mercredi 13 novembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 12

  Texte de Ricki Black (2012)
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la belle-mère et le maire.

C’est vrai que j’ai découvert en Martine, future belle-mère de mon fils, une sacrée chaudasse. Rien ne le laissait présager et j’ai eu le nez creux en allant la chercher dans ses retranchements. Aujourd’hui elle est mon esclave sexuelle, et j’ai réussi à l’amener à devenir la propriétaire sexuelle de son mari, et elle y a pris un plaisir sadique non dissimulé.

Après avoir pris quelques jours de repos bien mérité, je contacte Martine à son bureau. J’avais en souvenir la séance où je l’avais obligé à montrer au Maire, lors d’une réunion de chantier, sa fente luisante.

- Martine, je veux que tu prennes rendez-vous avec le Maire, demain matin vers 11H00, je t’accompagnerais. Car de mémoire, il a apprécié mon intervention téléphonique, lors de votre dernière entrevue. Je pense qu’il sera heureux de nous rencontrer

Je raccroche avant même qu’elle ait répondue. Dans l’après-midi je reçois une confirmation par texto de Martine et on se donne rendez-vous devant la mairie pour le lendemain.

Il est 10H50 lorsque je vois venir vers moi Martine. Je suis devant la mairie, il fait un temps radieux et elle est habillée très classe et très sexe : Un ensemble tailleur rouge, des bas noirs et escarpins rouge. A priori pas de chemisier sous sa veste. Elle se déplace vers moi, féline et aérienne. Elle attire tous les regards des passants. Arrivée à ma hauteur elle s’arrête et attend. Je l’observe et la complimente sur sa tenue. Elle me remercie et me confie qu’elle est habillée conformément à mes attentes. Cela suffit à me faire comprendre que sous son ensemble elle est nue. Cette idée suffit à faire tressaillir ma queue. Je sens dans son regard une forme de peur et lui demande ce qu’elle a :

- Maître, vous savez que le maire est un homme très influant et il peut me faire renvoyer comme il le désire. Et je n’ose imaginer ce que vous attendez de moi ce matin, j’ai très peur des conséquences.

-  Ne t’inquiète pas, tu vas m’obéir et tout va bien se passer. Par contre il va falloir te montrer très obéissante, sans montrer la moindre réticence à mes ordres. Au fait tu me présenteras au Maire comme Monsieur Pierre.et tu baisseras les yeux en le disant. Normalement il devrait comprendre…

Nous entrons ensemble dans l’édifice, une grande salle fait office de réception. Des panneaux indiquent la direction des différents services et face à nous un bel escalier double monte à l’étage. Suivant les pas de Martine, nous l’empruntons. Je suis étonné, car chaque personne que nous croisons la salue cordialement. Elle est très populaire ici. S’ils savaient tous, que cette belle bourgeoise n’est en fait qu’une vraie salope qui ne pense qu’à la bite. Cette idée m’amuse et j’en souris. 

Nous sommes maintenant à l’étage, et nous pénétrons dans le secrétariat qui donne ensuite accès à son bureau. Une femme d’une trentaine d’années est assise derrière un bureau. Elle salue Martine qui l’informe qu’elle est attendue par le maire. La secrétaire l’informe de notre arrivée par interphone, puis nous invite à entrer dans son bureau.

Splendide cabinet, grand et spacieux, il est constitué d’un vaste bureau d’époque et je remarque tout de suite qu’il est ouvert dessous. Quatre chaises lui font face. Sur le côté un canapé d’époque également avec une table basse. Les murs sont décorés de tableaux et de photos. Il y a le président actuel et les maires précédents. Sur une belle cheminée est disposé le buste à l’effigie de Marianne. Celle-ci a des airs de Brigitte… Non pas mon ex, mais plutôt l’ex-star du X.

J’avoue que l’endroit est impressionnant, un homme d’une cinquantaine d’années s’avance vers nous. Une belle prestance, habillé d’un costume cossu noir, armé d’un sourire jovial et les tempes grisonnantes, en fait d’entrée une personne plutôt sympathique. Il salue Martine et se tourne vers moi alors qu’elle me présente les yeux baissés. 

- Je vous présente Monsieur Pierre, c’était l’homme qui était au téléphone lors de notre dernière entrevue.

Le maire me tend un sourire complice et me salue :

- Comme je le disais à Martine, je souhaitais vous remercier d’être intervenu pour me faire bénéficier du magnifique spectacle que vous m’avez offert la dernière fois. Spectacle d’ailleurs qui est encore gravé dans ma mémoire.

Martine est très gênée, mais aussi flattée par ces commentaires. Puis le Maire reprend :

-  Dites-moi Pierre, je peux vous appeler Pierre… Dites-moi comment avez-vous fait pour arriver à un tel résultat ?

L’entretien prend une tournure que j’aime bien.

- Et bien je dois vous avouer qu’après une période d’éducation à l’anglaise, j’ai d’abord annihilé ses velléités, puis j’ai vaincu ses appréhensions et enfin j’ai découvert ses vices, en la faisant au final, une femme soumise à son Maître…

Martine est cramoisie de honte, les yeux plantés dans ses escarpins rouges et je le devine, la fente déjà humide par tant d’humiliation.

-  Mais Monsieur le maire, j’ai cru comprendre par votre réflexion de la dernière fois, que vous n’étiez pas étranger à ce genre de situation ?

-  Oui Pierre, vous êtes très perspicace, à ce que je vois. Effectivement, je pratique la même éducation pour ma femme et de ce fait je sais différentier une femme mariée et de bonnes mœurs à une salope soumise à son Maître. Vous la connaissez bien Martine ma femme, elle travaille ici même au service des réclamations de nos administrés, et croyez-moi elle fait du bon travail, peu de nos concitoyens reviennent se plaindre de ses prestations. D’ailleurs j’ai prévu de la convoquer vers 11H45, dans le but de vous la présenter Pierre. Histoire de vous renvoyer la balle…

Le Maire est maintenant près de Martine, il l’observe sous toutes les coutures. En s’adressant à moi il me demande :

- Pierre, quelles sont ces obligations vestimentaires ?

Je lui explique qu’en toutes circonstances elle ne porte jamais de dessous. La main du maire commence à se poser sur l’étoffe de la veste puis la caresse. Les doigts sentent certainement les tétons nus et durs dessous.

- Pierre, vous pensez que je peux la voir nue ?

Je demande alors à Martine d’ôter sa veste lentement pour que Monsieur le maire puisse apprécier, puis ôter sa jupe. Sans broncher elle obéit et commence son déshabillage au milieu du cabinet. Le maire est retourné à son bureau, fouillant dans un tiroir, il en sort un collier de chienne équipé d’une laisse, d’une ceinture équipée d’un long gode en forme d’énorme bite. Il dépose la ceinture sur le bureau et s’approche de Martine qui est maintenant déshabillée.

Elle est là debout nue habillée d’un simple porte-jarretelle rouge, de ses bas noirs et ses escarpins rouges. Ses poils noirs taillés en ticket de métro ressortent sur sa peau blanche, ses petits seins sont tendus. Le maire lui glisse le collier autour du cou, laissant pendre la laisse. Le maire alors saisit la main de Martine et la dépose sur son pantalon.

-  Voila Martine l’effet que tu me fais maintenant que tu te montres sous ton vrai jour. Tu me fais bander comme lorsque tu m’as montré ta chatte. Et comme tu m’as mis dans tous mes états, il va falloir que tu répares tes bêtises.

Naturellement elle saisit la fermeture du pantalon et la fait glisser, elle fourre sa main dedans et après quelques instants de caresses, elle extirpe la bite du maire. Très bien monté le mec.

- Bien tu vas me sucer salope, mais tu vas passer sous le bureau et comme une chienne tu vas me prendre dans ta bouche.

Il s’installe dans son fauteuil, alors que Martine se positionne à quatre pattes sous le bureau. Une fois en place elle glisse l’énorme queue dans sa gorge. Je peux voir son superbe cul offert devant le bureau. Son sillon est ouvert et on voit aisément son anus et sa fente. Me plaçant à genou derrière elle je lui glisse deux doigts dans la chatte. Elle est inondée de mouille cette pute. J’en profite pour glisser également mon pouce dans son trou du cul. Je commence à bander sérieusement et suis décidé à profiter de la position de Martine pour l’enculer à sec, lorsque l’on toque une fois puis deux fois à la porte. Je panique mais le maire me rassure en me signalant que c’était le code pour sa femme. Il lui demande d’entrer.

Une femme d’une quarantaine d’années pénètre dans le cabinet. Belle blonde aux cheveux longs. Très bien proportionnée, elle est habillée d’une jupe plissée arrivant à mi-cuisses et des bottes hautes, d’où je suis, je vois le haut de ses bas noirs. Un chemisier recouvert d’un gilet léger. A priori au vu des formes du gilet elle a une grosse poitrine. 

Elle a refermé la porte derrière elle et regarde la scène. Martine est à l’œuvre sur la queue de son mari et moi j’ai trois doigts dans sa chatte et son cul.

- Pierre, voici ma femme, enfin ça c’est pour la présentation officielle, pour l’officieuse, je te présente ma chienne. Elle adore les grosses bites, les fentes juteuses, les jeunots elle adore leurs fougues, mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est d’être humiliée, traiter comme une chienne, et remplir ses trous de foutres chauds, n’est-ce pas chérie ?

Elle répond affirmativement en baissant les yeux. J’enfonce bien mes doigts dans les trous de Martine et me relève pour aller vers madame.

- Mais au fait son prénom c’est ?

- Lise ! me répond-elle.

- Très bien Lise, alors pendant que ton mari se fait pomper à fond, tu pourrais me dire ce que tu penses du goût de la mouille et du cul de cette salope de Martine.

Je lui présente mes doigts souillés et Lise ouvre la bouche et commence à les lécher. Le contact de sa langue avec mes doigts m’électrise et je sens ma queue se raidir dans mon pantalon. Cette sensation est jouissive, car cette belle inconnue bouffe la mouille de ma soumise et j’adore. Elle me répond timidement baissant les yeux :

- Si je peux me permettre Monsieur, elle est déjà très abondante, ce qui prouve qu’elle aime être humiliée, ensuite sa mouille est épaisse et goûteuse, son goût est parfumé et épicé comme je l’aime Monsieur. Et enfin son cul, lui, est beaucoup plus âcre et piquant, ce qui veut dire qu’elle mouille du cul et ça Monsieur c’est un très bon signe, car elle aime être malmenée par là.

C’est alors que le maire sort de son silence et ordonne à sa femme de se mettre nue. Sans ciller, elle déboutonne son gilet et l’ôte, dévoilant un chemisier transparent. Elle ne porte pas de soutien-gorge et on peut voir sa très généreuse poitrine au travers de la fine étoffe en tulle. Ces seins sont magnifiques, tendus et galbés. Deux auréoles brunes percent la blancheur de leur peau. Je suis subjugué par leurs voluptés. 

Lise continue en déboutonnant son chemisier pour se retrouver torse nue. Je remarque tout de suite sur les seins des striures rouges qui témoignent certainement d’une séance de discipline récentes. Sa taille est menue et ses hanches larges qu’elle nous découvre en laissant choir sa jupe à terre. Le spectacle est magnifique. Lise ne porte qu’une paire de bas Dim-up. A creux de son pubis lisse je vois les deux renflements de son sexe et l’expression de l’abricot prend alors tout son sens. Elle est splendide et torride, les jambes très légèrement ouvertes et je trique comme un fou devant cette déesse. 

Elle est immobile au centre de la pièce. Je commence à faire le tour pour voir les facettes encore cachées de Lise, ses hanches larges glissent sur de longues jambes fines et élégantes. Le dos cambré finit en une longue chute de reins qui vient mourir sur une splendide paire de fesses charnue et voluptueuse, mais qui vient, elle aussi, de subir la morsure du fouet récemment. Je suis très excité de savoir que cette belle bourgeoise mature aime être soumise et humiliée et obéissante à son mari et maître qu’elle voit se faire sucer sous le bureau par une belle autre salope de son genre.

- Très bien, maintenant tu vas montrer à notre ami qu’il n’y a pas meilleure éducation que la nôtre pour faire des femmes sages et pieuses comme vous, des putes salopes prêtent à toutes les perversions pour avoir encore plus de bites dans vos orifices. Allez, commence donc par le branler et applique-toi, c’est un invité d’honneur !

Lise dégrafe mon pantalon, introduit sa main dedans et la plaque contre mon sexe palpitant de mille désirs. Je sens ses doigts enserrer mon barreau, puis elle l’extrait de sa prison avant de retourner chercher mes couilles. Me voici avec le matos dehors. Ma queue est dressée au max et mes couilles lisses sont gonflées comme des balles. Lise branle avec une extrême délicatesse ma verge. Je frisonne tellement sa caresse est habile. Le bout de son index vient effleurer le bout de mon gland inondé, comme si elle voulait le faire pénétrer dans le méat. De son autre main elle me câline mes boules, glissant ses doigts jusqu’à mon anus. C’est divin et je pense que je ne vais pas tenir longtemps à ce régime-là. Lise est experte je le concède avec grand plaisir. Après quelques instants de cette divine branlette, monsieur le Maire reprend la parole :

- Ok Lise, viens ici et enfile le gode à ceinture, on va vérifier si ce que tu disais sur l’humidité de l’anus de Martine est vrai. Tu vas l’enculer et si jamais j’entends le moindre cri de sa part, cela voudra dire que tu t’es trompée alors tu seras punie par où tu as péché.

Lise saisit la ceinture, je peux la détailler un peu plus maintenant. Elle est faite d’une ceinture qui se place autour de la taille sur le devant on trouve un triangle qui supporte deux godes. Un qui se situe sur le devant et un autre à l’intérieur. Lorsque Lise enfile la ceinture, elle doit d’abord faire pénétrer le gode intérieur dans son vagin, et il est très gros. Elle écarte les cuisses, puis laçant deux doigts entre ses lèvres gonflées, elle pose le bout du gode dessus et l’enfonce délicatement. Sa fente s’ouvre distendant les grandes lèvres qui cèdent sous l’énorme diamètre de l’objet. Il finit par entrer en glissant jusqu’à la garde. Ainsi la ceinture est en place et Lise peu la boucler autour de sa taille. Son mari alors lui dit :

- Ne triche pas, je ne veux aucune lubrification, tu vas la fourrer à sec cette pute. Tu sais qu’elle suce mieux que toi, elle est très appliquée et elle ne va pas tarder à me faire gicler.

Lise lui jette un regard noir en se positionnant à genou derrière le cul de Martine. J’observe la manœuvre lorsqu’elle dépose le bout du gode sur l’anneau serré. Je sens le corps de ma soumise tressaillir à ce contact. Il faut dire qu’elle peut, car elle ne voit pas l’engin, mais moi je le vois et croyez-moi elle va le sentir passer, encore plus à sec. Il se pourrait même qu’elle la déchire… Je suis positionné à côté de Lise, son visage est à la hauteur de ma bite que je tiens en main pour le moment.

Je perçois la pression qu’exerce Lise sur le gode, imaginant qu’elle doit avoir le retour avec celui qui est planté en elle. Martine pousse et laisse son anus se desserrer, mais ça ne suffit pas à libérer le passage et Lise maintenant appuie de tous ses reins dessus. Martine gémit, puis crie pour finir par supplier d’arrêter. Je profite de ce moment intense pour présenter mon gland devant la bouche de Lise. Qui avidement le gobe jusqu’à la garde. Martine de son côté halète de souffrance lorsque son sphincter lâche et autorise l’objet à lui remplir le cul. Je vois la sueur humidifier le dos et le sillon de ma soumise. 

Pour ma part je me suis positionné les fesses sur le rebord du bureau, tournant le dos au maire, et j’ai attrapé les cheveux de Lise pour mieux lui baiser la bouche. J’enfonce l’intégralité de ma queue dans la cavité. Elle étouffe, et la recouvre d’une épaisse salive gluante. Plus je m’enfonce plus elle a des haut le cœur. En contrepartie elle défonce de plus belle le cul de Martine, qui elle aussi se fait baiser la bouche par le maire. Alors je donne le coup de grâce et m’enfonce au plus profond de sa gorge et maintiens la position quelques secondes. Lorsque je me retire, un jet de vomi s’écrase sur mes couilles dégoulinant sur le dos de Martine. Puis un second encore plus violent et épais. Je saisis Lise par les cheveux et lui balance une énorme gifle, en lui hurlant.

- Salope, tu as vu ce que tu as fait, t’es dégueulasse. Sale pute !

Et son mari qui reprend :

-  Tu as raison Pierre, c’est inadmissible, vas- y je t’en prie, punis cette traînée !

Quittant alors ma place je me place derrière elle, m’agenouille, pose ma bite sur son anus et m’enfonce en elle d’un seul et long coup de reins violent et destructeur. Lise hurle à son tour. Je suis entièrement en elle et étonnement je sens l’énorme gode qui lui remplit la chatte. Je commence à la limer avec énergie et fougue. Lise continue à crier à chaque coup. J’attrape alors ses cheveux et lui plaque le visage sur le dos de Martine qu’elle continue à enculer dans la même cadence.

- Au lieu de te plaindre tu vas nettoyer tes saloperies, allez bouffe tes vomissures !

Alors que je lui maintiens le visage dans ses souillures, Lise s’emploie à récupérer son vomi et à l’ingurgiter, lorsque j’entends Martine vomir à son tour sur la queue de son nouvel amant. J’accentue mon enculage pour, par effet ricochet, accroître l’enculage de Martine. Je suis au bord de la jouissance, alors je me cale tout au fond du cul de Lise et éjacule un litre de foutre dans son fondement. Je comprends que Monsieur le maire se soulage également dans la bouche de Martine qui doit avoir tout avalé.

Je me remets debout et j’aide Lise à se redresser. Il n’y a presque plus trace de souillures sur le dos de Martine, par contre le visage de Lise lui est encore recouvert de traces. Sachant que mon ami s’est bien vidé les couilles, j’attrape Martine par les chevilles et la tire en arrière. Sous la surprise, elle trébuche et se retrouve allongée sur le sol. Je place mon pied alors sur son torse et l’immobilise en lui disant :

- Je suis très déçu de ton comportement, tes plaintes lorsque Lise t’a enculé et comme elle tu n’as pas su te tenir et tu as vomi sur sa belle queue qu’il t’offrait pourtant avec le plus grand plaisir. Lise vient ici, tu vas t’asseoir sur Martine et tu vas vider ce que je t’ai mis dans le cul, dans sa bouche, allez vas-y !

Je vois son mari qui me sourit, ravi de ce petit plus. Lise se place sur Martine, pose ses fesses à 2 centimètres de la bouche ouverte, écarte les fesses pour mieux voir ce qu’elle fait, et pousse. Comme ça on dirait qu’elle va chier dedans, des bruits suspects se font entendre, style clapotis accompagnés de petit pets gras. Puis soudain, un liquide blanchâtre est chassé de l’étroit conduit, comme une déflagration dans un gros pet et souille le visage de Martine qui essaye tant bien que mal d’en récupérer le maximum dans sa bouche largement écartée. Quelle belle salope elle fait ma soumise. Je n’en aurais jamais autant espéré d’elle.

Après nous être nettoyés, rhabillés, nous avons bu le verre de champagne de l’amitié nouvelle qui venait de naître entre nous, puis nous nous sommes quittés.

J’ai ensuite déjeuné rapidement avec Martine qui s’est montrée conquise par cette nouvelle aventure, me priant de continuer à faire d’elle mon objet sexuel, car elle en découvrait à chaque nouvelle expérience, toute la quintessence.

A suivre...

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