L'anniversaire de mariage - Récits érotiques - humiliation - soumission - viol - gang-bang
Ce soir c’est la fête, vingt ans de mariage sans nuage, les enfants sont partis chez leurs amis et mon mari m’offre le restaurant. Je suis allée faire quelques achats, une mini-jupe en cuir rouge, un body transparent en dentelles ainsi qu’un string ridiculement petit, un soutien-gorge pigeonnant qui cache difficilement la pointe de mes seins, ainsi que des bas. Le grand jeu quoi ! Vingt ans c’est quelques chose et mon mari est adorable.
Il aime tout ce qui touche au sexe alors que je suis moi-même un peu coincée sur le sujet et j’ai décidé pour notre anniversaire de lui faire plaisir. Je suis BCBG, plutôt jolie, pas très grande, svelte, des seins encore fermes et bien proportionnés, un fessier plutôt coquin, un sexe bien lisse et rond, des jambes galbées et un visage d’ange, c’est ce qu’on me dit en tout cas.
Nous sommes partis assez tôt et sommes bien trop en avance pour le restaurant. Après avoir flâné dans la campagne, mon compagnon arrête notre voiture près d’un petit bar, m’attrape par les épaules et m’embrasse langoureusement.
- Je t’aime. Me dit-il.
- Moi aussi, comme au premier jour.
Il m’embrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins de mon soutien-gorge. Il les caresse délicatement en s’attardant sur les pointes qui ne tardent pas à s’ériger et durcir. Puis il continue ses caresses en promenant sa main sur mon sexe qui commence à s’humidifier tout doucement. Il relève mes jambes, m’enlève le string et pose avec amour ses lèvres sur le mont de vénus pendant que ses mains se baladent sur mes fesses. Il titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu avec mon clitoris de quelques coups de langues puis se relève brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :
- Reste comme ça !
Il met mon slip dans la boite à gant.
- Allons voir ce petit bar, nous prendrons l’apéritif ici, nous avons le temps et le resto n’est plus très loin, nous finirons cette discussion après le dîner. Dit-il avec un large sourire coquin.
Il m’embrasse à nouveau et sort de la voiture. Je remets de l’ordre dans ma tenue vestimentaire, sors de la voiture et vois ce qui devait être le patron du bar s’éloigner en hâte de la fenêtre. A priori, il n’avait rien raté du spectacle. Peut-être à tort, je ne dis rien à mon mari qui n’avait pas l’air d’avoir remarqué le voyeur d’autant qu’il n’aime pas trop ce genre de situation. Le bonhomme n’avait peut-être pas tout vu et n’importe comment, nous n’avions pas poussé la chose trop loin. Et puis comme j’avais décidé ce soir d’être coquine, cela me donnait ma première expérience d’exhibitionniste malgré que ce fut involontaire. Cela me choquait beaucoup moins que j’aurais pu le penser, peut-être était-ce dû aux caresses que mon mari venait de me prodiguer.
- Bonsoir m’sieur-dames ! Nous lance le patron en matant ma poitrine généreuse.
Celle-ci est à peine cachée par le soutien-gorge sous le chemisier transparent. Je l’exhibe volontairement, forte de ma première expérience et de mon petit minou encore tout mouillé.
- Bienvenue chez « ROBERT », installez-vous, ce n’est pas la place qui manque.
Le patron est seul avec ses deux dobermans. C’est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après que l’on lui ai expliqué le pourquoi de notre présence. Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d’autres et plus particulièrement de ma tenue sexy que mon mari trouve à son goût.
- J’aimerai bien que tu t’habilles toujours comme ça. Me dit-il.
- On verra. Répondis-je en lui attrapant la main au creux de la mienne.
La soirée s’annonçait bien et je me sentais d’humeur charmante. J’étais vraiment heureuse et prête à tout pour que mon époux le soit aussi.
Peu de temps après, un groupe d’hommes arrive perturbant ainsi notre intimité. Ils s’installent à côté de nous, nous saluent, commandent plusieurs bouteilles d’alcool, discutent avec le patron qu’ils semblent connaître puis composent leurs cocktails eux même dans un joyeux brouhaha.
Mon mari interpelle le patron et commande une seconde tournée, j’en profite pour tirer sur ma jupe qui décidément vraiment très courte, découvre mes cuisses presque jusqu’à mon sexe. Cela attire visiblement le regard du petit groupe d’à côté. Que l’on voie mes cuisses passe et m’excite même un peu, pour le sexe c’est autre chose. Je leur trouve un air pas très catholique malgré qu’ils soient rieurs et chahuteurs. Voyant que je les regarde, l’un d’eux se lève et vient discuter avec nous.
- J’espère que nous ne vous dérangeons pas trop. Nous dit-il en regardant furtivement ma poitrine.
Il sourit et nous précise qu’ils sont là pour enterrer la vie de garçon de l’un d’eux et s’excuse du bruit occasionné. Nous lui répondons cordialement qu’il n’y a aucun problème et, que nous-même sommes ici pour notre anniversaire de mariage. Nous précisons que nous leur laisserons la place libre rapidement pour aller au restaurant.
- Ça sera bientôt au tour du futur marié de compter les années de vie commune. Nous dit l’un du groupe.
Et il nous propose gentiment de trinquer avec eux. Sans attendre mon avis, mon époux accepte et nous levons tous nos verres au futur marié et à nous même. Nous entamons une discussion courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutôt sympathiques. Constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter à leur mixture et, sans attendre notre réponse, le même homme qui s’était déplacé la première fois se lève à nouveau et remplit nos verres. Bien que fort en alcool leur cocktail est bon et nous commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et ses contraintes.
Le temps passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari regarde sa montre et me fais signe de la tête qu’il est l’heure d’y aller. Constatant que nous nous préparons à partir, ils insistent pour nous offrir une dernière tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables. Nous souhaitions être tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous avons envie de passer une bonne soirée, alors un peu d’animation avant le dîner est la bienvenue et le restaurant attendra bien un peu.
Mon mari semble ravi, la soirée commence bien et il raconte ses dernières petites histoires assez salaces. Nous écoutons les leurs pendant qu’ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous n’avons pas l’habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne. Je me sens pour ma part sur un petit nuage, euphorique. Je remarque à plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins et mes cuisses que je croise et décroise volontairement, j’ai envie maintenant de continuer l’exhib commencée sur le parking et d’exciter ces hommes avant de partir.
- Nous allons vous laisser maintenant. Leur dit mon mari qui n’a pas l’air d’aller très bien non plus.
- Attends cinq minutes, je vais me refaire une beauté. Lui-dis-je.
A vrai dire une petite envie m’oblige à avoir recours aux toilettes avant de partir. Je me lève, tire sur ma jupe arrivée aux fesses, traverse en titubant l’arrière salle, m’agrippe aux tables et chaises pour ne pas tomber et trouve les sanitaires. Le patron du bar est en train de se laver les mains dans le lavabo.
- Vous vous trompez de WC. Dit-il en m’indiquant ceux réservés aux femmes.
- Oh excusez-moi, je suis un peu pompette et je commence à voir trouble. Dis-je en riant.
- Ce n’est pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes hommes sont des WC turcs.
Je passe à côté de lui et il en profite pour passer une main sous ma jupe et il malaxe mes fesses avant que je m’échappe, entre et ferme la porte. « Les hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant et pas choquée par le comportement cavalier du patron. Je m’assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la cuvette des waters et fait mon petit besoin... sur le sol.
- houlala, je suis vraiment pompette. dis-je tout haut.
Je profite malgré tout de ce moment d’intimité pour me remettre un peu de rouge à lèvres et surtout réajuster mes seins dans les balconnets qui ont bien du mal à accomplir leur mission. Cela explique les yeux fixés sur ma poitrine durant l’apéritif. Mais vu mon état, moi qui suis plutôt réservée d’habitude, je souris avec une pointe de fierté à l’attention que l’on me porte. Je ressors d’autorité un sein du soutien-gorge et sort dans la partie commune pour trouver une serpillière pour essuyer par terre et aussi me laver les mains. Le patron est toujours là.
- Je ne vous ai pas choquée ? Me dit-il.
Non, non, mais j’ai fait des petites bêtises. Auriez-vous quelque chose pour essuyer ? Lui dis-je en montrant le plancher autour du bidet.
- Prenez du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans cet état. Me répondit-il sèchement.
Et me voilà à quatre pattes en train d’essuyer ma maladresse. Prétextant m’aider, le patron se met à côté de moi et passe sa main par derrière en me caressant la fente. Il introduit quelques doigts et titille le clitoris qui commence à s’ériger. Je sens mon sexe redevenir humide et écarte les jambes machinalement tout en finissant d’éponger le sol. La seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris pour guider la verge dans mon intimité. Sentant le phallus à l’entrée de mon sexe et avant qu’il puisse m’introduire, je me relève et sors des toilettes sans qu’il ait le temps de me retenir.
En sortant, je m’aperçois que cinq des hommes ont quitté la salle commune. Ils se sont attablés et discutent dans cette arrière-salle avec toujours plusieurs bouteilles d’alcool. Je vois mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les 2 autres de la troupe. Alors que je me dirige le plus rapidement possible, ce qui est un euphémisme vu mon état, vers ma table, toujours en titubant et en me tenant. L’un des cinq hommes m’interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant, ceci afin de donner quelques conseils féminins avertis au futur marié.
Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la bande m’attrape rapidement par le bras et me demande de m’asseoir. Forte de l’expérience des WC, j’hésite à rester, ne sachant si je peux leur faire confiance, mais la main ferme, mon équilibre précaire, mon esprit embrouillé et l’envie de ne pas passer pour une sainte-nitouche ont raison de mes réticences. Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables, ce galant homme m’installe donc, sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en me tenant par la taille.
- Cela ne vous gêne pas j’espère. Finit-il par me dire.
Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et se présente en me faisant des grimaces :
- Moi c’est Denis.
- Moi c’est Annie. Répondis-je en rigolant, oubliant promptement l’épisode qui vient de m’arriver.
Nous discutons des femmes en général, surtout de moi, et abordons les conseils au futur marié, notamment sur la fidélité qui ne doit jamais trahie. je me donne en exemple avec fierté... toujours en sirotant le cocktail.
- Mon verre doit être magique, je n’arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli. Dis-je en m’esclaffant.
J’ai chaud mais me sens bien avec toujours la vue sur mon mari de dos. Je suis bien calée, les deux cuisses écartées autour du genou (qui n’arrête pas de bouger), avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché ma taille pour la fesse droite (qu’il caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons me parcourir le corps.
- Vous avez une poitrine superbe. Me dit le plus jeune en face de moi.
Je baisse la tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet et darde fièrement sa pointe sous l’étoffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le téton récalcitrant à sa place. Mais avant que j’aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Denis me précède et passe la sienne sous le body.
- Laissez, je vais faire.
Je suis de plus en plus gênée et mes joues virent à l’écarlate.
- Euh... beu.
Je bafouille et attrape vainement le bras de Denis qui a sorti le sein complètement, le soupèse, le caresse délicatement et titille la pointe. Absolument pas perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second sein qui subit le même traitement.
- Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez-les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus !
Peu convaincue par l’argumentation, je me redresse d’un coup mais ma tête me tourne de plus en plus et Denis me rattrape in-extremis, m’évitant de tomber. Il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.
- Pour les seins, cela restera notre petit secret. Me murmure-t-il à l’oreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe de mon oreille tout en continuant de me peloter par-dessus l’étoffe.
Je suis déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire, je réponds en bégayant :
- Bon d’ac...d’accord, mais c’est tout.
Et je reprends mon verre. Denis me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il l’a relevée lorsqu’il m’a rattrapée et a dévoilé ainsi mon intimité. Les autres hommes regarde mon minou avec insistance, je sens déjà une douce chaleur envahir à nouveau mon bas ventre.
- N’est-ce pas qu’elle est belle. Dit-il à ses amis.
- C’est sûr. Répondent en cœur ses camarades.
- Je dois y aller maintenant, on doit partir au restaurant.
- C’est dommage. On est bien ensemble. Me dit Denis.
Sa main gauche lâche ma poitrine pour venir pétrir mon sexe trempé. J’écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tâche. Il passe lentement son doigt entre les deux lèvres mouillées et caresse le clitoris déjà sensibilisé par les doigts du patron. Mes yeux se ferment et je me laisse aller et j’appuie mon dos sur son torse. Une main vient à nouveau caresser un téton. J’entrouvre les yeux et voit le plus jeune de la troupe à côté de moi. Il relève le body et pétrit ma poitrine à deux mains. Denis m’embrasse à pleine bouche, un autre larron s’agenouille devant moi dit :
- Elle est toute épilée cette petite salope, j’adore ça !
Et il commence à me brouter le minou avec vigueur. Denis enlève sa main de mon sexe et me malaxe les fesses. La langue explore l’entrée de mon intimité complètement trempée et joue aussi avec mon clitoris et mon anus. Mes seins passent dans toutes les mains.
Dans un sursaut de lucidité, je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain, les mains qui m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance, sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de l’aide mais je ne le vois plus.
- Non, s’il vous plait laissez-moi !
Ces paroles à peine terminées, le brouteur de minou se retire. Denis me soulève un peu, ajuste son sexe avec une main sur l’entrée du mien, me relâche et m’enfile d’un seul coup. Je sens son gros membre chaud envahir ce qui n’avait appartenu qu’à mon mari et je lâche un râle de plaisir. J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller. J’attrape la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la mienne. Les autres enlèvent leur pantalon et s’approchent. On m’attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche. Je le suce avec vigueur.
D’autres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même temps. Denis s’applique à me faire des suçons dans le cou et un autre sur la poitrine. Malgré moi je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et branler plusieurs verges avec passion pendant que Denis me lime comme un malade, pendant que les autres me caressent tout le corps. Luc, je crois que c’est son prénom, va et vient lentement puis accélère et éjacule dans ma bouche. J’avale toute la semence avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu’à la retombée du sexe.
- T’es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise. Me dit Luc pendant qu’un autre prend sa place.
Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre que Denis vient de jouir à son tour. J’écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au mieux l’homme qui est en train de me violer. Deux autres m’attrapent, m’enlèvent body et soutien-gorge, me mettent sur le ventre sur la table, me lubrifie l’anus avec leur salive. Puis ils commencent à forcer l’entrée avec leurs doigts et m’enculent à tour de rôle en me pelotant les seins. C’est la première fois que cela m’arrive. Mon mari a toujours voulu me posséder par derrière mais j’ai toujours refusé.
Après un début franchement douloureux, j’écarte de plus en plus jambes et fesses afin que tous viennent remplir mon petit trou. On me retourne à nouveau et mes trois orifices sont pris en même temps. Jamais je n’ai joui autant. Je suis remplie de sperme et bizarrement je m’imagine comme une dinde farcie ...au jus d’homme.
Une fois que tous ont profité de moi, on me retourne de nouveau et on m’attache à la table, les fesses en l’air et l’on m’introduit un objet plutôt volumineux dans la chatte. Après plusieurs allers-retours, le patron du bar, que j’ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus, arrive et me dit :
- Ecoute poulette, ton mari n’allait pas très bien, ce qui n’est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans sa boisson. Nous l’avons ramené chez lui en lui expliquant que nous nous occuperions bien de toi et que nous te ramènerons. Pendant que tu t’éclatais comme une bête, j’ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante. Alors on va continuer à s’amuser puis on te ramènera chez toi, mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles
Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s’empare d’une bouteille de bière, l’ouvre et me l’enfonce dans l’anus déjà dilaté. Sous la poussée l’objet enfoncé dans mon vagin est expulsé, drôle de sensation que cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s’applique à de long va et vient. J’écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul. A chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe, jette la bouteille et me sodomise à son tour pendant que les autres réinvestissent ma bouche. Et me voilà repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.
Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur, j’ai honte et n’ose rien dire. On recommence à me caresser délicatement l’entre jambes et les seins. Broute minou repasse à l’action et me lèche alternativement minou et anus. Je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir de nouveau. On me détache, on me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive avec ses deux doberman. Il ordonne à l’un de ses chiens de se coucher devant moi, le retourne et me dit :
- Suce salope, t’es juste bonne à soulager mes chiens.
Devant mes faibles protestations, je reçois une nouvelle paire de claques. Écœurée, c’est en larmes que je m’exécute. Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche pour devenir d’une taille plus que respectable. Le patron me besogne par derrière pendant ce temps, je sens la jouissance monter. La verge du chien est devenue énorme, je m’active de plus en plus sur cette bite et c’est avec dégoût que j’avale la purée de Médor qui gémit de bonheur. Je le maintiens le plus longtemps en bouche possible en espérant en vain de lui redonner vigueur. Puis c’est au tour du second chien de venir remplir mon anatomie, à la place de son maître qui vient de se répandre dans mes entrailles. Le chien s’active bestialement et je l’aide dans son mouvement en rythmant ma croupe à ses assauts et c’est avec lui que j’explose d’un plaisir encore inconnu à ce jour. Le chien se retire et s’applique à me lécher longuement le sexe et l’anus qui dégoulinent.
Je constate que l’on ne cesse de me prendre en photo. Les festivités terminées, les deux compères qui n’ont pas participé aux festivités m’attrapent sans ménagement et m’entraînent nue à l’exception de mes bas, dans leur voiture. Quelques kilomètres plus loin, nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle durant la nuit. Pendant tout le parcours celui qui était monté à l’arrière du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et s’est excitée comme une chienne en chaleur que je suis offerte comme une putain. Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j’ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui m’a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dès qu’il le pouvait au bureau et ne s’en privera plus désormais. La cerise sur le gâteau : Deux clochards m’ont prise en même temps à titre gracieux.
Suite à cela les deux hommes me raccompagnent chez moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari dort toujours. Dans notre lit, pas très en forme, dans un demi-sommeil à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre. « Boum » et les deux hommes investissent notre lit. Ils m’attrapent et me violent à leur tour, m’embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde l’air hébété. Ils m’obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un de mes tortionnaires pendant que l’autre continue à prendre des photos. Ils m’enculent à tour de rôle et pour finir m’urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.
- Bon Anniversaire de mariage chérie ! me disent-ils.
- T’es une baiseuse de première. A l’avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça t’évitera des ennuis. Pour ton mari, t’inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t’inventer une histoire.
Et ils disparurent.
Tout s’est passé comme ils me l’avaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui s’est vraiment passé après le troisième verre, hormis un vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui dans notre lit sans qu’il puisse intervenir. Mais ce n’était heureusement qu’un mauvais rêve argumente t’il.
Je me rends régulièrement au bar « chez ROBERT » où je me fais défoncer tout aussi régulièrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients sous la table et bien d’autres asservissements. A chaque fois je récupère une photo.
- Quand tu auras récupéré toutes les photos tu seras libre poulette. Me dit le patron.
Puis il ajoute :
- A moins que tu n’aimes ça.
Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Je ne compte plus les fois où il me prend dans les toilettes de l’entreprise, parfois avec d’autres collègues qu’il a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans qu’on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue lesbienne profite de la situation.
Ne pouvant me confier ni à mon mari ni à la police, je suis allé voir un psy. Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m’a écoutée, et m’a déclaré qu’il n’avait jamais entendu d’histoire aussi bandante. Il se rend maintenant régulièrement au bar « Chez ROBERT » et me baise à chaque occasion.
Mon mari n’est au courant de rien, je l’aime toujours autant, même s’il se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle.
FIN.
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