Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
La surprise de ma fille Janvier.
Quelques heures plus tard, je retournai à la maison. Il y avait une ruelle derrière et j'y garai ma voiture dans une des deux places de parking qui nous sont réservées.
Une palissade entoure notre arrière-cour. Et l'allée est assez large donc le stationnement est autorisé sur un côté. Une voiture que je n'avais jamais vue était garée dans cette allée, près de notre maison. Une fois passée, je n'y pensai plus, les voisins et les visiteurs se garaient régulièrement là.
J'entendis des bruits étranges dans la maison mais je n'y fis pas plus attention que ça. Les filles avaient des loisirs variés et larges et j'avais déjà entendu des choses inattendues de leurs différents amis.
Mais la scène qui m'accueillit quand je franchis la porte me fit presque tomber mes sacs. Il y avait quatre hommes nus dans ma maison.
Je restai calme le temps de poser mes sacs et je me préparai à crier. Janvier était baisée par deux hommes. James avait enterré beaucoup plus de sa queue en elle que j'avais pu prendre. Et il la baisait durement. Elle était à quatre pattes sur ses mains et ses genoux. Un autre homme faisait coulisser sa bite dans sa bouche.
Quand ma fille me vit, elle arrêta de sucer le membre pour sourire et me dire :
- Salut maman.
Puis elle retourna au travail sur la queue devant elle.
Ma volonté de crier fut annihilée par ma confusion. Il était clair que Janvier profitait de cette activité. Et James avait un grand sourire sur son visage, évidemment ravi que cette petite chatte serrée de 18 ans puisse prendre presque toute sa queue.
Un autre gars que je ne connaissais pas était à quelques mètres et il me regardait tranquille. Sa queue était humide et brillante. Je supposai qu'il avait déjà profité de la bouche ou de la chatte de Janvier il n'y a pas longtemps.
Même flasque et pendante, il avait une grosse bite, plus grand que ce que j'ai vu, y compris celle de James. Malgré le choc et l'indignation qui me traversèrent, je ne pus cesser d'admirer cet engin. Je me le représentai en pleine vigueur. Cette pensée me fit vibrer.
Cet homme était bronzé jusqu'à la taille. Ensuite la peau était très blanche et le bronzage recommençait au niveau des cuisses jusqu'à ses pieds. Cette bande blanche faisait drôle sur lui mais je n'y pensai que plus tard. J'étais pétrifiée par ce que je voyais entre ses jambes. Je crois qu'à ce moment je léchai mes lèvres d'envie.
L'homme qui fourrait sa bite dans la bouche de ma fille était grand. Je le reconnus. Enfant il jouait au football quand Septembre était pom-pom girl. Je remarquai le contraste. Ma fille avait une bite blanche à une extrémité et une bite noire à l'autre.
Sam était assis nu sur le canapé. Il sirotait un thé glacé. Il me fit un signe. Mais ce ne fut pas qu'un signe. Par ce geste, il m'indiquait sans paroles de venir m'occuper de sa queue.
Hébétée, je m'avançai vers lui. Son doigt remua de haut en bas. Il me dit ainsi d'enlever ma robe. Je voulais dire quelque chose, je voulais vraiment. Mais j'étais un peu en état de choc et je me déplaçai comme dans un rêve.
Je m'arrêtai et regardai Janvier derrière moi. L'homme en face d'elle avait stoppé son mouvement. Il fut clair pour moi qu'il était en train de couvrir la langue de ma fille de son sperme. Elle l'avala et nettoya la bite. L'homme recula pendant que James continuait à pilonner sa chatte.
Janvier l'aidait en reculant à chaque fois qu'il poussait. Tous deux grognaient. Avec un dernier coup de reins, James éjacula. Il garda sa queue à l'intérieur et Janvier glissa dessus et laissa échapper un long gémissement. Elle jouit sur sa queue puis elle me regarda en souriant et me dit :
- Regarde maman, il m'a fait jouir. C'est si bon.
Je me retournai vers Sam. Je tirai ma robe par-dessus ma tête et commençai à avancer vers lui. Mais il tendit la main pour m'arrêter et il dit :
-Va nettoyer!
James retira sa queue brillante de l'humidité du sexe de ma fille. Du sperme dégoulinait de ses petites lèvres évasées. Il y avait une grosse quantité. Soit James avait de supers couilles qui le faisaient éjaculer de grosses quantités de sperme, soit c'était un mélange de James, du gars avec la grosse bite et même peut-être de Sam. Un long brin de sperme courut de sa fente ouverte jusqu'au sol.
Son ordre me stoppa net. Ma robe dans la main, je regardai de Janvier à James puis au joueur de football. L'homme avec la grosse bite était parti.
Quand je me retourne vers Janvier, sa main est en l'air. Elle me gifle violemment sur la joue, si fort que ma tête part sur le côté et que pendant un instant je vois des étoiles. Et elle dit :
- Il t'a dit de me nettoyer salope.
Avec cela, elle attrapa mes cheveux. Elle s'allongea sur le sol en tirant mon visage dans son entrejambe. Elle poussa ma bouche sur ses lèvres et dit :
- Lèche!
Je fus complètement stupéfaite du comportement de ma petite fille. Mais ma nature soumise prit le dessus. James se mit à côté d'elle alors que je léchai le sperme dans sa chatte. Elle tira mes cheveux et déplaça ma tête vers James en disant!
- Nettoie le aussi et fais-le bander!
Je commençai à lécher sa queue et ses couilles. Du coin de l'œil, je vis le joueur de football se déplacer vers nous, quelque chose à la main. Janvier avait ramené ma tête entre ses jambes et je recommençai à la lécher.
- Mieux que ça salope! Gronda-t-elle.
Je ne sais pas si je l'entendis ou la sentis d'abord, mais une ceinture siffla dans l'aire avant d'atterrir brutalement sur mon cul. Sam parla alors que la ceinture frappa à nouveau. Mon cri de douleur fut étouffé par la chatte de ma fille contre ma bouche.
- Tu es la salope de la maison. Si tu n'es pas en train de nous servir, tu dois être disponible pour baiser avec n'importe qui dans la maison. Nous allons te donner beaucoup de sperme à nettoyer.
L'homme balança à nouveau la ceinture.
- Ouais. Et si quelqu'un te donne un ordre, tu feras mieux de le suivre immédiatement. Grogna Janvier, déçu que je sois revenue à James.
Ma petite fille semblait être devenue la responsable de tout ça. Sam ajouta :
- Oui, pour le moment tu hésites trop salope. Tu vas apprendre à obéir immédiatement. Dès que tu vois une queue dans la maison, tu devras tout de suite la mettre dans ta bouche.
Mon cul était en feu et plusieurs coups de ceinture atteignirent mes petites lèvres. L'homme qui tenait la ceinture riait. Il me fouettait en rythme si bien que je poussai plus loin ma langue dans la chatte de ma fille ou j'avalai toujours plus de la grosse queue à James.
Janvier me retourna sur le dos. Puis elle s'assit sur mon visage tout en tenant mes bras. James attrapa une de mes chevilles. Sam attrapa l'autre. Ils écartèrent mes jambes le plus large possible. Sam embrassa Janvier et dit :
- Fais un vœu!
Je m'étais retrouvée dans un grand nombre de position au cours de ma vie mais celle-là était nouvelle. J'étais incroyablement écartée, mes pieds pointant vers les coins opposés du salon. Même si je n'avais jamais été prude avec mes amants, je ne leur avais jamais donné une telle vue de mon sexe exposé et ouvert.
Je me suis senti comme une chose offerte. J'étais très ouverte et exposée à l'homme à la ceinture. Il avait vraiment envie de l'utiliser. Il fouetta mes seins et ma chatte jusqu'à ce que des rayures rouges apparaissent sur ma peau un peu partout. Je gémis sous la douleur mais je ne pus crier car ma bouche était occupée par la chatte de janvier que je suçai et léchai. Bientôt elle enterra son sexe sur mon visage et elle eut un autre orgasme.
Ses cuisses couvraient mes oreilles mais j'entendais assez pour savoir qu'ils parlaient de moi. Ils me traitaient de salope et encourageaient le gars qui me fouettait.
Sam pinça mes mamelons assez durement pour me faire grimacer. Il les tordit et se mit à rire. Je ne sais pas combien de doigts ont été poussés dans mon sexe mais ils m'ont baisée violemment.
Les rires et les commentaires ont suivi. Ils dirent que j'étais humide, très très humide, que je devais aimer ce traitement comme une sale pute. En fait, j'aimai. Je sentis mon jus sortir de ma chatte et dégouliner le long de ma raie du cul.
Je me résignai à mon sort. Je renonçai à essayer de combattre ou de comprendre ma situation. Je le ferais plus tard. La résignation me submergea quand la ceinture s'abattit pour la dernière fois.
J'haletai quand ma fille décida se relever. Sa chatte avait étouffé mes cris. Mon visage était mouillé de sa cyprine et j'eus du mal à retrouver mes esprits. Janvier me regarda dans les yeux. Son visage n'était plus celui de l'enfant que j'avais élevé.
Je la regardai dans les yeux et je vis la puissance et la confiance. La luxure s'affichait sur son visage et elle rayonnait d'une sexualité que je n'aurais jamais imaginé chez elle. Son sourire fut remplacé par un rictus quand elle pinça et tordit mes tétons. Puis elle se pencha et pinça mon clitoris, envoyant ainsi une onde de choc dans mon corps.
Ma chatte et mes seins étaient en feu, surement à cause des coups de ceinture mais peut-être aussi à cause de l'excitation. Il me sembla évident que Janvier était plus qu'une participante volontaire, elle était peut-être l'organisatrice. Elle me dominait d'une manière que je n'aurais jamais imaginé.
J'étais excitée et je voulais des choses dans ma bouche, ma chatte ou mon cul. J'en avais besoin. Je dévorai les hommes des yeux. Le voyant, janvier me demanda :
- Fais bander James, je veux qu'il me baise à nouveau.
Après avoir fait durcir le membre de l'homme, Janvier me poussa sur le côté et se mit à califourchon sur lui. Elle m'ordonna :
- Lèche ses couilles!
J'eus une belle vue de ma fille qui plaçait la tête de la bite sur sa chatte. Elle commença à glisser vers le bas et je fus fascinée par le membre qui disparut centimètres par centimètres dans sa chatte jusqu'au moment où son cul toucha mon nez.
- Lèche mon trou du cul esclave! Commanda-t-elle.
Ma langue alla des couilles à son cul pendant qu'elle commença à glisser de haut en bas et de bas en haut sur la grosse bite dure. Sam me tira par les cheveux et se mit à genoux derrière ma fille. Il me dit :
- Monte à l'étage!
Je me levai et je trébuchai sur mes jambes tremblantes. Je me dirigeai vers les escaliers. Il me sembla que ça me prit une éternité. Quand je me retournai, je vis Sam prendre sa queue et l'enfoncer dans le cul de ma fille. Elle allait être prise en sandwich par deux hommes noirs.
Je remarquai que le joueur de football avait disparu. Je fis un pas ou deux et j'hésitai à m'arrêter pour regarder l'action. Je fis encore quelques pas puis regardai de nouveau en arrière. Je fus presque déçue d'être dans les escaliers et de ne pouvoir voir la suite des événements au salon.
Je sentais le feu sur mes seins, ma chatte et mon cul. Je m'examinai et vis les zébrures rouges qui striaient mon corps. Au sommet de l'escalier, je me demandai où Sam voulait que j'aille. Mais j'entendis des bruits qui sortaient de la chambre de Septembre. Je les suivis.
A suivre...
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