samedi 9 novembre 2024

Aiiieee !!!

- Aiiieee !  crie-t-elle sous la gifle qui claque sur ses joues.

- Aaaaahhhhh ! non, svp !  pleurniche-t-elle comme un revers suit rapidement la première claque.

- Dis-nous où est l'argent chienne ! 

La voix de l'homme qu'elle n'a jamais entendue auparavant est calme et mesurée.

- Qu… quel argent ?  bégaye-t-elle, son esprit s'emballant en essayant de comprendre la soudaine tournure des événements.

- L'argent qu'il a caché dans cette maison, chienne ! dis-le nous et nous ne te ferons plus de mal ! où est-il ? 

- Je… je ne sais pas… aiiiiieee ! 

Ses protestations sont abrégées par des nouvelles gifles en plein visage.

- Tu ne sembles pas vouloir comprendre, chienne stupide ! 

La voix est lourde de menaces.

- Nous ne partirons pas ici sans argent… dis-le nous et il ne lui sera fait aucun mal quand il arrivera à la maison… à propos… si j'en juges toutes ces cartes étalées sur la table… c'est ton anniversaire… bon anniversaire chérie !

Deux claques supplémentaires suivent et seul le bruit des gémissements de la jeune femme emplit la pièce.

Il y a à peine dix minutes qu'elle est arrivée à la maison après s’être achetée, malgré la chaleur estivale, un nouveau soutien-gorge et une petite culotte assortie, se promettant une nuit très chaude pour fêter son anniversaire. A peine eut-elle fermé la porte d'entrée derrière elle qu'une cape noire est jetée sur sa tête, tandis que des mains rudes la poussent vers l'arrière de la maison.

Une main lui muselle la bouche, étouffant ses cris pendant que deux autres la maintiennent immobile. Elle se fige sur place, tremblant de tous ses membres en sentant qu'on lui arrache ses vêtements un à un excepté son soutien-gorge et sa petite culotte. Puis elle est forcée de s'asseoir sur une chaise de bois rude au dossier droit. Ses bras sont ligotés dans son dos et ses chevilles liées aux pieds du siège. La cape noire est alors retirée et elle cligne des yeux sous la lumière vive d'un spot qui l'éblouit.

Il lui est impossible de bien distinguer ses assaillants, car ils se tiennent soit dans son dos, soit derrière le spot. Tout en pleurnichant elle sursaute de frayeur lorsque sans prévenir un bandeau lui est mis sur les yeux et attaché à l'aide de ruban adhésif. Tout son monde est maintenant noir. Tous ses sens en éveil elle tente de percevoir les bruits que font les hommes qui bougent autour d'elle sur le parquet. Soudain elle se fige à nouveau en sentant une lame de couteau entre ses seins. Le contact de cette lame froide lui donne la chair de poule.

- Noooon… s’il vous plait ne me coupez pas ! implore-t-elle aussitôt.

L'acier froid s'écarte pour glisser sous l'épaulette gauche de son soutien-gorge, tranchant le fragile ruban d'un seul coup. La lame se déplace alors vers l'autre épaulette, qu'elle coupe de la même façon. Elle tremble en sentant le couteau redescendre dans la petite vallée entre ses globes laiteux, tranchant d'un seul trait la petite bride qui retient les deux balconnets de son soutien-gorge. Les lambeaux de mince tissu, tombent en glissant le long de son torse et de ses bras, offrant aux regards des hommes qui l'entourent ses mamelles fermes et haletantes, dont les tétons se dressent de peur et d'émotion. Une main gantée de cuir glisse alors sur le devant de sa petite culotte, saisit le bord de l'élastique, et d'une seule secousse brutale et douloureuse, déchire et arrache le fin tissu. Elle est maintenant assise, liée sur la chaise, complètement nue et très vulnérable, ses seins se soulevant au rythme de sa respiration saccadée par la peur.

- Ecoute bien chienne… je ne le répéterai pas… dis-nous où est l'argent et il ne te sera pas fait d'autre mal… mais si tu t'obstines à te taire… tu souffriras beaucoup… je te promets que tu auras très mal ! 

- Si je savais je vous le dirais… croyez-moi… je vous en supplie ne me faites pas mal… croyez-moi… je ne sais pas ! Implore-t-elle en s'adressant à ses ravisseurs d'une voix mourante.

- Quelle fille idiote tu es ! dit la voix menaçante.

- … il semble que tu vas devoir apprendre à nous écouter de la manière forte.

- Aaaaiiiiieeeeee ! 

Le cri de surprise et de douleur de la jeune fille emplit la pièce pendant qu'un homme fait claquer une souricière sur son mamelon droit, aussitôt suivit par un autre qui coince le gauche. Les fils de cuivre minces mais durs mordent profondément dans sa chair sensible. Elle crie et pleurniche à nouveau lorsque des pinces à linge sont ajoutées sur ses tétons, puis d'autres sur les lobes de ses oreilles.

Pendant cinq minutes les hommes observent en silence les efforts vains qu'elle fait en se débattant dans ses liens serrés. Des grosses larmes apparaissent sous le bandeau et roulent sur ses joues et elle n'arrête pas d'implorer ses bourreaux d’avoir pitié d’elle. La douleur est presque insupportable. Soudainement les pièges à souris et les pinces à linge sont retirées, laissant des profondes marques rouges sur son épiderme blanc.

Pas un mot n'est prononcé pendant qu'on délie ses jambes et qu'on la force à se lever. Elle n'entend que le bruit d'une corde qui est jetée par-dessus l'une des poutres de la charpente, et très vite elle se retrouve liée avec les bras tendus au-dessus de sa tête, ses pieds nus touchant tout juste le plancher. A nouveau le seul bruit qu'elle perçoit est celui des hommes qui se déplacent sur le parquet.

La douleur provoquée par les pinces et les souricières qui s'estompe peu à peu, est remplacée par une angoisse grandissante. Surtout que les hommes ne bougent plus et que le seul bruit qu'elle entend encore est celui des oiseaux sur la terrasse au dehors. Tandis qu'elle s’attend au pire dans l'ignorance la plus totale, le suspense ainsi créé, aussi bien que la souffrance causée par la pénible suspension, deviennent vite intolérable.

- Whooosh !

Une ceinture de cuir claque sur ses fesses.

- Noooonnn ! je vous en supplie !  crie-t-elle.

La voix menaçante parle encore : 

- Tu sais quoi faire pour nous arrêter… dis-nous juste où se trouve l'argent ! 

- Je… je… ne… sais… paaaaaaiiiieeee ! 

Elle est interrompue par la ceinture qui claque à nouveau. Tour à tour la sangle marque sa chair tendre tandis que le flagellant tourne lentement autour d'elle. Chaque fois que le cuir la mord, elle hurle et bientôt ses joues sont inondées de larmes. Des marques rouges apparaissent sur ses seins, son ventre, ses cuisses, mais également sur son dos et ses fesses. Il semble que son tortionnaire soit bien déterminé à marquer chaque pouce de son corps sans défense, en visant à chaque fois méticuleusement un autre endroit avec sa ceinture de cuir. Et puis la flagellation s'interrompt soudainement et elle entend dire :

- Messieurs, il semble que cette chienne est particulièrement résistante… ou bien elle dit la vérité… il est en effet possible qu'il ne lui ait pas dit où il cachait son argent… nous allons donc attendre qu'il rentre à la maison… en attendant nous pouvons nous amuser un peu avec elle pour passer le temps.

Elle pleurniche toujours en happant l'air avec difficulté. A son étonnement un verre d'eau est soudain pressé contre ses lèvres parcheminées et elle boit avidement, tandis que le trop plein d'eau s'écoule le long de son menton sur ses seins. Puis, presque gentiment, quelqu'un lui éponge ses larmes avec une serviette, puis lui mouche le nez, et pendant quelques brèves secondes elle croit que c'est - lui-  qui vient de rentrer. Elle en est encore à se demander bêtement comment elle pourrait le prévenir du danger qui le menace, lorsqu'elle est ramenée à nouveau à la réalité par deux gros doigts qui envahissent soudain sa fente.

- Qu'est-ce que c'est que ça chienne ?  demande la voix.

- Oh mon Dieu… que voulez-vous dire ?  bafouille-t-elle surprise.

- Où ai-je mes doigts ?  insiste-t-il sur un ton exaspéré.

- Oooohhh… eeeeruuuhhh… dans… mon… vagin. bafouille-t-elle toute gênée.

- Non, pas dans ton vagin ! je ne veux pas des termes médicaux ! où ai-je mes doigts ?  exige-t-il en tordant ses doigts dans sa chair tendre et humide.

- Dans mon… dans ma… ma… chatte. fait-elle déconcertée.

- Non, idiote ! tu es vraiment conne… mes doigts sont dans ton trou… tu me comprends ? c'est tout ce que tu es pour moi… un trou ! dis-le maintenant… vos doigts sont dans mon trou ! 

- Vos doigts sont dans mon trou !  bafouille-t-elle sur un ton qui laisse deviner toute l'humiliation qu'elle ressent.

- …dans mon trou, MONSIEUR !  lui beugle-t-il à l'oreille.

- Vos doigts sont dans mon trou, monsieur !  pleurniche-t-elle, tandis que les doigts continuent à la sonder.

Ses pieds sont presque soulevés du sol pendant qu'un doigt envahit soudainement son trou de cul.

- Nooonnn ! ooohhhh !  crie-t-elle. 

- Et dans quel trou est ce doigt, chienne ? 

- Le doigt est dans mon deuxième trou monsieur !  hurle-t-elle pendant que ses deux orifices sont rudement sondés, la soulevant si haut que ses orteils perdent leur appui par moment.

- Pas mal petite conne ! 

La voix est toujours aussi calme. L'homme a le contrôle total de sa victime et il le sait. Deux doigts gantés forcent alors sa bouche haletante, s'enfonçant jusqu'au fond de sa gorge. Tandis que les doigts de ces hommes impitoyables sondent sa bouche, son vagin et son trou du cul, elle se rend soudainement compte qu'une étrange excitation a effacé la peur qu'elle éprouvait au début. Elle est soudain péniblement consciente du fait que sa chatte est toute trempée et que ce n'est pas uniquement à cause du contact des doigts. Avec un mélange de crainte et d'excitation, elle devine que c'est à cause de ce qui va suivre. Elle tousse et crache lorsque les doigts se retirent enfin de sa bouche.

- Et ceci chienne ?  demande la voix, une main touchant ses lèvres.

- C'est mon troisième trou monsieur. 

- Excellent… voilà tout ce que tu es pour nous chienne… juste trois trous… trois orifices à baiser ! 

A son grand soulagement la corde est enlevée de ses poignets. Au moment où elle s'écroule au sol, totalement épuisée, des mains rudes la rattrapent de justesse. Tout en pleurnichant suite à la souffrance causée par ses membres engourdis, son corps meurtri par le fouet et ses orifices durement malmenés, elle se sent soulevé et porté dans une autre pièce. Là elle est soulevée puis descendue avec lenteur sur une bite dure qui lui emplit aussitôt entièrement le vagin. A peine est-elle empalée sur l'organe puissant de l'inconnu que des mains rudes l'obligent à se courber en avant et à coller ses seins couverts d'ecchymoses contre la poitrine de l'homme qu'elle chevauche. Celui-ci entoure aussitôt son corps couvert de sueur de ses bras puissants, la maintenant ainsi plaqué contre lui. Elle ne peut s’empêcher de gémir dans un mélange de crainte et de plaisir sexuel, lorsqu'elle sent une autre verge toute aussi dure se coller contre son ouverture anale. Aussitôt l'homme qui se trouve derrière elle plonge durement en avant. Malgré la douleur qu'elle ressent elle fait de son mieux pour détendre son sphincter, permettant au phallus de l'inconnu d'envahir entièrement sa croupe.

- Au moins il s'est lubrifié.  pense-t-elle avec reconnaissance au moment où la verge commence un lent va-et-vient.

- Owwwwww !  crie-t-elle lorsque une autre main lui saisit une poignée de cheveux, tirant sa tête en arrière.

Une troisième pine se colle à ses lèvres tandis que la voix, maintenant familière, la menace :

- Si tu mords tu es morte chienne… tu m'entends ? 

Elle incline la tête en guise d'assentiment, puis ouvre la bouche, sachant que coopérer est la meilleure manière pour elle de survivre. Avec force une verge immense est poussée entre ses lèvres, le gland épais cognant au fond de sa gorge. A moitié étranglée par la chose volumineuse qui lui bloque la glotte, elle a un haut-le coeur qu'elle ne parvient qu'à dominer avec peine.

L'homme sous elle ne bouge pas, il se contente de la serrer contre lui pendant que les deux autres se mettent à lui violer la bouche et la croupe à l'unisson. Il ne leur faut pas longtemps pour trouver le rythme et assortir leurs mouvements de bielles. Malgré elle la jeune femme gémit sourdement pendant que les deux bites la secouent d'importance sans qu'elle ne puisse s'en défendre. Elle se rend compte que sa sexualité naturelle a pris le dessus, et qu'elle apprécie à présent d'être prise aussi rudement dans tous ses orifices par ces étrangers. Sa chatte dégouline et ses tétons sont devenus durs comme de la pierre.

Elle gémit et râle sans interruption pendant que les bites la perforent toujours plus fort, toujours plus loin, toujours plus vite… Un premier orgasme la secoue bien avant que son enculeur n’éjecte en premier son sperme gluant dans ses entrailles malmenées. Au moment où il s'évacue au plus profond d'elle en râlant comme un fauve, la bite dans sa bouche lâche au fond de sa gorge une première salve gluante. Le corps secoué par un autre orgasme, encore plus puissant que le premier, elle avale docilement tout, tandis que ses râles étouffés emplissent la pièce.

Leurs verges ayant perdus leurs consistances, les deux violeurs se retirent de leur victime pantelante, qui reste couchée sur le troisième, le corps constellé de perles de sueur et agité de spasmes convulsifs. L'homme sous elle continue à la tenir serrée pendant qu'elle entend le bruit que font les deux autres en se rhabillant puis quittant la pièce.

Elle reste étendue ainsi, encore incapable de voir, se demandant ce qui va se produire maintenant. Alors les bras de l'homme s'écartent et ses mains fortes saisissent ses épaules, la redressant dans une position assise, la chatte toujours emplie de sa verge dure. Lorsque ses mains se déplacent sur ses seins, elle recommence à gémir de plaisir pendant que les doigts triturent doucement sa chair tendre. Alors les hanches de l'homme commencent à se mouvoir sous elle, son phallus rigide limant lentement sa chatte, tandis que ses doigts pincent ses mamelons.

- Baisez-moi monsieur… baisez-moi durement ! supplie-t-elle en s'arquant en arrière, ses cheveux trempés de sueur se collant à la peau de son dos.

A ses mots, le rire de l'homme remplit la pièce, pendant qu'il se pousse au fond d'elle. Après l'avoir maintenue tout le temps que les deux autres la violaient, il sait qu'il ne pourra plus se retenir bien longtemps. Ils gémissent tous les deux pendant qu'elle rebondit sur lui dans une danse effrénée. Il ne faut pas longtemps avant qu'ils soient emportés ensemble par un orgasme délirant. Puis la jeune femme s'effondre épuisée, sur la poitrine de son violeur. Trempés de sueur tous les deux, ils halètent longtemps, collés l'un à l'autre dans une étreinte indissociable.

A son grand soulagement la jeune femme sent alors les doigts de l'homme décoller les bandes qui maintiennent son bandeau en place. Quelques instants elle cligne des yeux, aveuglée par la clarté soudaine, puis elle regarde l'homme qu'elle chevauche toujours, les yeux brillants d'excitation.

- Merci monsieur, c'était la chose la plus étonnante et érotique qui me soit jamais arrivée, merci… merci… je t'aime...

- Joyeux anniversaire petite soumise !  répond-il, en attirant sa bouche à lui. 

- … moi aussi je t'aime !

FIN

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