Texte écrit en 2009 par Nadi69.
Offerte dans les toilettes.
Une heure et demie plus tard, une icône de messagerie clignote sur l’écran de mon ordi. Je me lève et vais voir le message. C’est Maîtresse Marie qui ne me félicite pas car je n’ai toujours pas obéi à son ordre. Elle insiste pour que je me trouve un chantier et me mette à la disposition des ouvriers.
Je suis, bien sûr, un peu déçue qu’elle n’apprécie pas, ce qui vient de se passer dans ma vie, alors qu’avant le bistrot de Monsieur Jean et la folle nuit avec Abdou et Salim, je ne faisais qu’un peu d’exhibition et je draguais de vieux messieurs selon ses ordres.
Je suis quand même passée à la vitesse supérieure depuis la veille.
Je lui réponds que je vais d’abord chez Monsieur Jean et je lui promets que, si mon corps et ma tête en sont encore capable, je chercherai un chantier plein d’ouvriers.
C’est alors que je vois un DVD inconnu sur mon bureau. Je le prends et le place dans le lecteur DVD de mon pc et regarde avec stupéfaction, le dernier quart d’heure de ma nuit extrême avec les deux blacks.
Ce dernier quart d’heure me montre nue, au pied de mon lit, me tortillant à cause des godes en moi et les retirant, les léchant et les remettant en moi pour, les recouvrir de sperme se trouvant dans mon vagin et les lécher comme une friandise.
Je peux voir mon visage qui reflète la joie et le plaisir de faire cela. Je n’en reviens pas d’avoir fait ça. Mon cerveau devait surement être complètement déconnecté de la réalité.
Un détail me frappe alors. Sur le sol, à côté de mon lit, se trouve un objet ressemblant, à une seringue. Je cours jusque dans ma chambre pour vérifier. Rien… Sous le lit, rien… Je soulève les descentes de lit,…rien.
Je retourne à mon pc pour revoir le film et essaie de faire un arrêt sur l’image. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant d’arriver à avoir une image nette. Je peux alors bien voir la seringue en question.
Je me tâte les bras, rien… Je me déshabille en vitesse dans la salle de bain, aucune trace de piqûre. Je comprends ou du moins, je crois comprendre que ce sont Abdou et/ou Salim qui ont utilisés une drogue quelconque pour être aussi performant qu’ils l’ont été cette nuit.
Je ne comprends pas pourquoi ils ont laissé ce DVD sur mon bureau. Peut-être pensaient-ils devoir me faire chanter pour que je continue à me soumettre ?
Je me prépare une petite salade pour le repas du soir, ne voulant pas avoir l’estomac trop chargé, pour aller chez Monsieur Jean.
A huit heures moins le quart, je suis devant la porte du bistrot. Je regarde par le carreau et vois une vingtaine d’hommes présents dans l’établissement.
Je sens mon entre-jambe s’humidifier, tant par la tension que par l’excitation de la situation.
Deux mains se posent sans douceur sur mes fesses et me poussent contre la porte qui s’ouvre brusquement sous cette poussée. Je fais un bond en avant et tombe sur les genoux au milieu des tables.
Le silence se fait instantanément et je sens tous les regards sur moi. Une énorme vague de honte et d’excitation me nouent les intestins.
Je me retourne au moment où la voix de Salim fait :
• Notre petite pute hésitait à entrer les gars ! Alors je l’ai aidé un peu.
Puis il éclate de rire suivi par une bonne partie des clients.
• Reste à quatre pattes et vient ici petite pute. Dit Monsieur Jean depuis son comptoir.
Je me mets donc en route à quatre pattes en direction du bar, ma courte robe remontant sur mes fesses et laissant voir à tous les clients que je ne porte aucune culotte.
Lorsque j’arrive à côté du comptoir, je ne sais combien de mains et de doigts ont touché, caressé ou se sont enfoncés dans mon entre-jambe, suivis d’exclamations sur l’humidité de celui-ci.
Monsieur Jean me redresse en me prenant par les cheveux et me sermonne sur mon retard et ma façon de traverser son bistrot. Il me traite de « traînée » de « petite salope » de « garage à bite » et d’autres gentillesses, toutes en rapport avec sa façon me voir.
• Si tu veux boire un café petite, va falloir le gagner. Dit, pour conclure, Monsieur Jean.
Salim se penche et prend mes cheveux des mains de Monsieur Jean en lui disant :
• - Je la prépare et d’ici dix minute elle sera opérationnelle patron !
• Ok ! Salim, je te laisse carte blanche. Répondit-il en rigolant.
• Viens petite chienne, tu vas avoir du boulot ce soir. Dit Salim en tirant sur mes cheveux pour me diriger vers le couloir des toilettes.
Toujours à genoux, je le suis jusqu’au local puant et sale des toilettes. Dès que nous sommes au milieu il relève et ôte ma robe, seul vêtement que j’ai mis.
Je suis complètement nue en sandale d’été, à genoux au milieu d’un local contenant sur un côté deux portes de WC et sur le mur d’en face trois urinoirs, séparés par un petit portillon qui devait sans doute protéger des regards indiscrets mais leur grandeur ne donne aucun doute, sur l’inutilité de ces portillons. Une odeur d’urine et de saleté vient titiller mes narines.
Salim me redresse complètement en me tirant par les cheveux et m’approche de l’urinoir du milieu. Il me penche au-dessus en me mettant la tête dedans.
J’ai le réflexe de tourner mon visage sur le côté pour que mon nez ne touche pas le fond, mais Salim pousse suffisamment pour que ma joue touche la crépine dégoûtante et crasseuse au fond de l’urinoir.
• Reste ainsi et met tes mains de part et d’autre. M’ordonne-t-il.
Je fais ce qu’il me demande et je sens qu’il me donne de légers coups de pied sur mes chevilles pour que j’écarte les jambes.
Je me retrouve, pliée à plus ou moins de 90°, la tête dans un urinoir, le derrière bien en vue et mes mains tenant la conduite de vidange de cet urinoir. Mes petits seins touchent par moment la pointe en céramique de l’urinoir mais cela laisse suffisamment de place pour que des mains puissent jouer avec.
• Surtout, tu ne bouges pas je reviens. Dit Salim.
Il sort du local me laissant dans cette position de totale soumission et revient quelques secondes après. Il dévisse les deux petits portillons de part et d’autre de l’urinoir dans lequel repose ma tête et après les avoir enlevés, il se met à m’attacher à l’urinoir : D’abord mes mains au tuyau de vidange puis passant à plusieurs reprises la corde, par-dessus et par-dessous l’urinoir, il m’empêche ainsi tout espoir de me redresser. Comme il tire suffisamment pour que je sois bien attachée, mes petits seins se placent de chaque côté de la pointe de l’urinoir.
Salim essaie de me tirer en arrière, surtout pour voir que je suis bien attachée, et effectivement mon corps ne bouge presque pas. Je sens qu’il attache chacune de mes chevilles de telle façon que je ne peux rester que les jambes bien écartées.
• Voilà petite pute tu es prête pour la soirée, j’espère que les clients seront nombreux et contents.
• Je… Vous… Vous n’allez… Vous n’allez pas me laisser ainsi. Supplié-je du fond de l’urinoir.
• Mais si petite pute, mais si et même toute la nuit si on a beaucoup de clients. C’est ce qu’espère Monsieur Jean en tout cas.
• Mais… Mais…
• Ta gueule ! T’a juste le droit de te faire mettre et surtout de dire merci à chaque client qui viendra te remplir ! T’as compris petite pute ?
• Heu… Ou… Oui… Oui…
• Oui qui ?
• Ou… Oui monsieur Salim.
• Ah voilà comment une petite pute blanche doit me parler.
• …
• D’ailleurs tout ces préparatifs m’ont donné envie.
J’entends le zip d’une braguette et je sens un sexe se placer contre ma vulve trempée. Le sexe s’enfonce en moi sans aucune résistance de ma part et lorsqu’il touche le fond de mon vagin, ma tête cogne la paroi verticale de l’urinoir et ma joue râpe sur la crépine.
• Putain ! T’es tellement mouillée qu’elle rentre toute seule.
• Hé bien ! T’as déjà commencé. Dit une voix inconnue.
• Cette petite me donne envie comme pas possible à chaque fois que je la vois.
• Surtout dans cette position. Dit encore la voix.
• Eh ! Attend ! Pas là ! S’écrie Salim tout en continuant ses coups de rein en moi me faisant me cogner la tête à chaque fois.
• Comment ça ? Dit la voix inconnue.
• Ils sont hors service ceux-là, tu dois faire ici. Dit Salim.
• Ha Bon !
Je vois une ombre assombrir le peu de clarté que je perçois depuis le fond de l’urinoir et avant de comprendre ce que cela signifie, un jet d’urine frappe ma joue hors de l’urinoir et se dirige vers ma bouche et mon nez.
Je sens avec angoisse l’urine éclabousser mon visage et mes cheveux mais surtout faire monter le niveau de liquide dans l’urinoir. Jusqu’au moment où cette urine arrive à hauteur de ma bouche que je referme avec précipitation. Malheureusement le niveau continue de monter, et atteint rapidement mes narines. J’essaie de soulever ma joue qui est sur la crépine, mais l’urine s’engouffrant dedans aspire ma joue et forme un bouchon. Je ne vois qu’une solution si je ne veux pas mourir noyée, c’est d’ouvrir la bouche et d’avaler l’urine, au moins pour que je puisse respirer.
J’ouvre donc la bouche. L’urine et autres saletés dans l’urinoir s’engouffrent dans ma gorge. J’avale cette mixture en pleurant, me disant que je ne pourrais jamais tomber plus bas.
Salim continue ses va-et-vient en moi ce qui me procure un début de jouissance. La position, le sexe de Salim et l’avalement de l’urine font monter mon taux d’adrénaline, suffisamment pour qu’un premier orgasme se déclenche sans que je ne puisse le contrôler.
L’urine s’arrête en même temps de couler sur moi et je m’étrangle en avalant une grosse gorgée.
• - Regarde ça ! La salope, elle jouit même dans ces conditions. S’écrie Salim au bord de la jouissance lui-même car, à peine ces mots prononcés, il gicle dans mon vagin.
Les jets s’écrasent dans le fond de mon vagin et augmentent mon plaisir. Mon corps est tellement secoué par Salim et mon orgasme que je crois entendre l’urinoir se détacher du mur.
Il n’en est rien et lorsque je reprends mes esprits, je comprends aussitôt qu’un autre sexe est en moi, plus petit et plus nerveux dans ses coups de rein.
Je suppose que l’inconnu a remplacé Salim s’en que je m’en aperçoive, pendant mon orgasme.
Le type me lime comme une vulgaire poupée gonflable, sans aucunes caresses, sans aucunes marques de partage. Il se vide d’ailleurs assez rapidement en moi.
• Waouh ! Elle est bonne cette salope. Complimente l’inconnu.
- Si tu as des copains, n’hésite pas. Monsieur Jean est d’accord du moment qu’ils consomment dans le bar.
• Ah ! Elle remplace les cacahuètes qu’on donne avec la bière. Fait l’inconnu.
• - C’est… C’est ça, tu as trouvé. Sacré Paul va ! Dit Salim, en rigolant.
Ils sortent tous les deux me laissant dans cette position. L’urine semble diminuer lentement. Un frisson me parcoure entièrement au moment où un courant d’air se fait.
Je ne reste pas longtemps seule attachée à mon urinoir car des voix se font entendre et se rapprochent.
Quelques exclamations se font entendre avant qu’un nouveau sexe s’introduise en moi, mais pas pour longtemps, car après quelques va-et-vient en moi, le sexe se retire de mon vagin pour se coller sur mon anus. Je me prépare à souffrir et je ferme les yeux.
C’est au moment où le sexe pousse sur ma rondelle anale, qu’un jet d’urine frappe mon nez et ma bouche sur le côté. J’ouvre la bouche par réflexe et le jet frappe l’intérieur de ma joue, celle justement qui est collée à la crépine de l’urinoir.
La pénétration de mon anus me fait ouvrir encore plus grand la bouche pour rechercher de l’air qui, je croyais, allait compenser cette pénétration. C’est bien sur sans compter l’urine qui s’engouffre dans ma gorge et que je suis obligée d’avaler sous peine de noyade.
Cette fois, je sens des mains me palper et me pincer les seins et les tétons. Un nouvel orgasme monte, inexorablement, en moi. Le jet d’urine s’arrête quelques secondes pour reprendre de plus belle. Je peux distinguer plusieurs voix différentes. Le sexe dans mon derrière accélère son mouvement puis, s’arrête tout au fond de moi. Je peux alors sentir les soubresauts de la bite en moi lâchant ses jets de sperme.
Je n’arrête pas d’avaler de l’urine pour éviter qu’elle n’atteigne l’entièreté de mon nez. Mon œil droit baigne dans la pisse et je n’ose plus ouvrir les yeux de peur de recevoir de l’urine dessus.
Le changement de sexe dans mon derrière se fait sans mon avis et les coups de rein reprennent de plus bel. Ma pauvre tête baigne à moitié dans la pisse et le dessus de mon crâne frappe, au rythme des coups de rein, la paroi verticale de l’urinoir, éclaboussant, par ce fait, mes cheveux qui ne trempaient pas dans l’urine.
Je ne peux dire combien de temps s’écoule entre le moment où je fus attachée aux urinoirs et le moment où Salim me détache. Je me rappelle seulement qu’entre, plus ou moins, quatre ou cinq clients, quelqu’un m’essuyait l’entre-jambe puis les pénétrations recommençaient.
Je tombe assise par terre, les chevilles toujours attachées aux autres tuyaux de vidange des urinoirs de chaque côté du mien. Mon derrière baigne dans une mare d’un liquide mélange de sperme, de crasse et d’autres matières que les nombreux clients, venus se vider en moi, avaient sous leurs chaussures.
• - Pas mal pour une première fois. Me complimentent Salim et Monsieur Jean, venus assister à ma délivrance.
• Mais certains clients se sont plaints de ton silence.
• Mais…
• Y a pas de «mais». Tu devras, à l’avenir, ne pas oublier de dire «merci» et de les exciter plus que par ta position, par exemple en leur demandant de te remplir, de te bourrer le cul, enfin toutes ces phrases qu’Abou et Salim t’ont apprises hier ! Continua Monsieur Jean.
• Tu crois qu’elle a mérité un café ? dit Salim en riant.
• Bien sûr ! Si,… elle le paye. Fait Monsieur Jean.
Je ne crois pas pouvoir avaler du liquide, après ce que je viens d’avaler comme urine. J’ai d’ailleurs mon ventre tellement gonflé que je me crois enceinte.
C’est à ce moment et sans que je puisse me retenir qu’un jet d’urine fuse de ma vulve comme une fontaine.
• Mais quelle salope ! Elle va tout me dégueulasser avec sa pisse. S’écrie Monsieur Jean.
• - Attend Patron, j’ai une idée. Dit Salim.
Il détache les cordes de mes chevilles et, avec une des cordes, me fait un collier qu’il s’empresse de mettre autour de mon cou. Il relie les deux morceaux de corde et relie la partie libre au tuyau de vidange de l’urinoir centrale (Mon urinoir).
• Voilà patron ! Comme cela elle pourra aller dans tous les coins du local et nettoyer vos toilettes.
• Salim ! Si je ne t’avais pas, je devrais te créer. Excellente idée ! Va lui chercher le matos pour nettoyer.
Salim sort quelques secondes pour revenir avec un seau et une raclette.
• Pas besoin de torchon Patron, sa robe fera office de loque.
• Tu as compris Traînée ? Je veux que ce local soit impeccable avant de te laisser partir.
Je n’en crois pas mes oreilles. Je viens de satisfaire je ne sais combien de clients à Monsieur Jean et pour me remercier il m’oblige à nettoyer ce local et avec ma robe en plus.
• Mais… Mais Monsieur Jean… S’il vous plait…
• Quoi ? Tu n’es pas contente de me faire plaisir ?
• C’est… Ce n’est pas ça…. Mais… Mais… je suis….
• T’es quoi ? Fatiguée ? Une jeunette comme toi ?
• Ben… Ou…Oui… S’il vous plait… laissez-moi rentrer… Je … Je reviendrai demain si vous voulez…
• De toute façon tu reviens demain, donc tu nettoies puis,… on verra !
• Je…
Une gifle fuse et je me tais. J’essaie de me relever mais je glisse sur cette marre de liquide, sous moi. Après plusieurs essais, sous les regards amusés de Salim et de Monsieur Jean, je me mets debout, les jambes tremblantes, et je suis stupéfaite de la grosseur de mon ventre.
A peine debout j’urine de plus belle, comme si je n’avais plus uriné depuis des années. La pisse gicle avec violence sur le sol éclaboussant les chaussures de Monsieur Jean qui fait un bon en arrière.
• La pute ! Elle pisse sur moi maintenant.
Salim, me prend par les cheveux trempés d’urine et me force à m’agenouiller. Ma vessie continue de se vider pendant ce temps. Il pousse ma tête jusqu’aux chaussures de Monsieur Jean.
• - Lèche et nettoie tes saloperies. M’ordonne Salim.
Je fais ce qu’il m’ordonne tout en continuant d’uriner car la position que j’avais, devait surement faire pousser mes intestins sur ma vessie.
Monsieur Jean me laisse lécher ses chaussures sans les soulever du sol. Ce qui a pour conséquence que ma langue lèche, pour moitié le côté de ses semelles, ainsi que la partie du sol autour de ses chaussures.
• Dans le fond, elle pourrait tout lécher, le local entier. Dit soudainement Salim.
• Là mon petit Salim, t’exagère un peu. Laissons-là déjà nettoyer avec sa robe et on verra pour plus tard.
• T’as bien compris ? Me demanda Salim.
• Heu… Ou… Oui, Monsieur Salim.
Monsieur Jean sort son sexe de sa braguette et fais signe à Salim de sortir. Il se met à se masturber dès que le noir sort.
• Reste à genoux et ouvre bien ta bouche, petite traînée.
Je me rapproche de Monsieur Jean pour que ma bouche soit bien en dessous de son sexe. Il se masturbe pendant de longues minutes et lorsqu’enfin il jouit, il abaisse son sexe jusqu’à l’entrée de ma bouche et lâche ses giclées dedans.
• N’avale pas… tout … de suite. Dit-il entre deux spasmes.
C’est presque un plaisir pour moi d’avoir du sperme dans la bouche, au lieu de la pisse que, j’ai reçue pendant toute la soirée.
Ma main droite descend vers ma vulve pour me caresser, mais lorsque mes doigts touchent les petites lèvres un flot de sperme s’échappe et me trempe les doigts.
• Maintenant tu peux avaler. Me dit Monsieur Jean.
• Mer… Merci… Mon… Merci, Monsieur Jean. Fais-je en déglutissant le sperme.
• C’est bien ! C’est bien petite ! Allez maintenant, au boulot et que tout soit bien propre pour demain.
Monsieur Jean sort du local et ferme la porte. J’entends parfaitement la clé tourner dans la serrure. Je suis prisonnière de ce local et toujours à genoux je me mets à pleurer. Les nerfs me lâchent très probablement. Je me couche sur le carrelage froid et sale et je m’endors secouée par des sanglots.
Une douleur me réveille et ma fesse gauche me fait un mal de chien.
• On t’a dit de nettoyer et pas de dormir ? Crie Abdou qui vient de me donner un coup de pied au cul.
• Mais…
Abdou est là. Je ne l’ai pas vu ou entendu de la soirée et maintenant il est présent et me donne des ordres. Je vois parfaitement une de ses mains caresser le devant de son pantalon et une grosseur anormale commence à se voir nettement.
Je me redresse péniblement et cherche ma robe et le seau. Toute tremblante de fatigue et de nervosité, je remplis le seau et trempe ma robe dedans. L’eau est froide et aucun détergent ne semble exister dans ce local.
Abdou jette un savon carré dans le seau ce qui m’éclabousse. L’eau me parait glacée et je faillis laisser tomber le seau.
Abdou s’approche de moi et, me prenant par les cheveux trempés d’urine, m’oblige à me mettre à genoux. Je dépose le seau et mes mains se mettent à ouvrir sa braguette et sortent son énorme engin. Sans qu’il ne me dise rien, je lui fais une fellation de première qualité et ce malgré la fatigue et le froid qui me font trembler. Je dois avouer que j’aime sentir cet énorme sexe dans ma bouche et recevoir les fabuleuses quantités de sperme d’Abdou.
Je le suce un certain temps avant qu’il ne jouisse enfin et me remplisse la gorge et l’estomac de son sperme onctueux et abondant.
• - Mer… Merci, Monsieur Abdou de votre bon sperme. Lui dis-je après avoir nettoyer consciencieusement sa queue sur toute la longueur.
Il me repousse comme un objet inutilisable et quitte le local sans un mot et en prenant soin de refermer derrière lui.
Je passe une grande partie de la nuit à frotter, gratter, sécher, les murs, les WC, les urinoirs et l’évier de ce local.
Je n’en croie pas mes yeux lorsque je vois le résultat, car le local parait vraiment propre. Ma robe, par contre, est dans un état de vieux torchon usé. Je me suis aussi nettoyée et j’ai encore uriné, plusieurs fois, pendant la nuit. Mon ventre plat me redonne espoir de ne pas avoir de séquelles visibles sur mon corps, par contre mon cerveau est complètement « tordu ». Je ne serai plus la petite fille un peu maso et soumise d’il y a quelques jours encore. Je suis devenue une salope entière et complètement soumise à toute personne me le demandant.
J’ai vraiment aimé être traitée ainsi et je pense déjà faire un résumé détaillé à Maîtresse Marie. Je suis certaine qu’elle sera fière de moi.
C’est vers huit heure du matin que de petits coups de pieds dans mon ventre me réveillent :
• - Aller debout petite pute, il est temps de rentrer chez toi Me dit Monsieur Jean.
• Je… Ok !... Ok !... Je me lève.
Je me mets debout complètement courbaturée et grelottante de froid. J’ai dormi nue, roulée en boule dans un coin du local. Monsieur Jean me tend ma petite robe, crasseuse et abîmée par le nettoyage du local.
• - Tiens Je crois que c’est à toi. Tâche de venir proprement ce soir et pas avec des frusques qui pue les chiottes.
• Mais… Mais je ne vais pas sortir comme ça…Osé-je dire.
• C’est ta robe ou pas ?
• Oui… Mais…
• Mets tes vêtements et tire-toi vite avant que je ne change d’avis et te foute dehors à poil !
• Heu… Bi…Bien monsieur Jean.
Je passe ma robe, en tout cas ce qu’il en reste, sale et déchirée par endroit. Je dois ressembler à Cosette dans les « Misérables ». Je sors par la porte privée et file droit chez moi, en priant de ne rencontrer personne que je connais.
Cette fois, la chance est avec moi car le court trajet jusqu'à mon appartement et le hall de l’immeuble ne me font rencontrer aucune personne de connaissance. Je tremble de joie et de fatigue en mettant la clé dans la serrure.
Retrouver enfin mon chez moi, me doucher, me laver et enfin dormir dans un vrai lit, Je ne pense qu’à cela en pénétrant mon appartement.
Ma joie est de courte durée car la première vision que j’ai en pénétrant dans mon salon, c’est de voir Salim, allongé et ronflant sur mon divan. Il est simplement vêtu d’un caleçon et sa main tient son sexe à moitié sorti. La deuxième vision que j’ai, c’est de voir le désordre et les déchets, bouteilles, emballages qui traînent partout.
• - Ah enfin t’es là. Dit Abdou en sortant de la cuisine, un sandwich à la main.
Lui aussi est en slip et on peut nettement voir la forme de son sexe, malgré qu’il soit au repos.
• Mais… Mais qu’es ce… Mais qu’est-ce que vous faites ici ? Demandé-je.
• - Comment ça ! Tu n’es pas au courant ?
• No… Non…
• Ben Salim et moi on s’installe chez toi, enfin… je veux dire chez nous et on est content que tu sois là pour tout nettoyer.
• Mais….
• Putain ! Tu n’as pas l’air au courant il me semble !
• Mais… Mais non… Je ne … je ne comprends pas.
• C’est très simple petite pute. Ici c’est chez nous et on est là pour te maintenir en forme pour Monsieur Jean. Il nous a demandé de s’occuper de toi pour te transformer en une bonne et obéissante petite soumise.
Je m’écroule assise, complètement abasourdie et me rendant compte que ma vie a vraiment fait un bond dans un univers de soumission totale. Je sais déjà que j’obéirais à toutes leurs exigences.
• - Dès que tu auras tout remis en ordre, tu pourras t’apprêtée car on va faire un tour du côté de la cité. On a deux trois amis qui aimeraient faire ta connaissance, surtout, depuis qu’on leur a dit de quoi tu es capable.
• Bi… Bien, Monsieur Abdou. Dis-je en me relevant.
• Fais pas trop de bruit car Salim dort. Il est fatigué à cause de toi.
• Com… Comment ça ?
• Il est resté éveillé cette nuit pour te surveiller pendant que tu nettoyais les toilettes de Monsieur Jean.
• …
• Bon ça suffit ! Au boulot petite pute, mais viens d’abord me vider les bourses, elles sont un peu lourdes à porter. Fait-il en rigolant et en mordant à pleine dent dans son sandwich.
Abdou abaisse son slip et son sexe commence à grossir. Je m’approche et m’agenouille devant lui. Je prends son sexe en main pour le masturber.
• - Chans les mains ! Uni…chement avec t…cha bouche ! fait-il en mâchant son sandwich.
Je mets mes mains sur la tête, ouvre la bouche et prend le sexe d’Abdou dans celle-ci. Dès qu’Abdou a joui de longues et abondantes giclées, il se retire de ma bouche et m’ordonne de faire le nettoyage de SA piaule.
Je suis encore souillée de ma nuit et j’ai le goût de sperme d’Abdou dans ma bouche mais je commence à faire un nettoyage de l’appartement.
Bien entendu, Salim se réveille et me sodomise pendant que, je nettoie le tapis.
Je demande aussi à Abdou si je peux écrire un mail à Maîtresse Marie car elle m’avait donné un ordre que je ne pouvais satisfaire. Lorsque Abdou a connaissance de l’ordre, il se marre de plus belle et me dit :
• - Ben, je crois petite pute que ta journée va être très, très longue.
• Ouais ! après la cité, on ira te chercher un bon grand chantier pour que tu puisses t’amuser un peu. Dit Salim.
Fin.
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