Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Pizzeria, sex-shop et école...Janvier me dit que j'étais défraîchie et que c'était inacceptable. Je devais tout le temps être propre et prête à être utilisée. Alors elle m'emmena dans un magasin de beauté où nous avons acheté savon, shampoing, gel douche. Puis elle trouva un magasin qui disposait de douches pour ses employés. Pour une autre fellation, on m'a permis de prendre une douche te de me laver. Je sortis toute fraîche mais elle tordit mes mamelons pour avoir pris trop de temps. Elle me fit boire un café afin que je reste en forme et elle me donna des bonbons à la menthe afin que mon haleine ne sente pas trop le sperme.
Mais même après la douche et m'être brossé les dents je pouvais toujours sentir sur moi l'odeur du foutre. Je me demandai si c'était moi ou mes vêtements. De toute façon je ne trouvai pas cela trop désagréable. Quand nous rejoignîmes la voiture, je vis que j'attirais quelques regards.
Je pense encore à ce jour-là et je ne suis pas encore sûr de la raison de tous ces regards. Une partie de moi me dit que les gens me voyaient me débattre avec tous les paquets alors que l'adolescente avec moi ne portait rien. Une autre partie pensa que les gens savaient. Il pouvait sentir le sexe sur moi. Tous les pores de ma peau devaient empester l'odeur du sexe.
Cette pensée me fit mouiller. J'étais conditionnée pour être une salope à sperme, pour être humiliée et dominée. J'étais conditionnée à laisser tomber ma jupe et ouvrir ma bouche pour tous ceux qui voulaient. Mais là j'étais dans la rue. Je rougis d'embarras.
En marchant, je scrutai les visages en espérant ne reconnaître personne. Je ne voulais pas que l'on me voie ainsi. J'étais sans soutien-gorge et sans culotte dans une jupe beaucoup trop courte pour moi. Mais d'un autre côté j'étais submergée par le désir. J'avais baisé et sucé mais je n'avais pas eu droit à un orgasme. Et je me dis que ma nouvelle maîtresse me permettrait de jouir que si je lui obéissais au doigt et à l'œil.
Pendant que je rangeai soigneusement les courses de Janvier dans la voiture, je fus surprise des quantités. Il y avait de la musique et des films, des vêtements, de la lingerie, des sacs à main, quelques produits de beauté, du maquillage et même quelques bijoux. Et je me dis qu'il y avait certainement plus car je ne voyais que le sommet des sacs.
Ma fille me fit conduire jusqu'à un petit centre commercial. Il y avait un magasin pour adulte à une extrémité et une pizzeria et un loueur de vidéo de l'autre côté. Trois autres magasins étaient vides, un en train d'être rénové et deux autres avec un panneau « A louer ».
- Enlève ta jupe! Ordonna Janvier.
Malgré ma soumission, je n'avais pas encore surmonté mon hésitation. Je la regardai, décomposée et je marmonnai :
- Oui Maîtresse.
J'enlevai ma jupe. Elle me dit :
- Sors!
Encore une fois j'hésitai. Ma jeune fille me demandait de sortir de la voiture, en plein jour, nue à partir de la taille. Elle gronda :
- Salope, sors de cette putain de voiture.
Son ton se fit menaçant. Alors je sortis, en essayant de garder la voiture entre moi et la route et en espérant que les passagers des autres voitures ne puissent me voir. Janvier chercha dans son sac et dit :
- Tourne toi! Les mains dans le dos!
Elle me passa une paire de menottes. Je voulus protester mais au dernier moment je me ravisai. Janvier me fit faire demi-tour et attacha une laisse à mon collier de chien. Elle tira dessus et m'emmena à sa suite vers la pizzeria. Nous entrâmes et nous nous approchâmes du comptoir. Janvier commanda son déjeuner pendant que le caissier essayait de se concentrer, les yeux écarquillés sur ma chatte.
Quand il lui donna le montant du repas elle tendit la laisse et dit :
- Voici votre paiement. Elle a envie de votre sperme à vous et à lui.
Elle montre le cuisinier du doigt. Puis elle ajoute :
- Mais faites mon déjeuner avant. Et vous faites ce que vous voulez avec elle. Il faut juste que vous me la rameniez quand j'aurais fini de manger.
Le caissier déglutit et ne sut que faire. Alors le cuisinier sortit et demanda :
- Vraiment?
Janvier répondit alors :
- Oh oui. Elle veut que vous l'utilisiez. Dis leur salope!
- Oui Maîtresse. Réussis-je à dire.
- NON! DIS-LEUR! Cria-t-elle en tordant violemment un de mes mamelons.
- Je suis une salope qui veut sucer vos queues et qui veut se faire baiser jusqu'à ce que vous vous vidiez.
Je connaissais bien mon rôle. Je continuai :
- S'il vous plaît, abusez de moi comme vous voulez Maître.
Le cuisinier prit la laisse et me conduisit derrière le comptoir. Dans un petit bureau, je le suçai. Il défit sa braguette et fourra juste dans bite dans ma bouche. Je n'eus pas le temps de voir ses couilles et j'avalai son sperme avant d'être complètement à genoux.
Puis le caissier me baisa. Même s'il était jeune il savait que qu'il voulait. Il me pencha sur le bureau. Ainsi mon cul était prêt à être utilisé. Mais il me tint afin de pouvoir me fesser.
Au bout de 5 ou 6 claques sur chaque fesse, rendant mon cul d'un rouge bien vif, il s'agrippa et me planta sa bite d'un seul coup dans ma chatte. Il attrapa mes cheveux et tira ma tête en arrière tout en me baisant brutalement.
Et tout d'un coup je brisai une des règles qui m'avait été imposée. En tirant mes cheveux, le caissier m'excita tant que je jouis avant de m'en rendre compte. Je criai, en essayant de l'arrêter. Malheureusement la porte était ouverte. Pendant que l'homme me remplissait de son sperme chaud, je pleurai.
Je me tournai vers lui et j'essayai d'arrêter de pleurer et d'empêcher mes jambes de trembler. Ma chatte dégoulinait et le caissier avait un sourire stupide sur son visage comme s'il croyait être nommé baiseur de l'année. Il croyait que je pleurais à cause de lui. En vérité je pleurai pour m'être mis en difficulté.
Le cuisinier revint et me baisa. Cette fois-ci il fit preuve de plus d'endurance et de créativité. Il me baisa le dos sur le bureau puis à quatre pattes comme une chienne. Je pense qu'il ne réalisa même pas qu'il trempait sa queue dans le sperme du caissier et que j'étais démoralisée. Quelques minutes plus tard, je dus sucer un de leur livreur.
Janvier était naturellement une vraie dominante. Elle me contrôlait totalement et je me demandai si elle en était à ses débuts, et où ses talents la pousseraient. J'étais assise sur le sol, mon haut remonté pour que l'on puisse tripoter mes seins, avec deux décharges de sperme dans ma chatte et deux dans mon estomac.
J'avais le goût du sperme dans ma bouche. Et je ne pouvais pas me nettoyer avec mes mains menottées derrière moi. Donc je m'assis quelques minutes, sentant le sperme s'échapper de mon sexe. Puis je me débattis pour me mettre sur pieds, et je me dirigeai vers la salle, ma laisse se balançant entre mes seins. Je redoutai la punition pour l'orgasme non autorisé que j'avais eu. D'un autre côté, mon côté soumis était ravi de la peine à venir. Je décidai que si Janvier ne s'était pas aperçu de mon orgasme, j'allais lui dire.
Elle savait. Elle était assise à une table, 3 boites à pizza et un sac devant elle. Elle avait négocié avec le cuisinier pour un peu de temps en plus et pour le plaisir du livreur. Elle me regarda de haut en bas et vit immédiatement les signes de ma jouissance. Je pouvais encore sentir la chaleur sur mes joues et dans ma poitrine.
- As-tu eu du plaisir salope? Demanda-t-elle en passant derrière moi.
- Oui Maîtresse. Réussis-je à dire avec appréhension.
Puis je réalisai, alors qu'elle était à la porte de la pizzeria, qu'elle m'avait enlevé les menottes afin que je puisse porter ses sacs. Je baissai mon haut sur mes seins et je ramassai les boites et le sac. Alors que je sortais, le cuisinier cria :
- Vous pouvez revenir quand vous voulez.
Je marchai rapidement, en essayant de couvrir la distance entre la pizzeria et la voiture sans me faire voir. Je mis tout ce que je portais sur le siège arrière. Puis j'allai m’asseoir sur le siège conducteur. Mais Janvier me stoppa net :
- Putain, mais qu'est-ce que tu fais? Sors ton cul de la voiture, nous n'avons pas encore fini.
J'obéis sans rien dire. Manifestement elle n'a pas fini de m'humilier et elle me prépare surement d'autres surprises.
Elle prit ma laisse et me tira jusqu'au magasin pour adultes. A l'intérieur, personne ne me jeta un regard, comme si une femme à moitié nue et tenue en laisse était la chose la plus naturelle du monde. Janvier fut hélée par le gérant, elle lui montra sa carte d'identité pour lui prouver qu'elle était majeure. Puis elle me promena dans le magasin.
Nous nous arrêtâmes devant le rayon des plugs anaux. Elle en prit un assez gros et me le tendit. Puis elle sembla fascinée par les godes ceintures. Elle en prit un composé d'un petit gode vibrant pour clitoris sur le dessus et d'un gros gode noir en dessous. Je pensai que j'aimerai bien qu'on l'essaie sur moi. Mais en fin de compte je fus plus attirée par un gode ressemblant à une bite de cheval, 30 centimètres de long et aussi large qu'une canette de bière.
Elle me tendit un tube de lubrifiant ainsi que quelques vibromasseurs, des pinces pour mes mamelons et mon clitoris. Au rayon des fouets, elle choisit un chat en cuir à neuf queues et une cravache. Elle décida d'essayer immédiatement celle-ci sur mon cul. Le claquement résonna dans le magasin. Ça me piqua durement les fesses. Janvier sembla heureuse de la rayure rouge laissée en travers de mon cul.
Ensuite nous allâmes au rayon des liens et baillons. Elle prit une série de bracelets en cuir pour les poignets et les chevilles, un bandeau pour les yeux et un bâillon-boule. Ma carte de crédit fut vidée de 1500 euros environ. J'avais peur et j'étais enthousiasmée aussi par les articles choisis. Je savais que ma fille avait aussi caché quelques articles donc je risquais d'être surprise à tout moment.
La caissière emballa nos achats tout en me souriant. Elle fit un clin d'œil complice à Janvier et lui demanda :
- Puis-je?
Ma fille sourit et hocha la tête. La caissière me tira derrière le comptoir par la laisse. Elle m'embrassa et suça mes mamelons tout en jouant avec ma chatte. Après quelques minutes elle tendit la laisse à Janvier. Puis elle sourit et laissa tomber un DVD dans un des sacs avant de nous les tendre. Je les pris et je les emmenai dans la voiture.
Je savais que j'allais expérimenter tous ces ustensiles alors ma chatte s'humidifia d'excitation. Janvier était fébrile elle aussi. Assis sur le siège passager, elle écarta les jambes et ses doigts explorèrent l'intérieur de sa petite culotte. Elle se masturba frénétiquement.
J'essayai de garder les yeux sur la route mais je n'arrêtai pas de revenir à ma fille. Elle titilla son clitoris jusqu'au moment où elle eut un orgasme. Elle gémit et son corps se tordit sous la jouissance. Elle plongea deux doigts profondément dans sa chatte puis elle les approcha de ma bouche. Tout en conduisant, je suçai les doigts de ma fille, savourant son jus, jusqu'à ce qu'ils soient propres.
Elle m'ordonna de la conduire à son école. Juste au moment où je pensais que je ne pouvais pas être plus humiliée par ma fille, elle me conduisait à son école. Je ne compris pas car celle-ci était fermée pour les vacances. Quand nous arrivâmes, elle me dit d'attendre pendant qu'elle allait à l'intérieur.
Je restai assise dans la voiture, me tortillant sur le siège et espérant que personne ne puisse me voir. Je me demandai ce qui allait m'arriver encore. Enfin, je vis ressortir ma fille suivie d'un homme qui n'arrêtait pas de reluquer son cul quand elle marchait. Elle arriva à la voiture et me dit :
- Maman, c'est Monsieur GRANGIER.
Puis elle regarda l'homme et continua sur un ton uniforme :
- C'est ma salope de mère. Je veux que vous changiez ma moyenne d'histoire de la dernière année pour un 19/20. Si vous le faites, elle sucera votre bite et vous pourrez la baiser.
Les yeux de l'homme me détaillèrent. Il était évident qu'il aimait ce qu'il voyait.
- Relève ton haut et montre tes seins! Dit ma fille.
Bien sûr j'obéis. M. GRAINGER regarda ma poitrine et nous montra qu'il était fin négociateur. Il dit :
- Voilà ce que nous allons faire. Je suis coincé à l'école tout cet été. Vous me l'envoyez une fois par semaine pour prendre soin de moi et je changerai votre moyenne.
Puis il sourit à ma fille et poursuivit :
- Mais vous m'avez encore en cours l'année prochaine. Alors entrez et laissez-moi vous baiser et vous aurez toujours une moyenne de 19/20. Et votre mère viendra me voir une fois par mois.
- Marché conclu. Dit janvier en serrant la main du professeur.
M. GRAINGER s'en alla en nous demandant d'attendre quelques minutes. Au cours des 10 prochaines minutes, quelques personnes passèrent sans nous regarder. Puis le professeur apparut à une fenêtre du 2ème étage et nous fit signe d'entrer dans le bâtiment.
Janvier me traîna par la laisse, complètement nue, de la voiture à l'école. Puis nous montâmes au deuxième étage. Je priai en silence que le bâtiment soit vide.
M. GRAINGER ferma la porte et la verrouilla une fois que nous étions à l'intérieur de la salle.
- Par quoi voulez-vous commencer? Demanda ma fille.
L'homme lui répondit en la prenant dans ses bras et en l'embrassant profondément. Puis il la déshabilla, suça ses petits seins et doigta sa chatte. Finalement, il l'allongea sur son bureau.
Il prit la laisse et me tira devant ma fille. Puis il m'ordonna :
- Lèche sa chatte.
Je n'avais pas besoin de motivation. Je me mis à lécher et sucer le clitoris de ma fille. Pendant ce temps, l'homme enleva ses vêtements. Il avait la cinquantaine et était surement proche des 60 ans. Il avait des bras et des jambes maigres mais il avait du bide. Quand il enleva son caleçon, nous dûmes regarder par deux fois. Sa bite était énorme.
Il passa les vingt prochaines minutes à pilonner la chatte de Janvier. Elle grognait à chaque fois qu'il la pénétrait. Il aimait cette chatte sans poils. A chaque fois qu'il enterrait sa bite au fond du vagin de ma fille, il poussait un soupir de contentement. Janvier lui dit alors en me montrant du doigt :
- N'éjaculez pas en moi, c'est elle votre décharge de sperme.
Elle descendit du bureau et m'attrapa par les cheveux. Elle me traîna vers son professeur et me mit à genoux devant lui. Je suçai son jus de chatte sur la bite de l'homme.
Ensuite, celui-ci me monta sur son bureau et me fit écarter les jambes bien larges. Et sa bite me pénétra. Si je n'avais pas été entraînée ces derniers jours, je n'aurais pas pu prendre sa queue. L'homme s'était bien excité sur ma fille mais il avait encore un peu d'endurance.
Il me baisa en donnant de grands coups de reins. Il regarda sa queue glisser dans et hors de mon sexe comme s'il regardait un film. Il me leva en tirant sur mes mamelons et en serrant mes seins. Puis il fit glisser ses doigts dans ma bouche. Je les suçai comme une bonne petite salope. Il était enfoui profondément dans mon vagin quand il se vida de son sperme.
- Belle bite. Dit Janvier quand il se retira.
Puis elle ajouta :
- Je crois que de temps en temps je risque d'en avoir besoin moi aussi.
M. GRANGIER sourit. Il regarda ma chatte grande ouverte, du foutre s'en évadant sur son bureau. Janvier s'était assise et jouait avec sa chatte. Elle se trouvait à un bureau du premier rang, nue, les jambes bien écartées. Elle me dit :
- Nettoie et va te laver aux toilettes des filles dans le couloir.
Le professeur attendit. Je glissai du bureau et je pris sa bite dans ma bouche pour la nettoyer. Pendant ce temps, Janvier écarta les lèvres de sa chatte pour lui donner une belle vue. Elle lui dit :
- Vous devriez baiser son cul la prochaine fois.
Je finis ma tâche et je partis dans le couloir en courant à moitié de peur qu'il y ait d'autres personnes dans le bâtiment. Je poussai un soupir de soulagement en entrant dans les toilettes.
Mais mon soupir s'éteignit dans ma gorge quand je vis un grand homme noir en salopette au milieu de la pièce. Il avait du matériel de nettoyage avec lui. Il dit :
- Je vous attendais madame. Votre gentille petite fille m'a dit que je pouvais faire ce que je voulais avec la personne qui viendrait dans l'heure. Ça fait presque vingt minutes que j'attends.
Il sourit puis il m'ordonna :
- Sur le sol!
Je tombai à genoux, prête à sucer une nouvelle fois. Mais il dit :
- Non! A quatre pattes.
J'avais perdu le compte de fois où j'avais été baisée aujourd'hui. Mais je sentais une autre bite me pénétrer et me marteler. Mon corps était douloureux et fatigué, mais ma chatte était sensible. Je pouvais encore sentir la queue me baiser.
L'homme de ménage me baisa violemment mais ne put se retenir longtemps. Il éjacula dans mon ventre et il se releva.
- Puis-je m’asseoir? Lui demandai-je.
Il sembla confus. Alors j'entrai dans la cabine la plus proche et je m'assis sur les toilettes en le tirant avec moi. Je sentis le sperme s'écouler de ma chatte. Je me penchai en avant et je pris la bite de l'homme dans ma bouche. Je le léchai et le nettoyai du mieux possible. Alors il me prit la main et me dit :
- Elle a dit que si vous faisiez du bon travail, je pourrai vous donner une récompense.
Je voulais juste me nettoyer et partir mais il m'emmena dans le couloir. Mon embarras revint quand je pris conscience de ce que je faisais. J'étais complètement nue au milieu du couloir d'une école, marchant avec un grand homme noir qui venait de me baiser.
Ma main dans la sienne, il me fit descendre des marches jusqu'au gymnase. Nous l'avons traversé jusqu'aux vestiaires. Il me montra la douche et me tendit une serviette. Puis il partit. La douche me fit beaucoup de bien. Je me savonnai et shampouinai deux fois avant de sortir sur mes jambes tremblantes.
Mes sandales étaient encore complètement spongieuses. Je ne les mis pas mais je les emmenai avec moi. Je longeai les murs et je me précipitai dans les escaliers et les couloirs. Je tournai dans un coin en regardant derrière moi quand je butai dans quelque chose. L'homme de ménage venait me rejoindre et je me cognai contre lui. Je tombai en arrière et j'atterris brutalement sur mon cul. L'homme sourit, descendit sa salopette pour libérer de nouveau sa queue.
Je pensai : « retour au boulot » et je pris sa bite dans ma bouche. Il saisit ma tête et commença à me baiser. J'étouffai quelques fois quand il poussait sa bite au fond de ma gorge. Si bien que sa première giclée de sperme tomba directement dans mon ventre sans que je puisse en sentir le goût. Il se retira ensuite, juste assez pour recouvrir ma langue de son foutre. Bien sûr j'avalai aussi.
Je continuai à le sucer pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'il me libère. Puis je levai les yeux et je le remerciai. Dès que mes mots quittèrent ma bouche, je me demandai comment une mère de famille, femme au foyer se retrouvait nue sur le sol d'une école en train de sucer la bite d'un homme de ménage. Oui je n'étais pas complètement nue. J'avais un collier et une laisse que l'homme prit pour me traîner vers la salle de classe de M. GRANGIER.
Il me laissa là-bas en faisant un signe de tête à l'enseignant et à Janvier. Les deux se tenaient très près l'un de l'autre. Le professeur avait une main sur le cul et une main sur la poitrine de ma fille. Sa main de déplaça de son cul à sa chatte humide et il demanda :
- J'espère que tu reviendras à l'école de temps en temps cet été.
Il nous embrassa pour nous dire au revoir et janvier s'habilla. Elle dit :
- Contente d'avoir fait des affaires avec vous. Mais que pouvez-vous me dire au sujet de M. WALSH?
Ils bavardèrent pendant quelques minutes et j'eut l'impression que je devrais bientôt lui gagner une bonne note en anglais. Janvier hésita en se rhabillant. Puis elle retira son string et le laissa tomber sur le bureau de son professeur en disant :
- Un souvenir.
Quand nous sommes revenus à la voiture, Janvier enleva sa jupe et s'assit sur le côté dans le siège passager. Je dus me mettre à genoux dans le parking et lui lécher la chatte jusqu'à ce qu'elle ait un orgasme. Elle me dit :
- Salope d'enculée, j'étais sur le point de jouir quand il a sorti sa bite pour te la mettre. Une minute de plus et je jouissais.
Je ne répondis rien et continuai à lécher ma fille jusqu'à ce qu'elle me repousse.
Nous étions dehors depuis des heures. J'ai beaucoup baisé avec pour seule satisfaction du sperme déversé en moi et un bref orgasme volé. Je voulais jouir mais je ne savais pas comment demander. Je démarrai pour la maison.
Pendant le trajet, Janvier m'éclaira sur certaines choses. Il y a quelques mois, elle râlait au sujet de choses et d'autres et mon mari Jack l'a entendu. Ils ont commencé à parler et ils ont réalisé que je me laissais aller.
Je ne m'occupai plus des choses aussi bien qu'auparavant dans le passé. Les choses s'empilaient jusqu'à ce que je m'en occupe. Et certaines fois je les faisais mal.
Je crois qu'il s'agit d'une certaine évolution de la parentalité. Lorsque les enfants atteignent un certain âge, ils gagnent certaines tâches et responsabilités. En écoutant Janvier, je me rendis compte que j'avais peut-être rejeté certaines responsabilités sur d'autres épaules.
Non seulement je ne cuisinais, nettoyais pas aussi bien que dans le passé, mais je délaissais aussi mon mari. Je ne m'étais pas rendue compte du changement mais quand elle me le dit, ça me frappa. Je rougis de honte.
Comme les filles devenaient capables de s'occuper d'elles-mêmes, mon rôle de mère disparut. J'avais laissé mes filles plus âgées élever leur petite sœur. Janvier dit à Jack qu'elle était désespérée. Elle ne connaissait rien des relations avec les garçons et du sexe.
Je l'avais toujours envoyée balader lorsqu'elle voulait me demander à ce sujet. Un garçon avait bien touché son sexe et bavé sur ses seins mais pas plus. Pour elle, ce n'était pas naturel.
Les larmes aux yeux, elle dit à son père que si c'était ça le sexe, elle n'en voulait pas. Jack la prit sur ses genoux et la berça en lui disant qu'il allait l'aider.
Janvier avoua que le garçon lui fit sentir que c'était de sa faute. Son corps n'était pas joli, elle n'était pas bonne au lit et elle ne savait même pas embrasser. Elle avait essayé de parler à Avril et elle avait découvert que sa sœur était pareil.
Alors que mon mari la tenait dans ses bras, elle commença à éprouver un sentiment de chaleur dans son bas-ventre. Elle était très émotionnelle mais cette émotion se transformait en désir. Elle était assise sur ses genoux et quand il la serra pour l'embrasser, elle le sentit remuer sous son cul.
De plus en plus souvent elle est revenue parler avec son père. Mais elle fut de moins en moins intéressée par ses conseils mais plus par son sexe. Elle s'asseyait dessus et se déplaçait pour essayer de le faire grossir.
Jack lui expliqua bien des choses. Ils parlèrent pendant des heures et des jours sur l'amour, le désir et les relations homme-femme. Ils parlèrent également de moi, de la vaisselle et de la lessive qui s'entassaient du shopping que je faisais sans avoir besoin. Je n'étais plus une mère s'occupant de ses enfants. Je les laissais suivre leur propre chemin.
Leurs conversations progressaient mais aussi leur flirt. Janvier essayait d'être dénudée. Elle s'asseyait sur son père pour le faire bander. Elle voulait qu'il la touche sans qu'elle demande.
Puis ils eurent une révélation. Elle a voulu savoir depuis combien de temps je n'avais pas satisfait mon mari. Oh bien sûr, toutes les semaines j'écartais les jambes pour lui mais c'était sans passion.
Il essayait bien de faire de nouvelles choses pour pimenter nos ébats mais je ne réagissais pas et je ne lui rendais pas ses efforts. Plus ma fille parlait, plus je savais qu'elle avait bien raison. Ensuite, Janvier, ne sachant pas comment séduire, elle demanda à son père de lui montre ce qu'il expliquait.
Avant de continuer l'histoire, elle me fit garer sur un parking puis elle me dit :
- Je vais te raconter comment tout est arrivé. Mais il y a maintenant une ligne de non-retour.
Elle me regarde durement et continue :
- Tu vas décider maintenant ce que tu veux. Ce n'est pas un jeu à mi-temps. Tu vas vivre comme ça pour le reste de ta vie. Si tu ne veux pas, on rentre à la maison, tu fais tes bagages et tu t'en vas.
Je me sentis très mal, comme si on m'avait asséné un coup de poing dans le ventre. Elle continua :
- Nous avons décidé tous ensemble quel sera ton rôle dans la famille à partir de maintenant. Nous voulons quelqu'un qui prendra soin de nous et qui répondra à nos désirs. Tu prendras soin de nous et nous prendrons soin de toi.
Je cligne des yeux quand elle finit de parler. Elle n'a pas utilisé le mot « nous » par hasard mais comme un fait. Ils avaient tous ensemble décidé du futur. J'aimais ma vie et j'aimais ma famille. Mais il y avait autre chose. Je ne m'étais jamais sentie plus vivante que durant ces derniers jours.
Mon esprit me dit de partir, mais mon cœur me dit de rester. Alors je dis doucement :
- Maîtresse...
Je soulevai sa jupe et j'embrassai sa chatte nue puis je continuai.
- Laissez-moi vous plaire.
A suivre...
Je pensais avoir lu l'intégralité de cette saga, mais ce chapitre m'avait échappé.
RépondreSupprimerBravo
Rudy