La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Réunion avec des parents...Après avoir déposé Christine à son travail et alors que j'étais sur le chemin du retour, mon téléphone sonna. Sur l'écran s'affichait le nom de Paul GREUCORE. Je répondis :
- Bonjour Paul. Que puis-je pour vous?
- Je voulais vous dire que j'avais passé le mot à quelques papas qui n'hésitent pas à courir d'autres jupons que ceux de leurs femmes.
J'écoutai, soudain très intéressé.
- J'ai trouvé deux autres personnes intéressées par une certaine action.
Il fallait que je fasse attention. Ma belle-mère devait pouvoir satisfaire ses clients au travail car cela nous rapportait beaucoup d'argent. Alors j'établis quelques règles avec Paul :
- Trouvez un endroit pour les rencontres et nous organiserons environ vers le milieu de chaque mois une petite séance collective. Vous pourrez tous baiser Christine, par tous ses trous mais elle ne doit être ni blessée ni marquée. D'accord?
- C'est clair. Je vous rappelle dans la journée pour vous communiquer l'endroit. Dit-il.
- Encore une chose Paul. Il nous faut une histoire afin que ma belle-mère se sente obligée d'y aller et qu'elle ne pense pas que ce soit de mon fait. Je voudrais lui faire sentir qu'elle se met elle-même dans de telles situations.
- Avez-vous des idées? Me demanda-t-il.
Bien sûr que j'avais des idées. Mon esprit perverti n'avait pas de limites pour faire baiser ma belle-mère.
- Auriez-vous une amie qui pourrait faire semblant d'être votre femme? Je vous donnerai le numéro de portable de Christine et elle l'appellera pour lui dire qu'elle veut la rencontrer au sujet de ce qui s'est passé dans le parking du restaurant avec vous.
- Oui je connais quelqu'un qui pourra nous aider. Donnez-moi son numéro.
Je le fis et il raccrocha après m'avoir dit qu'il me rappellerait dans la journée.
Heureusement Christine eut une journée très facile au travail. Francis l'avait baisée très tôt le matin et elle avait dû sucer Daniel SUTOR juste après le déjeuner.
Paul me rappela juste après 14 heures. Il me dit qu'il avait les clés du bâtiment de l'équipe de foot locale. Nous convînmes que j'y emmènerai ma belle-mère vers 19h00 après qu'une femme se faisant passer pour son épouse l'ai appelée. Avant de raccrocher, je lui demandai qui serait présent.
Il me donna deux noms d'hommes que je connaissais car ils vivaient dans le même village que nous. Adam BEAUMONT habitait à deux portes de ma belle-mère et Jean VANNIER vivait dans le village voisin mais travaillait comme barman dans le bar de notre commune.
Même si je savais qu'en exposant Christine dans le restaurant pas loin de la maison elle pouvait être reconnue, je n'aurai jamais imaginé que cela conduirait à des rencontres avec de proches voisins. Ces personnes me connaissaient ainsi que Christine et Alain. La situation était risquée car la nouvelle vie de ma belle-mère pourrait être exposée à la vue de tous.
D'un autre côté, le niveau d'humiliation de ma soumise serait augmenté. Je voulais qu'elle soit utilisée par des personnes la connaissant comme une femme intègre et de bonne réputation qui la verraient agir comme une pute de rue bon marché.
Sa réputation serait ruinée et je voulais qu'elle soit honteuse et embarrassée. Ainsi mon contrôle sur elle augmenterait.
J'étais assis dans le salon avec Christine quand son portable sonna. Elle répondit et instantanément éloigna le téléphone de son oreille. Je pus entendre une voix de femme qui criait. Lorsqu'elle cessa, Christine remit le téléphone à son oreille. Je ne pus entendre qu'un côté de la conversation.
- Non.... Non, vous devez vous tromper...Dit Christine en me regardant, clairement inquiète et choquée. Puis elle écouta à nouveau.
- Honnêtement, je n'ai aucune idée.... vous rencontrer? Où? Pourquoi? Oh mon dieu..... D'accord, d'accord, mais je ne comprends pas de quoi vous voulez parler. Dit-elle.
Quand la communication fut coupée, elle l'enleva de son oreille.
- Qui était-ce? Demandai-je tout en connaissant la réponse.
En colère, elle me jeta :
- Une femme qui m'a dit m'avoir vu baiser son mari au restaurant où vous m'avez emmenée.
- Ne me blâme pas salope! Ils ont mérité de te baiser après que tu les aies excités toute la nuit. Criai-je
Sa confiance disparut aussi vite qu'elle était arrivée.
- Qu'est-ce qu'elle veut de toute façon? Demandai-je.
- Elle veut que je la rencontre ce soir à 19h00 au bâtiment de l'équipe de football. Pouvez-vous m'accompagner?
- Bien sûr. Dis-je avec un sourire sur mon visage.
Nous quittâmes la maison à 18h50 car le stade n'était pas loin. Ce n'était qu'une simple promenade. Christine était encore dans les habits avec lesquels elle avait été au travail. Elle avait simplement rajouté un grand manteau car les nuits devenaient froides. Nous sommes arrivés au terrain de football alors que l'obscurité tombait. Les lumières du bâtiment étaient bien visibles. Il n'y avait personne. Christine me demanda si nous devions voir à l'intérieur.
- Oui, pourquoi pas vu que nous sommes là. Dis-je en souriant intérieurement.
Ma belle-mère poussa la porte déverrouillée et aussitôt nous entendîmes des voix masculines plaisantant et riant. Mais dès que la porte se referma, le silence s'installa.
Je lui tapotai le cul et je la poussai vers la pièce d'où sortaient les voix un moment plus tôt :
- Vas-y!
- Qu'est-ce qui se passe? Dit-elle en me regardant nerveusement.
Je ne répondis pas. Je la poussai vers la salle où je savais que des hommes attendaient. Mais avant que nous y arrivions, une femme en sortit et ferma la porte derrière elle. Nous étions tous les trois au milieu du couloir.
- Alors tu es la putain de salope qui a baisé mon mari? Demanda la femme.
Elle semblait n'avoir pas plus de 23 ans et je me demandai comment Paul pouvait penser qu'une si jeune femme fut crédible. Mais Christine resta figée sur place, stupéfaite, effrayée et incapable de répondre. Le côté soumis que je lui avais instillé depuis quelque temps prit le dessus et elle baissa la tête tout en disant :
- Je suis vraiment désolée, je ne savais pas qu'il était marié.
- Regarde-moi salope! Cria la femme.
Puis, elle la gifla. Ma belle-mère recula et accusa le coup avec un petit cri. La femme continua :
- Mon mari m'a dit que vous avez montré à tout le restaurant que vous ne portiez pas de culotte. Puis quand il est retourné à sa voiture, vous l'avez accosté et vous lui avez demandé de sucer sa bite.
- Non, non, ce n'est pas ce qui s'est passé... Plaida ma belle-mère.
- Il m'a dit qu'avant qu'il puisse refuser, tu as sorti sa queue et tu l'a mise dans ta bouche de pute.
La jeune femme jouait très bien le rôle que lui avait assigné Paul.
- Non Non , ce n'est pas cela. Se défendit Christine.
- Et non contente de sucer la bite de mon mari, tu as écarté tes jambes de salope pour qu'il t'enfile.
La femme gifla de nouveau ma belle-mère qui recula encore et gémit :
- Je suis désolée.
- Je ne veux pas de tes excuses salope. Sais-tu ce que c'est d'être la cible des ragots parce que ton mari à baisé une vieille pute. Et bien, je vais faire en sorte que je ne sois pas la seule femme trompée par son mari avec la prostituée du village.
La femme attrapa Christine par le bras et la tira vers la salle derrière elle.
- Non s'il vous plaît, s'il vous plaît. Supplia ma soumise.
Elle me regarda, attendant de l'aide, mais je haussai des épaules et les suivit dans la pièce.
Quand nous entrâmes dans la salle, je vis que Christine reconnaissait les hommes. Un masque d'horreur se figea sur son visage.
La femme la poussa vers Paul qui se tenait à l'extrémité de la pièce. Les hommes se regardèrent et lui firent des commentaires ironiques. Ma belle-mère semblait complètement choquée, les yeux lui sortant presque de la tête. Paul commença à déboutonner son manteau. Christine resta figée sur place tandis qu'il tirait le manteau et lui enlevait pour le jeter dans un coin.
Les hommes sifflèrent quand ils posèrent les yeux sur la poitrine énorme entassée dans le petit chemisier dont quelques boutons étaient défaits. Le long manteau avait caché la très courte mini-jupe qu'elle avait porté dans la journée ainsi que ses bas sexy.
Alors que Paul finissait de défaire les trois boutons restants de son chemisier, Christine restait immobile. Sa bouche s'ouvrit comme pour protester, ses lèvres bougèrent mais aucun son ne sortit. Finalement le dernier bouton se rendit et le chemisier s'ouvrit sur le soutien-gorge demi-tasse qui luttait pour contenir les gros seins de ma belle-mère. Les auréoles foncées ainsi que le mamelon apparaissaient au-dessus du tissu.
Encore une fois, les hommes eurent des propos obscènes à son encontre. Ils furent plus gratinés étant donné que Christine n'arrêtait pas Paul et elle ne protestait pas non plus.
Paul enleva son chemisier et le jeta vers le manteau. Puis il mit sa main derrière elle afin de trouver la fermeture éclair de la mini-jupe. Christine eut un sursaut et voulut l'empêcher mais il lui gifla la main et continua à baisser la fermeture éclair. Lorsqu'elle fut complètement ouverte, l'homme posa ses mains sur le haut de la jupe puis la tira vers le bas. La mini-jupe glissa sur les hanches de ma belle-mère et tomba à ses pieds.
D'autres obscénités retentirent dans la pièce quand les hommes virent la mince culotte qui laissait apparaître la petite bande de poils pubiens qu'elle avait laissée sur sa chatte. Paul la fit tourner sur elle-même. Les sifflets et les propos salaces reprirent de plus belle lorsqu'ils virent le cul nu avec une simple ficelle nichée entre les deux fesses.
Enfin, Paul la mit face aux deux autres hommes qui avaient du mal à cacher leurs érections. Il se mit derrière elle et écarta les balconnets du soutien-gorge afin d'exhiber ses seins fabuleux.
Il prit les mamelons dans ses doigts pour les rouler et les tirer pendant plus d'une minute. Quand il les laissa, les petits tétons étaient dressés fermement, complètement engorgés. Pour terminer l'humiliant déshabillage, Paul accrocha ses doigts dans l'élastique du string pour le rouler jusqu'aux pieds de Christine et le dégager de ses jambes.
Il tendit le string à l'homme le plus proche. Je le regardai inhaler le parfum profondément avant de le passer à son collègue avec un grand sourire.
Ensuite, Paul tourna Christine afin qu'elle soit face au mur de la salle, les hommes derrière elle, admirant ses merveilleuses jambes ainsi que son cul rond et lisse.
Paul me fit un clin d'œil et sourit. Moi-même, je souris puis je m'assis dans un coin.
Paul posa alors une main sur le dos de la tête de Christine puis il appuya, la poussant vers l'avant. Elle arrêta le mouvement en posant ses mains sur le mur devant elle. Mais l'homme les saisit avec son autre main et les retira du mur. Il continua sa pression sur la tête jusqu'à ce que la femme soit complètement courbée. Ses jambes étaient toujours collées et les lèvres de sa chatte étaient écrasées entre ses cuisses.
Dans la salle, les hommes parlaient entre eux, discutant des choses qu'ils voulaient faire à ma belle-mère. Adam BEAUMONT, notre voisin de quartier me regarda et sourit à pleines dents. Il tint son regard sur moi pendant un moment avant de retourner à Christine.
Les bras de celle-ci ne bougeaient plus et je vis qu'elle gardait la position sans lutter. Paul gardait sa main sur sa tête au cas où elle aurait voulu se relever. Il demanda :
- Ouvre un peu les jambes Christine. Et montre aux autres ta chatte de salope de parent d'élève.
Son ordre rencontra un bruyant assentiment des deux autres hommes. Sans hésiter, ma soumise ouvrit un peu les jambes. Et sur l'ordre de Paul elle les écarta un peu plus. Celui-ci dit :
- Maintenant, étant donné que je suis généreux, il fallait que je partage cette salope avec vous mes amis. Mais sans l'aide de Nicole qui s'est faite passer pour ma femme et sans l'autorisation de notre ami assis là-bas, rien n'aurait été possible. Merci Nicole pour ton aide, tu peux partit maintenant, nous te remercions.
- Tu me dois un service. Dit-elle en s'éloignant et en laissant la porte se refermer derrière elle.
Les lèvres rasées de Christine ainsi que son trou du cul étaient clairement exposés. Je remarquai ainsi que les autres hommes que ses lèvres scintillaient alors que sa chatte la trahissait et commençait à s'humidifier lentement. Il fut clair pour tout le monde qu'elle commençait à être excitée.
- Il me semble qu'elle a du mal à se contrôler. Constata Paul.
Il fit glisser ses doigts sur le dos puis sur les fesses et enfin sur les lèvres de la chatte humide.
- Ummmmm. Gémit-elle.
Un sourire salace s'étala sur les visages des hommes pendant que Paul écartait les plis luisants d'humidité.
Puis, en la tirant par les cheveux pour la tourner vers Adam BEAUMONT notre voisin et Jean VANNIER, le barman du café du village, il dit :
- Salope, vas te présenter à mes amis.
Elle se dirigea vers les deux hommes qui se levèrent pour l'encadrer. Adam avait l'âge de Christine ou était juste un peu plus âgé. Jean avait environ 45 ans et était un peu plus baraqué qu'Adam. Celui-ci parla le premier. Il tendit la main pour saisir un mamelon et le tirer vers lui. Elle perdit l'équilibre et trébucha quand il tira.
- Quand je pense que je vis depuis longtemps à deux portes de chez toi Christine. Pourquoi tu ne m'as rien dit? Tu aurais pu avoir ma queue beaucoup plus tôt tu sais.
Il rit et plaqua ma belle-mère sur sa poitrine. Il l'embrassa passionnément, lui faisant ouvrir la bouche pour sa langue envahissante.
- S'il te plaît, ne dis rien Adam. Demanda Christine quand il relâcha son étreinte.
- Ça va dépendre du plaisir que tu vas me donner. Répondit l'homme en la poussant vers son acolyte et en ne lui laissant aucune illusion sur ce qu'il allait se passer ce soir.
Elle n'eut pas le temps de réfléchir à la réponse avant que ses lèvres soient séparées par la langue de Jean. Il l'embrassa fougueusement, une main malaxant un sein, l'autre tripotant son cul.
Puis il la relâcha et dit en souriant :
- Ça va être dur de servir une bière à Alain après ce soir où j'aurais baisé sa salope de femme.
Elle le supplia avec ses grands yeux bruns :
- S'il te plait Jean, ne dis rien à Alain lorsque tu le verras.
- Peut-être que je ne dirais rien à Alain. Mais tu sais comment sont les autres. Ils cherchent toujours une femme à baiser moins ennuyeuses que leurs épouses. Donc s'ils apprennent sur toi et qu'ils me disent qu'ils aimeraient bien passer une soirée avec toi, je pourrais peut-être arranger cela. Qu'en penses-tu?
Il la taquina en riant. Puis elle fut tirée et poussée sur le siège où les deux hommes se tenaient auparavant.
Ils se tinrent devant elle, assez près pour que les bosses déformant leurs pantalons soient à portée de main. Adam défit son jean et le poussa sur ses jambes. Jean fit rapidement de même. Si bien qu'ils furent tous les deux debout devant elle, leurs caleçons gonflés par leurs queues attendant d'être libérées.
- Sors ma bite Christine! Dit Adam.
Ma belle-mère savait qu'elle n'avait pas le choix. Depuis quelques mois, elle avait cessé de résister et de protester. Elle accrocha ses doigts dans le caleçon de son voisin puis elle l'abaissa, évitant d'être claquée dans le menton par la bite. Elle n'était pas si grande que cela. Elle en avait eu de plus longues et plus épaisses. Mais c'était une bite donc elle devait la prendre et en profiter.
- Allez, sors la mienne aussi Christine. Demanda Jean impatient.
Il avança le bassin. Le renflement de son caleçon était plus impressionnant. Mes pensées furent confirmées quelques secondes plus tard quand Christine recula quand la bite jaillit et frappa son menton. Jean était bien doté, avec une queue longue et épaisse. Je pensai qu'au fil des ans, en tant que barman, il avait dû sauté beaucoup de femmes.
Ma belle-mère tendit les deux mains et prit les deux membres qu'elle enveloppa avec ses doigts fins. Alors que son pouce rencontra les autres doigts autour de la bite d'Adam, elle ne put faire le tour de celle de Jean. En même temps, elle décalotta les deux queues laissant apparaître leurs gros glands.
- Tu manipules deux bites avec une telle facilité. Se moqua Jean.
Elle ne répondit pas mais commença à déplacer ses mains de haut en bas, lentement de façon délibérer, afin de caresser toute la longueur et frotter ses paumes autour des têtes avant de les glisser vers le bas.
- Et elle va y arriver avec trois. Regarde. Dit Paul.
Il s'introduit entre les deux hommes, les poussant légèrement et attrapa Christine par les cheveux.
- Ouvre ta bouche. Lui dit-il.
Elle obéit et aussitôt il pénétra sa bouche et baisa son visage. Il rajouta :
- Continue à branler mes amis.
Surprise par Paul, elle en avait oublié ses mains. Rappelée à l'ordre, elle se remit à caresser les deux bites pendant que sa bouche était occupée.
Après avoir démontré qu'elle pouvait gérer trois queues à la fois, Paul se retira. Adam fut le plus prompt à réagir. Il attrapa la tête de la femme et enfourna rapidement son membre dans sa bouche. Paul prit la place d'Adam en plaçant sa verge dans la main féminine.
Quand ce fut le tour de Jean, le sexe de celui-ci avait encore grossi. Il prit grand plaisir à regarder Christine étirer ses lèvres autour de son gland. Et son égo enfla encore à la vue des joues gonflées et les prises de respiration frénétiques par le nez de la femme dont la gorge était complètement remplie par son gourdin.
Ils se firent sucer chacun leur tour encore deux fois. Puis Paul la souleva du sol pour l'étendre sur une table de massage qu'il avait ramenée de la pièce voisine.
- Ouvre tes jambes. Demanda-t-il.
Elle obéit et écarta ses membres en les tenant en l'air. Paul la tira afin qu'elle soit juste au bord de la table, puis il repoussa ses jambes sur ses seins et lui demanda de les tenir. Il plongea son visage dans le sexe de ma belle-mère et commença à la lécher avec application.
Jusque-là, peu d'hommes ayant utilisé Christine n'avaient eu envie de lécher sa chatte. Peut-être pensaient-ils que son sexe et son cul étaient réservés aux bites. Ou alors n'aimaient-ils pas.
Cela ne dérangeait pas Paul qui mangeait sa chatte comme un possédé. Il léchait la fente sur toute la longueur et titillait le clitoris avec sa langue.
- Oh mon dieu. Cria Christine.
Tout le monde comprit que son clito avait été localisé et qu'elle aimait ça. Paul passa du temps dessus, le léchant et le suçant, la femme devenant de plus en plus sensible et réceptive à ce traitement.
Ma belle-mère jouit environ deux minutes plus tard sur un cri aigu. Lorsqu'elle se calma, Paul releva son visage trempé, affichant un large sourire.
- J'aime manger les chattes. Confirma-t-il.
Il se déplaça sur le côté de la table et tira le visage de Christine afin de pouvoir glisser sa bite dans sa gorge, tout en rajoutant :
- Et ta chatte est savoureuse Christine.
Il l'empêcha de répondre en enfilant son sexe dans sa bouche.
Jean plongea entre ses jambes, et après avoir brièvement léché sa chatte, il écarta ses fesses avec ses grandes mains et enfonça sa langue dans le petit trou plissé. Le gémissement de ma belle-mère indiqua que cette intrusion était la bienvenue. Puis Jean doigta le chemin anal sans bouger de place pour laisser Adam s'en occuper. Alors celui-ci se déplaça sur le côté de la table, et, d'une main il tira les mamelons et de l'autre il enfonça deux doigts au fond de la chatte de Christine.
Le jeu simultané sur ses tétons et sur sa chatte tira à la femme de longs gémissements qui allèrent en s'amplifiant. S'il n'y avait eu la bite de Paul dans sa bouche, elle aurait sûrement criée.
Heureux de son travail sur le petit trou de Christine, Jean se leva et posa sa bite sur sa chatte, alors que les doigts d'Adam se trouvaient toujours à l'intérieur.
- Attend Jean. Avant que tu lui introduises cet engin, j'aimerai en profiter. Dit Adam en retirant ses doigts et en se poussant sur le côté.
- Désolé Adam, je me suis emporté mon ami. Je te laisse la place. Dit Jean en se dirigeant vers le côté libre de la tête de la femme.
Il n'eut pas à attendre longtemps avant que Paul se retire de la bouche de ma belle-mère et lui tourne la tête vers son ami afin qu'elle engouffre le gros mandrin :
- Alterne entre nous deux, salope.
Jean sourit quand Christine obéit à l'ordre de Paul et avale sa bite. Elle la travaille pendant 20 ou 30 secondes avant de la laisser et de se tourner vers celle de Paul.
Jean et Paul gardent les yeux fermés pendant que ma belle-mère les suce à tour de rôle jusqu'au moment où elle gémit et recrache la queue dans sa bouche. Paul grimaça et regarda Adam qui non seulement avait un grand sourire sur le visage mais aussi son sexe complétement enfoui dans le vagin de Christine.
- Espèce de sournois. Dit Jean en rigolant et en tirant la tête de la femme sur sa bite.
Adam baisa Christine pendant plus de 10 minutes avant qu'elle jouisse pour la deuxième fois, abandonnant les deux autres bites. Elle l'avait maudit au début mais maintenant elle le remerciait en l'implorant de ne rien dire aux autres voisins dans la rue.
Paul et Adam changèrent de place et de nouveau sa chatte et sa bouche furent remplies les douze minutes suivantes. Puis Paul laissa sa place à contrecœur à Jean qui lui avait demandé. Ma belle-mère approchait l'orgasme suivant.
Jean frotta son gland le long des petites lèvres afin de le lubrifier avec le jus de chatte. Puis il poussa sa bite dans l'entrée du vagin lentement afin de le remplir complètement.
- Oh merde, c'est gros. Dit Christine en levant la tête pour regarder Jean qui poussa encore plus loin. Elle rajouta :
- Oh mon Dieu, c'est gros, tellement gros.
Alors que les deux autres hommes le regardaient, Jean poussa encore plus sa bite tout en écartant les petites lèvres gonflées. Puis il pinça le clitoris engorgé entre son pouce et son index avant de le faire rouler. Le dos de la femme s'arqua, et son corps trembla pendant qu'un gémissement se fit entendre durant 20 secondes.
Christine eut le plus intense orgasme de sa vie sur cette bite épaisse. Cela flatta l'égo de Jean qui lui demanda :
- Alors Christine? N'arrives-tu pas à trouver d'aussi grosses queues?
A la surprise des hommes elle répondit. Etait-ce sous le coup du délire orgasmique ou qu'elle savait maintenant qu'il lui fallait des membres gros et épais, elle répondit à la question de Jean, les dents serrées :
- Non, je n'en ai jamais assez.
- Bien, parce qu'à partir de maintenant salope, tu vas souvent avoir droit à la mienne.
Sur ces mots, Jean commença à la baiser en s'assurant d'enfiler à chaque fois sa queue tout au fond de la chatte trempée de ma belle-mère qui clapotait.
Pendant les dix prochaines minutes, j'écoutai les clapotements ainsi que les gémissements étouffés. Puis jean se lassa et laissa la place à Paul qui la positionna autrement.
Penchée sur la table avec sa jambe droite posée dessus, elle était parfaitement d'équerre. Paul conduisit son membre dans la chatte et commença à la baiser durement et profondément. Les deux autres hommes attendaient derrière en se masturbant lentement jusqu'à ce que Paul eût besoin de se reposer et s'écarta pour Adam.
Cela se poursuivit pendant les trente prochaines minutes. Assis, je regardai ma belle-mère être traitée comme une vraie pute.
Ecouter Christine durant les trente minutes suivantes fut comme de la musique dans mes oreilles. J'entendis gémissements et petits cris pendant que les trois bites la baisaient selon un cycle régulier jusqu'au moment où elle éclatait dans l'orgasme et poussait un cri qui remplissait la salle pendant une minute. Puis le cycle recommençait. Elle jouit encore deux fois avant que Paul, toujours enterré dans sa chatte, lui demande :
- Demande-nous de baiser ton cul Salope. Supplie-nous de te sodomiser Christine.
Tout de suite, elle obéit et demande :
- Arrêtez de baiser ma chatte et sodomisez-moi s'il vous plaît. Je veux que vous m'enculiez tous les trois. S'il te plaît Paul, baise mon cul maintenant. Mets ta bite dans mon cul.
Plus elle suppliait, plus les hommes souriaient et la traitaient de chienne et de pute.
- On va arranger ça. Dit Paul
Il sortit sa queue de la chatte avec un plop bruyant puis il la positionna à l'entrée plissé de l'anus. Il poussa jusqu'au moment où la résistance céda et son gland sauta à l'intérieur.
- AAAHHH. Dit-elle.
- C'est bien ce que tu voulais salope? Demanda Paul tout en restant immobile jusqu'à ce qu'elle réponde.
- Oui c'est ce que je veux. Haleta-t-elle.
- De toute façon, que tu le veuilles ou non, nous aurions baiser ton cul ce soir. Si Nelson y a eu droit alors moi aussi.
Il enfonça son sexe tout à l'intérieur avant de commencer à la limer. Une fois encore, je regardai pendant les vingt prochaines minutes, les trois hommes utiliser la voie anale de ma belle-mère. Après Paul il y eut Adam puis Jean et sa grosse bite. Même si le passage était un peu desserré, Christine cria et se mit à pleurer en suppliant Jean de cesser car il était trop gros et cela la blessait. Mais jean lui répondit :
- Arrête de pleurer salope, et profite de ma bite.
Ensuite, tout en la baisant sans pitié, il lui fit répéter maintes fois qu'elle aimait sa bite dans son cul.
Quand il se retira, j'eus une belle vue sur le cul béant de ma belle-mère. Il était étiré et rouge.
Les hommes n'en avaient pas fini d'elle. Paul grimpa sur la table et tira Christine. Il l'assit sur son sexe et l'attira vers lui de telle sorte que ses seins furent écrasés sur sa poitrine et son cul accessible. Ensuite il lui dit à l'oreille mais assez fort pour que ses acolytes entendent :
- Il n'y a pas de raison que l'un de nous attende alors que tu as trois trous. N'est-ce pas?
Dès qu'elle acquiesça, Jean se présenta devant elle à l'extrémité de la table et lui tira sa tête vers le bas. Il poussa sa queue fraîchement sortie du passage anal dans sa gorge. Adam se positionna afin d'être derrière la femme et pouvoir la sodomiser.
Si Jean n'avait pas rempli sa bouche de son membre, ma belle-mère aurait été entendue du bout du village. Ses yeux s'étaient grand ouverts quand Adam avait rempli le dernier trou vacant et son corps s'était raidi. Il lui fallut un petit moment pour s'habituer à avoir trois bites en elle en même temps.
Adam et Paul trouvèrent finalement le bon rythme pour baiser ses deux trous convenablement. Elle jouit de nouveau, le corps tendu durant quelques secondes, les yeux fermés, son gémissement de jouissance étouffé par la grosse queue de Jean. Puis elle se relâcha et permit ainsi aux hommes de continuer à la pilonner.
Ils échangèrent leurs places au bout de cinq minutes : Jean dans sa chatte, Paul profondément dans son cul et Adam à mi-chemin dans sa gorge. A chaque fois qu'ils bougèrent de place, Christine eut un orgasme. Je perdis le nombre de fois où elle jouit.
Quand ils arrêtèrent, ils la conduisirent vers le canapé. Il fut facile de voir qu'elle était flageolante sur ses pieds et qu'elle avait à peine assez d'énergie pour se tenir debout. Elle était recouverte de sueur, son corps luisant et ses cheveux trempés. Des marques rouges apparaissaient sur ses seins, son cul, ses cuisses, son ventre et son dos. Elle avait été si malmenée et fessée.
Ils la tournèrent dos au canapé. Adam s'assit et la tira en arrière afin qu'elle laisse tomber son cul sur sa bite. Dans cette position l'homme put lever ses jambes et les tenir en l'air avec ses bras.
- Regardez-moi ça! Dit Jean en fixant l'entrejambe de ma belle-mère, son cul rempli par une bite et sa chatte gonflée, dégoulinante et suppliante d'être pénétrée.
Il ajouta en me regardant pour avoir mon approbation :
- Il faut que je prenne une photo.
Je ne fus pas sûr de vouloir qu'il prenne un photo en sachant qu'il était barman dans le bar où Alain le mari de Christine allait se saouler. Pendant quelques secondes je faillis dire non mais soudain je pensai aux sentiments honteux de ma soumise en sachant qu'une telle photo serait dans le téléphone du serveur de son mari. Elle serait inquiète et n'en serait que plus malléable pour moi. Alors je dis oui à Jean.
Il alla chercher son smartphone dans la poche de son pantalon sur le plancher puis se mit debout devant Christine en disant :
- Souris salope.
Il prit une première photo puis s'approcha et aligna sa bite avec l'entrée de la chatte. Il prit un autre cliché. Tout en pénétrant ma belle-mère, il photographia sa bite pendant qu'elle disparaissait et le visage de Christine exprimant à la fois la douleur et le plaisir. Alors, il la pilonna dans un rythme effréné, tout en demandant à Paul de les saisir en image sur le côté. Il leva le pouce en l'air et sourit pour le souvenir permanent s'enregistrant dans son téléphone.
Ce fut pendant le deuxième tour de Paul dans la chatte qu'Adam annonça qu'il allait éjaculer dans son cul. Paul se retira pour qu'Adam puisse encore donner trois coups pour s'enterrer profondément et vider son sperme dans les entrailles de ma belle-mère.
Puis il la souleva de façon à ce que sa bite quitte son cul et retombe. Les autres regardèrent l'anus se refermer lentement comme s'il faisait un clin d'œil. Le liquide épais d'Adam commença à couler du petit trou maltraité.
- Quelle pute! Dit Jean.
Il prit la femme et l'assit à côté d'Adam. Il repoussa ses jambes en arrière et mit son sexe dans sa chatte puis il lui dit :
- On dirait que je vais juter dans ta chatte alors Christine.
Il commença à la pilonner vite et brutalement jusqu'à ce qu'il annonce l'arrivée de sa jouissance. Avec une poussée final et un grand cri, il éclata dans son ventre, tout au fond, là où seulement sa queue pouvait aller. Après s'être retiré, il attendit que son jus s'écoule pour rajouter une image à sa collection.
- Alors je pense que je vais avoir sa bouche. Dit Paul en la tirant pour qu'elle se mette à genoux.
Il lui demanda qu'elle le suce. Après qu'elle se fut agenouillée, la semence des deux autres hommes s'échappa d'elle et forma une flaque sur le sol. Jean en profita pour prendre une autre photo.
La dernière photo qu'il enregistra fut une du visage de ma belle-mère recouvert du sperme de Paul. Celui-ci avait décidé d'éjaculer sur sa figure plutôt que dans sa gorge. Après, Christine dut sucer les bites et les couilles de chaque homme pour les nettoyer de toutes traces de liquide. Et seulement ensuite, elle fut autorisée à se rhabiller et à me rejoindre, le visage couvert de sperme.
- Tu as encore une queue à satisfaire à la maison. Lui dis-je en montrant mon bas-ventre.
Elle me sourit et me dit ok tout en me prenant le bras et me tirant vers la sortie.
- Je t'appelle pour fixer des dates. Me cria Paul à travers la porte.
- Pas de problème. Répondis-je.
Nous partîmes et marchâmes jusqu'à la maison, avec du sperme frais sur le visage de ma belle-mère. Il y resta le temps que je baise son cul sur le plancher de la cuisine et que je me vide en elle. Avant d'aller me coucher je lui dis :
- Tu as été fantastique cette putain de soirée.
- Merci Maître. Dit-elle toujours pliée en deux sur le sol, mon sperme sortant de son cul.
A suivre....
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