Traduction par Coulybaca d'un texte de Black Demon.
Omar Shoron ne pouvait désirer meilleur poste que le sien, il était maître d'équipage sur le navire de croisière "Isle of Pleasure". Il avait fait son chemin sur ce bateau, il occupait désormais la meilleure place pour assouvir son bon plaisir... Celui de posséder de ravissantes jeunes femmes... Et plus précisément de ravissantes jeunes femmes blanches ! Des femmes blanches mariées de préférence !
L'idée de posséder ces femmes qui appartenaient à des petits cons arrogants de blancs s'avérait le summum du plaisir pour Omar. Il n'était pas question de séduire ou de charmer ces somptueuses salopes qui retenaient son attention, ce n'était pas le style d'Omar, ce qu'il aimait le plus, c'était de les baiser alors qu'elles étaient effrayées et qu'elles se débattaient en le suppliant d'épargner leur vertu.
Il avait eu l'idée du "moment d'Omar" comme il aimait l'appeler en regardant une série américaine portant sur les crimes sexuels où les victimes étaient souvent des jeunes femmes insouciantes désœuvrées, il adorait agresser ces somptueuses proies alors qu'elles rejoignaient seules leurs cabines. Il empoignait ces jeunes femme insoucieuses et les entraînait dans des cabines inoccupées, les douces jeunes épouses se trouvaient alors entièrement à sa merci, il se réjouissait alors d'entendre leurs supplications, leurs cris et leurs pleurs alors qu'elles l'imploraient :
- "S'il vous plait... Je vous en prie, non... Nonnnn... Ne me violez pas..."
Comme les cabines étaient insonorisées, Omar pouvait les laisser crier miséricorde tout leur saoul, puis les laisser pousser des plaintes, des cris de douleur alors qu'il les violait sauvagement, fourrant sa grosse bite épaisse dans leurs petites chattes étroites et sèches. Les cris, les pleurs et les plaintes de ses malheureuses victimes terrifiées en comprenant leur triste sort sonnaient comme une douce musique dans sa tête... Cela l'encourageait à les violer, à dévaster encore plus leur corps.
Et dans les ténèbres des cabines il aurait aimé qu'elles se défendent encore plus, lorsqu'il leur annonçait à ces salopes de blanches qu'elles allaient servir de casse-croûtes à un africain bon teint. Se faire violer par un inconnu était une chose, mais pour ces victimes blanches, savoir que leur agresseur était noir rendait la chose encore plus insoutenable, les amenant à résister de toutes leurs forces pour échapper à cet infâme destin. Il tenait fermement leurs mains jointes au dessus de leurs têtes tant qu'elles se débattaient, Omar prenait un énorme plaisir à labourer leurs étroites fentes de son énorme braquemart. Et encore plus tard lorsqu'il les accablait en leur annonçant son intention de gicler au fin fond de leur utérus, elles se débattaient à nouveau, cherchant à le désarçonner pour échapper à cette ignoble conclusion.
Omar atteignait l'extase alors qu'elles jetaient leurs dernières forces dan la bataille, et que ses burnes se contractaient et expulsaient de longs jets de foutre brûlant dans leurs utérus fertiles.
Les ravissantes jeunes violées étaient totalement défaites à cet instant, leur combat était terminé, elles étaient maintenant ruinées, dévastées alors qu'elles sanglotaient folles de honte et d'humiliation.
Des informations récentes concernant les crimes sur des navires de croisières, et plus particulièrement sur l'un deux incluant la disparition d'un passager alors que des taches de sang avaient été relevées près de sa cabine révélaient que les investigations qui s'ensuivaient étaient minables, peu efficaces. De ce fait, les individus concernés avaient pris conscience que les crimes commis en haute mer ne relevaient en fait de la juridiction d'aucun pays.
C'était l'idéal pour Omar : au vu du pourcentage extrêmement bas de femmes se plaignant d'avoir été violées au cours de croisières, il était évident que la plupart des victimes, voire même la totalité, ne rapportait pas leurs viols aux autorités. Et même si le violeur était pris, le bateau de croisière ne pourrait que débarquer l'agresseur dans le port le plus proche en lui disant de tailler la route sans faire de publicité nuisible au renom de la compagnie.
Comme les lignes de croisière s'efforçaient de contenter leurs passagers, et en particulier les célébrités, les clients, et en particulier ceux qui prenaient leurs billets sur internet étaient tenus de révéler les raisons de leurs voyages. Et comme Omar avait la charge de l'équipage, il pouvait se procurer facilement toutes ces infos qui étaient transmises au service du personnel chargé de veiller au bien-être des voyageurs.
Certains de ces hôtes, dont ils s'attachaient à satisfaire le moindre désir étaient là dans des circonstances mémorables, Omar se chargeait en particulier de leur bien-être.
Pour cette semaine de croisière aller retour à Mexico, environ1.800 passagers s'étaient inscrits, Omar avait noté deux douzaines de couples qui étaient là pour fêter quelque chose, qui réclamaient donc une attention spéciale. Il avait vérifié que le personnel était bien en place, de ce fait, il pouvait surveiller l'embarquement des voyageurs.
Dans son agenda, Omar inscrivait le nom et le numéro des cabines des couples qui retenaient son attention. En les voyant présenté au capitaine, Omar décidait de les maintenir sur sa liste, ou de les rayer. Une fois qu'il avait observé les couples dont il avait noté le nom, c'était juste son instinct qui emportait sa décision.
Il jeta un œil sur la composition de la table d'honneur où seraient accueillis les couples à choyer, ceux qui avaient indiqués qu'ils étaient en voyage de noce ou qu'ils fêtaient l'anniversaire de leurs épousailles. Se pourléchant les babines, il observait quelques ravissantes jeunes femmes... De somptueuses jeunes beautés qui fêtaient leurs noces ou son anniversaire... Omar devait alors décider, avec sa queue s'il les gardait sur sa liste ou s'il les en rayait.
Omar voulait ramener sa liste à une petite douzaine de couples, il devait donc en éliminer la moitié, il gardait celles le plus à son goût, rayant celles qui ne correspondait pas à ses propres standards. De cette douzaine d'élues, seule la chance et les opportunités décideraient du nombre de celles qu'il se ferait.
L'insouciance, l'impression de séjourner dans un paradis faisait chuter l'attention de ses proies qui ne se tenaient plus sur leurs gardes et commettait alors l'erreur qui les précipitait dans les bras d'Omar leur séjour paradisiaque se transformait alors en ticket pour l'enfer.
La jeune et belle madame Lori Walker âgée de 25 ans était très élégante dans sa longue robe noir ornée d'un galon rose autour de la taille, la bite d'Omar avait tressauté d'impatience à sa vue. Elle faisait cette croisière avec son mari pour fêter leur première année de mariage, il avait gratifié son nom de 5 étoiles dans son agenda. Elle était si heureuse, si relaxée d'effectuer cette croisière loin du bruit et des nuisances de "Wall Street", elle se croyait totalement en sécurité à bord de ce navire où tout semblait clair et net. Elle se promenait parmi une foule de joggers et de promeneurs qui allaient et venaient sur le pont, elle avait planifié elle-même leur croisière. Cette première matinée, après s'être adaptée aux lentes oscillations du bateau et avoir passé une bonne nuit, Lori s'était levée tôt pour faire ses exercices parcourant environ deux kilomètres sur le pont. Le temps étant assez frais, elle avait enfilé son sweat-shirt et les écouteurs sur les oreilles elle avait écouté de la musique tout au long de on jogging.
Dès qu'elle avait mis le pied sur le pont extérieur, elle avait attiré l'attention d'Omar alors qu'il surveillait la foule de son poste de commandement. Elle devait peser une petite soixantaine de kilos pour 1,70 m, la proie idéale pour un futur agresseur ne pesant pas moins de 120 kg qui saurait aisément la maîtriser. La bite vibrante d'envie Omar avait décidé de consommer cette première proie dès le premier jour de la traversée.
Regardant la ravissante jeune femme vêtue d'un survêtement blanc, il grommela :
- "Bordel, elle semble bonne en tout... Et je parie qu'elle est encore meilleure dans certaines disciplines ! hey, hey, hey..."
S'emparant de son agenda, Omar nota qu'elle était au niveau bleu, dans une cabine extérieure située à bâbord à l'arrière du navire. Il chercha alors le document de gestion du pont bleu, vérifia la liste des cabines occupées en espérant qu'une des cabines intérieures serait libre.
Il se demandait combien de temps elle s'accordait pour ses exercices matinaux, Omar appela un de ses assistants pour se faire remplacer arguant de vérifications à effectuer sur le pont inférieur, il le prévint qu'il en aurait pour un bon moment. Armé de son passe-partout qui lui permettait de pénétrer dans toutes les cabines du navire, Omar se dirigea lentement vers le pont situé juste au dessus de celui où la ravissante blonde se livrait à ses exercices.
Il se trouva une place d'où il pouvait confortablement épier la somptueuse jeune femme, il chercha alors une bonne raison pour envoyer ailleurs le marin de service qui parcourait le pont en tous sens à la disposition des voyageurs. Il se trouvait du coté du pont où la jeune épouse était apparue pour se livrer à sa promenade sportive, Omar croisait les doigts espérant qu'elle reviendrait par ici lorsqu'elle en aurait terminé avec son jogging et qu'elle ne partirait pas par l'autre coté couvert d'une pergola.
Juste au moment où cette pensée lui traversa l'esprit, l'insouciante beauté revint vers lui et soufflant avec force elle consulta la montre à son poignet. Elle ralentit alors son rythme, s'arrêta et s'assit sur un transatlantique en bois pour se reposer un instant sous la caresse du soleil levant.
Descendu sur le pont inférieur, il vit que la jeune femme avait tendu les bras au dessus du fauteuil, derrière sa tête. Sa bite frémit dans son pantalon à la vue du diamant étincelant à son index.
- "Tu seras bientôt à moi ! " se promit-il.
Puis il bouscula le marin de service dans sa hâte de descendre au niveau bleu. Rencontrant Raheed un des hommes d'équipage chargé de ce pont qui amenait de nouvelles serviettes dans une cabine, Omar l'envoya aider Musad, un jeune effectuant sa première croisière, en retour, Musad le seconderait ensuite pour gérer le pont bleu. A peine Raheed disparu, Omar entendit s'ouvrir le loquet de la porte utilisée par les passagers.
Il se cacha prestement dans la cabine inoccupée située juste en face de celle occupée par monsieur et madame Walker, il tenait la porte entrouverte pour surveiller aisément l'insouciante jeune beauté. Un peu essoufflée au retour de son jogging, Lori avait quitté son transat pour gagner sa cabine, baissant la fermeture éclaire la banane qui lui ceignait la taille. Bien que son mari lui ait conseillé, la nuit dernière, de déjeuner sans lui car il avait programmé de dormir jusqu'à midi, Lori voulait le réveiller pour qu'il prenne son petit déjeuner avec elle. Et, même si elle n'y parvenait pas, elle voulait se rafraîchir un peu et enfiler une tenue plus appropriée pour déjeuner en compagnie d'autres passagers.
Cette croisière pour célébrer leur premier anniversaire de mariage concluait une année pleine de félicités pour Lori et son mari. Et maintenant, elle brûlait d'envie de recevoir le cadeau d'anniversaire que lui avait promis son époux... Ils voulaient fonder une famille. Elle avait momentanément arrêté de prendre la pilule comme sur les conseils avisés de son médecin, elle se trouvait maintenant en pleine période de fertilité, prête à être fécondée par son mari.
- "Hummmmm, si je ne parviens pas à le faire lever... Peut être qu'on pourrais-je le décider à me faire l'amour avant d'aller déjeuner !" se sourit-elle à elle même, ressentant des fourmillements entre les cuisses à cette idée et ce aujourd'hui même le 14, le jour anniversaire de leur mariage.
- "Ce serait drôlement approprié... De faire l'amour... De me faire engrosser juste le jour de notre premier anniversaire de mariage ! Ce serait le cadeau que je préférerai recevoir..."
- "Je sais comment je vais m'y prendre ! Oh oui... C'est ça... Je vais me glisser dans la cabine, prendre une bonne douche chaude, puis j'enfilerai ma chemise de nuit rose qui excite toujours John... je vais le séduire... Et je suppose que nous n'aurons qu'à penser à ce qui se passera ensuite..."
Lori gloussait en son fort intérieur sachant très bien ce qui se passerait dès qu'elle se glisserait sous la couette. Tâtonnant dans sa banane, Lori cherchait la clé de sa cabine lorsque soudain une main ferme fut pressée contre sa bouche tandis qu'on l'entraînait en arrière dans la cabine faisant face à la leur.
- "Aieeeeeeeeeee... A l'aideeeeeeeeee... Aieeeeeeeeeeee... Arrêtez... Arrêtzzzzzzzzzzzzz... Nonnnnnnnnnnn... Au secourssssssss... Arrêtezzzzzzzzzzz !" aurait-elle aimé hurler si la main la bâillonnant fermement ne l'en avait empêchée.
Enveloppé par les ténèbres de l'intérieur de la cabine, Lori recula alors que l'homme enlevait la main la bâillonnant une fois la porte de la cabine verrouillée. Elle hurlait alors que les grosses mains s'attaquaient à ses vêtements la dépouillant de son pantalon de jogging et de sa petite culotte. Comme elle cherchait à décocher des coups de pied à son agresseur, il les lui empoigna lui arrachant des pieds tennis et socquettes. Ses cris qui résonnaient dans la cabine ne formaient qu'une douce musique aux oreilles d'Omar qui maîtrisait bien la ravissante jeune femme paniquée, lui tenant les mains au dessus de la tête. Il réunit ses deux poignets dans une seule de ses grosses mains, libérant l'autre qu'il put glisser dans son dos. Il était ravi de la sentir trembler sous ses caresses alors qu'elle se débattait cherchant à le repousser. Il empoigna son soutien-gorge, dégrafa le clip au creux de ses omoplates et tira, lui arrachant son soutien-gorge déchiré.
- " Oh mon Dieu... Mon Dieu... Mon Dieu... " balbutiait-elle sourdement alors qu'il lui palpait le nibard gauche, puis le droit.
- "Nonnnnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnn..." sanglotait-elle alors qu'il la dépouillait de sa veste de gym, il pouvait maintenant lui mignoter les deux mamelons, les prenant voluptueusement en bouche.
Elle pantelait alors qu'il manipulait lascivement les deux jumeaux, les suçant tout à tour.
- "Owwwwwwwwwww... Ow... Arrêtez.... Ne faites pas ça..." l'implorait-elle alors qu'il mordillait la chair tendre de ses tétins dardés.
Il se guida lui même entre ses cuisses tremblantes. Faisant bien attention de ne pas se prendre un coup de genoux dans les joyeuses, Omar se disposa correctement, frottant son épais bourgeon sur la face interne de ses cuisses pour lui faire évaluer la taille de la bite qui allait bientôt enfouir au plus profond de son sexe.
Ses tétons raidissaient entre ses lèvres sous ses caresses indésirées, Omar sut alors que la jeune beauté s'obligeait à refréner ses envies de répondre à ses assauts.
Et maintenant, alors qu'il s'engouffrait jusqu'au col de son utérus, elle se débattait de plus belle cherchant à s'épargner un sort que bien des femmes considèrent comme pire que la mort. Elevée dans la chaude atmosphère d'une famille de la haute bourgeoisie conservative, allant à l'église chaque semaine, Lori ne pouvait même pas concevoir qu'une chose aussi dégradante, aussi infâme, puisse lui arriver. En fait, elle avait déjà lu dans les journaux et vu des reportages à la télé relatant des arrestations de violeurs noirs identifiés par leurs victimes, comme ce violeur en série qui avait terrifié une des petites villes côtières proche de l'endroit où elle demeurait, Lori avait frémi en voyant des photos de cet ignoble individu, elle avait pensé au fond d'elle même :
- "Mon Dieu... J'aurai préféré mourir que de sentir ses mains se poser sur moi !"
Et maintenant alors qu'elle essayait désespérément d'échapper à cet assaillant surpuissant, allongée sur le lit, Lori se tordait sous l'homme qui lui clouait les mains au dessus de la tête. Elle sentait la dure colonne de chair vibrer entre ses cuisses, se braquant sur sa petite chatte affolée, Lori était affolée en sentant quelque chose de la taille du bras d'un enfant se positionner à l'entrée de sa féminité, ce n'était sûrement pas le bras d'un bébé.
- "Mon Dieu... Mon Dieu... Personne... personne ne peut avoir... Ne peut avoir un membre aussi démesuré... " frissonnait-elle totalement paniquée.
- "S'il vous plait... Je vous en prie... Je vous en prie, ne me violez pas... S'il vous plait... Votre... Votre pénis... Est trop gros.... beaucoup trop groooooooooos... Il ne rentrera jamais... Je vous en prieeeeeeeeeee... " se lamentait Lori, suppliant son assaillant de ne pas la violer de sa monstrueuse mentule qui frappait à l' instant même à l'entrée de sa féminité.
- "Owwwwwwwwww... Nonnnnnnnnnnnnnn !" glapit-elle alors que l'épaisse bite s'engouffrait d'une seule et violente poussée jusqu'au col de son utérus, il se mit ensuite à la labourer sauvagement.
Omar se délectait de son nouveau jouet sexuel, il adorait la douce peau soyeuse de cette blonde beauté dont il savourait les charmes, d'autant plus qu'il savait que son mari était endormi dans une cabine à moins de 10 mètres d'eux. Il aimait tout chez elle, sa façon de crier, sa façon de se débattre, la façon dont elle avait lutté, ses sanglots, mais le meilleur restait à venir.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee...
Cette douce musique retentit à nouveau dans ses oreilles alors qu'il s'engouffrait avec succès dans son fourreau étroit, s'enfouissant du premier coup au fond de son utérus si resserré.
Une bite bien plus grosse que celle de son mari s'enfonçait brutalement dans sa chatte étriquée, la distendant aux limites de la rupture.
Il se retira lentement et d'un violent coup de boutoir s'enfonça encore plus profondément dans son utérus meurtri, visitant des zones jusqu'ici inexplorées, elle comprit alors qu'elle n'oublierait la taille démesurée de cette bite qui forait son trou en elle.
- "Arrêtez... Arrêtez... S'il vous plait... Arrêtez je vous en prie... J'ai mal... Si maaaaaaaaaal..." hurlait elle tétanisée de douleur.
Elle comparait ce qu'elle subissait à ce qui se passait normalement entre amants ordinaires, d'après ce qu'elle avait vécu jusqu'ici, n'ayant connu que le pénis de son mari qui s'avérait au moins deux moins épais et moins large que celle de cet ignoble individu. Omar, railleur, ironisait :
- "Alors ma gentille petite beauté américaine... A la peau si douce, si soyeuse... A la chatte si étroite... Apprécies-tu la bite de l'africain !"
Comme il s'y attendait, elle s'était débattue deux fois plus vigoureusement à cette information, elle savait maintenant que son violeur était noir, ce pourquoi il se fondait si bien dans l'obscurité les environnant. Dans les ténèbres, Omar sourit, il adorait voir sa victime redoubler d'efforts pour se libérer.
De ce fait, il s'enfouissait de plus en plus profondément dans sa ravissante proie... La bourrant jusqu'à la garde alors qu'elle laissait échapper de déchirants cris de détresse.
Soudain sa résistance s'amollit, Omar savait que le combat était terminé, la somptueuse pute était définitivement matée. Il relâcha ses poignets et lui saisissant les hanches il commença à coulisser lascivement en elle.
Ravagée par la douleur, Lori savait qu'elle ne serait plus jamais la même, que l'innocente jeune femme que tant de monde admirait était morte en elle.
La bite tressautant de plaisir de posséder cette splendide pouliche rétive, Omar sentait ses couilles s'emplir d'un jus épais qu'il ne tarderait pas à lui injecter au plus profonde de son intimité. Que pouvait-il espérer de mieux que de la rendre mère de petits bâtards noirs ? Elle était belle la vie ! pensa-t-il goguenard.
Il la martelait maintenant à la vitesse tel un marteau piqueur, il s'ensevelit dans son fourreau et grogna :
- "Ahhhhhhhh... Ahhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh..."
Jet après jet, il remplissait à ras bord la chatte asservie de la jeune femme effondrée. C'est dans un clapotis révélateur qu'il termina de la baiser, le surplus de foutre s'écoulait en larges filets du point d'union de leurs deux corps.
Vaincue, défaite, elle soupirait misérablement, son corps tremblait de façon irrépressible alors que l'acide semence de son violeur commençait à cautériser les plaies de son vagin meurtri. Tremblante comme une feuille, elle l'implorait :
- "S'il vous plait....Tuez moi... Tuez moi... Je ne veux plus vivre après ça !
D'autant plus qu'elle venait de constater effondrée :
- "Mon Dieu, il n'a pas mis pas de préservatif... Je devais me faire engrosser au cours de cette croisière... Mais... Mais pas par un noir... Pas comme ça !"
Lori souhaitait vraiment mourir à cet instant. C'est alors qu'il lui empoigna brutalement la nuque, lui tirant la tête en avant. Dans le noir, un épais gland buta contre ses lèvres fermées, alors qu'il insistait la pressant contre son pubis, Lori réalisa avec horreur quel acte dégradant il attendait d'elle. C'était une chose si dégoûtante, si avilissante qu'elle elle avait même refusé de se livrer avec son mari, et voila qu'elle frissonnait de tout son corps alors que cet homme qui venait de la violer si vicieusement présentait sa bite à l'orée de ses lèvres.
L'estomac secoué de nausées, tremblante de tous ses membres, elle se sentait mal alors que l'épaisse colonne glissait entre ses lèvres entrouvertes. Contrainte d'ouvrir la bouche, Lori eut grand peur de vomir au goût révoltant de la grosse colonne de chair qui s'immisçait entre ses lèvres. C'était si avilissant, elle devait replier sa langue pour faire place à l'encombrant visiteur, Lori soupira résignée à se conformer à se exigences. Frissonnante de dégoût, elle se força à obéir... Allant même jusqu'à titiller de la pointe de la langue son méat dilaté.
Baisée en bouche, avalant sa salive à chaque fois que l'épais bourgeon explorait son arrière gorge, Lori empoigna sa bite au niveau des burnes. Ce afin d'éviter que ce bâtard ne lui enfonce toute la longueur de sa mentule dans la gorge, au risque de l'étouffer. Elle aurait voulu mourir après avoir subi cet ignoble viol et ces actes dégradants, mais sûrement pas étouffée par l'énorme bite noire de son agresseur.
Relâchant sa bite, Omar tâtonnait dans le noir, à la recherche de son appareil photo digital qu'il avait disposé prêt à l'emploi, sur une des étagères. La caméra en main, il la tint en l'air et déclencha le premier flash, un éclair aveuglant captura l'image de la somptueuse beauté à genoux suçant sa bite qu'elle étreignait de la main flattant ses burnes. Prêt à éjaculer de nouveau, il reposa la caméra sur l'étagère toute proche. Il crispa sa main sur sa nuque pour prévenir tout retrait, Omar gloussa lui remplissant la bouche pour se finir en crachant ses dernières giclées sur son visage égaré.
- "Argggggggggggg... Arggggghhhhhhhhhhh... " mugit-elle lorsque la première giclée de semence chaude lui embourba la gorge.
La bite sortit de sa bouche, il la prit à pleine main et la braqua sur son visage pour lui octroyer un masque facial. Un nouvel éclair, cette fois l'image la représenterait visage dégoulinant de foutre la grosse bite responsable de ces projections infâmes bien visible en arrière plan.
Assise sur le sol de la cabine, le dos appuyé contre le lit, Lori frémissait de honte.
Soudain un flot de lumière, provenant de la porte, envahit la cabine, clignotant des yeux pour ajuster sa vue, tout ce que vit Lori de son agresseur noir, c'est une vague silhouette qui quittait la cabine avant de claquer la porte dans son dos, plongeant à nouveau la cabine dans l'obscurité la plus totale.
Il se passa un bon quart d'heure avant que Lori ne retrouve suffisamment de force pour réagir, elle se mit alors à la recherche du commutateur. La lumière allumée, Lori vit la porte coulissante qui menait à la salle de bain. S'appuyant au mur, elle entra dans la salle de bain, c'est alors qu'elle entendit :
- "Splat... Splat... Splat...."
Regardant au sol, elle comprit avec horreur qu'il s'agissait de gouttes de sperme s'échappant de sa chatte pour tomber au sol.
Sa chatte qui était si étroite auparavant n'était plus qu'un vaste trou béant tant l'énorme bite de son violeur l'avait distendue, et son foutre, quasiment à l'air libre, gouttait littéralement au sol.
Elle avala sa salive à la vue de son reflet dans le miroir, elle rougit de honte en constatant que son visage était couvert d'un entrelacs d'épais filets de foutre. Elle se saisit du savon, et se frotta énergiquement, mais elle savait qu'elle ne faisait qu'effacer les traces superficielles, il était nécessaire qu'elle prenne rapidement une douche vaginale pour tenter d'éliminer le foutre qui tapissait son utérus fertile, cette menace était bien plus dangereuse.
Elle se saisit d'un serviette et se frotta énergiquement avant de sortir de la salle de bain. Elle devait maintenant retourner dans sa cabine, elle se mit à la recherche de ses vêtements. Elle avait oublié que des gouttes de foutre qui s'étaient échappées de sa chatte à chacun de ses pas, elle glissa sur une flaque de foutre et s'étala de tout son long dans une mare de sperme couvrant le sol.
Jetant un œil sur elle, elle grinça des dents et frissonna de dégoût, alors qu'elle venait tout juste de débarrasser son corps de ces gluantes souillures, elle avait maintenant les deux pieds enrobés d'un épais film de semence. Alors qu'elle frémissait de colère, dans un réflexe inconscient, ses sphincters vaginaux se contractèrent expulsant une nuée de gouttelettes de foutre de sa chatte qui vinrent lui poisser la face interne des cuisses.
Sanglotante, elle retourna dans la salle de bain pour reprendre une douche.
Ayant enfilé sa tenue de jogging sans ses sous-vêtements qu'elle n'avait pas retrouvé, elle se hâta de quitter la cabine. Regardant le bouton de porte de sa cabine, elle tourna le dos et remonta sur le pont, il lui fallait se rendre dans la petite boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, elle avait besoin de se procurer une douche vaginale pour se curer le vagin avant qu'il ne soit trop tard. Elle n'en avait pas emmené dans son désir de se faire engrosser au cours de cette croisière, mais elle voulait un enfant de son mari, et non de celui d'un infâme violeur noir.
De retour à son poste sur le pont supérieur, Omar la suivait des yeux alors qu'elle s'approchait lentement du garde-fou yeux rivés sur les flots bleus.
- "Oh, oh songerait-elle à en finir !" réalisa-t-il soudain.
Hélant rapidement Catherine, une des filles chargée de l'entretien du pont supérieur, Omar l'avisa qu'une passagère semblait souffrir du mal de mer, il lui conseilla d'aller la remonter.
Il poussa un gros soupir de soulagement en la voyant reprendre son chemin, après avoir conversé quelques minutes avec Catherine. Alors qu'elle entrait dans la coursive, Omar s'éloigna de son poste d'observation et choisit une place d'où il pouvait regarder ce qui se passait dans la coursive, continuant à épier la ravissante beauté en pleine détresse.
En la voyant disparaître dans la boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, il sourit et supposa qu'elle venait se procurer une douche vaginale... Dans l'espoir d'éviter une grossesse redoutée.
- "Trop tard, ma douce ! Omar ne tire pas des cartouches à blanc ! Avec la dose de sperme que j'ai déchargé dans ton utérus il y une petite heure, tu ferais mieux de faire des prières ! Eh, eh, eh..." gloussait-il hilare.
Son soutien-gorge et sa petite culotte entortillée autour de sa bite la faisait palpiter à nouveau dans son caleçon, il se marrait sachant qu'elle était nue sous sa tenue de jogging.
- "Bordel je suis sûr que ses tétons doivent lui brûler !" se marrait-il pensant combien ils devaient la faire souffrir après avoir été sucés, étirés, maltraités, mordillés de si sauvage façon, il voulait justement qu'elle soit meurtrie par leur frottement sur le tissu de son sweat.
Et de fait Lori grimaçait à chaque frottement de ses tétons dardés contre son sweat, elle avait longuement examiné ses nibards douloureux avant de quitter la salle de bain, affolée par les traces de morsure qu'elle devrait dissimuler, des ondes de douleur diffusait dans tout son torse alors que ses nichons bleuissaient.
Ses sous-vêtements disparus, des filets de foutre s'écoulant de sa chatte béante, Lori, après s'être tamponné la moule avait dû bourrer un gant de toilette dans sa cramouille pour endiguer le flot de foutre tout en en absorbant une bonne part.
Elle n'aurait peut-être pas résisté à la tentation de sauter par dessus bord si la gentille jeune femme ne l'avait pas distrait de son attirance morbide pour les flots bleus.
Prudente, Lori s'était procurée deux flacons de douche vaginale. L'un pour un usage immédiat dès qu'elle serait de retour dans sa cabine, dans l'espoir d'éviter de se retrouver enceinte des œuvres de son ignoble violeur... S'il n'était pas déjà trop tard !
- "Mon Dieu... Violée... Violée et déshonorée le jour de notre premier anniversaire de mariage ! Et peut être même engrossée par ce noir que je n'ai même pas entrevu..." frissonna-t-elle horrifiée.
Si elle se retrouvait enceinte des suites du viol, bien que contre l'avortement en général, Lori réalisa qu'elle n'aurait pas d'autre choix dans ce cas. Mais, si elle faisait l'amour avec son mari au cours de cette croisière, elle ne parviendrait pas à savoir qui l'avait mise enceinte.
Le flacon de douche vaginal en rabe lui permettrait d'éviter ce risque, elle espérait bien dissuader son mari de faire l'amour, prétextant être bien trop fatiguée par la croisière ou se servant de tout autre excuse invérifiable... Mais au cas où...
Elle ne voulait surtout pas que son mari remarque ses contusions, les bleus ornant son corps et encore moins qu'il constate la béance de sa chatte et de son trou du cul derniers témoignages de son viol.
De retour à son poste d'observation, Omar surveillait le pont extérieur, il sourit en voyant la jeune femme retourner vers le couloir menant aux cabines du pont inférieur. Alors qu'elle s'engouffrait dans le couloir, Omar pensa :
- "J'espère que tu vas souhaiter un bon anniversaire de mariage à ton mari, de ma part !"
Jetant un œil sur la feuille de réservation des Walker, il inscrivit en en-tête Jour 1, 2 photos. Cela l'aiderait à se rappeler que les deux premières photos prises avec son appareil photo digital étaient celles de la délicieuse Lori Walker.
- "Oh oui ma chère madame Walker... Omar t'appellera dans un proche futur, lorsque son bateau fera escale près de chez toi ! Je suis bien sûr que lorsque tu verras les photos de ton viol, tu feras n'importe quoi pour qu'elles ne soient pas diffusées... Et pour cela tu viendras me rejoindre dans ma chambre de motel pour y passer avec moi le temps de l'escale du navire !" conjecturait-il plein d'optimisme.
- "Oh oui... J'en profiterai pour te casser le cul... Je suis bien sûr que t'es encore vierge du trou de balle ! " se marrait-il plein d'espoir.
C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait sceller le destin de Lori :
- "Hummmm J'ai une bien meilleure idée... Je vais me la faire la première heure et ensuite, je me ferai des couilles en or !"
L'équipage était constitué de centaines de matelots de nationalités différentes, la majorité sont des mâles, Omar savait qu'ils paieraient cher pour satisfaire leur lubricité, par exemple pour se taper une ravissante jeune américaine comme l'adorable madame Walker.
Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse jeune femme vêtue de sa jolie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, cette photo montrée à l'équipage provoquerait l'inscription de nombreux clients, elle aurait du boulot pour toute la journée.
Si la jeune beauté avait connu les intentions de ce pervers d'Omar, elle serait remontée sur le pont pour piquer une tête par dessus bord.
Comme les bateaux regorgeaient de matelots privés de jolies femmes, Omar avait programmé un plan extrêmement pervers : tout d'abord il se ferait la somptueuse chienne en la faisant chanter avec les photos, puis il la donnerait en pâture à l'équipage, chacun lui payant son octroi.
Omar se remémorant ses performances avait défini rapidement le temps qui serait alloué aux consommateurs
- "20 minutes... Pour chaque groupe de 5 !"
Quant au prix de la passe, Omar l'avait fixé à 50 $ pour une branlette ou une éjaculation sur ses pieds et ses jambes, et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou en cul ! Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes.
Omar calcula rapidement :
- "21 clients à l'heure... Pendant 10 heures d'affilée... Mon Dieu... Elle va souhaiter se jeter par dessus bord après avoir servi de jouet à plus de 200 consommateurs en une seule journée !"
A suivre...