mardi 15 janvier 2019

Mon aventure Ch. 05

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Descente dans l'humiliation.

Mes filles sont très différentes. Pourtant, je pensais que comme elles étaient si proches en âge qu'elles devraient se ressembler. Ça m'a toujours surpris.

Les femmes on tendances à avoir différents noms pour les parties de leur corps. Mes seins ont toujours été mes seins sauf quand je me suis mise à parler de nichons. Je pensais que c'était mignon et les gars et les filles avec qui je traînais semblait être d'accord. La mention de mes nichons les faisait toujours sourire.

Janvier a toujours préféré parler de seins. Ça a commencé très jeune. Alors que ses amies commençaient à avoir de la poitrine, elle me demandait quand elle allait recevoir ses seins. Une fois qu'elle en a eu, ils furent petits. Ils poussaient juste ses vêtements. Quand elle parlait de ses seins, elle pouffait mais elle aimait l'attention qu'on lui portait alors.

Comme ils étaient petits, elle ne portait pas souvent de soutien-gorge. Mais la meilleure caractéristique de sa poitrine était ses mamelons. Ils étaient très sombres et ils durcissaient à la moindre occasion. Une légère brise pouvait les dresser. Elle aimait alors quand les hommes les regardaient.

Avril, elle, est timide. Dans les rares occasions où elle dut parler de son corps, elle parlait de ses seins ou de sa poitrine. Elle a toujours eu du mal à trouver des soutien-gorge car elle se trouve entre des bonnet B ou C.

Après que ses seins se soient développés, Avril ne se montra plus autant nue avec les autres filles. Je ne les ai vus que de temps en temps mais ils sont parfaits pour son corps avec leurs petits mamelons rose foncé.

Septembre fut une de ses filles où la poitrine poussa très vite. Un jour elle était plate, le lendemain elle avait des seins. Elle s'est mise à parler de ses nibards. Je ne sais pas d'où ça venait mais à chaque fois qu'elle en parlait ainsi elle rigolait. Cela venait surement d'une plaisanterie d'un de ses copains ou d'une de ses copines.

Septembre avait toujours plus que nous, plus grande, de plus longues jambes, des cheveux plus blonds. Sa poitrine était pareil. Elle eut besoin d'un soutien-gorge dès le premier jour où elle a eu ses seins. Et pendant un certain temps je me demandai s'ils cesseraient de grossir. Sa poitrine était grosse et pleine et elle aimait porter des soutien-gorge qu'il la faisait paraître encore plus grosse. Elle s'habillait toujours de façon à montrer son décolleté.

J'eus une belle vue de sa poitrine quand j'entrai dans sa chambre. Des mains tenaient ses seins par-dessous. Le joueur de football était allongé sur le dos dans son lit. Septembre était sur lui et lui tournait le dos, son cul empalé sur sa queue.

L'homme à l'énorme queue était devant elle, pilonnant sa chatte avec son gros gourdin. L'aînée de mes filles était prise en double. Je restai pétrifiée sur le palier de sa porte. Elle était rudement baisée mais elle semblait aimer chaque seconde.

L'homme devant elle semblait s'amuser aussi. Il la traitait de pute et de salope en lui disant qu'il aimait bourrer sa chatte avec sa grosse bite.

Je ne fis pas attention aux mots. La petite chatte rasée de Septembre était tendue autour de la queue épaisse. Ses petites lèvres gonflées et humides étaient distendues par cet énorme morceau de viande. Et il en profitait pleinement en donnant des puissants et profonds coups de reins. Des petits grognements échappaient de sa bouche quand il conduisait sa bite tout au fond.

Je regardai l'action pendant un long moment. Il la baisait avec des petits coups puis il alternait avec des plus longs. Ensuite, il retirait presque entièrement sa bite pour la remettre tout du long jusqu'à que ses couilles tapent ses cuisses.

- Tu aimes ma grosse queue n'est-ce pas salope?

- Euhhh.... Euuuhhh...oui.

- Dis-moi que tu l'aimes petite pute.

- Moi... Ohhhh...Je...l'aime.

Elle avait du mal à parler quand la queue la pénétrait complètement. Je vis le gars étirer sa chatte encore et encore tout en lui disant de le supplier pour qu'il la baise encore plus fort.

Le joueur de football, lui, lui demanda de bouger son cul sur sa bite. Il lui dit qu'il allait remplir son cul de sperme. Il donnait de petits coups de reins comme si ce n'était pas son travail de la baiser. Il essayait de la garder empalé sur sa bite pendant qu'elle se faisait défoncer la chatte.

L'homme devant elle saisit ses chevilles et écarte ses jambes en disant :

- Il faut que je vienne tous les jours pour baiser cette petite chatte.

Septembre soupira en acquiesçant et en bougeant son cul et sa chatte sur les deux bites qui agressait son corps.

Elle sembla savoir ce qui allait arriver. Elle avança subitement sa chatte à la rencontre de la grosse bite. Le propriétaire de celle-ci jeta sa tête en arrière et laissa échapper un long gémissement. Puis il tomba en avant et elle eut un petit rire quand il l'embrassa. Il la remplissait de sperme et je pouvais voir un peu de foutre couler de la chatte de ma fille alors que le membre encore dur était toujours en elle.

Enfin le gars recula. Septembre ouvrit la bouche, un miaulement de satisfaction sur ses lèvres quand il retira sa bite. Ses petites lèvres rouges et humides restèrent ouvertes, du sperme s'en échappant. Elle leva les yeux et lui sourit.

En regardant la scène, je pus sentir mon propre jus couler à l'intérieur de ma cuisse. Ma fille agita son cul sur la bite encore à l'intérieur d'elle. Elle sourit et dit en me regardant :

- Mike, je te présente ma mère.

Je ne savais pas depuis quand elle avait réalisé que j'étais là. Mais Mike se dirigea vers moi, me poussa à genoux. Sa bite dégoulinait de sperme. Il fut clair pour de savoir ce qu'il voulait. Il se tenait juste à quelques centimètres de ma tête.

Je léchai le mélange de sperme et de jus de ma fille, puis je me mis à sucer sa queue. Quand il se retira, j'entendis un grognement et je vis l'autre gars se vider dans le cul de Septembre.

Celle-ci me regarda et dit :

- Maman, tu dois expérimenter quand David éjacule. C'est si fort qu'on le sent bien à l'intérieur. Ça fait un peu mal mais c'est bon.

David bomba le torse sous ce commentaire. Il bougea et murmura quelque chose à l'oreille qui la fit rire à nouveau. Puis il de dégagea de dessous elle et se dirigea vers l'endroit où j'étais encore à genoux. Septembre resta couchée sur le dos, les jambes vulgairement écartées, du sperme coulant de sa chatte et de son cul. Je m'étais résignée à mon nouveau rôle, j'étais la salope de nettoyage. Donc je léchai et rendit propre une troisième queue avant de ramper vers le lit.

Docilement le léchai et avalai le sperme dans la chatte et le cul de ma fille Septembre. Il y en avait beaucoup. Plus j'aspirai, plus il en venait. Quand enfin, je ne sentis plus le goût du sperme, je commençai à reculer.

- Où crois-tu aller petite salope?

Septembre me parla avec un ton que je n'avais jamais entendu auparavant chez elle. Elle continua :

- Tu auras terminé quand je te le dirais. Continue à lécher.

Pendant de longues minutes, les deux gars me regardèrent glisser ma langue dans son cul et sa chatte, lécher son clitoris jusqu'à ce qu'elle attrape ma tête pour l'appuyer contre sa chatte et jouir.

Je pensais que j'allais être remerciée pour l'avoir amenée à l'orgasme. Mais ce fut bien différent.

- A quatre pattes sur le lit! Commanda-t-elle.

Elle prit une brosse à cheveux et commença à me fesser avec. Elle frappa mon cul encore et encore. Les gars vinrent pour presser et pincer mes seins et pour mettre leur bite dans ma bouche. La brosse à cheveux avait une grosse poignée. Septembre, ayant fini la fessée, la tourna et poussa la poignée dans ma chatte ouverte. Elle dit :

- Tu es la salope de la maison, tu es l'esclave de la maison.

Tout en continuant de me baiser avec la brosse elle ajouta :

- A partir de maintenant, tu appelleras tout homme « Maître » et toute femme « Maîtresse ». Tu suivras tous les ordres sans hésitation. Ne me donne pas de raison de te punir salope.

Sévère elle continua :

- je t'attacherai dans l'arrière-cour et des chiens te baiseront pendant que je fouetterai tes seins. Je t’enchaînerai à un urinoir dans des toilettes publiques pour homme et tu offriras ta bouche à tout homme qui voudras te pisser dessus. Je pense à des tortures pour te punir dont tu n'as pas l'idée. Et tu n'auras droit à aucune bite.

Aussi choquants que furent ces mots, je pris conscience d'un nouvel élément. Ma déchéance était de plus en plus grave. J'étais dominée non pas par une mais par deux de mes filles. Les rôles dans la maison étaient clairement inversés. Je n'étais plus la maîtresse de maison.

C'était une chose, mais je me dis que j'allais retirer du plaisir de la douleur. Mais pour le sexe j'étais à leur merci. J'étais en compétition avec deux jeunes corps. Elles pourraient baiser beaucoup mieux et plus longtemps que moi, avec leur petite chatte serrée et leurs seins plus fermes. Soudainement je fus perdue.

- Oui Maîtresse. Répondis-je docilement.

Elle me dit de me rafraîchir et de les rejoindre en bas. Puis elle partit en tenant une bite dans la main. L'autre gars la suivit.

Je retirai la brosse à cheveux de ma chatte et j'allai dans la salle de bain. Je m'assis en commençant à jouer avec mon clitoris. J'avais vu tout le monde jouir dans la maison donc je décidai d'en profiter un peu moi aussi. Mais la porte s'ouvrit et Janvier entra en trombe. Elle me gifla en disant :

- Qu'est-ce que tu es en train de faire salope? Tu n'as plus le droit de jouer avec ton corps, ou de jouir sans ma permission. Est-ce clair?

- Oui. Répondis-je doucement.

- Oui qui? Cria Janvier.

Elle attrapa mon mamelon et le tordit. La douleur descendit dans mon clitoris.

- Oui Maîtresse. Réussis-je à dire.

Janvier me laissa et je pus me rafraîchir. Je pensai aux événements de ces deux derniers jours. J'étais passée d'une femme au foyer à salope pour mes filles adolescentes et des hommes noirs et blanc. Je fus excitée par cette pensée mais mon cerveau n'allait pas me laisser me soumettre entièrement. Mes voisins allaient lancer des ragots sur ces visites d'hommes noirs. Je devais penser à Jack. Étourdie, je descendis dans le salon.

Un homme était dos à moi, regardant par-dessus le dossier du fauteuil. Je ne pus voir qui était dedans mais je pensai à janvier car je ne la voyais pas. Septembre était assise dans le canapé entre les deux hommes noirs, James et Sam. Ils tripotaient ses seins et son cul. Elle avait une queue dans chaque main et les caressait de haut en bas avec amour. Je vis David sur la causeuse. Mike était l'homme regardant par-dessus le fauteuil.

Quand je contournai ce meuble, j'eus un grand choc. Jack, mon mari, était assis nu dedans. Janvier était assis sur un bras du fauteuil, jambes écartées et mon époux jouait avec sa chatte. Avril, la seule encore habillée, était à genoux en train de sucer la bite de son père. Janvier sourit quand elle vit mon étonnement. Elle m'expliqua :

- Papa a commencé il y a quelques semaines. Il nous a appris le sexe une par une. Après en avoir pris une, nous recrutions la suivante. J'ai été la première.

Jack me regarda et me dit :

- Tu es la dernière. Messieurs, votre vide-couilles est prête et disposée à satisfaire tous vos besoins. N'est-ce pas salope?

- Oui Maître. Dis-je.

Jack s'adressa aux hommes :

- Pas la peine d'être gentille avec elle. Utilisez cette chienne comme bon vous semble.

Quand je me retournai, James était allongé sur le sol, sa bite pointant vers le haut. Je l'enfourchai dos à lui mais il me fit faire demi-tour et me poussa vers le bas.

Je hurlai car j'eus l'impression que sa queue me déchirait. Il commença à bouger et ma chatte mouilla mais j'avais encore mal à chaque fois qu'il poussait. Je fermai les yeux, mes mains posées sur sa poitrine alors qu'il me pilonnait de plus en plus. Soudainement il cessa, et la douleur s'estompa. J'eus l'impression d'être une simple poupée de chiffon.

J'ouvris les yeux pour me rendre compte que finalement il avait enterré toute sa bite en moi. Je baissai les yeux, étonnée de voir mes petites lèvres aussi distendues autour de sa queue. J'étais bien baisée mais mon cerveau me rappela que je ne pouvais pas jouir.

James commença à me monter et me baisser sur sa queue épaisse. Puis je sentis une main dans le dos qui me poussa en avant. Une bite se présenta sur mon trou du cul et poussa tandis qu'un autre homme avançait vers mon visage. Je compris que j'allais être prise par trois hommes à la fois.

L'homme derrière moi appuya jusqu'au moment où sa bite pénétra mon cul. La douleur reprit quand il commença à limer mon cul avec ardeur. J'ouvrit les yeux pour voir Sam assis sur le canapé. Je réalisai que Mike était près de mon visage. J'aurais eu vraiment peur s'il avait été dans mon cul.

Enfin, la douleur s'estompa de nouveau et je découvris que j'étais vraiment excitée. Toute la douleur subie aujourd'hui m'avait fait me sentir en vie et elle avait augmenté mon plaisir. Trois gars me baisèrent en même temps, utilisant tous mes trous dont je dispose.

Ces hommes se servirent de moi comme mon mari leur avait demandé. Ils me baisèrent pour leur propre plaisir mais ne s'occupèrent pas de moi. Ils utilisèrent ma bouche, mon cul et ma chatte comme de simples trous à baiser.

Pour leur plaisir, ils giflèrent mes fesses et tripotèrent mes seins. Ils pincèrent aussi mon clitoris et mes tétons tout en conduisant leur bite dans et hors de moi. Je salivai et ma chatte coula le long des queues.

Etant donné que les gars ne pensaient qu'à eux-mêmes, ils n'étaient pas coordonnés. Ils me pénétraient tous à leur propre rythme. Je fus remplie comme je ne l'avais jamais été auparavant. Puis tout d'un coup je me sentis inondée de partout. Les trois hommes éjaculèrent presque simultanément.

J'avais été baisée pendant vingt bonne minutes mais cela ne m'avait semblé durer que quelques secondes. Mon corps voulut exploser de plaisir, mais je me battis contre cet orgasme qui montait.

J'avalai une bonne dose de sperme alors qu'une autre était déposée dans mon cul. Ma chatte remplie, je fus jetée de côté comme une serviette sale. Septembre suçait la dernière bite de libre. Sam lui caressait les cheveux pendant que sa tête montait et descendait sur son membre.

Janvier chevauchait la bite de son père tandis qu'Avril lui léchait les couilles. Les trois autres hommes s'alignèrent et je dus ramper jusqu'à eux. Pendant que je nettoyai leur bite avec ma langue, je regardai mon mari baiser ma fille.

Puis ce fut le tour d'Avril de monter son père. Elle gémit quand la queue glissa en elle :

- Oh papa, j'aime ta bite.

Elle enroula ses bars autour de lui et l'embrassa dans le cou.

Je suçai la prochaine queue qui se présenta sans regarder son propriétaire. J'avais les yeux rivés sur mon mari qui baisait sa fille comme un merveilleux amant. Je fus un peu jalouse mais je réalisai que je ne pouvais rien y faire. Je levai les yeux. C'était la bite de Sam que j'avais dans la bouche. Il vida ses couilles dans ma gorge.

Janvier embrassa Jack alors qu'il baisait sa sœur. Il pinça, aspira et mordit ses mamelons tandis qu'elle titillait son clitoris. Avril cria qu'elle jouissait sur la bite de son papa. Mon mari déchargea son foutre en elle et Janvier s'effondra sur son père après s'être provoquée son propre orgasme.

Je commençai alors mon travail de salope nettoyeuse sans que l'on me le dise. Je suçai chaque bite et léchai chaque chatte jusqu'à ce que tout soit propre. Je ne laissai aucune trace de sperme après avoir rampé près de chaque personne.

La plupart des hommes s'étaient bien dépensés mais Un moment plus tard Jack baisa le cul de janvier et Sam se vida dans Septembre. Je retournai nettoyer, lécher mes filles puis sucer la bite et les couilles de Sam. J'étais sur le point de m'occuper de Jack quand Avril me devança. Elle suça et lécha la queue de son père pendant que les autres hommes partirent. Ils embrassèrent chacune des filles pour leur dire au revoir et ils saluèrent Jack en le remerciant.

Je m'assis sur le sol, un sentiment de vide en moi. J'avais beaucoup de questions et je ne pouvais attendre d'être seule avec mon mari. Je demandai la permission de partir pour prendre un bain. Janvier me gifla en disant :

- Salope stupide. Tu ne nous parles pas quand nous sommes occupés. Tu attends ou tu demandes à quelqu'un de nous qui ne l'est pas.

Elle me gifla de nouveau puis m'envoya à l'étage pour me laver. Je pris un bain et allai à ma chambre. Je commençai à entrer dans le lit quand je m'aperçus que quelqu'un d'autre était à ma place avec Jack. J'étais épuisée et excitée, je voulais jouir, je voulais dormir. Je voulais demander à mon mari comment tout cela avait pu arriver. Au lieu de cela, je me rendis compte que mon calvaire n'était pas terminé. Janvier vint me voir et me dévisagea :

- Qu'est-ce que tu fais ici petite pute? Ce n'est plus ta chambre. Attends-moi dans le couloir à genoux.

Je la regardai aller faire un bisou à son père pour lui souhaiter bonne nuit. Elle lui caressa la bite et il mit sa main dans sa chatte. Avril était couchée avec mon mari et lui suçait son membre. Janvier sortit de la chambre, m'attrapa par les cheveux et me tira dans le couloir. Elle s'arrêta devant une pièce dans le couloir. Il s'agit à la fois, d'une petite chambre d'ami, d'un bureau ou d'une salle de couture. Mais nous l'appelions simplement la pièce supplémentaire.

- C'est ta chambre maintenant. Dès demain tu déplaceras toutes tes affaires ici. A partir de maintenant c'est l'une de nous qui dormira avec papa. Ce soir tu vas lécher ma chatte jusqu'à ce que je m'endorme puis tu pourras coucher sur le sol.

Chacune de mes filles avait sa propre chambre mais elles avaient pris des dispositions pour que chaque soir, l'une d'elle dorme avec mon mari. J'allais être mise dans une petite pièce au fond du couloir, à peine plus grande qu'un placard. Mais je devais être formée pour mon nouveau rôle. Je léchai la chatte de ma fille jusqu'à ce qu'elle me repousse. J'entendis une profonde respiration qui m'indiqua qu'elle s'était endormie. Alors je dormis sur le sol.

Le lendemain matin, quand je me réveillai, j'étais courbaturée et endolorie. Mais ma chatte et mon cul étaient en pleine forme. Mes trous étaient revenus à leur taille normale. Et ils n'étaient pas douloureux.

Toutefois, j'avais mal ailleurs. Ma joue me brulait où Janvier m'avait giflée. Mes fesses étaient douloureuses aux endroits où étaient tombés les coups de ceinture. Et j'avais des marques de morsures et des suçons sur mes seins. Et j'étais courbaturée d'avoir dormi sur le sol dur.

Janvier n'était pas là quand je me réveillai. Je vérifiai les autres chambres et je vis Septembre encore endormie. Jack n'était pas là mais à ma place habituelle Avril dormait profondément. Je pris doucement une nuisette en satin dans ma garde-robe et je descendis au salon. Je trouvais les membres manquants de la famille dans la cuisine. Janvier était vêtue d'un grand tee-shirt et Jack était habillé pour le travail.

Il me traita comme une esclave quand j'entrai dans la cuisine :

- Salope, à partir de maintenant, tu devras être la première levée. Tu t'occuperas de tout et tu t'assureras que nous n'ayons besoin de rien. Tu nous laveras quand nous nous doucherons et tu nous sécheras. Ensuite tu nettoieras. Assure-toi que le ^petit déjeuner soit prêt quand nous descendons. Comprends-tu?

- Oui Maître. Dis-je faiblement.


- Bon, je t'ai laissé une liste de règles sur la table. Nous les changerons ou nous en ajouterons au fur et à mesure. Il est évident que tu seras punie pour toute hésitation ou désobéissance. De plus les filles ont imaginé un système de récompense. Tu pourras peut-être parfois être autorisée à te caresser et même peut-être à jouir. Je pensai que te laisser déguster notre sperme ou jus était une récompense suffisante pour toi mais elles ont d'autres idées. La règle est simple. Si tu assures un service exceptionnel tu gagneras des journées de repos. Tu pourras choisir une des filles pour te remplacer durant un jour et tu pourras l'utiliser à ta guise. Je ne crois pas que tu gagneras beaucoup de jours mais Avril estime que cela peut te donner l'envie de bien faire.

Je me tenais les mains croisées devant moi, la tête baissée. J'entendis plus que je ne vis Jack s'appuyer contre le comptoir et défaire son pantalon.

Sachant que l'hésitation est un de mes plus gros problèmes, je tombais à genoux et je me déshabillai. Je rampai jusqu'à Jack et je pris sa bite dans ma bouche. Je suçai sa queue et léchai ses couilles jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche. J'avalai son sperme et je restai en place, à genoux, tête baissée, regardant le sol, jusqu'à ce que je l'entendisse partir. Je voulais être une bonne fille. Janvier dit :

- Tu ferais mieux d'emmener ton café à l'étage salope. Il faut que tu aménages la pièce supplémentaire, que tu nettoies la maison et que tu me donnes une douche quand j'arriverai. Ceci dit tu dois mémoriser les règles. Si tu ne les connais pas et que tu n'en respectes pas une, je te promets que tu seras vraiment désolée.

Je pris cela comme une permission de me lever. Je pris une tasse de café et j'attrapai ma nuisette. Puis je montai les escaliers, dépitée de perdre ma chambre mais excitée de mon nouveau rôle au sein de la famille.

J'emballai mes vêtements quand Janvier arriva et souleva son tee-shirt. Elle ne portait rien en dessous. Je me suis mise à genoux et je rampai vers elle.

J'enterrai ma langue entre les petites lèvres de sa chatte, puis j'effleurai son clitoris et je le titillai jusqu'à ce qu'elle eût un orgasme. Puis elle me repoussa et tira son tee-shirt vers le bas. Elle s'assit sur le lit et commença à prendre mes vêtements un par un.

Elle en choisit certains et déclara qu'ils étaient à elle maintenant. Elle en jeta sur le sol en me disant de les jeter. Elle fit une autre pile et me dit qu'elle allait les ajuster pour moi. La quatrième pile, la plus petite était la garde-robe qu'elle trouvait appropriée pour moi. Il n'y avait pas grand-chose dedans, quelques jupes et quelques hauts, quelques robes et un peu de lingerie. Tous mes soutien-gorge et mes culottes étaient dans la pile à jeter.

Quand elle alla dans la douche, je la suivis. Je la lavai des pieds à la tête. Puis je rasai ses jambes et sa chatte afin que sa peau soit bien lisse. Enfin je la séchai puis je l'enduis de lotion.

Je la suivis dans mon ancienne chambre. Elle prit une jupe dans le tas de vêtements qu'elle voulait ajuster et un haut dos nu dans l'autre pile. Elle me dit que c'était mes vêtements pour la journée. Avant de me laisser mettre la jupe elle la coupa environ de cinq centimètres et elle tira sur la couture. Si bien que ma jambe était exposée presque jusqu'à la taille et que mon cul était à peine couvert. A chaque fois que je me baisserai, j'exposerai mon cul.

Janvier revint vers moi quelques minutes plus tard et se mit à côté de moi. Elle portait aussi une jupe et un dos nu. Elle fit un commentaire sur le fait que nous semblions deux sœurs et elle se mit à rire. Je nous regardai dans le miroir et je me rendis compte qu'elle avait raison. Nous nous ressemblions comme deux sœurs. Nous avions la même taille mais où j'avais des seins elle n'avait presque rien. A part d'autres détails comme la couleur de nos cheveux nous étions presque identiques.

Elle me dit que nous allions sortir. Avant de partir, elle me tendit un collier et me dit de le mettre. C'était comme un collier de chien. Il était large, en cuir noir, avec un anneau en acier devant. Je mis ce collier. Elle me jeta mon sac à main ainsi que mes clés.

Une demi-heure plus tard, nous étions dans le centre commercial. Je m'assis tranquillement pendant que Janvier essayait des chaussures. Elle me demanda :

- Que pense-tu de celles-ci?

- elles sont bien. Combien valent-elles? Dis-je.

- Putain je m'en fous, c'est toi qui paie, pas moi. Dit-elle sèchement.

Puis elle réfléchit et ajoute :

- Mais attends un peu, je vais voir si je ne peux pas avoir un rabais.

Janvier demanda à parler au gérant. Je les vis discuter pendant une minute. Puis elle me fit un signe. Je me levai et je les suivis elle et l'homme. Nous passâmes un rideau pour entrer dans la réserve.

- A poil! Me dit-elle.

Hébétée et humiliée devant le jeune gérant je me déshabillai. Janvier dit :

- Un rabais de 50 % et elle suce votre bite. Ou alors elle vous laisse la baiser et c'est gratuit. Ok?

- Je peux tout faire? Demanda le jeune manager.

- Tout. Il suffit juste de ne pas laisser de traces, nous l'avons assez marqué hier soir. Répondit ma fille.

Puis elle se mit à rire et tendit la main et pinça un de mes mamelons. Elle le tordit jusqu'à ce que j'aie le souffle coupé. Le gars attrapa mes tétons et les tordit lui aussi comme s'il essayait de régler une radio.

Je voulais en finir rapidement donc je tombai à genoux et défit le pantalon du jeune homme pour pécher sa queue. Pour un maigrichon, il avait une bite d'une taille décente, pas tellement épaisse mais assez longue. Malgré moi, j'eus plaisir à avoir une bite d'étranger dans ma bouche. Quelques instants plus tard il me tira vers le haut et tripota mes seins assez brutalement. Puis il commença à me doigter. Il était brutal, inexpérimenté et maladroit. Mais je devins humide à l'idée qu'il allait me baiser. Il me plia sur une pile de boite est essaya de pénétrer ma chatte avec sa bite. Après plusieurs tentatives, je glissai ma main entre mes jambes et je le guidai en moi. Il commença immédiatement à me pistonner.

Il se passa deux minutes avant qu'il ne grogne et me remplisse de sperme. Et il inonda bien ma chatte. Je pensai que ce gamin n'avait jamais dû gicler de sa vie. Il éjacula pendant plus de temps qu'il ne me baisa. Quand il sortit sa queue, je sentis son foutre couler le long de mes jambes. Alors que le garçon était sur le point de se rhabiller, Janvier lui dit :

- Elle n'a pas fait grand-chose. Je pense que vous méritez un petit extra.

Le jeune homme se contenta d'acquiescer. Je me mis de nouveau à genoux. Après avoir nettoyé sa bite et ses couilles il était de nouveau très dur. J'appréciai son endurance. Il me baisa le visage pendant un peu plus longtemps et se vida dans ma gorge.

Je le finis puis je remontai son caleçon et son pantalon en me demandant si je venais de prendre sa virginité.

- Habille toi et attends-moi dehors, nous avons d'autres courses à faire. Dit Janvier.

Elle sortir avec un sac plus grand que prévu. Elle le laissa tomber devant moi et me dit de le porter. Elle avait été bonne négociatrice. A mes frais, il y avait deux paires de chaussures, un sac à main, une ceinture et des bas. La note était de 30 euros. Je fus fière d'avoir été en mesure d'obtenir autant pour un seul échange. Je me demandai combien d'argent j'aurais pu gagner au fil des années en employant la même méthode.

Ce scénario se répéta dans quatre autres magasins. Dans un, je léchai une vendeuse jusqu'à ce qu'elle ait plusieurs orgasmes. Dans un autre, je fus prise par le directeur et son adjoint, un dans ma chatte et un dans ma bouche jusqu'à ce qu'ils se vident en moi.

Un grand black donna un sac à Janvier et lui dit de le remplir pendant qu'il me baisait dans son bureau. Quand elle entra dans celui-ci avec le sac rempli de CD, j'étais malheureusement sur le point de jouir. Je retins mon plaisir et reçu une dose de foutre supplémentaire par le black.

J'avais du sperme séché à l'intérieur de chaque jambe et mes chaussures étaient imbibées. Je nettoyai la bite de l'homme avant qu'il ne la range. Il sortit du bureau avec Janvier alors que je me rhabillai pour un énième fois de la journée. Quand je les rejoints, Janvier a un deuxième sac et il est aussi empli de CD. Elle me dit :

- Paie le!

Après avoir payé je fis le calcul dans ma tête. Nous devions avoir pour près de 200 euros de marchandises, je devais avoir dépensé moins de 100 euros et nous avions dix sacs remplis de marchandises.

Il me fut difficile de tout transporter mais je m'en sortis. Il fut clair que j'étais sous les ordres de Janvier et que je faisais ce qu'elle demandait. J'étais une salope et une esclave et j'eus le sentiment que ce serait pour le reste de ma vie. Intérieurement je ris en m'imaginant avoir 80 ans et sucer une bite pour obtenir un rabais pour Janvier.

A suivre...

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