jeudi 27 décembre 2018

Partouze à l'institut.

Partouze a l'institut - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Mon épouse Nicole enseigne dans un institut privé, qui comporte une centaine d'élève et quelques professeurs. Ce jour-là une petite réception était donnée à laquelle j'étais invité.

Ayant une réunion je laissais Nicole, très gaie, sous l'effet du champagne qu'elle adore, avec ses collègues, les secrétaires, le directeur, et je me suis rendu à mon rendez-vous. Celui-ci bien plus court que prévu, je décide de retourner chercher Nicole.

Ma femme est brune, 50kg pour 1,65 M, un tour de poitrine de 90C, des cheveux assez longs, un visage doux et naïf ne laissant aucunement présager la suite de cette histoire.

Quand j'arrive à l'école, tout est éteint à l'exception de l'office ou s'était déroulé la petite fête.

Je m'approche de la pièce, quand j'entends la voix de ma femme :

- Vous exagérez, vous avez dit vouloir juste voir un de mes seins et maintenant vous voulez toucher les deux, non je ne suis pas d'accord.

- Allez Nicole, juste un effleurement, maintenant que tu nous a montré tes beaux seins, promis après on ne t'embête plus.

- Vous dites ça et puis après vous allez vouloir plus..... juste un instant alors, voilà ça suffit.... 

Je continue à avancer dans le couloir éteint et arrivé près de la porte, entrouverte, une scène inattendue se déroule sous mes yeux. Ma femme est assise sur une chaise, la chemisette ouverte, le soutien-gorge abaissé, les seins dénudés et offerts à la concupiscence de ses deux collègues assis de part et d'autre qui mettent leurs mains sur sa poitrine tandis que le troisième assis en face d'elle remonte lentement sa jupe sur ses cuisses.

- Vous voyez, salauds, vous n'avez pas de parole. Laissez-moi maintenant.

Mais elle ne fait rien pour se soustraire à ces attouchements de plus en plus importants, pour empêcher ses tétons de durcir et de s'ériger sous la caresse des doigts et des langues, pour resserrer ses cuisses où la main de Michel s'aventure de plus en plus loin.

D'ailleurs les trois hommes ont compris que malgré ses protestations elle n'offrirait plus de résistance. Philippe et Antoine dénudent son torse tandis que Michel lui murmure :

- Allez chérie, écartes bien tes cuisses que je mette mes doigts dans ta culotte, je sens ta chatte brûlante, ça va te faire du bien, écartes encore, là j'y suis! Mais tu es trempée, tu aimes que je te touche non?

Nicole pousse un petit oui timide suivit aussitôt d'un gémissement qui en dit long sur l'effet que lui font ces caresses.

Je vois ma femme, cuisses écartées, avec devant elle un homme qui met les mains dans sa culotte pour pouvoir mieux jouer avec sa chatte.

- Tu sens mes doigts? je vais en mettre un autre, tu t'ouvres drôlement là. Quatre! Tu me sens, tu aimes que je te branle? On va te baiser tous les trois, tu veux, hein???????

- S'il vous plait, laissez-moi partir, mon mari m'attend. OOhoooooo, qu'est-ce que vous me faites? Non pas tous les trois je ne veux pas. OOuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, continue comme ça c'est trop bon!

- Attend, relèves toi un peu que je t'enlève ta culotte. C'est ça, fait glisser ta robe. Tu es bandante à poil. Lèves toi et mets tes coudes sur la table. Oui comme ça, écartes les cuisses que je t'enfile et suces Antoine pendant ce temps.

Michel prend ma femme par les hanches et enfonce son sexe profondément dans sa chatte. Antoine se met devant elle et Nicole prend son sexe dans sa bouche.

Philippe regarde, attendant son tour, quand tout à coup il dit :

- J'ai mon appareil photo dans ma sacoche. Je crois qu'on va faire quelques clichés souvenirs.

Il sort son appareil et commence à photographier ma femme dans des postures lubriques avec les deux hommes en elle. Je vois sa tête monter et descendre, sa bouche et le sexe qu'elle avale étant cachés par ses cheveux de part et d'autre de son visage. J'imagine le plaisir de l'homme dans la bouche de ma femme, la douceur de ses lèvres, sa langue agile sur le gland turgescent.

Michel dit alors :

- Je vais jouir et la remplir! Qu'elle est bonne! Tiens, AHHHHHHHHHH!

Je me souviens d'un coup que Nicole ne prend plus la pilule depuis trois mois, à la demande de son médecin et qu'elle doit être en pleine période de fécondation. C'est peut être aussi pour ça qu'ils avaient réussi à la contraindre aussi facilement. Pendant ces périodes, ma femme était très réceptive et se prêtait en général à tous mes fantasmes.

- Vas-y Philippe, la place et chaude et libre, régales toi. Je n'aurai jamais cru que notre collègue soit aussi salope sous ses airs sérieux.

- Oui à moi! Prends-moi en photo en train de me la faire.

Philippe a à peine plongé sa queue entre les cuisses écartées, qu'Antoine se met à parler à ma femme :

- Ouiiiii je viens! Tires ta langue et gardes moi dans ta bouche surtout. Avales, avales, avales tout! Bois mon sperme! Oh Putain, je n'ai jamais été sucé comme ça.

D'où je suis, je peux entendre Nicole déglutir et avaler la semence qui envahit sa bouche, puis gémir à nouveau sous les coups de queue de Philippe qui dit :

- Tu as raison, elle est bonne. Elle est très bonne. Vous entendez comme je la fais gémir. Tu aimes ma petite salope. Allez, prends la queue de Michel dans ta bouche. C''est ça. Soulève-toi un peu que je prenne tes nichons entre mes mains.

Quand ma femme se met à sucer Michel, je comprends qu'ils allaient la prendre plusieurs fois chacun. J'ai le sexe douloureux tellement je bande.

- Elle a de ces seins! Je n'aurais jamais pensé qu'ils soient si gros quand elle est habillée. Elle est drôlement bien foutue notre collègue. Vas-y Antoine, prends des photos pendant que je la baise. Soulève-toi! Regardez ces seins qui ballottent! super!

- Fais là asseoir sur toi, les jambes écartées, que je photographie bien ta bite dans sa chatte. Oui comme ça! Michel, remet ta queue dans sa bouche! Super, elle est belle cette salope, je bande encore.

Antoine pose l'appareil photo et s'approche de ma femme. Il se met entre les jambes des deux amants empalés et il glisse deux doigts dans la chatte de Nicole.

- Putain, qu'elle est ouverte. Je suis sûr que je peux mettre ma queue aussi. On se la fait à deux Philipe?

- Oui vas-y, essayes. Je suis sûr qu'elle va aimer, ma bite nage dans sa grotte. 

Je vois Antoine positionner sa queue entre les cuisses de Nicole. Ses mains agrippent ses hanches. Je vois son effort quand il pousse. Ma femme lâche la queue qu'elle a dans sa bouche et pousse un râle.

Michel prend sa tête entre ses mains et guide à nouveau sa bouche vers sa pine tendue.

- Suces, suces salope, ne t'arrêtes pas.

Maintenant, je n'entends plus que des bruits de succion, de frottements humides. J'ai envie de rentrer dans la pièce, de me joindre à eux, d'enfoncer moi aussi ma queue dans ce sexe ou cette bouche que je connais si bien.

Mais je me contente de regarder Nicole se faire défoncer par ses trois collègues de travail. Antoine remue ses reins, sa bite s'enfonçant profondément à chaque coup de boutoir. Il prend les deux seins de Nicole dans ses mains et les pétrit allègrement.

Ma femme râle et gémit. Elle a du mal à garder la queue de Michel dans sa bouche et la relâche pour reprendre son souffle. L'homme en profite à chaque fois pour frotter son gland sur le visage de ma femme, ses joues, ses cheveux.

Antoine très excité commence à lui parler :

- Alors chérie, tu aimes nos deux queues dans ta moule. Il te fallait ça hein, pour remplir ta chatte de salope. Malgré tes airs de ne pas y toucher, tu t'es déjà faite défoncer pas mal de fois. Ce n'est pas avec ton mari que tu as appris tout ça. On va te fait jouir ma petite pute. Éclate-toi et jouis! Oui c'est ça, jouis! Et ensuite tu nous feras venir tous les trois dans ta bouche, l'un après l'autre.

Ma femme est dévastée par un orgasme retentissant. Après qu'elle se soit remise, les hommes la mettent à genoux devant eux. Michel le premier met sa queue dans sa bouche. Très vite il jouit, son sperme se répand dans la bouche et sur le visage de Nicole tandis que l'appareil photo crépite.

Antoine vient à son tour. Sa bite force l'entrée de la bouche devant lui. Il fait quelques va et vient à l'intérieur puis se met à se branler devant le visage tandis que Nicole lui lèche le dessous du Gland. Ses jets de sperme s'écrasent sur les lèvres de ma femme puis sur son cou, pour enfin, s'écouler lentement sur ses seins.

Philippe, comme les autres, présente son sexe devant le visage éclaboussé. Elle prend la queue entre ses lèvres et pendant qu'elle suce, Antoine prend des gros plans de mon épouse en train de faire une fellation à son collègue. A son tour Philippe jouit. Il laisse sa queue dans la bouche de ma femme l'obligeant à avaler son foutre.

Ensuite les trois enseignants se relèvent et commencent à se rhabiller :

- On te laisse chéri. Il est tard et ton mari doit t'attendre à la maison. Tu lui raconteras je suis sûr que ça l'excitera.

Ils sortent. Ma femme se relève et s'approche de l'évier pour se laver le visage. Dans cette position, elle a les jambes à moitié écartées et je vois les poils noirs de sa chatte collés à ses cuisses par le foutre.

Je n'en peux plus. Je déboutonne mon pantalon, sort ma bite, et m'approche d'elle. Elle pousse un cri quand mes mains se posent sur ses hanches. Je lui dis :

- C'est moi. J'ai tout vu, espèce de salope. A moi de te baiser maintenant.

Je m'enfonce d'un coup dans sa moule. Elle est béante et pleine de foutre. Mon sexe nage à l'intérieur, mais je suis tellement excité, tellement sous pression depuis tout à l'heure, qu'il ne suffit que de trois va et vient pour que je décharge mon foutre à mon tour dans son intimité noyée.

- Ohhh ma chérie que c'est bon. Tu étais très belle en train de te faire baiser. Tu es vraiment une salope, une cochonne. Et je ne le savais pas. Je suis certain que ce n'est pas la première fois que tu te fais baiser par un autre.

Ma femme ne dit rien. Elle se lave, s'habille et nous retournons à la maison. Nous nous couchons sans rien dire. Nicole s'endort de suite. Je pense qu'elle était épuisée.

*********************

Le lendemain, elle fait ses cours normalement. Ses collègues la regardent d'un air goguenard, mais la journée passe tranquillement.

A la fin du dernier cours, les élèves quittent la classe et ma femme debout derrière son bureau range ses notes.

Antoine entre et vient derrière mon épouse. Immédiatement il pose ses mains sur ses fesses.

- laisse-moi salaud! Ca ne t'a pas suffi hier soir!

Antoine se met à rire et pose sur la table une pochette de laquelle sortent des photos. Nicole, complètement ébahie, contemple les images de la soirée de la veille. Les mains de l'homme s'insinuent sous sa jupe, abaissent sa culotte et se glissent entre ses cuisses.

- Tu as vu chérie? Si tu n'es pas gentille, les photos pourraient se balader un peu partout, et on en a beaucoup d'autres.

Paralysée, elle laisse Antoine lui écarter les jambes et elle ne peut retenir un gémissement quand la pine s'enfonce dans sa chatte que les doigts de l'homme avait déjà préparée.

A ce moment la porte s'ouvre et Philippe et Michel entrent dans la pièce.

- Tu ne perds pas de temps dis donc! Sors ses seins qu'on les voit un peu! oui comme ça! Elle me fait bander la cochonne. Tu te régales mon salaud.

Nicole, les mains posées sur le bureau, la croupe en arrière, la jupe sur les reins, les seins se balançant au rythme de la queue qui la pistonne, halète les yeux fermés.

Les deux autres avancent vers ma femme. Michel se penche et colle sa bouche sur celle de Nicole. Sa langue s'enroule autour de la sienne et leur salive se mélange.

Philippe prend ses seins à pleine mains. Il les caresse, les pétrit, et se penche pour les lécher. Antoine s'active, sa queue sort de la chatte puis d'une longue poussée s'en va buter au fond du vagin. Il a les yeux fixé sur l'anus de Nicole. Soudain il y enfonce son index, fouillant le cul offert devant lui.

Nicole laisse le plaisir l'envahir. Elle suce la langue de Michel dans sa bouche. Puis elle tremble et sent le sperme chaud lui emplir la chatte. La queue se retire, aussitôt remplacée par celle de Philippe. Et maintenant ce sont les mains de Michel qui lui tripotent les nichons.

Philippe baise ma femme. Lui aussi va vider sa semence dans son vagin, envoyer ses spermatozoïdes dans l'utérus fécond. Nicole le sait mais elle n'est plus qu'une femelle chaude et quand, à nouveau, son sexe reçoit le foutre de l'homme, seule la langue de Michel l'empêche de crier sa jouissance.

Michel à son tour la prend, sa queue pénètre une grotte chaude gluante et noyée, lui aussi profite de sa collègue de travail, de ma femme. Il se couche sur elle l'écrasant sur le bureau, il lui mord le cou, le lobe des oreilles, il se déchaîne. Mon épouse crie, bouche grand ouverte. L'homme lui parle:

- Jouis, jouis ma salope, ma belle cochonne!

Puis il tire sa tête en arrière. Il veut sa bouche, sa langue, ses lèvres. Et quand leurs langues s'emmêlent à nouveau, il remplit à son tour la chatte béante.

L'homme se retire, se réajuste, les autres sont déjà partis. Nicole se relève, elle essuie ses cuisses trempées, regarde le sol que le sperme en coulant a sali, arrange ses vêtements et à son tour quitte la pièce.

Elle rentre à la maison. Dans la voiture, elle a l'impression de sentir encore un sexe dans sa minette. Elle se sent bien comblée, satisfaite.

Quand elle fut rentrée j'ai vu immédiatement qu'il s'était passé quelque chose, mais après un bref passage à la salle de bain, Nicole dut s'occuper des enfants , et vaquer aux tâches ménagères les plus urgentes.

Et ce n'est que le soir vers 22h00, au moment de se coucher, que me trouvant seul avec elle, je pus lui poser des questions.

Elle commence à me raconter et aux premières paroles mon sexe durcit. Elle me parle en se déshabillant. N'y tenant plus je m'approche d'elle, j'arrache sa culotte et je l'entraîne sur le lit. j'ai du mal à enlever mon pantalon. Mais bientôt, je colle ma bite contre son ventre. Je lui pose des questions, me faisant donner des détails crus.

Elle répond avec une certaine complaisance, s'excitant tout autant que moi à l'évocation des détails de l'après-midi.

Puis elle roule sur moi, elle fait entrer ma pine dans sa chatte, et elle commence à me chevaucher. J'ai un de ses seins dans la bouche pendant qu'elle bouge le bassin, caressant littéralement ma queue avec son vagin. Nous jouissons très vite et Nicole s'écroule à côté de moi. J'ai juste le temps de déposer un baiser sur ses lèvres avant qu'elle ne tombe dans un profond sommeil.

**************

Le lendemain, Nicole retourne à l'école. Elle arrive légèrement en retard et a juste eu le temps de se rendre dans sa classe pour le début des cours.

A 10h00, elle laisse ses élèves à un autre intervenant et se rend dans son bureau. Peu de temps après, Antoine la rejoint avec un grand classeur qu'il ouvre devant ses yeux. Une autre série de photos y est rangée, montrant ma femme la bouche pleine d'objet bien particulier. Pendant qu'elle regarde, Antoine lui caresse la croupe.

- Ça t'excite n'est-ce pas? Dis-le que ça t'excite salope!

- Laisse-moi, on va nous voir.

En effet, seule une cloison vitrée séparait le bureau du couloir.

- Rejoins-moi dans les WC dans cinq minutes, je t'attends!

Ma femme hésite un instant, puis ne pouvant faire autrement se dirige vers les toilettes. Antoine qui la guettait, l'attire immédiatement dans le WC le plus éloigné, la pousse à l'intérieur et ferme la porte. Il la plaque contre la cloison, écarte ses cuisses, libère sa chatte de la culotte et son gros membre se positionne à l'entrée de la moule fermée.

Nicole n'est pas prête alors il la force. Il pousse son gland, écartant les lèvres et les parois du vagin jusqu'à ce qu'il soit en entier dans le sexe féminin.

Nicole se colle contre lui. Immédiatement, ses sécrétions intimes lubrifient sa chatte. Elle avance le bassin, s'offrant aux coups de boutoirs de l'homme. Antoine sort les seins de ma femme de leur soutien-gorge, il les prend à deux mains tandis que sa bouche se colle à celle de mon épouse. Leur étreinte est brève, leur excitation était telle que le plaisir les envahit tout de suite, et quand Antoine remplit de plusieurs jets puissants la moule qu'il a forcé, le corps de Nicole est saisi de nombreux spasmes de jouissances.

Antoine se retire de ma femme qui s'assied sur la cuvette des WC et laisse couler le sperme hors de sa chatte, avant d'essuyer sa touffe de poils noirs collés par le foutre de l'homme.

Ma femme retourne ensuite dans son bureau, puis reprend les cours jusqu'à 16h00. Comme elle regagne son bureau, le téléphone sonne.

- Madame, voulez-vous bien passer dans mon bureau?

C'est le Directeur qui l'appelle et Nicole n'en est pas autrement surprise, cela arrive assez souvent.

- Entrez Madame et asseyez-vous. J'ai trouvé cette enveloppe sur mon bureau. Elle contient des photos ou l'on vous voit .....enfin regardez vous-même.

Nicole comprend tout de suite. Elle aperçoit une photo où elle a la queue de Philippe dans la bouche pendant que Michel la prend par derrière.

- Je vais être obligé de prévenir notre hiérarchie. Vous comprenez, je ne peux accepter cela dans notre établissement.

Nicole se défend et supplie mais le directeur reste intraitable. Découragée et désespérée, ma femme s'apprête à partir quand le directeur se lève et vient près de son fauteuil.

- Madame......Ces photos que j'ai longuement regardées m'ont mis dans tous mes états et si vous me calmez, je crois que je ne dirais rien. Qu'en pensez-vous? Vous me comprenez? 

En même temps qu'il prononce ces paroles, il pose ses mains sur les épaules de mon épouse et les laisse lentement glisser vers ses seins. Nicole n'a pas le choix. Elle ne dit rien. L'homme sourit et ses mains se posent sur la poitrine arrogante. Il prend les seins dans ses paumes et commence à les malaxer, avec une satisfaction évidente. La respiration de mon épouse s'accélère.

- Déboutonne ta robe! là vas-y! Baisse ton soutien-gorge! Ohhh les mamelles, laisse-moi les prendre. 

L'homme devient vulgaire. D'une main il saisit le sein droit de Nicole tandis que de l'autre il déboutonne sa braguette. Son sexe gonflé et dur est au niveau de la bouche de ma femme.

- Allez, suce-moi comme sur les photos! Ouvre ta bouche! C'est ça oui! C'est trop bon!

L'homme a mis sa pine dans la bouche de ma femme et la remue lentement. Ses mains se crispent sur les seins dénudés. Nicole prend les couilles dans ses mains et les caresse doucement tandis que ses lèvres et sa langue pressent le gland qui va et vient.

Déjà les premières gouttes de sperme apparaissent sur le méat de l'homme. Elle sent la pression monter. Nicole aime cet instant où il suffit de quelques pressions de sa bouche pour faire jaillir l'homme totalement à sa merci.

Elle remue sa langue, serre ses lèvres et le foutre jaillit dans sa bouche, chaud, gluant et épais. Elle sait qu'elle doit l'avaler. Le foutre se répand dans sa bouche. Elle déglutit et commence à boire.

- Avale salope! Tu es une vrai pute toi, et en plus super bien foutue. Je suis sûr que ça t'a excité de me sucer. Laisse-moi toucher ta chatte. Tu es tout mouillée. Je crois qu'avec ces photos, je vais être souvent dans tous mes états et je compte sur toi. Finis de me nettoyer!

Enfin, ma femme se releva, rajusta son soutien-gorge et sa robe, tandis que l'homme se rhabille.

- Madame, nous ne donnerons pas de suite à ces photos mais vous comprendrez bien que vous devrez, dorénavant, répondre rapidement à mes convocations.

- Bien sûr Monsieur le Directeur.

Nicole quitte le bureau. Le reste du bâtiment est vide et elle rentre à la maison. Le soir et le reste du week-end je me fais raconter et répéter ce qui se passe à l'école et chaque fois, avec une excitation et un plaisir partagés.

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Les trois jours suivants, Il ne se passe rien. Nicole doit assister des élèves en stage et n'est donc pas à l'école l'après-midi.

Le jeudi vers 11h00, Antoine s'approche d'elle :

- Ce soir c'est l'anniversaire de Michel. On donne une petite fête dans la salle de réunion et on compte sur toi bien sûr.

A la fin des cours, tout le monde se rend dans la salle. Le gâteau d'anniversaire est découpé et mangé, accompagné de quelques bouteille de champagne.

Puis les secrétaires et les deux autres professeurs féminins prennent congé. Nicole veut les suivre mais Antoine la retient par le bras en lui disant :

- attend un peu!

Dans la salle, il ne reste plus que Michel, Antoine, Philippe et le Directeur. Michel ferme la porte et Antoine dit :

- Maintenant passons aux choses sérieuses. Déshabille-toi ma chérie! Allez ne te fais pas prier.

Nicole porte un tailleur strict sur une chemisette en soie blanche et elle commence par enlever sa veste.

- C'est très bien. Ouvre ta chemisette et sors tes gros seins. Montre-nous tes beaux nichons. Super! Maintenant remonte ta robe et enlève ta culotte. Assied toi sur la table et écarte les cuisses. Plus haut la robe, montre bien ta chatte poilue. Que tu es bandante! Philippe, prends des photos!

- j'en peux plus, il faut que je la touche.

Ils s'approchent d'elle. Une main se faufile entre ses cuisses. Des doigts écartent les lèvres de sa minette et fouillent son intimité. Une bouche humide commence à lécher ses seins, une autre cherche sa bouche.

Ils lui enlèvent sa chemisette, arrachent son soutien-gorge. Ils la font mettre debout, et lui ôtent sa jupe. Ma femme est maintenant complètement nue devant ces quatre hommes excités.

Maintenant, sa moule ouverte absorbe presque une main entière tandis que le directeur fait aller et venir son index dans le cul de mon épouse. Ils la tripotent ainsi quelques minutes puis le directeur prend une bouteille de champagne et enfonce le goulot dans l'anus de ma femme. Il fait entrer toute la partie étroite du goulot, en disant :

- Je la prépare cette salope. Je vais lui mettre ma bite dans le cul.

- Je rentre ma main presque en entier dans sa moule. On va lui mettre encore deux bites comme l'autre fois. Elle va hurler de plaisir Mme le professeur zélé.

- Maintenant je l'encule je n'en peux plus.

Le directeur retire le goulot de la bouteille, et dans l'anus ouvert enfile son sexe. Il encule Nicole avec de grand Han. Ma femme sent la queue lui fouiller les entrailles. Heureusement que je l'avais déjà un peu habitué à de telles pénétrations.

Puis l'homme bascule en arrière sur la moquette, entraînant ma femme sur lui. Les trois autres la regardent nue, jambes et cuisses écartées, une bite dans le cul, en train de pousser des râles. Philippe, le premier, n'y tenant plus, se glisse entre les jambes des deux amants et enfile sa bite raide dans la moule trempée et dilatée. Nicole pousse un cri. C'est une nouvelle sensation pour elle de sentir deux queues en elle qui la ramonent en cadence.

Antoine approche sa queue de la bouche entrouverte de ma femme qui halète et gémit. Il prend sa tête dans ses mains et guide la bouche vers sa bite qu'il enfonce entre les lèvres de mon épouse.

Michel prend quelques photos de la scène puis attrape un sein et commence a se caresser avec, frottant son gland sur le mamelon et le téton érigé.

Ce n'est plus que gémissements, onomatopées, gargouillis de chatte, halètements, bruits de succion puis un cri, le cri d'Antoine :

- Ahhhhhhhhhhhh, je jouis. Ferme la bouche, prends tout, prends tout!

Le sperme épais et crémeux remplit la bouche de Nicole. Elle avale ce qu'elle peut, le reste s'écoulant sur son cou. Elle n'a pas eu le temps d'avaler qu'elle sent sur sa poitrine le foutre de Michel. Il coule sur ses tétons et entre ses seins. Puis son cul et sa chatte sont remplis à leur tour. Ma femme a fait jouir ces quatre hommes dans elle et sur elle. Elle a envie de rester allongée, écartelée et pantelante, amollie par le plaisir qui l'a secoué à plusieurs reprises.

Philippe se retire. Nicole se relève, s'arrachant de cette queue qui lui remplit le cul. Elle a du sperme partout. Alors Antoine dit :

- Avant de la baiser encore on va la laver au champagne.

Il se saisit d'une bouteille et fait allonger Nicole sur la table. Il lui écarte les cuisses, met le goulot dans sa chatte. Le liquide coule et ressort, mélangé avec le sperme.

Philippe et Michel arrosent son ventre et sa poitrine puis ils lèchent le liquide sur la peau de la femme.

Le directeur remplit sa bouche du liquide et la colle à celle de ma femme. La boisson va d'une bouche à l'autre. Elle se mélange à la salive. Ils avalent et leurs langues jouent ensemble.

Pendant ce temps les autres continuent à s'exciter sur le corps de ma femme, à la caresser de partout, à mettre leurs doigts dans ses orifices intimes, à la branler avec la bouteille, à faire béer sa chatte.

- Maintenant elle est prête. On l'enfile à deux dans la chatte.

Antoine s'assied sur la moquette. Il entraîne Nicole sur lui et la dirige sur la queue qui la pénètre. Il lui écarte les cuisses en grand pour que les autres voient sa chatte grande ouverte avec cette queue à l'intérieur. Le directeur s'agenouille entre les cuisses écartées et présente sa bite à l'entrée de la moule. Il appuie. il force. Ma femme gémit quand la queue dilate son vagin et entre en elle remplissant complètement sa chatte. Elle la sent frotter sur son clitoris. Elle râle et elle bafouille :

- AAAAAHHHHH, Encore, oui encore. Enfonce-toi.....

Ces gémissements sont étouffés par la bite de Philipe qui pénètre dans sa bouche. Michel s'allonge à plat ventre et saisit un gros sein à deux mains. Il le lèche, le suce et le tripote.

Ma femme est devenue l'instrument de plaisir de ces quatre hommes. Tout son corps sert à exacerber leur désir et leur jouissance. Et Nicole en profite. A chaque attouchement, à chaque coup de boutoir dans sa chatte, son corps est parcouru d'ondes de plaisirs.

Le directeur se déchaîne, il pilonne littéralement la chatte en grognant. Nicole le sent qui pousse comme si il voulait la transpercer. Et puis à nouveau le liquide qui se répand en elle, qui lui mouille les cuisses de sa caresse chaude.

Puis l'homme s'arrache du réceptacle, et dit à Philippe :

- Vas-y, prends ma place, elle est bonne.

Philippe, à son tour, se glisse entre les cuisses écartées. Il s'enfonce sans mal, rejoignant la bite d'Antoine dans le sexe béant. Le directeur met sa queue débandée dans la bouche de mon épouse. Nicole joue avec. Elle peut l'avaler jusqu'aux couilles, l'entourer de salive comme si sa bouche était devenue une chatte prête à se faire baiser. Elle sent la queue qui se tend. L'homme recommence à bander tout doucement.

Philippe répand sa semence et Michel le remplace. Tandis que sa bite ravage la moule de la femme, il saisit ses deux seins à pleines mains. Antoine, dessous, essaye de bouger, écrasé par le poids de Nicole et de l'homme qui la farcit. Sa queue lui fait mal tellement il est excité, mais sa position l'empêche de bouger comme il le voudrait.

Michel à son tour éjacule et se retire. Le sperme coule de la chatte sur les couilles et les cuisses d'Antoine. La moule est tellement dilatée que l'homme ne sent plus rien. Alors il fait se relever Nicole qui lâche la queue du directeur à nouveau tendue et lui dit :

- Lèche moi salope! Reprends tout ce foutre qui est pour toi.

Nicole, docile, se met à quatre pattes et plonge sa tête entre les jambes de l'homme. Elle commence à le lécher. Elle ramasse sur sa langue et dans sa bouche tout le sperme qui s'est déposé sur sa queue, ses couilles et son anus.

Tout d'un coup elle sent qu'on écarte ses fesses. Deux doigts distendent son anus. Puis une queue plonge dans son petit trou. Le directeur l'encule à nouveau. La bouche de ma femme s'ouvre sur un gémissement de surprise et de plaisir. Antoine en profite et prend sa tête à deux mains et viole la bouche entrouverte. Il s'enfonce jusqu'à buter sur le larynx et dépose son sperme directement dans la gorge de ma femme qui déglutit pour ne pas s'étouffer. Elle avale le jus onctueux.

La tension baisse enfin. Les trois hommes regardent le directeur limer le cul de leur collègue. Il fait mette Nicole à plat ventre sur la moquette et il s'allonge sur elle, sa tête dans ses cheveux tandis que sa queue continue son va et vient. Puis un râle et l'homme jouit dans le cul de mon épouse.

Le directeur extirpe sa bite de l'anus, se relève, prend la main de Nicole et l'aide à se relever.

Nicole se sent collante, béante, mais jamais elle n'a été aussi comblée, aussi satisfaite. Elle ne sait plus combien de fois elle a jouit. Elle regarde les quatre hommes autour d'elle. Elle a envie de les toucher.

Philippe ouvre la dernière bouteille et remplit les verres. Ils boivent et mangent quelques restes en se reposant. Antoine s'approche du Directeur et lui murmure à l'oreille. Et celui-ci dit :

- Oh oui bonne idée, après l'action le spectacle, vas-y!

Antoine sort de la pièce. Le directeur s'approche de Nicole et dit :

- mets les mains sur la table. Là penche toi en avant. Et écarte les cuisses. Super!!!! Fait bien pendre tes nichons. Tu es encore toute ouverte salope. Ferme les yeux et ne les ouvre surtout pas.

Nicole entend des pas. Des mains se posent sur ses hanches et une pression s'exerce sur sa chatte. Un sexe entre, il écarte les lèvres et s'enfonce dans la fente.

Nicole se sent pleine car le sexe est énorme. Les parois de son vagin épousent parfaitement le contour du pieu qui la fouille. Elle retient un gémissement et se tourne vers l'homme qui s'occupe d'elle. Elle reconnaît le black qui assure l'entretien des locaux la nuit. L'homme la baise lentement et profondément. Ses collègues et le directeur les entourent, et font un tas de commentaires salaces.

- Tu as vu comme il fait gémir cette salope. Elle n'en a pas eu assez de nos queues.

- Défonce la, elle aime ça. Tu as vu ses mamelles comme elles balancent. C'est bon la chatte d'un prof hein?

- Tu te régales non? Tu as vu comme on l'a bien lubrifié? Ça glisse tout seul. Plus fort, tu entends comme elle gémit cette pute.

- Tu aimes sa queue ma chérie? Remue, remue bien ton cul. Tu me fais bander à nouveau.

La queue de l'homme grossit encore. A chaque coup de boutoir, des ondes de plaisirs parcourent le corps de Nicole et comme une litanie elle égraine un chapelet de :

- Encore, encore, encore........

Puis la semence jaillit, remplit son vagin. L'homme grogne son plaisir. Il pousse une dernière fois. Il veut que son sperme pénètre et imprègne la femelle qu'il a prise avec tellement de plaisir.

L'homme se retire. Alors Nicole se tourne et s'agenouille devant lui. Elle prend le sexe qui pend devant elle à deux mains et porte le gland à sa bouche. Elle le tète pendant que ses mains flattent le reste de la queue et les couilles de l'homme. Quand elle le sent durcir à nouveau, sa bouche lâche le gland et remonte vers la poitrine en léchant la peau noire jusqu'à ce que ses seins touchent la grosse queue.

Alors elle se frotte comme une chatte. Elle pose ses mains sur les fesses musclées de l'homme tandis que ses tétons branlent la bite érigée. Puis elle supplie :

- Allonge-toi je t'en prie, allonge-toi!

Alors l'homme obéit et s'allonge sur le dos. Ma femme l'enjambe. Elle s'assied sur le membre le faisant pénétrer en elle avec un soupir de satisfaction. Nicole danse sur la queue. Elle la sent qui fouille son intimité. Ensuite elle s'allonge sur l'homme, pressant ses seins contre la poitrine musclée. Elle pose sa bouche sur celle du black et saisit sa langue entre ses lèvres pour la sucer.

Dans cette position, elle offre à ses collègues une vue de son cul et de sa chatte pleine. Ils bandent à nouveau.

Michel s'accroupit au-dessus du cul offert. Il force l'anus. Il a du mal, la bite dans la minette prend toute la place. Il appuie et l'anneau se détend. Et tout d'un coup, il s'enfonce jusqu'aux couilles dans le cul de mon épouse. Les trois autres s'approchent. Le spectacle attise à nouveau leur désir.

Ils touchent Nicole et se déchaînent sur son corps. Les queues se disputent sa bouche. Ses seins sont touchés, pétris, sucés, pressés, pincés et malaxés. Sa bouche est pleine et les queues se frottent sur ses joues, son cou, ses cheveux.

Les deux bites en elle la pilonnent. Leurs mouvements s'accélèrent. La pénétration est extrême. Ma femme se sent possédée, transpercée. Jamais une queue n'a buté comme cela sur son utérus ou ne s'est enfoncé si profondément dans ses entrailles.

Elle a envie de gémir, de crier son plaisir, mais les bites qui se disputent sa bouche l'en empêchent.

Des doigts atteignent son mont de vénus essayant de se forcer un passage entre les lèvres distendues par la bite noire. Ne pouvant y arriver, ils pincent le clitoris de Nicole, qui jouit à plusieurs reprises.

Puis c'est le jaillissement du sperme dans sa bouche, son cul, sa chatte. Ses seins sont maculés. Des mèches de cheveux, mouillés par le foutre, collent à son visage.

Maintenant les hommes s'écartent. Michel se relève. Sa queue sort lentement de son fourreau et l'anus de ma femme se referme, chassant le sperme en petits ruissellements.

A son tour elle se relève, sa chatte glissant sur le membre encore raide, l'abandonnant.

Maintenant chacun se rhabille. Nicole s'essuie tant bien que mal avec des serviettes en papier. Elle remet ses vêtements et quitte l'école complètement épuisée.

Elle rentre à la maison, file dans la douche et me rejoins au lit, et, à ma grande frustration, tombe dans un sommeil profond.

Il faudra que j'attende le lendemain pour savoir ce qu'ils lui ont fait.

FIN

Mon aventure Ch. 02

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Soumise à mon mari et vieux souvenirs.

Je finis dehors. Je pense que je suis passée d'une tâche à une autre pour remettre les choses en place. Je n'arrivai pas à me concentrer.

Ce n'était pas le short humide ou la pensée du sperme dégoulinant de ma petite chatte qui me dérangeaient. C'est l'idée de m'être donnée si facilement à un autre après 20 ans de mariage fidèle.

Je fus séduite et je devins une participante volontaire. Il eut été facile de blâmer mon voisin noir mais je réalisai que je n'avais pas vraiment eu peur et qu'il ne m'avait pas vraiment forcée. Il avait donné un ordre et j'avais obéi.

Je fus honteuse de cette soumission mais je fus aussi excitée. J'entrai et pris une longue douche. Je nettoyai aussi bien l'intérieur que l'extérieur afin d'enlever toute trace de ma rencontre de cet après-midi.

Mais, rapidement, la sensation d'avoir été utilisée m'excita et je frottai mes petites lèvres savonneuses jusqu'à ce qu'un orgasme me terrasse. Je ne pus m'empêcher d'être excitée par ses souvenirs.

Plus tard, je me replongeai dans ma vraie vie. Les filles arrivèrent, discutant de choses et d'autres. Je fis le dîner et laissai les filles le manger. Puis j'attendis pour dîner avec Jack.

Il était plus tard que d'habitude et Jack semblait différent quand nous nous assîmes pour manger. Je ne pus savoir pourquoi mais il était plus calme et semblait avoir quelque chose en tête.

Juste après le dîner, il monta et m'appela. Jack était dans notre chambre, nu, la porte grande ouverte. Il me dit d'approcher. Je commençai à fermer la porte quand il me dit de la laisser ouverte. Je fus étonnée mais je laissai la porte et je me tournai vers Jack. Il tendit la main et me déshabilla. Puis il me mit à genoux. Je jetai un coup d'œil à la porte ouverte. Mais il me tourna de façon que la porte soit derrière moi, hors de ma vue. Bientôt sa bite fut devant mon visage et j'ouvris la bouche.

Automatiquement, je mis mes mains dans le dos alors que je le suçai. Un frisson d'excitation me traversa et ma chatte se réchauffa à l'idée d'être baisée à nouveau. La pensée de la porte ouverte restant à mon esprit, je m'appliquai dans ma fellation pour faire jouir au plus vite mon mari. Celui-ci, sa bite à peine dure, attrapa l'arrière de ma tête et commença à baiser mon visage.

Je regardai Jack pendant que je suçai sa bite et je le vis jeter un regard à la porte par-dessus ma tête. J'essayai de regarder mais il retint ma tête. Il me leva en me tenant par les cheveux pour ne pas regarder la porte puis il me poussa face contre le lit. Mes pieds touchaient le sol et il les écarta. Je sentis un liquide froid sur mon cul. Je sus que qu'il allait m'arriver.

Jack n'a pas hésité, mettant sa bite à l'entrée de mon cul et poussant jusqu'à ce qu'elle soit entièrement enterrée dans mon fondement, un long coup sans hésitation. Habituellement, me faire enculer est un processus lent, qui me permet de m'habituer à la pénétration. Mais là, ce fut un enculage direct. Je gémis sous l'excitation d'être pris aussi rudement et je retins un cri sous la douleur d'être sodomisée sans préparation.

Il tint mes cheveux et mon visage enfoui dans le lit. Je pouvais voir la tête de lit mais pas la porte ouverte derrière moi. J'oubliai cette pensée de chambre ouverte car, aujourd'hui, mon dernier trou était pénétré par une deuxième bite

Jack se conduisit comme un animal en me baisant avec de grands coups de reins. Sa main tenait mes cheveux pour me maintenir en place. Son autre main s'approcha de ma bouche pour que je suce ses doigts.

Ensuite, je sentis qu'il mettait deux de ses doigts mouillés dans ma chatte. Mouillés par ma salive ils glissèrent facilement dans mon vagin. Il me baisa le cul et la chatte en même temps.

Puis mon mari me souleva et poussa mes genoux vers mes seins. Il remit sa bite dans mon cul et continua à me baiser. Il sortit un gros godemiché de la table de nuit et l'enfonça dans ma chatte sans avertissement. J'oubliai complètement la porte ouverte.

Il baisa mon cul violemment et ma chatte encore plus rudement avec le gode épais en caoutchouc. Il poussa sa bite et l'objet en rythme pendant une vingtaine de coups puis il alterna le mouvement. J'eus l'impression d'être pilonné par un marteau-piqueur.

Jack me fit jouir quand il vida ses couilles dans mon cul. A ce moment je pus lever la tête et regarder derrière moi. Je vis ma fille Janvier dans le couloir, regardant fixement la scène. Quand nos yeux se rencontrèrent, elle se détourna et s'éloigna.

Jack me laissa dans cette position, les jambes écartées, le sperme coulant de mon cul, un gros gode encore logé dans ma chatte. Il entra dans la salle de bain sans rien dire et bientôt j'entendis la douche couler.

Je regardai la porte en prenant mon temps pour sortir l'objet en caoutchouc. Même si jack m'avait fait jouir, j'étais encore excité. Je promenai le gode sur mon clitoris, d'avant en arrière et de haut en bas. Puis je le passai sur mon cul pour l'enduire de sperme avant de revenir sur mon clito. J'étais excitée. Mes yeux se fermèrent et je gémis quand je me souvins tout d'un coup de la porte.

J'ouvris les yeux et je vis Avril, les yeux exorbités, regarder ma chatte ouverte et le gode qui frottait mon clitoris. Bizarrement, je pensai alors que je n'avais jamais vu ce godemichet. Il n'était pas à moi.

La bouche d'Avril était ouverte et je vis sa langue passer sur ses lèvres avant qu'elle ne s'éloigne dans le couloir. Je fus bouleversé par mon embarras et par un orgasme. Je sautai par terre et je fermai la porte. Je remis mon short ainsi qu'un tee-shirt propre. Jack sortit de la salle de bain nu. Je marmonné quelque chose et je descendis au salon.

Quand je revins à l'étage quelques heures plus tard, la porte de la chambre était ouverte et jack était couché sur le lit, nu et endormi. Il était sur le dos, et son sexe était à demi-dressé sur une cuisse. Je fermai la porte et je décidai d'aller prendre un bain. J'avançai dans le couloir quand je trouvai une autre porte ouverte. Avril était sur son lit, tout comme mon mari, nue et endormie.

Je restai un moment pour la regarder. Son jeune corps se levait et retombait sous l'effet de sa respiration. Ses seins, avec des mamelons roses, étaient parfaits et bien fermes. Ses jambes étaient assez ouvertes pour que je puisse voir sa chatte rasée et ses petites lèvres luisirent à la lumière du couloir. Même avec trois éjaculations dans mon corps et des orgasmes, j'étais encore un peu excitée.

En voyant Avril comme ça, de vieux souvenirs sont remontés dans ma tête. 

*****

Je trouvai un très bon travail juste après le lycée donc je n'eus pas à aller à l'université. Mais il m'est arrivée quelque fois de faire des soirées pyjama au lycée.

Nous avons eu notre nuit « masturbation » avec d'autres filles. Nous nous sommes assises en cercle et nous avons observé les techniques des autres, les doigts frôlant les clitoris, les doigts jouant avec les petites lèvres, les doigts pénétrant les vagins.

Pas de jouets à ce moment-là mais nous avons eu d'autres nuits où nous avons utilisé des godes, des vibromasseurs, et même une brosse à cheveux une certaine fois pour se faire jouir. Certaines filles aidaient d'autres à atteindre l'orgasme et ça devint une habitude. Nous nous sommes beaucoup rapprochées cet été, avec des séances où nous désignions une esclave.

Toutes les filles se réunissaient dans une maison pour le week-end. Tous les noms allaient dans un chapeau. Certaines filles aimaient se mettre ensemble mais nous choisissions un nom pour qu'elle soit notre salope tout le week-end. Parfois, elle passait son temps à lécher chatte sur chatte. N'importe quelle fille pouvait l'appeler et elle devait lécher sa chatte jusqu'à l'orgasme.

Un week-end, je fus la salope désignée et je dus lécher six chattes, orgasmes après orgasmes, du vendredi soir au dimanche matin. J'appris ce que chaque fille aimait et je me retrouvai dans des positions intéressantes. Un jour, une fille s'avança vers moi et souleva sa jupe courte. Je me mis à genoux et je vis qu'elle ne portait pas de culotte. Elle marcha vers moi et chevaucha mon visage jusqu'à ce que je la lèche et qu'elle ait un orgasme.

Souvent je me retrouvai sur un lit, à plat ventre, mon visage entre les cuisses d'une fille pour la faire jouir. Je fus sous la table pendant que les filles jouaient aux cartes, passant d'une chaise à l'autre, jusqu'à ce que chaque chatte soit satisfaite. Je dus aussi lécher des chattes très juteuses : Des filles avaient rendez-vous avec leurs copains, se faisaient baiser et revenaient à la maison avec du sperme dans leur sexe. Je devais les lécher pour qu'elles aient l'orgasme que leurs copains ne leur avaient pas données.

Ce jeu de « salope esclave » a évolué dans le week-end. Je fus ligotée, mes seins furent giflés, de la cire chaude fut versée sur mes mamelons, des pinces à linge furent attachées à mes petites lèvres, mon clitoris et mes tétons. Enfin j'eus divers objets enfoncés dans ma chatte.

Une fille arriva avec son petit ami. J'étais nue comme la salope désignée doit toujours être. La fille me demanda de la lécher jusqu'à l'orgasme pendant qu'elle regardait son petit ami me baiser le cul.

J'étais dans mon avant-dernière année quand ces week-ends ont commencé. Et nous nous sommes souvent réunis jusqu'à ma dernière année, environ toutes les deux-trois semaines. Et je crois qu'aucune jeune fille n'en a jamais parlé. Pour autant que je sache, aucun des parents ne sut ce qu'il se passait. Pourtant j'ai un doute sur un certain week-end.

Je fus la salope choisie et j'ai immédiatement senti ma chatte se serrer lorsque mon nom a été tiré au sort. Je me déshabillai rapidement et j'attendis les ordres. 

Lorsque Jack me connut il me demanda avec combien d'hommes j'avais eu des relations sexuelles. Je lui ai toujours donné le nombre de 3. Mais je n'ai jamais inclus ce week-end. La raison est que je n'ai jamais su ce qui c'était passé.

Je ne devrais pas le dire de cette manière car je connais certaines parties et j'ai entendu beaucoup de rumeurs sur une fille qui avait fait certaines choses. Aucun nom n'a jamais été donné et les rumeurs sont devenues légende urbaine. Je me suis toujours demandée si j'étais cette fille.

Au fur et à mesure que les rumeurs évoluaient, la fille avait baisé toute l'équipe de football mais parfois c'était l'équipe de basket ou tous les professeurs de l'école. Dans une autre version c'était le directeur, les entraîneurs et même le concierge qui utilisaient la fille. Ma version préférée c'est celle où ce sont les parents et en particulier les pères qui baisaient la fille sans la connaître car ils avaient tous les yeux bandés. Personne n'a jamais réalisé que la fille avait été baisée par son père et avait léché la chatte de sa mère.

Peu importe qui était cette fille. Mon week-end fut complètement fou. Comme d'habitude, ma copine Holly fut prête dès que le nom de la salope fut tiré. Elle enleva son jean et sa culotte, s'assit sur le canapé et glissa en avant jusqu'à ce que son cul soit au bord du coussin. Elle me montra sa chatte du doigt et écarta ses jambes très larges. Holly était toujours la première à être servie. Je remplis mon devoir, la léchant de son trou du cul à sa toison pubienne, enfouissant ma langue dans sa chatte, faisant glisser ma langue sur son clitoris, jusqu'à ce qu'elle jouisse et me repousse.

Ensuite, je léchai d'autres chattes. Puis quelqu'un vint derrière moi et me banda les yeux. Je fus conduite dehors et penché sur une table. Le verre recouvrant cette table de patio avait été enlevé, si bien que mes seins purent se balancer librement.

Mes chevilles furent attachées aux pieds du meuble très écartés. Mes mains furent liées au cadre de la table. J'étais sur une terrasse en béton, les jambes écartés, penchée. Si bien que mon cul en l'air, ma chatte et mon trou du cul étaient à la disposition de tous ceux qui voulaient m'utiliser.

On fit glisser une paire d'écouteurs sur ma tête et de la musique commença à en sortir. Maintenant, j'étais complètement soumise, attachée, incapable de voir ou entendre autour de moi. Quelqu'un me donna une fessée. Je sentis des mais sur mes seins et mes tétons furent tirés et pincés. Quelqu'un s'avança sur mon visage et je sortis ma langue pour trouver une fente qui attendait d'être léchée. Je gardai ma langue en mouvement jusqu'à ce que je sente qu'elle se retirait.

Je fus laissée seule pendant un certain temps et je reposai ma tête du mieux que je pus contre le métal froid du cadre de la table. En fait, je somnolai jusqu'au moment où je sentis quelque chose sonder ma chatte. Je sentis mes lèvres s'ouvrir et quelque chose pousser contre mon sexe. Ça n'a pris qu'une seconde avant que je réalise que j'étais baisée. Un homme était derrière moi et fourrait sa bite en moi.

Je fus baisée longtemps. Il y avait au moins deux hommes mais surement plus. J'eus deux bites à la fois à un moment : une dans la bouche et une autre dans le cul. Je compris vite que soit les deux gars récupéraient vite, soit ils étaient plus nombreux. A la fin ma chatte et mon cul restèrent ouverts et je dus satisfaire hommes et femmes.

Mon visage et mes cheveux furent recouverts de sperme. Je sentis le foutre dégouliner de mon cul et de ma chatte sur mes jambes. Je me sentis fatiguée et bien utilisée mais aussi plus vivante que je ne l'avais jamais ressenti.

Plus tard, quand les rumeurs se sont répandues, je me masturbai à l'image de mon père aux yeux bandés qui me baisait pendant que je léchai la chatte qui me mit au monde.

Le deuxième jour, je fus pénétrée par des bites expérimentées. Plus tard je me dis que c'était surement mes professeurs préférés. Je pouvais sentir la différence entre ces queues et celle qui m'avaient prises le premier jour. Ce jour-là, le verre de la table fut remis et on m'attacha au cadre, bandeau sur les yeux et écouteurs en place. Cette fois cependant, j'étais sur le dos. Mon cou était au bord de la table et une légère traction permettait à qui le voulait de chevaucher mon visage ou se faire lécher ou sucer.

On me laissa quelques pauses, mais je fus disponible la plupart du temps, aussi bien le jour que la nuit. J'ai avalé beaucoup de foutre et je sais que d'autres filles s'amusaient bien car j'eus quelques chattes pleines de sperme à nettoyer.

Après la première nuit, je fus placée sous la douche. Mon bandeau ne fut enlevé que lorsque je fus dans la salle de bain. Et quand je me retournai, j'étais seule. Je pris une longue douche chaude.

Les filles m'ont souri et m'on fait des câlins et des bisous quand je suis finalement descendu pour manger quelque chose. J'étais affamée. Et les filles semblaient bien satisfaites car elles ne me demandèrent pas de les lécher. Seules six filles étaient là, donc les autres devaient être partis. Je mangeai lentement, assise nue à la table. Des filles s'assirent avec moi et nous bavardâmes d'un peu tout, de l'école, des garçons et des ragots.

Je ne fus pas la première à être maltraitée mais je fus surement la première et peut-être la seule à être traitée comme une salope à partouze. Ensuite je ne fus pas à chaque fête ou soirée pyjama et je ne fus pas au courant d'autres orgies. Probablement pour que je n'apprenne pas l'identité des personnes qui m'avaient utilisées. Ainsi comme ça, à l'extérieur, je ne souffrirai pas de culpabilité.

La deuxième nuit, enduite de sperme et de jus de chatte, et peut-être même de pipi, mon cul et ma chatte étaient grand ouverts et douloureux lorsque je fus libérée et conduite à la salle de bain. Mon bandeau fut laissé et on me plongea dans un bain chaud. Je n'eus pas à faire le moindre geste car j'eus des mains partout sur moi. Je fus amoureusement savonnée et lavée des pieds à la tête.

Je fus conduite hors du bain et séchée avec de serviettes moelleuses. On enduit de lotion chaque pouce de mon corps, de mes bras et de mes jambes. Je fus mise sur le lit et des mains me massèrent. Il n'était pas important que l'esclave jouisse lors de ces week-ends. Elle était là pour servir ceux qui voulaient. Et si elle ne jouissait pas, elle pouvait jouer avec elle-même en attendant que quelqu'un ait besoin de ses services.

Cependant, cette fois, je sentis une langue sur mon clitoris, qui le léchait en tournant dessus. Mon clito avait été négligé pendant que mes trous étaient utilisés. Mes mamelons étaient douloureux d'avoir été tirés, pincés et tordus. Après l'excitation et les abus subis du week-end, la langue fut non seulement la bienvenue mais elle fit nécessaire. Je jouis dans une explosion qui me fit trembler de la tête au pied. L'orgasme fut si intense que je perdis connaissance. La seule dont je me souviens c'est d'être seule dans l'obscurité, dérivant entre conscience et sommeil.

Le dimanche matin, j'étais en forme. Je me réveillai à côté de deux filles qui s'enlaçaient dans un 69. Je me sentis normale, rafraîchie, sans douleurs persistantes ou autres effets indésirables. J'avais été l'héroïne d'une orgie et je me sentais très bien physiquement et moralement. Avant la fin du week-end, je léchai toutes les filles jusqu'à l'orgasme au moins une fois.

****

Tous ces souvenirs revinrent à moi en regardant la poitrine d'avril qui bougeait en rythme avec sa respiration. J'admirai son corps quand elle bougea tout d'un coup. Ses jambes s'écartèrent et je vis distinctement sa chatte rasée et lisse, ses lèvres gonflées. Des sentiments contradictoires me submergèrent. Je savais que c'était ma fille. Mais cela faisait 20 ans que je n'avais pas mangé une chatte si douce. Alors je ne pus m'empêcher d'imaginer ma langue entre les lèvres de cette adolescente.

A suivre ...

samedi 22 décembre 2018

Tatouage Ch. 05

Tatouage - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Elle se soumet encore au jeune garçon et à son amie

Le goût de sperme toujours dans la bouche, Lori n'arrivait pas à croire à quel point elle était mouillée. Josh l'avait poussée plus loin que Franck depuis l'université. Elle entendit sa voiture descendre l'allée et elle se dit que ça ne lui prendrait que quelques secondes pour avoir un orgasme. Mais il lui avait dit qu'elle ne pouvait pas jouir sans sa permission, un ordre difficile à suivre. Pourtant elle obéirait.

Elle retira sa culotte et s'en servit comme d'un torchon pour nettoyer la table du reste de foutre de Josh. Il était à peine 9 heures et demi du matin et elle n'avait aucune idée de ce que la journée lui réservait. Elle monta à l'étage pour chercher les talons qu'elle cachait à l'arrière de son placard.

*****

David était assis à son bureau quand son téléphone portable sonna. Il reconnut le numéro de Josh et fut heureux que le garçon ne l'appelle pas sur la ligne fixe du bureau. Mary aurait découvert qu'il était toujours en ville.

- Bonjour, c'est David.

- Bonjour Monsieur, ici Josh.

David pensa qu'il avait un air suffisant au téléphone. Le garçon continua :

- J'aimerai vous rencontrer ce matin si possible.

- Pourquoi?

« A propos de ta pute de femme, quoi d'autre idiot » pensa Josh avant de dire.

- A propos de Mme F.

- Rendez-vous au café au coin de la rue d'ici une heure.

- Oui Monsieur.

Josh raccrocha et se demanda ce qu'il allait faire. Josh n'avait pas de doute sur le fait qu'il pouvait avoir Lori n'importe quand et n'importe comment. Ce qui l'inquiétait, c'est qu'il la baise aujourd'hui et que M. F. soit en colère. Il y a de fortes chances que Lori et lui se retrouvent à la rue avant la nuit.

Cela laisserait Josh sans excuses pour rester et peut-être aussi sans les recommandations de M. F. Et Josh ne voulait rentrer à la maison et faire face à son père. Il devait comprendre quels étaient les plans de David. Il ne semblait pas être le genre de gars qui foutrait sa salope de femme dehors mais qui sait. Josh n'avait pas de prise sur David et il pensait qu'une bonne discussion pouvait à comprendre les choses.

*****

David était dans le bureau du PDG. Ils discutaient d'une urgence.

- Je suis désolé de te demander ceci David. Nous savons tous les deux que tu peux dire non. Bon sang, nous savons que tu n'as pas besoin de ce supplément de travail. Mais comme je te l'ai dit, l'état de la mère d'Hélène a empiré. J'ai promis que je serais avec elle et les enfants le moment venu. Elle est partie en Virginie hier soir avec les enfants.

- alors tu veux que je te remplace pour sceller cette grosse affaire à TOKYO. Demanda David en connaissant déjà la réponse.

- Tu connais les japonais. Ils s'offusqueraient si j'envoyais quelqu'un d'autre. Si nous reportons cette transaction, ça va nuire considérablement à nos résultats de l'année.

Il s'arrêta et ajouta :

- Bien sûr, tout tes frais seront payés par la société. Tu logeras dans le meilleur hôtel. Lori pourra t'accompagner, vous voyagerez en première classe. Mais vous devez partir à la fin de la semaine.

La poitrine de David se serra à l'énoncé du nom de sa femme. Son patron avait toujours aimé Lori. Il se demanda ce qu'il penserait d'elle s'il voyait les photos. Puis il se sentit coupable quand il se demanda si son patron savait ce qu'il était en train de faire chez lui. Josh semblait sûr de lui et David avait perdu la moindre lueur d'espoir.

- Je vais demander à Mary de prendre toutes les dispositions. Je peux partir vendredi. Je pense que c'est mieux que Lori reste à la maison. Pour être honnête, nous avons quelques problèmes et une petite séparation nous fera du bien.

- Merci David, j'espère que ça s'arrangera. Tout le monde admire la relation que vous avez tous les deux.

******

Josh attendit que David commande et apporte son café à la table. Personne ne dit rien jusqu'à ce que David prenne une gorgée.

- Je ne suis pas sûr que ça va être aussi facile que je le pensais M. F.. Mentit Josh, repassant les mots qu'ils devaient dire dans sa tête depuis une heure.

- Au début, je pensais qu'il n'y avait pas de problème, mais je crois qu'elle a été flattée par l'attention d'un jeune homme. C'est une gentille dame...

« Pour une salope » pensa-t-il avant de continuer.

- ... et je voudrais être sûr que vous voulez que je continue. Si elle était alcoolique, lui offririez-vous un verre?

- Josh, je ne m'attends pas à ce que tu comprennes. Mais si elle était alcoolique et qu'elle ne me mentait pas, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour la guérir. Mais, ...

Il fit une pause.

- ... Mais si elle buvait en cachette depuis près de 25 ans et qu'elle me mentait à ce sujet, je la virerai. Ce n'est le sexe le problème c'est les mensonges.

Je vais être honnête avec vous Monsieur. Je ne veux pas rentrer chez mon père. J'ai besoin de votre lettre de recommandation. Et je voudrais, vous savez, que vous soyez fixé sur elle. Mais pas si ça me coute ce que je veux.

David avait toujours un sentiment de malaise avec ce garçon. Il avait l'impression de vendre une marchandise.

- Josh, je ferai ta lettre d'ici jeudi. On a un problème dans la société et je dois partir pour le Japon vendredi. Je serai de retour dans deux semaines, peut-être moins. Notre anniversaire de mariage est la semaine suivante. Je pense qu'il est approprié pour moi de lui faire tout savoir ce jour-là. Tu peux rester jusque-là.

Josh bougea sur son siège et demanda :

- Qu'en est-il de l'autre partie? Si je la baise.

- Je la quitte. Pour tous les mensonges au cours des années. Si tu la baise, je sortirai tout au grand jour. Elle devra faire face à la vérité de son infidélité face à la famille et ses amis. Si vraiment elle te résiste, je ferai de mon mieux pour rendre la séparation amicale.

« Eh bien, je crois que ce sera un divorce très moche. Ce gars vient de sceller le destin de sa femme » Pensa Josh.

*****

Lori but quelques verres en attendant le courrier. Elle se sentit bête de marcher dans la maison avec des talons aiguilles de 10 centimètres. Pourtant elle se sentait plus vivante et plus énergique qu'elle ne l'avait été depuis trois ans.

Lorsque le colis arriva, elle fut surprise de se rendre compte qu'elle était livrée dans une grande enveloppe plutôt qu'une boite. Jusqu'à ce qu'elle vît le maillot de bain. Il était ridiculement petit. Juste trois petits bouts de tissu reliés par une ficelle. A ce moment-là Lori décida d'arrêter les choses tout de suite. Si elle s'habillait et s'humiliait, détruisant toute estime de soi qui lui restait, sa vie serait ruinée. Elle avait survécu à Franck. Elle n'aurait pas autant de chance avec Josh.

Dès que le téléphone sonna, Lori sut qui c'était. Elle n'était pas sûre de savoir comment elle le savait mais elle le savait indéniablement. Avec une certitude absolue, elle savait que c'était Josh. « Je ne répondrai pas » pensa-t-elle.

Elle se tenait près du réfrigérateur, serrant la poignée comme pour se retenir. La sonnerie continua. « Oh mon Dieu, ne prends pas le combiné » pensa-t-elle. Elle fixa le téléphone fixé au mur. Elle écouta le répondeur se mettre en route. Elle entendit sa voix indiquant qu'elle était désolée d'avoir manqué l'appel et de laisser un message.

- Décroche salope. Maintenant!

Le corps de Lori trembla alors que la voix de Josh résonna dans la cuisine. Ses jambes tremblaient, son cœur battait fort. Sa main trembla quand elle saisit le combiné.

- Bonjour? Dit-elle en essayant de paraître calme.

- Bonjour Lori...

- Que veux-tu?

- Tu sais ce que je veux Lori.

- Non.

- Non quoi Lori?

- je ne peux pas faire ça, je ne le ferai plus.

- Je serai là dans dix minutes. Sois au bord de la piscine.

Sa bouche était sèche.

- Non je n'y serai pas. C'est fini.

- Dix minutes! Dit Josh avant de raccrocher.

Elle alla dans sa chambre et regarda la photo de David sur la table de nuit. « Je pourrais l'appeler » pensa-t-elle « mais que dirais-je? Non, je vais juste partir. »

Elle senti des larmes se former alors qu'elle déboutonnait sa robe. Celle-ci tomba lourdement sur le sol. Elle enleva son soutien-gorge et sa culotte puis elle s'éloigna de la pile de vêtements. Elle était nue à part les talons.

« Je n'ai pas à le rencontrer » pensa-t-elle encore « s'il ne part pas, je pourrai appeler la police ». Elle enfila le maillot de bain rose et ajusta le haut. Elle se regarda dans le miroir et ne reconnut pas la personne renvoyée par la glace.

Elle descendit les escaliers en se disant qu'elle allait fermer la porte du patio à clé. Puis elle fermerait les stores et l'ignorerait s'il frappait à la porte. Elle s'arrêta près du comptoir de la cuisine et prit le torchon pour s'essuyer les yeux.

Sa main plana au-dessus de la clé de la serrure jusqu'à ce qu'elle prenne la poignée et ouvre la porte. Sa peau fut réchauffée par le soleil tandis qu'elle se dirigeait vers la chaise longue où Josh était assis.

Le garçon portait un short kaki et un polo blanc. Il avait des lunettes de soleil et lisait le journal. Lori se tenait pas loin de lui, ne sachant que faire. Elle ne savait pas s'il la regardait ou non.

A 47 ans, elle attendait qu'un jeune garçon finisse de lire. Elle sentait le soleil sur son corps mais elle savait qu'une grande partie de sa peau n'avait jamais été exposée aux rayons auparavant. Si elle avait des coups de soleil, comment les expliquer à David? Aussi stupide qu'elle se sentît et aussi ridicule à regarder, Lori ne pouvait pas lutter contre les réactions de son corps face à cette humiliation.

Après quelques minutes, elle fit surprise par le son d'une chanson. Elle n'avait aucune idée d'où elle venait jusqu'à ce qu'elle voie Josh ouvrir son téléphone portable. Il parla :

- Kelly? Génial! Tu as trouvé. Ouais, gare-toi derrière ma voiture et viens derrière. J'ai laissé la porte ouverte, c'est à droite.

Les mots s'enfoncèrent dans la tête de Lori qui se mit à trembler. Elle dit :

- Mon Dieu Josh! Je ne veux pas que quelqu'un me voit comme ça. A quoi penses-tu? S'il te plaît Josh...

Il lui coupa la voix.

- Ecoute salope. Je suis déjà énervé par la façon dont tu m'as traité au téléphone. N'as-tu pas réalisé que quand tu me défies, ça ne rend les choses que plus difficiles pour toi? Maintenant, tu ferais mieux de ne pas m'embarrasser devant ma petite amie.

Les mots « petite amie » étaient un peu exagérés. Josh avait des problèmes à garder une relation sur le long terme, voire même sur le court terme. Cependant, depuis son arrivée ici, il avait vu Kelly cinq ou six fois. A trois cents dollars l'heure, elle était la meilleure call-girl que le service d'escorte avait à offrir. Aujourd'hui ça lui couterait un peu plus cher, mais si les choses se passaient comme prévu, ça en vaudrait la peine. Tant que la pute se souvient de ce qu'il lui a dit. Il continua :

- Regardons les choses en face Lori. Tu es une femme attirante... pour ton âge. Je parie que quand tu étais à l'université tu étais une bombe. Quand tu rencontreras Kelly, tu verras que j'ai une belle petite amie. Elle a la peau et le corps d'une jeune fille, pas de rides au coin des yeux, pas de vergetures même aussi peu voyantes que les tiennes et pas de seins qui tombent.

Il aimait la rendre consciente de ses défauts dus à l'âge.

- Mais Kelly a des problèmes. Elle va me sucer mais elle ne me laissera pas jouir sur son visage. Elle n'avalera pas non plus. Son cul est interdit et il ne faut pas penser à lui demander de lécher ton cul. Elle s'habille sexy mais pas en...

Il rit et regarda Lori dans le maillot de bain rose.

- ... salope. Elle ne baise pas mes amis et elle ne baise pas en public.

La bouche de Lori était béante pendant qu'elle écoutait la liste de perversions qu'il attendait d'elle.

Elle entendit la porte s'ouvrir et une brune très fine dans un maillot de bain une pièce en lycra comme pour les nageurs olympiques s'approcha d'eux. Autour de sa taille elle portait un sarong à imprimés fleuris et bleus. Elle avait de simples sandales aux pieds, des sandales plates. Elle portait un grand sac de plage en paille ainsi qu'un chapeau rond. C'était une belle jeune femme et lori fut jalouse de sa jeunesse.

Josh se leva et quand Kelly fut proche, ils s'embrassèrent longuement, un baiser profond et humide. Kelly se tourna et Lori remarqua que ses tétons étiraient le tissu serré de son maillot.

- Alors c'est la chienne dont tu me parlais, ton jouet. Elle fera toutes les choses que je ne veux pas te faire c'est ça?

- Oui Kelly. Répondit Josh.

« Il semblait mal à l'aise avec cette fille » se dit Lori.

Kelly se tourna et s'approcha de Lori. Son corps ne fut plus qu'à quelques centimètres et quand elle parla, Lori sentit son souffle. C'était une fumeuse.

- Je dois dire que tu es mieux faite que ma mère. Comment t'appelles-tu chérie?

Lori jeta un coup d'œil rapide à Josh et se souvint de ses ordres.

- C'est Lori. Ravi de te rencontrer Kelly.

La jeune fille répondit d'une voix rauque :

- Notre rencontre n'aura rien d'agréable. Et pour toi c'est Miss Kelly. Josh m'avait dit que tu t'appelais Salope. Alors c'est Lori ou Salope?

- C'est Salope, Miss Kelly.

- Tu es un bon animal de compagnie. Mais je veux t'apprendre une chose. En ce qui me concerne Josh peut faire ce qu'il veut avec toi, mais je ne veux pas que ta bouche de salope embrasse mon petit ami. C'est clair?

- Oui Miss Kelly.

- Est-ce un des maillots de bain de la marque Weasel? Ça y ressemble.

- Oui Miss Kelly.

- Je n'arrive pas à croire qu'à ton âge, ou que quelqu'un de ton âge oserait porter ça. Es-tu déjà allée dans la piscine?

- Non Madame. Répondit Lori confuse par la question.

Kelly savait que cette femme n'était pas au courant de ce qu'elle parlait. Elle sourit.

- Ces modèles deviennent transparents quand ils sont mouillés. Donc je pensais que tu t'étais baignée car je peux voir ta chatte chauve à travers le tissu. Pourquoi sinon?

Lori sentit son visage rougir de honte. Le rire de Josh n'arrangea pas son sentiment d'humiliation. Comme elle ne répondait pas, Kelly continua d'une voix furieuse :

- Eh bien? Tu t'es pissée dessus? Pourquoi ton bas de maillot est transparent?

- Oui Miss Kelley, ou plutôt non, je n'ai pas fait pipi. Je suppose que c'est mon sexe qui a mouillé le tissu.

- Ton quoi? hurla Josh.

Surprise, Lori répondit rapidement :

- Ma chatte, je voulais dire ma chatte.

Kelly se pencha vers l'entrejambe de Lori. Elle posa sa main sur le petit bout de tissu trempé. Puis elle leva la main devant le visage de lori pour lui montrer son jus.

- Mon Dieu, comme tu mouilles! Quelle salope tu dois être! Dis-moi, es-tu le genre de grosse chienne qui mouille quand on la domine?

Lori ne pouvait croire que cette fille soit aussi dominante. Elle et Josh faisaient la paire parfaite.

- Oui Miss Kelly.

- Oui Miss Kelly quoi?

- Je suis une grosse chienne dont la chatte dégouline quand on la domine, Miss Kelly.

- C'est beaucoup mieux salope.

Elle se tourna vers son petit ami et continua :

- Josh, emmenons la sous le patio sinon elle va brûler comme du pain grillé.

Ils se déplacèrent sous le store du patio. Kelly et Josh s'assirent. Lori resta debout, ne sachant que faire jusqu'à ce que Josh l'envoie chercher des bières. Le jeune couple discuta pendant quelques minutes et quand Josh fut certain que Lori était dans la cuisine, il glissa l'argent à Kelly pour son temps.

Une fois qu'ils eurent pris quelques gorgées de leur bière, Kelly se leva et s'approcha très près de Lori. Elle savait que ça amplifiait sa domination. Elle leva ses deux index et les passa sous la ficelle du haut de maillot de bain. De là elle fit glisser ses doigts dans un mouvement fluide pour pousser le petit soutien-gorge sous ses seins. Les mamelons de Lori étaient dressés et bien durs.

- Quand as-tu fait refaire tes seins?

- Quand mon plus jeune enfant avait 9 ans, il y a presque 11 ans.

Kelly commença à soulever chaque sein puis les laissa tomber.

- Bon boulot, ils rebondissent presque naturellement.

La jeune fille regarda la table et fouilla dans son sac. Elle sortit un bâillon avec une boule rouge, une raquette en cuir et un gode avec une ventouse à une extrémité. Kelly savait qu'ils allaient utiliser tout ça sur Lori. Elle se retourna et dit :

- Ça y est!

Elle brandit fièrement une petite chaine de quelques centimètres avec des petites pinces ajustables à chaque extrémité. Elle la balança devant le visage de Lori.

- Salope, elles sont ajustables. Je peux les serrer aussi fort que je veux. Mais je vais te laisser décider.

Elle commença à tirer un des mamelons de l'épouse de David.

- Je vais les accrocher comme ça.

Lori sentit le métal froid pincer son mamelon. Il lui sembla que la douleur descendait directement dans sa chatte.

- Maintenant, dis-moi quand il faut que j'arrête de serrer. Mais pour que ce soit amusant, si elles tombent à un moment ou un autre, je devrais te donner une fessée. Donc plus elles seront serrées, moins elles risquent de se détacher. Dis-moi quand j'arrête salope!

Lori avait toujours aimé que l'on joue durement avec ses tétons, mais ça faisait des années qu'elle n'avait pas été traitée comme ça. Elle serra les dents alors que les pinces pénétraient de plus en plus dans la tendre chair de ses mamelons. Finalement, quand elle pensa qu'elle ne pourrait pas supporter plus la douleur, elle demanda à Kelly d'arrêter. La même chose fut répétée sur l'autre mamelon. Puis Kelly retira complètement le haut du maillot de bain. La chaîne pendait entre les seins.

Josh ne dit rien. Il était fasciné par la qualité du rôle joué par Kelly.

Celle-ci prit ensuite le gode et se dirigea vers ma maison en faisant signe à Lori de la suivre. Elle lui tendit le gode en lui disant de mouiller la ventouse avec sa bouche. Puis elle la mit dos à la baie vitrée et lui demanda d'attraper ses chevilles avec ses mains. Cela poussa le cul de Lori et le maillot de bain mouillé contre le verre et laissa une trace de son jus.

Kelly éloigna Lori et posa le gode sur la trace laissée sur le verre. La ventouse du gode colla contre la vitre/

- Je ne vois aucune raison d'utiliser un lubrifiant avec une chatte aussi humide que ça. Baise-toi sur le gode pendant que je finis ma bière. Ne le fais pas tomber et ne pense même pas à jouir!

Kelly s'assit près de Josh et ils regardèrent tous les deux avec admiration la mère de famille écarter la ficelle de sa culotte et remuer le cul jusqu'à ce que le gode pénètre sa chatte. Josh dit en se levant :

- Je vais dans la cuisine me chercher une autre bière Quand je reviendrai, je veux que tes fesses touchent le verre.

Le gode était gros, et dans cette position Lori pouvait le sentir pousser fortement contre son col. Elle poussa plus fort jusqu'à ce qu'elle sente le verre froid contre son cul. Il lui fallut faire beaucoup d'efforts pour ne pas jouir.

Kelly et Josh terminèrent leur bière, ignorant pratiquement leur jouet exposé. Les jambes de Lori commencèrent à se contracter et ses mamelons étaient engourdis. Kelly se dirigea vers elle puis s'accroupit près d'elle et lui demanda :

- Tu veux jouir salope?

- S'il vous plaît Miss Kelly oui. Puis-je s'il vous plaît?

- Tu feras tout ce que Jodh et moi te demanderont tout le reste de l'été?

- Oui n'importe quoi Miss Kelly!

- Tu vas sucer et baiser toutes les personnes que je veux. Tu nous donneras ton corps, peu importe ce que nous voudrons. Tu seras notre pute, notre salope.

- Oui oui.

- Tu peux jouir salope. Maintenant!


Lori se poussa contre la vitre, forçant le gode en caoutchouc plus profondément dans son sexe. Son corps commença à trembler avec le début de l'orgasme. Au même moment, Kelly attrapa la chaîne entre ses seins et tira très fort. Les pinces tirèrent sur les tétons et se détachèrent, le sang put à nouveau circuler et provoqua une douleur fulgurante qui déclencha le meilleur orgasme que Lori ait jamais connu.

Les deux jeunes gens furent surpris par le spectacle devant eux. Il fallut plusieurs minutes pour que les spasmes de plaisir se dissipent. Lori s'était presque évanouie.

Kelly l'aida doucement à se relever et à la faire avancer jusqu'à ce que le gode se dégage de son corps. Lori se leva et sentit une douleur dans les muscles de ses jambes et de son dos. Kelly repoussa ses cheveux moites et lui parla doucement :

- Sois une bonne fille et enlève tout ce jus de mon gode. Je n'ai pas à t'expliquer comment le nettoyer n'est-ce pas?

Lori secoua la tête et se retourna. Elle s'agenouilla devant la bite suspendue de façon obscène sur la vitre. Elle ouvrit la bouche et commença à lécher son jus sur le jouet.

Les objets furent remis dans le sac et Lori se dit qu'il faudrait nettoyer la baie vitrée avant que David ne rentre à la maison. Kelly avait enlevé ses sandales et son sarong puis avait plongé dans la piscine. Lori ressentit encore de la jalousie à la voir. Josh s'approcha d'elle :

- Lori, tu as bien réussi ce test. J'avais prévu de te baiser, mais encore une fois, tu n'as pas suivi mes ordres au début. Nous allons partir dans peu de temps, ça te laissera assez de temps pour tout nettoyer. Je ne te verrai pas avant demain.

Ils se dirigèrent tous les deux vers le bord de la piscine et regardèrent Kelly nager comme un poisson sans provoquer beaucoup d'ondulations dans l'eau.

- Elle faisait de la natation de compétition. Je suis content que tu lui aies aussi bien obéie. Dit Josh en posant son bras sur son dos pour la guider vers les marches de la piscine.

- Je veux que tu entres dans l'eau jusqu'au cou. Ça va te rafraîchir.

Lori se baissa pour dégrafer ses chaussures.

- Non salope, garde-les! Une salope porte toujours des talons.

Lori se dirigea vers l'eau et croisa Kelly qui sortait et se mettait sur une chaise longue pour sécher. Elle fit un premier pas dans l'eau fraîche et se sentit bien. Outre le fait qu'elle avançait dans la piscine en portant des talons aiguilles, elle était contente. Quand l'eau couvrit ses épaules, elle regarda vers la chaise longue et ne bougea plus. Josh était assis et Kelly agenouillée entre ses jambes. Elle suçait sa queue. Josh vit qu'elle regardait et lui fit signe de les rejoindre.

Lori sortit de la piscine sous le regard vicieux du jeune garçon. Elle savait que maintenant le maillot de bain était transparent. Josh se leva et fit allonger Kelly sur la chaise longue. Sa grosse bite sortait de son short.

- J'ai dit à Kelly combien tu avais aimé manger mon sperme ce matin, sur la table de la cuisine.

Lori rougit une fois de plus. Josh était en train de se masturber comme il l'avait fait ce matin.

- Elle veut une démonstration salope. Dis-lui combien tu aimes manger mon sperme.

- Miss Kelly, j'aime, non j'adore manger le foutre de Josh. Je vais vous montrer.

Sur ces mots elle s'agenouilla et avança pour engloutir la queue dans sa bouche. Josh recula et rigola en continuant de se masturber. Il dit :

- Stop salope! Je t'ai dit qu'il n'y aura pas de queue pour toi aujourd'hui. Tu dois apprendre à obéir.

Il s'agenouilla entre les jambes écartées de Kelly et posa sa queue sur l'entrejambe recouvert de lycra de Kelly. Et pour la deuxième fois de la journée, Lori le vit éjaculer une grosse quantité de foutre.

Le sperme atterrit sur le maillot de Kelly, la matière faisant qu'il rebondit en de petites flaques blanches. Quand il eut fini il sourit à sa « petite amie » et il se tourna vers Lori.

- Ok salope. Montre à Kelly combien tu aimes le sperme.

Sa volonté avait été brisée et elle savait qu'elle ne devait pas désobéir. Elle s'accroupit et posa ses paumes sur les cuisses écartées de Kelly. Puis elle commença à lécher le sperme. La jeune fille lui attrapa l'arrière de la tête et poussa son visage contre sa chatte habillée en disant :

- Suce le sperme salope. Je veux que ma chatte sente que tu la suces pendant que tu nettoies. Si je ne jouis pas avant que tu ais fini, je serai très en colère.

Lori commença à sucer le foutre bruyamment alors que Kelly guidait sa tête. Le goût était un mélange de Chlore de la piscine, de la semence de Josh et du jus de Kelly qui traversait le maillot. Une dernière poussée du bassin de Kelly contre son visage fit comprendre à Lori qu'elle jouissait.

Après avoir récupéré, Josh et Kelly ramassèrent leurs affaires et partirent sans dire un mot. Il ne restait plus à Lori que nettoyer la maison et réfléchir à ce qu'elle pouvait faire pour David et elle.

A suivre...

Sévices militaires Ch. 06

Sévices militaires - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

L’épouse du Député sombre dans la débauche.

Samedi après-midi.

David me prend par le bras et nous suivons Brigitte et le vigile. L'épouse du Député ne proteste plus, elle semble abattue d'un coup. Le vigile l’entraîne vers une porte qu'il ouvre en tapant une série de chiffres sur un digicode. Ils s'engouffrent dans un couloir. Nous attendons un peu et David ouvre la porte en tapant le code. Le couloir est sinistre, mal éclairé, mes talons aiguilles claquent sur le sol et j'entends ceux de Brigitte ainsi que ses exclamations :

- - Mais enfin ! Ou m'emmenez-vous ? C'est ridicule ! Je vous casserais, J'ai des relations.

J'entends une porte s'ouvrir et claquer. Nous arrivons devant celle-ci mais, à ma grande surprise, David continue de marcher dans le couloir et se dirige vers une autre porte qu'il ouvre avec une clef.

La pièce est petite, ça ressemble plus à un débarras. Mais ce qui surprend tout de suite, c'est le miroir qui permet de voir à l'intérieur de la pièce ou viennent de rentrer Brigitte et le vigile. D'ailleurs, elle est là, se tenant debout à côté du vigile. Un homme est assis à un bureau, le string à la main. 

- C'est un miroir sans tain m'explique David. Voir sans être vu ! lâche-t-il en ricanant.

Il y a également des moniteurs qui sont visiblement reliés aux caméras de surveillance de la galerie. Mais ces caméras ne doivent pas être approuvées par la direction. Elles sont camouflées dans les cabines d'essayage des magasins de prêt à porter et de lingeries. Le copain de David m'a l'air d'être tout aussi pervers que lui.

David observe un instant une adolescente qui, se croyant seule dans la cabine d'essayage, enlève son pantalon taille basse pour enfiler une jupe ultra courte.
David se dirige vers une espèce de console rempli de boutons qui clignotent et de manettes. Il appuie sur un bouton et la voix de l'homme derrière le bureau retentit soudain dans la pièce me faisant sursauter. C'est une véritable installation d'espionnage que le chef de la sécurité à emménagé dans ce local.

- Pas mal hein ? C'est un vrai piège à filles ! Si tu savais tout ce qu'on peut y voir.

Je ne réponds pas, je veux bien le croire.

Dans la pièce à coté, Brigitte tente d'expliquer au chef de la sécurité (David m'apprend qu'il s'appelle Alain), qu'elle n'y est pour rien et qu'elle n'explique pas la présence de ce string dans son sac à main. 
Avec un sourire bien ignoble, Alain se lève et fait le tour de son bureau. Il est très grand, le crâne rasé, une musculature impressionnante. Brigitte semble toute petite à côté de lui malgré la hauteur de ses talons.

- Je ne demande qu'à vous croire Mme Dumont, et je suis prêt à passer l'éponge.

Le soulagement se peint sur le visage de Brigitte. 

- Malheureusement, pour être certain de votre bonne foi, je vais être contraint de procéder à une fouille corporelle.

La femme du Député Dumont blêmit et je crus qu'elle allait s'évanouir.

- - Mais, mais...Est-ce vraiment obligée ? bafouille-t-elle.

- Je dois m'assurer que vous ne dissimulez aucun autre article sur vous, Madame.

Derrière elle, l'autre vigile a un ricanement qui me glace le sang. Pauvre Brigitte.
Alain lance soudain à Brigitte d'une voix devenue menaçante :

- Alors ! Ça vient ? Enlevez votre veste !

Brigitte baisse la tête, rougissante, et commence à déboutonner sa veste. Elle apparait en chemisier blanc, ses seins, énormes, crevant le tissu. On aperçoit un peu en transparence le soutien-gorge bien rempli. Alain s'approche de Brigitte et inspecte la veste, fouillant les poches. Puis, il la pose sur une chaise. Brigitte le dévisage et demande d'une voix craintive comme une petite fille.

- Dois-je continuer ? 

Alain hoche la tête et Brigitte déboutonne d'une main tremblante les boutons nacrés de son chemisier en satin. Son opulente poitrine apparait, arrogante. Ses seins sont à peine dissimulés par le soutien-gorge tant ils sont gros. Voyant qu'Alain les matte sans aucune gêne, Brigitte rougit de plus belle. Alain s'approche et dit d'une voix saccadée :

- Je vais devoir vérifier que vous n'avez rien dissimulé dans vos sous-vêtements, Madame, ça s'est déjà vu.

On ne voit pas bien comment c'est possible. Mais l'épouse du Député ne proteste pas. Alain empoigne les seins de Brigitte à pleines mains, les triturant, les malaxant, soufflant comme un porc. Brigitte dans un sursaut de pudeur veut repousser le chef de la sécurité mais le deuxième vigile l'en empêche en lui tenant solidement les bras. Alain continue de lui empoigner les seins, il les soupèse. Il baisse brutalement les balconnets et se penche suçant avec avidité les pointes des seins de Brigitte qui bafouille :

- Non. Non. Ce n'est pas possible. Laissez-moi. Je vais porter plainte.

Alain ne l'écoute pas, il continue de lui sucer les seins alternant entre les deux. Il lui mordille les tétons et Brigitte, se contorsionnant pour échapper à ses agresseurs, lâche un gémissement. Alain s'éloigne et essoufflé accepte le fait qu'elle ne cache rien dans son soutien-gorge. Brigitte, le souffle court, les joues toutes rouges, tente maladroitement de remettre ses seins dans les balconnets.

- Soulevez votre jupe maintenant. Lance Alain.

- Non, ça suffit maintenant ! Vous outrepassez vos droits !

Ricanant, le vigile qui la tient par derrière lui soulève sa jupe. Brigitte proteste et se débat. Aidé par Alain, ils arrivent à retrousser tant bien que mal la jupe qui se retrouve tirebouchonnée autour de la taille de Brigitte. Elle apparait en collant couleur chair. Alain semble déçu et lui reproche de n'avoir pas mis de bas. Encore un fétichiste. Il s'agenouille et, à travers le collant fin, il commence à masser délicatement la vulve de Brigitte. Son visage s'empourpre et elle rue. Les caresses d'Alain se font de plus en plus précises et il sent, à travers le sous-vêtement, la cyprine mouiller le string de la si distinguée épouse du Député. Brigitte arrête de ruer, de protester. Elle devient toute molle d'un coup et le vigile la lâche. Alain continue de la masturber et son collant est trempé. Alain le lui baisse soudain le laissant à mi-cuisses et le string, trempé, suit le même chemin. Sa chatte est rasée, toute lisse. Alain passe un doigt sur sa vulve, lui titillant le clitoris. Elle pousse un feulement rauque et se mord les lèvres pour étouffer un gémissement, honteuse. Alain lui enfonce son index et son majeur dans sa chatte dégoulinante et commence un va et vient rapide pendant que le deuxième vigile lui lèche les seins tout en les soupesant.

Pendant ce temps-là, David n'en pouvant plus m'a forcé à m'accroupir et il exige de moi que je lui sorte son sexe de son pantalon. Je m'exécute fébrilement et sa bite jaillit, tendue comme un ressort. Il m'appuie sur la tête et docile j'aspire son membre. Ma langue s'enroule autour de son gland et je commence à le pomper avec application, lui malaxant les couilles par moment avec ma main. Il donne des petits coups de reins pour s'enfoncer encore plus loin. J'entends les gémissements de Brigitte et cela m'excite au plus haut point. David agrippe mes cheveux et m'oblige à accélérer ma fellation. Ma tête monte et descend sur sa bite dressée.

Alain continue de branler Brigitte. Il lui aspire le clitoris, le mordillant, provoquant un bruit de succions qui produit chez Brigitte un sentiment paradoxale de répulsion et d'excitation. Elle donne un coup de reins involontaire. Les caresses des deux hommes commencent à lui monter à la tête. Elle ne sait plus si elle doit protester ou se laisser faire. Ça fait longtemps que son mari ne la touche plus et elle n'a pas couché avec un homme depuis des mois. A 56 ans, c'est encore une belle femme avec des besoins sexuels toujours présents : Une proie facile pour des hommes sans scrupules comme David et Alain. Elle pousse un cri. Alain vient de lui enfoncer plusieurs de ses doigts dans son vagin la remplissant et l'autre vigile lui introduit son index dans son cul. Là, elle proteste qu'elle ne veut pas et rue de nouveau. Mais les deux hommes la branlent très vite agitant leurs doigts à l'unisson. L'épouse du Député lâche un gémissement sourd et se tord dans tous les sens en poussant des petits cris mais plus de protestations cette fois. Elle halète, les joues rouges, gémit. Elle pousse un hurlement déchirant quand l'orgasme la submerge et elle faillit s'effondrer sur le sol , les jambes coupées.

David m'a relevé et me pousse contre une table ou il me contraint à me courber. Il soulève ma jupe en cuir dévoilant mes bas. Il me caresse les jambes gainées de nylon. Le crissement soyeux me fait frémir. Il s'enfonce brutalement dans mon con et, les mains accrochées à mes hanches, commence à me besogner à grands coups de reins.

Brigitte, elle, a été contrainte de s'agenouiller sur le sol, les seins à l'air, la chatte encore dégoulinante de mouille qui coule sur ses cuisses. Alain lui présente un sexe dur et épais. Il lui effleure ses lèvres pulpeuses qu'elle garde obstinément fermées, ne voulant pas s'abaisser à lui tailler une pipe comme une vulgaire pute. La moralité est encore présente dans son esprit de bourgeoise respectable.

Alain force le passage de ses lèvres et réussit à lui engouffrer toute la longueur de sa queue. Brigitte pousse un gémissement étouffé. La bite d'Alain lui déforme la bouche. Le vigile lui appuie sur la nuque et elle entame un mouvement de va et vient, ses lèvres rouges entourant la bite d'Alain, coulissant autour, le suçant. Très vite, elle s'active sur la bite d'Alain avec avidité, elle lui tète le gland, lui lèche les couilles sur ses instructions. Le vigile, derrière elle, lui a introduit deux doigts dans sa chatte et lui caresse sa vulve. Bientôt, c'est deux queues qu'elle doit sucer alternant entre le vigile et Alain qui l'insulte la traitant de bourgeoise perverse, de salope, de trainée. N'en pouvant plus, Alain la positionna à quatre pattes en lui donnant des claques sur son cul. Elle crie sous la douleur. Alain, le sexe dressé, s'enfonce dans son vagin et commence à la bourrer pendant que le vigile continue de se faire sucer.

David n'en finit pas de me défoncer. Je n'en peux plus, j'ai déjà eu deux orgasmes. Il semble infatigable. Cela doit l'exciter comme un fou de voire cette femme d'âge mur mais encore bandante, si bourgeoise, si distinguée, à quatre pattes en train de se faire baiser comme la dernière des chiennes. Son ventre claque contre mes fesses, sa queue s'enfonce de plus en plus loin dans ma chatte et je pousse un cri à chaque aller-retour.

Les mains crochées dans les hanches grasses de l'épouse du Député, Alain donnent des coups de reins de plus en plus violents. Les fesses de Brigitte tressautent à chaque coup de piston. Ils veulent changer de position et Brigitte se retrouve empalée sur le membre dressé du vigile qui s'est allongé par terre. Elle monte et descend s'enfonçant sur la queue, ses gros seins ballotant sous les yeux du vigile. Pendant ce temps, Alain positionne sa bite sur l'ouverture des reins de Brigitte qui le sentant hurle qu'elle ne veut pas. Sans aucune pitié, Alain force le barrage de ses reins, s'enfonçant dans le cul de la femme du Député qui pousse un hurlement déchirant. Les deux hommes attendent un peu lui laissant le temps de s'habituer puis ils commencent à alterner les coups de reins, la baisant par ses deux trous. Brigitte, en sueur, les yeux fous, les cheveux en bataille, gémit de plus en plus fort. Elle halète comme une noyée cherchant à reprendre sa respiration.

Je suis à genoux devant David qui se masturbe au-dessus de mon visage. Il m'ordonne d'ouvrir la bouche et j'obéis, docile, soumise. Le sperme gicle allant s'écraser sur ma langue, mes lèvres, coulant sur mon menton.

Alain et le vigile continuent de pistonner Brigitte qui pousse des gémissements plaintifs. Alain accélère ses mouvements dans le cul de l'épouse du Député et celle-ci a soudain un orgasme qui la laisse pantelante. Les deux hommes se retirent la laissant cuver son orgasme, affalée sur le sol, les jambes ouvertes dans une totale impudeur. Ils se positionnent autour d'elle, la bite à la main, se masturbant comme des fous en grognant comme des fauves. Le vigile éjacule, les trainées de sperme fusent, allant s'écraser sur le visage de Brigitte, les lèvres, le menton, les joues. Puis ce fut le tour d'Alain mais celui-ci veut encore humilier cette bourgeoise si prétentieuse qu'il vient de baiser comme une chienne. Il lui soulève la tête, la forçant à avaler sa queue une dernière fois. Elle le suce un peu et il lâche un torrent de sperme qui gicle sur son palais, l'étouffant à moitié. Il la contraint à tout avaler et elle doit déglutir le sperme avec une grimace de dégout. Alain se retire de sa bouche avec un soupir de satisfaction et elle se penche recrachant le trop plein de sperme qu'elle a réussi à ne pas avaler.

C'est à ce moment précis que David entre avec moi dans le bureau. Brigitte veut cacher son visage, rouge de honte et elle réprime un sanglot d'humiliation.

- Pas la peine de te cacher, lui lance David, un sourire aux lèvres, on a tout filmé.

Brigitte regarde David et Alain avec horreur. Ces yeux se posent sur moi, j'ai les seins à l'air, la jupe relevée dévoile ma fente et mes cuisses sont maculées de sperme. Et elle semble comprendre dans quel piège ignoble elle vient de tomber.

- Si tu ne veux pas que ton mari reçoive un film de cul avec toi comme actrice principale, tu devras nous obéir à partir de maintenant. A moi et mon copain David que tu ne connais pas encore mais qui connait très bien ta belle-fille, Elisabeth.

Brigitte, les yeux ronds, découvre que sa belle-fille est tombée dans les griffes de ces pervers. Alain continue :

- Et tu viendras une fois par semaine nous vider les couilles.

Brigitte et moi reprenons une tenue décente et Alain lance à David :

- Dépêche-toi, j'attends encore deux nouvelles.

Sous le regard interrogateur de David, Alain explique qu'il y a deux semaines, ses vigiles ont attrapé deux jeunes filles d'une vingtaine d 'années qui volaient des CD. Après les avoir menacées d'appeler la police, elles ont accepté le contrat qu'Alain leur proposait. Pas compliqué de comprendre lequel. Elles ne vont pas tarder à revenir accompagnées de leurs mères respectives. Qui ne se doutent pas encore de ce qui les attend

Nous sortons David et moi accompagnés de Brigitte et longeons le couloir. Nous croisons en effet, les deux jeunes filles, mignonnes comme tout, accompagnées de deux femme, vêtues de tailleur élégant, l'air hautain, escortées par un des vigiles dont je constate qu'il mate leurs jambes gainées de nylon et leurs culs moulés par leurs jupes droites. J'en connais qui vont passer un sale quart d'heure.

A suivre...