dimanche 3 novembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 11

 Texte de Ricki Black (2012)
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Au tour du futur beau-père d'être soumis.

Martine pénètre dans la maison, elle est habillée en cavalière arrivant de sa reprise d’équitation : Un pantalon fuseau, un haut plutôt moulant et des bottes cavalières. Je remarque que comme de nombreux habitués elle a glissé la cravache dans sa botte droite. Elle dépose sa bombe et entre dans le salon ou nous sommes installés avec Pierre.

Martine est en sueur, car ce soir il fait plutôt chaud et après plus d’une heure d’équitation, elle laisse voir une abondante transpiration au niveau du visage, des aisselles et plus étonnant à l’aine. C’est le frottement des cuisses sur le cuir de la selle.

Je me lève pour la saluer, je lui demande discrètement de dégager Pierre car il faut que je lui parle.

Elle salue son mari et lui demande sur un ton ferme d’aller chercher une bouteille de champagne à la cave que nous boirons en guise d’apéritif. Pierre s’exécute immédiatement sans rechigner.

Une fois Pierre parti, j’explique à Martine :

- Eh bien, tu te donnes à fond quand tu fais du cheval, c’est comme quand tu baises, tu aimes sentir une grosse bête entre tes cuisses.

Ma main se plaque au creux de ses cuisses.

- Tu transpires ou tu mouilles salope ?

J’écarte son fuseau et plonge ma main dedans. Je suis heureux de constater l’absence de culotte. Mes doigts glissent jusqu’à sa chatte. Elle est trempée de sueur chaude.

- Je transpirais, mais maintenant je mouille ! Me répond-elle avec un grand sourire.

- Ok, je vais t’expliquer maintenant ce que j’attends de toi pour mâter Pierre.

Une fois mes explications finies, Martine me dit qu’elle doit avant aller se doucher.

- Sûrement pas, tu restes comme ça, ce sera plus humiliant.

Martine, surprise, me rétorque qu’elle n’est pas propre.

- Qu’est ce que tu entends par pas propre ?

- Eh bien j’ai bossé toute la journée, je suis allée aux toilettes ! Enfin tu vois bien ce que je veux dire ?

- Oui j’ai compris tu as été pissée et peut être même chiée !

Martine baisse la tête et me répond affirmativement, je souris et lui répond :

- Très bien ce sera encore plus intéressant, prépare-toi il arrive !

Effectivement Pierre arrive armé d’une bouteille de champagne, qu’il dépose sur la table basse. Martine se dirige vers le bar et en ressort deux flûtes et une chope à bière, puis vient les déposer à côté de la bouteille. Alors qu’elle s’effondre dans le canapé elle dit :

- Je suis crevée, Michel pourriez-vous servir le champagne, je servirai Pierre tout à l’heure, pour l’instant j’aimerais que mon mari s’occupe de moi !

Je saisis la bouteille en observant la situation. On peut lire l’étonnement dans les yeux de Pierre.

- Oui j’aimerais que tu me masses les pieds !

Elle lui tend sa jambe gauche. Pierre lui saisit la botte et l’ôte, découvrant une chaussette fine et montante au-dessus du mollet. Il se place alors à genoux devant le canapé où est assise Martine, posant délicatement sa cheville dans le creux de ses cuisses, il commence un massage doux de celle-ci.

Martine se place bien au fond et ouvre ses jambes. De mon côté j’ai ouvert la bouteille et servi les coupes. J’en tends une à Martine qui commence à prendre plaisir à la situation.

Je retourne me placer à l’écart afin de ne pas les déranger.

Elle demande plus sèchement qu’il lui masse le mollet. Pierre remonte ses mains dessus. Elle en profite pour faire remonter son pied et le placer sur sa bite. A chaque massage Martine accentue la pression de son pied sur la queue qui commence à réagir à ce traitement.

- Incroyable !! Le mort commence à bouger ! s’écrie Martine, humiliant Pierre qui baisse la tête.

- Dis-moi chéri, qu’est-ce qui réveille ta queue ? C’est d’être à genoux à mes pieds, ou alors de me masser les pieds. Peut-être les deux, allez, réponds-moi !

Pierre répond timidement les deux.

- Très bien alors tu vas ôter ma chaussette et tu vas me lécher le pied !

J’observe et la situation devient excitante, ma queue commence à se raidir et je sais que cet ordre doit renvoyer Pierre à ses souvenirs d’ado avec madame Marie.

Il descend délicatement la chaussette pour découvrir peu à peu la cheville et finit par mettre à nu le pied. Cet instant est chargé d’une extrême sensualité. Martine repose son pied nu sur le pantalon et appuie fermement. Elle sent l’efficacité de sa demande car elle trouve une raideur importante et en félicite son mari. Puis elle lève la jambe, plaçant le dessous de son pied devant le visage de Pierre en lui ordonnant de lécher. Je vois sa langue sortir et se poser sur la voûte plantaire et remonter jusqu’aux orteils. Martine couine de plaisir et se délecte de cette nouvelle sensation. Pierre s’applique et commence à insinuer sa langue entre les doigts de pied. Martine ferme les yeux tout en s’exprimant.

- Vas-y, lèche, c’est extra, tu commences à me faire mouiller sérieusement !

Et accompagnant le geste à la parole, elle glisse une main dans son fuseau et commence à se branler devant son mari qui lui suce maintenant chaque orteil l’un après l’autre.

- Ouiiiii, suce-moi bien, je mouille comme une folle, dis-moi petit salaud, tu dois bien bander toi aussi ! Allez sors-moi ta queue que je puisse voir ça de plus près !

De sa main libre Pierre dégrafe son pantalon et en sort sa bite. Elle est de taille moyenne, mais par contre d’un bon diamètre. Il la saisit et la décalotte pour la présenter à sa femme.

- Eh bien ça faisait très longtemps que je ne l’avais pas vu comme ça, on dirait que ça t’excite de me lécher les pieds… A moins que se soit le fait que je t’humilie. En tout cas moi j’adore les deux !

Pierre est heureux et sourit tout en continuant à sucer.

Je me suis encore reculé et suis maintenant derrière le bar dans la pénombre, de cette façon je suis presque invisible. J’aime la tournure que prend la situation et je me fais le plus discret possible.

Subitement Martine pose son pied nu sur la bite de Pierre. Plaçant le barreau de chair entre son gros orteil et son voisin elle l’emprisonne et commence un va-et-vient sur la tige.

- Dis-moi, tu aimes te branler ? assène t-elle à Pierre.

- Oui ça m’arrive de temps en temps.

- Baratin… Combien de fois par semaine et ne me mens pas sinon !!!!

- Trois à quatre fois par semaine.

- Et où tu te branles, aux chiottes ?

- Non, mais…

Pierre marque une hésitation et semble embarrassé.

- Alors où tu te branles ? tu réponds bordel !

- Et bien je me masturbe au bureau.

- Quoi !!! Au bureau devant tes collègues ?

- Non je le fais pendant la pause de midi, alors qu’ils sont tous partis déjeuner.

- Ah oui petit branleur et je suis curieuse de savoir comment ça se passe, tu expliques ?
- En fait j’ai découvert un site d’histoires érotiques sur le net. Les histoires sont déposées par les internautes.

- Alors tu te branles en les lisant c’est ça ?

Pierre acquiesce.

- Et tu lis quels types d’histoires ?

Baissant la tête, il voit le pied de sa femme astiquer sa queue raide et répond :

- Les histoires d’hommes soumis par leur femme.

Martine alors remonte son pied sous le menton de Pierre, puis l’oblige à relever son visage face à elle. Et avec une force inouïe elle lui envoie une claque magistrale en lui hurlant :

- Dorénavant, je t’interdis de te branler sans que je ne t’ai pas donné expressément l’autorisation. Ton foutre m’appartient et c’est moi qui décide où et quand tu peux te vider les couilles. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ?

Pierre répond apeuré la joue rougie :

- Oui je ne le ferai plus… Enfin je veux dire sans que tu m’en donnes l’autorisation.

- Maintenant tu vas te foutre à poil, dépêche !

Pierre est tellement sous le joug de sa femme que je crois qu’il a complément oublié que je suis encore là à jouer les voyeurs.

Il se met nu et reprend place aux pieds de Martine en baissant la tête en signe de soumission.

- Très bien petit branleur, je vois qu’il faut te soumettre pour te voir avec une érection à peu près digne d’un mâle. Je veux que tu me déshabilles ! Dit-elle tout en ôtant de sa botte la cravache qui y était glissée, la même que celle de Madame Marie.

Pierre s’active et ôte la deuxième botte, la chaussette. Puis il relève le haut moulant au-dessus de la tête de Martine qui lui offre sa petite poitrine nue bien sûr. Elle est encore recouverte de sueur. Il finit par le fuseau, Martine l’aide en soulageant son poids, Pierre saisit le vêtement à la taille et le tire de manière à le faire glisser. Dégageant les hanches, il découvre son pubis et je revois comme au premier jour sa toison taillée en ticket de métro. Le fuseau finit au sol laissant Martine entièrement nue assise face à son mari agenouillé. On voit distinctement la sudation de l’entrejambe.

Elle se place au bord du canapé, place ses deux pieds autour de la bite tendue, et ouvre les cuisses au maximum, de cette manière elle a une vue directe sur la queue. Elle dépose alors le bout de la cravache dessus et demande à Pierre de lui offrir son gland. Il s’exécute et décalotte. Martine commence à le tapoter avec l’embout plat en cuir. Elle sourit et moi je bande fort. Étant caché derrière le bar, je décide de sortir ma queue pour me branler.

J’entends les coups s’espacer, mais ils claquent plus fort et Pierre commence à couiner sous la morsure du cuir.

- Tu aimes avoir mal, si j’avais su ça avant il a longtemps que je t’aurai maté petit pervers !

La bite de Pierre augmente de volume au fur et à mesure qu’elle rougit.

- Doigte-moi la chatte ! ordonne Martine.

Pierre approche sa main de la fente détrempée, il tend l’index et le pose sur les lèvres gonflées. Un jus épais les recouvre. Alors que le doigt pénètre l’antre, Pierre ressent la chaleur qui y règne et continue sa progression. Il est maintenant enfoncé jusqu’à la garde et Martine geint de satisfaction. Alors que pierre ressort son doigt, Martine lui demande de le sentir. Il porte l’index sous son nez et fait une grimace.

- Eh bien Chéri, tu n’as pas l’air d’apprécier mon parfum intime, mais à partir d’aujourd’hui lorsque tu trouveras ma chatte mal lavée, ou puante de mes différents fluides corporels, tu devras systématiquement me la nettoyer avec ta bouche. Bien, maintenant que tu as son odeur dans le nez, je veux que tu aies son goût dans la bouche. Allez, suce ton doigt et déguste bien !

Pierre s’exécute et fourre son index dans la bouche, le déposant sur sa langue. Malgré son goût il ne bronche pas en le suçant.

- Bien tu as l’air de bien aimer sucer, je retiens cette option, maintenant que ton doigt est à nouveau propre, tu vas me doigter le cul. Je crains qu’il ne soit pas plus propre que ma chatte.

Martine se décale encore plus et remonte ses cuisses afin de présenter son anus. Pierre dépose son index encore humide de sa salive sur la rosette et l’enfonce doucement. Étonnamment il pénètre sans beaucoup de difficulté. Une fois bien au fond, Martine qui souffle de bien-être demande à Pierre de branler son cul. Je vois le doigt commencer à travailler l’orifice. En quelques instants Martine mouille et halète. Le doigt s’est enduit d’une légère substance brunâtre.

Je n’ose imaginer ce que ce peutt être. Une fois bien excitée Martine demande à Pierre sortir son doigt et de lui montrer. Je pense qu’elle devait se douter qu’elle coulait du cul. Il lui présente son index et baisse le regard. Alors Martine surenchérit

- Eh, regarde ce que tu as fait. Tu n’as pas honte de faire des choses dégueulasses comme ça. C’est affreux… Je me sens humiliée, tu es vraiment un pervers, tu vas me le payer. D’abord tu vas nettoyer ton doigt et ensuite tu vas me nettoyer les fesses, allez dépêche-toi !

Pierre, avec dégoût, glisse son doigt dans la bouche. J’ai moi-même une grimace en imaginant ce que son palais déguste. Il a d’ailleurs un haut le cœur, mais s’applique à obéir à sa femme. Puis sur son insistance il se courbe vers le sillon. Elle lui demande de bien lui lécher le sillon fessier.

A cet instant, ma queue en main, je ne voudrais pas être à sa place. Cet endroit doit concentrer toutes les odeurs intimes de Martine, et encore plus amplifiées par une journée de transpiration. Je bande à cette pensée.

Pierre approche sa bouche, mais sa progression est fortement ralentie par les exhalaisons intimes de sa femme. Elle attrape ses cheveux et oblige ainsi Pierre à venir bouffer son cul. Pour se donner du courage, il a saisi sa bite raide et se branle vigoureusement. Son visage est enfoui dans la fente culière et sa langue travaille âprement. Martine gémit de plaisir :

- Oui vas-y, branle-toi car après cette séance de lavage, tu vas me fourrer le cul et tu as intérêt à bander à mort !

Une fois son cul propre, Martine se replace, se positionnant à genou sur l’assise du canapé, elle place Pierre derrière elle, guidant sa bite vers son anus, il s’enfonce en elle comme dans du beurre

Je découvre une nouvelle facette de la personnalité de Martine, sa perversité, et son inclinaison à une luxure sans mesure. Je suis heureux de la voir prendre ce genre d’initiative et plus son excitation monte en intensité plus elle se désinhibe et les  humiliations sont crescendo.

- Mais vas-y, défonce-moi le cul, je ne sens rien. Démolis-moi le fondement si tu en es capable. Petite salope, je vais te montrer un jour ce que c’est de fourrer un cul et tu vas t’en rappeler toute ta vie, petite bite.

Elle en profite pour donner des coups de cravache entre ces cuisses ouvertes, qui atteignent directement les couilles de Pierre, qui gémit sous la morsure du cuir.

Je suis spectateur de la déchéance de Pierre, et je sais qu’il attendait ce moment depuis longtemps. Son excitation est au maximum et il doit être dans un état de stimulation extrême. D’ailleurs il ne tarde pas à avouer à sa femme qu’il va bientôt jouir. Alors elle se dégage et se retourne. La bite souillée de Pierre est tendue à mort et il se branle, lorsque Martine, ayant placé son visage devant, lui ordonne de jouir dessus. Les jets explosent alors du gland gonflé, et s’écrasent sur le visage de Martine qui se retrouve couverte de foutre.

Une fois les couilles vidées, elle ordonne à son mari d’aller se doucher. Pierre encore vacillant, s’exécute. Martine est vautrée dans le canapé quand je m’approche d’elle avec ma bite à la main. Toute cette séance m’a particulièrement excité.

- Alors petite salope, tu as joué les maîtresses avec ton mari, tu sais maintenant qu’il est à ta merci et que tu vas pouvoir t’éclater avec ce nouveau mari soumis. En attendant tu restes ma soumise, alors tu vas essuyer tout le foutre de ta salope de mari.

Je lui tends le rouleau d’essuie-tout. Une fois qu’elle a bien tout nettoyé, je lui ordonne de me sucer. Et c’est avec un grand sourire qu’elle ouvre la bouche pour avaler mon pieu. L’excitation est telle que je ne tarde pas à sentir ma sève arriver. Je ressors hâtivement de la bouche chaude de Martine et jouis à mon tour sur son visage. Elle est à nouveau couverte de foutre, mais cette fois-ci c’est celui de son Maître. Elle finit de me laver le gland avec sa langue et je replace ma bite ramollie dans mon pantalon. Après avoir murmuré quelques mots à son oreille, je vais reprendre ma place derrière le bar.

Pierre réapparaît dans le salon, avec un large sourire. Martine le saisit d’entrée en lui demandant d’effacer tout de suite ce sourire, puis elle lui dit :

- Dis donc j’ai oublié un petit détail tout à l’heure, tu es parti te laver, mais tu as omis de nettoyer tes saletés. Alors tu vas m’ôter tout le foutre que tu as giclé sur moi, allez, dépêche-toi !

Je ne peux contenir une grande satisfaction, accompagné d’un début d’érection, en voyant Pierre récupérer mon sperme avec sa langue pour finir par l’avaler. J’imagine l’état d’excitation de Martine qui me tend des regards pervers en me souriant.

A suivre...

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