Traduction d’un texte de SplendiSpunk.
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Je regarde Alice depuis un certain temps maintenant. Elle habite dans mon quartier et c’est une très belle femme. Je pense qu’elle doit avoir trente ans environ. Elle est assez grande avec des cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules. Elle est enseignante au lycée local et célibataire ou divorcée, car elle vit seule.
Moi-même, je suis un homme célibataire, un peu plus âgé qu’elle. Je la vois tous les matins quand je pars au travail. Généralement elle fait du jogging et nous avons commencé à nous saluer quand nous nous croisons.
J’étais en ville le week-end dernier et, à ma grande surprise, j’ai vu Alice dans un bar que je fréquente. Après l’avoir aperçue, je réfléchissais sur la meilleure façon de l’aborder quand je l’ai vue quitter le bar avec trois hommes noirs assez costauds. Comme je suis un gars assez curieux, je les ai suivis en m’assurant de rester derrière et de ne pas me faire voir. J’ai été encore plus surpris de voir que l’un des hommes avait passé son bras autour de la taille d’Alice. Ils se sont tous dirigés vers la ruelle à côté du bar.
Je me suis alors lentement approché pour jeter un coup d’œil. J’ai vu que Alice était maintenant agenouillée sur le sol avec les trois hommes autour d’elle. J’entends l’un des gars lui dire quelque chose et immédiatement elle baisse la tête. Bien que je n’étais pas assez proche pour entendre ce qui avait été dit, j’ai vu Alice déboutonner son chemisier et le faire glisser de ses épaules sur le sol de la vieille ruelle sale. D’autres mots furent prononcés et Alice tendit ma main derrière elle et dégrafa son soutien-gorge pour le laisser tomber sur son chemiser. Alors qu’elle se trouvait à genoux, seins nus, sa poitrine bien exposée à l’air frais de la nuit, instinctivement j’ai sorti mon portable et j’ai commencé à prendre des photos.
En peu de temps, les trois hommes ont ouvert leur pantalon et ont sorti leur bite. Je comprends qu’Alice est soit forcée, soit autorisée à sucer ces trois blacks. Je sais que la rumeur dit que tous les hommes noirs ont d’énormes queues, mais seule la bite d’un gars était vraiment grosse, les autres étant dans la moyenne. Alice se mit à les sucer une par une, la plus grosse étant la dernière. Tous les gars baisaient son visage en forçant leur bite à fond dans sa bouche. A en juger par ses réactions, ils s’enfonçaient jusqu’à sa gorge, car elle étouffait et vomissait de la bile et de la salive. Mais cela ne ralentissait pas les gars qui se relayaient rapidement sans lui permettre de se reposer.
Et pendant qu’ils lui baisaient la bouche, les gars parlaient beaucoup. Il me semble qu’ils l’insultaient et la traitaient de tous les noms pendant qu’elle s’activait sur les bites bien dures. Un premier homme a joui. Il s’est retiré et il a éjaculé sur ses seins et son visage. Ne lui laissant aucun repos, un deuxième a enfoncé sa bite dure dans sa bouche dès que le premier a cessé de lui gicler dessus. Les railleries et moqueries ont continué tout comme les haut-le-cœur d’Alice quand la queue a atteint sa gorge. Ce gars-là fut un peu plus endurant et il a choisi lui aussi de couvrir les seins et le visage avec son foutre.
Lorsque le troisième homme s’est présenté devant elle, il a saisi une poignée de ses cheveux et il a tiré son visage vers le haut pour qu’elle le regarde. Puis il lui a dit quelque chose en tirant sa tête en avant sur son sexe qu’il enfonça dans sa bouche et sa gorge. Il la retint solidement contre elle et Alice eut manifestement du mal à respirer. Quand il tira sa tête en arrière, elle toussa et cracha un amas de salive et de bile. Puis elle accepta de nouveau cette grosse bite dans sa bouche. Chaque fois qu’il pénétrait sa bouche, il s’enfonçait jusqu’à remplir sa gorge avec son membre dur. Elle paniquait à chaque fois, mais elle ne refusait jamais. Elle avait toujours la bouche ouverte et elle était toujours prête quand il tirait ses cheveux.
Quand enfin il a joui, il s’est retiré, mais en tenant toujours les cheveux d’Alice pour gicler sur sa face. Il a giclé si près et son sperme est sorti avec assez de force pour éclabousser et rebondir sur sa bite. Il a couvert son visage et ses cheveux de sa semence. Puis quand il a fini, il enfonce sa bite moins profondément et lui fait nettoyer le sperme qui était dessus.
J’ai vu alors les trois blacks s’éloigner dans la ruelle. Alice récupéra ses vêtements et remit son soutien-gorge et son chemisier. Elle ne fait rien pour nettoyer ses seins ou son visage avant de se lever et quitter la ruelle.
Je suis retourné au bar avec mon téléphone portable rempli de photos. Je me suis mis dans un coin tranquille pour revoir ces images. J’ai remarqué qu'Alice est revenue également dans le café pour récupérer son sac avant de repartir. J’ai trouvé qu’elle avait du cran de marcher calmement avec ce foutre sur le visage et dans ses cheveux.
Je n’ai jamais pris d’aussi bonnes photos. Content de moi, j’ai aussi quitté le bar pour rentrer chez moi. Sur le chemin, j’ai réfléchi pour savoir ce que je pourrais tirer de ces photos, de la façon dont je pourrais les utiliser. La première chose que j’ai faite c’est de les enregistrer sur mon ordinateur personnel et d’en imprimer un jeu. J’étais tellement pris par cette histoire que je ne me suis pas rendu compte qu’il était tard. Heureusement nous étions vendredi soir et je ne travaillais pas le lendemain.
Je me réveille le samedi matin avec un plan que je suis déterminé à mettre en œuvre dès aujourd’hui. J’attrape le jeu de photos que j’ai imprimé et je le mets dans une enveloppe en griffonnant un mot sur l’extérieur. Ensuite je sors de la maison avec l’enveloppe et, en voiture, je me mets à la recherche de ma joggeuse préférée. Je la vois à quelques pâtées de maison. Je la dépasse puis je fais demi-tour et je reviens vers elle. Je me gare et sors de ma voiture pour attendre qu’elle passe. Alors qu’elle s’approche, je peux voir qu’elle m’a reconnu. Elle hoche la tête pour me dire bonjour. Je lui tends alors l’enveloppe pour la forcer à la saisir et je lui dis :
- On reste en contact !
Puis je remonte dans la voiture et je démarre tout de suite sans lui laisser le temps de me questionner.
Je rentre chez moi et je m’assois à une fenêtre d’où je peux voir Alice rentrer chez elle après son jogging matinal. Quand elle apparaît, je remarque qu’elle ne court plus, mais qu’elle marche en tenant l’enveloppe et en la regardant. Elle entre chez elle et je souris. Les photos ont sûrement été une surprise pour elle et à la façon dont elle marchait, elle semblait également inquiète. Il faut maintenant que je sois patient et que j’attende qu’elle vienne d’elle-même. Elle me connaît assez pour savoir où j’habite. Et pour que mon plan fonctionne, il faut que ce soit elle qui fasse le prochain pas.
L’attente n’est pas aussi longue que celle que je prévoyais. Alice frappe à ma porte ce soir-là, en tenant toujours l’enveloppe dans la main. J’ouvre la porte et je la regarde en attendant qu’elle parle. Le silence s’établit pendant un certain temps qui me semble une éternité mais qui ne dure qu’environ trente secondes avant qu’elle dise :
- Je suppose que vous étiez là la nuit dernière. Je sais que je passe pour une salope, mais croyez-moi quand je vous dis que je n’avais pas le choix.
- Vous voulez dire que vous avez été violée ? Vous avez été forcée de faire une fellation à trois hommes dans une ruelle ?
- Non je n’ai pas été violée. J’ai été forcée de le faire à cause de quelque chose que j’ai fait il y a quelques semaines. Et je me suis faite prendre.
- J’ai l’impression que tu t’es encore faite prendre Alice. Alors dis-moi ce qui t’est arrivé la première fois ?
- Je me suis laissée séduire par un jeune homme dans ma classe. Les hommes d’hier soir étaient son père et ses oncles. Ils m’ont dit que si je leur obéissais, ils ne diraient rien à l’école et je ne perdrais pas mon travail d’enseignante.
- Et crois-tu que la nuit dernière est la seule chose qu’ils veulent que tu fasses ? Ne crois-tu pas qu’ils peuvent vouloir plus ? Tu réalises qu’ils te tiennent toujours dans leurs griffes, non ?
- Non, je pense que c’est fini. J’ai réussi à enregistrer la conversation dans le bar avant de les sucer dans l’allée. Et je les ai appelés pour leur dire que j’enverrai des copies à leurs femmes s’ils me faisaient chanter à nouveau. Je pense donc qu’ils ne m’ennuieront plus.
- Intelligent de ta part. Malheureusement je ne suis pas marié et j’ai des photos. Maintenant, je sais à quel point tu chéris ton travail. Donc j’espère que tu te rends compte que j’ai le pouvoir et que tu te trouves dans une position délicate.
- Merde oui, je me le suis dit dès que j’ai vu les photos. J’espérais pouvoir parvenir à un arrangement, vous payer par exemple. J’ai vraiment besoin de mon travail et j’ai surtout besoin que l’on ne ternisse pas ma réputation si je veux enseigner ici ou ailleurs.
- Bon, alors pour commencer je m’appelle Eric, mais tu m’appelleras toujours Monsieur. Est-ce clair ?
- Oui.
- Oui quoi ?
- Oui Monsieur, je comprends parfaitement. Est-ce que je dois vous sucer ?
- Alice, tu vas espérer que ce que je te demanderai sera seulement de me sucer la bite. Maintenant rentre chez toi. Je t’appellerai quand je le voudrais et tu répondras. Tu viendras quand je te le dirai et tu feras ce que je dis, sinon ces photos ne seront pas seulement envoyées à ton école, mais aussi à ta famille et affichées sur internet. Compris ?
- Oui Monsieur, j’ai compris.
- Ok, rentre chez toi ! Je ne vais pas interférer avec ton travail, mais tu dois être prête à tout moment, donc donne-moi ton numéro de portable.
Alice obéit et donne son numéro. Je programme le sien dans son portable avec « Monsieur » comme nom de contact. Je la regarde rentrer chez elle, les épaules tombantes et la tête baissée. Je souris en pensant à tous les jeux auxquels je veux jouer avec mon nouveau jouet.
Je décide d’attendre quelques jours et de laisser l’ampleur de la situation s’enraciner dans l’esprit d’Alice. Le vendredi soir suivant, juste une semaine après l’aventure avec les trois blacks, je l’appelle et lui dis d’être devant ma porte à 19 heures. Elle me dit « Ok » et je me demande ce que je vais devoir casser chez elle pour en faire un jouet dévoué. Je sais que je dois lui retirer tout respect de soi si je veux réussir. Alors quand elle frappe à ma porte un peu avant l’heure dite, j’attends qu’il soit exactement 19 heures pour lui ouvrir la porte et la laisser entrer.
- Alice, quand je dis 19 heures c’est 19 heures, ni plus tôt, et certainement pas plus tard. Ne refais pas l’erreur.
- D’accord, je m’assurerai d’être juste à l’heure à l’avenir.
Je m’approche d’elle et je la gifle sur la joue.
- Tu as déjà oublié de me montrer du respect, je vais aussi devoir t’éduquer.
- Non Monsieur, désolé Monsieur. Je suis juste un peu nerveuse et je ne sais pas vraiment ce que vous allez faire de moi.
- Il faut que tu saches que je te considère maintenant comme ma salope personnelle. Et tu feras tout ce que je te demanderai ou les photos seront diffusées. Suis-je clair ?
- Oui Monsieur ! Je ne suis pas sûre de pouvoir faire tout ce que vous voulez, mais je ne veux pas que qui que ce soit voit ces photos. Me les donnerez-vous un jour Monsieur ?
- Je n’ai pas encore décidé, salope ! Je pense que ça dépendra de tes performances et de mon intérêt à te garder ainsi. Plus longtemps tu m’obéiras et tu seras docile, et plus je serais amené à te donner ces photos.
- Merci Monsieur, je vais faire de mon mieux.
- Eh bien voyons comment tu peux te montrer obéissante, salope !
Je vais m’asseoir dans un fauteuil inclinable et je lui montre le centre de la pièce.
- Ici salope !
Alice avance où je lui indique et elle reste immobile en attendant mes instructions. C’est bien, mais la partie difficile pour elle est encore à venir.
- Enlève ton pantalon et ta culotte, je te veux nue de la taille aux pieds !
Alice reste figée et semble réfléchir de mon ordre. Mais cela ne me plaît pas.
- Tout de suite salope ! Tu dois m’obéir aveuglément. Tu ne dois pas chercher à réfléchir ou comprendre, tu dois faire ce que je veux immédiatement. Allez, dépêche-toi !
Alice déboutonne son pantalon et le fait glisser le long de ses jambes galbées avant d’en sortir. Elle lui donne un léger coup de pied pour le pousser sur le côté. Puis elle fait de même avec sa culotte. Elle se retrouve face à moi et je regarde sa chatte rasée entre ses jambes fermées.
- Écarte les jambes, salope !
Cette fois, elle obéit rapidement et écarte les pieds. Je lui dis alors de se tourner et de se pencher. Elle prend cette pose jusqu’à ce que je lui dise de faire demi-tour. Je vois que sa chatte s’est humidifiée. J’ai l’impression que même si je lui fais subir un chantage, son corps réagit à la situation.
- Je veux que tu te masturbes devant moi Alice. Assieds-toi par terre les jambes écartées et joue avec ta chatte devant moi. Jouis pour moi salope !
Alice s’assoit lentement en ouvrant les jambes. Je vois sa chatte humide s’ouvrir. Quel spectacle ! Elle ferme les yeux et commence à se toucher légèrement. Ma bite est maintenant dure comme du roc. Mais je dois continuer à assurer mon emprise.
- Salope, ouvre les yeux et regarde-moi pendant que tu te masturbes.
Elle ouvre lentement les yeux et relève sa tête pour me regarder. Alors qu’elle continue à caresser sa chatte, je vois que sa respiration est devenue un peu plus irrégulière et sa main se déplace de plus en plus vite. Elle bouge sa main libre sur sa poitrine et elle commence à serrer et tripoter ses seins pendant que ses doigts ouvrent sa chatte. Elle a le souffle court maintenant, ses mains bougeant frénétiquement. Elle se rapproche de l’orgasme. Elle n’arrive pas à garder ses jambes immobiles alors elle les plie et les déplie encore et encore. Ses doigts font des cercles rapides autour de son clitoris gonflé.
- Mets tes doigts dans ta chatte Alice. Je veux savoir combien tu peux en fourrer là-dedans !
Sans hésitation, elle pousse deux doigts dans son sexe humide et elle se baise furieusement. Elle retire son autre main de sa poitrine et s’en sert pour pincer son clitoris engorgé. Elle ajoute un autre doigt dans sa chatte et je peux sentir qu’elle va jouir d’un moment à l’autre. Quand elle introduit un quatrième doigt et commence à faire tourner sa main pendant qu’elle pince et tord son clito, elle crie et gémit. Il est évident qu’elle jouit.
Je la laisse profiter de son orgasme et je regarde sa main qui reste maintenant immobile dans sa chatte alors que l’autre continue machinalement à caresser son clitoris. Quand sa respiration reprend un rythme normal, je me lève et je l’attrape, puis je lui dis :
- Bien salope ! Remets ton pantalon et rentre chez toi. Je te ferai savoir quand j’aurai encore besoin de toi. Mais à l’avenir, quand je t’appelle, tu ne prendras pas de pantalon. Les salopes portent toujours un chemisier et une jupe. Si tu veux porter des bas, ce sera avec un porte-jarretelles. Plus de culotte ni de soutien-gorge, est-ce clair ?
- Oui Monsieur.
Ses mots sortent lentement, elle est toujours sous l’impact de son orgasme et de mon renvoi chez elle. Elle ne comprend pas que je ne l’ai pas baisée ni même touchée. Je veux qu’elle soit confuse et obéissante. Elle met son pantalon et sort tranquillement. Je prépare déjà dans ma tête la prochaine session. Je l’appellerai quand je serais prêt. Elle obéit bien, mais il y a encore beaucoup de travail à faire pour la changer en la salope que je veux.
Je laisse à Alice une semaine pour se demander ce qui risque de se passer. Puis je laisse des instructions affichées sur sa porte d’entrée le vendredi après-midi. Je sais qu’elle les verra à son retour du travail. Je lui ordonne d’être « prête » lorsque je viendrai la chercher le samedi matin à onze heures. Délibérément, je ne mentionne pas comment elle doit être habillée pour voir si elle va se souvenir de ce que je lui aie dit.
De ma fenêtre je la vois rentrer du travail et faire une pause devant sa porte d’entrée. Elle tend prudemment la main vers la note pliée avant de l’ouvrir pour la lire. Quand son sac de cours lui échappe des mains et qu’elle baisse la tête, je comprends qu’elle avait espéré que je ne continue pas mon chantage. Lentement elle se penche et ramasse son cartable avant de rentrer chez elle. Elle ne va sûrement pas dormir tranquillement en se demandant ce que je lui réserve le lendemain.
Je prends Alice à l’heure prévue et je suis ravi de voir qu’elle porte une jupe et un chemisier. Ses jambes sont nues et ses seins pendent librement derrière le chemisier en coton. Nous n’avons parcouru que quelques mètres lorsqu’elle dit :
- Monsieur ?
- Oui salope, tu peux parler !
- Monsieur, puis-je savoir où nous allons et combien de temps je serai partie ?
- Sache que dans le futur, je ne te dirai jamais où nous allons et combien de temps ça peut durer. Mais aujourd’hui, comme il s’agit de la première fois, je vais te le dire. Nous allons dans une ville à environ une heure d’ici afin que tu puisses m’obéir dans te soucier d’être reconnue. Nous serons partis sûrement toute la journée.
Elle ne dit plus rien et reste assise tranquillement pendant que je conduis. En arrivant en ville, je roule jusqu’à un centre commercial sur la périphérie. Nous descendons de voiture et entrons dans un magasin de vêtements. Je tire Alice par la main derrière moi et je m’approche d’une jeune vendeuse pour lui dire :
- Je cherche à trouver des vêtements plus sexy pour ma salope. Avez-vous des chemisiers transparents et des jupes courtes ?
La vendeuse a un sourire narquois et regarde Alice qui est sous le choc. Elle baisse la tête de honte.
- Oui, nous avons des articles qui vont mettre en valeur votre salope. Voulez-vous que je fasse une sélection et que je vous l’apporte dans les cabines d’essayage ?
- oui ce serait bien. Viens salope !
Une fois de plus, je prends la main d’Alice et je l’emmène dans les vestiaires. Il ne faut pas longtemps à l’employée pour revenir avec un certain nombre d’articles qu’elle remet à Alice. Tandis que celle-ci prend les vêtements, je dis :
- Ça vous dérange si elle laisse la porte ouverte pour que nous puissions voir ce qui lui convient ou non ?
- Pas du tout Monsieur, il s’agit d’une bonne idée.
Je regarde le visage de ma voisine qui est en état de choc alors qu’elle réalise qu’elle va devoir s’habiller et se déshabiller à la vue de tout le monde et surtout de la vendeuse qui la regarde étrangement.
Nous la regardons alors se déshabiller et attendre complètement nue que nous lui disions quoi essayer. Si la taille et la dureté de ses mamelons est une indication, alors je peux dire qu’elle est excitée par cette exposition forcée.
La première tenue est plus sexy que ce qu’elle portait en venant. Le chemisier rouge est transparent et ne cache rien de sa poitrine. La jupe assortie est si courte que si elle se penche un peu, son cul et sa chatte sont vraiment exposés.
- Alors Mademoiselle qu’en pensez-vous ?
- Eh bien la taille est correcte, et j’aime la façon dont on distingue ses seins. Mais ne croyez-vous pas que la jupe est un peu longue pour une vraie salope ? Vous avez dit court, donc laissez-moi voir si je peux trouver quelque chose d’autre.
J’entends Alice pousser un petit gémissement de surprise, alors que la vendeuse cherche dans le tas de vêtements pour trouver autre chose. Elle sort une autre jupe rouge et fait signe à Alice de la mettre. Celle-ci descend la première jupe le long de ses jambes sexy, nous montrant sa chatte rasée. Puis elle enfile l’autre jupe, et même moi, je suis étonnée de voir à quel point elle est courte. Avec celle-ci Alice ne peut plus se permettre de se baisser, ses fesses étant déjà sur le point d’apparaître.
- J’aime celle-là. Elle ressemble maintenant à une vraie salope, Monsieur. Êtes-vous satisfait ?
- Oui je le suis. Peut-elle les garder sur elle ?
- Oui, mais je crains que ses chaussures ne soient pas assorties. Est-ce que ça vous dérangerait si nous en trouvions de plus belles ?
- Allons-y !
Alice veut se changer ,mais je l’arrête.
- Mademoiselle, pourriez-vous jeter ces vieux vêtements ? Nous n’en avons plus besoin.
- Certainement Monsieur. Si vous le permettez, puis-je vous demander si votre salope est disponible pour satisfaire d’autres personnes ?
- Une fois qu’elle aura été correctement formée, elle le sera. Donnez-moi votre numéro Mademoiselle, et je vous appellerai une fois que je serai satisfait de son éducation en soumission.
La vendeuse griffonne son nom, son adresse et son numéro de téléphone sur un papier avant de me le remettre. Alice secoue la tête comme si elle est prête à pleurer. Quand je la tire vers la zone du magasin où se trouvent les chaussures, elle se fige en voyant à quel point elle va être exposée à travers la vitrine pour les personnes se promenant dans la galerie commerciale. Je lui mets alors une claque sur le cul en disant :
- Salope, ce n’est que le début de ton entraînement. Si tu préfères, je peux te faire retirer totalement tes vêtements avant de te faire essayer les chaussures. C’est ce que tu veux salope ?
- Monsieur, s’il vous plaît ? Tout le monde va voir mon sexe et ma poitrine. Avec ces vêtements c’est comme si je suis nue. S’il vous plaît Monsieur non !
- Bon ben écoute ! Nous pouvons tout simplement arrêter tout ça et alors je diffuserai les photos. C’est ton choix ?
Alice secoue la tête. Elle espère toujours garder son emploi et sa réputation. Elle suit lentement la vendeuse jusqu’aux chaussures et elle s’assoit en attendant. La seule chaise fait face à la vitrine et à en juger par ceux qui se promènent et qui prennent le temps de jeter un coup d’œil, je pense que la rumeur va vite se répandre qu’il y a quelque chose à voir dans ce magasin. Entre temps, notre vendeuse a apporté des chaussures à essayer. Elle s’agenouille devant Alice et bloque pour le moment la vue depuis la galerie commerçante.
Tandis qu’Alice essaie des chaussures avec des talons de dix à quinze centimètres, je vois que la vendeuse en profite pour toucher sa chatte. Sans surprise, ma voisine se plaint et je vois les doigts de la vendeuse complètement mouillés quand elle les retire. En fin de compte, nous choisissons une paire de chaussures rouges avec des talons de quinze centimètres pour compléter la tenue d’Alice. Je paie les achats et nous quittons le magasin. Je fais le tour complet du centre commercial avec Alice avant d’entrer dans une animalerie qui se trouve en fait juste en face du magasin de vêtements. Je peux voir dans la vitrine qu’un certain nombre de jeunes hommes et quelques filles nous ont suivis, fixant les fesses qui sortent sous l’ourlet de la jupe de ma voisine.
Dans le magasin pour animaux de compagnie, je mène Alice directement dans la zone où se trouvent les colliers et laisses de chien. Je lui en fais essayer quelques-uns. Je lui demande de les attacher autour de son cou afin que je puisse voir ce que j’aime. Finalement, je choisis un collier en cuir assez large avec sa laisse assortie. Après avoir payé ces deux articles, le vendeur veut les mettre dans un sac, mais je l’arrête.
- Ma salope va porter son nouveau collier, pas besoin de le mettre dans un sac, il suffit d’enlever les étiquettes.
L’employé a l’air surpris, d’autant plus qu’il lorgnait les seins et les fesses presque nus d’Alice alors que je lui tendais le collier et la laisse. Quand j’attache le tout au cou de ma voisine, elle me regarde avec froideur. Elle ne s’oppose pas à ce que je fais, mais je vois bien qu’elle est mortifiée à l’idée d’être vue conduite en laisse pour sortir du centre commercial. Je la tire jusqu’à ma voiture, mais avant d’ouvrir la porte, j’interpelle un jeune homme noir qui nous a suivis.
- Tu veux un peu de ma salope ? Dis-je.
Il est surpris, mais il hoche la tête et s’approche.
- Elle n’est pas très habile et son entraînement n’est pas terminé, mais serais-tu content si elle te faisait une fellation ?
Le jeune black acquiesce tandis qu’Alice me regarde et me supplie des yeux. Mais v oyant que je n’ai pas l’intention de changer d’avis, elle se met à genoux dans le parking. Le garçon baisse sa braguette et sort une grosse bite qu’il présente devant son visage. Je tire sur la laisse et Alice ouvre la bouche et lèche doucement la bite maintenant bien dure. Je dis au noir :
- Attrape ses cheveux et tire-là vers toi. Je veux que tu mettes ta grosse queue aussi loin que tu peux en elle. Je veux que tu baises sa bouche, que tu l’étouffes.
Il tend la main et saisit une poignée de cheveux blonds et tout en poussant ses hanches en avant, il tire sa tête vers lui. Il enfonce sa bite profondément en elle. J’entends Alice gargouiller et s’étouffer alors que la queue bloque sa gorge. Puis le jeune homme se retire et Alice a des hauts le cœur tout en crachant une énorme quantité de salive. Il ne lui laisse pas le temps de se reposer et il force une nouvelle fois son membre dans sa gorge. Et ça continue encore et encore alors que ma voisine tousse et crache de la bile. Je suis content, car le jeune black prend son temps avant de jouir. Et quand il le fait, il se retire sans sortir complètement pour l’obliger à avaler son foutre.
J’ordonne à Alice de bien lécher sa bite pour la nettoyer afin de remercier l’homme de lui avoir mis sa queue dans sa bouche. Puis je tire sur la laisse pour la remettre debout et je pose ma main sur sa chatte. Je pousse deux doigts à l’intérieur et je les ressors humides et gluants. Je les montre au jeune :
Je voulais que tu voies à quel point ma petite salope est heureuse. Tu vois comme elle mouille cette petite pute ?
Je dis à Alice de monter dans la voiture et nous partons en laissant le jeune gars souriant regarder nous éloigner. C’est un bon début de journée, mais il reste encore beaucoup de temps. Je me dirige en ville à la recherche d’un bon endroit. Je remonte des rues dans les mauvais quartiers et je m’arrête devant un bar miteux qui ne doit attirer que des personnes défavorisées. Il doit servir de la bière bon marché et ne doit pas être très propre. C’est parfait.
Je dois vraiment tirer sur la laisse d’Alice quand elle voit où je l’emmène.
- Oh mon Dieu non, S’il vous plaît non. Je ferais n’importe quoi, mais pas ici Monsieur ! S’il vous plaît !
Je tire plus fort. Je vois un banc dans la rue et je la tire vers lui avec force. Je m’assois et je la couche rapidement sur mes genoux. Sa jupe courte ne couvre plus son cul et je commence à la fesser en public dans la rue.
- Tu es ma salope ! Tu dois apprendre à ne pas parler à moins que je te donne la permission.
Je continue à claquer son cul tout en parlant. Elle gémit de plus en plus fort alors que la peau de son derrière devient rouge écarlate.
- Avec moi, tu n’as plus le droit de vivre ta vie comme tu le veux. Je vais faire le nécessaire pour que tu apprennes que tu es maintenant ma soumise. Compris salope ?
Je lui donne quelques claques supplémentaires alors qu’elle marmonne son accord en hochant la tête. Je me rends compte qu’elle commence à souffrir et ça me satisfait. Je me lève en la laissant tomber sur le trottoir.
- Maintenant, tu vas marcher à quatre pattes comme un chien à côté de moi. Et je ne veux plus de plaintes.
Je la conduis dans le bar. L’intérieur pue la bière et la pisse rance. Les quelques clients de l’endroit boivent de la bière pas très fraîche dans des verres pas très propres. Personne ne nous regarde quand nous entrons. Je tire Alice jusqu’au bar et je m’assois sur un tabouret en la faisant s’agenouiller à mes pieds. Je commande un verre et j’annonce alors que j’ai une salope avec moi qui doit être baisée. Je demande si quelqu’un veut.
Un vieil homme dans un coin se lève et vient vers moi. Il baisse les yeux sur ma voisine, puis me regarde. Il sourit et dit :
- Je n’ai jamais vu un cul aussi beau de ma vie. J’aimerais baiser cette garce. Mais ça serait mieux si je le faisais dans les toilettes. Je ne crois pas que le patron veuille que l’on salisse cette pièce plus qu’elle ne l’est.
Il fait un signe de tête au barman en disant cela. L’homme hoche la tête et désigne les toilettes. Je remets au vieil homme la laisse et je lui dis que je le suivrais dans un instant, car je veux profiter de mon verre avant.
Il tire Alice qui rampe à quatre pattes derrière lui. Une fois qu’ils sont entrés dans ce que je pense être des toilettes puantes, je parle de nouveau à tous les clients.
- Je vais laisser au barman 100 euros pour couvrir toutes vos boissons d’aujourd’hui si vous abusez de ma salope d’une manière ou d’une autre. Vous pouvez baiser sa chatte, l’enculer, vous faire sucer ou lui pisser dessus si vous le souhaitez. Elle a besoin d’apprendre la discipline.
Sur ce, je remets l’argent au barman et je me rends aux toilettes. J’entends les clients se lever derrière moi alors que j’ouvre la porte. Le vieil homme baise Alice par-derrière. Elle est toujours à quatre pattes. Je trouve un endroit à l’écart et je regarde le reste des clients entrer. Un homme s’approche d’Alice et présente sa queue flasque à ses lèvres. Elle ouvre la bouche et enfourne la bite puante puis elle essaie de faire de son mieux pour la faire bander.
Le vieil homme grogne et éjacule alors qu’il est encore dans sa chatte. Il se retire une fois terminé et il est rapidement remplacé par un autre homme plus âgé. Lui aussi enfonce sa queue dans la chatte maintenant humide et collante et il commence à la baiser rudement.
Manifestement, Alice semble apprécier cette invasion alors qu’elle commence à grogner et gémit autour du membre dans sa bouche. Je vois ses joues gonfler et un peu de liquide séminal blanc s’échapper des coins de sa bouche. L’homme vient de jouir dans sa bouche. Après s’être retiré, il reste devant elle et en tenant sa queue dans sa main, il commence à lui uriner au visage. Alice secoue la tête pour échapper au jet, mais elle ne peut empêcher la pisse de couvrir son visage.
Il ne faut pas longtemps pour que tous les hommes aient utilisé Alice d’une manière ou d’une autre. Elle est toujours à quatre pattes dans les toilettes lorsque le barman vient en dernier. Il dit aux gars qu’il vient de remplir tous leurs verres et qu’il les rejoindra plus tard. Puis il ouvre son pantalon et sort son sexe qui durcit rapidement. Il se met à genoux derrière Alice et écarte ses fesses avec ses mains. Quand il aligne sa bite maintenant bien dure sur son trou du cul, je l’entends gémir.
Le barman ne dit rien en enfonçant d’un coup sec sa queue dans son cul. Alice crie de douleur, mais ne bouge pas alors que l’homme commence des va-et vient dans son cul. Puis il accélère et la sodomise violemment. Alice gémit de plus en plus fort.
Quand il jouit, ma voisine fait de même. Puis il tire sa bite de son cul et se place devant elle. Elle se détourne du sexe sale, mais il attrape ses cheveux et tire sa tête pour qu’elle lui fasse face. Enfin il pousse son membre contre ses lèvres.
- Nettoie ma bite, salope !
Lentement, Alice ouvre la bouche te tend la main pour nettoyer la queue qui vient de sortir de son cul. Elle lèche le sperme et nettoie rapidement le sexe de l’homme. Une fois terminé, l’homme me serre la main en me disant de revenir quand je voulais.
Je prends la laisse et tire Alice. Nous traversons le bar et nous rejoignons ma voiture. Je pense qu’elle en a assez pour aujourd’hui, alors je la ramène chez elle. Quand elle est sortie de la voiture, je lui dis :
- Même heure samedi prochain, sois prête salope !
Les yeux vides, elle me regarde et hoche la tête. Puis, le corps couvert de pisse et de sperme, elle rentre chez elle.
FIN