lundi 6 avril 2020

Madame et les pompiers

Texte écrit par Géronimo il y a quelques années.


Nous retrouvons Madame. Vous vous souvenez d'elle ? Il y a quelques temps au retour d'une soirée chez des amis, elle avait été contrôlé par une patrouille de la BAC qui s'était terminé par un gang-bang. Madame n'a pas oublié, elle. Madame est une bourgeoise, épouse du Maire de la commune. Elle est un peu plus jeune que son mari. Madame est belle, raffinée, distinguée. Elle est très féminine, toujours en jupe et en talons mais curieusement son mari, qui pour son âge est un chaud lapin, ne la touche plus beaucoup. Madame est frustrée.

La voiture se gara dans la cour du Centre de Secours Principal, autrement dit les pompiers, et le chauffeur descendit pour ouvrir la portière à monsieur le Maire et sa femme. Madame descend de la voiture en souriant. Elle exhibe une partie de ses cuisses. Le Commandant se précipite et serre la main au Maire et à Madame. Plusieurs Sapeurs-Pompiers sont déjà au garde à vous pour accueillir Monsieur le Maire et sa charmante épouse. Les regards concupiscents des pompiers se posent sur Madame. Habillée très sage pourtant. Une jupe ample s'arrêtant au genoux, un pull fin blanc moulant une poitrine agressive. Elle s'avance vers les pompiers pour leur serrer la main avec un sourire de circonstance. Il y a beaucoup de monde autour d'elle. Son mari part serrer des mains et elle se retrouve à discuter avec d'autres personnes.

Comme tous les ans, c'est la Journée « porte-ouverte » chez les pompiers où beaucoup de personnalités de la ville sont conviées mais également les nouveaux arrivants dans la commune ainsi que les jeunes d'un quartier défavorisé, la ville voulant donner une bonne image d'elle et peut être aussi se donner bonne conscience. Au programme exercices grandeur nature : Voiture en feu, simulation d'évacuation d'un immeuble en flamme dans la tour d'exercice et le clou du spectacle : Hélitreuillage à partir de l'hélicoptère de la Sécurité Civile.

La visite commence et les exercices aussi. Plusieurs pompiers ne quittent plus Madame. On lui propose de tenir une lance pour se rendre compte, d'observer un pompier en train de faire un massage cardiaque sur un mannequin. Tous ça sous les flashs du photographe du journal local. Des plaisanteries salaces fusent discrètement dans les rangs.

- La femme du Maire, j'aimerai bien qu'elle me fasse du bouche à bouche.

- Tu crois qu'elle pourrait tenir ma grosse lance, la bourgeoise du Maire.

Il y eut un attroupement quand innocemment Madame accepta de monter dans la nacelle de la grande échelle. Un peu rougissante, elle monta dedans avec un pompier. La grande échelle s'éleva lentement vers le ciel. Inutile de dire qu'au pied du camion, ce fut un régal pour les yeux, la plupart des pompiers pouvant profiter du spectacle. Ils purent mater sous la jupe de Madame et la tension monta d'un cran. Et pas que la tension du reste. Les commentaires allèrent bon train :

- Putain, elle a des bas non ?

- Tu crois ? je ne vois pas bien. Un collant plutôt.

- Tu rigoles, elle a un porte-jarretelles, je te dis.

Madame redescendit et plusieurs pompiers se précipitèrent pour l'aider à descendre de la nacelle. Elle posa son pied à terre mais sa jupe resta coincée et du coup remonta largement sur sa cuisse dévoilant subrepticement aux pompiers ce qu'ils avaient déjà imaginé, la lisière d'un bas accroché à une jarretelle.

Arrive la fin du spectacle, Madame et son époux sont assis dans la tribune qui a été aménagé à cet effet. Au loin dans le ciel, l'hélicoptère arrive avec un pompier et son chien dressé pour les recherches lors de tremblements de terre et autres catastrophes naturelles. Ils vont descendre en rappel. Plusieurs pompiers se sont postés en face de la tribune pour pouvoir profiter d'un spectacle qu'ils imaginent sans peine.

L'hélicoptère arrive et amorce sa descente provoquant des rafales de vents violents dues aux hélices de l'appareil. Quelques cris parmi les invités, surtout féminines bien sur qui s'empressent de retenir leurs jupes. Mais Madame ne fut pas assez rapide. Sa jupe s'envola dévoilant ses jambes gainées de bas couleur chair ce qui acheva d'exciter au plus au point les pompiers qui s'étaient mis devant la tribune officielle.

Puis vint le moment du Pot de l'Amitié après que le Maire eut fait un discours à la gloire, et c'était amplement mérité, des sapeurs-pompiers. Madame, une coupe de champagne à la main, discute avec tous le monde. Les jeunes défavorisés à qui elle demande s'ils travaillent bien à l'école. Les nouveaux habitants de la ville, les membres du Conseil Municipal et bien sur, les pompiers. Ceux-ci lui demandent si elle veut visiter la caserne et ne voulant pas être impolie, elle accepte.

On l'amène dans le hangar où sont rangés les véhicules de secours .On lui propose de monter dans une ambulance puis un fourgon. Elle ne semble pas remarquer, que chaque fois, les pompiers se rincent l’œil, lorgnant sur ses cuisses gainée de nylons. Puis on lui fait visiter le standard où arrivent les appels d'urgence. Madame est accompagnée par 5 pompiers. Elle a terminé sa coupe et sournoisement, on lui en apporte une autre.

On se retrouve dans les étages ou l'on fait visiter les chambres. Madame avance en rigolant aux blagues des pompiers. Ses talons claquent sur le sol. On l'amène dans les douches. Plusieurs pompiers se poussent du coude et se font des clins d’œil. Le piège est tendu et la femme du Maire va tomber dedans. Un pompier, nu comme un ver, sort des douches au moment où la femme du Maire s'y trouve. Elle pousse un cri et tente de faire demi-tour, se retrouvant coincée par les pompiers qui l'entourent.

- Allons Madame, ne partez pas déjà.

Madame est toute rouge, elle proteste et dis qu'elle doit rejoindre ses invités et son mari. Elle est entourée par les pompiers qui se collent à elle. On lui prend la main et on la dirige vers les vestiaires. Celui-ci est vide à part le pompier qui s'est trouvé nez à nez avec Madame en sortant de la douche. Sa bite pend entre ses cuisses, Impressionnante. Madame ne peut s'empêcher de la regarder et elle sent une douce chaleur envahir son bas-ventre. Des mains se posent sur elle et se retirent rapidement, comme pour la tester. Elle ne réagit pas, comme hypnotisée par la queue qui se balance entre les cuisses du pompier. Les autres s'enhardissent. On lui caresse la poitrine à travers l'étoffe de son pull fin en cachemire. Une main possessive se pose sur sa cuisse et commence à remonter sa jupe. Madame réagit soudain et proteste :

- Allons Messieurs, un peu de tenue quand même, je suis la femme du Maire.

- Et surtout une sacrée salope qui n'arrête pas de nous allumer depuis tout à l'heure.

Madame, outrée devant de tel propos, menace de tous dire à leur Commandant. Ils auront tous une sanction disciplinaire. Autant dire à un enfant le jour de Noël qu'il ne pourra pas s'amuser avec ses jouets.

De nouveau, une main retrousse la jupe de Madame, on aperçoit l'attache du porte-jarretelles. Madame veut protester mais un des pompiers se penchent vers elle et l'embrasse sur la bouche forçant le barrage de ses lèvres avec sa langue. Sa jupe se retrouve tire-bouchonnée autour de la taille maintenant, son string blanc moule son mont de Venus avec précision. Elle pousse un cri étouffé par la langue qui lui fouille sa bouche. On lui soulève son pull, des mains empoignent ses seins. Madame rue, tente de se dégager mais les caresses ont raison de sa résistance. On lui a baissé les balconnets de son soutien-gorge et ses seins sont triturés sans ménagement par des mains avides. On lui écarte son string et un doigt inquisiteur plonge dans sa vulve.

- La salope !! Elle est trempée !!!

- Vous mouillez Madame le Maire. Lui lance un pompier en lui claquant les fesses.

Madame pousse un gémissement, c'est vrai, elle est trempée. Elle sent la cyprine qui coule. Elle est palpée sous toutes les coutures. On l'embrasse sur la bouche, dans le cou, ses seins sont malaxés. On lui tire les pointes et elle pousse un petit cri. On la branle brutalement. Son clitoris est manipulé avec douceur puis violence. Madame donne un coup de reins involontaire. Tous les pompiers autour d'elle ont sorti leurs membres et se masturbent. On la courbe en avant et son visage se retrouve à hauteur d'une queue palpitante qui lui parait gigantesque. On appuie sur sa tête et la bite force l'entrée de sa bouche. Elle manque de s'étouffer.

- Suce salope de bourgeoise ! Suce-moi la bite.

Sursautant sous l'insulte, Madame commence à pomper cette bite qui durcit rapidement sous ses caresses buccales. Derrière elle, elle sent des doigts qui envahissent son con. On la branle sans ménagement et elle coule comme une fontaine.

La bouche déformée par le membre qu'elle est en train de sucer, Madame respire bruyamment tout en gémissant sous les caresses et parfois les coups sur son cul. Le pompier regarde sa bite s'enfoncer entre les lèvres pulpeuses de la si distinguée épouse du Maire. Un des soldats du feu s’enfonce de toute sa longueur dans le vagin trempée de Madame qui pousse un cri étouffé par la queue qu'elle pompe. L'homme commence des allers-retours la tenant aux hanches. Madame, bien campée sur ses talons aiguilles, subit les assauts du pompier qui la pistonne violemment. Celui qu'elle suçait s'activa dans sa bouche la guidant en la tenant par les cheveux. Il éjacula en poussant un cri éclaboussant son palais de son sperme chaud qu'elle recracha avec un hoquet. Elle sent le ventre du pompier claquer contre ses fesses, ses seins sautent sous les coups de boutoirs de l'homme. Elle halète, gémit. On lui tourne la tête et une autre queue s'engouffre dans sa bouche.

Celui qui la bourrait se retira et le sperme gicla allant s'écraser sur son cul. La tête de Madame monte et descend sur la bite dressée qui s'enfonce entre ses lèvres rouges. Le pompier râle et se branle dans sa bouche.

Un autre pompier se penche et lèche sa fente, lui titillant le clitoris. Madame se dandine, elle sent la langue lui laper la mouille, elle se cambre pour que la langue la pénètre encore plus. On lui mord le bouton et elle pousse un cri s'arrêtant de pomper la bite.

- Oh Mon Dieu. Oui. Non...Je vous en supplie. Arrêtez.

Un index s'introduit dans son anus, elle gueule qu'il ne faut pas. Un doigt dans le cul, deux autres dans la chatte, elle est branlée par ses deux orifices. Les cheveux dans les yeux, elle gémit sans discontinuer. On lui agrippe la nuque et on la contraint à reprendre sa fellation. Le doigt s'agite dans son trou du cul.

Une autre bite se matérialise comme par enchantement dans la main de Madame qui se met à la caresser automatiquement. L'homme qui la branlait la pénétra en poussant un grognement.

Madame secoue la bite qui est dans sa main à toute vitesse. Le propriétaire de la queue ne tarde pas à lâcher son sperme sur le visage fin de Madame qui reçoit le liquide poisseux sur son front. Des filaments coulèrent jusqu'à son nez. Madame gémit sous les coups de reins puissants du pompier qui la défonce comme une brute. Madame répond à ses coups de queue en ondulant du bassin et en faisant claquer son cul contre son bas-ventre. La bite qu'elle suce libère sa semence qui s'écoule dans le fond de sa gorge. L'épouse du Maire poussa un cri déchirant quand l'homme qui la besognait éjacula au fond de son con.

Madame est rhabillée.Elle a nettoyé son visage avec un mouchoir enlevant les traînées de sperme. Elle a repris son air de bourgeoise respectable sous le regard ironique des pompiers. Elle sort des vestiaires s'apprêtant à rejoindre son époux, flageolante après l'orgasme qu'elle vient d'avoir. Son mari semble étonné en la voyant.

- Mais enfin ! Ou étais tu ma chérie ? Nous t'avons cherché partout.

Petit sourire crispé de Madame qui sert les cuisses pour tenter de stopper le foutre qui coule de sa fente.

- J'ai été visiter la caserne avec les pompiers.

FIN

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