mercredi 2 janvier 2019

La panne

La panne - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Je m’appelle Thierry. Avec ma femme Véronique et notre bébé de 8 mois, nous traversions la France au mois de décembre et nous sommes tombés en panne de voiture dans une région que je ne nommerai pas.

Nous étions dans la France profonde et il était 21 heures : Impossible de trouver quelque chose d’ouvert. 

Avec la neige et le froid, nous fumes heureux de voir des lumières dans une ferme toute proche. Un homme d’une cinquantaine d’année vint nous ouvrir la porte. Il nous fit entrer et on se retrouva dans une grande pièce où 3 autres hommes jouaient aux cartes en buvant. Le propriétaire était grand et avait l’air autoritaire, les 3 autres étaient aussi de solides gaillards : la quarantaine et visiblement un peu éméchés. 
Le maître des lieux regarda bizarrement Véronique quand elle retira son manteau. Il faut dire que ma femme, qui vient d’accoucher, a une poitrine proéminente qui lui permet d’allaiter notre fils. Il se présenta ainsi que ses amis :

- Je m’appelle Victor, et voici René, Germain et Robert.

Après nous être présentés à notre tour, il nous fit asseoir au bout de la table pour nous servir quelque chose de chaud. Il mit les couverts et alla dans la cuisine chercher à manger. Je suis allé voir s’il voulait de l’aide et au moment où j’allais entrer dans la cuisine, je le vis verser une poudre dans une assiette dont le bord était ébréché. Revenu dans la pièce principale, l’homme apporta les deux assiettes et posa devant moi celle dont le bord était légèrement cassé. Le vin coula à flot pendant le repas et je m’arrangeai pour que l’on ne me voit pas verser doucement ma soupe par terre où le chien de la maison fut trop content d’avoir quelque chose à lécher.

Durant le repas, les paysans discutèrent avec ma femme et la regardèrent comme s’ils n’avaient pas vu de femme depuis longtemps. Le vin aidant, Véronique avait les joues roses et je vis bien qu’elle n’était pas dans son état normal.

Pour ma part, je feignis d’être très fatigué et je me mis à bailler. Je fis semblant de tituber. Notre hôte me dit de le suivre jusqu’à la chambre qu’il nous prêtait à l’étage. Véro, quant à elle, devait changer le bébé avant de me rejoindre. 

Après avoir remercié le propriétaire de la ferme, je fis semblant de m’écrouler sur le lit et quand l’homme fut reparti, je me relevai. Et, en chaussettes, je redescendis l’escalier. 

Véronique changeait notre fils sur la table et les hommes étaient autour d’elle. Notre hôte s’approcha et lui dit :

- Et bien ma p’tite dame, vous êtes bien jolie... Avec des seins pareils, votre fils doit apprécier de vous téter, non ?... Je pourrais y goûter moi aussi ?... Allez... Faites nous voir...

Alors que les paysans commencèrent à laisser leurs mains se balader, Véronique cria pour m’appeler. Mais Victor ricana en lui disant :

- Tu peux toujours crier petite bourge. Avec le somnifère que j’ai refilé à ton mari, il va dormir un moment crois-moi... Et puis je te préviens, si tu n’es pas sage avec nous, je vous flanque dehors, toi et ton môme... Alors fais ce qu’on te dit ou alors ça va barder... Fais nous voir tes nibards !

Ma femme recoucha notre fils dans son couffin. Les hommes s’emparèrent d’elle et l’emmenèrent de force vers le canapé. Là, elle fut déshabillée jusqu’à ce qu’elle apparaisse en slip et soutien-gorge. Celui qui était derrière elle lui dégrafa son soutif et tira sa culotte vers le bas avant qu’elle ne réagisse.

Véronique se retrouva toute nue devant les 4 hommes et je pus constater que les seins de ma femme avaient vraiment changées depuis son accouchement (du 100 bonnet B). Les hommes sifflèrent et commencèrent à la palper, lui soupesant la poitrine, tirant ou pinçant les tétons, malaxant ses fesses et essayant de lui caresser le minou. 

Les grosses mains de Victor s’insinuèrent entre ses jambes et ma femme cria quand ses doigts entrèrent dans sa chatte. Elle essaya de se dégager mais l’autre était trop fort. Il souleva ma femme au bout de ses doigts et celle-ci gémit. Il rigola en disant :

- Alors, on mouille à ce que je vois... Tant mieux, avec ce je vais te mettre, t’as intérêt...

Les hommes se déshabillèrent et je vis que leurs sexes étaient déjà en érection. Celui de Victor semblait très impressionnant, au moins 22 ou 23 cm et très épais. Les autres étaient plus petits certes mais de bonne taille quand même.

Véro fut assise et dut sucer les queues qui se présentaient devant elle. Ma femme fit la grimace quand Victor lui présenta son mandrin, mais une gifle lui fit ouvrir la bouche et l’autre en profita pour faire entrer sa bite le plus loin qu’il put.

Véronique eut un haut le cœur mais son violeur s’en ficha et utilisa sa bouche comme une chatte, allant et venant. Ensuite, ma femme fut mise à genoux sur le canapé et Victor, en qualité de propriétaire fut le 1er à la pénétrer.

Elle ouvrit la bouche pour chercher de l’air quand le sexe monstrueux passa entre ses petites lèvres. Germain monta sur le canapé et se fit sucer pendant que les autres malaxaient ses gros seins. Victor prit son temps mais il réussit néanmoins à rentrer 10 bons cm de sa bite. Après quoi il saisit ma femme par les hanches et lui imprima des va et vient de plus en plus rapide, s’enfonçant un peu plus à chaque fois.

Au bout de 5 minutes, la totalité de son sexe disparut dans la chatte de Véronique et cette dernière couina comme elle ne l’avait jamais fait avec moi. L’autre s’en rendit compte car en lui donnant des claques sur les fesses, il lui dit :

- Alors salope, t’as l’air d’aimer ça... Tu ne t’es jamais faite bourrer par une bite comme ça, hein ?... Je pari que ton mari en a une beaucoup plus petite non ?... Tu réponds dis ?

Entre deux gémissements, Véronique lui répondit :

- C’est vrai... Vous êtes très gros... Plus gros que mon mari... Aaaahhhh.... Oooouuuuuhhh...

L’autre accéléra ses mouvements, se crispa et envoya tout son sperme au fond du ventre de ma femme. Celle-ci gémit et dès que Victor se retira, ce fut René qui prit la place. Germain, toujours devant Véronique lui ordonna d’ouvrir la bouche, s’approcha et lui éjacula dans le gosier. René se démena dans le vagin élargi de ma femme et éjacula à son tour. Puis ce fut Robert qui la retourna, lui attrapa les chevilles et remonta ses jambes à la verticale. Il la pénétra et fit quelques aller-retours puis il ressortit, mit son sexe sur l’anus de Véronique qui le supplia :

- Non... S’il vous plait...Pas par là... Je l’ai jamais fait... S’il vous plait... Non....

Robert demanda de l’aide aux autres qui immobilisèrent ma femme en lui tenant les jambes. Puis l’homme introduisit son sexe dans le cul de Véro qui cria. Le paysan lui dit de se taire et lui mit une claque. Et il se mit à la pistonner en faisant des commentaires salaces. Il éjacula dans le cul de ma femme en riant tandis que celle-ci pleurait.

Victor s’approcha pour se faire sucer. Ensuite il s’assit sur le canapé et demanda aux autres de déposer ma femme sur sa bite dressée. Véronique fut de nouveau empalée sur ce pieu énorme mais dans le cul cette fois-ci. Victor savoura le viol de ce petit cul.

C’est à ce moment-là que notre bébé se mit à pleurer. Ma femme leur dit qu’il avait faim. Alors Robert alla chercher le petit dans son couffin et lui présenta. Elle le prit, le posa sur son sein et notre fils se mit à téter, indifférent au fait que sa mère était en train de se faire enculer.

René remonta sur le canapé pour se faire sucer et éjacula dans la bouche de Véronique au bout de quelques minutes.

Notre fils ayant fini son repas, Germain le prit dans ses bras, lui fit faire son rôt et le recoucha pendant que Victor se déchaînait sous ma femme, la soulevant de 15 cm à chaque coup de reins. Il râla en se vidant de nouveau.

Mais ma pauvre femme n’en avait pas fini car Robert lui remonta les jambes et lui mit sa bite dans la chatte, la prenant en sandwich.

Je restai encore 30 minutes à regarder ma femme se faire sodomiser, prendre en sandwich ou bien avaler le sperme des pipes qu’elle faisait, puis je remontai sans faire de bruit. Je me recouchai et j’attendis patiemment encore 2 bonnes heures avant de voir la porte s’ouvrir et Véronique venir se coucher. Elle se tourna et s’endormit presque tout de suite.

Le lendemain matin, nous nous levâmes en même temps et quand je demandai à ma femme si elle s’était couchée tard, elle me répondit non. Pourtant, elle avait des cernes sous les yeux.

Nous avons repris nos affaires et Victor prit en remorque notre voiture avec son 4x4, puis en nous laissant chez le garagiste le plus proche, il nous invita à repasser quand on le voudrait...

Là-dessus, il s’adressait surtout à Véro qui baissa les yeux et ne répondit rien.

FIN

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