Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique
18 - Sous la coupe des filles.- Tu peux poser ton cul, salope. Personne ici ne va t'enculer, même si tu supplies. Remarqua Lydie.
Sa voix dégoulinait de mépris. Elle continua :
- Je savais que tu étais une honteuse salope quand tu m'as léché le cul et que tu as semblé aimer. Mais je ne savais pas que tu étais assez pute pour te faire baiser par tous les garçons. Imaginez, nous avons une putain comme professeure.
- Mais Lydie, tu ne peux pas parler de Mme POISTOUT de cette façon.
Cette voix calme appartenait à la belle et timide Valentine RIVIERE. Elle ajouta :
- Après tout c'est notre professeure.
Lydie sourit.
- Et alors? Que penses-tu qu'elle va faire? Nous faire échouer nos examens à toutes? Nous allons avoir les meilleures notes de tous les temps.
- Non nous ne pouvons faire ça. Interrompit Belinda.
- Éric a expliqué très clairement que quoi que nous fassions avec elle, nos cours et nos notes n'ont rien à voir avec ça. C'est lui qui a mis ça en place. Il la contrôle et a dit que nous pouvions avoir tout le plaisir que nous voulions avec elle, mais elle ne nous fournira pas de bonnes notes sans travail pour notre dernière année.
Puis elle ajouta en souriant :
- Remarquez qu'elle est toujours notre putain.
- Je dis toujours que nous ne pouvons pas traiter notre professeure de cette façon. Affirma Valentine.
- Allez Valentine, c'est amusant et je suis sûre que Mme POISTOUT sait qu'elle est une salope et qu'elle ne le dit pas. En plus j'en ai marre de jouer toute seule avec ma chatte. C'est plus agréable de l'avoir elle pour se faire lécher. Je ne sais pas pour vous les filles, mais le spectacle m'a laissée complètement excitée. Allez, lèche-moi la chatte!
Katia baissa sa culotte et écarta les jambes.
- Katia! Comment peux-tu? Ici devant nous! Cria Valentine.
Rose l'interrompit.
- Oh arrête Valentine, nous avons vu les chattes de chacune dans les vestiaires et sous les douches. Et n'oublie pas que nous partageons la même chambre. Je sais que tu te masturbes parfois et tu sais que je le fais aussi. Alors où est le problème? Et puis regarde notre petite lécheuse de chatte. Elle ne partage pas tes objections.
Tous les yeux se tournèrent vers Anne, déjà occupée, la tête sous la jupe de Katia, et la langue sur son clitoris.
Belinda sourit et dit :
- Eh bien, au moins maintenant, elle se souvient à quoi sert sa bouche. Mais une chose dont je me rappelle, il ne s'agit pas de l'avoir à notre service, ce qui, je suis sûr, sera son but à l'avenir, mais bien de la punir de ne pas se souvenir qu'elle peut être utilisée pour lécher des chattes au lieu de simplement sucer des bites.
Bon sang, mais elle ne pouvait pas savoir que les filles étaient là et elle n'avait pas voulu dire aux garçons ce qu'elle avait fait avec Belinda et Éric, et encore moins ce qui était arrivé avec Katia et Lydie. Maintenant elle allait être punie par les filles.
- Alors que faisons-nous avec Mme POISTOUT? Demanda Rose.
Belinda répondit en souriant :
- Tout d'abord nous nous assurons que tout le monde réponde à son nom. Katia, tu pourras l'avoir plus tard, mais pour le moment nous voulons toutes nous amuser. Viens ici salope!
Anne hésita un moment en espérant que Katia proteste. Au moins, cette fille était très gentille avec elle, et de plus, tant que son visage était caché sous la jupe, elle n'avait pas à les affronter toutes. Mais aucune protestation ne s'éleva. Katia commença à fermer ses jambes, et, à contrecœur, Anne s'éloigna et fit face à Belinda. La jeune fille tenait un marqueur dans sa main. Elle s'approcha d'Anne. Celle-ci, sans baisser les yeux, put deviner ce que l'étudiante écrivait sur sa poitrine. Belinda dit alors :
- Voilà! Et quiconque l'appellera maintenant Mme POISTOUT devra payer une amende. Comme ne pas avoir sa chatte léchée pendant une heure. C'est une salope, après tout c'est ce qu'elle a dit, et même vingt-cinq fois.
Dans la joie générale Belinda s'assit.
- Bon pourquoi pas laisser chacune d'entre nous faire une suggestion. Je suis sûre que nous allons toutes profiter des idées des autres. Et toi la salope, vas t'agenouiller dans le coin et couvre tes oreilles. Nous voulons te surprendre.
Anne fit comme elle lui avait dit. Son corps entier était toujours blessé. Elle était incertaine sur ce qu'était le pire pour elle, la douleur physique et l'humiliation d'être utilisée par tous ses élèves, ou la perspective de subir plus de punition et être ensuite baisée par tous les garçons. Elle posa volontiers ses mains sur ses oreilles pour tenter de résoudre son problème. Comment en était-elle arrivée là? Elle savait qu'elle était si profondément plongée dans sa situation qu'il n'y aurait aucun retour en arrière, si elle voulait continuer de travailler. Elle aimait cette école avec ses professeurs et elle se voyait rester ici. Mais d'abord elle devait passer cette année, d'une manière ou d'une autre? Ça allait être une longue année. Une main toucha son épaule.
- Nous allons jouer à un petit jeu salope. Nous allons te donner la chance de décider toi-même de l'ampleur de ta punition. Si tu fais attention, ça ne sera pas grand-chose, mais si vous...
Lydie laissa la fin de sa phrase en suspens.
- Les règles sont si simples que même une salope comme toi peut les comprendre. Tu va venir au milieu de la pièce et tu vas nous écouter attentivement. Chaque fois qu'une partie de ton corps sera mentionnée dans une conversation, tu feras de ton mieux pour la montrer. Compris salope?
- Oui Lydie.
- Alors pourquoi ne montrerais-tu pas ta chatte salope!
Lydie rigola.
- Et ce sera Mademoiselle Lydie à partir de maintenant.
- Oui Mlle Lydie.
Anne se laissa tomber sur le dos et écarta les jambes.
- Ok les filles, de quoi allons-nous parler? de sa chatte, de son cul ou de ses seins?
Anne se dépêcha de se tourner pour montrer son cul, puis roula en arrière et releva ses seins.
- Non parler de sa chatte est ennuyeux.
Rose reprit le fil tandis qu'Anne levait rapidement sa jambe pour montrer sa chatte.
- Parlons de l'école. Saviez-vous qu'il y avait un trou dans le toit. L'eau est entrée et a mouillé deux gros sacs. Je l'ai entendu de la bouche du concierge mais comme j'étais derrière un pilier, je n'ai pas tout entendu.
- Je pense que nous devons motiver notre salope un peu plus.
Belinda leva les yeux d'un papier sur lequel elle était occupée à écrire.
- Elle a deux « chatte », un « cul » et un « seins », mais elle a manqué le « trou », « gros sacs », « bouche » et « derrière ». Pas dans le même contexte, mais peu importe. Tu as vraiment besoin de réfléchir plus, salope, et de penser à tes trous.
Anne gémit de frustration. La conversation continuait et elle n'arrêtait pas de se tordre sur le sol en présentant toutes les parties de son corps dans un show sexuel dégradant. Quand les filles en eurent assez, elles lui annoncèrent qu'elle avait loupé dix-sept mots. Et, Quand Anne vit Belinda se lever une canne à la main, elle perdit toute dignité.
- Non, s'il vous plaît, pas plus. Mon cul me fait tellement mal. S'il vous plaît, je... je ferais tout ce que vous voudrez.
Elle se mit à genoux et les supplia. Les jeunes filles se regardèrent et explosèrent de rire.
- Tu le feras de toute façon, salope. Sourit Belinda.
- Mais peut-être pourrait-elle nous offrir quelque chose à laquelle nous ne pensions pas.
Étonnamment Valentine fit soudain une suggestion.
- Oh oui, quelque chose de vraiment dégradant. Des suggestions? Ajouta Rose.
Anne répondit la première chose qui lui vint à l'esprit :
- Je vais embrasser tous vos culs.
Il y eut un moment de silence et quelques filles éclatèrent de rire tandis que Valentine était abasourdie.
- Mais c'est trop humiliant d'embrasser le cul de quelqu'un d'autre. S'exclama-t-elle.
- C'est exactement pour ça qu'elle va le faire. Mais pas juste comme ça. Elle va d'abord supplier chacune d'entre nous. Allez les filles, montrons-lui de beaux culs à embrasser.
Lydie laissa tomber ses vêtements et se pencha sur le comptoir du petit meuble de cuisine où les garçons se préparaient à boire. Katia et Belinda firent comme elle. Anne s'approcha d'elles et se laissa tomber à genoux derrière Belinda.
- Puis-je t'embrasser le cul Belinda?
- Oh non salope. Comme tu veux échapper à ta punition, montre-nous à quel point tu mérites ce privilège. Objecta Belinda.
- S'il vous plaît Melle BELINDA, puis-je avoir l'honneur d'embrasser votre magnifique cul?
- Tu peux salope!
Anne posa ses lèvres sur chacune des fesses de la jeune fille puis elle glissa sur le côté vers Lydie.
- Melle Lydie, S'il vous plaît, puis-je avoir le privilège d'honorer votre cul avec mes lèvres?
- Embrasse-le salope!
Lydie put à peine contrôler son rire quand Anne pressa ses lèvres sur son gros derrière.
- S'il vous plaît Melle Katia, me permettez-vous de vous montrer ma gratitude en embrassant votre doux derrière?
Quand Anne eut fini cet acte dégradant, elle fut soulagée, mais seulement pour un moment.
- Trois culs embrassés, ça te laisse quatorze coups.
- Et elle n'a même pas embrassé mon trou du cul. Se plaignit Katia en souriant.
- Embrasser un trou du cul? personne ne fait ça! S'exclama Valentine.
- Elle va le faire. Essaie donc. Allez, ose!
Valentine se leva lentement et regarda le corps nu d'Anne. Puis elle s'allongea sur un canapé et releva sa jupe. Elle ne portait pas de culotte. Anne s'approcha d'elle à genoux. Elle détestait cette situation et les regards que lui jetaient les autres filles, mais elle ne voulait pas être fouettée. Alors elle poussa son visage entre les fesses de la fille et toucha doucement son anus avec les lèvres.
- Tu peux faire mieux que ça, salope! Lança Lydie.
N'importe quoi pourvu qu'elle évite la canne. La langue d'Anne sortit et lécha le trou du cul de façon experte. Elle entendit Valentine haleter de surprise et continua de lécher, de pousser et de frotter le bout de sa langue sur le petit trou serré de la jeune fille. Jusqu'au moment où un coup frappé à la porte la fit arrêter.
- Vous en avez encore pour longtemps avec elle les filles? Certains d'entre nous s'impatientent un peu. Cria une voix masculine.
- Plus que quelques minutes. Cria Lydie en retour.
- Et bien, nous allons en enlever trois de plus pour avoir embrassé et léché le trou du cul de Valentine. Ça laisse onze coups et plus de temps pour en diminuer le nombre. Penche-toi salope!
Anne trembla et supplia :
- S'il vous plaît, est-ce que je peux faire autre chose?
- Tu peux te pencher sur cette table ou... j'irai dire à Éric que tu refuses nos ordres.
Belinda balaya l'air avec la canne. A contrecœur, Anne s'approcha et se plia sur la table. Belinda lui administra trois coups de canne, chacun d'eux faisant crier l'enseignante. Les autres filles lui donnèrent deux coups chacune. Étonnamment, ce fut Valentine qui frappa le plus durement, lui faisant monter les larmes aux yeux. Quand ce fut fini, Anne n'était pas en état de réfléchir. Elle entendait les filles parler à voix basse et rigoler. Finalement, ce fut Rose qui lui parla.
- Nous avons décidé de ne pas te laisser partir dans cet état. Nous allons faire un petit cadeau aux garçons. Va t'asseoir sur cette chaise devant l'ordinateur. Regarde ce que nous avons mis sur l'écran, je suis sûre que c'est ce que tu veux le plus, n'est-ce pas?
Anne s'assit en faisant très attention. Et quand elle regarda l'écran, elle vit une grosse bite en érection. L'image lui rappela ce qui l'attendait et elle déglutit. Lydie sourit.
- Vous voyez! Le simple fait de voir une queue l'excite. Allez salope, montre-nous comment une putain sans vergogne comme toi se prépare à prendre des bites. Je suis sûre que les garçons vont bien profiter de toi, alors assure-toi que ta chatte soit bien humide et accueillante. Allez, on veut voir le jus de ta chatte.
Et maintenant, elle devait se masturber devant elles. Mais Lydie avait raison. Sa chatte lui faisait mal actuellement, mais elle lui ferait encore plus mal si les garçons la baisaient sans qu'elle mouille. Elle commença à caresser son clitoris et se tripoter les seins pendant que la jeune fille commentait son comportement dans des termes vulgaires. Elle mouilla étonnamment vite. Ses mouvements devinrent de plus en plus rapides.
- Mieux vaut que tu arrêtes ou alors nous serons encore là demain pour une autre punition.
La voix de Valentine la ramena à la réalité et elle s'arrêta à contrecœur.
- Bon, je vais la ramener dans sa chambre. Si nous la laissons partir seule, elle va surement disparaître dans les toilettes ou un placard à balai pour jouer avec sa chatte. Déclara Belinda.
- Attends, laisse-moi la préparer pour le voyage.
Lydie sourit et prit le marqueur que Belinda avait déjà utilisé. Ce qu'elle écrit fit rigoler les filles. Lydie fit signe à Anne de se tenir devant un miroir.
- Tu veux que je supprime ça? Je pense que ça te va bien. Tu as des objections?
- Non Melle Lydie. Chuchota Anne.
Elle se tourna vers la porte, l'inscription « grosse pute de merde » inscrite sur son corps.
- A genoux salope! Tu vas ramper jusqu'à ta chambre. Déclara Belinda.
En dehors de la salle commune, la plupart des portes étaient ouvertes et les garçons suivirent sa lente progression en rampant avec un grand sourire, surtout quand Belinda la faisait ramper plus vite avec quelques claques sur son cul maltraité. Belinda l'avait à peine laissée dans sa chambre que Ali entra.
- J'ai tiré la première place salope. Annonça-t-il, son visage bronzé souriant largement.
- Sors ma bite et suce-la!
Quand elle eut fini de satisfaire tous les garçons, les genoux et la bouche d'Anne étaient engourdis et son visage dégoulinait de sperme. Néanmoins, elle était reconnaissante qu'ils n'aient pas utilisé sa chatte ou son cul.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours