mardi 15 janvier 2019

Les assurances Tartaglia

Les assurance Tartaglia - Récits érotiques - humiliation - enlèvement - viol - gang-bang

08 heures, il est plus que temps pour Hélène de se rendre à son travail. Hélène, la trentaine, est secrétaire de direction à la « Fiduciaire Lafarge ». Monsieur LAFARGE est bien entendu son amant,en attendant d’être bientôt, du moins l’espère t’elle, son mari.

C’est ainsi qu’elle voit les choses, non seulement elle est une collaboratrice très efficace, mais aussi une maîtresse remarquable, apte à satisfaire l’amant le plus exigeant. Par ailleurs elle connait également beaucoup de choses sur les affaires de Monsieur LAFARGE, des affaires peu reluisantes, des affaires qui seraient bien capables de l’envoyer rapidement méditer sur la relativité des choses et la précarité de toute situation malhonnêtement acquise.

Mais actuellement on n’en est pas là, nous sommes entre « gens du monde ». Elle sait, son amant sait qu’elle sait, et dans le monde feutré où ils évoluent l’un et l’autre, bien des choses s’échangent d’un seul regard.

C’est à ce moment qu’un utilitaire Renault se présente dans son allée. Un jeune homme bien de sa personne en sort en costume de livreur tenant à la main un bordereau de livraison. Il sonne et se présente fort aimablement :

- Bonjour madame, c’est pour la livraison.

- Mais quelle livraison ? je n’ai rien commandé ! Répond Hélène.

Le livreur apparemment fort dépité dit alors :

- Ah ! Ecoutez madame, sur le bordereau de livraison il y a votre nom, et votre adresse. Tout ce que je sais du colis c’est qu’il est particulièrement encombrant et déclaré « fragile ». Je veux bien admettre que vous en refusiez la livraison mais il faudra alors apposer votre signature à même le colis.

Intriguée, Hélène suit le livreur et passe la tête dans le combi. Brutalement elle se sent poussée à l’intérieur, tandis que dans le combi deux paires de mains la saisissent immédiatement, l’immobilisent, lui passent des menottes aux poignets et aux chevilles, un bâillon dans la bouche, et une cagoule sur les yeux. Le tout n’a duré que quelques secondes, et déjà le combi reprend sa route. Personne ne s’est rendu compte de rien.

Passé les premiers instants de terreur, Hélène reprend son calme, et comme toujours, surtout dans les moments de grand stress, son cerveau se met à fonctionner à toute allure. Première constatation : tout s’est passé très rapidement, très discrètement, très efficacement et sans aucune violence, ce sont indiscutablement des « professionnels ». Deuxième constatation : ses ravisseurs ont pris toutes les précautions pour qu’elle ne puisse les reconnaître, ni reconnaître le trajet entrepris, il est donc certain qu’ils comptent la relâcher vivante, c’est déjà un bon point. Restent en suspens plusieurs questions : qui l’a enlevée, pourquoi a-t-elle été enlevée, et que va t’il se passer avant d’être relâchée ?

Sur cette dernière question, elle commence à se faire une sérieuse idée : des mains avides la palpent sans retenue, une main s’insinue sous son chemisier, s’attarde sur la fine dentelle de son soutien-gorge, soupèse ses seins et tord le bout des tétons, tandis qu’une autre main remonte sa jupe, suit le gainé de ses bas, s’arrête un instant un peu étonné devant le porte-jarretelles inattendu, remonte encore et tombe visiblement déconcertée sur un pubis rasé.

- La salope. sous ses airs de bourgeoise BCBG, sous son tailleur blanc strict, cette salope n’a pas de slip.

La fouille continue, un doigt ne tarde pas à s’immiscer dans sa chatte pour constater que les parois sont déjà sérieusement humides, et son clitoris bien turgescent. Ces premières constatations étant faites, la main se montre plus indiscrète et part maintenant à la recherche de son anus. En quelques manipulations expertes, l’homme se rend vite compte que de ce côté non plus sa « cliente » n’est pas vierge. « La journée risque d’être chaude » se dit-il.

Devant la tournure des événements, Hélène s’attend à être violée là, dans cette camionnette en route vers Dieu sait où. Et bien non, aussi brutalement que la fouille avait débuté, elle s’arrête net.
La voix du chauffeur retentit :

- Comment ça se présente à l’arrière ?

- Bien, très bien ! Lui répondit la voix de l’homme à côté d’elle.

- Madame est très coopérative et plein de surprise ! enchaîna un autre plein de sous-entendus.

- Monsieur Tartaglia sera très content, et ce sera très certainement un très gros succès commercial.

Qui est ce « Tartaglia » ? Ce nom disait vaguement quelque chose à Hélène. Brutalement elle se souvient, il y a 15 jours un homme est venu voir son patron. Il prétendait représenter les assurances « Tartaglia’ », des assurances qui disait-il assuraient les employeurs contre des risques d’exploitation non couverts par les autres compagnies : incendies volontaires, défaut de sécurité dans la chaîne de fabrication, concurrence déloyale, médisances et faux bruits divers. Bref c’était du racket. Monsieur LAFARGE ne se laissa pas impressionner, et le courtier fut promptement mais fermement mit à la porte.

Les choses en restèrent là pendant 15 jours, plus de nouvelles des racketteurs. Monsieur LAFARGE en déduisit fort logiquement qu’il avait en fait eu affaire à un escroc qui espérait lui soutirer de l’argent sous la menace d’un faux racket. Evidemment les événements récents tendaient à infirmer ce raisonnement.

« Mais enfin les choses ne se présentent pas si mal que cela » se dit Hélène, toujours aussi froide et calculatrice. La mafia c’est la mafia, ce sont des gens sérieux, honnêtes et raisonnables. Ils t’enlèvent, tu les paies, ils te libèrent. C’est aussi simple que ça, pas de soucis à se faire, tu payes, t’es libre.

A ce moment, Hélène ne pouvait penser un seul moment qu’André, son amant, ne paye pas. Il en avait largement les moyens, ce n’était pas tous les jours que l’on tombait sur une femme pareille, intelligente, rigoureuse dans son travail, élégante, toujours tirée à quatre épingles, que ce soit pour ses vêtements ou ses sous-vêtements, 35 ans, BCBG, 95 C, et maîtresse parfaite.

Hélène, depuis longtemps, avait perdu toute notion de l’itinéraire suivi. On l’avait laissé tranquille sur son siège, et bercée par les bruits de la route, elle s’était finalement endormie. Un changement du rythme de la conduite, le bruit de gravier sous les roues la tirent de son sommeil. « On doit être bientôt arrivé » se dit-elle.

Effectivement le véhicule ne tarde pas à s’immobiliser, et aussitôt la porte coulissante latérale s’ouvre. Une main charitable la tire délicatement de son siège. Bientôt on lui enlève ses menottes, son bâillon et sa cagoule. Où est-elle ? Difficile à dire, très vraisemblablement très loin. Les bâtiments tout autour sont vieux et délabrés, ils font penser à un ancien motel des années 60 qui aurait été laissé à l’abandon. Plusieurs voitures, quelques motos et plusieurs mobylettes sont garées çà et là sans grand souci d’ordre. La porte du bâtiment principal, le seul qui semble encore habitable, s’ouvre.

C’est bien lui, c’est bien le courtier des assurances « Tartaglia » qui se présente sur le perron. Il l’accueille d’un air faussement chaleureux :

- Madame LACAZES, Madame Hélène LACAZES, bienvenue chez nous, nous vous attendions !!! Vous vous rappelez de moi je crois, je suis le représentant local des assurances « Tartaglia ». Monsieur Tartaglia est désolé que votre employeur n’ait pas souscrit à l’assurance. L’offre était pourtant intéressante, les primes réduites, et la couverture fort étendue. Elle couvrait entre autres, et plus précisément dans votre cas, le rapt et le viol collectif des collaboratrices. Je crois que Monsieur LAFARGE n’est pas suffisamment conscient de la fréquence et de la gravité de tels sinistres Aussi allons-nous lui filmer toute la scène et lui faire parvenir la cassette une fois que celle-ci aura été correctement montée. Pour ne pas faire de jaloux, et afin de rentrer dans nos frais, la vidéo sera également disponible sur notre site payant Internet. Vous comprendrez que les meilleurs clichés seront disponibles sur des sites gratuits, il faut bien appâte’ les clients. Mais rassurez-vous, les visiteurs sauront sûrement se montrer discrets. Nous vous demandons la meilleure coopération possible pour faire de cette vidéo un grand succès commercial. D’ailleurs, je crois que vous y avez tout intérêt, car si cela ne s’avérait pas possible, si nous n’avons pas votre pleine collaboration, nous passerions immédiatement à la phase 2, une phase qui ne nécessite strictement aucune collaboration de votre part, comme ces quelques photos le montrent.

Hélène regarde les photos et très rapidement blêmit. Toutes les photos concernent des femmes immobilisées et atrocement torturées. En essayant de ne rien laisser paraître de son trouble, elle lui retourne les photos en murmurant à voix basse :

- Ça va, j’ai compris, vous pourrez compter sur ma plus parfaite collaboration.

- Je vous remercie, je n’en attendais pas moins de vous. Je vous confie donc à ces deux messieurs, ils vont vous guider jusqu’au plateau de tournage, c’est tout naturel, vous êtes en quelque sorte la vedette du jour.

Chancelante, ne sentant plus ses jambes, à moitié sonnée, à moitié paniquée, Hélène suit les deux hommes qui l’escortent fort correctement mais en la dévorant littéralement du regard. Le petit groupe traverse le bâtiment, et pénètre dans ce qui fut un jardin intérieur. Au centre, une piscine vide, tout autour une bonne dizaine de jeunes, visiblement des petites frappes de banlieue, plusieurs beurs, quelques blacks, un ou deux blanc et quelques filles aussi.

Toutes les conversations s’arrêtent net, tous les regards convergent vers elle, ça va être sa fête, et elle le sait.

Quatre hommes se présentent, ils portent chacun une caméra vidéo. L’équipe est au complet, la fête va pouvoir commencer, sa déchéance va pouvoir commencer, rien ne lui sera épargné, tout sera filmé, tout dans les moindres détails.

Les deux hommes qui lui servent d’escorte l’invitent alors à descendre dans la piscine, et à prendre place sur un petit podium érigé en son centre, tandis que les petites frappes prennent place tout autour, sur le bord de la fosse.

Hélène est blême, mais elle s’est reprise. Courageusement elle monte avec peine les quelques marches du podium. Les marches sont hautes, et la jupe de son tailleur est fort étroite, la contraignant à des contorsions que les petites frappes feignent de prendre pour une invite.

Les commentaires salaces commencent à fuser, et les filles ne sont pas les dernières. Hélène a bien compris. Elle va y passer. Dès lors plus vite elle les excitera et plus vite ce sera fini,
du moins c’est ce qu’elle pouvait croire à ce stade, toujours est-il qu’elle va faire de son mieux pour chauffer au maximum la salle.

Hélène est maintenant sur le podium, les cameramans officiels ont pris position, les hauts parleurs diffusent une musique d’ambiance, les caméras commencent à ronronner, quelques petites frappes ont apportés leurs propres appareils vidéo. C’est parti, et de toute évidence c’est parti pour de nombreuses heures.

Hélène se met tout de suite en phase avec la musique, le rythme elle a ça dans la peau. Le public s’en rend vite compte et applaudit avec enthousiasme, la séance s’annonce bien. Hélène se met à tourner sur elle-même en suivant impeccablement le rythme de la musique. Lentement, délicatement, elle se met à ôter la veste de son tailleur blanc, une veste qu’elle fait tournoyer au-dessus de sa tête, avant de finir par la jeter avec dédain à ses pieds. Les approbations fusent, le public applaudit.

Au tour de son chemisier maintenant. Un à un, elle en défait chacun des boutons. Brusquement, et à l’étonnement général, plutôt que l’ôter, elle se saisit des deux pans de son chemisier pour les tirer vers le bas et dégager d’une façon provocante ses deux épaules.

La salle s’échauffe visiblement, Hélène se comporte en vraie « professionnelle », ça change les petites frappes des bourges coincées et mal fagotées qui leurs sont habituellement jetées en pâture par Monsieur Tartaglia.

Le chemisier suit la veste, et Hélène apparaît maintenant en soutien-gorge, et en jupe, montée sur de délicats escarpins blancs vernis. Le contraste entre cette femme visiblement torride et ce blanc est saisissant. Son soutien contient avec peine sa superbe poitrine, les commentaires approbateurs continuent de fuser.

Au tour de sa jupe maintenant. Toujours en rythme avec la musique, Hélène dégrafe sa jupe, puis la fait glisser lentement le long de ses longues jambes, dévoilant au passage et à la stupéfaction générale un porte-jarretelles blanc assorti à son soutien, et un pubis complètement rasé.

Un bref silence se fait, très vite rompu par un tonnerre d’approbation. Les mâles sont surexcités, certains appellent leurs copains sur leurs portables, une affaire pareille, ça ne se voit pas tous les jours. Sur la scène, Hélène ne se rend compte de rien, mais insensiblement le nombre de spectateurs augmente, leur excitation aussi.

Mais Hélène n’a pas le temps de se lancer dans de grandes considérations. Plusieurs gars surexcités ont déjà pris la petite estrade d’assaut, leurs pantalons gonflés ne laissant aucun doute sur leurs intentions. En connaisseurs, ils ont, de leur propre initiative, décidé d’arrêter là le strip et de se faire faire une belle fellation publique devant l’œil attentif des caméras qui n’ont pas perdu un détail de la scène.

Hélène est brutalement prise par les cheveux, mise à genoux de force, tandis que quatre sexes vigoureux et de bonne taille lui sont mis devant la bouche. Pas besoin de commentaire, elle sait ce qu’on attend d’elle. Elle les suce un à un, puis devant l’excitation générale, en suce deux à la fois, tout en n’oubliant pas de branler les deux autres.

Soudain, elle en sent venir un. Elle saute sur sa bite turgescente, abandonnant temporairement les deux autres. Elle suce le mec à mort. Il ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche. « Un de moins » se dit-elle, tout en avalant le sperme qui lui remplit la bouche.

Tout autour, l’assemblée s’est considérablement étoffée. C’est maintenant une trentaine de jeunes qui se pressent autour de la piscine, pratiquement toute la bande des « Biscottes’ ». Ah, il y aura des choses à raconter aux copains demain.

Le public est électrisé, le petit podium est littéralement pris d’assaut et en devient dangereusement instable. Des mains la soulèvent et la descendent, la séance de fellation continuera, mais au sol. Hélène est maintenant entourée par une bonne vingtaine de jeunes qui veulent tous se la faire par tous les trous.

Un black a sorti un appareil photo, et tous veulent se faire photographier avec cette superbe « bourge » en sous-vêtements fins en train de leur faire la meilleure pipe de leur vie. Le flash crépite, chacun aura son tour, deux bites à la fois maintenant, photos de groupe les bites dressées au garde à vous et Hélène à genoux, au centre, la tête tournée vers l’appareil par une poigne vigoureuse dans les cheveux, un tableau de chasse et ce n’est qu’un début.

Des bagarres éclatent, le public s’impatiente, y en aura-t-il pour tout le monde ? Une main s’insinue dans sa chatte, elle en ressort trempée. Le type se redresse aussitôt, montre sa main dégoulinante à l’assistance, et s’écrie :

- elle est à point les mecs, elle dégouline, j’ai jamais vu ça.

Aussitôt on s’empare d’elle, on la jette sur un tas de matelas empilés qui fait un bon mètre de haut. Elle est mise en travers, ses jambes et sa tête pendent dans le vide. On se saisit de ses jambes, on les écarte. Ainsi placée, sa chatte, grande ouverte, est juste à hauteur de bite. Les mecs vont se régaler, les cameramans aussi. C’est vraiment un grand jour.

Morte de honte, Hélène se met discrètement à pleurer, cela n’échappe pas à l’assistance, c’est encore mieux ainsi. Un cameraman fait un gros plan de sa vulve trempée, un autre un gros plan des larmes qui commencent à parcourir son visage défait. Le montage s’annonce long et fort agréable se disent-ils.

Un black se présente, son sexe est tendu à l’extrême, son visage est congestionné, il n’en peut visiblement plus. D’un violent revers de bras, il écarte les autres, et sans préambule il enfonce brutalement sa bite au fond de la chatte. Surexcité, il éjacule aussitôt sous les quolibets des autres spectateurs. Il se retire dépité en n’ayant qu’une seule parole pour la femme martyrisée :

-  Salope !

Un autre black prend aussitôt sa place, tandis qu’Hélène se voit forcée de sucer et de branler les spectateurs impatients qui n’hésitent pas à malaxer ses seins, à enfoncer profondément les mains dans sa chatte, et à triturer son clitoris au point de la faire parfois hurler de douleur au plus grand plaisir de l’assistance.

Le suivant est d’une toute autre trempe. Il bande comme un taureau, son sexe est d’une taille réellement impressionnante, et il sait visiblement mesurer ses efforts. Il commence par taquiner les lèvres et le clitoris d’Hélène avec son gland. Surprise par la douceur de la caresse, Hélène n’en peut plus, et elle hurle une jouissance comme elle n’en a jamais connue. Les félicitations et les quolibets fusent, on est loin d’avoir fini la séance.

Hélène est là, offerte aux mâles, sans défense, mais toujours respectable et splendide. Ses longs cheveux blonds bouclés sont empoignés par les mecs qu’elle suce, certains continuent à faire des photos en gros plan de leur bite dans sa gueule de salope, une photo qui trônera longtemps dans leur chambre, c’est certain.

Elle a curieusement toujours son soutien-gorge, mais les bonnets sont complètements retournés, dévoilant une poitrine opulente copieusement malaxée par tous les participants. Certains plus vicieux, désirant l’entendre gémir lui pincent méchamment les tétons, mais à ce jeu c’est les filles avec leurs longs ongles qui se montrent les plus fortes. Elles en ont marre de cette salope, de cette « bourge » qui se fait tringler par tous leurs mecs, et elles savent comment faire mal, on apprend beaucoup de chose dans les escaliers d’une cité.

Les cris de douleur d’Hélène, ses plaintes deviennent plus fréquentes, ce qui excite encore un peu plus, si besoin était, les spectateurs. Certains ont même repris des forces et comptent bien remettre ça.

Plus bas, sa taille fine est toujours enserrée par son porte-jarretelles. Le spectacle est un vrai ravissement, les cameramans professionnels et amateurs s’y attardent d’ailleurs bien volontiers : gros plan sur cette bite noire énorme qui lentement et puissamment la défonce en lui imposant son rythme, retour sur son visage maintenant noyé dans les larmes, retour sur le géant noir qui la besogne toujours vigoureusement sous les acclamations de la foule.

Une nouvelle fois, et elle ne sait comment, le noir parvient à lui arracher un foudroyant orgasme. Un tonnerre d’applaudissement accompagne cet orgasme inattendu. Profitant de l’approbation générale, le noir décide de pimenter le jeu, il se retire et présente son sexe tout contre la rondelle. Hélène s’y attendait depuis le début, mais maintenant on y est. Quelques petits coups et le sphincter se laisse forcer sous les applaudissements des spectateurs.

Un cameraman s’approche, il veut absolument prendre un gros plan. Le spectacle est absolument incroyable, ce sexe énorme dans ce cul magnifique, et les lèvres d’Hélène encore gorgée par le sang de son récent orgasme. C’est un spectacle magnifique, inoubliable.

Fier du spectacle qu’il offre, le géant noir s’écarte quelque peu laissant les cameramans et photographes immortaliser la scène. Puis, revenant à ses propres préoccupations, il augmente brutalement la cadence de son martèlement jusqu’à ce qu’il éjacule loin dans le fond du cul d’Hélène. Il cède la place au suivant qui commençait à sérieusement s’impatienter.

Le suivant, un beur monté comme un âne, et sans doute émoustillé par la présence des caméras, décide de se montrer plus télégénique. Il décide de changer Hélène de position. Sa proposition recueille immédiatement l’accord de l’assemblée. Il s’étend sur le matelas, et force Hélène à venir s’empaler sur son membre en lui tournant le dos. Il lui écarte les fesses, et glisse, sans grande difficultés, son sexe dans le cul d’Hélène encore distendu par l’énorme bite de son prédécesseur.

Le cameraman bondit, une scène comme cela il ne peut pas la rater, sinon il est viré. Hélène est là, un sexe introduit dans son cul jusqu’aux couilles, son porte-jarretelles toujours tendu, ses escarpins toujours aux pieds, et son sexe béant ouvert à tous, un sexe qui ne va pas tarder de toute évidence à accueillir un nouveau partenaire dans un hallucinant sandwich.

Hélène a bien compris ce qui va lui arriver, elle ne peut s’y soustraire, aussi est-ce presque avec soulagement qu’elle sent le cameraman laisser la place à un nouveau partenaire qui la pénètre et la besogne sans ménagement. Elle est violemment prise en sandwich, tandis que deux mecs qui se sont hissés sur le tas de matelas la forcent à se faire sucer à tour de rôle.

Ils sont maintenant près de trente autour d’elle, et la belle ordonnance du début commence à laisser place à l’improvisation. Plusieurs spectateurs sont ivres, la pile de matelas brutalement sollicitée menace de s’effondrer. Il y a plus d’une heure que cela dure, et les caméras sont presque toutes en bout de course.

L’agitation est cependant à son comble, les meneurs ont maintenant tous pris leur pied, et il est temps de laisser la place aux autres, on ne saura de toute évidence plus rien tirer de bien de cette salope déjà prise par tous, et par tous les trous.

Aussitôt les leaders partis, l’ambiance change du tout au tout. Hélène est descendue sans ménagement de sa pile de matelas pour être tirée à l’écart. Ses derniers vêtements ne tardent pas à lui être arrachés.

Ses pleurs maintenant constants ont fait couler son rimmel, elle est littéralement écartelée par les prétendants surexcités. Certains ivres ne bandent plus et veulent lui introduire n’importe quoi dans la chatte, mais on n’en est pas encore là. Beaucoup n’ont pas encore tiré leur coup et s’interposent. Ce n’est pas encore le moment pour ce genre de gaminerie. Tantôt oui, mais pas maintenant. Bien vite une évidence se fait, si on veut encore pouvoir tirer quelque chose de cette salope, il faudra cesser de se chamailler, et organiser un tour de rôle.

Hélène est plaquée au sol sur un matelas, les bras et les jambes écartelés. Elle branle, elle suce, elle se fait baiser, elle se fait enculer par l’un, par l’autre, par deux mecs à la fois, parfois même des filles se glissent dans la file et à la grande satisfaction de l’assistance se font elles aussi sucer par Hélène qui lentement, progressivement, commence à perdre conscience.

Mais elle n’en a pas fini, ils n’ont pas eu tous leur compte. On ne sait pas jouir raisonnablement avec un corps inerte, les filles l’ont bien compris, elles amènent un seau d’eau glacée avec lequel elles aspergent le visage maintenant inexpressif d’Hélène.

C’est à leur tour de prendre leur pied, leurs mecs sont repus, elles n’en tireront rien de plus cette nuit, mais il leur reste Hélène, Hélène qui va être ranimée et ranimée encore, afin que rien de sa déchéance ne lui échappe.

FIN.

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