lundi 13 avril 2020

La nouvelle vie de Christine Ch. 22

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Il faut qu'elle encourage les ouvriers.

7 mois après le début de la nouvelle carrière de Christine, je reçois un appel de Francis, son patron, me demandant de passer le voir. Je lui réponds affirmativement en pensant à tous les chèques qui tombent tous les mois grâce aux attributs de ma belle-mère. Donc, dans l'après-midi je me dirige vers son entreprise et à 14h00 je frappe à la porte de son bureau.

- Bonjour, heureux de vous voir. Asseyez-vous. Me dit-il en désignant un fauteuil en face de son bureau.

- Y'a-t-il un problème Francis? J'espère que Christine est toujours aussi performante et fait gagner beaucoup d'argent à l'entreprise. Demandé-je avec un grand sourire sur le visage.

Il rigole et me confirme qu'elle est toujours un atout pour l'entreprise :

- Christine travaille très bien. D'ailleurs elle est juste en train de régler une grosse affaire. Vous savez que les Russes sont très dures en affaire. C'est pourquoi je remercie Dieu d'avoir Christine pour faciliter les négociations difficiles.

- Y'a-t-il une chance que je la voie travailler? Je n'ai plus beaucoup l'opportunité de la faire.

Francis hoche la tête. Il ne peut nier que c'est grâce à moi que Christine est devenue une salope pour sa clientèle. Il tend la main vers la télécommande d'un grand téléviseur à led sur le mur. Il allume l'écran et le grand bureau de Christine apparaît ainsi que de grands cris bruyants de plaisir. Ma belle-mère se retrouve actuellement sur le canapé avec la grosse bite d'un homme assez grand dans sa chatte. Assis sur un tabouret, complètement nu, sa queue en érection, se trouve un homme un peu plus petit.

- Le plus grand, celui qui baise Christine est Artur. Et celui sur le tabouret se prénomme Vadim. Ce sont tous les deux des hommes très riches et très puissants en Russie. Et je crois qu'avec l'aide de votre belle-mère, nous allons conclure un partenariat très lucratif. Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai fait venir.

Ces derniers mots détournent mon regard de ma soumise qui fait ce qu'elle sait faire le mieux en se faisant baiser. Je demande :

- D'accord. Que se passe-t-il?

- J'ai dû licencier Etienne JARSON. Cet imbécile s'est fait détester de tout son service. Il était trop arrogant et coléreux. Si bien qu'aujourd'hui nous risquons de perdre un bon contrat. Christine avait passé une journée à l'obtenir mais Etienne a complètement salopé le boulot. Nous n'allons pas pouvoir respecter les délais, car les ouvriers ne réussiront pas à les tenir.

- D'accord. Et en quoi cela me concerne-t-il Francis? Je ne comprends pas. Dis-je.

- Est-ce que je pourrais utiliser Christine pour motiver le personnel de ce service et les faire travailler pour qu'ils respectent les délais. Elle pourrait répondre à quelques besoins. Demande-t-il un peu désespéré.

- Quel avantage vais-je en retirer? Vous n'allez pas gagner plus d'argent. Comment vais-je être récompensé?

Je pose la question tout en regardant la télévision dans laquelle ma belle-mère se fait embrocher par la queue du petit Russe.

- Je pense que je pourrais calculer un pourcentage supplémentaire si les délais sont respectés. Déclare Francis.

- Je pense que deux pour cent supplémentaires sur ce que vous fait gagner Christine reste raisonnable. Dis-je tout regardant ma belle-mère avoir un orgasme.

- Marché conclu. Dit Francis avec satisfaction.

Je lui demande alors :

- Quand et comment allez-vous présenter au personnel cette proposition?

- Je pense le faire ce soir lors du changement de poste. Il y aura moins de personnel. Je leur expliquerai et je pense que Christine devrait leur faire une petite démonstration de ce qu'elle peut leur offrir. Il va y avoir des négociations mais je suis préparé.

- des négociations? Comment ça? Demandé-je.

- La date limite n'est pas avant Noël mais nous avons beaucoup de retard. Alors le personnel pourrait vouloir des séances d'incitation régulières si je veux qu'ils restent motivés pour les quatre ou cinq prochains mois. Répond Francis.

- D'accord. Donc pour chaque séance supplémentaire que devra accomplir ma belle-mère, je m'attends à une belle gratification dans l'enveloppe mensuelle.

Je souris alors que Francis hoche la tête en riant pour me signifier qu'il a compris.

- Une autre chose : J'aimerai rester là pour voir la réunion et les personnes dont Christine devra s'occuper. Y'a-t-il un endroit où je pourrai regarder ça tranquillement? Dis-je en pointant du doigt l'écran de télévision.

-Oui, vous pouvez utiliser le bureau de Daniel, il n'est pas là aujourd'hui. Si vous avez besoin de moi, je ne suis pas loin. Je vais préparer un accord par écrit pour le personnel de l'entrepôt. Dit-il juste avant que je ne me prépare à sortir de son bureau.

Mais je m'arrête à la porte, alors que j'ai une dernière doléance :

- Francis, Ne dites pas à Christine que je suis là jusqu'au moment où nous irons à la réunion.

- D'accord. Dit-il.

Je sors de son bureau et me dirige vers celui de Daniel pour finir de regarder ma belle-mère en action.

Je ne sais pas depuis combien de temps Christine était avec les deux russes avant que je n'arrive à 14 heures mais je la regardai jusqu'à 15 heures 15. Elle saisit la bite du plus grand pour la positionner à l'entrée de son cul puis elle s'assit complètement dessus. Elle se pencha en arrière sur la poitrine poilue de l'homme et, sans qu'on lui demande, elle écarta les jambes et demanda à l'autre russe de pénétrer sa chatte.

L'homme n'eut pas besoin qu'on lui dise deux fois. Il glissa facilement sa queue dans le sexe bien utilisé et bien lubrifié de ma belle-mère. Elle se trouva ainsi prise en sandwich entre les deux hommes. Vers 15 heures 15, son cul et sa chatte ayant remplis leur office, Christine est accroupie entre ses partenaires pour nettoyer leur bite. Le sperme coule de ses deux trous et tombe sur le sol.

Une fois que leurs sexes semblent bien nettoyer, les hommes parlent en russe et se rapproche de leurs vêtements. Comme Christine, je les regarde s'habiller puis se diriger vers la sortie. Ma belle-mère, sur ses jambes un peu flageolantes, se rapproche de la porte et dit ce qu'elle a l'habitude de dire aux clients de l'entreprise :

- Merci d'avoir utilisé ma bouche, ma chatte et mon cul avec vos grosses bites. Ça fait partie du service.

Elle reste droite près de la porte donnant l'impression que c'est normal pour elle au bout de sept mois.

Quand le dernier russe, Vadim, s'éloigne, il se retourne et dit en anglais avec un fort accent russe :

- Espèce de sale pute, grosse traînée.

Puis il s'en va, laissant ma belle-mère immobile près de la porte. Elle semble indifférente à ces propos. Elle est habituée maintenant à être utilisée et humiliée par des hommes puissants et riches. Elle a déjà entendu pire.

Je la regarde se nettoyer et prendre une douche, puis se revêtir d'une des nombreuses tenues que lui ont achetées les hommes de l'entreprise. Ce matin, elle avait quitté la maison en pantalon et chemisier. Là, elle enfile une petite culotte blanche en dentelle, ouverte à l'entrejambe, qui ne cache rien de ses petites lèvres encore gonflées. Ensuite, elle met des bas et les fixe au porte-jarretelles. Elle monte sur ses talons hauts. Le soutien-gorge qu'elle prend est en dentelle. Il est conçu pour laisser voir un peu de l'auréole sombre autour de ses mamelons. Elle arrange ses cheveux et son maquillage dans le miroir et la voilà redevenue une vraie salope à baiser.

Elle a ensuite quitté la pièce. Je cherche autour de moi une télécommande comme celle de Francis. Je la trouve sur un classeur dans le coin du bureau de Daniel. Je suis maintenant en mesure de faire défiler les différentes caméras installées par l'ami de Francis et ses deux employés. Je vois dans un bureau, Francis qui rigole avec les deux russes. Évidemment les prestations de Christine avaient été bien perçues.

J'ai finalement trouvé ma belle-mère dans la zone d'attente se situant près de l'ascenseur.

Elle est penchée sur un tabouret, se tenant sur les avant-bras, ses seins tombant, son cul face à l'ascenseur. J'aime ce qu'ils lui font faire. Je l'ai vu plusieurs fois dans cette position lorsque je me connecte aux caméras. Elle doit rester dans cette position jusqu'à ce qu'elle soit appelée par un des administrateurs ou gestionnaires, ou éventuellement par un client.

Environ une heure plus tard, l'ascenseur s'ouvre et Robert WILFRIED en sort suivi de Michel FAURE.

- Même après sept mois, on ne peut pas s'ennuyer d'une vue comme celle-là lorsqu'on arrive ici. Qu'en penses-tu Michel? Dit Robert WILFRIED en riant, son collègue se joignant à lui et disant en approchant de Christine.

- C'est impossible Robert

Il se place derrière ma belle-mère, et rentre trois doigts dans sa chatte par l'ouverture de la culotte.

- Tu sors de réunion avec des clients salope? Dit-il en la regardant et pistonnant sa chatte avec trois doigts

- Oui Monsieur FAURE, c'est ce que je viens de faire. Dit-elle, les dents serrées alors qu'il continue à la fourailler.

L'homme enlève sa main, la porte à son nez pour la sentir, puis tourne autour de Christine et la pousse vers sa bouche pour qu'elle la nettoie. Cela fait, il sourit, prend un des tétons pour le pincer avant de s'éloigner en riant et en disant :

- Continue de faire du bon boulot.

Une fois de plus, ma belle-mère est laissée ainsi, complètement exposée, montrée comme un trophée ou un objet de décoration. Elle attend, obéissante, d'être appelée ou de se laisser tripoter par celui qui voulait. J'ai entendu les deux hommes entrer dans leur bureau. Vingt minutes plus tard, j'entends Francis dans le couloir. Il vient avec les deux russes Artur et Vadim pour montrer où attend Christine.

Je regarde la femme tandis que les voix approchent du bout du couloir. Quand elles arrivent, Christine regarde les hommes et leur sourit. Ils continuent d'avancer jusqu'à ce qu'ils soient debout à côté d'elle. Francis dit aux deux russes :

- Bien, Merci Artur et Vadim d'avoir conclu un contrat qui nous promet un partenariat très lucratif.

Il s'arrête de parler pour toucher le sein droit de Christine et pincer entre le pouce et l'index le téton afin de la faire gémir. Puis il ajoute en souriant :

- Et si à l'avenir, il y a quelque chose que nous pouvons faire pour vous, n'hésitez pas à nous appeler.

- Votre hospitalité a été des plus généreuses. Nous sommes contents de l'avoir découvert. Dit Artur en souriant à Christine.

Il tend la main vers la poitrine offerte et la caresse doucement avant de se diriger vers l'ascenseur, son associé à la remorque.

Une fois qu'ils sont partis, Francis s'approche de ma belle-mère avec un large sourire sur son visage. Aussitôt qu'il est à portée, il donne une grosse claque sur son cul.

- Aiiiieeee! Crie-t-elle en reculant après cette punition inattendue.

Il l'attrape par les cheveux et la force à se redresser. Les gros seins ballottent. Il se penche à son oreille et lui dit :

- Tu es une bonne pute Christine, une autre affaire dans le sac, merci à ta chatte.

Il la relâche pour qu'elle puisse reprendre sa position.

- Merci Monsieur MULLER. Dit-elle.

Comme ma belle-mère ne sait pas que je suis sur les lieux, il est bon pour moi de voir comment elle réagit et comment elle est traitée. Bien sûr, à la maison, je peux me connecter au système de caméras. Mais je ne peux pas m'asseoir toute la journée pour regarder même si j'aime bien.

Je regarde l'horloge et je commence à me lasser d'attendre. Plus rien ne se passe avec Christine alors qu'elle attend comme une pute.

A 17h00, je remarque que ma belle-mère commence à s'agiter et n'arrête pas de regarder l'horloge. Je me demande si elle est obligée de rester là tant qu'on ne lui dit pas le contraire. Çà serait logique. Donc je présume, qu'elle se demande pourquoi elle est encore là, abandonnée. Au bout de dix minutes, elle est encore plus agitée et ce n'est qu'après avoir entendu une porte s'ouvrir qu'elle reste immobile.

Un instant plus tard, on frappe à la porte du bureau où je me trouve et j'entends Francis dire :

- C'est l'heure.

- J'éteins la télévision et pose la télécommande. Puis j'accompagne Francis.

Avant d'arriver à la salle d'attente, il s'arrête devant un placard pour en sortir un long imperméable.

Quand nous arrivons dans la pièce où elle attend, le visage de Christine est perplexe et étonné de me voir avec un sourire ironique sur la face.

- Salope! Dis-je

- Maître! Répond-elle.

Puis elle ajoute :

- Que faites-vous ici?

Je pose un doigt sur mes lèvres et elle se tait.

- Peu importe pourquoi je suis ici salope, c'est mon affaire. En passant, bon travail avec les deux russes, le chèque devrait être intéressant. Dis-je.

Elle baisse les yeux, honteuse. Pourtant elle connaît très bien son rôle et elle sait que je le sais.

Francis l'aide à se redresser puis lui tend l'imperméable en disant :

- Mets cela. Nous avons une réunion à l'entrepôt.

Il l'aide à mettre les boutons et la ceinture. Il s'assure qu'elle soit bien couverte. Seuls ses talons hauts restent visibles. Pour quelqu'un qui ne sait pas qu'elle est en sous-vêtements dessous, elle paraît très bien habillée.

Je suis Francis et Christine dans l'ascenseur, puis dans des couloirs et à travers une multitude de portes. Comme Francis l'avait dit, l'entrepôt est presque désert à cette heure. Seuls restent quelques employés qui vont pointer pour sortir. L'équipe de nuit doit commencer à 18h00. Tout est calme.

Finalement nous arrivons à l'extrémité de l'entrepôt où se trouve un petit bureau entouré de palettes et cartons. S'y trouvent huit hommes en bleus de travail et gilets de protection. Nous avançons vers eux qui se mettent en demi-cercle. Ils se taisent à l'arrivée de leur patron.

- Bonjour Messieurs. Dit Francis avec Christine et moi derrière lui.

Je le laisse conduire la réunion, sachant le but alors que ma belle-mère ne le sait pas encore. Le patron continue :

- Vous savez que j'ai licencié Etienne. A cause de lui et de son arrogance, le moral semble être faible dans ce service et la productivité a anormalement chuté. Nous avons jusqu'à Noël pour remplir le dernier contrat mais nous sommes très en retard.

Les employés commencent à murmurer. J'ai l'impression qu'ils n'ont pas trop envie de se remuer pour faire le travail. Alors Francis lance la négociation :

- Voilà, pour résoudre ce retard et faire en sorte que la commande soit respectée, je souhaiterai que vous acceptiez de travailler 6 jours sur sept dans les prochains mois. Alors est-ce qu'un bonus pourrait vous persuader de m'aider?

Bien qu'il parle aux huit hommes, il regarde le plus âgé, qui semble être le chef d'équipe, pour obtenir une réponse.

- Eh bien Monsieur MULLER, Etienne a vraiment été désagréable et beaucoup d'entre nous se sont sentis rabaissés d'où le manque d'entrain au travail. Déclare le chef d'équipe.

Un murmure d'approbation des autres hommes se fait entendre. Francis dit alors :

- Bien sûr, vous serez financièrement récompensés pour les heures supplémentaires. Mais je peux peut-être vous proposer en plus une autre motivation. Par contre, il s'agit d'une chose spéciale qui demande une grande discrétion envers les autres employés de l'entreprise. Toute divulgation entraînera le licenciement immédiat de son auteur et la fin de cette récompense qui devrait vous plaire.

Je remarque que Christine semble mal à l'aise quand Francis parle d'incitation au travail. Je la connais assez bien pour savoir qu'elle a probablement deviné quelle serait la motivation.

Le chef d'équipe, en gilet vert, demande à ses collègues s'ils sont intéressés. Ceux-ci répondent que cela dépend de ce qui va être offert.

Je regarde le groupe d'hommes qui va profiter des charmes de ma belle-mère. Le chef d'équipe, assez mince, semble avoir entre quarante et cinquante ans. Les autres sont beaucoup plus jeunes, entre dix-huit et trente ans. Deux d'entre eux semblent peu soignés et fatigués. D'autres sont grands et forts comme des athlètes. Mais je constate qu'aucun d'entre eux ne portent d'alliance donc ne semblent pas mariés. Et je pense que la proposition de Francis ne rencontrera pas d'opposition chez des célibataires.

- Viens ici Christine! Dit Francis en montrant le sol devant lui.

Avec hésitation, elle se déplace pour se tenir debout devant son patron. Celui-ci lui demande de se retourner et de se mettre face aux hommes. Elle obéit et sent huit paires d'yeux se braquer sur elle. Il -est évident que ces employés la connaissaient et l'avaient déjà vue, mais sûrement dans son ancien poste, ce qui explique la confusion sur leurs visages.

Alors, pendant que Francis s'adresse à ces hommes, tout en restant derrière ma belle-mère, il défait la ceinture de l'imperméable puis les boutons en commençant d'en haut.

- Vous connaissez probablement tous Christine qui était la responsable des comptes...

Il enlève la ceinture et le premier bouton des six que comporte l'imperméable.

- Il y a sept mois, de nouvelles compétences ont été détectées chez elle. Depuis elle a un nouvel emploi au sein de notre société...

Je bouge légèrement pour voir deux autres boutons être défaits et l'apparition de son décolleté.

- Les compétences de Christine nous ont permis de gagner des contrats et conclure des offres de vente. Elle est équipée pour nous permettre d'atteindre les résultats escomptés en fin d'année.

L'imperméable s'ouvre sur les seins de ma belle-mère. Ses tétons apparaissent devant le regard des hommes. Instantanément, l'ambiance semble plus sereine.

Francis se penche et enlève les deux derniers boutons qui empêchent de dévoiler la chatte de Christine. Dès que l'imperméable est complètement ouvert, de grands sourires se répandent sur le visage de tous les hommes ainsi que des remarques chuchotées et des grognements. Le patron ôte l'imperméable des épaules de Christine et le jette sur une caisse à côté. Ensuite il tapote l'intérieur des cuisses de la femme qui fait glisser ses pieds pour écarter les jambes. Mais pas assez pour Francis qui tape un peu plus fort pour qu'elle écarte plus.

Ensuite, il se positionne à côté d'elle et recommence à parler aux hommes comme pour présenter Christine :

- Je pense que vous êtes tous d'accord pour dire que Christine est une belle chatte.

Il attend que ses employés répondent. Finalement, un des hommes, un des plus grands et des plus jeunes, brisent le silence gênant :

- Oui sur! Elle est splendide pour son âge. Et ce look lui va sûrement mieux que ses costumes tailleurs de marque.

Libérés, tous les autres commencent à s'exprimer. Certains choisissent de commenter ses seins. Mais tous sont d'accord avec leur jeune collègue pour dire qu'elle semble mieux dans ce rôle que dans son emploi précédent.

Francis sourit en comprenant que son plan fonctionne. Il déclare :

- Oui je suis d'accord. Les costumes qu'elle portait auparavant ne valent pas ceux qu'elle porte maintenant. Je vais vous expliquer comment va fonctionner l'incitation au travail. Pendant le 1er mois, je regarderai le taux de production à chaque fin de semaine et si je suis satisfait, Christine sera à l'entrepôt dès le lundi matin et y restera jusqu'à ce qu'elle ait donné à chacun de vous votre récompense hebdomadaire.

Le patron regarde tous ses employés qui sourient et continuent à regarder les seins et la chatte de ma belle-mère.

- Il reste trois mois pour finir ce contrat. Pour le premier mois, l'incitation au travail sera donnée par la bouche volontaire et très capable de Christine.


En parlant, Francis met ses doigts dans la bouche de ma belle-mère. Il lui ordonne ensuite :

- Tournez-vous et penchez-vous mais laissez vos jambes bien écartées. Puis écartez vos fesses.

Christine obéit et montre ainsi son intimité à tous les hommes.

- Le deuxième, ce sera la chatte chaude et humide de Christine qui délivrera la récompense.

En même temps, le patron enfonce un puis deux doigts dans le vagin de son employée et commence des va-et-vient.

- C'est fou! S'exclame quelqu'un dans le groupe.

Mais Francis poursuit :

- Oui ça peut sembler dingue mais trouvez-moi une autre entreprise qui remerciera de cette façon ses employés qui respectent les délais. Ceux qui ne sont pas d'accord peuvent partir s'ils le veulent.

Mais personne dans le groupe ne bouge ou ne dit mot. Alors le patron continue :

- Donc, si vous passez les deux premiers mois avec succès, Christine s'assurera que vous restiez efficace le troisième mois en vous offrant son petit trou du cul bien serré. N'est-ce pas Christine?

Il enfonce un doigt dans le rectum de la femme qui gémit et répond :

- Oui Monsieur MULLER.

- Colin! Interpelle Francis en regardant l'homme au gilet vert.

- Ouais! Dit l'homme en ajustant le renflement dans son jean poussiéreux.

- Vous n'êtes pas timide? Demande Francis en retirant son doigt du cul de ma belle-mère tout en lui indiquant de se relever et de faire face au groupe.

- Vous me connaissez patron, je n'ai jamais été timide.

- Bien parce qu'en tant que chef d'équipe vous avez l'honneur d'être remercié en premier en totalité. Je veux que vous sachiez tous en regardant Colin, ce que vous pouvez gagner si votre travail est efficace.

Francis rit tout en poussant Christine vers l'avant. Elle se retrouve ainsi seule au milieu des huit hommes de l'entrepôt. Colin commence à dégrafer son jean tout en parlant à son patron :

- Vous savez Patron, Steve JARSON était un petit chef de merde, voilà pourquoi nous avons pris du retard. Mais je crois qu'avec cette chienne nous pouvons le rattraper.

- Oubliez JARSON maintenant. Il est parti. Tout ce qui me préoccupe c'est ce contrat. Et je veux vous motiver à le remplir.

- Ne vous inquiétez pas Patron, ça va aller. Déclare Colin.

Il baisse son jean devant Christine, la regarde dans les yeux puis lui dit :

- Allez, à genoux et donne-moi une partie de la récompense promise.

Ma belle-mère le regarde brièvement puis s'agenouille sur le sol en béton froid et poussiéreux.

Quelques cris d'encouragement des ouvriers fusent pour leur chef d'équipe. Christine baisse le boxer de Colin sur ses chevilles. Quand elle relève la tête, la bite frappe le dessus. Elle s'écarte légèrement puis regarde l'engin fixement.

Cette queue fait environ 18 centimètres de long sans être trop épaisse ce qui fait ressortir son gland qui semble anormalement gros par rapport au reste. Les poils de l'homme sont touffus, ses couilles sont grosses et pendent bien en dessous de sa bite. Elles sont surement remplies de sperme.

Christine regarde ce sexe pendant 20 secondes. Le silence inonde l'entrepôt, dix paires d'yeux regarde la femme qui regarde la bite de Colin puis les visages souriants des hommes qu'elle devrait satisfaire les mois suivants. Enfin, avec sa main droite, elle saisit le sexe dressé juste en dessous du gland et le serre avec ses doigts fins.

Elle baisse sa main afin de rouler le prépuce et dégager la tête de la bite. Le contremaître ferme ses yeux et commence à grimacer de plaisir quand elle se met à pomper la queue. Elle accélère jusqu'à faire gémir l'homme qui dit :

- Enfer! Cette chienne ne va pas avoir assez des bites de mes garçons pour la satisfaire. Dit l'homme en se penchant pour enlever ses bottes, son jean et son caleçon. Un fois complètement libre de ses mouvements, il revient vers le visage de Christine, la queue tendue.

Au moment où il approche, ma belle-mère tend instinctivement la main afin de continuer de faire ce que lui demande son patron. Mais le contremaître la contourne et se retrouve derrière elle, face au groupe d'ouvriers. Sans avertissement, il tire ses cheveux.

- Aieee! Arghhh! Crie Christine.

Puis elle gémit alors que son dos est arqué vers l'arrière et ses seins poussés en l'air.

Tandis qu'une main de l'homme tient fermement les cheveux, l'autre commence à errer sur la grosse poitrine de la femme. Colin roule les mamelons entre ses doigts puis il les tire durement. A la lecture des histoires précédentes, vous savez que ma belle-mère aime avoir ses tétons tirés. Ça la fait gémir et montre son excitation à ses partenaires.

- Cette salope aime que l'on joue avec ses mamelons les gars! Dit le contremaître en s'acharnant sur les tétons, arrachant ainsi d'autres gémissements de Christine.

Content de ce qu'il fait subir à cette femme et heureux d'avoir trouvé une de ses faiblesses, Colin prend sa queue dans sa main et commence à gifler le visage renversé de Christine. Il frappe le front, les joues, le nez, le menton et la bouche.

- Caresse ta chatte! Ordonne-t-il en relâchant ses cheveux et en se replaçant devant elle, les jambes bien écartées pour que ses collègues aient une bonne vue sur les doigts de Christine jouant avec son sexe.

- Maintenant, ouvre ta jolie bouche!

Ma belle-mère obéit et ouvre ses lèvres humides. Colin se précipite en avant et pousse sa bite dans la bouche accueillante. Les hommes derrière lui poussent un cri d'encouragement l'encourageant à continuer. Le contremaître prend la tête de Christine à deux mains et il commence à pilonner son visage comme s'il s'agissait d'une Chatte. Ma belle-mère se contente de serrer les lèvres sur la queue et le laisse utiliser sa bouche comme il le veut.

Sa respiration devient courte et rapide par le nez. Quand l'homme sort son engin, elle en profite pour prendre une grosse goulée d'air avant qu'il ne réinvestisse sa bouche. Pendant ce temps, une main entre ses jambes titille son clitoris puis elle glisse trois doigts de l'autre dans son vagin et commence à le pomper.

- Quelle grosse salope! je n'ai jamais vu une telle chienne. Déclare l'un des hommes en appuyant sur la bosse dans son jean.

Cette réflexion me fait regarder la ligne d'hommes. Tous ont une bosse dans leur pantalon et ils n'arrêtent pas de bouger d'un pied sur l'autre.

Après avoir donné encore sept ou huit coups brusques dans la gorge ouverte, Colin s'arrête, regarde autour de lui et dit en riant :

- Vous allez aimer cette bouche.

L'homme se dirige vers les palettes où ses hommes sont appuyés. Ceux-ci s'écartent et se mettent en arc de cercle. Colin regarde Christine encore à genoux où il l'a laissée et lui demande :

- Pourquoi ne continues-tu pas à caresser ta chatte?

- Désolé. Répond-elle rapidement.

Immédiatement, ses mains retournent sur son sexe. Sa réponse montre sa soumission. Je suis sûr qu'aucun des hommes présents, hormis Francis, ne savaient qu'elle l'était autant.

- Viens vers moi mais continue à travailler ta chatte. Demande Colin.

Ma belle-mère se lève maladroitement et s'approche du groupe d'hommes, les genoux légèrement pliés afin de pouvoir d'une main continuer à pomper son vagin tandis que l'autre titille son clitoris.

Je regarde et pense qu'il est très humiliant pour Christine de traverser l'entrepôt dans de la lingerie érotique, tout en se doigtant devant huit ouvriers dont un va bientôt la baiser devant tout le monde.

Dès qu'elle arrive vers le contremaître, celui-ci l'attrape par les cheveux et tire sa tête en bas vers sa bite. Une fois encore elle ouvre la bouche et accepte le membre dressé, tout en trébuchant et en tendant une main vers la taille de l'homme pour se retenir.

- Garde tes mains sur ta chatte! Aboie l'homme.

Il enfonce sa queue tout au fond de la gorge de ma belle-mère. Tous ses hommes regardent, avec un renflement évident dans leur pantalon. Ils savent que tous les lundis pendant un mois, ils pourront aussi profiter de la bouche de Christine.

- Sur le dos sur le tas de palettes! Ordonne Colin en la repoussant.

Ma belle-mère retrouve son équilibre et relève la jambe droite sur la palette. Puis, avec l'aide de Colin qui la pousse, elle monte, se retourne et s'allonge sur le dos.

Elle voit que sept paires d'yeux la regardent et que sept grands sourires s'affichent. Elle crie de surprise quand le contremaître prend ses jambes et l'attire vers lui.

Mais l'homme se rend compte qu'elle est trop haute.

- Merde! suce ma bite! Dit-il en la descendant du tas de palettes.

Puis il ajoute :

- Lad, Enlève une palette de ce tas.

Instantanément, l'ouvrier obéit à son chef et retire une couche du tas de palettes.

Une fois encore, Colin retire son membre de la bouche de Christine. Il la redresse et la pousse jusqu'à ce que son cul tape la pile de palettes. Elle met ses mains sur le dessus et se soulève puis glisse sur la palette du dessus jusqu'à ce que l'intérieur des genoux tape le coin en bois.

- Ahhhh! Crie-t-elle en sentant une paire de mains ou deux mains différentes se poser sur ses épaules pour l'obliger à s'allonger sur le dos. Elle lève les yeux et voit sept visages souriants. Puis elle regarde vers le bas et voit Colin s'approcher souriant et caressant sa bite.

Le contremaître prend chaque jambe de la femme et fait en sorte que chaque pied soit posé à plat sur les coins de la palette. Ensuite il écarte ses genoux, montrant ainsi pour la première fois, l'humidité de la fente intime de Christine. Des cris d'approbation retentissent autour de la palette. Colin soulève un peu les fesses de la femme et la tire vers lui si bien qu'elle se trouve dans une position un peu inconfortable. Ma belle-mère gémit de cette position.

Mais un instant plus tard, l'inconfortable position est oubliée quand la bite du contremaître ouvre avec facilité les lèvres de la chatte humide. L'homme continue à pousser et son engin disparait à l'intérieur du vagin détrempé. Quand ses hanches butent contre la femme, il s'arrête, la regarde, puis regardent ses hommes et dit :

- Oh les gars, je vous le dis, vous allez respecter les délais car la chatte de cette chienne vaut le coup.

Puis, sans finesse, sans penser à la position inconfortable de ma belle-mère, il commence à la marteler durement et rapidement. Un flux constant et régulier de gémissements et de râles sortant de la bouche de Christine remplit l'air avec les bruits de claquements des cuisses de Colin contre le cul féminin.

Le reste d'entre nous est silencieux en regardant et écoutant les « ah, oh, oh, arghh, ah, oh,ooohh... ».

Sans se reposer, Colin garde son rythme effréné, et enfonce sa queue encore et encore au plus profond de Christine. Quand je la regarde, je m'aperçois sur son orgasme est proche. Effectivement, moins de deux minutes plus tard, un long cri aigu suivi d'un grondement sort de sa bouche et de ses dents serrées. Sa tête se balance de droite à gauche alors que ses yeux roulent dans leur orbite. Son dos se soulève et sa chatte cherche à être encore pénétrée plus loin. Les jambes de ma belle-mère s'enroulent autour de Colin et le serrent pour l'attirer au plus profond d'elle. Par expérience je sais aussi que les parois de son vagin serrent la bite en elle.

- ARGHHHHHH, je jouiiiiiisssss. Crie-t-elle.

Tous les hommes ont commencé à la traiter de pute, salope, chienne, l'excitant encore plus, sa chatte se contractant sur la queue de l'homme.

- Putain les gars, cette chienne est une vraie salope avide de sexe. Dit Colin.

Alors que son orgasme est passé, les jambes de Christine retombent de chaque côté du contremaître qui dit alors :

- Remets tes pieds sur la palette.

Il attend qu'elle reprenne la position initiale puis il recommence à la baiser avec la même force et vitesse qu'avant. Mais cette fois ci les bruits de leurs corps qui s'entrechoquent sont composés de bruits humides de succions tellement la chatte de ma belle-mère est humide.

Colin n'est pas le premier et ne sera surement pas le dernier à faire des commentaires sur le comportement vicieux de ma belle-mère. Je devine que 80 % des quarante ou cinquante bites ayant utilisé la chatte de Christine en ont donné la même description.

- Hey Francis! Appelle Colin sans s'arrêter.

- Oui Colin? Répond le patron en se déplaçant pour voir le contremaître.

- Mes hommes souffrent de leur membre du bas si vous voyez ce que je veux dire. Etant donné qu'ils ont vu la marchandise que vous offrez, ne serait-il pas normal que cette salope voit ce qu'il l'attend ces prochains mois?

Il continue à pistonner la femme qui approche d'un nouvel orgasme.

- Ok les gars, vous pouvez décompresser pour être mieux mais vous ne touchez pas. Dit Francis.

Dans les dix secondes qui suivent, sept bites jaillissent des pantalons. Les hommes font tomber leur jean et leur boxer sur leurs chevilles. Le tableau de toutes ces queues est assez impressionnant. Tous les hommes de l'entrepôt sont très bien montés et je souris à l'idée que ma belle-mère allait être bien remplie au cours des prochains mois.

- Regarde toutes ces queues! Dit colin en continuant ses va-et-vient rapides.

Christine regarde à gauche et à droite les sept grosses bites dans les mains de leur propriétaire qui autrefois la respectaient. Elle dit dans un sanglot :

- Oh mon Dieu, elles sont tellement grosses.

Puis elle crie encore de jouissance tandis que le contremaître tient ses jambes écartées et continue de nourrir sa chatte avec de grands coups de reins.

Après qu'elle ait inondé sa bite une deuxième fois, Colin la ressort avec un gros « slurp ». Il dit :

- Je suis content que nous ayons de telles encouragements Francis. Je suis certain que nous allons respecter les délais jusqu'à la récompense finale.

Il saisit les jambes de Christine et les pousse vers sa tête en lui demandant de les tenir. Elle obéit et il dit alors :

- Tiens bien tes jambes contre ton corps salope afin que je puisse pénétrer ton petit cul serré.

Evidemment ma belle-mère respecte les ordres et offre bientôt un accès facile à son cul pour Colin.

Il y a quelques temps, j'aurais dit que Colin avait accès à son trou le plus privé. Mais je pense que ma belle-mère réalise aujourd'hui que plus rien de son corps n'est privé. Elle en a perdu le droit le jour où elle a pris ma bite dans sa bouche dans ma chambre.

Je la regarde, content et excité, alors qu'une autre bite se présente à l'entrée de son anus. Après un peu de pression de Colin, je vois sur le visage de Christine que le passage s'est ouvert et qu'elle a accepté la queue de l'homme.

- Oh mon Dieu oui. Gémit-elle.

Colin pousse toute la longueur de son sexe à l'intérieur de l'anus tout en se penchant en avant et en écrasant les jambes de la femme contre sa poitrine.

- Tu as un cul merveilleusement serré. Dit l'homme à Christine en la regardant entre les jambes, un sourire vicieux sur son visage.

- Merci Colin. Halète-t-elle.

- Veux-tu que je baise ton cul de salope maintenant?

Au ton qu'il prend, je me rends compte qu'il se complaît dans l'autorité qu'il a maintenant sur Christine après quelques années à avoir suivi les ordres qui descendaient de son bureau plus haut.

- Oui s'il vous plaît Colin. Halète-t-elle encore.

Quelques hommes l'encouragent aussi :

- Vas-y, encule cette salope, dis-nous si elle vaut le coup.

Colin ne se la fait pas dire deux fois. Il ressort un peu son sexe puis il donne un grand coup de reins.

- Argggghhhhh! Hurle ma belle-mère.

Son premier coup de rein a enterré profondément sa bite entre les fesses de la femme.

- Arghhhhhhhhh! Crie-t-elle encore alors que le second coup de rein la laboure.

- Arggghhhhhhhhhhhhhhh! Hurle-t-elle pour la troisième fois alors que le contremaître plonge profondément sa bite dans le cul de Christine qui commence à jouir.

- OHHHH, Oui, oohhhhh, oui, oui ouiiiiii, je jouiiiis salaud. Crie ma belle-mère sous l'effet de l'orgasme alors que Colin ne faiblit pas.

Il continue de la baiser alors qu'elle jouit. Il est visible pour tous les hommes présents que la chatte déjà détrempée de ma belle-mère continue à couler de plus belle. Son jus s'échappe de ses petites lèvres et dévale les plis de sa chatte jusqu'à son cul où le contremaître continue à la pilonner.

Les sept hommes autour de Christine se branlent. Elle l'a vu et regarde chaque queue puis le visage de son propriétaire. Quelques ouvriers lui demandent si elle aime ce qu'elle voit. Elle hoche la tête et se mord les lèvres pendant que Colin continue à la sodomiser. Elle jette la tête en arrière et gémit à nouveau.

- Oh merde, je vais jouir à nouveau, oh mon Dieu, oh mon Dieuuuuuu. Crie-t-elle pour le deuxième orgasme qui traverse son corps dans les trois minutes.

Je ne pense pas que c'est du seulement à la bite de Colin car elle avait déjà été baisée par plus gros. Mais les russes qui l'avaient prise plus tôt, l'enculage brutal du contremaître, l'excitation de voir sept hommes se branler étaient surement la cause de ces orgasmes accélérés.

Colin donne l'impression de baiser la femme depuis plusieurs heures mais cette scène sordide ne dure que depuis 45 minutes. Le contremaître montre qu'il est bientôt prêt à se vider. Ses coups de reins ralentissent.

Donc ce n'est pas une surprise quand il dit à Christine qu'il va éjaculer dans son cul et que, comme une bonne pute elle le pria de se vider dans son rectum.

- Prends ça salope, ahhhhhhh! Dit-il en la pénétrant une dernière fois et en se vidant.

Il attend un petit moment d'être complètement vidé. Tout le monde s'est arrêté de parler jusqu'au moment où un des hommes dit qu'il va jouir. Alors Colin se retire du cul béant. Avant qu'il puisse dire quelque chose, Francis dit :

- Allez les gars, venez gicler sur elle. On dira qu'il s'agit d'une prime d'encouragement de début.

Il y a un moment d'excitation grandissant alors que les hommes se bousculent pour se présenter sur ma belle-mère. Les deux plus grands et plus jeunes se déplacent rapidement pour se positionner entres ses jambes. Ils prennent chacun l'une d'elle pour la positionner sur leur épaule. Les autres gars se positionnent vers sa tête et sur les côtés. Tous se branlent furieusement. Mais le plus vieux, qui avait indiqué être prêt à jouir, gicle son sperme sur le ventre de Christine.

Il s'éloigne pendant que les autres continuent à se masturber. Et sur une période de quatre à cinq minutes, une pluie de sperme chaud tombe sur le corps féminin. Les seins, le cou et le visage sont couverts et collants. Les deux jeunes garçons ont éjaculé sur sa chatte, son cul et ses cuisses. Après que chaque homme se soit libéré, ils se sont éloignés, laissant ma belle-mère allongée sur la palette, fatiguée et complètement humiliée et couverte de sperme.

Pendant que les hommes se rhabillent, Francis s'adressent à eux :

- Je considère que vous avez accepté notre accord?

Je n'ai pas compris pourquoi il leur demandait car ils l'étaient bien sûr.

- Je pense que chaque lundi matin, Christine descendra et attendra dans le petit bureau là-bas. Dit-il en montrant une petite pièce dans le coin.

- Ce sera plus discret. Maintenant c'est à vous de voir comment vous vous organisez. Je laisse le soin à Colin de régler les problèmes. Maintenant, si vous êtes d'accord, je vérifierai les chiffres dimanche et si tout va bien, Christine sera là lundi matin à 10 heures.

Francis se tourne vers moi, me fait un signe de tête vers la sortie.

- Viens salope! Dis-je à ma belle-mère qui finit de boutonner son chemisier sur son corps couvert de sperme et qui essuie son visage avec un chiffon trouvé sur le sol.


A suivre...

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