Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique
19 - La douche du dimanche matin.Le dimanche matin quand Anne se réveilla, son visage la démangeait énormément. Machinalement elle essaya de se gratter, mais fut retenue par les cordes avec lesquelles elle était attachée. Elle soupira. Elle ne se souvenait même pas que MAURICE l'ait attachée au lit comme il le faisait presque tous les soirs. Cette fois-ci, il avait lié ses poignets à ses chevilles, la forçant dans une position obscène. Lorsqu'elle essaya de bouger elle sentit l'irritation d'une corde sur sa chatte. Le goût du sperme était toujours dans sa bouche et, bâillonnée avec une bande adhésive, elle ne pouvait rien faire pour s'en débarrasser. La friction de la corde sur son clitoris lui faisait mal et la démangeaison du sperme séché sur sa figure la rendait folle. Cela faisait des heures qu'elle était allongée sur le lit. Le soleil entrait dans sa chambre et elle avait de plus en plus envie de faire pipi. Elle essaya d'appeler un des garçons, mais à cause du ruban adhésif, elle ne pouvait que gémir.
Lorsque la porte s'ouvrit enfin et que MAURICE entra, elle était paniquée et elle tenta de supplier le garçon de la délier. Mais il l'ignora complètement.
- Ecoute-moi attentivement salope, je ne le répéterai pas. Maintenant que nous savons tous à quel point tu es une sale putain, les choses vont changer. Lorsque tu es ici, en surveillance des dortoirs, tu resteras nue et tu obéiras à chacun de nous à chaque fois que nous le voudrons. Tu nous salueras tous à genoux et tu me salueras moi en embrassant mes chaussures à chaque fois que nous nous rencontrerons. Quand tu seras chez toi, tu ne serviras qu'avec ma permission. Si je la donne à quelqu'un, il te montrera une autorisation de te baiser signé par moi. Si quelqu'un te montre ce papier, tu ne trouveras pas d'excuses, tu feras ce qu'il te dit.
MAURICE s'appuya contre le bord du lit et quand Anne essaya à nouveau de se faire comprendre, il donna une gifle à sa chatte exposée et la fit glapir sous le bâillon.
- Tais-toi quand ton maître parle, salope. Pendant les cours, tu porteras des vêtements sexy. J'adore les tenues d'écolières par exemple. Et si ta jupe couvre à peine ton cul, tu pourras porter à ces occasions une culotte. Je ne voudrais pas offenser les autres élèves en leur montrant tout le temps une pute. Et je me demande aussi quand les autres professeurs vont te faire des avances. S'ils le font, fais-le moi savoir et je déciderai s'ils peuvent te baiser ou non. Maintenant pour ton comportement en classe....
Il continua de lui donner des instructions détaillées sur la façon de se comporter pendant ses cours avec sa classe principale, chacun d'eux pouvant lui répondre et ne pas lui obéir. Toutefois, pour le moment, elle était trop mal à l'aise pour s'en soucier. Elle voulait juste être libérée et autorisée à se laver le visage et puis faire pipi. Au lieu de cela, MAURICE continua de la regarder avec un sourire sadique qui montrait qu'il savait très bien ce qu'elle voulait. Le silence dura quelques minutes, quand finalement il tendit la main et toucha le bas de son ventre.
- Tu veux pisser salope? Demanda-t-il en souriant.
Il pressa légèrement son bas-ventre, faisant presque perdre le contrôle à Anne qui faillit mouiller son lit. Elle acquiesça frénétiquement.
- Eh bien, je vais te donner deux choix. Lorsque je retirerai le ruban adhésif, tu pourras soit me supplier d'utiliser les toilettes des garçons, mais tu devras rester assise dessus pendant une heure. Ou alors tu peux me dire que tu préfères rester comme tu es. Quelle va être ta réponse?
Il tendit la main et arracha le morceau de ruban adhésif de la bouche de l'enseignante. Elle réalisa à peine la douleur lorsque l'adhésif se décolla.
- S'il vous plaît Monsieur, puis-je utiliser les toilettes des garçons pendant une heure. S'il vous plaît Monsieur.
MAURICE prit son temps en faisant semblant de réfléchir.
- Ok, si tu supplies gentiment. Bien que je ne sache pas ce que vont dire les autres sur toi si tu occupes leur toilette pendant une heure. Mais d'accord, vas-y...
Mais il se moqua :
- Oh tu ne peux pas. Tu es toujours ligotée.
Il la détacha lentement et avec précaution. Mais, il lui remit le ruban adhésif sur la bouche. Quand elle se leva précipitamment, il la rattrapa par les cheveux.
- Comment dois-tu me saluer chaque fois que nous nous voyons, salope? Demanda-t-il d'un ton sévère en lui donnant des claques sur ses seins.
Désespérée Anne tomba à genoux et embrassa ses pieds aussi vite qu'elle le put avec sa bouche toujours bâillonnée.
- C'est mieux. Viens maintenant.
Il la saisit de nouveau par les cheveux et la conduisit pliée en deux vers les toilettes des garçons. Il lui montra un box qui, comme elle se rendit compte immédiatement, n'avait pas de porte. Est-ce qu'ils voulaient tout la voir faire pipi? MAURICE ordonna :
- Assis toi! Mais ne t'avise pas de pisser avant que je sois parti.
« Quelle chance » pensa Anne. Elle ne voulait certainement pas uriner devant le garçon. Celui-ci se pencha et attrapa sa cheville. Quand elle baissa les yeux, elle vit qu'il attachait sa cheville à une barre située derrière la cuvette. Avant qu'elle puisse demander pourquoi, il fit la même chose avec son autre cheville. Elle était efficacement attachée sur les toilettes. MAURICE se tourna pour partir et dit :
- C'est juste pour m'assurer que tu ne partes pas avant la fin de l'heure. Maintenant tu peux pisser, salope. Quelqu'un viendra te détacher dans une heure.
Elle ne put à peine attendre qu'il soit parti. Ce fut un soulagement de se libérer et encore plus de savoir qu'elle ne s'était pas pissée dessus devant ce garçon. Elle ferma les yeux pour essayer de se calmer.
- Tu es appelée dans une des chambres des garçon, salope.
Olivier était debout devant son box en train de la regarder.
- Ne te gêne pas, continue de pisser. C'est plutôt cool de te voir faire avant que je pisse moi-même.
Anne n'aurait pas pu s'arrêter de toute façon. Le soulagement était trop agréable. Et elle reconnut qu'elle était obligée de subir cette humiliation. Avec ses chevilles attachées derrière elle, ses jambes devaient rester ouvertes et présentaient de ce fait une vue dégagée sur son sexe en train d'uriner. Sans hésitation, Olivier regarda jusqu'à ce qu'elle ait fini. Puis il attendit.
- Est-ce que tu vas te lever et me laisser la place? demanda-t-il.
- Mais Olivier... Ecoute, je ne peux pas... MAURICE m'a attachée ici.
- Alors c'est ton problème.
Le garçon sourit en descendant lentement sa braguette.
- Qu'est-ce que... S'il te plaît, s'il te plaît... Je ne peux pas te sucer ici... Je le ferai plus tard dans ma chambre, Olivier.
Le garçon secoua la tête.
- Tout d'abord je pense que tu devrais nous nous traiter respectueusement et nous dire « Monsieur ». Deuxièmement je n'ai pas l'intention de me faire tailler une pipe. Tu m'en as fait une hier, et plus tard, je compte bien baiser ton petit trou du cul serré. Voilà. Mais je dois me soulager et je le fais toujours ici d'habitude. Donc si tu ne veux pas te lever...
Anne était abasourdie tandis qu'Olivier sortait son sexe de son pantalon, puis se plaça devant elle.
- Nooonn Olivier... enfin je veux dire Monsieur. S'il vous plaît, s'il vous plaît, pas ça!
Sa voix s'estompa lorsque le premier jet d'urine tomba entre ses seins. Elle ne pouvait que regarder, pendant que le liquide chaud et puant coulait sur son ventre et entre ses jambes. Il était en train de l'arroser de sa pisse. Elle était trop choquée pour être outrée ou humiliée. Tout simplement, elle n'arrivait pas à croire ce qui se passait. Quand il eut fini, il remit sa queue dans son pantalon et sourit.
- Je dois dire que c'est bien plus agréable que de pisser dans la cuvette. Je crois que je pourrais m'y habituer.
Inévitablement, elle n'eut pas beaucoup à attendre les autres garçons, Thomas VIEILLE en tête. Mais avant de défaire son pantalon, il prit un marqueur et écrivit sur son corps. Charles, qui se tenait derrière lui, lut à haute voix, plus au bénéfice d'Anne qu'au sien :
- « Pute à pisse Anne », ouais, c'est assez évident, mais penses-tu que la cible entre ses seins est nécessaire? « Route de la pisse » sur son ventre l'est aussi. Et elle a certainement un « trou à pisse » entre ses jambes. Et Olivier a dit qu'elle avait pisser il y a un moment. Je crois que ça suffit Thomas, arrête d'écrire et soulage-toi.
Thomas n'hésita pas, et quand il eut fini, la bite de Charles remplaça la sienne. Puis vint Pierre, Maxime, puis... A la fin, elle ne se souvint plus, mais ils devaient être tous passés quand MAURICE revint la détacher.
- Tu pues salope, va prendre une douche!
Elle se mordit les lèvres et se baissa pour embrasser ses chaussures, mais il la repoussa.
- Pas tant que tu pues comme des toilettes publiques. Et n'utilise pas nos douches, va dans celles des filles.
Puant la pisse, et le corps barbouillé par le marqueur, mais les inscriptions toujours visibles, elle se dirigea vers l'aile des filles. Rose la vit, plissa le nez et éclata de rire en voyant les écrits.
- Hé les filles, venez voir ça. Ou le sentir. Il n'y a apparemment pas de fin à la dégradation de notre salope.
Les autres sortirent de leur chambre pour regarder Anne puis disparurent en secouant la tête. Cependant Lydie la suivit dans les douches, la fit s'agenouiller et ajouta son urine. Puis elle dit à Anne de se dépêcher de prendre sa douche car elle voulait se faire lécher la chatte et le cul.
20 - Nouvelles leçons.
Lorsque finalement Anne fut libérée dimanche après-midi, elle se dépêcha de rentrer chez elle et elle essaya d'oublier son week-end du mieux qu'elle le pouvait. Elle se plongea dans un livre et discuta avec son amie Marie. Celle-ci voulait tout savoir sur sa nouvelle vie à l'école. « Si tu savais... » pensa Anne en lui expliquant que l'école était belle.
Mais le lundi matin arriva trop tôt. Anne s'aventura hors de chez elle avec les vêtements les plus provocants qu'elle avait pu trouver dans sa garde-robe. Le chemisier blanc très serré, la jupe courte en tartan et les chaussettes blanches la faisaient ressembler à la version porno d'une écolière. C'est surement ce qu'avait eu en tête MAURICE. Au moins, elle avait eu la permission de porter une culotte.
Son cœur battait la chamade quand elle entra dans la salle des professeurs. Les conversations s'arrêtèrent un instant à son entrée et elle entendit des sifflements étouffés. Quand elle passa près de la table partagée par trois enseignantes âgées, elle aurait pu jurer avoir entendu le mot « chienne » murmurée.
Nicolas, l'autre enseignant responsable de ses étudiants, vint vers elle en souriant.
- Jolie tenue Anne. Bien mieux que ce que portent les autres. Tu es à croquer.
Confuse et rougissante, elle marmonna quelque chose tout en le frôlant. Pendant ses premiers cours, elle sentit les yeux de ses élèves sur ses seins et ses jambes exposés. Elle dut fortement se concentrer sur son cours. A l'heure du déjeuner, sur le chemin de la cafétéria, Nicolas tomba sur elle et flirta avec elle. Dans des circonstances normales, elle aurait joué le jeu, vu que l'enseignant était un gars gentil et très beau. Mais elle sentait les yeux de MAURICE posés sur elle, donc elle ne répondit pas aux avances de Nicolas. Pourtant, elle ne put s'empêcher de se demander comment il serait au lit.
Quand elle quitta la cafétéria, MAURICE la rattrapa et la coinça dans un coin désert.
- Quelque chose à me signaler? Demanda-t-il.
Anne savait où le garçon voulait en venir, alors elle répondit :
- M. BERGER ne me draguait pas, il essayait juste d'être gentil.
MAURICE sourit :
- Bien. De toute façon je ne le laisserais pas te baiser. Il est trop beau pour une grosse vache comme toi.
Anne ne put que se mordre la lèvre alors que l'étudiant s'éloignait dans le couloir et se dirigeait vers son prochain cours. Le dernier cours de la journée pour Anne était un double cours dans sa classe principale. Anne s'y rendit lentement, en essayant de voir si elle se rappelait toutes les règles que lui avait données MAURICE. A ce moment, elle réalisa qu'elle ne pensait même plus à leur désobéir, mais qu'elle obéissait presque automatiquement. Elle entra dans sa classe, troublée, le cœur battant rapidement. Elle s'assura que la porte était bien fermée avant de se tourner vers la classe et s'agenouiller près de son bureau.
- Bonjour Mesdames et Messieurs.
- Bonjour putain. Répondirent-ils à l'unisson.
Anne espéra que personne ne passe dans le couloir à ce moment-là.
- J'ai uriné trois fois aujourd'hui et je note mon état d'excitation 6 sur 10. Depuis notre dernière leçon, je vous ai tous servi. Puis-je présenter mon corps pour inspection?
Elle espéra s'être souvenue correctement de la manière dont elle devait commencer la journée à partir de maintenant.
- Vas-y!
Elle se leva et présenta ses seins et son cul. Quand elle écarta les cuisses et tira sa culotte sur le côté pour montrer sa chatte, Lydie lui fit signe d'un doigt. Elle s'approcha et écarta les jambes pour l'étudiante qui enfonça aussitôt un doigt dans sa chatte. Anne se mordit la lèvre pour ne pas gémir. La jeune fille commenta :
- A peine humide. C'est au mieux un 4,5 plutôt qu'un 6.
Elle essuya son doigt sur la cuisse d'Anne et renvoya l'enseignante vers son bureau.
- Je voulais annoncer que pendant la pause entre les deux heures, je serai toujours disponible pour lécher une chatte ou sucer une bite. Si vous terminez vos problèmes avant le temps prévu, je suis également disponible pour que vous puissiez passer le temps. Et si vous trouvez mon cours trop ennuyeux, vous pourrez me le rappeler en claquant vos règles sur mon cul.
Quand elle eut fini, son visage était rouge. Elle jeta un regard inquiet vers MAURICE en espérant qu'elle s'était souvenue de tout, correctement. Le garçon se contenta de sourire.
- Puis-je commencer le cours maintenant?
Il y eut des hochements de tête manifestement réticents. Elle tenta alors de se concentrer sur son enseignement.
Les jours suivants passèrent presque normalement. Comme MAURICE lui avait interdit de changer son emploi du temps, et malgré le long week-end, elle était de nouveau de service au dortoir le mercredi soir. Elle du subir les désirs de la plupart de ses élèves. Elle était résignée et fut reconnaissante que MAURICE ne propose pas de nouvelle dégradation. La plupart des garçons utilisèrent sa bouche et son cul, mais Ali voulut lui défoncer la chatte. Elle dut se battre pour ne pas avoir d'orgasme, mais elle resta incroyablement excitée. Elle passa la nuit presque sans sommeil à lutter contre ses pulsions. Elle voulait conserver un dernier vestige de respect pour elle-même, Mais lorsqu'elle entra dans sa classe le jeudi, elle sut qu'elle avait perdu.
- Bonjour Mesdames et Messieurs. Dit-elle à genoux.
- Bonjour putain! Fut la réponse habituelle.
Malgré ses efforts pour se calmer, la voix d'Anne trembla quand elle continua :
- J'ai pissé une fois ce matin et mon état d'excitation est de 10 sur 10. Depuis notre dernier cours, j'ai léché trois chattes, sucé quatre bites et j'ai été enculée cinq fois et baisée une fois dans ma chatte. Puis-je présenter mon corps pour inspection?
Elle vit le sourire de MAURICE s'élargir alors qu'elle montrait son corps. Elle serra les poings, mais savait qu'elle ne pouvait supporter son état d'excitation.
- Monsieur MAURICE a décrété que, lorsque je serais complétement excitée, je pourrais demander un orgasme et que la décision serait prise par vote. Si le vote est en ma faveur, je devrais choisir trois d'entre vous pour me fixer des tâches que je devrais accomplir pour gagner cet orgasme. Je choisirai entre les trois tâches et celui qui me l'a donnée, décrétera la façon dont je pourrai jouir.
Les visages des étudiants ne montrèrent aucune surprise. Bien sûr, MAURICE avait du leur expliquer auparavant. Elle prit une profonde inspiration.
- Puis-je s'il vous plaît avoir un orgasme? Si vous êtes en ma faveur, s'il vous plaît levez la main.
MAURICE croisa ostensiblement ses bras sur sa poitrine. Il aimait la voir perdre le contrôle de son corps et avoir un orgasme sans permission, elle le savait. Les autres étudiants se regardèrent un instant, puis Rose leva la main, suivie d'Ali. Lentement, d'autres mains se levèrent. Anne poussa un grand soupir lorsque la décision fut prise par 10 voix contre 7. MAURICE sourit :
- Je pense que tu as eu de la chance, salope. Voyons voir qui doit te confier des tâches. Donne leur nom et tu connaîtras tes tâches à la fin du cours.
Anne avait passé la moitié de la nuit à se demander qui choisir, qui imaginerait des tâches les moins dégradantes. Katia aimait être léchée, mais ne semblait pas trop méchante. Et elle espérait que Valentine était trop timide pour lui faire faire des choses vicieuses. Elle avait choisi en troisième Charles, sachant qu'il aimait baiser et qu'il avait la plus grosse bite des garçons. Peut-être qu'il la ferait jouir en la baisant.
- S'il vous plaît, est-ce que Mlle ANNIEL, Mlle RIVIERE et M. LAVIE pourraient me confier ces tâches?
Les trois acquiescèrent.
- Puis-je commencer le cours maintenant?
Son espoir que Charles veuille la baiser fut brisé quand il demanda une fellation dans la pause du cours. Malgré tout, elle s'efforça de le satisfaire afin qu'il soit gentil. A la fin du cours, elle se laissa tomber à genoux.
- Puis-je, s'il vous plaît, entendre les tâches que vous me proposez Mesdames et Messieurs? Mlle ANNIEL, que puis-je faire pour que vous me donniez un orgasme?
- Eh bien, voyons si tu es si impatiente. Quand tu lèches mon trou du cul, tu dis que ça ne te dérange pas. Et si ça ne te dérange pas de lécher ma chatte juste après que je viens de faire pipi, je pense que tu peux bien me lécher le cul juste après que je revienne des toilettes.
Anne était abasourdie. Quelqu'un intervint en éclatant de rire et en disant :
- Ouais, elle deviendra une vraie putain de merde!
- JAMAIS! Cria Anne.
- Viens ici! Ordonna MAURICE sèchement.
Toujours bouleversée, elle se dirigea vers lui et le regarda avec agressivité.
- Tourne-toi, penche-toi et écarte les jambes! Ordonna-t-il.
Anne prit un moment pour se rappeler de ne pas désobéir à un ordre direct de sa part. Elle s'y conforma à contrecœur. Un instant plus tard, elle s'effondra en larmes, les mains sur sa chatte.
- Remets ta chatte gluante en place!
MAURICE la fixa en tapotant sa règle de bois sur le bureau.
- Tu ferais mieux de te souvenir de ta place, salope. Katia t'a offert une chance d'avoir un orgasme. Le moins que tu puisses faire est de décliner la proposition poliment. Maintenant debout et supplie-moi de te donner un autre coup. Et cette fois-ci, reste en place.
Anne ravala ses larmes et regarda avec une fascination morbide, la règle qui l'avait frappé à l'endroit le plus sensible de sa peau. Lentement, elle se leva et se remit en position. Elle s'endurcit contre la douleur et supplia :
- S'il vous plaît, M. MAURICE, je serai une bonne pute respectueuse. S'il vous plaît, donnez-moi un coup de plus.
Il la fit attendre pendant que ses doigts s'enfonçaient dans la chair tendre de ses cuisses. Elle respira profondément. Lorsque la règle entra en contact avec sa chatte exposée, les larmes mouillèrent ses yeux et elle réussit seulement à étouffer son cri de douleur. Maxime dit :
- Elle grogne comme une cochonne. Peut-être qu'elle va jouir si on fouette sa chatte.
- Viens ici et lèche ma règle. Je suis sûr qu'il y a de ton jus dessus.
MAURICE tenait la règle si bas qu'elle dut s'agenouiller et se pencher en avant pour lécher toute la longueur.
- Maintenant excuse-toi auprès de Katia.
Elle se retourna et rampa sur les quelques mètres à genoux, puis se baissa et embrassa les pieds de Katia. N'importe quoi pour éviter plus de douleur à sa chatte.
- Je m'excuse Mlle ANNIEL. Je vous remercie pour votre suggestion, mais je refuse respectueusement.
Katia la regarda méchamment et lui dit :
- Tu vas passer un long moment à me lécher le cul pour ça.
Quand Anne revint devant sa classe, elle poussa un soupir de soulagement d'avoir évité plus de punition. Elle jura qu'elle réagirait dorénavant de manière plus circonspecte aux autres suggestions.
- Mlle RIVIERE, puis-je entendre votre tâche maintenant?
- Je veux que tu sois notre petit chien pendant un moment. Faire le beau, t'asseoir, aller chercher des choses...
Valentine reprit son souffle après avoir eu le sentiment d'avoir fait preuve de tant d'audace.
Ramper sur le sol et se faire donner des ordres comme à un chien? Anne était sur le point de refuser poliment, mais elle réfléchit, il valait mieux connaître la troisième tâche proposée.
- M. LAVIE, pourriez-vous s'il vous plaît me dire votre tâche?
Le grand garçon noir s'étira et savoura le moment. Anne ne savait pas si son sourire était seulement heureux ou ironique.
- Tu vas aimer ça j'en suis sûr. Tout ce que tu as à faire est de t'asseoir sur un bureau, de lever les jambes pour que ta chatte soit bien ouverte et de supplier d'être rudement baisée.
Il regarda autour de lui comme s'il attendait pour des applaudissements et ajouta :
- Tu devras le faire sur le bureau du directeur cependant.
Cela créa un gros brouhaha et tout le monde voulut ajouter un commentaire.
- Oui, fais-la baiser par ce vieux connard!
- Je suis sûr que le vieux BONHOMME aimerait seulement un gros baiser humide.
- De toute façon, il n'arrivera pas à rentrer sa queue avec son gros bide.
Il leur fallut quelques minutes pour se calmer et que le silence revienne. Les étudiants la regardèrent et attendirent sa réponse. MAURICE rompit le silence :
- Eh bien, qu'est-ce que tu choisis? Bien sûr, tu peux tout refuser et recevoir 25 coups de cravache. Peut-être que Maxime a raison et que ça va te faire jouir.
Anne essaya de rassembler ses pensées. Elle ne pouvait pas demander au directeur de la baiser et elle savait qu'elle ne supporterait pas 25 coups de cravache sur sa chatte.
- Je serai votre chien Mlle RIVIERE! Murmura-t-elle.
- A poil salope! Commanda immédiatement MAURICE.
- Mais s'il vous plaît, M. MAURICE, ne pouvons-nous le faire dans la salle commune du dortoir? Si quelqu'un entre?
- Tais-toi salope! Ou tu veux 25 coups de règle?
Frissonnant à cette pensée, Anne enleva ses vêtements et se mit à quatre pattes sur ses mains et ses genoux. Pour essayer d'en finir, elle se dirigea vers Valentine et commença à se frotter sur sa jambe. Elle sentit la jeune fille caresser ses cheveux comme si elle était un chien. Maos presque aussitôt elle entendit la voix d'Olivier.
- Au pied!
Elle rampa vers lui à contrecœur. Mais il se leva et fit le tour de la classe. Anne essaya de rester près de sa jambe gauche comme elle l'avait vu faire par des chiens dressés, craignant qu'il ne la garde. Mais Pierre prit la relève puis Robert. Lorsqu'ils en eurent assez d'elle, elle était trempée de sueur.
- Assis!
Thomas continua avec une nouvelle série d'humiliations. Il la força à s'asseoir, à s'allonger, à se retourner et faire plein de trucs que l'on enseigne aux chiens. Quand Lydie l'appela avec une lueur malicieuse dans les yeux, Anne comprit que son humiliation allait continuer. La jeune fille tenait un morceau de saucisse de son déjeuner dans sa main.
- Fais le beau, salope!
Il fallut tout son sang-froid à Anne pour ne pas crier des obscénités à la jeune fille, mais s'asseoir les fesses sur ses talons et lever les mains. Lydie la félicita :
- Bon chien, voici ta récompense.
Elle jeta la saucisse en l'air. Anne fut trop surprise pour réagir. Elle la regarda tomber.
- Chienne idiote! Va chercher ta récompense!
Se mordant les lèvres, Anne se tourna et baissa la tête sur le sol. Avec précaution, elle prit la saucisse entre ses lèvres et la présenta à Lydie.
- Qu'est-ce que tu veux que j'en fasse? Penses-tu que je vais manger des choses qui sont tombées sur le sol sale, ou pire encore, qui ont été dans la bouche d'une chienne? Avale!
La saucisse lui resta presque coincée dans la gorge, mais elle obéit. Maintenant bien sûr, ils voulurent tous se débarrasser des restes de leur déjeuner. Anne n'arriva pas à en attraper un seul, et, très vite, des morceaux de nourriture furent jetés dans toute la pièce. L'enseignante dut ramper entre les chaises pour les trouver et les manger. Elle était en train de ramasser un morceau de biscuit entre deux chaises au dernier rang lorsque la classe se fit silencieuse.
- Qu'est ce que vous faites tous encore ici? Le cours est terminé depuis presque une heure.
Quand Anne entendit la voix familière, elle pâlit et commença à trembler. Et s'il la trouvait comme ça, nue sur le sol? Et s'il voyait ses vêtements? Elle essaya désespérément de se rappeler où elle les avait mis et s'ils étaient visibles de la porte.
- Mme POISTOUT nous a donné un sujet de discussion, Monsieur le Directeur. Et nous avons décidé qu'il était préférable de commencer tout de suite, alors que nous étions tous ensemble. Nous nous excusons si nous avons fait du bruit.
- Ah d'accord, continuez alors!
Anne entendit la porte se refermer.
- Ici salope!
MAURICE semblait complètement imperturbable en l'appelant. Il vida le contenu de sa boite de déjeuner par terre et ajouta celle de son voisin.
- Tu as travaillé dur, salope, tu dois avoir faim. Alors dîne maintenant et ensuite ça sera fini.
Anne regarda le mélange dégoûtant sur le sol. Mais la seule pensée que ça mettrait fin à son humiliation, lui fit baisser la tête et se nourrir comme un chien. Ce ne fut que quand elle eut presque fini, qu'elle réalisa qu'elle n'était qu'à quelques minutes de son premier orgasme depuis plusieurs jours. Cette pensée l'excita et sa chatte commença à mouiller. Elle leva la tête et rampa vers Valentine.
- Comment puis-je avoir mon orgasme Mlle RIVIERE s'il vous plaît?
Encore une fois, la jeune fille eut l'air troublée. Sa voix fut presque inaudible.
- Tu peux jouer avec toi-même.
Légèrement déçue, Anne remercia Valentine et commença à presser ses mains sur son corps. Mais MAURICE intervint :
- Arrête salope, pas encore. Tu es probablement trop bête pour t'en souvenir, mais dimanche nous fêterons notre premier anniversaire. Tu es ma salope depuis un mois. Et j'ai décidé d'organiser une petite fête chez toi. Tu nous prépareras le déjeuner et ensuite nous nous amuserons. Et tu sais quoi? Comme nous allons surement tous jouir plusieurs fois avec toi, je pense que tu auras droit aussi à deux orgasmes. Le premier tu l'auras seule en te masturbant devant nous et ensuite tu en auras un deuxième de célébration que tu ne devrais jamais oublier. Tu ne me remercies pas salope?
Attendre Dimanche? Encore trois jours? Résignée, Anne baissa la tête et embrassa les chaussures de MAURICE.
- Merci Monsieur.
A suivre...
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