop gros.... beaucoup trop groooooooooos... Il ne rentrera jamais... Je vous en prieeeeeeeeeee... " se lamentait Lori, suppliant son assaillant de ne pas la violer de sa monstrueuse mentule qui frappait à l' instant même à l'entrée de sa féminité.

- "Owwwwwwwwww... Nonnnnnnnnnnnnnn !" glapit-elle alors que l'épaisse bite s'engouffrait d'une seule et violente poussée jusqu'au col de son utérus, il se mit ensuite à la labourer sauvagement.

Omar se délectait de son nouveau jouet sexuel, il adorait la douce peau soyeuse de cette blonde beauté dont il savourait les charmes, d'autant plus qu'il savait que son mari était endormi dans une cabine à moins de 10 mètres d'eux. Il aimait tout chez elle, sa façon de crier, sa façon de se débattre, la façon dont elle avait lutté, ses sanglots, mais le meilleur restait à venir.

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee...

Cette douce musique retentit à nouveau dans ses oreilles alors qu'il s'engouffrait avec succès dans son fourreau étroit, s'enfouissant du premier coup au fond de son utérus si resserré.

Une bite bien plus grosse que celle de son mari s'enfonçait brutalement dans sa chatte étriquée, la distendant aux limites de la rupture.

Il se retira lentement et d'un violent coup de boutoir s'enfonça encore plus profondément dans son utérus meurtri, visitant des zones jusqu'ici inexplorées, elle comprit alors qu'elle n'oublierait la taille démesurée de cette bite qui forait son trou en elle.

- "Arrêtez... Arrêtez... S'il vous plait... Arrêtez je vous en prie... J'ai mal... Si maaaaaaaaaal..." hurlait elle tétanisée de douleur.

Elle comparait ce qu'elle subissait à ce qui se passait normalement entre amants ordinaires, d'après ce qu'elle avait vécu jusqu'ici, n'ayant connu que le pénis de son mari qui s'avérait au moins deux moins épais et moins large que celle de cet ignoble individu. Omar, railleur, ironisait :

- "Alors ma gentille petite beauté américaine... A la peau si douce, si soyeuse... A la chatte si étroite... Apprécies-tu la bite de l'africain !"

Comme il s'y attendait, elle s'était débattue deux fois plus vigoureusement à cette information, elle savait maintenant que son violeur était noir, ce pourquoi il se fondait si bien dans l'obscurité les environnant. Dans les ténèbres, Omar sourit, il adorait voir sa victime redoubler d'efforts pour se libérer.

De ce fait, il s'enfouissait de plus en plus profondément dans sa ravissante proie... La bourrant jusqu'à la garde alors qu'elle laissait échapper de déchirants cris de détresse.

Soudain sa résistance s'amollit, Omar savait que le combat était terminé, la somptueuse pute était définitivement matée. Il relâcha ses poignets et lui saisissant les hanches il commença à coulisser lascivement en elle.

Ravagée par la douleur, Lori savait qu'elle ne serait plus jamais la même, que l'innocente jeune femme que tant de monde admirait était morte en elle.

La bite tressautant de plaisir de posséder cette splendide pouliche rétive, Omar sentait ses couilles s'emplir d'un jus épais qu'il ne tarderait pas à lui injecter au plus profonde de son intimité. Que pouvait-il espérer de mieux que de la rendre mère de petits bâtards noirs ? Elle était belle la vie ! pensa-t-il goguenard.

Il la martelait maintenant à la vitesse tel un marteau piqueur, il s'ensevelit dans son fourreau et grogna :

- "Ahhhhhhhh... Ahhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh..."

Jet après jet, il remplissait à ras bord la chatte asservie de la jeune femme effondrée. C'est dans un clapotis révélateur qu'il termina de la baiser, le surplus de foutre s'écoulait en larges filets du point d'union de leurs deux corps.

Vaincue, défaite, elle soupirait misérablement, son corps tremblait de façon irrépressible alors que l'acide semence de son violeur commençait à cautériser les plaies de son vagin meurtri. Tremblante comme une feuille, elle l'implorait :

- "S'il vous plait....Tuez moi... Tuez moi... Je ne veux plus vivre après ça !

D'autant plus qu'elle venait de constater effondrée :

- "Mon Dieu, il n'a pas mis pas de préservatif... Je devais me faire engrosser au cours de cette croisière... Mais... Mais pas par un noir... Pas comme ça !"

Lori souhaitait vraiment mourir à cet instant. C'est alors qu'il lui empoigna brutalement la nuque, lui tirant la tête en avant. Dans le noir, un épais gland buta contre ses lèvres fermées, alors qu'il insistait la pressant contre son pubis, Lori réalisa avec horreur quel acte dégradant il attendait d'elle. C'était une chose si dégoûtante, si avilissante qu'elle elle avait même refusé de se livrer avec son mari, et voila qu'elle frissonnait de tout son corps alors que cet homme qui venait de la violer si vicieusement présentait sa bite à l'orée de ses lèvres.

L'estomac secoué de nausées, tremblante de tous ses membres, elle se sentait mal alors que l'épaisse colonne glissait entre ses lèvres entrouvertes. Contrainte d'ouvrir la bouche, Lori eut grand peur de vomir au goût révoltant de la grosse colonne de chair qui s'immisçait entre ses lèvres. C'était si avilissant, elle devait replier sa langue pour faire place à l'encombrant visiteur, Lori soupira résignée à se conformer à se exigences. Frissonnante de dégoût, elle se força à obéir... Allant même jusqu'à titiller de la pointe de la langue son méat dilaté.

Baisée en bouche, avalant sa salive à chaque fois que l'épais bourgeon explorait son arrière gorge, Lori empoigna sa bite au niveau des burnes. Ce afin d'éviter que ce bâtard ne lui enfonce toute la longueur de sa mentule dans la gorge, au risque de l'étouffer. Elle aurait voulu mourir après avoir subi cet ignoble viol et ces actes dégradants, mais sûrement pas étouffée par l'énorme bite noire de son agresseur.

Relâchant sa bite, Omar tâtonnait dans le noir, à la recherche de son appareil photo digital qu'il avait disposé prêt à l'emploi, sur une des étagères. La caméra en main, il la tint en l'air et déclencha le premier flash, un éclair aveuglant captura l'image de la somptueuse beauté à genoux suçant sa bite qu'elle étreignait de la main flattant ses burnes. Prêt à éjaculer de nouveau, il reposa la caméra sur l'étagère toute proche. Il crispa sa main sur sa nuque pour prévenir tout retrait, Omar gloussa lui remplissant la bouche pour se finir en crachant ses dernières giclées sur son visage égaré.

- "Argggggggggggg... Arggggghhhhhhhhhhh... " mugit-elle lorsque la première giclée de semence chaude lui embourba la gorge.

La bite sortit de sa bouche, il la prit à pleine main et la braqua sur son visage pour lui octroyer un masque facial. Un nouvel éclair, cette fois l'image la représenterait visage dégoulinant de foutre la grosse bite responsable de ces projections infâmes bien visible en arrière plan.

Assise sur le sol de la cabine, le dos appuyé contre le lit, Lori frémissait de honte.

Soudain un flot de lumière, provenant de la porte, envahit la cabine, clignotant des yeux pour ajuster sa vue, tout ce que vit Lori de son agresseur noir, c'est une vague silhouette qui quittait la cabine avant de claquer la porte dans son dos, plongeant à nouveau la cabine dans l'obscurité la plus totale.

Il se passa un bon quart d'heure avant que Lori ne retrouve suffisamment de force pour réagir, elle se mit alors à la recherche du commutateur. La lumière allumée, Lori vit la porte coulissante qui menait à la salle de bain. S'appuyant au mur, elle entra dans la salle de bain, c'est alors qu'elle entendit :

- "Splat... Splat... Splat...."

Regardant au sol, elle comprit avec horreur qu'il s'agissait de gouttes de sperme s'échappant de sa chatte pour tomber au sol.

Sa chatte qui était si étroite auparavant n'était plus qu'un vaste trou béant tant l'énorme bite de son violeur l'avait distendue, et son foutre, quasiment à l'air libre, gouttait littéralement au sol.

Elle avala sa salive à la vue de son reflet dans le miroir, elle rougit de honte en constatant que son visage était couvert d'un entrelacs d'épais filets de foutre. Elle se saisit du savon, et se frotta énergiquement, mais elle savait qu'elle ne faisait qu'effacer les traces superficielles, il était nécessaire qu'elle prenne rapidement une douche vaginale pour tenter d'éliminer le foutre qui tapissait son utérus fertile, cette menace était bien plus dangereuse.

Elle se saisit d'un serviette et se frotta énergiquement avant de sortir de la salle de bain. Elle devait maintenant retourner dans sa cabine, elle se mit à la recherche de ses vêtements. Elle avait oublié que des gouttes de foutre qui s'étaient échappées de sa chatte à chacun de ses pas, elle glissa sur une flaque de foutre et s'étala de tout son long dans une mare de sperme couvrant le sol.

Jetant un œil sur elle, elle grinça des dents et frissonna de dégoût, alors qu'elle venait tout juste de débarrasser son corps de ces gluantes souillures, elle avait maintenant les deux pieds enrobés d'un épais film de semence. Alors qu'elle frémissait de colère, dans un réflexe inconscient, ses sphincters vaginaux se contractèrent expulsant une nuée de gouttelettes de foutre de sa chatte qui vinrent lui poisser la face interne des cuisses.

Sanglotante, elle retourna dans la salle de bain pour reprendre une douche.

Ayant enfilé sa tenue de jogging sans ses sous-vêtements qu'elle n'avait pas retrouvé, elle se hâta de quitter la cabine. Regardant le bouton de porte de sa cabine, elle tourna le dos et remonta sur le pont, il lui fallait se rendre dans la petite boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, elle avait besoin de se procurer une douche vaginale pour se curer le vagin avant qu'il ne soit trop tard. Elle n'en avait pas emmené dans son désir de se faire engrosser au cours de cette croisière, mais elle voulait un enfant de son mari, et non de celui d'un infâme violeur noir.

De retour à son poste sur le pont supérieur, Omar la suivait des yeux alors qu'elle s'approchait lentement du garde-fou yeux rivés sur les flots bleus.

- "Oh, oh songerait-elle à en finir !" réalisa-t-il soudain.

Hélant rapidement Catherine, une des filles chargée de l'entretien du pont supérieur, Omar l'avisa qu'une passagère semblait souffrir du mal de mer, il lui conseilla d'aller la remonter.

Il poussa un gros soupir de soulagement en la voyant reprendre son chemin, après avoir conversé quelques minutes avec Catherine. Alors qu'elle entrait dans la coursive, Omar s'éloigna de son poste d'observation et choisit une place d'où il pouvait regarder ce qui se passait dans la coursive, continuant à épier la ravissante beauté en pleine détresse.

En la voyant disparaître dans la boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, il sourit et supposa qu'elle venait se procurer une douche vaginale... Dans l'espoir d'éviter une grossesse redoutée.

- "Trop tard, ma douce ! Omar ne tire pas des cartouches à blanc ! Avec la dose de sperme que j'ai déchargé dans ton utérus il y une petite heure, tu ferais mieux de faire des prières ! Eh, eh, eh..." gloussait-il hilare.

Son soutien-gorge et sa petite culotte entortillée autour de sa bite la faisait palpiter à nouveau dans son caleçon, il se marrait sachant qu'elle était nue sous sa tenue de jogging.

- "Bordel je suis sûr que ses tétons doivent lui brûler !" se marrait-il pensant combien ils devaient la faire souffrir après avoir été sucés, étirés, maltraités, mordillés de si sauvage façon, il voulait justement qu'elle soit meurtrie par leur frottement sur le tissu de son sweat.

Et de fait Lori grimaçait à chaque frottement de ses tétons dardés contre son sweat, elle avait longuement examiné ses nibards douloureux avant de quitter la salle de bain, affolée par les traces de morsure qu'elle devrait dissimuler, des ondes de douleur diffusait dans tout son torse alors que ses nichons bleuissaient.

Ses sous-vêtements disparus, des filets de foutre s'écoulant de sa chatte béante, Lori, après s'être tamponné la moule avait dû bourrer un gant de toilette dans sa cramouille pour endiguer le flot de foutre tout en en absorbant une bonne part.

Elle n'aurait peut-être pas résisté à la tentation de sauter par dessus bord si la gentille jeune femme ne l'avait pas distrait de son attirance morbide pour les flots bleus.

Prudente, Lori s'était procurée deux flacons de douche vaginale. L'un pour un usage immédiat dès qu'elle serait de retour dans sa cabine, dans l'espoir d'éviter de se retrouver enceinte des œuvres de son ignoble violeur... S'il n'était pas déjà trop tard !

- "Mon Dieu... Violée... Violée et déshonorée le jour de notre premier anniversaire de mariage ! Et peut être même engrossée par ce noir que je n'ai même pas entrevu..." frissonna-t-elle horrifiée.

Si elle se retrouvait enceinte des suites du viol, bien que contre l'avortement en général, Lori réalisa qu'elle n'aurait pas d'autre choix dans ce cas. Mais, si elle faisait l'amour avec son mari au cours de cette croisière, elle ne parviendrait pas à savoir qui l'avait mise enceinte.

Le flacon de douche vaginal en rabe lui permettrait d'éviter ce risque, elle espérait bien dissuader son mari de faire l'amour, prétextant être bien trop fatiguée par la croisière ou se servant de tout autre excuse invérifiable... Mais au cas où...

Elle ne voulait surtout pas que son mari remarque ses contusions, les bleus ornant son corps et encore moins qu'il constate la béance de sa chatte et de son trou du cul derniers témoignages de son viol.

De retour à son poste d'observation, Omar surveillait le pont extérieur, il sourit en voyant la jeune femme retourner vers le couloir menant aux cabines du pont inférieur. Alors qu'elle s'engouffrait dans le couloir, Omar pensa :

- "J'espère que tu vas souhaiter un bon anniversaire de mariage à ton mari, de ma part !"

Jetant un œil sur la feuille de réservation des Walker, il inscrivit en en-tête Jour 1, 2 photos. Cela l'aiderait à se rappeler que les deux premières photos prises avec son appareil photo digital étaient celles de la délicieuse Lori Walker.

- "Oh oui ma chère madame Walker... Omar t'appellera dans un proche futur, lorsque son bateau fera escale près de chez toi ! Je suis bien sûr que lorsque tu verras les photos de ton viol, tu feras n'importe quoi pour qu'elles ne soient pas diffusées... Et pour cela tu viendras me rejoindre dans ma chambre de motel pour y passer avec moi le temps de l'escale du navire !" conjecturait-il plein d'optimisme.

- "Oh oui... J'en profiterai pour te casser le cul... Je suis bien sûr que t'es encore vierge du trou de balle ! " se marrait-il plein d'espoir.

C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait sceller le destin de Lori :

- "Hummmm J'ai une bien meilleure idée... Je vais me la faire la première heure et ensuite, je me ferai des couilles en or !"

L'équipage était constitué de centaines de matelots de nationalités différentes, la majorité sont des mâles, Omar savait qu'ils paieraient cher pour satisfaire leur lubricité, par exemple pour se taper une ravissante jeune américaine comme l'adorable madame Walker.

Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse jeune femme vêtue de sa jolie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, cette photo montrée à l'équipage provoquerait l'inscription de nombreux clients, elle aurait du boulot pour toute la journée.

Si la jeune beauté avait connu les intentions de ce pervers d'Omar, elle serait remontée sur le pont pour piquer une tête par dessus bord.

Comme les bateaux regorgeaient de matelots privés de jolies femmes, Omar avait programmé un plan extrêmement pervers : tout d'abord il se ferait la somptueuse chienne en la faisant chanter avec les photos, puis il la donnerait en pâture à l'équipage, chacun lui payant son octroi.

Omar se remémorant ses performances avait défini rapidement le temps qui serait alloué aux consommateurs

- "20 minutes... Pour chaque groupe de 5 !"

Quant au prix de la passe, Omar l'avait fixé à 50 $ pour une branlette ou une éjaculation sur ses pieds et ses jambes, et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou en cul ! Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes.

Omar calcula rapidement :

- "21 clients à l'heure... Pendant 10 heures d'affilée... Mon Dieu... Elle va souhaiter se jeter par dessus bord après avoir servi de jouet à plus de 200 consommateurs en une seule journée !"

A suivre...

vendredi 23 septembre 2022

La déchéance de Juliette Ch. 01

 Traduction d'un texte de TheDarkCloud

*****

Un inconnu commence à faire chanter Juliette, commissaire.

Les deux policiers observèrent la prostituée noire se pencher à la fenêtre passager de la voiture et quelques secondes plus tard, se relever avec deux billets de 20 euros. Elle était prête à monter dans le véhicule.

Le sergent Juliette PORTIER ordonna à Joseph DUPRE de sortir de leur voiture. Elle aurait pu laisser la femme faire sa transaction. Après tout, elle ne faisait pas de mal. Mais le sergent Juliette PORTIER était sévère et ambitieuse. Elle chassait toute infraction. Surtout si les auteurs étaient noirs et surtout si c'était Jazz.

Yasmine « Jazz » TOURE vit les flics descendre de la voiture alors qu'elle allait monter avec son client.

- Oh putain ! cria-t-elle

Elle vit que c'était encore la salope rousse qui la coinçait. Elle cracha sur le trottoir et débita à l'officier de police tout le mal qu'elle pensait d'elle.

- Tu as quelque chose à dire Jazz ?

Juliette posa cette question moqueuse tout en menottant la prostituée et la faisant entrer dans le véhicule de police.

- C'est du harcèlement. Tu m'as déjà arrêtée trois fois ce mois-ci. Se défendit Jazz.

Elle glissa sur la banquette, faisant remonter sa mini-jupe, exposant ainsi sa chatte rasée. Quand elle vit que la policière regardait son sexe elle ajouta :

- Tu peux la lécher si tu veux salope de flicaille !

- Je ne crois pas. tu devrais réinvestir tes gains en culottes, Jazz. Répondit Juliette en souriant.

Jazz pesta tout le long du voyage vers le commissariat. Elle rêva d'avoir cette chienne rousse à ses pieds, la suppliant. Juliette, quant à elle, sourit. Elle détestait les femmes comme Jazz et encore plus les femmes noires. Juliette était raciste.

Par contre, la policière était extrêmement attrayante. Légèrement ronde, sexy et rousse, à 28 ans, elle avait un visage parfait. Avec ses gros seins rebondissant, que l'on pourrait croire faux, et son cul bien rond, tous ses collègues auraient aimé faire plus que travailler avec elle. De plus elle avait les yeux bleus, et une longue chevelure qu'elle attachait normalement sous sa coiffe. Dans son uniforme, elle excitait tous les hommes. D'ailleurs tous ses collègues avaient essayé un jour ou l'autre de sortir avec elle mais elle les avait tous rejetés. Si bien que le bruit courait qu'elle était lesbienne. En vérité, elle était tellement absorbée dans son boulot qu'elle n'avait pas le temps ou l'énergie pour avoir un compagnon dans sa vie.

Elle avait rejoint la police 9 ans plus tôt et depuis elle n'avait pas cessé de gagner le respect sinon l'admiration de ses collègues. Pourtant elle n'était pas réellement sympathique. Elle aimait bousculer les gens, elle aimait le pouvoir. Elle était jeune et ambitieuse et elle voulait arriver au sommet.....

******

7 ANS PLUS TARD.

Ce fut long mais finalement Juliette fut nommée au grade de commissaire. Il n'y avait plus que deux hommes au-dessus d'elle dans la ville. En fait, elle avait été félicitée pour sa lutte contre la drogue. Mais sa nomination à ce poste ne s'était pas fait sans victimes. Elle avait pris tous les raccourcis qu'elle pouvait. Elle avait marché sur des tas de personnes, mettant de côté ses convictions, créant parfois des preuves ou mentant. Comme on pouvait se l'imaginer, elle s'était faite beaucoup d'ennemis qui voudraient bien la voir tomber. Mais elle était sereine et avait la réputation d'une personne intègre.

Ce fut un lundi matin que le cauchemar commença. Juliette ouvrait son courrier dans son bureau et pensait à ce qu'elle devrait faire cette semaine. Elle ne pensait pas aux tâches policières mais plutôt à ce qu'elle pouvait faire pour encore améliorer sa carrière. Avec son coupe papier en argent, elle ouvrait les lettres rapidement jusqu'au moment où son regard s'arrêta sur une grosse enveloppe sur laquelle était marquée : « PRIVE ET CONFIDENTIEL : NE DOIT ETRE OUVERT QUE PAR LA COMMISSAIRE PORTIER ». Il n'y avait pas d'autres marques sur l'enveloppe comme si elle avait été juste déposée là.

Sa curiosité augmentait de secondes en secondes. Elle attrapa l'enveloppe et déchira rapidement l'emballage avec ses doigts. A l'intérieur, se trouvait une cassette vidéo sans étiquettes. Il n'y avait pas non plus de lettres l'accompagnant. Juliette avait un mauvais pressentiment. Elle regarda l'objet comme si c'était une grenade. Il devait y avoir des choses importantes sur la cassette mais pourquoi était-ce anonyme ?

Instinctivement, la policière ferma la porte de son bureau et mit la cassette dans son lecteur. Puis elle regarda l'écran qui revenait à la vie. L'écran fut flou au commencement et le bruit de grésillement ennuya Juliette qui baissa le volume. Se dirigeant vers son bureau, en pensant que c'était une perte de temps, l'image revint à la vie et des voix se firent entendre.

Juliette fut effrayée quand elle entendit sa voix ainsi que celle de son amant du temps de l'école de police, Pierre DAVID. Elle se souvint de ce temps-là parfaitement. Alors qu'elle regardait les évènements se déroulant sur l'écran, elle s'en rappelait avant qu'ils n'apparaissent. De secondes en secondes elle fut de plus en plus consternée, ses pensées essayant de comprendre le but de cela.

Juliette était tombée folle amoureuse de Pierre. Elle avait 19 ans et sa carrière n'était pas encore importante pour elle. Son amant était plus âgé de quelques années. Il était tellement sûr de lui, audacieux qu'il l'avait rapidement envoûtée. C'était tellement nouveau pour Juliette et si excitant. Et puis l'homme fut un partenaire sexuel époustouflant pour elle. Pourtant c'était un bon à rien qui n'avait rien à faire dans la police. Il fut expulsé de l'école de formation six mois après son entrée. Son départ força Juliette à se concentrer sur sa carrière mais en regardant l'écran, la commissaire se souvenait de ces 6 mois.

Leur relation fut sauvage et animal. Juliette devint rapidement un jouet dans les mains de Pierre. La cassette avait été enregistrée pendant une soirée entre eux deux. Elle ne savait pas qu'il avait filmé cette soirée ou d'autres. Mais en se rappelant de lui, ça ne l'étonnait plus.

Elle se regarda sur l'écran. Bien qu'elle maudisse la vidéo, elle fut fière de voir qu'elle n'avait pas perdu son charme d'antan avec son regard bleu et sa magnifique chevelure rousse. A l'écran elle était juste vêtue d'un soutien-gorge, d'une culotte et de bas noirs. Elle se déplaçait dans une pièce, se rapprochant de la caméra cachée et de la tête de Pierre filmée par derrière. De l'écran sortit la voix exigeante de son ami qui aboyait :

- Allez Cadet PORTIER, je veux que ce corps sexy me fasse bander ! Bouge chienne !

Assis à son bureau après toutes ces années, la commissaire grimaça sur ces mots mais continua à se regarder. A l'image, elle se vit sourire, faire un salut militaire avant d'obéir à l'homme. Aujourd'hui elle se demandait à quoi elle pensait mais elle se souvient qu'elle avait une envie furieuse de la bite de son amant. Elle détestait ce qu'elle était en ce temps-là.

A la télé, Juliette commença à se dépouiller de ses sous-vêtements noirs sous les commentaires de plus en plus crus de l'homme sur le lit. Son soutien-gorge envolé laissa apparaître sa grosse poitrine avec des mamelons raidis. Sa culotte retirée révéla un sexe d'adolescente avec seulement quelques poils pubiens. Elle garda les bas et tomba sur le lit à quatre pattes puis ondula vers la caméra en se léchant les lèvres. La commissaire pensa que son embarras serait atténué, étant donné que l'angle de la caméra ne permettait pas de filmer les bruits de succion qu'elle commençait à entendre. Mais Pierre se tourna et bougea la caméra. A l'image, la Juliette jeune suçait le membre de son ami, l'enfournant profondément dans sa bouche. La Juliette d'aujourd'hui rougit en regardant la salope dévergondée qu'elle avait été. Toutefois, elle savait dans sa tête que ça allait empirer. Elle aurait voulu arrêter la cassette et la jeter mais elle était pétrifiée.

Après quelques minutes de fellation, Pierre la retourna pour la dominer. Il lui écarta les jambes afin d'exposer sa fente humide. Il la doigta pendant quelques secondes puis lui fit lécher son propre jus sur sa main. Le pire allait venir, elle s'en souvenait comme si c'était hier. Pierre sortit un petit sac de poudre blanche.

- Je l'ai récupéré dans les scellés. Annonça-t-il.

Juliette attendit. Il vida une ligne de poudre entre ses seins puis il roula un billet de banque et sniffa la drogue sur sa poitrine. Puis il lui tendit le sac et elle rigola alors qu'elle saupoudra une ligne le long de la bite de son ami. Elle utilisa le même billet pour aspirer la poudre avec son nez. Enfin elle lécha les résidus et prit la bite profondément dans sa bouche. Les vingt minutes suivantes de la vidéo consistèrent en une baise effrénée et finirent quand Pierre éjacula sur son visage. Des années plus tard, elle se rendait compte de la salope qu'elle était.

Soudain, l'écran devint noir, et un message apparut en grosses lettres blanches :

« SI VOUS NE VOULEZ PAS QUE CETTE VIDEO TOMBE ENTRE DE MAUVAISES MAINS, SOYEZ A LA CABINE TELEPHONIQUE AU COIN DE L'AVENUE LECLERC ET L'AVENUE DU THION CE SOIR A 22H00. SOYEZ SEULE ET METTEZ VOTRE VIEILLE UNIFORME, IL VOUS ALLAIT SI BIEN »

C'était un chantage. Quelqu'un devait avoir trouvé la bande (Pierre était mort tragiquement quelques années plus tôt). Elle avait été reconnue et la personne qui avait trouvé l'enregistrement voulait sûrement gagner de l'argent facilement étant donné sa position actuelle.

Juliette réexamina l'enveloppe et la cassette, essayant de trouver des indices sur l'expéditeur. De toute façon, elle savait qu'elle paierait. Elle avait travaillé trop dur et trop longtemps pour obtenir sa place. Elle savait qu'elle avait beaucoup d'ennemis et d'envieux. Si la vidéo devenait publique, tout s'effondrerait. Elle serait sûrement rétrogradée et ses ennemis feraient en sorte qu'elle ne s'en relève pas.

Donc, après avoir passé une journée en pensées, elle sut ce qu'elle devait faire. Elle rechercha son ancienne tenue de sergent. Elle rentrait toujours dedans mais c'était juste. Ses seins avaient grossis donc les boutons du chemisier étaient tendus.

Elle fut tentée de prendre son pistolet mais elle renonça. Il n'y avait personne dans le commissariat dont elle avait confiance car son ambition l'empêchait d'avoir des amis. Et puis, de la façon dont la cassette était arrivée, elle était certaine que l'expéditeur était quelqu'un de son environnement de travail. Elle jura que si elle le découvrait, elle le détruirait.

Il faisait froid et sombre et le vent sifflait dans la rue quand Juliette se gara près de la cabine téléphonique. Assise derrière le volant, elle observa les alentours. Derrière la cabine, se trouvait des arbres et un petit parc. Un clochard passa en boitant. Mais elle ne vit personne d'autre.

Elle sortit de la voiture. Elle était nerveuse. Elle était seule et ne pourrait être secourue. Personne ne savait où elle était. Alors qu'elle claquait la porte de sa Renault, le téléphone commença à sonner. Elle se précipita mais alors qu'elle prenait le combiné, la communication coupa. Elle jura :

- Zut !

Puis le téléphone revint à a vie avec sa sonnerie stridente. Quand elle dit « allo » une voix déformée répondit :

- Très bien Chienne. C'est bien d'avoir obéi !

- Qui êtes-vous ? Si je vous trouve, je.....

La voix l'interrompit avec colère.

- Tais-toi !! Si tu me coupes de nouveau, je raccroche et j'envoie la vidéo à tous les journaux de la ville.

Juliette se reprit et pensa qu'elle devait rester calme et professionnelle. Il fallait qu'elle découvre qui était son maître-chanteur.

- D'accord, je suis désolée. Que voulez-vous ? de l'argent ?

- Oh, ce serait trop facile non ? Ce ne serait pas la première fois que vous achèteriez le moyen de vous sortir de problèmes n'est-ce pas ? Je te connais commissaire. Mais avant de te dire ce que je veux, tu vas faire quelque chose pour moi. Tu vas me montrer que tu comprends la situation dans laquelle tu es et que tu feras tout pour obtenir mon silence.

- D'accord.

- Je suis sûr que nous allons nous entendre. Je veux que vous déboutonniez chaque bouton de votre chemisier très lentement. Puis vous l'enlèverez pour le mettre dans la poubelle à côté.

- Quoi ? Vous plaisantez ? Vous devez être fou....

- Si tu n'as pas commencé à déboutonner dans dix secondes, je raccroche et je poste la vidéo ce soir. Dix...... Neuf.....

A sa façon de parler, Juliette sut qu'il ne plaisantait pas. Alors que la voix disait « trois.... » elle défit le bouton du haut de sa chemise.

Une fois que le premier bouton fut défait, les autres suivirent rapidement jusqu'à ce que le chemisier s'ouvre entièrement. Elle attendit la remarque que la voix allait faire mais rien ne venait. Elle commençait à se demander si elle n'était pas partie. Mais soudainement elle entendit :

- Le chemisier à la poubelle ! Dépêche-toi !

Jurant, elle enleva le vêtement, le roula et le mit dans le bas à ordures à proximité. Quand elle revint au téléphone, elle se sentit mal à l'aise et exposée, n'ayant plus qu'un soutien-gorge sur le haut de son corps. L'homme au bout du fil était silencieux mais elle pouvait entendre sa respiration. Une trentaine de secondes plus tard il parla :

- C'est inconfortable Commissaire ?

- Oui. Vous êtes content maintenant ?

- Hummm. Oui. Maintenant tu vas laisser ton téléphone portable dans cette cabine. Tu pourras revenir le chercher plus tard. Mais je ne veux pas que tu essaies quoi que ce soit. Ensuite tu vas en voiture te garer devant la cabine téléphonique à côté de la boutique de vidéo.

- Quoi ? Dans cette tenue ? Je ne peux pas......

- Tu le peux et tu le feras. Le téléphone sonnera dans cinq minutes. Si tu ne réponds pas tu sais très bien ce que je ferais.

Juliette raccrocha, croisa ses bars sur sa poitrine et se dirigea vers sa voiture. Elle était assommée. Alors que d'habitude elle était toujours maître de la situation, elle ne savait que faire maintenant. En entrant dans la voiture, elle se sentit réellement en danger. Elle laissait son portable et elle se retrouvait presque nue. Que voulait-on vraiment d'elle ?

Juliette conduit jusqu'à la prochaine cabine dans un état de confusion. Lorsqu'elle sortit de sa voiture pour répondre au téléphone qui commençait à sonner, elle remarqua les regards amusés des clients du magasin de vidéo.

- Eh bien Commissaire, tu as obéi. Je pense que tu as compris qu'il ne fallait rien tenter si tu voulais que je te rende l'enregistrement.

- Comment puis-je vous faire confiance ?

-Et bien, tu ne peux pas. Mais tu peux être certaine que si tu ne fais pas ce que je dis, la cassette se retrouvera dans tous les bureaux de presse de la région. Je préférai ne pas avoir à le faire, crois-moi.

Juliette ne répondit pas. Elle se trouvait là, grelottante et en attente de ce que l'homme voulait.

- Ça va être facile. Je connais un homme riche qui t'admire. Il aime les rouquines avec du pouvoir. Il m'a payé pour que je lui organise une nuit avec toi si tu vois ce que je veux dire.

- Je ne suis pas une pute !

- Eh bien ce soir, tu ferais mieux de l'être. D'ailleurs je pense qu'une salope frigide comme toi a bien besoin d'une bonne baise. Mais ne t'inquiète pas, il est cool comme gars. Donc pour terminer, il t'attend dans quinze minutes à l'hôtel « Première Classe » chambre 207. Son prénom est José. Si tu fais ce qu'il dit, l'enregistrement est à toi.

L'homme raccrocha, laissant la femme considérer ses options. Des adolescents étaient sortis du magasin pour mieux pouvoir l'observer. Quand elle sortit de la cabine, ils firent toutes sortes de commentaires. Elle leur lança un regard venimeux et se rua dans sa voiture.

Elle se figea se sentant complètement impuissante. Que pouvait-elle faire ? Elle frappa le volant de frustration et tourna la clé pour démarrer. Même si elle réfléchissait encore, inconsciemment elle prit la direction de l'hôtel...

A suivre...

mercredi 21 septembre 2022

Hilda - Episode 3 - 1ère partie

  Bande dessinée de Hanz Kovacq (Bernard Dufossé)

*****
A suivre...

lundi 19 septembre 2022

Les WC étaient occupés Ch. 07

 Texte de gkcdqho

*******

Nicole est encore bien baisée par Marcel.

Dimanche matin dans la buanderie, je remplis le lave-linge, Jacques vient se coller dans mon dos. Il ouvre ma robe de chambre puis le haut de ma chemise de nuit, il me caresse les seins qui se dressent. Ils sont devenus sensibles avec ce que Marcel leur fait subir.

Je sens contre mes fesses son érection se développer. Je me retourne et nous nous embrassons. Je m'accroupis avec le bas de son pyjama dans les mains pour prendre sa belle queue tendue dans ma bouche, je passe ma langue autour de son gland pour bien le décalotter. Je donne un baiser sur la pointe du gland , je l'aspire pour le faire rentrer dans ma bouche. Mes lèvres mouillées collent à son membre pendant l'introduction, mon nez est dans ses poils. Je recule ma bouche en mordillant sa tige, j’arrête quand mes dents touchent la base de son gland. Je replonge sur sa tige ma langue caressant le dessous de celle ci.

Tout excité, il me relève pour m'asseoir sur le bord du lave-linge. il s'accroupit, m'écarte les cuisses, passe sa langue mouillée de sa salive entre mes grandes lèvres, et il ouvre l'entrée de ma grotte. Il se relève entre mes cuisses, sa queue tendue. Il pose son gland à l'entrée de ma chatte.

Sa bouche se colle à la mienne, nos langues se mélangent, je ferme les yeux de bonheur. D'une seule poussée il me pénètre. Je croise mes jambes autour de sa taille, nos bouches toujours unies. Jacques me fait l'amour divinement et nous jouissons ensemble, mélangeant nos souffles, nos salives. 

Après cette tempête d'amour, le calme. Soudés l'un à l'autre, nous sommes restés ainsi un bon moment. Ses yeux brillent d'amour, j'ai posé ma tête dans le creux de son cou, je suis bien. Sans le vouloir Marcel avec ses séances a réveillé mon corps endormi par l'habitude de la vie.

Le vendredi est vite là, je voudrais qu'il n'y ait plus de vendredi dans la semaine. Je rentre dans la grange pour une nouvelle séance, que va-t-il inventer aujourd'hui ?

Me voilà au bord du lit, en corsage et jupe légère avec poches. Le sac est toujours là.

- Fous-toi à poil !

- Marcel ! Tu t’adresses à une femme ! Pas à une pute !

- A partir de maintenant tu n’es plus une femme. Tu es ma salope, Nicole. Ma salope personnelle.

Sa salope personnelle ? Malgré tout, j’aime l’entendre me traiter de salope. Cela me fait chaud au ventre et ma chatte me démange.

En salope obéissante, je m’allonge complètement nue sur le lit, en me demandant quelle perversité il a en tête aujourd'hui.

- Écarte tes cuisses !

Obéissante, j’écarte lentement mes jambes sous le regard concupiscent de Marcel qui caresse doucement son sexe.

- T’as vraiment une belle chatte. Relève tes genoux et maintiens-les bien écartés.

Sa tête plonge entre mes cuisses et sa bouche aspire mes lèvres vaginales pour les sucer et les aspirer. Je sens sa langue qui s’insinue entre elles et qui fouille mon sexe. HUMM… que c’est bon une bouche gourmande !

Sa langue court le long de mes lèvres pour aller débusquer mon clitoris et comme une sangsue, sa bouche essaye de l’aspirer le plus loin. Et il recommence son petit manège fouillant chaque recoin de ma chatte et lorsqu’il reprend mon clito excité, ses dents me mordent légèrement.

- OOOOH, Marcel ! Viens ! Prends-moi !

Il s’écarte de mon entrecuisse en fixant ma grotte déjà bien humide.

- Je fais ce que je veux. Tu es ma chose à moi ! N’est-ce pas ?

- OUUUIIII !!!

- C’est mieux ! Mais tu es surtout une salope qui aime se faire baiser ! Dis-le !

- Oui ! Je suis une salope ! Je veux qu’on me baise ! Encore et encore !

A son regard lubrique, je vois qu’il aime ça que je lui dise que je suis une salope soumise. Maintenant il bande carrément et moi je reconnais que ça m’échauffe les sens et ça m’excite qu’il bande, bien sûr, mais surtout qu’il me traite et me prenne comme une salope.

Un gode force l'entrée de mon puits d'amour, la tête est plus proéminente, il ne grossit pas pendant  l'introduction, aucune vibration, il n'est pas froid ainsi que le gel lubrifiant dont il est enduit. Marcel se met en position dite de soixante-neuf, sa queue sur ma bouche le gode sur mon clito. Il entreprend un piston long et régulier du bord jusqu'au fond de ma grotte.

Ça recommence !! Mon corps cède, les vagues de plaisir de plus en plus fortes me submergent. Je suce, j’engloutis sa bite avec avidité. Le plaisir est là ,il l’a vu, il accélère le rythme. Soudain une chaleur chaude, épaisse, tapisse les parois de mon vagin, se colle à l'utérus.

Cette arrivée de chaleur déclenche l'orgasme, je jouis sans me poser de question. Je jouis de cette chaleur qui n'en finit pas, ça dégouline de ma chatte maculant sexe et cuisses. Un frisson agréable part de l'intérieur de mon ventre, remonte à mes seins jusque dans ma tête. Quand ça s'arrête, je lâche la queue de Marcel pour reprendre mon souffle, repue d'une telle jouissance.

Je le regarde qui retire ce gode de mon vagin. A l'extrémité il y a un tuyau avec une grosse poire. Je comprends tout, le liquide chaud préparé à l'avance par Marcel m'a fait monter rapidement au ciel avec son abondance et son onctuosité en se répandant partout dans mon vagin.

- Mets- toi à quatre pattes !

Il va recommencer ? Je vais y avoir droit à chaque séance ! Je me tourne et je lui présente mon cul.

- Écarte tes fesses !

A genoux, j’attrape mes fesses et je lui présente ma grotte et la petite porte de mes reins. Sa main glisse entre mes cuisses, son pouce s’enfonce dans ma grotte, son index et son majeur emprisonnent  mon clito. Il me doigte pendant deux ou trois minutes, je mouille de plus en plus.

- OUUUIII… Encore ! Prends-moi !

Il retire sa main et d’un seul coup il défonce ma chatte trempée en enfouissant sa queue bien à fond.

- AAAARRFF !! OUIII… baise-la ta salope !

Il commence à me baiser mais après quelques aller-retour, je sens un doigt qui caresse mon anus. Sur le coup je ne dis rien, mais quand le bout de son doigt essaye de s’enfoncer dedans, je crie :

- Marcel ! Arrête ! Pas encore ???

- Ferme-la, salope ! N’oublie pas que tu m’appartiens ! Dis-le !

- Oui, Marcel, je t’appartiens ! Même par là !

- Tu es ma salope, ma pute. J’ai bien envie de te prendre ton petit cul. Tu vas découvrir que c’est bon d’avoir quelque chose dans le cul.

- Non ! Je veux que ta bite reste dans ma chatte !

A ce moment-là, le pervers Marcel retire son sexe de ma grotte.

- NOOOONN… Reste ! Je suis a toi... Baise-moi…

- Mets tes mains dans ton dos !

Sans bien m’en rendre compte, j’obéis et il attrape mes poignets pour les lier dans mon dos avec une sangle velcros. Je veux allonger mes jambes pour me mettre sur le ventre, mais il m’en empêche. Il replie mes cuisses sous moi en les écartant un peu, passe sa main entre et fait glisser un doigt entre mes lèvres intimes en le remontant entre la raie de mes fesses qui se retrouvent bien en l’air. Il m’attrape par les cheveux pour me faire tourner ma tête et dit :

- Tu as des fesses sublimes dans cette position… bien rondes et provocantes.

Il écarte mes fesses et ajoute :

- Au milieu une belle étoile qui palpite et qui ne demande qu’à s’ouvrir. Quel cul de pute tu as !!!

Je prends deux claques sur les fesses avant qu’il n’ajoute :

- Bouge-pas, salope !

Il se remet derrière mon cul, il fait couler sur ma rosette un gel lubrifiant.

- Marcel ! Détache-moi !

Mais j’ai beau crier, je sens un doigt qui caresse mon anus en tournant autour pour ensuite s’enfoncer doucement dedans. Il enfonce plus loin son doigt puis il le fait aller et venir en le tournant doucement. Un frisson parcourt mon ventre. Je tremble un peu avec un doigt dans mon cul.

Maintenant c’est deux doigts qui me fouillent. Ils ont poussé la petite porte de mes reins et malgré moi, je me détends, j’ai presque envie qu’il continue. Il renfonce sa bite dans ma grotte et continue de me branler l'anus en disant :

- Quand on est une salope comme toi, on obéit et on la ferme ! Je vais m’amuser avec ton superbe cul qui commence malgré toi à frémir de plus en plus sous mes doigts.

Le pire c’est qu’il a raison. J’ai des petites contractions de mon sphincter car avec sa queue dans ma chatte, ses doigts commencent à m’exciter encore plus.

- J’ai un truc qui devrait te plaire ! Des boules de geishas… tu connais ?

Mon dieu ! Bien sûr que je connais ! Enfin je sais ce que c’est. Mais je n’en ai jamais utilisé !

- OOOOHH ? Il vient de m’enfoncer une boule dans le cul !

Sa queue se retire de ma chatte, il la renfonce lentement. Je sens, en même temps qu’elle glisse en moi, une deuxième boule qui rentre dans mon postérieur. Je tremble de plaisir en me sentant fouillée ainsi, je geins quand il recommence et qu’une troisième boule pénètre dans mon cul. Il continue de me baiser tout doucement. Il finit par m’introduire cinq boules dans mon jardin secret et les dernières sont sûrement plus grosses car elles dilatent drôlement mon boyau.

Sa queue va et vient dans mon vagin en feu. Elle fait vibrer les boules en frottant la mince cloison qui sépare ma chatte de ma turbine à chocolat. Indépendamment de ma volonté il se contracte sur ses boules qui électrisent mes sens. Je ne me rebelle plus tellement c’est bon.

- OOOOHHH !!! Putain ! C’est bon ! Continue !

Je suis au bord de la jouissance, il le sait parfaitement. Ses doigts cherchent mon clito et quand il le pince, je crie de douleur, mais immédiatement mon orgasme éclate dans mon corps.

- OOOUUIIIII !!! AAARRFFFF !!! JEEEEEEEEE !!! JOUIIIIS…

Son sexe est bien enfoncé dans ma chatte parcourue de spasmes de jouissance, je le sens merveilleusement bien. Mon orgasme diminue d’intensité, mais il repince mon clito en tirant sur la chaînette des boules de geishas et une des boules sort de mon jardin secret.

- AAAAGGGRRRFFFF !!!!!!

Mon corps entre une nouvelle fois en éruption, une nouvelle vague de plaisir déferle dans ma grotte, mon ventre et aussi… dans mes reins. Dès que l’intensité de ma jouissance diminue, il recommence à martyriser mon clito et à tirer sur la chaînette. Je n’arrête pas de jouir, car il réactive mon orgasme constamment avec sa bite, ses doigts et ces saloperies de boules dans mon fion.

Lorsque toutes les boules sont sorties de mes reins, il prend dans ses mains mes seins aux tétons tout durs, et toujours en moi, il murmure à mon oreille :

- Tu vois que tu es une belle salope, hein ? Avoue…

Haletante, je réussis à articuler :

- OUIII…

-Quoi ! Je n’entends rien ! Répète !

- Oui ! Je suis une salope ! Et toi un putain de salaud ! Mais je n’ai jamais autant joui !

- Ça te plaît d’être une salope hein…

- OUIIII ! OUUUUII ! C’est bien ce que tu voulais… non ? Détache-moi maintenant.

- Tut, Tut… ce n’est pas fini…

Je sens sa bite qui glisse dans mon sexe dégoulinant de jus tellement j’ai joui, qui sort et qui…remonte sur mon cul !

- Marcel ! Non ! Tu ne vas pas encore m’enculer !

- Tais-toi salope ! A moi de prendre du plaisir ! Et avec un trou du cul aussi accueillant je ne vais pas m’en priver ! Je n’ai plus qu’à fourrer ma bite dedans. Si tu voyais ton cul ! Il est grand ouvert ! Il me dit, viens rentre !!!

Je n'ai pas le temps d'avoir honte car je sens son gland sur mon anus et d’un seul coup, il est en moi.

- OOOOOUUUFFFF !!!

- Détends-toi ma pute… Laisse-toi faire…

J’obéis, j’arrête de contracter le muscle de mon rectum, je me détends en respirant plus calmement. Sa main caresse ma chatte avec deux ou trois doigts dedans, sa queue dans mon cul ne me fait plus mal. Au contraire… je me sens remplie et ça me procure un plaisir nouveau, mon corps s'adapte encore à sa grosse bite.

Une nouvelle sensation me donne du plaisir. Je me sens non seulement salope pour répondre à ses désirs pervers, mais aussi sale, souillée… en un seul mot… pute ! Marcel me traite comme telle… et il me donne du plaisir ! J’aime ces frissons qui commencent de nouveau à faire trembler mon corps, c’est intense, électrisant. Je ne sais pas s’il le ressent, mais son sexe reprend sa progression et je crie :

- OOOOOHHHHHH… OUIIIIIIIIIII !

Tout doucement, centimètres par centimètres, je sens sa queue qui s’enfonce. Elle dilate à l’extrême mes entrailles. Enfin je sens les poils de son pubis qui chatouillent mes fesses. Je suis empalée ! Il est entièrement dans mon derrière ! Marcel vient encore de m’enculer ! Lentement, il commence à me baiser le cul tout en continuant de fouiller ma chatte de ses doigts.

- Alors… Tu la sens bien ma bite dans ton cul, salope ? Je suis à fond ! Ça te fait quoi d’avoir une bite dans ton cul ?

- J’ai l’impression d’être une pute ! Salope et pute en même temps !

- Mais tu es une salope de pute ! Ma salope !

Il reprend ses va et vient dans mon cul. Je ne peux m’empêcher de gémir, car mon plaisir grimpe en flèche.

- OOOUUUU… AARRRGGGNNN… MMMM…

- Tu vois que t’aime ça ! Dis-le !

- OUUIII !!! Baise-moi ! Encule-moi ! Prends-moi comme une chienne !

- Tiens salope !

Comme un sauvage, il vient frapper mes fesses à chacune de ses poussées profondes, je sens ses couilles qui claquent sur ma chatte.

- OUUUIII ! Encore ! Plus fort ! AAAAAAARRRRGGNN…

Il se déchaîne, il laboure mon trou du cul frénétiquement en me criant des mots obscènes du genre : Enculée de putain de salope ! Chienne, pute !!! Et j’en passe…

Moi aussi je ne sais même plus ce que je dis et après un dernier cri :

-Salaud ! OUUIII !!!! Défonce-la ta salope de chienne !

Un nouveau et terrible orgasme explose dans tout mon corps et je jouis comme une folle sous les coups de bite de Marcel qui me défonce le cul. Je viens de jouir par le cul et lui, sur une dernière poussée, il jouit en moi en gueulant.

- AARRRFFFF ! Tiens prends ça dans ton cul, salope !

Je peux vous dire que j'aime ça… être une salope. Qu'est-ce que c'est bon de se faire défoncer la chatte et le cul. Je n'ai jamais eu autant de plaisir.

Je m'étale sur le lit, il reste collé à moi comme soudé ensemble, il ne débande pas. Marcel sur mon dos reprend comme moi ses esprits. Nous avons jouis de concert. Il libère mon anus.

Nous n’avons jamais usé de gadgets avec mon mari, on a eu tort, ces séances me le prouvent.

Il me donne une serviette de toilette sorti du sac pour que je m’essuie. Oh ! délicate attention ! Je me rhabille pendant qu'il range son matériel enveloppé de la serviette de toilette.

-Tu ne peux pas nier que tu as trouvé du plaisir dans ces séances de baise ???

Il n'a pas tort, il a réveillé mon corps en me révélant des pratiques qui m'étaient inconnues. Je finis par y prendre goût, moi qui n'ai jamais eu d'amant, me voilà prise au piège du plaisir.

-Dis-le que tu aimes jouir, que tu es à moi, que tu feras tout ce que je te dis , hein dis-le !

-Oui je me donne à toi pour que tu me fasses jouir, j'aime jouir avec toi.

-Maintenant tu ne pourras plus dire le contraire.

Du doigt, il désigne une webcam dans un trou du mur, elle est dirigée sur le lit. Le salaud!!! il vient de me piéger encore une fois avec mon aveu. Je suis vraiment naïve, j'ai voulu l’adoucir avec mon aveu et ça se retourne contre moi.

Je remonte en colère dans ma voiture, je rentre énervée, une bonne douche me fera du bien.

A suivre...