Partouze a l'institut - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Mon épouse Nicole enseigne dans un institut privé, qui comporte une centaine d'élève et quelques professeurs. Ce jour-là une petite réception était donnée à laquelle j'étais invité.
Ayant une réunion je laissais Nicole, très gaie, sous l'effet du champagne qu'elle adore, avec ses collègues, les secrétaires, le directeur, et je me suis rendu à mon rendez-vous. Celui-ci bien plus court que prévu, je décide de retourner chercher Nicole.
Ma femme est brune, 50kg pour 1,65 M, un tour de poitrine de 90C, des cheveux assez longs, un visage doux et naïf ne laissant aucunement présager la suite de cette histoire.
Quand j'arrive à l'école, tout est éteint à l'exception de l'office ou s'était déroulé la petite fête.
Je m'approche de la pièce, quand j'entends la voix de ma femme :
- Vous exagérez, vous avez dit vouloir juste voir un de mes seins et maintenant vous voulez toucher les deux, non je ne suis pas d'accord.
- Allez Nicole, juste un effleurement, maintenant que tu nous a montré tes beaux seins, promis après on ne t'embête plus.
- Vous dites ça et puis après vous allez vouloir plus..... juste un instant alors, voilà ça suffit....
Je continue à avancer dans le couloir éteint et arrivé près de la porte, entrouverte, une scène inattendue se déroule sous mes yeux. Ma femme est assise sur une chaise, la chemisette ouverte, le soutien-gorge abaissé, les seins dénudés et offerts à la concupiscence de ses deux collègues assis de part et d'autre qui mettent leurs mains sur sa poitrine tandis que le troisième assis en face d'elle remonte lentement sa jupe sur ses cuisses.
- Vous voyez, salauds, vous n'avez pas de parole. Laissez-moi maintenant.
Mais elle ne fait rien pour se soustraire à ces attouchements de plus en plus importants, pour empêcher ses tétons de durcir et de s'ériger sous la caresse des doigts et des langues, pour resserrer ses cuisses où la main de Michel s'aventure de plus en plus loin.
D'ailleurs les trois hommes ont compris que malgré ses protestations elle n'offrirait plus de résistance. Philippe et Antoine dénudent son torse tandis que Michel lui murmure :
- Allez chérie, écartes bien tes cuisses que je mette mes doigts dans ta culotte, je sens ta chatte brûlante, ça va te faire du bien, écartes encore, là j'y suis! Mais tu es trempée, tu aimes que je te touche non?
Nicole pousse un petit oui timide suivit aussitôt d'un gémissement qui en dit long sur l'effet que lui font ces caresses.
Je vois ma femme, cuisses écartées, avec devant elle un homme qui met les mains dans sa culotte pour pouvoir mieux jouer avec sa chatte.
- Tu sens mes doigts? je vais en mettre un autre, tu t'ouvres drôlement là. Quatre! Tu me sens, tu aimes que je te branle? On va te baiser tous les trois, tu veux, hein???????
- S'il vous plait, laissez-moi partir, mon mari m'attend. OOhoooooo, qu'est-ce que vous me faites? Non pas tous les trois je ne veux pas. OOuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, continue comme ça c'est trop bon!
- Attend, relèves toi un peu que je t'enlève ta culotte. C'est ça, fait glisser ta robe. Tu es bandante à poil. Lèves toi et mets tes coudes sur la table. Oui comme ça, écartes les cuisses que je t'enfile et suces Antoine pendant ce temps.
Michel prend ma femme par les hanches et enfonce son sexe profondément dans sa chatte. Antoine se met devant elle et Nicole prend son sexe dans sa bouche.
Philippe regarde, attendant son tour, quand tout à coup il dit :
- J'ai mon appareil photo dans ma sacoche. Je crois qu'on va faire quelques clichés souvenirs.
Il sort son appareil et commence à photographier ma femme dans des postures lubriques avec les deux hommes en elle. Je vois sa tête monter et descendre, sa bouche et le sexe qu'elle avale étant cachés par ses cheveux de part et d'autre de son visage. J'imagine le plaisir de l'homme dans la bouche de ma femme, la douceur de ses lèvres, sa langue agile sur le gland turgescent.
Michel dit alors :
- Je vais jouir et la remplir! Qu'elle est bonne! Tiens, AHHHHHHHHHH!
Je me souviens d'un coup que Nicole ne prend plus la pilule depuis trois mois, à la demande de son médecin et qu'elle doit être en pleine période de fécondation. C'est peut être aussi pour ça qu'ils avaient réussi à la contraindre aussi facilement. Pendant ces périodes, ma femme était très réceptive et se prêtait en général à tous mes fantasmes.
- Vas-y Philippe, la place et chaude et libre, régales toi. Je n'aurai jamais cru que notre collègue soit aussi salope sous ses airs sérieux.
- Oui à moi! Prends-moi en photo en train de me la faire.
Philippe a à peine plongé sa queue entre les cuisses écartées, qu'Antoine se met à parler à ma femme :
- Ouiiiii je viens! Tires ta langue et gardes moi dans ta bouche surtout. Avales, avales, avales tout! Bois mon sperme! Oh Putain, je n'ai jamais été sucé comme ça.
D'où je suis, je peux entendre Nicole déglutir et avaler la semence qui envahit sa bouche, puis gémir à nouveau sous les coups de queue de Philippe qui dit :
- Tu as raison, elle est bonne. Elle est très bonne. Vous entendez comme je la fais gémir. Tu aimes ma petite salope. Allez, prends la queue de Michel dans ta bouche. C''est ça. Soulève-toi un peu que je prenne tes nichons entre mes mains.
Quand ma femme se met à sucer Michel, je comprends qu'ils allaient la prendre plusieurs fois chacun. J'ai le sexe douloureux tellement je bande.
- Elle a de ces seins! Je n'aurais jamais pensé qu'ils soient si gros quand elle est habillée. Elle est drôlement bien foutue notre collègue. Vas-y Antoine, prends des photos pendant que je la baise. Soulève-toi! Regardez ces seins qui ballottent! super!
- Fais là asseoir sur toi, les jambes écartées, que je photographie bien ta bite dans sa chatte. Oui comme ça! Michel, remet ta queue dans sa bouche! Super, elle est belle cette salope, je bande encore.
Antoine pose l'appareil photo et s'approche de ma femme. Il se met entre les jambes des deux amants empalés et il glisse deux doigts dans la chatte de Nicole.
- Putain, qu'elle est ouverte. Je suis sûr que je peux mettre ma queue aussi. On se la fait à deux Philipe?
- Oui vas-y, essayes. Je suis sûr qu'elle va aimer, ma bite nage dans sa grotte.
Je vois Antoine positionner sa queue entre les cuisses de Nicole. Ses mains agrippent ses hanches. Je vois son effort quand il pousse. Ma femme lâche la queue qu'elle a dans sa bouche et pousse un râle.
Michel prend sa tête entre ses mains et guide à nouveau sa bouche vers sa pine tendue.
- Suces, suces salope, ne t'arrêtes pas.
Maintenant, je n'entends plus que des bruits de succion, de frottements humides. J'ai envie de rentrer dans la pièce, de me joindre à eux, d'enfoncer moi aussi ma queue dans ce sexe ou cette bouche que je connais si bien.
Mais je me contente de regarder Nicole se faire défoncer par ses trois collègues de travail. Antoine remue ses reins, sa bite s'enfonçant profondément à chaque coup de boutoir. Il prend les deux seins de Nicole dans ses mains et les pétrit allègrement.
Ma femme râle et gémit. Elle a du mal à garder la queue de Michel dans sa bouche et la relâche pour reprendre son souffle. L'homme en profite à chaque fois pour frotter son gland sur le visage de ma femme, ses joues, ses cheveux.
Antoine très excité commence à lui parler :
- Alors chérie, tu aimes nos deux queues dans ta moule. Il te fallait ça hein, pour remplir ta chatte de salope. Malgré tes airs de ne pas y toucher, tu t'es déjà faite défoncer pas mal de fois. Ce n'est pas avec ton mari que tu as appris tout ça. On va te fait jouir ma petite pute. Éclate-toi et jouis! Oui c'est ça, jouis! Et ensuite tu nous feras venir tous les trois dans ta bouche, l'un après l'autre.
Ma femme est dévastée par un orgasme retentissant. Après qu'elle se soit remise, les hommes la mettent à genoux devant eux. Michel le premier met sa queue dans sa bouche. Très vite il jouit, son sperme se répand dans la bouche et sur le visage de Nicole tandis que l'appareil photo crépite.
Antoine vient à son tour. Sa bite force l'entrée de la bouche devant lui. Il fait quelques va et vient à l'intérieur puis se met à se branler devant le visage tandis que Nicole lui lèche le dessous du Gland. Ses jets de sperme s'écrasent sur les lèvres de ma femme puis sur son cou, pour enfin, s'écouler lentement sur ses seins.
Philippe, comme les autres, présente son sexe devant le visage éclaboussé. Elle prend la queue entre ses lèvres et pendant qu'elle suce, Antoine prend des gros plans de mon épouse en train de faire une fellation à son collègue. A son tour Philippe jouit. Il laisse sa queue dans la bouche de ma femme l'obligeant à avaler son foutre.
Ensuite les trois enseignants se relèvent et commencent à se rhabiller :
- On te laisse chéri. Il est tard et ton mari doit t'attendre à la maison. Tu lui raconteras je suis sûr que ça l'excitera.
Ils sortent. Ma femme se relève et s'approche de l'évier pour se laver le visage. Dans cette position, elle a les jambes à moitié écartées et je vois les poils noirs de sa chatte collés à ses cuisses par le foutre.
Je n'en peux plus. Je déboutonne mon pantalon, sort ma bite, et m'approche d'elle. Elle pousse un cri quand mes mains se posent sur ses hanches. Je lui dis :
- C'est moi. J'ai tout vu, espèce de salope. A moi de te baiser maintenant.
Je m'enfonce d'un coup dans sa moule. Elle est béante et pleine de foutre. Mon sexe nage à l'intérieur, mais je suis tellement excité, tellement sous pression depuis tout à l'heure, qu'il ne suffit que de trois va et vient pour que je décharge mon foutre à mon tour dans son intimité noyée.
- Ohhh ma chérie que c'est bon. Tu étais très belle en train de te faire baiser. Tu es vraiment une salope, une cochonne. Et je ne le savais pas. Je suis certain que ce n'est pas la première fois que tu te fais baiser par un autre.
Ma femme ne dit rien. Elle se lave, s'habille et nous retournons à la maison. Nous nous couchons sans rien dire. Nicole s'endort de suite. Je pense qu'elle était épuisée.
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Le lendemain, elle fait ses cours normalement. Ses collègues la regardent d'un air goguenard, mais la journée passe tranquillement.
A la fin du dernier cours, les élèves quittent la classe et ma femme debout derrière son bureau range ses notes.
Antoine entre et vient derrière mon épouse. Immédiatement il pose ses mains sur ses fesses.
- laisse-moi salaud! Ca ne t'a pas suffi hier soir!
Antoine se met à rire et pose sur la table une pochette de laquelle sortent des photos. Nicole, complètement ébahie, contemple les images de la soirée de la veille. Les mains de l'homme s'insinuent sous sa jupe, abaissent sa culotte et se glissent entre ses cuisses.
- Tu as vu chérie? Si tu n'es pas gentille, les photos pourraient se balader un peu partout, et on en a beaucoup d'autres.
Paralysée, elle laisse Antoine lui écarter les jambes et elle ne peut retenir un gémissement quand la pine s'enfonce dans sa chatte que les doigts de l'homme avait déjà préparée.
A ce moment la porte s'ouvre et Philippe et Michel entrent dans la pièce.
- Tu ne perds pas de temps dis donc! Sors ses seins qu'on les voit un peu! oui comme ça! Elle me fait bander la cochonne. Tu te régales mon salaud.
Nicole, les mains posées sur le bureau, la croupe en arrière, la jupe sur les reins, les seins se balançant au rythme de la queue qui la pistonne, halète les yeux fermés.
Les deux autres avancent vers ma femme. Michel se penche et colle sa bouche sur celle de Nicole. Sa langue s'enroule autour de la sienne et leur salive se mélange.
Philippe prend ses seins à pleine mains. Il les caresse, les pétrit, et se penche pour les lécher. Antoine s'active, sa queue sort de la chatte puis d'une longue poussée s'en va buter au fond du vagin. Il a les yeux fixé sur l'anus de Nicole. Soudain il y enfonce son index, fouillant le cul offert devant lui.
Nicole laisse le plaisir l'envahir. Elle suce la langue de Michel dans sa bouche. Puis elle tremble et sent le sperme chaud lui emplir la chatte. La queue se retire, aussitôt remplacée par celle de Philippe. Et maintenant ce sont les mains de Michel qui lui tripotent les nichons.
Philippe baise ma femme. Lui aussi va vider sa semence dans son vagin, envoyer ses spermatozoïdes dans l'utérus fécond. Nicole le sait mais elle n'est plus qu'une femelle chaude et quand, à nouveau, son sexe reçoit le foutre de l'homme, seule la langue de Michel l'empêche de crier sa jouissance.
Michel à son tour la prend, sa queue pénètre une grotte chaude gluante et noyée, lui aussi profite de sa collègue de travail, de ma femme. Il se couche sur elle l'écrasant sur le bureau, il lui mord le cou, le lobe des oreilles, il se déchaîne. Mon épouse crie, bouche grand ouverte. L'homme lui parle:
- Jouis, jouis ma salope, ma belle cochonne!
Puis il tire sa tête en arrière. Il veut sa bouche, sa langue, ses lèvres. Et quand leurs langues s'emmêlent à nouveau, il remplit à son tour la chatte béante.
L'homme se retire, se réajuste, les autres sont déjà partis. Nicole se relève, elle essuie ses cuisses trempées, regarde le sol que le sperme en coulant a sali, arrange ses vêtements et à son tour quitte la pièce.
Elle rentre à la maison. Dans la voiture, elle a l'impression de sentir encore un sexe dans sa minette. Elle se sent bien comblée, satisfaite.
Quand elle fut rentrée j'ai vu immédiatement qu'il s'était passé quelque chose, mais après un bref passage à la salle de bain, Nicole dut s'occuper des enfants , et vaquer aux tâches ménagères les plus urgentes.
Et ce n'est que le soir vers 22h00, au moment de se coucher, que me trouvant seul avec elle, je pus lui poser des questions.
Elle commence à me raconter et aux premières paroles mon sexe durcit. Elle me parle en se déshabillant. N'y tenant plus je m'approche d'elle, j'arrache sa culotte et je l'entraîne sur le lit. j'ai du mal à enlever mon pantalon. Mais bientôt, je colle ma bite contre son ventre. Je lui pose des questions, me faisant donner des détails crus.
Elle répond avec une certaine complaisance, s'excitant tout autant que moi à l'évocation des détails de l'après-midi.
Puis elle roule sur moi, elle fait entrer ma pine dans sa chatte, et elle commence à me chevaucher. J'ai un de ses seins dans la bouche pendant qu'elle bouge le bassin, caressant littéralement ma queue avec son vagin. Nous jouissons très vite et Nicole s'écroule à côté de moi. J'ai juste le temps de déposer un baiser sur ses lèvres avant qu'elle ne tombe dans un profond sommeil.
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Le lendemain, Nicole retourne à l'école. Elle arrive légèrement en retard et a juste eu le temps de se rendre dans sa classe pour le début des cours.
A 10h00, elle laisse ses élèves à un autre intervenant et se rend dans son bureau. Peu de temps après, Antoine la rejoint avec un grand classeur qu'il ouvre devant ses yeux. Une autre série de photos y est rangée, montrant ma femme la bouche pleine d'objet bien particulier. Pendant qu'elle regarde, Antoine lui caresse la croupe.
- Ça t'excite n'est-ce pas? Dis-le que ça t'excite salope!
- Laisse-moi, on va nous voir.
En effet, seule une cloison vitrée séparait le bureau du couloir.
- Rejoins-moi dans les WC dans cinq minutes, je t'attends!
Ma femme hésite un instant, puis ne pouvant faire autrement se dirige vers les toilettes. Antoine qui la guettait, l'attire immédiatement dans le WC le plus éloigné, la pousse à l'intérieur et ferme la porte. Il la plaque contre la cloison, écarte ses cuisses, libère sa chatte de la culotte et son gros membre se positionne à l'entrée de la moule fermée.
Nicole n'est pas prête alors il la force. Il pousse son gland, écartant les lèvres et les parois du vagin jusqu'à ce qu'il soit en entier dans le sexe féminin.
Nicole se colle contre lui. Immédiatement, ses sécrétions intimes lubrifient sa chatte. Elle avance le bassin, s'offrant aux coups de boutoirs de l'homme. Antoine sort les seins de ma femme de leur soutien-gorge, il les prend à deux mains tandis que sa bouche se colle à celle de mon épouse. Leur étreinte est brève, leur excitation était telle que le plaisir les envahit tout de suite, et quand Antoine remplit de plusieurs jets puissants la moule qu'il a forcé, le corps de Nicole est saisi de nombreux spasmes de jouissances.
Antoine se retire de ma femme qui s'assied sur la cuvette des WC et laisse couler le sperme hors de sa chatte, avant d'essuyer sa touffe de poils noirs collés par le foutre de l'homme.
Ma femme retourne ensuite dans son bureau, puis reprend les cours jusqu'à 16h00. Comme elle regagne son bureau, le téléphone sonne.
- Madame, voulez-vous bien passer dans mon bureau?
C'est le Directeur qui l'appelle et Nicole n'en est pas autrement surprise, cela arrive assez souvent.
- Entrez Madame et asseyez-vous. J'ai trouvé cette enveloppe sur mon bureau. Elle contient des photos ou l'on vous voit .....enfin regardez vous-même.
Nicole comprend tout de suite. Elle aperçoit une photo où elle a la queue de Philippe dans la bouche pendant que Michel la prend par derrière.
- Je vais être obligé de prévenir notre hiérarchie. Vous comprenez, je ne peux accepter cela dans notre établissement.
Nicole se défend et supplie mais le directeur reste intraitable. Découragée et désespérée, ma femme s'apprête à partir quand le directeur se lève et vient près de son fauteuil.
- Madame......Ces photos que j'ai longuement regardées m'ont mis dans tous mes états et si vous me calmez, je crois que je ne dirais rien. Qu'en pensez-vous? Vous me comprenez?
En même temps qu'il prononce ces paroles, il pose ses mains sur les épaules de mon épouse et les laisse lentement glisser vers ses seins. Nicole n'a pas le choix. Elle ne dit rien. L'homme sourit et ses mains se posent sur la poitrine arrogante. Il prend les seins dans ses paumes et commence à les malaxer, avec une satisfaction évidente. La respiration de mon épouse s'accélère.
- Déboutonne ta robe! là vas-y! Baisse ton soutien-gorge! Ohhh les mamelles, laisse-moi les prendre.
L'homme devient vulgaire. D'une main il saisit le sein droit de Nicole tandis que de l'autre il déboutonne sa braguette. Son sexe gonflé et dur est au niveau de la bouche de ma femme.
- Allez, suce-moi comme sur les photos! Ouvre ta bouche! C'est ça oui! C'est trop bon!
L'homme a mis sa pine dans la bouche de ma femme et la remue lentement. Ses mains se crispent sur les seins dénudés. Nicole prend les couilles dans ses mains et les caresse doucement tandis que ses lèvres et sa langue pressent le gland qui va et vient.
Déjà les premières gouttes de sperme apparaissent sur le méat de l'homme. Elle sent la pression monter. Nicole aime cet instant où il suffit de quelques pressions de sa bouche pour faire jaillir l'homme totalement à sa merci.
Elle remue sa langue, serre ses lèvres et le foutre jaillit dans sa bouche, chaud, gluant et épais. Elle sait qu'elle doit l'avaler. Le foutre se répand dans sa bouche. Elle déglutit et commence à boire.
- Avale salope! Tu es une vrai pute toi, et en plus super bien foutue. Je suis sûr que ça t'a excité de me sucer. Laisse-moi toucher ta chatte. Tu es tout mouillée. Je crois qu'avec ces photos, je vais être souvent dans tous mes états et je compte sur toi. Finis de me nettoyer!
Enfin, ma femme se releva, rajusta son soutien-gorge et sa robe, tandis que l'homme se rhabille.
- Madame, nous ne donnerons pas de suite à ces photos mais vous comprendrez bien que vous devrez, dorénavant, répondre rapidement à mes convocations.
- Bien sûr Monsieur le Directeur.
Nicole quitte le bureau. Le reste du bâtiment est vide et elle rentre à la maison. Le soir et le reste du week-end je me fais raconter et répéter ce qui se passe à l'école et chaque fois, avec une excitation et un plaisir partagés.
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Les trois jours suivants, Il ne se passe rien. Nicole doit assister des élèves en stage et n'est donc pas à l'école l'après-midi.
Le jeudi vers 11h00, Antoine s'approche d'elle :
- Ce soir c'est l'anniversaire de Michel. On donne une petite fête dans la salle de réunion et on compte sur toi bien sûr.
A la fin des cours, tout le monde se rend dans la salle. Le gâteau d'anniversaire est découpé et mangé, accompagné de quelques bouteille de champagne.
Puis les secrétaires et les deux autres professeurs féminins prennent congé. Nicole veut les suivre mais Antoine la retient par le bras en lui disant :
- attend un peu!
Dans la salle, il ne reste plus que Michel, Antoine, Philippe et le Directeur. Michel ferme la porte et Antoine dit :
- Maintenant passons aux choses sérieuses. Déshabille-toi ma chérie! Allez ne te fais pas prier.
Nicole porte un tailleur strict sur une chemisette en soie blanche et elle commence par enlever sa veste.
- C'est très bien. Ouvre ta chemisette et sors tes gros seins. Montre-nous tes beaux nichons. Super! Maintenant remonte ta robe et enlève ta culotte. Assied toi sur la table et écarte les cuisses. Plus haut la robe, montre bien ta chatte poilue. Que tu es bandante! Philippe, prends des photos!
- j'en peux plus, il faut que je la touche.
Ils s'approchent d'elle. Une main se faufile entre ses cuisses. Des doigts écartent les lèvres de sa minette et fouillent son intimité. Une bouche humide commence à lécher ses seins, une autre cherche sa bouche.
Ils lui enlèvent sa chemisette, arrachent son soutien-gorge. Ils la font mettre debout, et lui ôtent sa jupe. Ma femme est maintenant complètement nue devant ces quatre hommes excités.
Maintenant, sa moule ouverte absorbe presque une main entière tandis que le directeur fait aller et venir son index dans le cul de mon épouse. Ils la tripotent ainsi quelques minutes puis le directeur prend une bouteille de champagne et enfonce le goulot dans l'anus de ma femme. Il fait entrer toute la partie étroite du goulot, en disant :
- Je la prépare cette salope. Je vais lui mettre ma bite dans le cul.
- Je rentre ma main presque en entier dans sa moule. On va lui mettre encore deux bites comme l'autre fois. Elle va hurler de plaisir Mme le professeur zélé.
- Maintenant je l'encule je n'en peux plus.
Le directeur retire le goulot de la bouteille, et dans l'anus ouvert enfile son sexe. Il encule Nicole avec de grand Han. Ma femme sent la queue lui fouiller les entrailles. Heureusement que je l'avais déjà un peu habitué à de telles pénétrations.
Puis l'homme bascule en arrière sur la moquette, entraînant ma femme sur lui. Les trois autres la regardent nue, jambes et cuisses écartées, une bite dans le cul, en train de pousser des râles. Philippe, le premier, n'y tenant plus, se glisse entre les jambes des deux amants et enfile sa bite raide dans la moule trempée et dilatée. Nicole pousse un cri. C'est une nouvelle sensation pour elle de sentir deux queues en elle qui la ramonent en cadence.
Antoine approche sa queue de la bouche entrouverte de ma femme qui halète et gémit. Il prend sa tête dans ses mains et guide la bouche vers sa bite qu'il enfonce entre les lèvres de mon épouse.
Michel prend quelques photos de la scène puis attrape un sein et commence a se caresser avec, frottant son gland sur le mamelon et le téton érigé.
Ce n'est plus que gémissements, onomatopées, gargouillis de chatte, halètements, bruits de succion puis un cri, le cri d'Antoine :
- Ahhhhhhhhhhhh, je jouis. Ferme la bouche, prends tout, prends tout!
Le sperme épais et crémeux remplit la bouche de Nicole. Elle avale ce qu'elle peut, le reste s'écoulant sur son cou. Elle n'a pas eu le temps d'avaler qu'elle sent sur sa poitrine le foutre de Michel. Il coule sur ses tétons et entre ses seins. Puis son cul et sa chatte sont remplis à leur tour. Ma femme a fait jouir ces quatre hommes dans elle et sur elle. Elle a envie de rester allongée, écartelée et pantelante, amollie par le plaisir qui l'a secoué à plusieurs reprises.
Philippe se retire. Nicole se relève, s'arrachant de cette queue qui lui remplit le cul. Elle a du sperme partout. Alors Antoine dit :
- Avant de la baiser encore on va la laver au champagne.
Il se saisit d'une bouteille et fait allonger Nicole sur la table. Il lui écarte les cuisses, met le goulot dans sa chatte. Le liquide coule et ressort, mélangé avec le sperme.
Philippe et Michel arrosent son ventre et sa poitrine puis ils lèchent le liquide sur la peau de la femme.
Le directeur remplit sa bouche du liquide et la colle à celle de ma femme. La boisson va d'une bouche à l'autre. Elle se mélange à la salive. Ils avalent et leurs langues jouent ensemble.
Pendant ce temps les autres continuent à s'exciter sur le corps de ma femme, à la caresser de partout, à mettre leurs doigts dans ses orifices intimes, à la branler avec la bouteille, à faire béer sa chatte.
- Maintenant elle est prête. On l'enfile à deux dans la chatte.
Antoine s'assied sur la moquette. Il entraîne Nicole sur lui et la dirige sur la queue qui la pénètre. Il lui écarte les cuisses en grand pour que les autres voient sa chatte grande ouverte avec cette queue à l'intérieur. Le directeur s'agenouille entre les cuisses écartées et présente sa bite à l'entrée de la moule. Il appuie. il force. Ma femme gémit quand la queue dilate son vagin et entre en elle remplissant complètement sa chatte. Elle la sent frotter sur son clitoris. Elle râle et elle bafouille :
- AAAAAHHHHH, Encore, oui encore. Enfonce-toi.....
Ces gémissements sont étouffés par la bite de Philipe qui pénètre dans sa bouche. Michel s'allonge à plat ventre et saisit un gros sein à deux mains. Il le lèche, le suce et le tripote.
Ma femme est devenue l'instrument de plaisir de ces quatre hommes. Tout son corps sert à exacerber leur désir et leur jouissance. Et Nicole en profite. A chaque attouchement, à chaque coup de boutoir dans sa chatte, son corps est parcouru d'ondes de plaisirs.
Le directeur se déchaîne, il pilonne littéralement la chatte en grognant. Nicole le sent qui pousse comme si il voulait la transpercer. Et puis à nouveau le liquide qui se répand en elle, qui lui mouille les cuisses de sa caresse chaude.
Puis l'homme s'arrache du réceptacle, et dit à Philippe :
- Vas-y, prends ma place, elle est bonne.
Philippe, à son tour, se glisse entre les cuisses écartées. Il s'enfonce sans mal, rejoignant la bite d'Antoine dans le sexe béant. Le directeur met sa queue débandée dans la bouche de mon épouse. Nicole joue avec. Elle peut l'avaler jusqu'aux couilles, l'entourer de salive comme si sa bouche était devenue une chatte prête à se faire baiser. Elle sent la queue qui se tend. L'homme recommence à bander tout doucement.
Philippe répand sa semence et Michel le remplace. Tandis que sa bite ravage la moule de la femme, il saisit ses deux seins à pleines mains. Antoine, dessous, essaye de bouger, écrasé par le poids de Nicole et de l'homme qui la farcit. Sa queue lui fait mal tellement il est excité, mais sa position l'empêche de bouger comme il le voudrait.
Michel à son tour éjacule et se retire. Le sperme coule de la chatte sur les couilles et les cuisses d'Antoine. La moule est tellement dilatée que l'homme ne sent plus rien. Alors il fait se relever Nicole qui lâche la queue du directeur à nouveau tendue et lui dit :
- Lèche moi salope! Reprends tout ce foutre qui est pour toi.
Nicole, docile, se met à quatre pattes et plonge sa tête entre les jambes de l'homme. Elle commence à le lécher. Elle ramasse sur sa langue et dans sa bouche tout le sperme qui s'est déposé sur sa queue, ses couilles et son anus.
Tout d'un coup elle sent qu'on écarte ses fesses. Deux doigts distendent son anus. Puis une queue plonge dans son petit trou. Le directeur l'encule à nouveau. La bouche de ma femme s'ouvre sur un gémissement de surprise et de plaisir. Antoine en profite et prend sa tête à deux mains et viole la bouche entrouverte. Il s'enfonce jusqu'à buter sur le larynx et dépose son sperme directement dans la gorge de ma femme qui déglutit pour ne pas s'étouffer. Elle avale le jus onctueux.
La tension baisse enfin. Les trois hommes regardent le directeur limer le cul de leur collègue. Il fait mette Nicole à plat ventre sur la moquette et il s'allonge sur elle, sa tête dans ses cheveux tandis que sa queue continue son va et vient. Puis un râle et l'homme jouit dans le cul de mon épouse.
Le directeur extirpe sa bite de l'anus, se relève, prend la main de Nicole et l'aide à se relever.
Nicole se sent collante, béante, mais jamais elle n'a été aussi comblée, aussi satisfaite. Elle ne sait plus combien de fois elle a jouit. Elle regarde les quatre hommes autour d'elle. Elle a envie de les toucher.
Philippe ouvre la dernière bouteille et remplit les verres. Ils boivent et mangent quelques restes en se reposant. Antoine s'approche du Directeur et lui murmure à l'oreille. Et celui-ci dit :
- Oh oui bonne idée, après l'action le spectacle, vas-y!
Antoine sort de la pièce. Le directeur s'approche de Nicole et dit :
- mets les mains sur la table. Là penche toi en avant. Et écarte les cuisses. Super!!!! Fait bien pendre tes nichons. Tu es encore toute ouverte salope. Ferme les yeux et ne les ouvre surtout pas.
Nicole entend des pas. Des mains se posent sur ses hanches et une pression s'exerce sur sa chatte. Un sexe entre, il écarte les lèvres et s'enfonce dans la fente.
Nicole se sent pleine car le sexe est énorme. Les parois de son vagin épousent parfaitement le contour du pieu qui la fouille. Elle retient un gémissement et se tourne vers l'homme qui s'occupe d'elle. Elle reconnaît le black qui assure l'entretien des locaux la nuit. L'homme la baise lentement et profondément. Ses collègues et le directeur les entourent, et font un tas de commentaires salaces.
- Tu as vu comme il fait gémir cette salope. Elle n'en a pas eu assez de nos queues.
- Défonce la, elle aime ça. Tu as vu ses mamelles comme elles balancent. C'est bon la chatte d'un prof hein?
- Tu te régales non? Tu as vu comme on l'a bien lubrifié? Ça glisse tout seul. Plus fort, tu entends comme elle gémit cette pute.
- Tu aimes sa queue ma chérie? Remue, remue bien ton cul. Tu me fais bander à nouveau.
La queue de l'homme grossit encore. A chaque coup de boutoir, des ondes de plaisirs parcourent le corps de Nicole et comme une litanie elle égraine un chapelet de :
- Encore, encore, encore........
Puis la semence jaillit, remplit son vagin. L'homme grogne son plaisir. Il pousse une dernière fois. Il veut que son sperme pénètre et imprègne la femelle qu'il a prise avec tellement de plaisir.
L'homme se retire. Alors Nicole se tourne et s'agenouille devant lui. Elle prend le sexe qui pend devant elle à deux mains et porte le gland à sa bouche. Elle le tète pendant que ses mains flattent le reste de la queue et les couilles de l'homme. Quand elle le sent durcir à nouveau, sa bouche lâche le gland et remonte vers la poitrine en léchant la peau noire jusqu'à ce que ses seins touchent la grosse queue.
Alors elle se frotte comme une chatte. Elle pose ses mains sur les fesses musclées de l'homme tandis que ses tétons branlent la bite érigée. Puis elle supplie :
- Allonge-toi je t'en prie, allonge-toi!
Alors l'homme obéit et s'allonge sur le dos. Ma femme l'enjambe. Elle s'assied sur le membre le faisant pénétrer en elle avec un soupir de satisfaction. Nicole danse sur la queue. Elle la sent qui fouille son intimité. Ensuite elle s'allonge sur l'homme, pressant ses seins contre la poitrine musclée. Elle pose sa bouche sur celle du black et saisit sa langue entre ses lèvres pour la sucer.
Dans cette position, elle offre à ses collègues une vue de son cul et de sa chatte pleine. Ils bandent à nouveau.
Michel s'accroupit au-dessus du cul offert. Il force l'anus. Il a du mal, la bite dans la minette prend toute la place. Il appuie et l'anneau se détend. Et tout d'un coup, il s'enfonce jusqu'aux couilles dans le cul de mon épouse. Les trois autres s'approchent. Le spectacle attise à nouveau leur désir.
Ils touchent Nicole et se déchaînent sur son corps. Les queues se disputent sa bouche. Ses seins sont touchés, pétris, sucés, pressés, pincés et malaxés. Sa bouche est pleine et les queues se frottent sur ses joues, son cou, ses cheveux.
Les deux bites en elle la pilonnent. Leurs mouvements s'accélèrent. La pénétration est extrême. Ma femme se sent possédée, transpercée. Jamais une queue n'a buté comme cela sur son utérus ou ne s'est enfoncé si profondément dans ses entrailles.
Elle a envie de gémir, de crier son plaisir, mais les bites qui se disputent sa bouche l'en empêchent.
Des doigts atteignent son mont de vénus essayant de se forcer un passage entre les lèvres distendues par la bite noire. Ne pouvant y arriver, ils pincent le clitoris de Nicole, qui jouit à plusieurs reprises.
Puis c'est le jaillissement du sperme dans sa bouche, son cul, sa chatte. Ses seins sont maculés. Des mèches de cheveux, mouillés par le foutre, collent à son visage.
Maintenant les hommes s'écartent. Michel se relève. Sa queue sort lentement de son fourreau et l'anus de ma femme se referme, chassant le sperme en petits ruissellements.
A son tour elle se relève, sa chatte glissant sur le membre encore raide, l'abandonnant.
Maintenant chacun se rhabille. Nicole s'essuie tant bien que mal avec des serviettes en papier. Elle remet ses vêtements et quitte l'école complètement épuisée.
Elle rentre à la maison, file dans la douche et me rejoins au lit, et, à ma grande frustration, tombe dans un sommeil profond.
Il faudra que j'attende le lendemain pour savoir ce qu'ils lui ont fait.
FIN