dimanche 27 janvier 2019

Une pute BCBG. Ch. 04

Une pute BCBG - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Madame de Saint Preux se tape la racaille.


Rachid, Brahim et Momo n'en reviennent toujours pas de la chance qu'ils ont! Ils ont été bien inspirés en décidant de suivre cette bourgeoise. Depuis une bonne heure, ils se régalent de la voir se faire baisée dans toutes les positions par le grand black qui semble être son chauffeur ; Ils sont cachés dans la cuisine et ils n'arrêtent pas de filmer avec leurs téléphones portables. Un vrai film porno! Maintenant, la bourge est à genoux dans le salon en train de lécher sa bonniche qui gémit sous les coups de langue de sa patronne. Rachid a sortie sa queue et se branle furieusement. Un plan a germé dans son esprit et il en a parlé aux autres qui sont d'accord. Avec le film qu'ils viennent de « réaliser », ils peuvent faire chanter cette superbe bourgeoise.

Maria donne des coups de reins pour mieux sentir la langue de sa patronne qui s'enfonce dans les replis de son intimité. Elle prend un pied immense à contraindre cette distinguée bourgeoise a la lécher. On imagine bien que c'est une première pour Madame de Saint-Preux! Elle a d'abord violemment refusé, il a fallu que Charles la fesse violemment et la menace de l'enculer a nouveau avec une des bouteilles de vin de sa cave pour qu'elle obtempère. Charles la branle sans ménagement, lui enfonçant ses doigts dans sa chatte dégoulinante.

- Elle est trempée cette salope!

Madame gémit sourdement, elle veut protester mais Maria la tenant solidement par les cheveux la force à continuer son gouinage. Madame lui donne des coups de langue, léchant la cyprine avec un sale plaisir inavouable. Elle est trempée. Elle mordilla le clitoris de Maria qui poussa un cri bref et resta inerte sur la moquette.

Rachid décide de passer à l'action. C'est le moment. Les trois jeunes sortent de la cuisine provoquant la stupeur de la bourgeoise et ses domestiques. Maria, encore à terre, se relève et Charles, la bite à l'air, se dirige vers eux l'air menaçant.

- Dégagez de la, petit morveux!

Rachid montra tout de suite son portable à Charles qui n'est pas idiot. Il a déjà compris. Conciliabule avec le jeune caïd. Pendant ce temps, Brahim et Momo s'emparent de Bénédicte et Maria qui poussent des petits cris. Elles sont dirigées vers le canapé, coincées entre Brahim et Momo qui sont tous deux d'une stature imposante. Madame et sa bonniche ne protestent plus.

Le marché de la petite frappe est très clair. Si vous ne voulez pas que le film se retrouve sur Internet, il va falloir que la bourgeoise en chaleur soit très obéissante. Madame entend ses paroles et proteste :

- C'est hors de question! Charles faites quelque chose !

Charles et Rachid s'affrontent du regard, se jaugent. Le chauffeur de Madame se dit que finalement il peut y trouver son compte.

- Ok, mais ça sera pas gratuit ! Je te la loue.

Horrifiée, Bénédicte de Saint-Preux écoute son chauffeur et ce jeune qui pourrait être son fils parler d'elle en termes de bétail que l'on achète.

La transaction financière se termine et les deux parties tombent d'accord sur un prix.

Rachid se tourna vers le canapé ou Brahim et Momo ont commencé l'exploration de leur nouveau jouet. Ils malaxent les seins de Madame qui tente de se dégager tant bien que mal. Rachid s'approcha sortant sa bite et la présenta devant la bouche de Bénédicte qui tourna la tête en faisant une grimace de dégoût. Il agrippa ses cheveux et la contraignit à avaler sa queue. Des larmes montèrent aux yeux de Madame. Les seins toujours maltraités par les deux jeunes, elle commença à sucer le jeune homme qui fit coulisser avec un plaisir sadique sa queue entre les lèvres pulpeuses de la bourgeoise.

Charles s'est approché de Maria, excité par la situation de voir sa patronne livrée à ces trois jeunes pervers. Maria aussi est excitée, son fantasme se réalise pleinement : sa patronne va devenir leur esclave sexuel ! Mais pas seulement à elle et à Charles mais aussi à ces trois jeunes qui doivent jubiler a l'idée d'avilir cette femme d'âge mur. Les bruits de succions provoqués par la bouche de Bénédicte allant et venant sur la bite dressée de son « acheteur » emplit le salon. Se mélangeant aux halètements de Brahim et Momo qui jouent avec les seins de Madame. On les lui tord, on suce les pointes des mamelons, on les soupèse. Momo se pencha et mordilla un téton ce qui fit couiner de douleur Madame. Brahim engouffra son index dans le vagin de Bénédicte qui sursauta.Le bruit obscène des doigts de Brahim clapotant dans le sexe béant de Madame de Saint-Preux les fit rire.

- Ça joue les bourgeoises mais des qu'on la chauffe un peu ça coule comme une fontaine.

Maria posa la main sur la protubérance provoquée par l'érection de Charles. Elle le dégagea et le goba, sa langue commençant un ballet endiablé autour de son gland.

Bénédicte de Saint-Preux fut mise à genoux sur la moquette. Elle geint sous les coups de langue de Rachid derrière elle. Pour la préparer a-t-il dit. Devant elle, Momo lui a enfoncé sa queue dans la bouche et elle le suce avec application. Son corps ne lui appartient plus, elle ne sait plus ou elle se trouve, elle est dans une semi torpeur. Toutes ses mains qui l'explore la rende folle...Folle de dégoût, de honte mais aussi de plaisir...Ses sens se réveillent. Elle poussa un cri, étouffé par la bite de Momo, quand Rachid, les mains crispés sur ses hanches, la pénétra. Son ventre vient claquer contre les fesses de Madame ; Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Elle gémit sans discontinuer. Elle recrache le sexe de Momo pour reprendre sa respiration. Son corps est secoué comme un prunier par Rachid qui la pilonne avec vigueur. Brahim lui tourne la tête, la forçant à accepter sa queue.

Elle doit alterner entre les deux bites qui se présentent devant son visage ravagé, grimaçant sous les coups de queues de Rachid.

Charles a cambré Maria sur le bord du canapé et il la défonce comme un fou la faisant couiner de bonheur. La vue de sa patronne prise comme une chienne par ces trois jeunes la rend dingue!

Rachid c'est retiré de la chatte de Madame et il l'a allongé sur la grande table du salon, les jambes relevées à la verticale, il donne de violents coups de reins faisant tressauter ses seins. Brahim la tenant toujours par ses cheveux fais coulisser sa bite dans sa bouche accueillante. Rachid accéléra ses mouvements en grognant et sortit précipitamment, éjaculant sur le ventre de Madame. Aussitôt remplacé par Momo.

Brahim lui aussi sent qu'il ne va plus pouvoir se retenir.Il dégagea son sexe dur et se branla au dessus du visage de la bourgeoise. Des jets de sperme fusèrent allant s'écraser sur le visage de cette bourgeoise prétentieuse. Les filaments blanchâtres lui souillèrent les cheveux, le front et coulèrent sur son nez et ses lèvres. Rejoint par Charles qui déversa son sperme sur sa patronne en grognant de plaisir.

Momo a obligé Madame de Saint-Preux à se mettre à quatre pattes au milieu de la pièce. Il s'agenouille derrière elle et pointe son gland vers l'ouverture de ses reins. Bénédicte poussa un hurlement et tenta de s'échapper aussitôt retenue par Brahim et Rachid. Bénédicte remua des fesses ce qui excita encore plus son tourmenteur. Elle sentit le gland forcer son anus et elle gémit.

D'une brutale poussée, Momo s'enfonça de toute sa longueur faisant hurler Bénédicte. Elle halète sous l'intromission. Les traits crispés par la douleur. Momo commence à bouger faisant aller et venir sa bite dans le cul de Madame. Il accéléra donnant des coups de reins de plus en plus violents, faisant couiner Bénédicte qui secoue la tête dans tous les sens. Haletante, gémissante. Momo lui défonce le cul en haletant, sa queue coulisse facilement maintenant dans l'étroit boyau.

Sentant le plaisir monter de ses reins, il se retira et voulant, lui aussi, humilier cette bourgeoise friquée, il l'obligea a se retourner et lui lâcha tout son foutre sur son visage.

Bénédicte de Saint-Preux, sa robe en lambeaux, les bas déchirés, est affalée sur la moquette de son salon, recouverte de sperme. Elle tente de récupérer. Autour d'elle, ses tourmenteurs regardent le film sur leur portable et discute ensemble de la suite à donner :

- Faut mettre le film sur Internet. Y a des sites spécialisées pour ça.

- Faudrait pas qu'on la reconnaisse.

- On peut flouter le visage, pas de problème.

Se tournant vers Charles, Rachid lui demande si il peut lui louer Bénédicte pour l'emmener dans ça Citée. Charles ne s'y oppose pas mais pas ce soir car les Saint-Preux ont des invités, Mr et Mme Bourbon Dumas. Mr Bourbon Dumas est le Directeur général pour la France d'une grande Multinationale américaine.

Intéressé, Rachid demande :

- Et la bourge de ce type, elle est comment?

Charles eut un sourire entendu :

- 65 ans, encore pas mal, il parait.

- Ça nous en ferait une en plus.

- Faut voir


Bénédicte entend tout cela mais ne réagit pas alors que Charles et ses complices parlent d'elle en termes odieux. Elle pense a son amie Marie-Chantal Bourbon Dumas. Allait elle, elle aussi, tomber entre les griffes de ces pervers?

A suivre...

Sortie scolaire. Ch. 05

Sortie scolaire- récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

A la pharmacie !

Hélène CARTIER, sous la contrainte, a accepté un rendez-vous de son maître chanteur le lendemain, elle est déjà prévenue de ce qui l'attend si elle veut récupérer sa tenue de bain.

Et le lendemain, en tout début de matinée, le mini bus la laissait sur la place de la cathédrale, il était convenu qu'ils la reprendraient vers 17 h 30 au même endroit.

Elle avait largement le temps de vaquer à ses occupations avant de rejoindre son suborneur. Elle avait passé une bonne partie de la nuit, yeux grands ouverts, remâchant ce qu'il lui imposerait : il voulait la ... la sodomiser ou plutôt l'enculer comme il disait ... bien sûr, n'étant pas tout à fait novice en matière sexuelle, elle savait ce dont il s'agissait, mais entre savoir et pratiquer ... il y avait un grand pas .... Et ce grand pas, elle le savait elle devrait le franchir dès le lendemain. Tout ce qui lui venait à l'esprit c'était cette célèbre scène d'un tango à Paris au cours de laquelle Marlon Brando sodomisait Maria Schneider, petit à petit les détails de cette scène lui revenaient à l'esprit : le beurre, la bestialité de Brando, la grimace de souffrance de Maria Schneider, ses cris de femme « forcée », et enfin son délire de femme comblée.

Les cris surtout résonnaient dans sa tête, l'affolaient, elle voyait déjà l'image de son futur enculage s'imprimer sur ses rétines, elle se voyait croupe tendue, tremblant de tous ses membres, guettant avec angoisse l'inévitable effraction, inéluctable puisqu'elle pressentait que de sa bonne volonté à son égard dépendrait grandement de son sacrifice.

Et il s'agissait bien d'une offrande puisque jamais son mari n'avait même osé ... lui proposer ... jamais elle n'aurait pensé pouvoir envisager de se faire prendre par cet orifice, pour elle inapproprié, bien sur, elle savait que certaines pratiquaient ce genre de rapports, mais elle avait toujours considéré qu'il s'agissait soi de putains que l'homme payait, et cher, pour cet office, soi de salopes qui ainsi retenaient leurs amants, jamais elle n'aurait entrevu qu'un jour elle se voie obligée de pratiquer elle-même cette chose qui lui paraissait honteuse, sale .....

Elle était consciente qu 'après l'avoir contrainte à quasiment se prostituer avec lui, elle avait bel et bien acheté son silence avec son corps, il l'avait même forcée à prodiguer elle même des caresses que jamais elle n'avait accordée, des fellations, à lui et ses copains, en avalant le sperme, ce qui déjà lui avait alors semblé le summum de sa déchéance, à lui faire l'amour tandis qu'il restait passif, l'obligeant ainsi à se démener sur, ou sous, lui pour l'amener à l'orgasme, c'est d'ailleurs à ce moment qu'elle avait pris conscience qu'elle trompait son mari, que la situation évoluait fâcheusement, qu'elle s'engageait dans une autre forme de relation.

Et de plus elle qui craignait la souffrance, entendre les cris de douleur Maria Schneider, évoquait chez elle une sensation de déchirure, une souffrance aiguë, et cela ....

Toutes ces raisons la paniquaient, et pourtant, curieusement, elle savait déjà qu »elle endurerait tout de lui, mais était-ce vraiment dans l'unique but de récupérer son trophée, elle préférait ne pas y penser plus.

Chargée comme un baudet, de sacs de linge sale, elle eut le bonheur de trouver rapidement une laverie dans une rue adjacente à la cathédrale, elle confia les vêtement crasseux à une responsable qui promit de les lui remettre propre entre 17 et 18 heures. Cette tâche ne lui avait guère pris plus d'une heure, elle avait donc encore largement le temps de se procurer le nécessaire dans une pharmacie, remontant vers la cathédrale, elle retrouva l'enseigne qu'elle avait distinguée peu auparavant.

La sonnerie retentit dans le local vide, un laborantin entre deux âges lui sourit derrière son bureau, soulagée de l'absence de clientèle, elle s'approcha de la caisse et, la voix peu sûre elle demanda :

- S'il vous plaît, monsieur, auriez vous de .... De la vaseline ?

- Mais bien sur madame. Répondit le pharmacien, la figure barrée d'un large sourire.

L'hésitation marquée par la cliente lui avait laissé supposer une utilisation peu médicamenteuse de la substance, soupçonnant un usage particulier de la pommade, il résolut de se payer la tête de cette belle et fière bourgeoise, de lui faire dire l'inavouable..

- Cependant .... Il me serait nécessaire, pour vous satisfaire, d'en connaître l'usage...

A ces mots, inattendus, la belle Hélène s'empourpra, elle bégaya :

- Mais ... Je vous demande de la vaseline .... C'est pas bien sorcier ... servez-moi ...

- Tout ce que je vous demande, chère petite madame, c'est l'utilisation que prévoyez pour cet article, il existe sous plusieurs formes, en baume, en pommades plus ou moins dosées, dans une solution sirupeuse ...

- .... Mais .... En quoi ...

- Est-ce pour traiter une irritation locale, pour un adulte, un bébé ...

- Heu ... c'est pour une adulte ...

- Pour traiter une zone enflammée ? une brûlure ? un échauffement ? Pour faciliter une pratique sexuelle ? Je ne peux pas vous donner n'importe quoi .....

Et le fard aux joues, d'un timbre sourd elle confia :

- C'est pour .... Heu ... pour une pratique sexuelle .....

- Pour vous? pour des homos ...? » le produit varie encore suivant cet aspect. Inventa-t-il, ravi du trouble évident de son interlocutrice.

- C'est .... C'est pour moi .. Larmoya-t-elle les larmes perlant aux paupières.

- Excusez moi jolie, madame. vous êtes coutumière de ce genre de rapports ... ou bien ? Argumenta-t-il encore, enfonçant le clou.

Suffocant soudain d'indignation elle s'insurgea brusquement :

- En quoi cela vous regarde-t-il ? Je n'ai pas à vous ... dire ...

- Si c'est ainsi, madame. L'interrompit-il soudain, feignant une brusque irritation.

- Allez vous faire servir dans une autre pharmacie, ..... de toute manière on vous posera les mêmes question.

Jetant un coup d'œil affolé à sa montre, elle comprit qu'elle devait soit se plier au dictât de cet indiscret, soit rejoindre son « amant » sans l'ingrédient réclamé, elle n'avait plus le temps de chercher une autre officine.

Elle allait tourner les talons, lorsque le dictât de son suborneur lui revint à l'esprit, elle devait se rendre au rendez-vous nantie de cette maudite pommade, sinon .... Sinon elle ne savait d'ailleurs pas ce qui arriverait ... mais la moindre représailles serait de ne pas lui rendre son maudit maillot .... Et ça .. elle ne pouvait pas se le permettre.

Aussi, yeux bloqués sur le plancher, écarlate, elle avoua d'un ton éteint.

- C'est la première fois ....

Hilare s'adressant à un acolyte caché par les rayonnages, le carabin réclama :

- Raymond, y a une cliente qui va se faire enculer .... C'est la première fois qu'elle se faire éclater la rondelle .... Que lui conseillerais-tu ?

Et éperdue de honte, elle vit apparaître un second personnage, ses lunettes ne cachant pas son air goguenard, qui d'un ton docte s'informa :

- Cela dépend de la qualité du muscle, .... l'indice de performance de la vaseline en dépend. Précisa-t-il entrant dans la comédie.

Et comme interloquée, elle restait muette il crut bon d'insister :

- Possédez-vous un sphincter anal tonique, très tonique, relâché ..... Il me faut le savoir.

A cet instant, la sonnerie de la porte tinta, indiquant l'arrivée d'un client potentiel, et alors que le potard accentuait encore :

- Pour être plus précis, êtes-vous crispée du trou du cul? Lorsque vous vous branlez, vous mettez-vous un doigt, le pouce ..... plusieurs doigts ... une bougie ... un goulot de bouteille ?

Comprenant le jeu des deux préposés, hilares, elle comprit, si elle voulait encore sauvegarder un petit peu sa dignité, il lui fallait répondre rapidement, faire cesser ce supplice avant que les nouveaux clients ne s'approchent à distance d'écoute. Oppressée, elle souffla :

- Je ... je suis plutôt serrée de cet endroit ... je vous en prie ... délivrez moi le produit adéquat ...

Soulagée, elle vit enfin le second interlocuteur tendre au premier un tube de pommade. "Enfin"  pensa-t-elle sortant son porte-monnaie.

Lui rendant sa monnaie, l'odieux personnage lui décocha une dernière flèche de Parthe :

- Tenez jolie madame ..... vous pourrez vous faire enculer à satiété avec ce baume .... Et, puisque ce sera une première ... Laissez moi vous souhaiter de vous faire éclater la rondelle en tout confort ..... vous serez satisfaite, rien de tel qu'une bonne préparation pour se faire éclater le trou du cul sans trop souffrir.

Et tandis que sous les éclats de rire des deux jeunes qui venaient d'entrer, elle cherchait à s'enfuir le plus rapidement, il crut bon de s'appesantir :

- Vous savez comment vous y prendre ..... une perle sur le doigt et vous vous graissez le trou du cul en allant bien profond .....


Elle n'entendit pas le reste, étant enfin parvenue, en trébuchant, les yeux voilés de larmes de honte à fuir cette officine de malheur.

A suivre....


Mon aventure Ch. 07

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Janvier me raconte son initiation.

J'explique sans doute trop ce que je ressens de certains aspects de ma vie. Mais je vais continuer quand même à extraire de ma mémoire mes sensations durant ce passage de ma vie.

Je me mis à genoux sur le siège avant de la voiture, exposant ainsi mon cul à peine couvert à la fenêtre et j'écoutai l'histoire de ma fille Janvier tout en lui léchant la chatte.

Son histoire fut interrompue par des ordres qu'elle me donna. Elle me dit le lui lécher le cul. Elle voulait que je lui fasse plaisir avec ma langue et mes doigts. Elle me fit lécher ses petites lèvres sur toute la longueur encore et encore puis son clitoris.

Elle me demanda d'alterner et de ne pas rester toujours au même endroit avec ma langue. Je compris qu'elle ne voulait pas jouir trop vite. Elle voulait que je la taquine avec ma bouche. Elle voulait une lente relation lesbienne.

Certaines parties de son histoire furent tendres et me firent aimer encore plus mon mari. Certaines parties furent perverses et choquantes et me firent désirer encore plus mon mari Il fut difficile pour moi de séparer mes sentiments.

Jack et Janvier eurent plusieurs discussions. Mon mari expliqua à sa fille que les choses sont différentes aujourd'hui. Les rendez-vous ne sont plus le meilleur moyen de rencontrer quelqu'un. Les gens se trouvent au centre commercial ou au travail, vont les uns chez les autres et essaient de se plaire.

Les personnes ne sont plus aussi importantes aux yeux des autres. Alors les relations ne durent pas car on passe plus facilement d'une personne à une autre.

Janvier comprit certaines choses mais n'arriva pas à voir les différences subtiles entre hier et aujourd'hui. Jack lui dit qu'il avait in plan pour qu'elle comprenne. Il lui demanda de s'habiller pour la soirée suivante. C'était un soir où je devais travailler jusqu'à la fermeture et ces soirées-là, chaque membre de la famille faisait son propre chemin.

La tenue d'une jeune fille de 18 ans est bien différente aujourd'hui de celle que j'avais quand j'étais jeune. Le soir indiqué, Janvier entendit la sonnerie de la porte et alla ouvrir. Elle était vêtue d'une mini-jupe noire et d'un chemiser crème. Elle ouvrit la porte et trouva son père, en costume, tenant un bouquet de fleurs.

Il sortit avec sa fille pour un rendez-vous. Ils allèrent dîner. Jack lui demanda de poser ses questions et il y répondit. Après le dîner ils se promenèrent dans le parc. Ils s'assirent sur un banc et continuèrent de parler tout en écoutant les bruits de la nuit.

Jack embrassa légèrement sa fille et lui prit la main. Janvier n'avait jamais été traitée de cette façon et elle fondit. Jack la prit dans ses bras et il dansa avec elle. Elle lui murmura à l'oreille :

- Je veux que ce rendez-vous dure tout le temps.

Jack tourna son visage et l'embrassa profondément. Il lui prit la main et l'emmena dans un hôtel. Il avait déjà réservé une chambre. Jack utilisa tout son savoir en séduction. Tout en l'embrassant il fit glisser ses doigts sur ses seins, sous sa jupe et entre ses cuisses.

Il lui murmura qu'elle était belle et sexy. Il l'embrassa dans le cou et la serra dans ses bras, ses mains caressant son dos et descendant sur son cul. Il pencha la tête et la regarda dans les yeux.

En fin de compte la respiration de ma fille s'était accélérée et elle était prête. Mon mari la déshabilla et l'embrassa sur tout le corps. Il la lécha entre les jambes jusqu'à ce qu'elle soit mouillée et bien ouverte.

Il ne demanda rien à Janvier. Il la pénétra lentement. Il se déplaça en elle jusqu'à ce que sa bite soit complétement à l'intérieur. Il lui fit l'amour tendrement avec de longues pénétrations. Il embrassa ses mamelons et prit son temps. Puis il la vit s'agiter et sentit de la moiteur sur son sexe. Elle venait d'avoir son premier orgasme dans les bras de son père. Elle lui dit qu'elle ne s'était jamais sentie aussi vivante et sexy.

Elle murmura à l'oreille de Jack, avouant son amour et le suppliant de jouir en elle. Il se laissa aller et embrassa ses lèvres tout en éjaculant dans sa chatte. Il la tient longuement contre lui tout en continuant de l'embrasser.

Ils se rhabillèrent et revinrent à la maison. En chemin, ils inventèrent une histoire pour expliquer leur soirée. Mais ils n'eurent pas à l'utiliser car quand ils arrivèrent à la maison, ils étaient les premiers à rentrer.

Dans la maison vide, Janvier rigola et embrassa longuement son père avant de monter l'escalier. Jack prit une douche et me rejoignit quand je revins. Je n'ai rien soupçonné.

Le lendemain, après que tout le monde soit parti, Jack appela Janvier en bas. Sam était là avec un ami qui se nommait John. Quand elle arriva en bas, les deux étaient nus. Elle entra dans la cuisine avec une chemise comme seul vêtement.

Elle fut choquée de la scène. Son père était nu sous son peignoir grand ouvert, en train de boire du café. Un grand homme noir, nu lui aussi s'en versait une tasse et un autre homme noir était assis, nu, à la table.

Jack lui demanda d'enlever ses vêtements. Elle hésita alors il la déshabilla. Après lui avoir donné une fessée il la tourna vers les deux hommes noirs. Pendant une heure, tous les trois abusèrent d'elle. Elle apprit à sucer et à baiser. Jack prit sa virginité anale et remplit son cul de sperme.

Sam et John avaient tous les deux des bites impressionnantes. Elles étaient plus grandes et plus épaisses que celle de Jack. Mais ces trois hommes avaient des queues plus grosses que celle du garçon avec qui elle avait eu des expériences.

Après 20 claques sur son cul, son visage était rouge de honte, aussi rouge que son cul. Jack fourra deux doigts dans sa chatte et annonça qu'elle était prête à être baisée. John l'attrapa et la souleva pour la poser sur la table.

Janvier baissa les yeux quand elle sentit John promener la tête de sa bite de haut en bas sur ses petites lèvres. Puis elle sentit qu'il la posait sur l'entrée de sa chatte. Il poussa fort, entrant la moitié de son membre en elle. Elle sentit qu'il la remplissait et elle laissa échapper un cri étouffé.

A sa grande surprise, elle s'habitua très vite à cette grosse queue. Elle regarda, fascinée, ce grand gourdin noir entrer et sortir de son vagin. Elle vit ses lèvres se resserrer sur ce gros engin noir. Son jus coula et elle vit la queue de plus en plus humide à chaque poussée.

Ses pensées furent interrompues quand John sortit sa queue pour la présenter à son visage. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose et elle ne put que dire « mmmmppphh » quand l'homme enfila sa bite entre ses lèvres ouvertes. John commença à baiser sa bouche alors que Sam glissait sa bite en elle.

Elle apprit et quelques minutes plus tard, elle suçait mieux en faisant tourner sa langue autour du gland. John se retira subitement et sa chatte fut vide. Les hommes changèrent de place si vite qu'il ne fallut même pas quelques secondes pour Janvier sache qu'elle était en train de sucer son jus sur la bite de Sam. Elle aima donc elle fit de son mieux pour bien prendre en bouche la grosse queue noire. Mais elle du plusieurs fois reprendre son souffle, surtout quand John pilonnait sa chatte.

Celui-ci ne put se retenir plus longtemps et il éjacula en elle. Elle le sentit se raidir mais ne sut pas qu'il avait joui avant de sentir le sperme couler de sa chatte vers son cul. Son père s'approcha et mit sa queue dans sa bouche alors que Sam s'était déplacé pour profiter de la petite chatte serrée.

Il la baisa dans plusieurs positions. Il la tourna sur le côté et la baisa. Puis il la tourna sur la table et la baisa par derrière. Ensuite elle s'assit sur ses genoux et sa bite et Sam la tint par les hanches pour la monter et descendre en rythme sur sa bite.

Elle continua à sucer son père mais elle se concentra surtout sur le membre en elle. Sam s'enfonça très profond et remplit lui aussi sa chatte. Alors elle se mit à genoux entre ses jambes devant lui et lécha sa bite pour la nettoyer.

Elle était étourdie et elle put à peine reprendre son souffle quand Jack la redressa et la plia sur la table. Il y avait beaucoup de sperme pour enduire la queue de son père. Elle écarta les jambes pour qu'il la pénètre mais Jack posa son gland sur le petit trou du cul et il poussa.

Elle ressentit une grande douleur quand le gland étira et pénétra son anus. Jack poussa lentement jusqu'à ce qu'il soit complètement à l'intérieur. Janvier sentit chaque seconde de cette expérience dans la douleur. Elle serra les dents et l'accepta dans son petit trou serré.

Elle pleura pendant que la queue entrait et sortait de son cul jusqu'au moment où elle le sentit s'arrêter et qu'un liquide chaud inonde ses entrailles. Tout d'un coup elle se sentit plus chaude et accueillante. Elle en voulait plus alors que la bite ramollit et sortit de son cul en laissant couler le sperme.

John et Sam la baisèrent une nouvelle fois. Lorsqu'ils furent partis, Jack prit Janvier sur ses genoux pour parler. Il lui dit qu'il voulait lui montrer la différence en l'amour et le sexe sauvage. La nuit dernière, elle était une amante, aujourd'hui elle était une salope.

Il lui expliqua que si elle attendait le bon garçon, ça serait romantique et elle ferait l'amour. Par contre si elle se dispersait, elle se sentirait utilisée et baisée.

Elle remua sur ses genoux pendant qu'ils parlaient. Jack sentit le sperme couler de la chatte et du cul de sa fille sur ses cuisses. Puis elle s'amusa avec le sexe de son père tout en parlant.

Elle lui dit, le choc passé, qu'elle avait découvert qu'elle aimait faire l'amour mais elle aimait encore plus baiser. Elle voulait s'améliorer dans ce domaine. Elle descendit de son père et se mit à genoux. Elle lui demanda de baiser son visage.

Jack la pencha sur la table après qu'elle l'eut bien sucé. Elle bavait et remuait son cul. Il poussa sa queue en elle d'un coup dur. Son corps eut un spasme. Elle lui dit plus tard que ce fut le meilleur orgasme qu'elle ait jamais eu.

Janvier cria :

- Baise moi!!!

Maintes et maintes fois, elle poussa son cul contre la bite de mon mari jusqu'au moment où elle sentit qu'il se vidait en elle. Elle resta appuyée sur la table, la respiration difficile, jusqu'à ce que Jack se retire. Elle dit :

- J'aime être une salope.

Jack l'attrapa par les cheveux et la remit à genoux en disant :

- Une vraie salope continue à travailler jusqu'à ce qu'elle ait tout nettoyé.

Il poussa sa queue dans sa bouche. Elle lécha le sperme et le jus de sa chatte sur la bite afin de bien la nettoyer. Puis il la poussa et elle tomba sur son cul. Elle leva les yeux vers lui, un sourire sur le visage et elle dit :

- Baise-moi, j'aime ça.

Jack la releva et la serra dans ses bras, leurs deux corps nus collés pendant qu'ils s'embrassaient. Puis il claqua son cul et lui dit qu'il allait la rejoindre dans la douche. Ce jour-là il appela son travail pour prendre un jour de congé.

Tous les deux, le père et la fille, passèrent le reste de la journée complètement nus. Mon mari fut à la fois l’entraîneur, le mentor et le maître. Il la traita comme une chienne toute la journée.

Elle suça sa queue jusqu'à ce qu'il remplisse sa bouche de sperme. Il la baisa plusieurs fois sans pouvoir éjaculer car il s'était déjà trop vidé.

Entre deux baises, il lui donna des conseils de santé, comment rester propre et faire attention à son corps. Elle sentait déjà qu'elle pouvait avoir du pouvoir grâce à sa sexualité et sa confiance grandit avec les conseils et la formation de son père.

A 18 ans, elle se sentit prête à conquérir le monde. Elle posa beaucoup de questions et elle fit des plans pour son avenir. Ses hésitations et sa timidité disparurent rapidement, beaucoup plus rapidement que prévu.

Jack lui conseilla de se tester et de continuer sa formation de salope en même temps. Elle accepta et mon mari téléphona à Sam. Janvier demanda à son père de quoi ils avaient parlé mais Jack se contenta de sourire en disant :

- Tu verras demain...

Ils avaient baisé et appréciait pendant des heures. Mais ils savaient que le reste de la famille allait bientôt revenir. Alors ils terminèrent avec quelques baisers et ils prirent une autre douche ensemble.

Ensuite ils nettoyèrent la maison pour que tout semble normal au reste de la famille. Enfin Jack s'éloigna de Janvier en lui disant de se tenir prête le lendemain matin. Sam devait la prendre.

Sam arriva tôt le lendemain matin. La maison était vide à l'exception de Janvier. Elle descendit l'escalier et trouva l'homme noir, habillé, assis à la table et buvant un café. Elle retira son chemisier et sa jupe pour rester en string devant lui. Mais l'homme dit :

- Rhabille toi fillette. Pas ici et pas maintenant.

Sam l'emmena dans sa voiture et ils démarrèrent. Sam lui dit de l'écouter et de faire ce qu'il disait. Elle sourit malicieusement et lui répondit qu'elle ferait ce qu'elle voudrait.

Pendant tout le trajet ils se disputèrent au sujet de qui serait le responsable. Plus tard, Sam dit à Jack que sa fille avait tenu bon et qu'elle en avait « une belle paire ».

Sam emmena Janvier dans un bar de son ancien quartier. Quand ses yeux s'habituèrent à la faible lumière, ma fille vit qu'elle se trouvait dans un vieux bar. Il était sombre, très vieux et pas très propre.

Même à cette heure, des hommes étaient assis au comptoir et buvaient. Le silence se fit quand Sam et ma fille entrèrent. Ils traversèrent le bar jusqu'à l'arrière salle. Le seul visage blanc était celui de Janvier.

Sam s'assit et sortit sa queue. Elle se dressa d'un coup mais comme il était assis, elle sembla plus petite. Janvier ne bougea pas, un peu impressionnée par l'environnement. Sam lui demanda de sucer sa bite.

Elle obéit. Pendant qu'elle le suçait il parla aux autres hommes qui étaient venus pour regarder. Il leur dit que cette salope blanche était là pour les baiser tous. Janvier fut prise au dépourvu, le choc et l'excitation se mélangeant. Elle s'étouffa presque sur la grosse bite de Sam.

Elle avait un peu peur, elle était un peu excitée, mais elle fut déterminée quand elle sentit sa culotte s'humidifier. Elle suça Sam plus lentement et descendit lécher ses couilles.

L'un des deux hommes qui faisaient semblant de venir jouer au billard demanda :

- Combien?

Sam regarda Janvier dont le regard s'éclaira. Elle arrêta sa fellation et regarda les hommes :

- 2 euros pour une pipe, 50 euros pour ma chatte.

Elle recommença de sucer Sam. Mais une autre idée lui vint. Elle ajouta :

- 100 euros pour baiser mon cul.

Les hommes regardèrent cette petite fille blanche sucer une queue. Et après sa formation de la veille, elle montra beaucoup de talent. Elle suça le membre en bougeant sa tête de haut en bas, faisant quelques fois une pause pour sucer et lécher les couilles. Puis Sam saisit sa tête dans ses grandes mains et lui baisa la bouche.

Elle étouffa un peu mais elle garda son sang-froid. Sam remplit bientôt sa bouche de foutre. Elle avala et lécha sa queue pour prendre les dernières gouttes.

Avant d'avaler, elle avait ouvert la bouche vers les hommes qui regardaient afin de montrer qu'elle était pleine. Puis elle avala et rouvrit la bouche et tira la langue pour leur montrer qu'elle était vide maintenant. Elle leva les yeux vers Sam et lui dit :

- J'ai tout eu, je vous remercie.

Sam rangea sa queue et alla s’asseoir dans un coin comme un bon proxénète. Il était surpris par cette fille. Elle n'avait pas l'air d'être la même fille que la veille.

Il recueillit l'argent de deux hommes et leur fit signe d'y aller. Un vieux mais très grand homme vint et attrapa Janvier. Un jeune homme athlétique le suivit. Le grand la porta sur la table de billard et l'allongea. Le jeune homme la déshabilla à partir de la taille et le vieil homme lui enleva ses vêtements du bas.

Ensuite il lui écarta les jambes et la tira afin qu'elle ait son cul au bord de la table. Le jeune homme sortit sa queue et la présenta devant son visage. Elle commença à le sucer. Puis elle sentit quelque chose d'énorme entre ses jambes. Elle baissa les yeux et vit la grosse tête d'une bite bien épaisse essayer d'entrer dans sa chatte.

Avec la queue du jeune homme dans sa bouche, elle ne put protester. Alors elle essaya d'aider l'homme en jouant avec son clitoris et en tortillant son bassin. Elle pensa que le vieil homme risquait d'avoir une crise cardiaque avant d'avoir enfoncé complètement sa bite dans sa chatte.

Le vieillard s'arrêta à plusieurs reprises pour reprendre son souffle. Elle pouvait entendre sa respiration sifflante. Bientôt le jeune homme remplit sa bouche avec son sperme. Elle put alors concentrer son énergie sur l'homme dans sa chatte. Ses jambes étaient très écartées par le gars. Elle poussa en avant pour s'empaler sur la grosse queue. Le vieux la pilonna et avec un grognement, il se vida en elle.

Elle fut descendue de la table et elle dut s'occuper de quatre hommes avec sa bouche. A genoux, elle comprit rapidement ce que chacun d'eux apprécie. Elle joua de la langue sur les endroits les plus sensibles ainsi qu'avec leurs couilles. Quand elle arriva au quatrième homme, elle prit sa bite sans étouffer. Il jouit dans sa bouche deux minutes plus tard.

Quelqu'un passa derrière elle et elle se retrouva la tête sur le sol et le cul en l'air. Sa petite chatte ouverte attendait la prochaine bite. Elle resta dans cette position et ferma les yeux, appréciant la sensation d'être ainsi utilisée. Le sperme dans sa chatte n'a pas le temps de couler avant qu'un autre homme enfile sa queue en elle.

Comme pour les fellations elle apprit beaucoup. Elle découvrit que certains aiment baiser lentement, en poussant et en se retirant doucement pour faire durer. Un autre homme l'a juste pénétrée et pilonnée jusqu'à ce qu'il déverse son foutre en elle.

Un autre homme se pencha sur elle et tira, pinça ses mamelons pendant qu'il la baisait longuement Il avait une longue queue, assez épaisse. Il la baisa avec un rythme soutenu. Il pilonna sa chatte encore et encore avant de gicler dans son ventre.

Elle n'a pas vraiment compté. Elle a juste apprécié ce qui lui été donné. Plus tard, elle dit à Sam qu'il devait y avoir cinq hommes. L'homme noir la corrigea et lui dit qu'ils étaient 6 ou 7 avec le grand vieillard.

Elle ne bougea pas de sa position pendant quelques minutes, attendant la prochaine bite. Ses petites lèvres étaient écartées, sa chatte ouverte, du sperme dégoulinant sur le sol. Sam vint la rejoindre et lui dit que c'était terminé. Elle alla dans les toilettes et se nettoya. Elle ne sortit nue et rafraîchie. En regardant l'horloge du bar, elle se rendit compte qu'elle avait baisé pendant deux bonnes heures.

Elle remit sa jupe et son chemisier et elle fourra sa culotte dans son sac à main. Elle s'approcha de Sam et l'embrassa puis elle lui chuchota à l'oreille. Sam murmura quelque chose et elle sourit en lui tendant son sac à main. Elle passa derrière le comptoir et s'approcha du barman. Elle lui fit une bise sur la joue et lui lécha l'oreille.

- J'allais oublier de payer la location de la salle. Murmura-t-elle.

Elle se mit à genoux et défit le pantalon de l'homme. Elle découvrit son talent d'exhibitionniste dans cette position. Les hommes au bar regardèrent le show de ma fille. Elle lécha et suça la bite avec une grande habilité. Elle suça chacune des couilles dans sa bouche.


Tous les hommes bavèrent d'envie quand elle finit de lécher les couilles, puis fit courir sa bouche tout au long de la queue jusqu'à la pointe. Elle ouvrit grand la gueule et elle engloutit la grosse bite jusqu'à ce que son nez soit enterré dans les poils pubiens.

Elle n'avait plus de réflexe nauséeux. Mais ce gars n'avait pas une grosse bite par rapport à certaines des autres. En fin de compte elle réfléchit et se rendit compte que tous ces hommes noirs avaient de belles bites mais pas aussi grosses que ce qu'elle avait entendu au sujet des noirs.

Elle travailla sur la queue pendant 10 minutes, changeant de méthode à chaque fois qu'elle sentait que l'homme allait jouir. Celui-ci gémissait la tête en arrière. Puis elle ne put le retenir plus. Elle laissa le premier jet de sperme frapper le fond de sa gorge puis elle se retira et laissa le deuxième jet frapper son visage. Sa bouche engloutit de nouveau le membre pour les derniers jets.

Elle fit glisser sa langue sur la queue jusqu'à ce que toute trace de sperme eût disparu. Elle se leva, laissant le membre pendre. Elle fit face aux hommes accoudés au bar et avec son doigt elle ramassa le sperme sur son visage et elle le mangea. Du foutre coulait sur son menton. Elle le récupéra pour le mettre dans sa bouche puis elle nettoya son doigt. Quand elle eut fini elle dit :

- J'espère que vous m'inviterez de nouveau les gars.

Elle retourna aux toilettes et quand elle en sortit Sam lui dit :

- Un de plus.

Janvier regarda et vit un homme en train de frotter le devant de son pantalon. Son travail avec le barman l'avait excité et il voulait profiter de cette petite chatte blanche. Elle releva sa jupe pour exposer son sexe rasé. Puis elle se pencha sur un tabouret du bar et elle remua son cul en disant :

- Venez, c'est pour vous.

Le barman, ne voulant pas de problème, verrouilla la porte d'entrée. Janvier et Sam repartirent dans l'arrière salle. Le barman mit le panneau pour indiquer que le bar était fermé pour une soirée privée.

Ma fille ne savait pas si elle avait déjà sucé ou été baisée par cet homme auparavant mais elle était contente de remettre ça. Elle bougea son cul pour être en rythme avec le noir qui la baisait. Les autres hommes regardaient. Son baiseur la tenait par les hanches et la pilonnait avec des coups longs et lents.

Un frémissement parcourut sa chatte. Elle sut que c'était un petit orgasme. C'était le premier de la journée après cette séance de sexe. Janvier aima encore plus son père qui s'obligeait à lui donner du plaisir. Le noir vida ses couilles en elle et recula.

Les autres hommes regardèrent le goutte à goutte du sperme sortant de sa chatte bien baisée. L'homme avança vers le visage de la jeune fille et mit sa bite dans sa bouche. Elle nettoya le membre et se demanda si elle avait le goût du sperme de sept hommes en plus de son jus.

Après que l'homme soit satisfait, elle resta penchée sur le tabouret pendant un moment, la jupe relevée à la taille, du sperme dégoulinant de son sexe. Enfin elle poussa un soupir de contentement et se leva. Elle avait offert un de ses trous pour être utilisé par tous ces hommes.

Personne n'avait rien fait pour lui faire plaisir et satisfaire son excitation. Mais elle se dit que c'était parfait. Il était normal pour des hommes de vider leurs couilles dans une fille consentante.

Ils n'ont pas essayé de lui faire croire qu'il y aurait plus. Ils n'ont pas menti, ils n'ont pas dit qu'ils l'aimaient et ils n'ont essayé de lui faire croire qu'il y aurait une relation après. Elle était une salope c'est tout.

Elle se sentit désolée pour des filles qu'elle connaissait. Elle savait qu'elles croiraient aux mensonges et se laisseraient faire en espérant être heureuses. Janvier avait trouvé son chemin. Elle était heureuse. Elle n'avait pas à se prendre la tête.

Elle tira sa jupe et se dirigea vers le comptoir. Elle appela le barman et commença ses remerciements avec lui. Elle l'embrassa et le serra dans ses bras pendant qu'il fit courir un doigt le long de sa chatte. Il tendit ce doigt et elle le lécha. Elle serra sa bite et lui fit un beau sourire.

Elle s'arrêta devant chaque client du bar pour l'embrasser et se laisser tripoter comme ils voulaient. Les hommes touchèrent son cul et sa chatte ainsi que ses seins. Ils levèrent un peu le chemisier pour lécher, sucer et mordre ses mamelons. Un gars l'attira contre lui, mit sa main sous la jupe et glissa un doigt mouillé dans son trou du cul.

Personne n'avait utilisé son cul, peut-être à cause du prix élevé. Elle découvrit qu'elle voulait un peu d'attention sur cette partie de son anatomie. Alors elle s'appuya contre l'homme et essaya d'avoir plus du doigt dans son cul. Mais finalement elle s'éloigna et continua ses remerciements.

Enfin, elle regarda la rangée de visages satisfaits et se dirigea vers la porte après avoir pris la main de Sam. Avant de sortir, elle s'arrêta et fouilla dans son sac à main. Elle sortit sa culotte et l'accrocha à une pointe sur le mur puis elle lança un baiser et sortit.

Alors que Sam la reconduisait à la maison elle lui avoua qu'elle était très chaude. L'homme rigola et dit :

- Tu t'es transformée en une vraie salope pour noir.

Elle rit elle aussi :

- Il suffise que l'on dise « noir » pour penser à une énorme bite. J'ai toujours entendu ce genre de choses mais ce n'est pas vraiment vrai n'est-ce-pas? certains des hommes là-bas n'avait pas de bite plus grosse que celle de mon papa.

- J'espère juste que personne n'a trouvé qu'il était trompé sur la marchandise.

Elle se mit à rire à nouveau. Sam regarda cette petite fille, si chaude, si jeune, si facile mais très mature pour son âge. Elle dit encore :

- Mais regarder une grosse bite noire pénétrer ma petite chatte rose est très excitant.

Elle releva sa jupe et écarta les jambes en disant :

- Je sens que je suis prête pour plus. Je me sens bien baisé mais je n'ai pas vraiment joui. Le dernier gars m'a donné un peu de plaisir mais je pense que je dois jouer avec mon clitoris pour me donner un gros orgasme.

Elle commença à caresser sa chatte. Elle enterra deux doigts d'une main dans son vagin pendant que l'autre main titillait son clito. Sa tête était renversée en arrière, les yeux fermés. Elle espérait l'orgasme.

Sam se demanda si c'était la cause de l'expérience qu'elle venait d'avoir, ou de quelque chose qu'elle voulait. Peut-être que dans son esprit elle était devenue une pute. Il continua de conduire, la regardant aussi souvent qu'il le pouvait, en sentant sa bite grossir dans son pantalon.

Elle jouit brusquement sur un cri étouffé. Sam s'arrêta et Janvier sortit sa queue. Elle la branla de haut en bas. Sam remonta son chemisier et pinça ses mamelons alors qu'elle se mit à sucer sa queue.

Agenouillée sur le siège, elle mit une main entre ses jambes pour jouer de nouveau avec son clitoris. Elle jouit encore avec la bite de Sam dans la bouche. Aussitôt l'homme éjacula et remplit sa gorge. Elle se laissa retomber sur le siège.

Ses jambes étaient grandes ouvertes et sa jupe retroussée à la taille. Sam pouvait voir ses petites lèvres gonflées pendant qu'il conduisait. Sur le chemin ils parlèrent et Janvier dit qu'elle voulait plus. Elle voulait essayer d'autres choses et être plus souvent utilisée.

Sam lui répondit qu'il avait des amis qui seraient heureux de briser une petite fille blanche. Les yeux de ma fille brillèrent d'excitation et elle lui dit qu'elle voulait commencer tout de suite. Puis elle dit :

- Voyons combien nous avons gagné.

Ils se garèrent derrière la maison. Janvier finit de compter l'argent et dit :

- Combien veut le proxénète?

Elle se mit à rire et tendit l'argent à Sam. Celui-ci dit :

- C'est pas mal. Il te suffit de garder la bouche et la chatte ouverte pour les affaires.

- Et ça? Dit en riant Janvier en remontant sa jupe pour montrer son cul.

Sam sourit et dit :

- ça aussi.

Puis il gifle son cul et ajoute :

- Je te verrai demain matin.

Janvier prit un long bain. Puis elle attrapa ses vêtements, regarda le rond d'humidité sur le dos de la jupe et sourit. Elle jeta ses habits dans la machine à laver puis elle alla s'asseoir à son bureau. Elle commença à écrire son plan et ses règles.

Quand Jack rentra à la maison, elle lui raconta avec enthousiasme toute sa journée et ce qu'elle prévoyait pour le lendemain.

Puis ils parlèrent de moi, de ce que j'étais devenue, de ce que je ne faisais plus à la maison et des punitions que je méritais. A partir de là, leurs pensées sont parties dans des rêves érotiques et pervers. Ils décidèrent de m'enlever tous mes droits, de m'humilier et d'abuser de moi.

Avant de faire cela, ils décidèrent de recruter mes autres filles dans leur plan. Jack dit à janvier qu'il avait une autre raison de vouloir faire cela.

Tout en parlant Jack se déshabilla. Janvier baissa sa jupe et enleva son haut. Puis elle chevaucha son père dans le fauteuil en se laissant tomber sur sa queue. Ça devenait une chose naturelle pour eux. Pendant qu'ils parlaient, la fille montait et descendait sur la bite du père.

Elle s'arrêta et Jack comprit que sa bite était guidée vers le cul de Janvier. Celle-ci gémit :

- Mon pauvre cul, il n'a pas eu une seule dose de sperme de la journée.

Elle frotta ses mamelons contre la poitrine de son père tout en montant sur la queue. Pendant que son cul serré s'empalait sur la bite, elle lui dit son plan pour emmener ses sœurs dans leur nouvelle vie.

La respiration haletante, Jack lui dit :

- Je vais jouir bébé? Où veux-tu?

- Dans mon cul papa! Je veux avoir le goût de mon cul sur ta bite que je vais nettoyer. Répondit Janvier.

Elle embrassa son père pendant qu'il la saisit par les hanches pour pousser un grand coup et se vider en elle.

- J'aime ça. Murmura-t-elle à l'oreille de Jack.

Puis elle ajoute :

- Je veux que maman me lèche le clito pendant que tu la sodomiseras. Quand tu auras terminé je laisserai ton sperme goûter dans sa bouche. Puis elle nettoiera ta bite et léchera mon cul.

Elle recommença à l'embrasser. Jack était excité. Sa fille si douce il y a une semaine a disparu. Une grosse salope a pris sa place et complote pour transformer les nuits en orgie incestueuse.

Elle descendit de dessus lui, lui nettoya la bite et ses couilles avec sa langue. Elle travailla jusqu'à ce que le membre luise de propreté. Puis elle lui raconta dans les moindres détails sa journée? Quand elle eut fini, Jack lui avoua que Sam l'avait déjà appelé comme convenu.

Son père lui dit qu'il avait aimé entendre l'histoire de Sam. Celui-ci lui avait tout décrit du point de vue d'un spectateur. Et Jack aimait les histoires de chattes bien utilisées.


A suivre...

dimanche 20 janvier 2019

L'anniversaire de mariage.

L'anniversaire de mariage - Récits érotiques - humiliation - soumission - viol - gang-bang


Ce soir c’est la fête, vingt ans de mariage sans nuage, les enfants sont partis chez leurs amis et mon mari m’offre le restaurant. Je suis allée faire quelques achats, une mini-jupe en cuir rouge, un body transparent en dentelles ainsi qu’un string ridiculement petit, un soutien-gorge pigeonnant qui cache difficilement la pointe de mes seins, ainsi que des bas. Le grand jeu quoi ! Vingt ans c’est quelques chose et mon mari est adorable.

Il aime tout ce qui touche au sexe alors que je suis moi-même un peu coincée sur le sujet et j’ai décidé pour notre anniversaire de lui faire plaisir. Je suis BCBG, plutôt jolie, pas très grande, svelte, des seins encore fermes et bien proportionnés, un fessier plutôt coquin, un sexe bien lisse et rond, des jambes galbées et un visage d’ange, c’est ce qu’on me dit en tout cas.

Nous sommes partis assez tôt et sommes bien trop en avance pour le restaurant. Après avoir flâné dans la campagne, mon compagnon arrête notre voiture près d’un petit bar, m’attrape par les épaules et m’embrasse langoureusement.

- Je t’aime. Me dit-il.

- Moi aussi, comme au premier jour.

Il m’embrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins de mon soutien-gorge. Il les caresse délicatement en s’attardant sur les pointes qui ne tardent pas à s’ériger et durcir. Puis il continue ses caresses en promenant sa main sur mon sexe qui commence à s’humidifier tout doucement. Il relève mes jambes, m’enlève le string et pose avec amour ses lèvres sur le mont de vénus pendant que ses mains se baladent sur mes fesses. Il titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu avec mon clitoris de quelques coups de langues puis se relève brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :

- Reste comme ça !

Il met mon slip dans la boite à gant.

- Allons voir ce petit bar, nous prendrons l’apéritif ici, nous avons le temps et le resto n’est plus très loin, nous finirons cette discussion après le dîner. Dit-il avec un large sourire coquin.

Il m’embrasse à nouveau et sort de la voiture. Je remets de l’ordre dans ma tenue vestimentaire, sors de la voiture et vois ce qui devait être le patron du bar s’éloigner en hâte de la fenêtre. A priori, il n’avait rien raté du spectacle. Peut-être à tort, je ne dis rien à mon mari qui n’avait pas l’air d’avoir remarqué le voyeur d’autant qu’il n’aime pas trop ce genre de situation. Le bonhomme n’avait peut-être pas tout vu et n’importe comment, nous n’avions pas poussé la chose trop loin. Et puis comme j’avais décidé ce soir d’être coquine, cela me donnait ma première expérience d’exhibitionniste malgré que ce fut involontaire. Cela me choquait beaucoup moins que j’aurais pu le penser, peut-être était-ce dû aux caresses que mon mari venait de me prodiguer.

- Bonsoir m’sieur-dames ! Nous lance le patron en matant ma poitrine généreuse.

Celle-ci est à peine cachée par le soutien-gorge sous le chemisier transparent. Je l’exhibe volontairement, forte de ma première expérience et de mon petit minou encore tout mouillé.

- Bienvenue chez « ROBERT », installez-vous, ce n’est pas la place qui manque.

Le patron est seul avec ses deux dobermans. C’est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après que l’on lui ai expliqué le pourquoi de notre présence. Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d’autres et plus particulièrement de ma tenue sexy que mon mari trouve à son goût.

- J’aimerai bien que tu t’habilles toujours comme ça. Me dit-il.

- On verra. Répondis-je en lui attrapant la main au creux de la mienne.

La soirée s’annonçait bien et je me sentais d’humeur charmante. J’étais vraiment heureuse et prête à tout pour que mon époux le soit aussi.

Peu de temps après, un groupe d’hommes arrive perturbant ainsi notre intimité. Ils s’installent à côté de nous, nous saluent, commandent plusieurs bouteilles d’alcool, discutent avec le patron qu’ils semblent connaître puis composent leurs cocktails eux même dans un joyeux brouhaha.

Mon mari interpelle le patron et commande une seconde tournée, j’en profite pour tirer sur ma jupe qui décidément vraiment très courte, découvre mes cuisses presque jusqu’à mon sexe. Cela attire visiblement le regard du petit groupe d’à côté. Que l’on voie mes cuisses passe et m’excite même un peu, pour le sexe c’est autre chose. Je leur trouve un air pas très catholique malgré qu’ils soient rieurs et chahuteurs. Voyant que je les regarde, l’un d’eux se lève et vient discuter avec nous.
 
- J’espère que nous ne vous dérangeons pas trop. Nous dit-il en regardant furtivement ma poitrine.

Il sourit et nous précise qu’ils sont là pour enterrer la vie de garçon de l’un d’eux et s’excuse du bruit occasionné. Nous lui répondons cordialement qu’il n’y a aucun problème et, que nous-même sommes ici pour notre anniversaire de mariage. Nous précisons que nous leur laisserons la place libre rapidement pour aller au restaurant.

- Ça sera bientôt au tour du futur marié de compter les années de vie commune. Nous dit l’un du groupe.

Et il nous propose gentiment de trinquer avec eux. Sans attendre mon avis, mon époux accepte et nous levons tous nos verres au futur marié et à nous même. Nous entamons une discussion courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutôt sympathiques. Constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter à leur mixture et, sans attendre notre réponse, le même homme qui s’était déplacé la première fois se lève à nouveau et remplit nos verres. Bien que fort en alcool leur cocktail est bon et nous commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et ses contraintes.

Le temps passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari regarde sa montre et me fais signe de la tête qu’il est l’heure d’y aller. Constatant que nous nous préparons à partir, ils insistent pour nous offrir une dernière tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables. Nous souhaitions être tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous avons envie de passer une bonne soirée, alors un peu d’animation avant le dîner est la bienvenue et le restaurant attendra bien un peu.

Mon mari semble ravi, la soirée commence bien et il raconte ses dernières petites histoires assez salaces.  Nous écoutons les leurs pendant qu’ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous n’avons pas l’habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne. Je me sens pour ma part sur un petit nuage, euphorique. Je remarque à plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins et mes cuisses que je croise et décroise volontairement, j’ai envie maintenant de continuer l’exhib commencée sur le parking et d’exciter ces hommes avant de partir.

- Nous allons vous laisser maintenant. Leur dit mon mari qui n’a pas l’air d’aller très bien non plus.

- Attends cinq minutes, je vais me refaire une beauté. Lui-dis-je.

A vrai dire une petite envie m’oblige à avoir recours aux toilettes avant de partir. Je me lève, tire sur ma jupe arrivée aux fesses, traverse en titubant l’arrière salle, m’agrippe aux tables et chaises pour ne pas tomber et trouve les sanitaires. Le patron du bar est en train de se laver les mains dans le lavabo.

- Vous vous trompez de WC. Dit-il en m’indiquant ceux réservés aux femmes.

- Oh excusez-moi, je suis un peu pompette et je commence à voir trouble. Dis-je en riant.

- Ce n’est pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes hommes sont des WC turcs.

Je passe à côté de lui et il en profite pour passer une main sous ma jupe et il malaxe mes fesses avant que je m’échappe, entre et ferme la porte. « Les hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant et pas choquée par le comportement cavalier du patron. Je m’assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la cuvette des waters et fait mon petit besoin... sur le sol.

- houlala, je suis vraiment pompette. dis-je tout haut.

Je profite malgré tout de ce moment d’intimité pour me remettre un peu de rouge à lèvres et surtout réajuster mes seins dans les balconnets qui ont bien du mal à accomplir leur mission. Cela explique les yeux fixés sur ma poitrine durant l’apéritif. Mais vu mon état, moi qui suis plutôt réservée d’habitude, je souris avec une pointe de fierté à l’attention que l’on me porte. Je ressors d’autorité un sein du soutien-gorge et sort dans la partie commune pour trouver une serpillière pour essuyer par terre et aussi me laver les mains. Le patron est toujours là.

- Je ne vous ai pas choquée ? Me dit-il.

Non, non, mais j’ai fait des petites bêtises. Auriez-vous quelque chose pour essuyer ? Lui dis-je en montrant le plancher autour du bidet.

- Prenez du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans cet état. Me répondit-il sèchement.

Et me voilà à quatre pattes en train d’essuyer ma maladresse. Prétextant m’aider, le patron se met à côté de moi et passe sa main par derrière en me caressant la fente. Il introduit quelques doigts et titille le clitoris qui commence à s’ériger. Je sens mon sexe redevenir humide et écarte les jambes machinalement tout en finissant d’éponger le sol. La seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris pour guider la verge dans mon intimité. Sentant le phallus à l’entrée de mon sexe et avant qu’il puisse m’introduire, je me relève et sors des toilettes sans qu’il ait le temps de me retenir.

En sortant, je m’aperçois que cinq des hommes ont quitté la salle commune. Ils se sont attablés et discutent dans cette arrière-salle avec toujours plusieurs bouteilles d’alcool. Je vois mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les 2 autres de la troupe. Alors que je me dirige le plus rapidement possible, ce qui est un euphémisme vu mon état, vers ma table, toujours en titubant et en me tenant. L’un des cinq hommes m’interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant, ceci afin de donner quelques conseils féminins avertis au futur marié.

Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la bande m’attrape rapidement par le bras et me demande de m’asseoir. Forte de l’expérience des WC, j’hésite à rester, ne sachant si je peux leur faire confiance, mais la main ferme, mon équilibre précaire, mon esprit embrouillé et l’envie de ne pas passer pour une sainte-nitouche ont raison de mes réticences. Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables, ce galant homme m’installe donc, sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en me tenant par la taille.

- Cela ne vous gêne pas j’espère. Finit-il par me dire.

Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et se présente en me faisant des grimaces :

- Moi c’est Denis.

- Moi c’est Annie. Répondis-je en rigolant, oubliant promptement l’épisode qui vient de m’arriver.

Nous discutons des femmes en général, surtout de moi, et abordons les conseils au futur marié, notamment sur la fidélité qui ne doit jamais trahie. je me donne en exemple avec fierté... toujours en sirotant le cocktail.

- Mon verre doit être magique, je n’arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli. Dis-je en m’esclaffant.

J’ai chaud mais me sens bien avec toujours la vue sur mon mari de dos. Je suis bien calée, les deux cuisses écartées autour du genou (qui n’arrête pas de bouger),  avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché ma taille pour la fesse droite (qu’il caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons me parcourir le corps.

- Vous avez une poitrine superbe. Me dit le plus jeune en face de moi.

Je baisse la tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet et darde fièrement sa pointe sous l’étoffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le téton récalcitrant à sa place. Mais avant que j’aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Denis me précède et passe la sienne sous le body.

- Laissez, je vais faire.

Je suis de plus en plus gênée et mes joues virent à l’écarlate.

- Euh... beu.

Je bafouille et attrape vainement le bras de Denis qui a sorti le sein complètement, le soupèse, le caresse délicatement et titille la pointe. Absolument pas perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second sein qui subit le même traitement.

- Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez-les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus !

Peu convaincue par l’argumentation, je me redresse d’un coup mais ma tête me tourne de plus en plus et Denis me rattrape in-extremis, m’évitant de tomber. Il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.

- Pour les seins, cela restera notre petit secret. Me murmure-t-il à l’oreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe de mon oreille tout en continuant de me peloter par-dessus l’étoffe.

Je suis déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire, je réponds en bégayant :

-  Bon d’ac...d’accord, mais c’est tout.

Et je reprends mon verre. Denis me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il l’a relevée lorsqu’il m’a rattrapée et a dévoilé ainsi mon intimité. Les autres hommes regarde mon minou avec insistance, je sens déjà une douce chaleur envahir à nouveau mon bas ventre.

- N’est-ce pas qu’elle est belle. Dit-il à ses amis.

- C’est sûr. Répondent en cœur ses camarades.

- Je dois y aller maintenant, on doit partir au restaurant.

- C’est dommage. On est bien ensemble. Me dit Denis.

Sa main gauche lâche ma poitrine pour venir pétrir mon sexe trempé. J’écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tâche. Il passe lentement son doigt entre les deux lèvres mouillées et caresse le clitoris déjà sensibilisé par les doigts du patron. Mes yeux se ferment et je me laisse aller et j’appuie mon dos sur son torse. Une main vient à nouveau caresser un téton. J’entrouvre les yeux et voit le plus jeune de la troupe à côté de moi. Il relève le body et pétrit ma poitrine à deux mains. Denis m’embrasse à pleine bouche, un autre larron s’agenouille devant moi dit :

- Elle est toute épilée cette petite salope, j’adore ça !

Et il commence à me brouter le minou avec vigueur. Denis enlève sa main de mon sexe et me malaxe les fesses. La langue explore l’entrée de mon intimité complètement trempée et joue aussi avec mon clitoris et mon anus. Mes seins passent dans toutes les mains.

Dans un sursaut de lucidité, je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain, les mains qui m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance, sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de l’aide mais je ne le vois plus.

- Non, s’il vous plait laissez-moi !

Ces paroles à peine terminées, le brouteur de minou se retire. Denis me soulève un peu, ajuste son sexe avec une main sur l’entrée du mien, me relâche et m’enfile d’un seul coup. Je sens son gros membre chaud envahir ce qui n’avait appartenu qu’à mon mari et je lâche un râle de plaisir. J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller. J’attrape la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la mienne. Les autres enlèvent leur pantalon et s’approchent. On m’attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche. Je le suce avec vigueur.

D’autres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même temps. Denis s’applique à me faire des suçons dans le cou et un autre sur la poitrine. Malgré moi je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et branler plusieurs verges avec passion pendant que Denis me lime comme un malade, pendant que les autres me caressent tout le corps. Luc, je crois que c’est son prénom, va et vient lentement puis accélère et éjacule dans ma bouche. J’avale toute la semence avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu’à la retombée du sexe.

- T’es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise. Me dit Luc pendant qu’un autre prend sa place.

Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre que Denis vient de jouir à son tour. J’écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au mieux l’homme qui est en train de me violer. Deux autres m’attrapent, m’enlèvent body et soutien-gorge, me mettent sur le ventre sur la table, me lubrifie l’anus avec leur salive. Puis ils commencent à forcer l’entrée avec leurs doigts et m’enculent à tour de rôle en me pelotant les seins. C’est la première fois que cela m’arrive. Mon mari a toujours voulu me posséder par derrière mais j’ai toujours refusé.

Après un début franchement douloureux, j’écarte de plus en plus jambes et fesses afin que tous viennent remplir mon petit trou. On me retourne à nouveau et mes trois orifices sont pris en même temps. Jamais je n’ai joui autant. Je suis remplie de sperme et bizarrement je m’imagine comme une dinde farcie ...au jus d’homme.

Une fois que tous ont profité de moi, on me retourne de nouveau et on m’attache à la table, les fesses en l’air et l’on m’introduit un objet plutôt volumineux dans la chatte. Après plusieurs allers-retours, le patron du bar, que j’ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus, arrive et me dit :

- Ecoute poulette, ton mari n’allait pas très bien, ce qui n’est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans sa boisson. Nous l’avons ramené chez lui en lui expliquant que nous nous occuperions bien de toi et que nous te ramènerons. Pendant que tu t’éclatais comme une bête, j’ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante. Alors on va continuer à s’amuser puis on te ramènera chez toi, mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles 

Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s’empare d’une bouteille de bière, l’ouvre et me l’enfonce dans l’anus déjà dilaté. Sous la poussée l’objet enfoncé dans mon vagin est expulsé, drôle de sensation que cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s’applique à de long va et vient. J’écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul. A chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe, jette la bouteille et me sodomise à son tour pendant que les autres réinvestissent ma bouche. Et me voilà repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.

Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur, j’ai honte et n’ose rien dire. On recommence à me caresser délicatement l’entre jambes et les seins. Broute minou repasse à l’action et me lèche alternativement minou et anus. Je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir de nouveau. On me détache, on me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive avec ses deux doberman. Il ordonne à l’un de ses chiens de se coucher devant moi, le retourne et me dit :

- Suce salope, t’es juste bonne à soulager mes chiens.

Devant mes faibles protestations, je reçois une nouvelle paire de claques. Écœurée, c’est en larmes que je m’exécute. Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche pour devenir d’une taille plus que respectable. Le patron me besogne par derrière pendant ce temps, je sens la jouissance monter. La verge du chien est devenue énorme, je m’active de plus en plus sur cette bite et c’est avec dégoût que j’avale la purée de Médor qui gémit de bonheur. Je le maintiens le plus longtemps en bouche possible en espérant en vain de lui redonner vigueur. Puis c’est au tour du second chien de venir remplir mon anatomie, à la place de son maître qui vient de se répandre dans mes entrailles. Le chien s’active bestialement et je l’aide dans son mouvement en rythmant ma croupe à ses assauts et c’est avec lui que j’explose d’un plaisir encore inconnu à ce jour. Le chien se retire et s’applique à me lécher longuement le sexe et l’anus qui dégoulinent.

Je constate que l’on ne cesse de me prendre en photo. Les festivités terminées, les deux compères qui n’ont pas participé aux festivités m’attrapent sans ménagement et m’entraînent nue à l’exception de mes bas, dans leur voiture. Quelques kilomètres plus loin, nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle durant la nuit. Pendant tout le parcours celui qui était monté à l’arrière du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et s’est excitée comme une chienne en chaleur que je suis offerte comme une putain. Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j’ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui m’a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dès qu’il le pouvait au bureau et ne s’en privera plus désormais. La cerise sur le gâteau : Deux clochards m’ont prise en même temps à titre gracieux.

Suite à cela les deux hommes me raccompagnent chez moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari dort toujours. Dans notre lit, pas très en forme, dans un demi-sommeil à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre. « Boum » et les deux hommes investissent notre lit. Ils m’attrapent et me violent à leur tour, m’embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde l’air hébété. Ils m’obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un de mes tortionnaires pendant que l’autre continue à prendre des photos. Ils m’enculent à tour de rôle et pour finir m’urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.

- Bon Anniversaire de mariage chérie ! me disent-ils.

- T’es une baiseuse de première. A l’avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça t’évitera des ennuis. Pour ton mari, t’inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t’inventer une histoire.

Et ils disparurent.

Tout s’est passé comme ils me l’avaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui s’est vraiment passé après le troisième verre, hormis un vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui dans notre lit sans qu’il puisse intervenir. Mais ce n’était heureusement qu’un mauvais rêve argumente t’il.

Je me rends régulièrement au bar « chez ROBERT » où je me fais défoncer tout aussi régulièrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients sous la table et bien d’autres asservissements. A chaque fois je récupère une photo.

- Quand tu auras récupéré toutes les photos tu seras libre poulette. Me dit le patron.

Puis il ajoute :

- A moins que tu n’aimes ça.

Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Je ne compte plus les fois où il me prend dans les toilettes de l’entreprise, parfois avec d’autres collègues qu’il a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans qu’on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue lesbienne profite de la situation.

Ne pouvant me confier ni à mon mari ni à la police, je suis allé voir un psy. Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m’a écoutée, et m’a déclaré qu’il n’avait jamais entendu d’histoire aussi bandante. Il se rend maintenant régulièrement au bar « Chez ROBERT » et me baise à chaque occasion.

Mon mari n’est au courant de rien, je l’aime toujours autant, même s’il se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle.

FIN.

Une pute BCBG. Ch. 03

Une pute BCBG - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Nouvelle soumission.

Pendant que sa femme est en train de se faire baiser comme la dernière des salopes par ses domestiques, Guillaume de Saint-Preux, assis derrière son bureau, reçoit le représentant syndical. Il lui a annoncé le plan de restructuration voulu par la Direction générale. On va délocaliser leur usine en Roumanie ou en Ukraine où la main d'œuvre est moins chère. C'est la crise après tout. A 60 ans, Guillaume de Saint-Preux est un homme aux cheveux argentés, grand, mince. Comme sa femme, il ne se laisse pas aller. Il dévisagea Roger, le représentant syndical de l'usine. Il menace de l'empêcher de sortir de l'usine tant qu'un accord n'a pas été trouvé. Guillaume agacé, car il a un dîner avec le PDG de la Multinationale chez lui justement, tente de le résonner.

- Allons, vous savez bien que c'est la crise! Nous n'y pouvons rien.

Protestations de Roger qui menace d'avertir les médias.La belle affaire se dit Saint-Preux en esquissant un sourire.Son regard s'attarda sur Roger. Il eu une moue dégoutté. Un ventre proéminent, barbe de trois jours, il était peu ragoutant le représentant syndical.

- Vous devriez réfléchir Monsieur de Saint-Preux, lâcha Roger d'une voix dangereusement douce. J'ai de quoi vous faire changer d'avis.

Sourire ironique de Guillaume.

- Je ne vois vraiment pas de....

- Ah oui? Je parle de détournement de fonds, caisse noire, paradis fiscaux.

Guillaume de Saint-Preux a blêmit, son sang s'est retiré de son visage.Comment peut il savoir?

- Mais de quoi parlez-vous? croassa-t-il.

Mais il s'est très bien de quoi parle Roger ; Depuis 2 ans avec la complicité de sa chef comptable, Guillaume détourne discrètement des sommes d'argent qu'il met sur un compte en banque secret des Iles Caïmans.

- Mais.mais...Comment pouvez vous...Balbutia le Patron.

- Comment? Vous allez voir...

Il se leva et ouvrant la porte du bureau directorial, il fit entrer trois personnes. Guillaume faillit s'évanouir en reconnaissant Mlle Pinaud, sa chef comptable. Une vieille fille de 45 ans, elle était belle malgré son chignon, ses lunettes et son air sévère... A croire qu'elle prenait un malin plaisir a s'habiller comme la caricature de la chef comptable telle qu'on se l'imagine; Toujours vêtu de tailleur strict, ça n'empêchait pas les ouvriers de l'usine de mater ses jambes. Elle a un visage apeuré et lui jette un regard suppliant. Avec elle, deux armoires à glaces. A mi-chemin entre King-Kong et Hulk. Avec certainement le même quotient intellectuel. ..Il les reconnaît se sont des ouvriers de son usine. Carlos et André.

Très satisfait de son petit effet, Roger continue son exposé :

- Je suis tombé par le plus grand des hasards sur des preuves écrites de vos transactions. Ça traînait sur le bureau de Mlle Pinaud.

Regard furieux vers Mlle Pinaud qui baisse les yeux, effondrée.

- Que voulez vous? demanda d'une voix plaintive Guillaume de Saint-Preux.

- Premièrement : que vous trouviez un arrangement avec le PDG avec qui vous dînez ce soir. Qu'il ne ferme plus notre usine. Ensuite...Il va falloir rembourser ce que vous avez volé.

- Mais comment? demanda Guillaume, interloqué. Il y en a pour plusieurs millions d'Euros...

Roger eut un regard triomphant.Noir. Il le tenait par les couilles!

- En nature, je vais demander un remboursement en nature.

La stupéfaction se vit dans les yeux de Guillaume.

- En nature? Je ne comprends pas...

- Vous allez nous louer votre femme. Beaucoup de vos ouvriers fantasment sur elle depuis qu'elle est venue aux vœux du nouvel An.

Abasourdi, effondré, Guillaume de Saint-Preux se demande soudain si son représentant syndical est sérieux. C'est une plaisanterie. Il ne vient pas de lui demander de lui louer son épouse.

Roger se tourna vers la chef comptable...

- Toi aussi, tu va y passer, y a pas de raison! A poil!

Mlle Pinaud blanchi sous son discret maquillage. Comme une automate, elle avança au milieu de la pièce. Elle enleva la veste de son tailleur gris apparaissant dans un chemisier blanc qui dissimulait avec peine une opulente poitrine. Elle s'arrêta suppliant le délégué syndical.

- Je vous en prie, pleurnicha-t-elle, je vous donnerai ma part de l'argent.

Ricanement pervers de Roger...

- Du fric, je vais m'en faire sur ton dos ma salope, j'en connais des types qui paieraient pour se taper une coincée comme toi.

Mlle Pinaud se sentit rougir jusqu'à la racine des cheveux. Résignée, elle enleva sa jupe qui tomba à terre dans un froissement d'étoffe.

Son collant chair moulait ses fesses rebondit et sa culotte blanche. Elle déboutonna le chemisier. Son soutien-gorge, très sage également, contenait de petits seins. Guillaume en voyant sa chef comptable debout, uniquement vêtue de ses sous-vêtements et ses escarpins à talons plats sentit son sexe durcir dans son pantalon. Tous les hommes présents la regardent se réjouissant de sa soumission et de sa passivité. Peut être cela excite t-il la vieille fille?

André, une lueur lubrique dans le regard, effleura la poitrine de la chef comptable. Celle ci sursauta mais ne protesta pas. Il s'empara d'un sein et le malaxa. Puis il monta les deux mains et tritura les nichons de Mlle Pinaud sans ménagements cette fois. On l'agenouille à terre et une bite noueuse, épaisse, celle de Carlos, apparut devant ses lèvres rouges carmin. Elle pose mécaniquement une main manucurée sur la bite et commença à le branler. Derrière elle, André la positionne à quatre pattes. Il lui déchire son collant et baisse sa culotte. Caressant la vulve de la chef comptable qui poussa un cri qui se transforma en gémissement quand Carlos enfonça sa bite entre les lèvres pulpeuses de Mlle Pinaud qui manqua vomir de dégoût. Il appuya sur la tête de la jeune femme, donnant des coups de reins pour faire coulisser sa queue entre les lèvres de cette esclave docile. La langue de Mlle Pinaud commence à lui lécher le gland, salivant dessus.Les bruits de succions envahisse le bureau. Guillaume bande comme un fou, il en a mal. Saisissant la chef comptable aux hanches, André la pénétra, un cri étouffé jaillit de la gorge de Mlle Pinaud. Les seins de la chef comptable gigotaient sous les coups de reins d'André qui la pilonne avec brutalité. Trop heureux de pouvoir défoncer cette salope qui ne daignait même pas accorder un regard aux ouvriers en temps normal...Mais voila, la roue tourne parfois. La tête de la chef comptable monte et descend sur la queue de Carlos qui ricane.

- Mlle Pinaud aime la pine.

Éclat de rire d'André qui martèle le con de la chef comptable.

Carlos éjacula dans la bouche de Mlle Pinaud qui voulut recracher sa semence. Mais celui-ci pervers jusqu'au bout, l'obligea à avaler son foutre. Mlle Pinaud obéit avec une grimace de dégoût.

Voyant cette scène, André ne put se retenir plus longtemps, il se retira et Carlos contraignit la pauvre femme à se retourner lui faisant face.

- Ouvre la bouche, salope, tire la langue, regarde André dans les yeux.!!

Totalement domptée, Mlle Pinaud obéit regardant par dessus ses lunettes André qui se masturbait au dessus de son visage en grognant comme un fauve. Il jouit libérant des torrents de sperme qui allèrent s'écraser sur les verres des lunettes de la chef comptable.

Roger se leva, exhibant fièrement un sexe imposant. Il claqua des doigts et Mlle Pinaud fut contrainte d'aller vers lui a quatre pattes, pour faire bonne mesure, derrière elle, Carlos lui tanne le cul avec son ceinturon. Très vite, ses fesses rougissent. Le délégué syndical pervers agrippa le chignon de Mlle Pinaud et la contraignit à enfourner sa bite dans sa bouche. Elle hoqueta et commença à le sucer avec application. Elle commence à y prendre gout. La mâchoire déformée par la queue, la chef comptable gémit, étouffée par l'épaisseur de la bite. Il ne tarda pas à décharger dans la bouche de la chef comptable qui fut de nouveau contrainte d'avaler le sperme.

Se rajustant, Roger regarda Guillaume de Saint-Preux qui ne peut s'empêcher de se toucher la bite, a l'étroit dans son slip. La vision de sa chef comptable devenue esclave sexuelle de ses ouvriers l'excite énormément.

- Il y a une réunion syndicale demain soir. Vous y êtes conviés ainsi que votre épouse. Qu'elle soit sexy mais très bourgeoise. Ça excitera vos ouvriers, ils ne peuvent pas souvent se taper une dame de la haute. Et ce soir soyez convaincant avec le PDG...

Il se tourna vers la chef comptable, affalée sur le sol.

- Quand a toi, dorénavant, t'es la pute de l'usine. Tu changes de look! Demain je te veux en minijupe, des talons aiguilles et des bas. Plus de sous-vêtements.Tu seras à la disposition de tous les ouvriers de l'usine. Quand ils le voudront et ou ils le voudront. Tu n'as rien à leur refuser..


Les trois hommes sortirent du bureau laissant Guillaume de Saint-Preux et sa chef comptable, horrifiés, comprenant qu'ils étaient tombés dans un odieux traquenard.

A suivre...


Sortie scolaire. Ch. 04

Sortie scolaire- récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Un rendez-vous aux douches.

Hélène CARTIER, sous la contrainte, a appartenu à 3 loubards, alors qu'elle accompagnait une sortie scolaire à laquelle participaient ses enfants. Lors de la soirée suivante, sous la menace de la révélation de cette aventure elle permet à nouveau, au jeune chef des voyous des privautés qui devraient lui paraître infâmes, honteuses, or elle en ressent un certain plaisir, plaisir dont est bien conscient son suborneur.

Après les quelques minutes qui lui furent nécessaires pour reprendre ses esprits, Hélène, légèrement nauséeuse, le goût du sperme de son suborneur au palais, d'un pas lent partit rejoindre ses enfants, qui allongés au pied du feu de bois la hélaient de la voix.

Sa nouvelle amie, Odile VERLANS, leur prof de science leur tenait compagnie. C'était une jolie brune, comme elle trentenaire, enfin trente cinq pour elle, avec qui elle avait sympathisé, lors de cette petite excursion.

- Vous avez aimé ? L'interrogea-t-elle gentiment.

Encore troublée par son aventure, elle la fixa interloquée, comment pouvait-elle bien savoir... Les aurait-elle vu ?

Heureusement, inconsciente du léger malaise, Armelle, sa fille précisait, dans la foulée :

- Le petit groupe de folk, tu as aimé ?

- Bien sûr ! S'entendit-elle répondre, d'une voix de gorge, lui semblait-il encombrée, révélatrice de ce qu'elle venait d'endurer.

Endurer était-il vraiment le mot d'ailleurs ? enfin... Réagissant contre cette mélancolie qui l'envahissait, décidée à se livrer à l'introspection qu'induisait sa conduite plus tard, elle se secoua, et la voix plus naturelle répondit :

- Tu sais ma chérie, il y a bien longtemps que je connais Graheme Allwright, mais je reconnais que ce petit groupe interprète parfaitement son répertoire.

La conversation roula encore un moment sur ce petit intermède du feu de bois, les enfants étaient heureux, elle avait retrouvé une contenance naturelle et se montrait de nouveau disponible, comme si l'épisode dernier n'avait finalement que peu d'importance.

Quelques cotes grillées, des patates sous la braise, et enfin, ils retournèrent au camping, toujours devisant gaiement.

Un rapide passage aux sanitaires lui permirent de se rafraîchir, et, vers 10 heures elle se retrouva dans la petite tente qu'elle partageait avec Odile. Par coïncidence, cette dernière évoqua à mots couverts, les "vicissitudes" de sa vie actuelle : comme Hélène, elle avait épousé un monsieur souvent absent, son mari expert comptable était souvent requis à l'extérieur, pour de longues périodes, une semaine parfois plus. Sa tâche concernait la remise en place, ou la préparation de comptes avant toutes vérifications officielles, son agence, célèbre dans ce domaine étant très appréciée, son activité ne se limitait pas à la France, il était parfois appelé en conseil à l'étranger.

Cette situation finissait par lui peser, exactement comme Hélène, elle ressentait une certaine frustration, bien sûr ces activités leur assuraient à toutes deux une vie très confortable, mais en ce qui concernait la vie familiale ? De plus, Odile n'avait pas d'enfants, et enviait presque Hélène de ce coté, quant à la vie sexuelle ... Odile l'avait décrite d'un simple soupir.

Curieusement, une fois couchée, Hélène pensa de nouveau à leur situation, et dut s'avouer, une fois de plus qu'effectivement l'absence de son mari nuisait profondément à leur couple, non seulement elle la laissait insatisfaite, mais encore, elle se demandait toujours si, comme elle devait encore plus peser à son mari, il n'avait pas trouvé de solutions compensatoires, secrétaire très dévouée, sorties distractives, demande d'un oreiller dans les hôtels de nuit.

Petit à petit ses pensées se diluèrent, et elle sombra dans un profond sommeil, propice aux rêves les plus suggestifs ; bientôt, elle se retrouva seule dans la nature, une bande de loubards l'agressait, surgissant alors du néant, tel Zorro, Franck surgissait, la délivrait, dans une courte mais violente bagarre, de ses assaillants et, ne sachant comment le remercier, elle s'offrait à lui, commençant par une surprenante fellation, elle qui n'aimait pas cela, qu'elle menait à son terme, avalant à pleine bouche sa liqueur virile, avant de se donner à corps éperdu à son sauveteur, cherchant par tous les artifices connus d'elle à le satisfaire pleinement.

Elle se réveilla brusquement, gémissante, heureusement sa voisine de couchage dormant profondément, ne s'était pas réveillée, main enfouie entre ses cuisses, retrouvant des vieux réflexes masturbatoires abandonnés depuis longtemps. Elle était trempée, de sa vulve suintait un épais sirop d'amour, son rêve lui revenait dans ses détails les plus croustillants.

Ainsi son subconscient avait transformé son épreuve, son violeur lui apparaissait maintenant, tout au moins en rêve, comme son sauveteur, sauveteur qui palliait d'ailleurs à la tâche de son mari, la délivrant de force d'assaillants déterminés. Alors qu'elle aurait du ressentir de la honte, du dégoût, de part sa conduite, il faut bien le dire scandaleuse, son imagination sublimant sa mésaventure la transformait en une chimère justifiant sa conduite. Déjà, l'idée de le revoir dans la journée loin de la rebuter, lui souriait, elle se rendormit se lovant confortablement dans ses couvertures, reprenant dans son rêve les différentes façons de le remercier charnellement se remémorant avec une certaine appréhension sa promesse : il allait s'occuper de son cul ! Déjà une certaine exaltation, ce serait pour elle une première, et elle était toute décidée, malgré la crainte de souffrir, à lui accorder ce pucelage, qu'était-ce à coté du merci qu'elle lui devait !

Éveillée aux chants des oiseaux, sa serviette à la main elle se dirigea vers les sanitaires, à cette heure matinale, elle se trouvait la seule éveillée, du moins lui sembla-t-il, le camping semblait encore profondément plongé dans le sommeil du juste, elle se glissa dans une douche, ôta son pyjama et eut à peine le temps de se glisser sous la douche que déjà Franck la rejoignait, nu comme un ver. Il lui prit les lèvres à pleine bouche, décontenancée par cette brusque et inattendue approche, troublée elle se laissa embrasser, la langue de son "amant" investissant sa bouche, fouillant son palais.

Elle ne cherchait même pas à comprendre comment il était là, elle ne l'avait pas vue la suivre, elle n'avait pas remarqué que subrepticement, avec sa carte bancaire il avait bloqué le mécanisme de fermeture de la douche, se dénudant dans l'allée, avant de pénétrer dans la douche, fermant le loquet avant de la saisir aux hanches pour ce baiser profond qui l'enivrait.

Éperdue, toutes à ces sensations elle se laissait caresser avec fougue, lui facilitant ses desseins, ouvrant les cuisses pour mieux accueillir sa virilité au plus profond de son vagin. Déjà il l'enconnait, coulissant avec une étrange facilité dans son conduit avenant, elle se rendait compte furtivement, que déjà au lever, son corps était prêt à l'accueillir, qu'il souhaitait cette effraction enivrante. Nouant ses jambes autour de ses reins elle approfondît encore le contact, il lui remplissait la matrice, intuitivement elle se servait de ses sphincters pour presser sa bite comme dans un gant d'amour, ces transports fiévreux aboutirent rapidement, et ce furent les jets de sperme dans sa moule domptée qui déclenchèrent un orgasme fulgurant.

Haletants ils restèrent imbriqués l'un dans l'autre, reprenant leur souffle, avant que sa propre initiative elle se coule à ses genoux, absorbant avec délicatesse son braquemart encore frémissant pour le toiletter avec application.

Consciente du risque, elle entendit alors le camp s'éveiller, bruire des mille bruits annonciateurs de visiteurs, lui promettant de le revoir dans la journée elle le pria de partir, peu soucieuse de garder sa liaison secrète. Le pas était franchi, elle pensait maintenant en termes de liaison et non plus de contrainte sexuelle. Elle devinait maintenant que la seule contrainte qu'elle subirait, c'est celle qu'elle s'imposerait pour le garder.

Elle ne s'attardât pas outre mesure, la douche lui permettant de reprendre ses esprits, elle regagna sa tente.

Ses courts cheveux ébouriffés, Odile sortait de son sac de couchage, elle remarqua :

- Eh bien dit donc quelle forme ! Déjà levée ! Douchée ! Tu n'as pas perdu de temps !

Elle sentait un changement chez sa "partenaire" elle ne savait à quoi attribuer cette transformation, mais ce matin Hélène lui semblait pleine d'allant, épanouie, pétante de vie. Bien sur Hélène ne risquait pas de lui avouer les raisons de cette évolution, elle se contenta d'évoquer les bienfaits d'une douche matinale, du retentissement du chant des oiseaux sur son comportement, et vivement elle changea de sujet, abordant l'emploi du temps de la journée.

Ce mardi, les deux femmes devaient se séparer, l'une devrait assurer l'encadrement du groupe, tandis que l'autre se chargerait du lavage des affaires du petit groupe qui leur était confié. Pour cela, elles partiraient ensemble avec le minibus, l'une resterait en ville, assurant les tâches ménagères alors que l'autre effectuerait l'excursion prévue, la première reprendrait le bus au retour, en fin de matinée, vers 17 h. Cela sous-entendait que celle qui vaquerait aux fonctions d'intendance, aurait sa journée libre, elle demeurerait à Saint Quentin la journée durant. Hélène prétexta ne pas connaître Saint Quentin, et avoir envie de faire un peu de tourisme pour jouir de cette liberté d'action, lui restait donc à prévenir Franck de sa disponibilité.

Les enfants ne firent aucunes remarques tout aussi heureux de se voir accompagnés par Odile que si cela avait été par leur mère, à la limite d'ailleurs ils sentaient qu'ils seraient plus libres avec elle. Cependant Armelle lui fit une demande alarmante :

- Dis maman, tu penseras à acheter une pellicule, on aimerait prendre des photos de toi avec ton beau maillot ! cela fera un souvenir !

- Mais bien sûr, ma chérie" s'entendit-elle répondre, consciente que pour cela il lui faudrait à toute fin récupérer sa culotte toujours en possession de Franck.

Déjà inconsciemment, elle réfléchissait à ce qu'elle pourrait lui accorder en échange, consciente que s'il pensait avoir barre sur elle grâce à cet effet, il ne lui rendrait qu'en la troquant contre quelle que chose de tout aussi compromettant.

Le départ approchait, le minibus devait quitter le camp pour 10 heures, enfants et effets chargés ; elle quêtait des yeux Franck, voulant à tout prix l'informer de cette occasion. Enfin, elle put errer du coté de leur tente sans se faire remarquer, il l'aborda tout de suite certain qu'elle voulait lui transmettre une information.

Elle l'informa qu'elle passerait seule dans Saint Quentin pour la journée, et demanda timidement :

- Mes enfants veulent me prendre en photo, en bikini, tu me le rendras dis ?

- Que penses-tu me donner en échange ?

- Je ... je ne sais pas encore. Mais tu auras ce que tu voudras... Tu pourras même me faire ce que tu veux... si tu me le rends... tu pourras...

- Alors achète de la vaseline... tu comprends pourquoi ?

- Oui... Mais... Je...

- Tu veux ou tu ne veux pas que je te rende ta culotte ? Si tu la veux vraiment, ce sera mon prix ..

- ....

- Dis-moi ce que tu vas me donner en échange ! suggéra-t-il soudain décidé à l'humilier, sachant combien de mal elle aurait à lui faire son offre, l'asservir le plus possible faisait partie de son plan et comme il avait trouvé cette faille dans son comportement, cette pudeur que lui jugeait comme de la pruderie..

Et les joues en feu elle osa :

- Tu... je te donnerai... tu pourras me... sodomiser.

- Sois plus précise, plus crue , je vais t'enculer, t'éclater la rondelle.

- Tu pourras... m'enculer. Dut-elle dire les joues en feu.

- Le temps que tu règles tes problèmes.... Je te retrouverai vers midi... place de la cathédrale !


Et, sur cette promesse formelle, il la laissa partir, se réjouissant déjà de cet après-midi que le sort lui réservait.

A suivre...