Texte écrit par Géronimo il y a quelques années.
Une ville huppée de la région parisienne. Une BMW Cabriolet fonce à vive allure dans les rues désertes en ce samedi soir. Il est 3h00 du matin. Au volant de ce petit bolide, Madame. Madame a la quarantaine épanouie. Madame est belle, distinguée, raffinée. Elle est l'épouse depuis plus de vingt ans du Maire de la commune. Elle est notaire, elle possède son Etude dans cette ville bourgeoise, si collet monté. Elle est également Présidente du Conseil Général. Malgré son âge, Madame a encore une silhouette de jeune fille. Elle met souvent des jupes, des tailleurs, des robes. Toujours en talons pour mettre ses jambes en valeur bien sur. Toujours en bas, auto-fixant ou porte-jarretelles, rarement des collants.
Madame revient d'une réception mondaine chez des amis. Elle a un peu forcé sur le champagne. Et elle appuie un peu trop sur l'accélérateur. Elle aperçoit trop tard le feu rouge et le grille. Quelques minutes plus tard, une voiture banalisée, gyrophare sur le toit, la rattrape et lui fait comprendre qu'il faut qu'elle s'arrête. Elle stoppe son véhicule sur le bas coté et attend. Elle peste contre les flics, comme tous bon français qui se respecte. 3 hommes descendent du véhicule. Tenues sombres, matraque à la main, 357 Magnum à la ceinture. Ils sont prudents, on ne sait jamais sur qui on va tomber lors d'un contrôle. Ils appartiennent à la BAC, la Brigade Anti Criminalité. L'un d'eux s'approche de la vitre de la BMW et tape au carreau. Madame descend la vitre. Le flic aperçoit immédiatement, éclairée par la puissante lampe torche qu'il tient à la main, les cuisses gainées de bas noirs largement dévoilées par la courte jupe du tailleur. La lampe aveugle Madame, elle ne se rend pas compte que le flic reluque ses jambes. Il lui demande ses papiers.
- Ecoutez!, lâche Mme avec un air excédé, je suis l'épouse du Maire, alors si vous ne voulez pas avoir d'ennui avec votre supérieur demain matin, je vous conseille de me laisser partir immédiatement.
Le flic ne répond pas et Mme lui tend son permis de conduire. Le flic dont elle ne distingue pas bien les traits toujours éblouie par la lampe, l'inspecte avec soins. Madame tapote de ses doigts manucurés sur le volant. Le flic lui demande de sortir du véhicule et ouvre la portière. Elle s'exécute, contrariée, énervée, outrée aussi qu'on se permette de lui faire subir cet affront ! La contrôler ? Elle ! L'épouse du Maire ! En sortant, sa jupe se relève encore plus et tous les flics matent ses jambes.
Le flic lui tend un alcootest et elle blêmit légèrement sous son maquillage. Elle sait bien que le test sera positif à cause des coupes de champagne qu'elle a bu pour accompagner le foie gras et le caviar dont elle vient de se gaver tout en discutant du problème terrible de la faim dans le monde.
Elle souffle dans le ballon et ses lèvres s'arrondissent autour de l'embout. Elle intercepte le regard ironique des flics qui s'imaginent Dieu sait quoi. Le résultat est positif bien sur et celui qui semble être le responsable lui dit qu'il va falloir verbaliser. Madame est folle de rage, elle tape du pied au risque de casser les talons aiguilles de ses escarpins italiens.
- Mais je vous dis que je suis l'épouse du Maire. Vous voulez me la mettre votre foutue amende ? Allez-y ! Demain je la ferai sauter, je connais très bien le Sous Préfet qui est un ami, ça ira loin, je vous préviens !
Le flic fronce les sourcils et lui demande s'il s'agit d'une menace. Il lui dit qu'il n'a pas peur des petites bourgeoises comme elle qui se croient tout permis parce qu'elles sont riches ou que leur maris exerce une fonction importante. Et là, Madame va commettre l'irréparable.furieuse, hors d'elle, elle gifle le flic..
Apres un moment de flottement, ses collègues réagissent. Madame est retournée et plaquée sur le capot de sa BMW. Les seins écrasées, elle pousse un cri. Les flics lui disent qu'après cet acte de rébellion, elle est en garde à vue pour outrage envers un policier dans l'exercice de ses fonctions. Une fouille corporelle est nécessaire. On commence à la palper. Des mains remontent sur ses jambes gainées de bas noirs. On palpe son corps sous toutes les coutures. Madame est furieuse et n'arrête pas d'insulter les fonctionnaires de police, ce qui aggrave son cas. Elle sent une main baladeuse qui s'infiltre rapidement sous la jupe de son tailleur noir Yves Saint Laurent. Le temps de vérifier si elle porte un string peut être ? Madame ensuite est relevée, ses cheveux sont en bataille, elle est toute rouge et bafouille que c'est scandaleux. Elle se débat quand elle sent qu'une main se faufile dans l'échancrure de la veste de son tailleur. Dessous, elle ne porte qu'un soutien-gorge en satin noir qui retient une opulente poitrine. La main malaxe ses seins. Les commentaires vont bon train.
- Putain ! Quelle salope, elle ne porte rien en dessous.
Madame proteste. Elle rue, donne des coups de pieds. On retrousse sa jupe qui se retrouve enroulée autour de sa taille. Sifflements admiratifs quand les flics pervers réalisent qu'elle est vêtue d'un porte-jarretelles noir avec un string de même couleur. La fouille à corps continue. On écarte le string et des doigts inquisiteurs caressent sa vulve, son clitoris. Madame pousse un cri devant cette agression caractérisée. Elle supplie, gémit... On a ouvert la veste de son tailleur et dégagés ses seins des balconnets. Ils sont malaxés par un des flics qui respirent comme un bœuf, tout rouge. Il se penche et suce la pointe, léchant les mamelons. Elle hurle. On la contraint à sucer la matraque. Ses lèvres pulpeuses vont et viennent autour de la matraque comme s'il s'agissait du sexe d'un homme. Plusieurs doigts se sont introduit dans sa chatte et elle est masturbée sans ménagement. Madame a chaud, elle ressent une étrange sensation.. Elle a peur mais elle est excitée aussi. Ces hommes se servent d'elle comme d'un jouet, comme d'une poupée vivante à qui on peut faire tous ce que l'on désire. Elle est devenue leur esclave. Leur chose. Madame sent, à sa grande honte, de la cyprine qui coule. Le flic qui lui a enfourné son index et son majeur dans sa chatte s'en rend compte et le dit aux autres.
- Elle mouille cette chienne, une vraie salope.
Madame frémit sous l'insulte. Mais un flot de mouille se répand sur les doigts de ce flic. On lui fait toujours coulisser la matraque dans la bouche et elle salive dessus. Celui qui la masturbe s'arrête et sort sa bite dressée.
- Ça suffit, arrête avec la matraque, elle va me sucer la bite, cette salope.
Madame doit s'agenouiller, le sexe tendu devant ses lèvres, elle hésite. Elle ne peut pas faire cela. Une main ferme se pose sur sa nuque et la pousse vers le sexe du flic. Il parait énorme à Madame. Elle a un haut le cœur quand la bite s'engouffre dans sa bouche et va heurter sa glotte. On guide sa tête dans un mouvement de va et vient en la tenant par les cheveux. Elle s'active sur la queue qui rentre et qui sort de sa bouche. On lui ordonne de lécher les couilles et elle s'exécute. Puis, la tirant par les cheveux , elle doit pomper une autre bite, encore plus grosse a-t-elle l'impression.. Puis c'est le troisième. Elle alterne entre les trois, agenouillée à leurs pieds comme une esclave docile. Les flics donnent des coups de reins violents pour s'enfoncer encore plus loin dans la bouche accueillante de cette bourgeoise friquée qui les insultaient il y a encore cinq minutes. Quelle revanche ! Madame a empoigné un des sexes dressés et le masturbe dans l'espoir qu'il éjacule. Mais le flic ne compte pas en rester la. Il redresse Madame et la poussant vers sa voiture la courbe en avant, les seins écrasés sur le capot. Il lui frappe le cul et il rougit rapidement. Madame pousse un cri à chaque fessée. Il prend la matraque et l'enfonce dans la chatte dégoulinante de l'épouse du Maire qui pousse un gémissement. Il fait coulisser rapidement la matraque dans le con de la malheureuse. Les halètements de ce flic pervers résonnent dans la nuit. Bientôt, se joignent à ces halètements les gémissements de Madame. Elle ondule du cul. Ses mains griffent le capot. Elle pousse un feulement rauque.
- Oh Mon Dieu, Oui.oui.Non.Je ne veux pas.Arrêtez !
Un des flics lui pince le nez la contraignant à ouvrir la bouche et lui enfonce son sexe dedans. Automatiquement, elle commence à le sucer. On lui retire la matraque et le flic, s'agrippant aux hanches de Madame, s'enfonce dans sa chatte et commence à la limer brutalement lui donnant de violents coups de reins. Madame pousse un cri étouffé par la bite qu'elle pompe avec frénésie. Le ventre du flic claque contre les fesses de la femme du Maire. Il se retire et il est remplacé par celui que Madame suçait. A son tour, il s'enfonce dans le ventre de Madame qui pousse un gémissement sourd. Une queue se matérialise soudain devant elle et elle ouvre la bouche aspirant la queue.
Le manège dure un bon moment. Pouvant profiter de cette bourgeoise arrogante, les trois flics ne s'en privent pas. Madame est défoncée comme une chienne. A quatre pattes, la matraque dans le cul pour qu'elle s'habitue, elle sera contrainte de faire le tour de sa BMW sous les rires de ces ignobles fonctionnaires. Puis elle sera enculée, la bite des flics forçant ses reins. Elle poussera un hurlement strident et de peur qu'elle réveille le voisinage, on lui enfoncera son string dans la bouche pour étouffer ses cris. Son corps tressautera sous les coups de boutoirs de ses enculeurs. Prise en levrette, à genoux sur le sol, les genoux écorchés, les bas filés, elle sera envahie par ces bites de toutes les façons. Elle sera même prise par les trois trous, empalée sur une bite dressée, enculée par un autre pendant que le troisième se fera sucer. Ils la défonceront dans cette position pendant un bon quart d'heure. Elle sera allongée sur le sol et positionnant son sexe entre ses gros seins, elle devra masturber un des flics avec pendant qu'elle continue de sucer un autre. On lui relèvera ses jambes à la verticale et elle sera baisée de cette façon. Combien de temps tout cela a t' il duré ? Madame serait incapable de le dire. Les trois flics ont abusé de ce corps pendant des heures. On la positionne finalement à genoux et les trois hommes autour d'elle, le sexe à la main, se masturbe en respirant bruyamment. On lui ordonne de s'approcher, d'ouvrir la bouche et elle se soumet, domptée. Elle a la chatte en feu, son trou du cul lui fais mal, sa mâchoire est endolorie à force d'avoir sucé toutes ces bites. Le premier éjacule en poussant un grognement. Son sperme jaillit éclaboussant le visage de Madame. Elle en a dans les cheveux, des filaments coulent sur son front. L'autre lâche des traînées de foutre qui vont s'écraser sur ses seins. Le troisième enfin la contraint à avaler sa semence qu'il vient de lui envoyer par longues saccades dans sa bouche. Madame s'exécute manquant vomir de dégoût. C'est la première fois qu'elle avale du sperme.
On la relève.elle titube sur ses talons aiguilles et on la soutient pour la ramener à son véhicule. Un des flics lui dit que c'est bon pour cette fois et qu'elle n'aura pas d'amende.Qu'est ce qu'il ne faut pas faire.la prochaine fois, vous pouvez être sur que Madame sera plus respectueuse à l'encontre des forces de l'ordre.
FIN
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