Sortie scolaire- récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Notre mère de famille découvre le plaisir dans la soumission.
A peine eut-elle le temps de se nettoyer le visage, de calmer les battements affolés de son cœur, de fouiller dans son sac pour revêtir un autre maillot, que déjà elle entendait les bruits de voix annonçant le retour de la joyeuse troupe.
Elle dut se résoudre à les rejoindre, rougissante, il lui semblait que tout le monde allait soupçonner l'acte ignoble qu'elle venait d'endurer, elle partit d'un pas incertain à leur rencontre.
Étonnée, elle comprit bien vite que personne ne se doutait, se pouvait-il que rien ne parut sur son visage? Sa déchéance ne frappait personne ?
Comment ne se rendaient-ils pas compte ?
Ainsi on pouvait se livrer à de tels agissements sans que personne ne s'en doute.
D'une oreille distraite elle écouta ses enfants lui raconter leur première baignade, tout heureux de ce premier contact, ils ne lui posèrent aucune question sur ce qu'elle avait fait, et comme cela l'arrangeait bien, elle n'en suscita pas non plus.
Le début de soirée, consacré au souper arriva vite, puis fatigués de cette première journée au plein air tous se couchèrent bien vite. Seule au creux de son douillet sac de couchage elle resta longtemps yeux ouverts, cœur palpitant, se remémorant cette fin d'après midi.
Elle se voyait encore et encore supportant les souillures infligées à son corps par les deux acolytes, les suçant avec honte pour enfin faire une pipe, comme ils disaient, à leur chef, à l'intérieur même de sa tente, c'était comme si elle l'avait tété chez elle, c'était son home qui avait été envahi.
C'était comme si après avoir accueilli son suborneur dans son couloir, elle lui avait fait une gorge profonde et cela lui semblait d'autant plus invraisemblable qu'elle savait qu'il lui aurait suffi de lui refuser sa porte, mais ... n'est-ce pas volontairement qu'elle s'était livrée à une telle débauche, après avoir goûté aux sexes de ses comparses, n'avait-elle pas, dans un ultime moment d'égarement voulut apprécier celle de leur chef, dans son esprit tout s'embrumait, le plaisir, la honte, tout se mélangeait, et c'est fouillant sa chatte de ses doigts enfiévrés qu'elle s'endormit enfin toute troublée par la confusion de ses sentiments.
Le lendemain matin, elle se réveilla trempée de sueur, assez nauséeuse, d'un geste machinal elle s'étira, puis, avec lenteur elle se caressa l'entrecuisse, étonnée de le sentir si poisseux. Et, rougissante de honte elle comprit qu'elle avait du, inconsciemment, se branler durant la nuit, la moiteur de sa moule, le léger échauffement de ses nymphes, tout témoignait des activités nocturnes auxquelles, inconsciemment elle avait du se livrer.
En hâte, elle se leva, et courut presque aux sanitaires, où elle profita de sa solitude pour se laver avec fureur, se frottant avec énergie comme si cette simple action pouvait la blanchir de toute souillure.
Enfin, le corps récuré, elle retourna à la tente réveillant sa compagne surprise de la voir levé si tôt.
Bientôt, les tentes résonnèrent des propos des enfants qui se précipitaient qui à la douche, qui au petit déjeuner, pressé de profiter de leur journée. Entre les promenades, le temps pris pour effectuer le compte rendu de l'arrivée et du premier contact avec la base nautique; la journée passa rapidement, Hélène eut beau surveiller les alentours, elle ne vit ni son suborneur de la veille, ni ses acolytes, elle vit donc arriver le soir ragaillardie, escomptant presque, de toute sa naïveté, que son aventure se terminerait là, que satisfaits de ses services ils allaient maintenant la laisser en paix. Et bizarrement elle se sentait presque confuse de ne pas avoir éveillé plus que cela leur intérêt, alors qu'elle s'attendait au cours de cette journée à être abordée par leur chef, et qu'elle ne voyait d'ailleurs pas comment elle refuserait de se soumettre à ses diktats, elle était presque frustrée de ce qu'elle appréhendait comme de l'indifférence, elle n'était pas loin de se sentir vexée que son physique n'ait pas plus que cela capté l'attention de son séducteur.
Et pourtant ..... Le soir même elle eut la preuve que loin de se désintéresser de son cas, le jeune voyou ne faisait que guetter les instants favorables, ces moments où en plein public, elle ne pourrait se défendre de ses attouchements.
Alors que jeunes et encadrants se répartissaient autour d'un feu de camp, écoutant quelques inconnus chanter en grattant leurs guitares, les jeunes avaient invités l'ensemble du camping à participer à leur soirée, elle s'était assise légèrement en retrait, fuyant la chaleur trop vive et profitant d'une petite éminence pour s'asseoir confortablement, jambes pliées sous sa longue maxi jupe qui la couvrait jusqu'aux chevilles.
Des pas retentirent dans son dos, et avec effroi, elle vit son jeune "suborneur" prendre place à ses cotés, bien calé le long de ses jarrets. Elle voulut fuir, certaine qu'il ne s'agissait pas d'une coïncidence, qu'il chercherait à profiter des circonstances : sa position éloignée du groupe, la pénombre, son trouble ...
D'un geste vif, il lui attrapa la jambe, la forçant à se rasseoir, et levant la tête il murmura :
- Sage .... Tu ne voudrais pas que je te rende ta culotte devant tous ces mômes !
L'avertissement porta ses fruits, assommée par ce chantage inattendu, elle se rassit en blêmissant, sûre qu'il mettrait sa menace à exécution si elle cherchait d'une façon quelconque à se dérober.
Tout de suite, elle sentit avec anxiété la main de son maître chanteur se faufiler sous sa longue jupe, suivre le galbe de son jarret qui se couvrit immédiatement de chair de poule, révélant clairement l'intensité de son trouble, il contourna la cuisse, s'insinuant entre ces dernières qu'involontairement elle écartait frileusement lui laissant ainsi libre passage. Elle soupira, son cœur s'affola, son émoi physique la gagnait progressivement tandis que lui caressant lente-ment l'intérieur des cuisses il progressait sûrement vers le fond de sa culotte. Enfin du bout des ongles, il frôla le coton protégeant encore son entrejambe. Un doigt s'infiltra sous l'élastique sans qu'elle chercha de quelque façon que ce soit de se soustraire aux cajoleries intimes.
Bien sur elle avait l'alibi de la peur du scandale, elle ne pouvait se permettre de révéler à tous sa mésaventure, mais au fond d'elle même elle sentait bien combien cette excuse était fragile, les battements de son cœur affolé, la chaleur lui embrasant les reins, la mollesse de ses réactions tout lui montrait que finalement elle consentait à ces effleurements que viscéralement elle avait attendu toute la journée.
Lucidement, il comprit qu'il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, qu'il devait profiter de son émoi pour la subjuguer, pour l'obliger à admettre sa défaite .....
Du doigt replié, il crocha le fond tout moite de son slip, et tira dessus, soucieuse de ne pas déchirer sa petite parure, mécaniquement elle souleva ses fesses lui permettant ainsi de lui ôter facilement le petit écrin, seul gardien de sa vertu.
Les reins et les joues embrasées, elle sentit la froufrouteuse petite culotte glisser le long de ses jambes, et déjà se redressant vivement, il la portait à ses narines, humant avec délice les fla-rances révélatrices.
- Alors on mouille .... Susurra-t-il à son oreille tout en frôlant sa joue du fond humide du petit slip.
Elle ne pouvait répondre, oppressée comme elle l'était ... et soudain une peur subite la gagna irrésistiblement : si, malgré la distance quelqu'un apercevait la tache claire, il ne fallait pas, et bredouillant, elle murmura :
- Rangez cette culotte ... je vous en prie .... On pourrait ... on pourrait la voir ... il ne faut pas ... je vous en prie ... vous ferez ce que vous voudrez de mon corps ... mais rangez là !
- Écartes bien tes fesses ! lui répondit-il froidement,
- je veux jouer avec tes trous .... Avec tes deux trous ! précisa-t-il suavement, et comme visiblement elle se disposait à sa merci, il enfouit son trophée dans sa poche, et remit la main sous sa jupe.
Tout de suite elle sentit main s'introduire entre ses jambes largement écartées, du bout des ongles, il parcourut ses babines enfiévrées, il pinça entre ses doigts son clito qu'elle sentit immédiatement se raidir sous la brutale manipulation, comprenant à son souffle heurté qu'elle perdait pied, il accentua ses caresses, lui triturant avec plus de tendresse son petit bouton il la contraignit à suivre ses caresses.
Bientôt, le ventre houleux elle se surprit à accompagner de furieux roulement de hanches ses gestes, à tendre le ventre, des petits gémissements qu'elle ne pouvait plus étouffer s'échappait de sa gorge, elle cherchait ses doigts, brûlant de les sentir en elle.
Conscient de son emprise, il interrogea :
- Et maintenant ma salope ... qu'est-ce que tu veux ... que j'arrête ?
- Non ... non ... balbutia-t-elle ... je vous en prie .... Encore ....
- Alors salope ... dis moi ce que tu veux ... je le ferai quand tu me le demanderas ... mais je veux t'entendre le dire ....
Et tandis qu'impavide il continuait à l'affoler, malmenant de doigts experts son clito enflammé, elle grogna d'une voix sourde :
- Tes doigts .... Mets moi tes doigts ...
- Où veux –tu que je te mette les doigts ? poursuivit-il inflexible, décidé à la forcer dans ses derniers retranchements, et veule comme jamais elle ne l'avait été elle soupira, avouant sa complète défaite
- Dans mon ventre ... mets tes doigts dans ma chatte et ... branles moi ! se sentit-elle obligée d'ajouter cherchant par tous les moyens à lui faire plaisir, à l'amener ainsi à la satisfaire.
Satisfait de sa reddition, il enfourna deux doigts joints dans sa féminité exacerbée, déclenchant immédiatement un flot de mouille qui lui inonda la chatte.
Les reins tremblants elle cherchait encore à exagérer sa possession, il agitait ses doigts, les faisait tournoyer, les enfouissait avec lenteur, puis à petits coups secs jusqu'au col de la matrice, avant de les retirer pour lisser sa toison tandis qu'elle râlait :
- Remets les moi ... je t'en prie encore ...
Soudain, il poussa un peu plus son pouce et vint avec lenteur lui caresser son œillet palpitant de peur, jamais personne n'y avait porté la main, jamais elle n'avait permis, elle n'avait seulement conçu qu'on puisse....
Et sans même se soucier de son avis, le jeune soudard lui imposait cette ignoble caresse qui la troublait si fort, sentant ses réticences, il replongea deux doigts dans sa fournaise, reprenant avec vigueur son branle pour amadouer subrepticement son anneau encore récalcitrant.
La fièvre la gagnant à nouveau, elle roula des hanches sans se rendre compte que ce faisant, si elle approfondissait les contacts dans sa cramouille affolées, elle frottait lascivement son anneau de moins en moins secret contre le pouce de son suborneur.
Petit à petit, il sentait le cul de la belle s'ouvrir sous la pression imperceptible de son pouce, et, effectivement, suivant le rythme de sa chagatte endiablée, la petite bouche de son anus s'ouvrait et se fermait se prêtant de mieux aux intentions du jeune loubard.
Enfin, d'un geste décisif, il lui enfonça irrémédiablement le pouce dans le fondement, les sphincters livrèrent un passage aisé à l'envahisseur, elle sursauta de tout son corps, la surprise de se voir si facilement empalée l'emportant sur la honte de cette première intrusion dans son anus jusque là inviolé.
Ne la laissant pas souffler, il enchaîna immédiatement sur la pince chinoise, serrant entre ses doigts brutaux le périnée affolé, ces caresses jamais encore endurées entraînèrent une fulgurante jouissance qui la laissa pantelante, affalée sur l'épaule de son amant, elle eut bien du mal à reprendre son souffle, à calmer les battements de son cœur.
Déjà il ironisait :
- Alors ma petite pute, on en découvre des choses ... Je parie que jamais ton mari ne t'avait mis un doigt dans le cul !
Et, égarée elle s'entendait répondre :
- Non ... jamais .... Il ne m'a jamais ...
- Rassures toi ma chérie ..... Je n'en ai pas fini avec toi ....
Et comme elle lui jetait un regard éperdu, il crut bon d'ajouter :
- Bientôt c'est ton cul que je me ferai ..... tu verras .... A la fin de la semaine tu seras devenue une vraie pute qui sait donner du plaisir à son homme ! Et maintenant profite donc de l'obscurité ... Je surveille les alentours pendant que tu me suces la queue.
Affolée par ce langage grossier, elle s'exécuta lâchement ne cherchant même plus à se rebeller, presque convaincue que c'était leur mode normale d'au revoir.
Et de nouveau elle se retrouva le braquemart frémissant de son suborneur enfouit jusqu'à la garde dans sa bouche fiévreuse, léchouillant avec entrain la hampe raidie, titillant du bout de la langue le méat suintant, l'absorbant jusqu'à la luette, recevant enfin, avec la joie de l'artisan ayant terminé son chef d'œuvre, sa semence tiède, l'avalant goulûment, pour ne pas tacher son corsage ? ou pour ne pas perdre une goutte de sa liqueur séminale ?
Ravi de la tournure des événements, il la quitta enchanté, convaincu qu'un lien indissoluble se tissait entre eux, il lui restait la fin de la semaine pour encore le renforcer, la rendre esclave de ses sens, de son sexe.
Elle partit rejoindre le feu de camp, ne ressentant même plus de honte, comme la veille lors-qu'elle avait rejoint ses ouailles, ce mode d'adieu lui semblait-il maintenant naturel ?
A suivre...
A peine eut-elle le temps de se nettoyer le visage, de calmer les battements affolés de son cœur, de fouiller dans son sac pour revêtir un autre maillot, que déjà elle entendait les bruits de voix annonçant le retour de la joyeuse troupe.
Elle dut se résoudre à les rejoindre, rougissante, il lui semblait que tout le monde allait soupçonner l'acte ignoble qu'elle venait d'endurer, elle partit d'un pas incertain à leur rencontre.
Étonnée, elle comprit bien vite que personne ne se doutait, se pouvait-il que rien ne parut sur son visage? Sa déchéance ne frappait personne ?
Comment ne se rendaient-ils pas compte ?
Ainsi on pouvait se livrer à de tels agissements sans que personne ne s'en doute.
D'une oreille distraite elle écouta ses enfants lui raconter leur première baignade, tout heureux de ce premier contact, ils ne lui posèrent aucune question sur ce qu'elle avait fait, et comme cela l'arrangeait bien, elle n'en suscita pas non plus.
Le début de soirée, consacré au souper arriva vite, puis fatigués de cette première journée au plein air tous se couchèrent bien vite. Seule au creux de son douillet sac de couchage elle resta longtemps yeux ouverts, cœur palpitant, se remémorant cette fin d'après midi.
Elle se voyait encore et encore supportant les souillures infligées à son corps par les deux acolytes, les suçant avec honte pour enfin faire une pipe, comme ils disaient, à leur chef, à l'intérieur même de sa tente, c'était comme si elle l'avait tété chez elle, c'était son home qui avait été envahi.
C'était comme si après avoir accueilli son suborneur dans son couloir, elle lui avait fait une gorge profonde et cela lui semblait d'autant plus invraisemblable qu'elle savait qu'il lui aurait suffi de lui refuser sa porte, mais ... n'est-ce pas volontairement qu'elle s'était livrée à une telle débauche, après avoir goûté aux sexes de ses comparses, n'avait-elle pas, dans un ultime moment d'égarement voulut apprécier celle de leur chef, dans son esprit tout s'embrumait, le plaisir, la honte, tout se mélangeait, et c'est fouillant sa chatte de ses doigts enfiévrés qu'elle s'endormit enfin toute troublée par la confusion de ses sentiments.
Le lendemain matin, elle se réveilla trempée de sueur, assez nauséeuse, d'un geste machinal elle s'étira, puis, avec lenteur elle se caressa l'entrecuisse, étonnée de le sentir si poisseux. Et, rougissante de honte elle comprit qu'elle avait du, inconsciemment, se branler durant la nuit, la moiteur de sa moule, le léger échauffement de ses nymphes, tout témoignait des activités nocturnes auxquelles, inconsciemment elle avait du se livrer.
En hâte, elle se leva, et courut presque aux sanitaires, où elle profita de sa solitude pour se laver avec fureur, se frottant avec énergie comme si cette simple action pouvait la blanchir de toute souillure.
Enfin, le corps récuré, elle retourna à la tente réveillant sa compagne surprise de la voir levé si tôt.
Bientôt, les tentes résonnèrent des propos des enfants qui se précipitaient qui à la douche, qui au petit déjeuner, pressé de profiter de leur journée. Entre les promenades, le temps pris pour effectuer le compte rendu de l'arrivée et du premier contact avec la base nautique; la journée passa rapidement, Hélène eut beau surveiller les alentours, elle ne vit ni son suborneur de la veille, ni ses acolytes, elle vit donc arriver le soir ragaillardie, escomptant presque, de toute sa naïveté, que son aventure se terminerait là, que satisfaits de ses services ils allaient maintenant la laisser en paix. Et bizarrement elle se sentait presque confuse de ne pas avoir éveillé plus que cela leur intérêt, alors qu'elle s'attendait au cours de cette journée à être abordée par leur chef, et qu'elle ne voyait d'ailleurs pas comment elle refuserait de se soumettre à ses diktats, elle était presque frustrée de ce qu'elle appréhendait comme de l'indifférence, elle n'était pas loin de se sentir vexée que son physique n'ait pas plus que cela capté l'attention de son séducteur.
Et pourtant ..... Le soir même elle eut la preuve que loin de se désintéresser de son cas, le jeune voyou ne faisait que guetter les instants favorables, ces moments où en plein public, elle ne pourrait se défendre de ses attouchements.
Alors que jeunes et encadrants se répartissaient autour d'un feu de camp, écoutant quelques inconnus chanter en grattant leurs guitares, les jeunes avaient invités l'ensemble du camping à participer à leur soirée, elle s'était assise légèrement en retrait, fuyant la chaleur trop vive et profitant d'une petite éminence pour s'asseoir confortablement, jambes pliées sous sa longue maxi jupe qui la couvrait jusqu'aux chevilles.
Des pas retentirent dans son dos, et avec effroi, elle vit son jeune "suborneur" prendre place à ses cotés, bien calé le long de ses jarrets. Elle voulut fuir, certaine qu'il ne s'agissait pas d'une coïncidence, qu'il chercherait à profiter des circonstances : sa position éloignée du groupe, la pénombre, son trouble ...
D'un geste vif, il lui attrapa la jambe, la forçant à se rasseoir, et levant la tête il murmura :
- Sage .... Tu ne voudrais pas que je te rende ta culotte devant tous ces mômes !
L'avertissement porta ses fruits, assommée par ce chantage inattendu, elle se rassit en blêmissant, sûre qu'il mettrait sa menace à exécution si elle cherchait d'une façon quelconque à se dérober.
Tout de suite, elle sentit avec anxiété la main de son maître chanteur se faufiler sous sa longue jupe, suivre le galbe de son jarret qui se couvrit immédiatement de chair de poule, révélant clairement l'intensité de son trouble, il contourna la cuisse, s'insinuant entre ces dernières qu'involontairement elle écartait frileusement lui laissant ainsi libre passage. Elle soupira, son cœur s'affola, son émoi physique la gagnait progressivement tandis que lui caressant lente-ment l'intérieur des cuisses il progressait sûrement vers le fond de sa culotte. Enfin du bout des ongles, il frôla le coton protégeant encore son entrejambe. Un doigt s'infiltra sous l'élastique sans qu'elle chercha de quelque façon que ce soit de se soustraire aux cajoleries intimes.
Bien sur elle avait l'alibi de la peur du scandale, elle ne pouvait se permettre de révéler à tous sa mésaventure, mais au fond d'elle même elle sentait bien combien cette excuse était fragile, les battements de son cœur affolé, la chaleur lui embrasant les reins, la mollesse de ses réactions tout lui montrait que finalement elle consentait à ces effleurements que viscéralement elle avait attendu toute la journée.
Lucidement, il comprit qu'il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, qu'il devait profiter de son émoi pour la subjuguer, pour l'obliger à admettre sa défaite .....
Du doigt replié, il crocha le fond tout moite de son slip, et tira dessus, soucieuse de ne pas déchirer sa petite parure, mécaniquement elle souleva ses fesses lui permettant ainsi de lui ôter facilement le petit écrin, seul gardien de sa vertu.
Les reins et les joues embrasées, elle sentit la froufrouteuse petite culotte glisser le long de ses jambes, et déjà se redressant vivement, il la portait à ses narines, humant avec délice les fla-rances révélatrices.
- Alors on mouille .... Susurra-t-il à son oreille tout en frôlant sa joue du fond humide du petit slip.
Elle ne pouvait répondre, oppressée comme elle l'était ... et soudain une peur subite la gagna irrésistiblement : si, malgré la distance quelqu'un apercevait la tache claire, il ne fallait pas, et bredouillant, elle murmura :
- Rangez cette culotte ... je vous en prie .... On pourrait ... on pourrait la voir ... il ne faut pas ... je vous en prie ... vous ferez ce que vous voudrez de mon corps ... mais rangez là !
- Écartes bien tes fesses ! lui répondit-il froidement,
- je veux jouer avec tes trous .... Avec tes deux trous ! précisa-t-il suavement, et comme visiblement elle se disposait à sa merci, il enfouit son trophée dans sa poche, et remit la main sous sa jupe.
Tout de suite elle sentit main s'introduire entre ses jambes largement écartées, du bout des ongles, il parcourut ses babines enfiévrées, il pinça entre ses doigts son clito qu'elle sentit immédiatement se raidir sous la brutale manipulation, comprenant à son souffle heurté qu'elle perdait pied, il accentua ses caresses, lui triturant avec plus de tendresse son petit bouton il la contraignit à suivre ses caresses.
Bientôt, le ventre houleux elle se surprit à accompagner de furieux roulement de hanches ses gestes, à tendre le ventre, des petits gémissements qu'elle ne pouvait plus étouffer s'échappait de sa gorge, elle cherchait ses doigts, brûlant de les sentir en elle.
Conscient de son emprise, il interrogea :
- Et maintenant ma salope ... qu'est-ce que tu veux ... que j'arrête ?
- Non ... non ... balbutia-t-elle ... je vous en prie .... Encore ....
- Alors salope ... dis moi ce que tu veux ... je le ferai quand tu me le demanderas ... mais je veux t'entendre le dire ....
Et tandis qu'impavide il continuait à l'affoler, malmenant de doigts experts son clito enflammé, elle grogna d'une voix sourde :
- Tes doigts .... Mets moi tes doigts ...
- Où veux –tu que je te mette les doigts ? poursuivit-il inflexible, décidé à la forcer dans ses derniers retranchements, et veule comme jamais elle ne l'avait été elle soupira, avouant sa complète défaite
- Dans mon ventre ... mets tes doigts dans ma chatte et ... branles moi ! se sentit-elle obligée d'ajouter cherchant par tous les moyens à lui faire plaisir, à l'amener ainsi à la satisfaire.
Satisfait de sa reddition, il enfourna deux doigts joints dans sa féminité exacerbée, déclenchant immédiatement un flot de mouille qui lui inonda la chatte.
Les reins tremblants elle cherchait encore à exagérer sa possession, il agitait ses doigts, les faisait tournoyer, les enfouissait avec lenteur, puis à petits coups secs jusqu'au col de la matrice, avant de les retirer pour lisser sa toison tandis qu'elle râlait :
- Remets les moi ... je t'en prie encore ...
Soudain, il poussa un peu plus son pouce et vint avec lenteur lui caresser son œillet palpitant de peur, jamais personne n'y avait porté la main, jamais elle n'avait permis, elle n'avait seulement conçu qu'on puisse....
Et sans même se soucier de son avis, le jeune soudard lui imposait cette ignoble caresse qui la troublait si fort, sentant ses réticences, il replongea deux doigts dans sa fournaise, reprenant avec vigueur son branle pour amadouer subrepticement son anneau encore récalcitrant.
La fièvre la gagnant à nouveau, elle roula des hanches sans se rendre compte que ce faisant, si elle approfondissait les contacts dans sa cramouille affolées, elle frottait lascivement son anneau de moins en moins secret contre le pouce de son suborneur.
Petit à petit, il sentait le cul de la belle s'ouvrir sous la pression imperceptible de son pouce, et, effectivement, suivant le rythme de sa chagatte endiablée, la petite bouche de son anus s'ouvrait et se fermait se prêtant de mieux aux intentions du jeune loubard.
Enfin, d'un geste décisif, il lui enfonça irrémédiablement le pouce dans le fondement, les sphincters livrèrent un passage aisé à l'envahisseur, elle sursauta de tout son corps, la surprise de se voir si facilement empalée l'emportant sur la honte de cette première intrusion dans son anus jusque là inviolé.
Ne la laissant pas souffler, il enchaîna immédiatement sur la pince chinoise, serrant entre ses doigts brutaux le périnée affolé, ces caresses jamais encore endurées entraînèrent une fulgurante jouissance qui la laissa pantelante, affalée sur l'épaule de son amant, elle eut bien du mal à reprendre son souffle, à calmer les battements de son cœur.
Déjà il ironisait :
- Alors ma petite pute, on en découvre des choses ... Je parie que jamais ton mari ne t'avait mis un doigt dans le cul !
Et, égarée elle s'entendait répondre :
- Non ... jamais .... Il ne m'a jamais ...
- Rassures toi ma chérie ..... Je n'en ai pas fini avec toi ....
Et comme elle lui jetait un regard éperdu, il crut bon d'ajouter :
- Bientôt c'est ton cul que je me ferai ..... tu verras .... A la fin de la semaine tu seras devenue une vraie pute qui sait donner du plaisir à son homme ! Et maintenant profite donc de l'obscurité ... Je surveille les alentours pendant que tu me suces la queue.
Affolée par ce langage grossier, elle s'exécuta lâchement ne cherchant même plus à se rebeller, presque convaincue que c'était leur mode normale d'au revoir.
Et de nouveau elle se retrouva le braquemart frémissant de son suborneur enfouit jusqu'à la garde dans sa bouche fiévreuse, léchouillant avec entrain la hampe raidie, titillant du bout de la langue le méat suintant, l'absorbant jusqu'à la luette, recevant enfin, avec la joie de l'artisan ayant terminé son chef d'œuvre, sa semence tiède, l'avalant goulûment, pour ne pas tacher son corsage ? ou pour ne pas perdre une goutte de sa liqueur séminale ?
Ravi de la tournure des événements, il la quitta enchanté, convaincu qu'un lien indissoluble se tissait entre eux, il lui restait la fin de la semaine pour encore le renforcer, la rendre esclave de ses sens, de son sexe.
Elle partit rejoindre le feu de camp, ne ressentant même plus de honte, comme la veille lors-qu'elle avait rejoint ses ouailles, ce mode d'adieu lui semblait-il maintenant naturel ?
A suivre...
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