vendredi 29 novembre 2024

Chantage au lycée - Ch. 02

Récit de GILLESBDX (2013)

*****

Le film.

Le lendemain, elle dut arriver une heure plus tôt à cause de la convocation de son chef d’établissement. Il l’avait gardée plus d’une demi-heure dans son bureau et s’était montré très ferme. Il ne voulait plus de ce genre de provocation dans l’établissement. Noëlle eut beau lui dire qu’elle n’y était pour rien, qu’un inconnu prenait des photos à son insu, il se montra inflexible. Il lui dit qu’elle était responsable de son image et de sa diffusion et, qu’en cas de nouvel incident, il prendrait des sanctions. Il l’impressionnait toujours autant. Il était charismatique, droit et autoritaire. Toujours vêtu de manière élégante, il avait un regard glacial. Jamais elle ne s’y ferait…

Dans la salle des professeurs, elle croisa Benoit, son collègue de maths.

— J’ai vu la photo, tu es vraiment sexy ! Tu es sûre que tu ne t’ennuies pas certains soirs avec ton mari si loin ? 
 
Elle ne prit même pas la peine de lui répondre et le fusilla du regard. Un peu plus tard, elle croisa Albert. Le vieux prof d’histoire ne lui adressa pas la parole, mais à la manière dont il la reluquait, elle comprit qu’il avait, lui aussi, vu la photo. Encore heureux que les élèves n’aient pas le droit de pénétrer dans la salle des profs, au moins, les dégâts se limitaient à ses collègues…

Elle fit sa journée de cours et ne reçut pas de nouvelle enveloppe. Le soir, elle rentra chez elle et on sonna à sa porte. Angoissée, elle alla ouvrir sans même se préoccuper de sa tenue. Elle ne portait qu’un grand tee-shirt qui lui servait de chemise de nuit.

Elle pensa immédiatement à une visite de maître-chanteur. A sa grande surprise, c’était sa collègue, la prof d’anglais.

— C’est toi, Wendy ? Ta visite me surprend ! dit Noëlle.

— Oui, je sais… J’aurais du te prévenir, lui répondit la jeune femme rousse. Mais je voulais te parler de ta photo affichée dans la salle des profs. Je voulais te voir en dehors du lycée, alors comme je passais dans ton quartier…

— Tu as bien fait, dit finalement Noëlle. Alors tu l’as vue toi aussi ? Je ne sais pas qui c’est…

— Je voulais t’en parler parce qu’il m’est arrivée un peu la même chose il y a deux ans, lui dit sa collègue.

— Ah bon ? Raconte !

— Un jour, j’ai trouvé une photo dans mon casier accompagnée du mot suivant : Mets cette tenue demain, sinon tu auras des ennuis… Il s’agissait d’un montage. Je n’ai pas cédé et j’ai fait venir les flics… Jamais cela n’a recommencé.

— Oui, mais en ce qui me concerne, ce n’est pas un montage… C’est une parure que j’ai achetée la semaine dernière, je suis identifiable à un grain de beauté et la photo est prise chez moi !

— Tu me le montre ce grain de beauté ? dit soudain la prof d’anglais.

Noëlle ne pense pas à mal et soulève sa chemise de nuit. Wendy pose immédiatement la main sur sa culotte et la palpe à travers l’étoffe. 

— Ta photo m’a gravement excitée, dit-elle en glissant la main dans sa culotte.

Noëlle ne sait comment réagir. Elle n’a jamais eu d’expérience avec une autre femme, mais cela a toujours été un de ses fantasmes. Finalement, elle retire sa chemise de nuit et laisse Wendy lui baisser sa culotte. La prof d’anglais se déshabille à son tour. Elle aussi a la peau très claire, presque laiteuse. Son pubis est orné d’une toison rousse comme ses cheveux. Elle est taillée très court. Wendy prend la direction des opérations et sa langue explore la bouche de Noëlle qui répond à son baiser. Sa bouche glisse lentement vers les seins de sa collègue. Elle fait tourner sa langue autour de ses tétons, puis elle prend le visage de Noëlle pour venir le plaquer contre l’un de ses seins, lui faisant embrasser le téton. Il ne lui en faut pas plus pour que sa collègue se mette à la téter. 

Chacune se met à caresser le sexe de l’autre avec application. Wendy est particulièrement douée et procure rapidement un orgasme à Noëlle. Elle se met ensuite en face à face avec sa collègue qui découvre les plaisirs saphiques. Leur deux chattes se rapprochent. Leurs toisons se mêlent. Elles sont aussi mouillées l’une que l’autre. Quand leurs clitoris se touchent, elles sont comme électrisées. Elles se mettent à faire aller leur bassin d’avant en arrière et Wendy jouit à son tour, poussant de petits cris aigus. 

Wendy vient plaquer sa bouche sur les lèvres du sexe de Noëlle. Sa langue explore les moindre recoins de ce sexe en feu. Elle prend les lèvres dans sa bouche, enfonce sa langue dans la cavité du vagin, la fait tournoyer autour du clitoris. Noëlle connait un orgasme encore plus fort que les autres, comme elle n’en a jamais connu avec un homme…

C’est donc très troublée par cette expérience nouvelle que la prof de SVT laisse repartir sa collègue. Pendant un moment, le plaisir lui a fait oublier les soucis provoqués par le maître-chanteur, mais elle y repense rapidement. Et si c’était Wendy qui avait monté tout cela dans le simple but de coucher avec elle ? Cela lui parait absurde. Comment aurait elle eu une photo d’elle sur la plage ? A cette période, elle était en Écosse…

Le lendemain et les jours suivants, rien de particulier ne se passa au lycée, sinon que Wendy ne ratait pas une occasion de la frôler ou de l’effleurer quand elle la croisait. Elle commençait à croire que le maître-chanteur allait se calmer quand elle trouva une nouvelle enveloppe blanche. Son cœur se mit à battre.

Cette fois, l’enveloppe ne contenait pas de photo, mais un DVD et un mot. Tu le regarderas tranquillement… Viens demain avec ta jupe écossaise et sans culotte, sinon ce petit film sera publié sur Internet.

Elle rentra rapidement chez elle, faisant même annoncer qu’elle n’assurerait pas son dernier cours. Elle glissa le DVD dans le lecteur de son ordinateur portable et ouvrit le fichier qu’il contenait avec angoisse. Le film la montrait en train de se masturber sur son lit. On voyait nettement ses doigts explorer son sexe, ses seins gonflés et tendus, et son visage crispé au moment de l’orgasme. Si ce film était diffusé, c’en était fini de sa carrière… 

Elle réfléchit. Comment ces images avaient-elles pu être prises ? Cette séance avait eu lieu quand elle était au téléphone avec son mari et elle se souvenait encore d’avoir fermé les volets… Y avait-il une caméra dans son appartement ? Elle chercha partout, mais ne trouva rien. En attendant, elle était, encore une fois, piégée !

N’ayant plus le choix, le lendemain, elle mit la tenue qu’on lui avait demandée. Sa jupe écossaise ultra-courte et rien dessous. Toute la journée, elle fit attention à la position de ses jambes et au moindre coup de vent, mais elle savait parfaitement que sa nudité n’était pas un secret. 

Benoît, toujours à l’affut, vint lui dire discrètement qu’il trouvait qu’elle aurait bien besoin d’une épilation. Elle rougit et alla se réfugier dans les toilettes ou elle retrouva Wendy. La prof d’anglais la plaqua contre le mur et l’embrassa de force.
 
— Tu m’excite en t’habillant comme une petite pute !, dit-elle ne faisant remonter la main sur sa cuisse. Là, on risque de se faire repérer, mais ce soir je passerai chez toi. J’amènerai un gros gode… Je vais te défoncer la chatte !

— Arrête Wendy !, se mit à crier Noëlle malgré l’excitation qu’elle ressentait à l’idée de revivre ce moment de plaisir avec sa collègue lesbienne. C’est celui qui me fait passer les enveloppes qui a exigé que je m’habille comme ça. Il me tient de plus en plus le salaud !

— Porte plainte ! répondit seulement Wendy en s’éloignant.

Noëlle réfléchit. Effectivement, la situation ne pouvait pas durer. Même s’il la terrorisait, elle décida d’aller voir le proviseur. Après tout c’était lui qui avait trouvé ce logement où on la photographiait et on la filmait à son insu.

A suivre...

mercredi 27 novembre 2024

Gynécologue pervers

 Récit de Gerald F. (2004)

*****

J'étais quelque peu angoissée en me rendant chez le gynécologue, à mon huitième mois de grossesse. Certes, je devrais avoir l'habitude: c'est notre cinquième enfant, à mon mari et à moi, mais après tout, j'ai déjà quarante ans.

Après avoir défait les boutons du bas de ma robe, je retirai mes chaussures et mon slip et m'étendis sur la table d'examen, levant les jambes pour poser mes pieds dans des étriers et écartant les pans du vêtement pour que le docteur puisse palper mon ventre et, après avoir enfilé un gant de plastique, procéder à un toucher vaginal. Il me demanda ensuite d'étendre les bras au-dessus de ma tête pour respirer profondément, ce que je fis. Il vint alors appuyer ses mains sur mes poignets, et je sentis à ma grande stupéfaction qu'il me passait des bracelets pour les attacher à la tête de la table. Je tentai de me lever pour protester, et me rendis alors compte que mes pieds étaient également fixés aux étriers. Il m'avait liée des quatre membres à la table d'examen !

Après avoir enlevé son gant, il se remit à toucher mon ventre, non plus en le palpant mais en le caressant longuement, puis il l'embrassa et se mit même à le lécher tandis qu'il portait ses caresses vers l'intérieur de mes cuisses. Furieuse mais incapable dans ma position de me débattre, ne voulant pas en outre risquer de blesser le bébé, je dus me laisser faire jusqu'à ce qu'il arrête de me caresser pour défaire lentement les boutons qui restaient à ma robe, de la ceinture jusqu'en haut. Puis il acheva d'en écarter les pans, et eut la vision de mon corps nu à l'exception d'un soutien-gorge blanc. Je pensai qu'il allait l'enlever pour s'en prendre à mes seins, mais il s'éloigna un moment et revint disposer une caméra numérique devant nous sur un trépied. Il la mit en marche avant de se pencher à nouveau sur moi. Les étapes de mon humiliation allaient être filmées !

Il prit mon soutien-gorge à deux mains et le remonta jusque sous mon menton. En temps normal, ma poitrine n'a rien d'extraordinaire (j'ai quarante ans et quatre enfants, d'accord ?), mais à huit mois de grossesse mes seins gonflés étaient comme des melons, avec de gros bouts aux aréoles très larges et foncées. Il se mit à les caresser, à déposer des baisers partout sur eux et entre eux. J'ai honte de dire que mes tétons se dressèrent et se durcirent sous un pareil traitement. Il en introduisit un dans sa bouche, commença à le sucer, je sentis sa langue en faire le tour puis ses dents le presser. En même temps, d'une main, il me massait l'autre sein et en pinçait le bout. Mon lait commença à monter, il le savait et pompa plus avidement mon mamelon, je fermai les yeux et gémis en sentant la première giclée de lait maternel entrer dans la bouche de mon violeur. Il but soigneusement tout ce qui était sorti, puis fit subir le même traitement à l'autre sein pendant que sa main libre redescendait vers mon ventre, caressait ma touffe et atteignait mon sexe. 

A ma grande horreur, je me rendis compte que ma fente était humide et prête à s'ouvrir, et il n'eut aucun mal à y enfoncer deux doigts d'un coup. Il se mit à les faire aller et venir tout en finissant ce qu'il faisait sur mon sein, puis s'écarta de moi et, sans sortir les doigts de mon sexe, alla s'agenouiller au pied de la table, devant mes cuisses maintenues écartées par les étriers. Sa langue me pénétra sans que je puisse résister, je fus au bord des larmes en me rendant compte que moi, une épouse aimante et fidèle à mon mari, le père de mes quatre enfants, j'étais attachée nue devant un homme qui pouvait user de moi de toutes les façons qu'il voulait, et que je prenais plaisir à ce qu'il me faisait. Mon mari, de crainte de faire du mal au bébé, ne me touchait plus depuis des semaines, j'avoue que ça me manquait énormément, et voilà ce type me bouffait la chatte plus savamment que mon mari ne l'avait jamais fait. La colère et l'humiliation que j'éprouvais ne faisaient qu'ajouter à mon plaisir. Je cédai une première fois et il le sentit, buvant ma mouille dégoulinante aussi soigneusement qu'il avait bu mon lait. Il se redressa pour contempler mon corps pantelant d'un air satisfait, puis il passa à la tête du lit et disparut de mon champ de vision, me laissant face à cette maudite caméra qui continuait à enregistrer mon supplice. Attachée comme je l'étais, je ne pouvais pas tourner la tête suffisamment pour voir ce qu'il faisait, mais j'entendis qu'il se déshabillait, et j'essayai de me résigner à subir une nouvelle étape de ma souillure.

Il réapparut complètement nu, exhibant un sexe dressé qui me parut de dimension impressionnante. Il le promena un moment sur mes seins et mon ventre, puis se plaça debout entre mes cuisses et me l'enfila d'un seul coup. Ma chatte était encore bien lubrifiée de ce qu'il m'avait fait, et son engin rentra tout entier, malgré sa taille très supérieure à celle de mon mari. Il commença à me limer sans ménagement aucun, sortant sa bite presque entièrement à chaque fois avant de me la remettre jusqu'au fond. Attachée comme je l'étais, je ne pouvais ni lever plus haut les jambes, ni les passer autour de son dos, et le poids du bébé m'empêchait de me cambrer. J'avais l'impression que mes reins allaient se briser, j'avais mal à pleurer, et en même temps je commençais à ressentir un plaisir incroyable. Il s'en aperçut, me força à dire que ça me plaisait, et éjacula en me remplissant de foutre, tandis que j'éprouvais un orgasme comme je n'en avais jamais ressenti avec mon mari.

Il ressortit sa bite, l'essuya sur mon ventre pendant que je reprenais mon souffle, et me dit que si je voulais qu'il me détache les chevilles il fallait que je le suce. Je fis signe que oui, et il introduisit son nœud à peine ramolli dans ma bouche. Je me mis à le pomper du mieux que je pouvais en l'excitant de ma langue, il redevint vite bien raide, en même temps de la main il se remettait à me pincer les seins et à me caresser le ventre, les poils et la moule. Il ne tarda pas à faire gicler son foutre chaud dans ma bouche, me le faisant boire et me faisant nettoyer sa bite jusqu'à la dernière goutte.

Il me détacha les chevilles, et je pus enfin retirer mes pieds des étriers et détendre un peu mes jambes qui me faisaient atrocement mal. Pendant ce temps, il ouvrait un tiroir de son bureau et, à mon grand étonnement, en retira une paire de bas blancs et des escarpins assortis. Il me les enfila - car ils se révélèrent être tout à fait à ma pointure - sans que je puisse l'en empêcher, les poignets toujours attachés comme je l'étais. Il alla régler sa caméra pour faire quelques gros plans sur ma chatte poilue au-dessus de mes cuisses gainées de bas, sans même que je pense, maintenant que j'avais les jambes libres, à resserrer les cuisses ou à me tourner sur le côté pour le priver du spectacle obscène dont il se régalait.

Puis il prit dans un autre tiroir un godemichet rigide presque aussi gros que sa bite, s'assit à côté de moi sur la table et me l'enfila dans la chatte en le faisant aller et venir d'avant en arrière. En même temps, d'un doigt il me tâtait plus bas, sur les rebords de mon petit trou. Je recommençai à gémir lorsqu'il retira le gode de ma fente et le présenta à l'entrée de mon anus. Il poussa lentement l'objet de plastique en moi, et je sentis mes sphincters s'écarter à mesure qu'il rentrait, se distendre jusqu'à être près de se déchirer. La douleur causée par le viol que j'avais subi en étant attachée des quatre membres n'était rien à côté de cela. Je criai, suppliai mon tortionnaire d'arrêter, lui promis qu'il pourrait me faire tout mais pas ça. J'avais l'impression que mon anus allait éclater lorsqu'il retira enfin l'engin, mais il ne renonçait pas pour autant à user de moi par cet orifice. Il prit sur son bureau une boîte de pommade, enfila un nouveau gant de plastique pour introduire un doigt dans mon petit trou et en enduire les parois. La douleur se calma rapidement, je sentis bientôt qu'il utilisait deux doigts pour me pommader, puis trois. Il me dit que je devais être prête maintenant, et me pénétra de nouveau avec le gode. L'engin s'enfonça plus rapidement que la première fois dans mon conduit lubrifié, la sensation était curieuse et inconfortable plutôt que douloureuse : avec le bébé dans mon ventre et le gynéco qui recommençait à m'enfiler ses doigts, cette fois dans la chatte, j'avais l'impression que mon abdomen était envahi de toutes parts !

Il s'arrêta un moment pour aller mettre en marche son ordinateur, en vérifiant que je pouvais bien voir l'écran de là où j'étais. Il me dit qu'il avait enregistré des images de beaucoup de patientes pendant qu'il les baisait, et qu'il voulait m'en monter une en particulier. Le film commença à défiler sur l'écran : il avait été tourné dans le cabinet même où nous étions, et une femme était à quatre pattes par terre pendant que mon gynéco la prenait en levrette. Avec horreur, je reconnus ma fille aînée, Caroline, toute nue à part ses sandales et un débardeur remonté au-dessus de ses seins. Le docteur la bourrait à grands coups, et il monta le son pour me faire entendre les cris de plaisir qu'elle poussait.

- Elle est venue me demander de lui prescrire la pilule, expliqua-t-il,  C'est son droit le plus strict puisqu'elle a dix-huit ans, mais je lui ai quand même demandé quelques services pour lui garantir que son père ne serait pas au courant. 

L'annonce que Caroline prenait la pilule - j'en étais encore à la croire vierge - m'atteignit à peine, tant j'étais hypnotisée par le spectacle de ma fille chérie se faisant prendre comme une chienne, par le même homme qui maintenant m'enfonçait à nouveau son gode dans le cul tout en me fouillant la chatte avec ses doigts, usant de la mère comme il avait usé de la fille. J'entendais ses commentaires sur le film :

- Tu aimes ça, hein, salope ? Tu le fais parce que je t'y ai forcée, mais tu adores ça ? Ta mère aussi aimerait ça, tu crois ? Tu sais qu'elle aussi est ma patiente ? La prochaine fois qu'elle viendra me voir pour avoir des nouvelles du petit frère, je la baiserai par tous les orifices, même si je dois l'attacher à la table pour faire ça. Je suis sûr qu'elle adorera. Pas toi ? Tu peux lui dire ce qui l'attend. 

Caroline ne faisait que répéter "oui, oui", ses cris se transformèrent en hurlements lorsque le docteur changea de position pour l'enculer tout en lui fourrant une main entière dans la chatte, et le film s'arrêta après qu'il jouit et la laissa pantelante sur le tapis.

Le docteur me jeta un regard satisfait, et je pensai que le matin même j'avais dit à Caroline que j'allais chez le gynéco, et que son visage n'avait pas montré la moindre émotion, alors qu'elle savait ce qu'il allait me faire subir.

- Comme vous le voyez, dit-il,  votre fille prend très bien du cul, je pense que maintenant vous allez faire de même. 

Je compris ce qu'il désirait et il me prit aux hanches pour m'aider à me retourner, malgré mes poignets toujours menottés. Je me retrouvai à quatre pattes sur la table, mon ventre et mes seins alourdis frôlant le tissu qui la recouvrait, pendant que le docteur s'agenouillait derrière moi et m'écartait les fesses. Son sexe était plus gros que le godemichet, quoique plus souple, et je subis son assaut avec quelque difficulté. Mais enfin il parvint à tout faire rentrer dans mon anus encore lubrifié, et se mit à aller et venir tout en me maintenant les reins d'une main, tandis que de sa main libre il avait repris le gode, me l'avait passé entre les cuisses et me l'enfilait dans la chatte. Attachée, à genoux, avec mes seins et mon ventre qui ballottaient sous moi en frottant contre la table, forcée devant et derrière par cet homme qui avait déjà abusé de ma fille, je pensai à mon mari, au père de mes enfants, et l'abjection de ma situation ne fit que démultiplier mon orgasme lorsqu'il éjacula dans mon cul, pendant que le godemichet expertement manié me faisait exploser par-devant. C'était la sensation la plus merveilleuse de ma vie, je hurlais, râlais, le suppliais de continuer, mes genoux se dérobèrent sous moi et je serais tombée sur le ventre s'il ne m'avait pas retenue par les hanches pour me faire repasser sur le dos.

J'étais étendue sur la table, à moitié évanouie, et lui debout à côté de moi avec son sexe à peine sorti de mon cul. Je craignis qu'il ne veuille à nouveau me le faire sucer, mais il se contenta de l'essuyer en le frottant sur mon ventre et mes seins. Dans ma semi-inconscience, je sentis qu'il libérait mes mains des menottes. Je restai quelques minutes à reprendre mes esprits, esquissai un geste pour me relever de la table, et le découvris assis toujours nu dans son fauteuil, me disant avec un geste autoritaire :

- Nous n'avons pas terminé. Veuillez achever de vous déshabiller. 

J'enlevai ma robe entièrement défaite, et mon soutien-gorge qui ne soutenait ni ne cachait plus rien. Je fis sans conviction un geste pour ôter mes escarpins et mes bas, mais il me fit signe de les garder. Il m'ordonna de venir m'agenouiller devant lui. Les jambes flageolantes sur mes escarpins, j'obéis ; il avait réglé son fauteuil dans la position la plus basse et se tenait assis les jambes écartées, son membre à la hauteur de ma poitrine. Sur son ordre, je pris le sexe flaccide dans une main, le plaçai entre mes seins, les rapprochai et me mis à les masser doucement en les faisant se toucher. L'engin recommença à devenir raide à mesure que je l'enfonçais de plus en plus entre les deux globes, jusqu'à ce qu'il frotte de presque toute sa longueur contre mon sternum pendant que je me caressais les seins sur lui. Je le sentis près d'éjaculer, sortis spontanément le membre de sa vallée de chair pour le prendre dans ma bouche. J'étais prête à tout avaler une fois de plus, mais il m'ordonna de me reculer car il voulait éjaculer sur mon visage. Ce qu'il fit, essuyant en outre son membre gluant sur mes joues et mes cheveux, et me permettant juste de lécher le sperme qui était tombé autour de mes lèvres.

Tout en se rhabillant, il me dit qu'il y avait un lavabo dans le couloir. J'en avais sacrément besoin avant de remettre mes propres vêtements, avec la mouille qui avait coulé de ma chatte jusqu'à tacher le haut de mes bas, et le sperme encore tiède qui collait à mes cheveux et dégoulinait de ma figure dans mon cou jusqu'à rejoindre les traînées innommables qui séchaient sur mon ventre et mes seins.

J'étais néanmoins tellement épuisée qu'avant que j'aie pu me remettre debout sans vaciller, le docteur était complètement rhabillé et sortait lui-même dans le couloir. Je l'entendis ouvrir une porte qui devait être celle de la salle d'attente... et, à ma grande horreur, il appela la patiente suivante.

Je n'avais ni la force de m'enfuir ni aucun endroit pour le faire, et la femme qui entra dans le cabinet aurait dû être aveugle pour ne pas me voir. Le pire de tout était qu'elle et moi nous connaissions parfaitement : c'était Marie-Claude, une amie d'enfance et collègue de travail à moi.

Toujours élégante dans son tailleur strict, elle eut l'air pétrifiée de se trouver en face de moi, dans l'état que j'ai décrit plus haut, toujours uniquement vêtue de mes chaussures et de mes bas. De mon côté, j'éprouvais comme on l'imagine la honte de ma vie, mais ce fut à mon tour d'être stupéfaite lorsque le docteur passa derrière elle et lui caressa familièrement les fesses.

- Vous voyez, Marie-Claude, votre amie Edith est également une de mes patientes. Je pense d'ailleurs que vous pourriez l'aider à se nettoyer ? 

Marie-Claude balbutia une approbation, et le docteur l'embrassa dans le cou en faisant glisser ses mains sur ses hanches. Pendant que je le regardais avec ahurissement caresser le corps de mon amie par-dessus son tailleur (Marie-Claude est divorcée, mais à ma connaissance elle n'a jamais eu d'aventure et ne vit que pour ses deux enfants), il m'expliqua :

- La première fois, je lui ai fait prendre une drogue et je l'ai prise sans qu'elle ne puisse bouger. J'en ai gardé quelques enregistrements qu'elle ne souhaite pas voir montrer à ses enfants ni à ses proches, c'est pourquoi j'ai régulièrement le plaisir de ses visites. 

A l'air désespéré de Marie-Claude, je compris que cette explication était vraie. Elle parut près de fondre en larmes lorsque le docteur ordonna :

- Aidez votre amie à enlever le sperme de son visage. 

Après un court instant de silence, il compléta : 

-  Avec votre langue. 

Comme hypnotisée, Marie-Claude avançait vers moi, lorsque le docteur ajouta : 

- Enlevez votre tailleur, ce sera plus facile. 

Obéissante, Marie-Claude ôta sa veste et sa jupe grises, apparaissant dans des dessous que je n'aurais jamais cru lui voir porter : un soutien-gorge qui faisait pigeonner sa généreuse poitrine en en découvrant complètement les bouts, un mini-slip, des bas et un porte-jarretelles. Si les bas étaient couleur fumée, le slip, le soutien-gorge et le porte-jarretelles étaient rouge vif .

C'est dans cette tenue qu'elle approcha son visage du mien, et je vis sa langue sortir entre ses lèvres, puis la sentis passer sur mes joues, mon nez, mon menton, laper le sperme qu'elle avalait sans hésiter. Ses lèvres secondèrent sa langue, je ne sais comment nos bouches se frôlèrent, puis elles se collèrent l'une contre l'autre et je me retrouvai, moi qui jusqu'alors n'avais jamais eu de pulsions homosexuelles, à embrasser fougueusement mon amie d'enfance, heureuse mère de famille comme moi, en faisant aller ma langue jusque dans le fond de sa bouche, pendant que mes tétons à nouveau durs et érigés frottaient contre les siens dans le même état, et que mon ventre se bombait contre le sien. Je tombai assise sur la table d'examen et Marie-Claude se remit à lécher le sperme du docteur sur moi, passant sa langue et posant ses lèvres dans mon cou, entre mes seins, sur mes seins encore rouges d'avoir servi à masturber notre dominateur. Ma main dans ses cheveux, je sentis qu'en même temps elle me caressait les hanches, la touffe, touchait ma fente. Lorsqu'après avoir longuement et soigneusement léché mon ventre gonflé elle approcha sa bouche de mon sexe, le docteur ordonna :

- Ça suffit. Edith, vous pouvez aller vous laver. Venez ici, Marie-Claude. 

Pendant que furieuse et frustrée je me dirigeais vers le fameux lavabo, mon amie s'approchait docilement du docteur, et j'eus le temps, avant de refermer la porte, d'entendre celui-ci dire :

- Mettez-vous à genoux !

Les toilettes étaient équipées d'une cabine de douche, et j'en pris une longue et chaude. J'avoue que j'en profitai pour me caresser sur tout mon corps de femme enceinte, et finis par me masturber en pensant à ce que le docteur devait être en train de faire à Marie-Claude. Je n'étais tout de même pas préparée au spectacle que j'allais découvrir à mon retour.

Entièrement nue, je ressortis dans le couloir sur la pointe des pieds et me dirigeai vers le cabinet pour récupérer ma robe et mes chaussures. A travers la porte, j'entendis les cris saccadés de mon amie, auxquels il semblait se mêler un claquement. Lorsque j'entrai, Marie-Claude était à genoux devant le bureau du docteur, cramponnée des deux mains au meuble, et notre bourreau, debout derrière elle une cravache à la main, cinglait avec une précision impitoyable son dos et sa croupe nus. Des traits rouges zébraient déjà les zones frappées, et elle tourna vers moi un visage baigné de larmes. Le docteur parut penser que je redoutais d'être soumise à un pareil traitement, car il me dit :

- C'est là quelque chose que je ne peux pas faire avec une femme mariée, car cela laisse des marques que le mari verrait infailliblement. Notre chère Marie-Claude va garder ces traces pendant près d'une semaine. Aussi, même après votre accouchement, vous n'avez pas à craindre que je vous y soumette. 

Après mon accouchement ? me dis-je. Il a donc l'intention de continuer à abuser de moi jusque là ? Pendant que je me rhabillais, en laissant Marie-Claude prostrée devant le bureau, il me dit de ne pas oublier le prix de la consultation. Je le payai et, venue pour un contrôle de routine, me préparai à ressortir après avoir été attachée, enfilée de toutes les façons, avoir joui sous un homme qui me prenait de force, avoir appris que la fille en faisait autant que moi, m'être quasiment gouinée avec ma meilleure amie et l'avoir vue se faire frapper à coups de cravache.

Il me dit enfin :

-  Je désire que vous reveniez la semaine prochaine, en même temps que votre fille. 

Puis, sans plus s'occuper de moi, il se retourna vers Marie-Claude et lui ordonna de se relever et de se mettre face à lui. Elle obéit et je me hâtai de sortir, pendant que la cravache frappait les seins puis le ventre de mon amie en lui arrachant des cris de bête.

FIN.


lundi 25 novembre 2024

Auto-stop en enfer Ch. 03

  Traduction d’un texte de Grandflasher C.

 ****

Les étudiants.

Amy dort pendant deux heures environ sur la couverture près du ruisseau. Elle est à l’ombre sous un arbre, nue comme au jour de sa naissance. Elle se réveille fatiguée, assoiffée et affamée. En levant les yeux vers le soleil, elle comprend que c’est l’après-midi. Elle doit se remettre en route et reprendre son voyage, pour le meilleur ou le pire.

Elle se sent plutôt bien malgré le fait qu’elle ait eu des rapports sexuels assez brutaux avec trois hommes dans la matinée. Mais Amy est jeune et résistante alors elle choisit d’oublier ces évènements et se concentrer sur l’avenir. Fouillant dans son sac à dos, elle sort sa bouteille d’eau et une barre de céréales. Après quelque temps à manger et boire, elle se lève et s’étire. Puis elle retourne au ruisseau pour se laver le visage. Ses cheveux sont secs, mais elle se dit qu’elle doit être affreuse.

Amy passe les vingt minutes suivantes à se coiffer, se maquiller et s’habiller. Elle met un soutien-gorge et une culotte les plus simples qu’elle puisse trouver. Mais comme elle a seulement emmené ses tenues les plus sexy, ces sous-vêtements le sont aussi. Il s’agit d’un soutien-gorge en dentelle noir et d’un string en dentelle, soyeux et presque transparent. Ensuite la jeune fille choisit un tee-shirt rose coupé assez haut de façon que son ventre plat soit visible et sa mini-jupe la moins osée qui se trouve être une simple jupe en jean pas trop courte. Enfin, Amy sort une paire de bottes de cowboy marron. Elle range ses talons hauts dans son bagage.

Une fois habillée, la jeune fille rassemble ses affaires et repart vers la route. Il lui faut moins de cinq minutes pour y arriver. Après l’avoir atteinte, elle regarde autour d’elle pour s’orienter. Après avoir compris où elle se trouve, Amy soupire en se disant qu’elle n’a pas beaucoup progressé. Elle est à environ trente ou trente-cinq kilomètres de chez elle. Et même si elle se trouve dans une autre commune, elle n’est pas vraiment proche de son but. 

La blonde commence donc à faire le pied de grue pour la troisième fois de la journée. Et comme elle est incroyablement belle, jeune avec de gros seins, un cul d’adolescente bien rond, de longues jambes minces sur un corps mince, il suffit qu’une voiture passe et s’arrête. Toutefois, comme il y a peu de circulation sur ces petites routes, Amy doit attendre une bonne vingtaine de minutes avant le prochain véhicule.

Il s’agit d’une vieille Camaro jaune qui a connu des jours meilleurs, mais qui semble bien rouler. La jeune blonde s’approche de la voiture et jette un coup d’œil à l’intérieur. Elle voit qu’elle est remplie avec cinq gars qui ont l’air assez serré à l’intérieur, deux devant et trois derrière. Ils ont tous l’âge d’être à l’université, ils ont peut-être juste un ou deux ans de plus qu’Amy. Trois d’entre eux sont blonds, l’un a des cheveux brun foncé et le dernier a les cheveux noirs. Ils ont l’ai tous assez musclé et ils portent des débardeurs, des shorts ou des jeans. Ils semblent être des étudiants ordinaires. Amy est un peu hésitante devant cette voiture remplie d’hommes. Elle demande :

- Ah… Salut les gars ! Où est-ce que vous allez ?

Le gars assis sur le siège passager avant répond alors :

- Salut ma belle ! On va à Belmeade pour rejoindre des amis. Tu veux qu’on te dépose ?

Amy hésite. Après ce qu’il s’est passé plus tôt, elle n’est pas sûre de vouloir monter dans une voiture pleine de mâles. 

- Euhh… je vais à Belmeade… Mais je crois que vous n’avez pas de place…

- N’importe quoi ! Je m’appelle Josh. Le conducteur se nomme Tony. Et derrière il y a Tyler, Norm et Brian. Tu peux t’asseoir avec eux, ils vont se serrer et te faire une place.

- Euhhh… Je ne suis pas sûre…

Le gars lui sourit en lui répondant :

- Ecoute, ce n’est pas un problème, tu es toute petite. Et ce ne serait pas bien de laisser une jeune femme comme toi toute seule sur la route. 

Amy est surprise et un peu charmée par Josh. Elle sent qu’elle peut lui faire confiance. Mais elle réfléchit intensément et n’arrive pas à se décider si elle doit entrer dans ce véhicule ou en attendre un autre. Voyant son indécision, Josh lui dit :

- C’est à toi de voir ! Si tu veux attendre la prochaine voiture, pas grave pour nous. Mais nous allons directement à Belmeade et nous devrions y être dans moins de deux heures.

Amy se mord la lèvre inférieure et décide finalement d’accompagner Josh et ses mais. Elle lui sourit et dit :

- D’accord, si vous pensez qu’il y a de la place, je vais monter avec vous !

Tony, le chauffeur, ouvre le coffre alors que Josh sort de la voiture.

- Attends, je vais mettre tes affaires dans le coffre pendant que tu montes derrière.

Amy grimpe à l’arrière de la voiture avec les trois gars. Mais comme il s’agit d’un véhicule avec seulement deux portes, elle doit monter par la porte du passager et se glisser derrière son siège. Amy essaie alors de faire attention à ce que sa mini-jupe ne montre pas trop de choses aux garçons. Il n’y a vraiment pas beaucoup d’espace, donc après s’être salué, la jeune fille s’installe maladroitement sur les genoux du gars se trouvant au milieu. Il s’agit de Norm. A sa gauche se trouve Tyler et à droite, Brian. La jeune blonde se sent plutôt mal à l’aise sur les genoux de Norm, mais elle essaie de cacher ce malaise en essayant d’entretenir une conversation. Mais seuls Tony et Josh se montrent bavards. Les gars à l’arrière de l’auto restent silencieux et Amy se sent de plus en plus mal en sentant leurs yeux braqués sur elle. 

Après une bonne vingtaine de minutes de route, Brian prend finalement la parole :

- Joli cul d’après ce que j’ai pu voir ! qu’en penses-tu Norm ?

L’étudiant sourit, les mains sur les hanches d’Amy. Il les serre et dit :

- Putain, je suis bien ! Son cul est rond et moelleux !

- Enfoiré de chanceux ! Rigole Brian.

Puis c’est au tour de Tyler de parler :

- Regardez ces jambes ! Putain elles sont sexy, si lisses et douces. Je me demande si sa chatte est aussi lisse ?

Toute le monde rit dans la voiture, sauf Amy bien sûr.

- Je te parie que la chatte de cette nana est lisse comme le derrière d’un bébé ! Répond Brian.

Amy est furieuse, mais en même temps elle rougit. Elle dit alors :

- Vous voulez bien arrêter de parler de moi. Je suis là, je vous signale !

- Arrêter quoi ? Répond Norm en souriant.

Il serre à nouveau ses hanches puis remonte un peu les mains pour les enrouler autour de la taille fine de la jeune fille avant d’ajouter :

- Nous essayons juste d’être gentils !

- Hé bien arrête ça !

La jeune fille regarde Josh d’un air implorant pour avoir de l’aide. Celui-ci lui fait un sourire narquois et hausse les épaules en disant :

- Qu’est-ce que je peux faire ? Les garçons seront toujours des garçons.

Les trois gars à l’arrière glousse, ce qui rend Amy de plus en plus nerveuse. Les évènements semblent lui échapper à nouveau.

Pendant ce temps, Tyler fixe intensément ses gros seins.

- Mecs, regardez ces nichons ! Ils sont énormes pour une petite fille comme elle ! Vous croyez qu’ils sont vrais ?

- Il n’y a qu’une seule façon de le savoir ! Dit Norm en saisissant rapidement les seins de l’adolescente pour les pétrir, ce qui provoque un cri de surprise de la jeune fille.

- OOHHHH… NO…. Arrête ça tout de suite !

Les yeux d’Amy sont ouverts comme des soucoupes tellement elle est surprise par la soudaineté des actions de Norm. Elle sursaute lorsqu’il pétrit et tripote sa poitrine, autant à cause de ce qu’il fait, que de la prise de conscience soudaine de l’érection croissante qu’elle sent sous ses fesses. Elle essaie de se débattre et d’enlever les mains de l’étudiant, mais sans succès. 

- Oh mon Dieu !!!

- Putain de merde, ce sont des vrais, les gars ! Les nichons de cette fille sont fantastiques ! Vous devez tâter ces mamelles, les gars ! Rigole Norm.

Brian et Tyler se joignent à leur ami pour s’amuser. Chacun d’entre eux attrape un sein pour jouer avec. Ils sifflent et savourent la douceur de la poitrine généreuse de la jeune fille.

- Non les gars ! ARRÊtez ! Arrêtez tout de suite ! Je suis sérieuse, arrêtez la voiture maintenant et laissez-moi partir ! Crie Amy.

Les cinq garçons ignorent les cris de la blonde. Soudain, Norm attrape le bas du tee-shirt d’Amy et il lui enlève d’un seul mouvement. La jeune fille se met à crier et les gars se taisent, impressionnés par la grosseur de ses seins. L’adolescente met rapidement ses mains sur sa poitrine pour la cacher.

Tony est le premier à parler à nouveau, même s’il conduit et ne peut jeter un coup d’œil en arrière de temps en temps.

- Putain, cette nana est une vraie chaudasse !

Amy lui lance un regard furieux, mais son attention est bientôt détournée. Norm est en train de tripoter l’attache de son soutien-gorge sous les regards attentifs de ses deux compères.

- Non… Non… Arrête !!! Les gars… S’IL VOUS PLAÎT ! Glapit Amy.

Mais rien n’arrête l’étudiant. Il dégrafe le soutien-gorge et laisse les magnifiques seins en sortir. Puis il le fait glisser le long des bars de la jeune fille qui se débat, avant de donner le sous-vêtement à Tyler. De nouveau, les gars admirent ses seins alors qu’Amy essaie de les couvrir avec ses mains. Elle est si sexy comme ça, assise sur les genoux de Norm avec sa jupe remontée sur ses cuisses et ses petites mains essayant de cacher ses énormes seins, si gros sur sa petite taille.

Tyler jette le soutien-gorge par la fenêtre ouverte en disant :

- Putain, c’est une honte de couvrir ces seins avec un soutien-gorge ! Tu n’as pas besoin de ça !

L’adolescente est choquée :

- Pourquoi tu as fait ça ? Il valait très cher !

- Allez, montre-nous tes nichons ! Dit Brian avec envie.

Serrant ses mains sur sa poitrine, Amy hoche de la tête :

- NON !!!!!

Puis la jeune fille pousse un cri strident lorsque Norm glisse ses doigts sous sa jupe.

- Si tu ne veux pas nous montrer tes nichons, alors nous allons peut-être jeter un coup d’œil sous ta mini-jupe !

Il accroche ses pouces à la culotte de la jeune fille et il commence à la tirer vers le bas. Tentant instinctivement d’empêcher le garçon, elle attrape sa culotte alors que Norm l’a déjà faite descendre à mi-cuisses. Elle lutte pour la remonter alors que le gars continue de la tirer vers le bas. La petite culotte est étirée au maximum. 

Maintenant que ses seins sont vraiment libres, Brian et Tyler peuvent maintenant les toucher et les tripoter, ce qui embête encore plus Amy. Mais celle-ci est trop occuper à essayer de garder sa culotte. Finalement, comme c’était prévisible, le fin tissu se déchire et la culotte devient inutilisable.

- MERDE ! Crie Amy.

Elle agrippe les mains de Norm qui essaient de remonter sous sa jupe. Maintenant, elle est au milieu de trois paires de mains qui la molestent, de trois étrangers qui la tripotent, qui pincent ses tétons et qui commencent à caresser sa chatte. Et elle ne peut pas faire grand-chose.

- ARRÊTEZ !!!

Les trois étudiants sont bien trop occupés à la caresser et à apprécier son corps tendre et jeune pour l’écouter. Ses petits mamelons durs et dressés sont tirés, pincés et tordus sans ménagement. Sa chatte déjà sensible est caressée impitoyablement à sa grande horreur. Bientôt son jus chaud et coulant commence à s’écouler dans sa grotte, même si elle lutte contre les réactions de son corps.

- OH MON DIEU, ARRÊTEZ S’IL VOUS PLAÎT ! Je ne peux pas le supporter ! Ma chatte n’en peut plus ! C’est TROP ! Supplie Amy.

- Trop ? Que veux-tu dire ? Demande Josh.

La jeune blonde rougit d’embarras. En espérant qu’ils arrêtent, elle avoue :

- Ma chatte ne peut plus supporter de bites pour aujourd’hui… Elle a déjà été… Baisée ce matin !!!!!

Josh est sidéré et déconcerté. Il questionne :

- Combien de bites t’ont baisée aujourd’hui ?

Les joues en feu, Amy répond avec honte :

- Tr… Trois… Maine je ne le voulais pas… C’est eux qui m’ont baisée !

- Putain, cette salope adore la bite ! C’est tout juste si elle nous supplie pas de la baiser maintenant ! Dit Josh avec enthousiasme.

Les yeux bleus de l’adolescente s’ouvrent en grand. Elle est incrédule et elle se dépêche de dire :

- Je ne voulais pas dire ça !

Les gars dans la voiture ne l’écoutent pas. Ils rient de la réflexion de leur ami Josh. Les deux étudiants qui encadrent Amy enlèvent rapidement sa jupe. Elle se débat vainement. C’est alors que Norm sort sa bite en érection de son jean. La situation devient hors de contrôle.

- OH MON DIEU ! MON DIEU, NE BAISE PAS MA CHATTE ! Crie Amy en se tortillant sur les genoux de Norm.

La bite de vingt centimètres touche son cul et se presse contre sa chair. Elle ne veut pas d’une autre bite dans sa chatte, si récemment abusée. Norm rit en l’entendant :

- Putain , cette salope dit qu’elle veut ma bite dans son cul ! Quelle grosse salope !

Avec l’aide de ses amis à côté de lui, il insère sa queue à l’entrée du petit trou de cul de la jeune fille. Celle-ci crie :

- NON !!!! OH MON DIEU !!!! JE NE VOULAIS PAS DIRE CA !

Peu importe ce qu’elle crie, la bite de Norm franchit le sphincter serré de la jeune blonde. Les trois gars guident l’adolescente qui se débat sur la queue épaisse. Amy se contorsionne dans tous les sens. Ses seins ballottent de haut en bas, ses hanches se tortillent et son dos se cambre d’avant en arrière. Mais elle peut bouger tant qu’elle veut, ça ne sert à rien. Elle s’enfonce centimètre par centimètre sur l’érection. Elle crispe instinctivement ses muscles pour empêcher l’invasion anale. Mais au lieu de ralentir l’intromission, cela lui donne la sensation d’être remplie complètement alors qu’il viole son petit cul serré.

- OH MON DIEU ! Oh putain… putain… putain… Gémit Amy en se rendant compte que son trou du cul ne sera plus vierge.

Heureusement pour elle, l’intérieur de la Camaro commence à être étouffant. Il n’y a pas de clim et tout le monde sur la banquette arrière commence à avoir chaud et à suer à cause des efforts faits. La sueur qui coule entre les jambes de la jeune fille aide à lubrifier l’entrée de la bite dans son trou du cul. Tandis que Norm commence à pomper lentement sa queue dans et hors de son cul, Amy commence à transpirer de plus en plus. Elle ressent des choses qu’elle n’aurait jamais imaginés en étant sodomisée. Mais, très vite, elle s’habitue à cette grosse tige dans son conduit anal. Même si la sensation est bizarre, pour une raison étrange elle commence à l’apprécier (ou du moins, son corps commence à apprécier).

Norm sent le changement chez la jeune blonde et il dit :

- Hé les gars, je crois qu’elle aime ça !

Tout le monde rit dans la voiture, sauf l’adolescente humiliée. A son grand désarroi, son violeur commence à la faire sauter de haut en bas sur sa bite avec de plus en plus d’intensité. Elle sent son cul tendu et étiré. Il est si plein. Elle sent bien la dureté de la bite qui la ramone sans pitié. Mais Amy est abasourdie, sa chatte commence à avoir des spasmes pendant qu’elle est bien enculée. Son corps semble répondre à cette sodomie forcée.

- OH PUTAIN, cette salope aime ça ! Merde, son trou du cul est trop bon ! Grogne Norm.

Il bouge ses hanches de haut en bas pour que la jeune fille blonde s’empale bien sur sa queue tout en couinant bruyamment à chaque descente.

C’est alors que Brian intervient :

- Passe-le moi mon pote !

Amy est confiée à Brian, et bientôt, malgré ses refus, elle se retrouve avec une deuxième bite dans son cul autrefois vierge. La queue de Brian fait bien elle aussi une bonne vingtaine de centimètres et un bon diamètre. Le garçon la baise tout aussi brutalement que Norm. Il n’en faut pas plus pour qu’Amy gémisse et soit proche d’un orgasme. Et dès qu’elle aura joui, l’adolescente sait que ça continuera.

Au début, Amy se tenait simplement sur les genoux de Brian, ses longues jambes ouvertes, découvrant de façon obscène la bite qui s’enfonçait dans son cul. Mais après quelques minutes, Brian pousse sa tête vers les bites de Norm et Tyler. La jeune fille est penchée sur leurs genoux et approche son visage de leur membre. Elle ne peut rien faire d’autre que ouvrir la bouche et accepter les deux tiges qui sont forcées entre ses lèvres pulpeuses. Les deux gars lui attrapent les cheveux pour guider son visage de haut en bas de leurs engins épais, faisant à moitié étouffer la jolie blonde. Amy ne connaissait pas le goût d’une bite sortant de son cul, mais elle n’a pas d’autres choix que de sucer et nettoyer les queues devant elle.

La jeune fille est abusée et maltraitée de cette façon pendant près de vingt minutes. Elle est enculée par une bite, puis une autre et encore une autre tout en étant obligée de sucer ou branler les autres bites avec sa bouche et ses mains. Cette séance débridée de sodomie sauvage finit par lui provoquer un énorme orgasme. Elle jouit violemment et sans avertissement, sa chatte crachant son jus. C’est alors que le traitement infligé à son corps nubile s’intensifie. Les gars commencent à jouer avec son clitoris et ils lui doigtent la chatte alors qu’elle continue à être enculée. 

Il ne faut que quelques minutes supplémentaires de cette baise débridée et continue pour qu’elle jouisse à nouveau. Les cinq gars semblent adorer qu’elle réagisse ainsi. Alors ils font en sorte de garder un rythme constant tout en l’enculant vigoureusement. Puis les gars sur la banquette arrivent au bout de leur résistance. Tyler, qui est en train de la sodomiser, pousse un grognement de bonheur alors que sa bite se crispe dans le cul d’Amy. Il se retient un moment et lâche un torrent de foutre profondément dans les entrailles de la fille. Celle-ci braille intensément avec une expression de désespoir sur le visage. Mais son corps la trahit et elle jouit de nouveau en sentant le sperme chaud se répandre dans son cuL ;

- PUTAIN QUE C’EST BON ! Crie Tyler triomphalement.

Ses amis se réjouissent avec lui alors qu’il soulève la frêle blonde et la dépose sur Norm, empalant son cul béant et dégoulinant sur la bite dressée. Lorsqu’elle sent la queue s’enfoncer dans son trou rempli de sperme, Amy laisse échapper un faible gémissement de désespoir alors que Norm la baise brutalement et rapidement. Le gars se sent proche de jouir lui aussi.

Amy a déjà joui plusieurs fois et l’intérieur de la voiture est chaud et moite. L’odeur du jus de la jeune fille a envahi l’habitacle. La Camaro s’arrête alors au bord de la route. Josh et Tony se retournent pour profiter du spectacle avec un intérêt croissant. Amy rougit en voyant qu’ils ont sorti leur bite et qu’ils se branlent en regardant leurs amis la violer.

Soudain Norm jouit et éjacule. Il déverse son sperme au fond du cul de l’adolescente. Il crie d’extase de concert avec Amy. La sensation de gicler dans ce trou du cul est incroyable et délicieuse. 

La jeune fille est alors passée à Brian qui enfouit bientôt sa bite dans son cul. Il la sodomise brutalement sans se soucier des suppliques de la blonde. Pour la faire taire, il pousse sa tête sur les genoux de Norm et Tyler. Elle est obligée de nettoyer leurs bites dégoûtantes recouvertes de sperme. 

- Putain les gars, regardez cette salope me sucer la bite ! Ricane Norm. 

- Ouais mon gars, cette nana est vraiment chaude et vicieuse ! Répond Tony en secouant la tête.

Amy voudrait protester, mais malheureusement elle étouffe sur la bite de Tyler au même moment.

- Ouais c’est ça, salope ! Aspire bien tout ! Bouffe le foutre qui reste sur ma queue ! Dit l’étudiant.

Les joues rougies par la honte, la jeune fille blonde avale le sperme sorti de son cul et qui tapissait la queue du gars. C’est alors que Brian éjacule et crache son sperme dans le cul d’Amy. Il se mélange au foutre de ses deux copains. Amy hurle encore à cette sensation. Elle ferme les yeux, les lèvres toujours enroulées autour de la queue de Tyler.

Ensuite, après que Brian l’eut obligée à nettoyer sa bite et avaler encore plus de foutre, les trois garçons sortirent du véhicule afin de laisser Josh et Tony s’installer sur la banquette arrière. Allongée sur le siège, Amy se redresse en sursaut en réalisant ce qui se passe.

- OH MON DIEU ! Pas plus… S’il vous plaît, pas plus ! Je ne crois pas que je puisse en supporter plus ! Implore la jeune fille.

Les deux gars lui sourient et déboutonnent  leur jean. Leurs yeux parcourent le jeune corps d’Amy. Ils admirent sa minceur, ses gros seins, sa chatte humide et son petit trou du cul d’où s’échappe du sperme. Josh secoue la tête :

- Merde ! Je parie qu’une salope affamée de bites comme tu l’es ne peut pas se satisfaire d’un seul homme, et encore moins de trois ! T’inquiète bébé, on va t’aider !

C’est au tour de la jeune blonde de secouer sa tête. Elle regarde les deux hommes avec ses grands et jolis yeux bleus. Puis elle supplie :

- Non ce n’est pas vrai, je ne suis pas une salope affamée de bites !

Mais les deux hommes ne l’écoutent pas et ils attaquent la jeune fille. Josh s’en prend à son autoroute anale, plongeant dans l’orifice béant avec une joie sauvage, sa grosse bite voulant une part de l’adolescente.

Pendant ce temps, Tony est de l’autre côté et l’étouffe avec sa queue qui racle le fond de la gorge d’Amy. Coincée entre les deux, leur proie ne peut qu’émettre des cris et des gémissements étouffés. Sa chatte continue à couler et l’adolescente jouit encore. Elle a complètement perdu le contrôle de son corps.

- UNGH… UNGH… UNGH… UNGH… UNGH… UNGH… UNGH… UNGH… !!! Grogne-t-elle.

Les deux copains se relaient de chaque côté de la jeune fille, la faisant tourner pour qu’ils puissent avoir l’accès à son cul ou sa bouche. Cette baise acharnée ravage la jeune femme, la poussant à bout. Le cerveau d’Amy s’éteint et elle n’est plus consciente que des émotions et des sensations les plus élémentaires : Les bites qu’on lui enfonce dans son cul et dans sa gorge, leur épaisseur, leur rigidité, leur poids et leur lourdeur sur sa petite langue ainsi que la chaleur qui s’en dégage. Elle remarque aussi d’autres petits détails comme la peau extrêmement douce de la bite qui contraste avec sa dureté, les veines bosselées et striées qui apparaissent à certains endroits. Mais surtout elle est consciente des saveurs qui l’envahissent : La puanteur et le goût de son cul combiné au foutre des trois autres hommes sont trop puissants. 

Après quelques minutes de sodomie et de fellation, merveilleuses pour les garçons, mais insupportables pour Amy, Josh et Tony sont prêts à éjaculer eux aussi. Alors qu’il l’encule violemment, Josh s’arrête subitement alors que sa bite est bien enterrée au plus profond de l’adolescente et son corps entier se tend. Le temps ralentit alors que sa queue crache des jets de sperme, l’un après l’autre dans les profondeurs des entrailles de la jeune fille.

Amy gargouille en réponse à la sensation d’être remplie de sperme au plus profond d’elle. Puis Tony grogne et jouit peu après son ami, incapable de se retenir plus longtemps. D’épais jets de foutre se déversent dans la gorge de la blonde qui ne s’y attendait pas. Elle s’étouffe sous la semence chaude de Tony, essayant d’en avaler autant qu’elle le peut alors que ce salaud continue de baiser sa bouche.

Au bout de quelques secondes, les deux gars se retirent enfin, leur bite ramollie et rassasiée. Tous les trois transpirent abondamment et l’intérieur de la Camaro empeste l’odeur du sexe. Tony et Josh se regardent et sourient, pensant tous les deux qu’ils ont eu beaucup de chance de trouver une fille aussi sexy et aussi salope pour s’amuser.

- Quelle pute ! Cette salope est vraiment bonne ! s’exclame Tony en frappant le visage d’Amy avec sa bite semi-dure.

Le foutre dégouline des lèvres de l’adolescente sur son menton et l’étudiant s’amuse avec sa bite à l’étaler sur la figure de la blonde.

- Arrête ça ! Dit Amy en colère, mais bien sûr il l’ignore.

Josh est tout à fait d’accord avec son ami.

- Totalement mon pote ! On recommence ?

Alors que le visage de Tony s’illumine, Josh s’attend à entendre des remarques des autres gars à l’extérieur de la voiture. Mais au lieu de ça, il remarque qu’ils fixent tous quelque chose derrière la Camaro.

C’est étonnant ! Qu’est-ce qui peut être plus intéressant pour une bande d’étudiants excités qu’une fille super sexy qu’ils viennent d’enculer ? Josh regarde par la lunette arrière et comprend pourquoi ses copains sont immobiles. Garée derrière leur voiture, il y a un véhicule de la police dont les feux clignotent sinistrement. Tout d’un coup la sirène retentit pendant quelques secondes avant de s’éteindre.

A suivre…

samedi 23 novembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 13

Texte de Ricki Black (2012)
*****

les salopes au sex-shop.

J’arrive à un moment idéal de mon aventure. Pour résumer, sur une incitation de la plus jeune fille des futurs beaux-parents de mon fils, j’ai fini par pervertir une bonne partie de cette belle-famille. La plus jeune et la mère sont sous ma coupe et sont prêtes à satisfaire le moindre de mes désirs sexuels, le père est maintenant sous le joug de sa maîtresse femme et est devenu son soumis sexuel.

Les événements allaient prendre une tournure inattendue, lorsque je reçus un appel de Virgile, le vigile du centre commercial. Il m’annonçait qu’il avait reçu la visite de mon ex-femme au centre. Qu’elle lui a raconté que la dernière séance de baise l’avait extrêmement troublée, bien qu’elle soit une femme très convenable, cette expérience avait réveillé en elle des désirs, jusqu’alors ignorés. 

- Bref, me dit Virgile, ton ex, elle est venue pour que je la baise !!

Cette révélation va alors engendrer dans mon esprit un déclic, et je me dis qu’il est grand temps de réunir toutes ces belles salopes à leur insu, et quel meilleur endroit que le sex-shop d’Al, mon pote. J’en parle à Virgile qui est toujours partant pour une expérience de baise. Il va devoir accompagner Brigitte dans le sex-shop d’Al, je pense qu’il n’aura pas de difficulté à la convaincre, s’il y a une bonne partie de queue en perspective.

J’appelle Al pour lui confier mon plan. Pour lui pas de problème, il me donne la date et l’heure vers laquelle il faut venir, car j’ai demandé à Al qu’il y ait des clients dans la boutique. Il me recommande de venir vers 20H00, il y a en général une dizaine de mecs à cette heure. Je lui confie qu’il y aura 2 femmes matures, dont une mariée et accompagnée de son mari soumis. De plus moi je serai aussi présent avec une jeune soumise. Al me répond :

-  OK alors je te réserve une surprise Michel, je pense que tu vas apprécier…

Nous actons le planning et nous donnons rendez-vous, que je confirme à Virgile. Pour ma part je m’occupe de Martine et Pierre, futurs beaux-parents de mon fils. J’ordonne à Martine d’emmener Pierre dans un sex-shop afin de lui acheter des articles dédiés à sa nouvelle condition de soumis. Je pense à un gode ceinture et une cagoule avec un gode intérieur et extérieur. Equipé de cet accessoire Martine va pouvoir se baiser et s’enculer sur lui. Bien sur Martine est partante et ne perçoit pas le piège que je leur tends. Je l’informe que je ne serai pas présent mais que je la confie à Al, le patron du sex-shop que je lui recommande et qu’elle devra lui obéir comme si c’était moi. Son enthousiasme retombe un peu, mais l’idée de soumettre Pierre dans un tel lieu la motive encore énormément. Je lui donne l’adresse, la date et l’heure.

Arrivé le grand jour, je stationne mon 4x4 à quelques rues du sex-shop, ne voulant pas éveiller le moindre soupçon chez Martine ou Brigitte. Je suis accompagné de Léa, la benjamine de la belle famille est une sacrée salope et très soumise à mes désirs. Je lui ai raconté que nous allions baiser dans un sex-shop et ses yeux s’étaient alors allumés d’une lubrique flamme.

Elle est habillée comme j’aime, une petite robe légère, courte et transparente, sans rien dessous. Un décolleté profond qui laisse presque voir les auréoles de ces tétons. 

Nous entrons dans la boutique, en écartant un épais rideau rouge qui obstrue le passage. Al m’accueille avec un grand sourire et salue Léa avec un :

-  Bonsoir belle demoiselle.

Il est 19H30 et je ne vois qu’un seul client.La pièce principale comprend des rangements sur trois murs, Sur deux, sont disposés les DVD présentés par genre, sur le troisième sont présentés les articles et objets sexuels. Godes en tous genres, accessoires SM. 

Le quatrième mur laisse la place à plusieurs cabines de visionnage. Al m’invite à choisir un DVD puis de prendre place dans une cabine. Je demande à Léa de choisir le DVD, alors que je me dirige vers les cabines. J’ouvre la porte et découvre un espace plutôt cosy et assez spacieux. Une banquette assez large en velours rouge fait face un écran grand format. Des boutons placés sous l’écran permettent d’avancer, de reculer, de ralentir le film choisi. Un détail attire mon attention sur la porte de la cabine. Une vitre sans tain l’équipe et une fois fermée je m’aperçois que je peux voir absolument tout ce qui se passe dans la boutique alors que je reste invisible à leurs regards. Je me dis que c’est la surprise d’AL.

Je m’installe, alors que Léa me rejoint dans la cabine. Nous refermons la porte et poussons le loquet verrouillant la porte. Léa me complimente pour le lieu et surtout l’idée de voir sans être vu. Il est 19H50 lorsque l’écran s’allume et je découvre le choix de Léa. C’est un film de Mario Salieri, producteur italien de talent qui met en scène des situations très excitantes de personnes qui se retrouvent piégées et humiliées par des hommes puissants armés de bites énormes. Le titre s’affiche ‘L’ENFER’. La première scène se passe dans un restaurant, une femme dîne avec son mari et une autre femme le chauffe. 

Léa s’est déshabillée et à ouvert ma braguette pour commencer à me masturber. En l’espace de 10 minutes, une dizaine d’hommes sont arrivés dans la boutique. Il est 20H05 lorsque Virgile entre accompagné de Brigitte. C’est Léa qui les voit entrer, elle me sert fermement la queue et me disant.

-  Tu es vraiment pervers mon Maître, en faisant venir ton ex avec Virgile, quel est ton plan cette fois ?

Je lui renvoie en lui fourrant mon index dans sa fente trempée :

- Mate et régale-toi petite salope, cette fois tu vas pouvoir voir cette pute se faire humilier.

Brigitte est habillée comme une bourgeoise salope. Un ensemble tailleur chocolat, des bottes hautes noires. La jupe est très courte et laisse aisément voir le haut de ses bas noirs, voire la peau blanche de ses cuisses. Léa ne loupe rien alors qu’elle me branle avec vigueur elle murmure :

-  Quelle salope ton ex, habillée comme ça elle va se faire violer… mais j’imagine qu’elle n’attend que cela.

Brigitte est devant Virgile et son entrée n’est pas passée inaperçue. Tous les clients ont relevé la tête, certains plus hardis que d’autres se sont discrètement approchés d’elle. Elle est maintenant face aux DVD et tourne le dos à Virgile qui est positionné à côté. Trois mecs se sont approchés et Virgile attrape le bord de la jupe courte de Brigitte pour la remonter doucement. Il découvre ainsi peu à peu les bas, puis les cuisses et enfin le cul bas de mon ex…

Je suis particulièrement excité par la situation et Léa le sent.

-  Ça te fait drôlement durcir de mater ton ex en train de s’exhiber devant cette bande de vicieux.

Brigitte ne bouge pas et accepte d’être ainsi exposée, pire Virgile saisit ses fesses et les écartent pour exhiber le splendide plug qui est planté dans son cul.

Les trois spectateurs ont extirpé leurs bites et commencent à se branler. Ils bandent tous comme des taureaux, Virgile alors entraîne Brigitte dans le coin de la pièce et lui ordonne de se mettre à genoux. Elle obéit, alors que les trois compères l’entourent en leurs tendant leurs grosses bites. Je peux apercevoir subrepticement une des queues lui remplir la bouche. J’adore. Virgile lui est toujours à côté et surveille. 

Léa scrute la scène et je perçois comme une jalousie dans son regard. Elle aimerait bien être à sa place, je le sens et lui demande. Elle me répond qu’effectivement elle n’a jamais sucé trois mecs en même temps… Alors que sa main continue à m’astiquer, le rideau rouge se soulève et laisse la place à Martine accompagnée de Pierre. Léa stoppe tout mouvement, complètement figée par ce dont elle est témoin. Sa bouche est entrouverte et sa respiration chaotique. 

-  Putain c’est pas possible !!! Qu’est-ce qu’ils font là ??? Michel tu as vu ce sont Papa et Maman, mais qu’est qu’ils font dans un sex-shop ? Mais je rêve ce n’est pas possible… je ne veux pas le croire.

Léa est dans une grande agitation et je dois la contenir pour pas qu’elle sorte.

-  Léa calme-toi. Calme-toi. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat. Ils n’ont pas commis un meurtre, ils viennent simplement s’encanailler un peu, ils ont le droit. Tu le fais bien toi alors ne les juge pas.

Mes mots ont un peu apaisé son angoisse, alors qu’elle a maintenant le visage collé à la vitre sans tain, dans la fébrilité de ce qu’elle va découvrir. 

Martine entre et va à la rencontre d’Al. Il se parle pendant quelques instants alors que Pierre est derrière sa femme tête baissée et silencieux. Puis il aperçoit dans le fond les trois hommes, mais il garde la position soumise. Al alors va chercher dans un tiroir des objets et les tend à Martine. D’où je suis je vois bien que ce sont un collier et une laisse de chien. Se retournant vers Pierre, elle lui demande de baisser la tête et lui positionne le collier sur le coup avant de l’attacher. Puis elle dispose la laisse sur l’anneau du collier. 

Léa est rouge de confusion et reste muette de consternation. Elle observe le moindre geste de ses parents et découvre avec effarement les jeux pervers auxquels ils s’adonnent. J’en profite pour lui fourrer mon index d’un seul coup dans l’anus. Elle gémit de plaisir et me dit de lui en mettre un autre. Je l’entends murmurer que ce n’est pas possible, il est soumis à ses désirs, cette salope a réussi à en faire ce qu’elle veut… Elle a profité de sa faiblesse… cette sale Pute… Je suis étonné par le raisonnement de Léa qui incrimine sa mère et détaxe son père sans même connaître encore les tenants et les aboutissants. Mais quelque part je vais pouvoir exploiter cette image qu’elle a de sa mère et lui démontrer qu’elle ne peut pas la renier.

Virgile observe Martine qui traverse la pièce en tenant son mari en laisse. Les autres clients matent également cette belle bourgeoise habillée de cuir. Pierre suit, honteux du regard malsain que les autres hommes posent sur lui. Martine les regarde avec dédain, certains se caressent par-dessus leur pantalon. On sent la tension monter lorsque Virgile demande à Martine de s’approcher. Mon plan marche on ne peut mieux. 

Léa suit les mouvements et commente.

-  Oui vas-y salope, il va te faire souffrir, et c’est bien tout ce que tu mérites d’humilier mon père comme ça.

J’en profite pour accélérer ma cadence et glisse un troisième doigt dans son anus. Elle est tellement excitée qu’elle le sent à peine. 

Martine ne s’est toujours pas aperçue de la présence de Brigitte, cachée par les trois hommes qu’elle suce avidement.Se positionnant à côté de Virgile, elle attache la laisse de Pierre au comptoir. Al alors s’adresse à Martine.

-  Ton Maître m’a dit que tu dois payer tes emplettes en nature, on est bien d’accord ?

Martine acquiesce de la tête.

-  Très bien, je dois du fric à cet homme-là, alors tu vas faire ce qu’il te demande, OK ?

Martine acquiesce de nouveau en se tournant vers Virgile. Pierre, lui, est livide et anxieux, il prend conscience que sa femme est en train d’offrir son corps à un énorme black pour payer une dette. 

Léa, elle, y va de commentaires crades.

- Tu vois je le disais cette une véritable pute, elle va se faire baiser pour du fric… J’espère qu’il va lui exploser le cul avec sa bite de cheval !

Les clients s’approchent lorsque Virgile ordonne à Martine de se déshabiller. Je vois dans son regard comme un tressaillement alors que son corps se crispe. Elle commence par ôter son haut en cuir et se retrouve torse nu, sa petite poitrine tendue et dressée par la peur. Les regards pervers se font plus inquisiteurs lorsqu’elle dégrafe sa jupe qui tombe au sol. Le regard de Virgile est humide du désir inspiré par de si belles courbes et je sais que dans son esprit à cet instant, il me voue des remerciements chaleureux. 

Martine est nue au centre du sex-shop, habillée de ses bottes et de ses bas noirs, son abricot à la vue de tous les mâles et devant son mari qui, effondré, reste tapi dans son coin.Les hommes font face à Martine et chacun d’entre eux a sorti sa queue et se caresse, exhibant leur gland gonflé, Virgile s’est approché d’elle et lui murmure quelque chose à l’oreille. La main de Martine alors se pose sur la braguette de Virgile, regardant les voyeurs d’un regard fixe et déterminé, elle descend la fermeture du pantalon et plonge sa main à l’intérieur, pour en extraire avec difficulté l’énorme verge noire déjà bien tendue. La main de Martine a du mal à en faire le tour. Pierre, lui, est pétrifié en voyant la taille du pénis, et s’enfonce encore plus dans le coin pour essayer de ne plus être visible. Mais c’est sans compter sur sa femme qui au vu du missile de Virgile en profite pour humilier son soumis.

-  Pierre regarde ce que c’est une bite d’homme, la tienne serait plutôt de l’ordre d’un gros clito de salope, d’ailleurs montre à nos amis voyeurs comment la nature t’a dépourvu, et ils vont comprendre pourquoi j’ai besoin de prendre leurs calibres dans mes trous.

Pierre s’exécute, honteux, mais moi je sais qu’au fond de lui, il aime ça et d’ailleurs on peut le constater lorsqu’il extirpe sa bite raide de son pantalon.

- Vous voyez messieurs, même quand il bande à mort il reste trois fois plus petit qu’une belle bite de black comme celle là !

Léa s’est figée en voyant son père exhiber ainsi sa bite. Elle observe avec un intérêt particulier et je la comprends. C’est quand même de cette queue qu’elle est sortie. Elle murmure à nouveau.

- Quelle salope, et en plus on dirait qu’il aime ça se faire humilier devant tout le monde. Regarde comme il bande comme un taureau. Moi je la trouve belle et désirable cette bite et ce n’est pas parce que c’est celle de mon père !!!

Tout ceci m’émoustille vraiment et je ne vais pas tarder à enculer Léa qui mouille comme une folle. Alors que Martine s’agenouille devant Virgile, le rideau rouge s’écarte pour laisser apparaître une créature de rêve. Al s’approche d’elle pour lui faire la bise, puis il lui murmure quelques mots à l’oreille. La belle inconnue regarde Pierre qui est dans le coin la queue à la main et, aux ordres de sa femme, se masturbe.

Elle est très grande, brune le visage fin mais un peu trop maquillé à mon goût. Elle porte une robe en cuir noire très moulante qui laisse découvrir ses généreuses formes. Une ample poitrine généreuse et pesante, une taille de guêpe, une chute de reins exceptionnelle mourant sur une large paire de fesses. De longues jambes gainées de noir et des escarpins. La femme sexuelle et troublante. 

Elle approche de Pierre qui mate toujours Martine ayant pris en bouche l’énorme pine de Virgile. Les autres spectateurs se sont rapprochés et se branlent devant elle. La belle inconnue est devant Pierre qui a cessé de se branler. 

-  Continue ! lui intime t-elle tout en dégageant ses seins de la robe en cuir.

-  Suce-moi les tétons en même temps, petite pute !

A ces mots Pierre plonge le visage dans l’énorme poitrine et reprend son branlage. De son côté Martine est maintenant entourée de cinq bites qu’elle suce à la chaîne. J’observe aussi Brigitte qui s’active également sur les trois clients. L’un d’entre eux n’y tenant plus la relève, se place derrière elle et lui glisse sa queue au fond de la chatte. Sous le coup de boutoir Brigitte crie, révélant ainsi à Martine qu’une autre femme est présente. 

-  Bien je ne suis pas la seule salope à me faire baiser ce soir ici !

Virgile profite de cette occasion pour accélérer les choses en invitant Martine à rejoindre justement sa voisine. Elle obéit en se redressant. Elle avance vers les trois hommes, se fraye un chemin et arrive devant Brigitte qui crie de plaisir. Martine stoppe net en voyant Brigitte, et Brigitte cesse de geindre.

- Toi ? Mais qu’est-ce que tu fais dans un tel endroit ? demande Martine estomaquée par l’apparition.

-  Bien je pourrais te renvoyer la question petite salope… Moi je suis venue me faire remplir les trous de foutres chauds et épais.

Abasourdie par la réponse de la future belle-mère de sa fille, Martine est décontenancée. Mais elle ne tarde pas à reprendre la parole. 

-  Eh bien moi je suis venue acheter des objets pour ma chienne Pierre, tu connais je crois, et le patron m’a demandé de payer en nature. Alors je ne me suis pas fait prier et je suis prête à payer même plus cher si je peux prendre de la grosse bite, comme toi grosse pute !

Et sur ces derniers mots elles se mirent à rire comme des folles. Virgile reprend le contrôle sur un ton ferme et sans équivoque :

-  Ça va les bourges, vous n’êtes pas au salon de thé ici, faudrait vous employer à astiquer nos queues, allez, ouvrez vos bouches qu’on vous les baise.

S’exécutant, les deux femmes complices se remettent à sucer les bites qui leur sont présentées, alors qu’elles sont maintenant encerclées par une dizaine d’hommes plutôt affamés.

Léa est sur le cul de voir les deux vieilles salopes devenir complices, alors qu’une heure avant elle leur aurait donné le bon Dieu sans confession. Mais comment cela était-il possible ?

FIN

jeudi 21 novembre 2024

Le voyeur - 5ème partie

Bande dessinée de Chris.

*****
FIN

mardi 19 novembre 2024

Chantage au lycée - Ch. 01

 Récit de GILLESBDX (2013)

*****

Les enveloppes.

Depuis qu'elle avait été nommée dans cet établissement, Noëlle n’avait pas eu de problème particulier. Après un premier poste en région parisienne, elle avait réussi à se rapprocher de chez elle en acceptant un poste vacant. C’était à un peu plus de 100 kilomètres de chez elle, mais c’était mieux que rien.
Elle était mariée depuis quatre ans et le travail de son mari les obligeait à rester séparés. Ici, tout se passait bien… Les élèves n’étaient pas trop difficiles, les collègues étaient sympathiques… Seul le proviseur lui faisait un peu peur.

Elle n’avait que 26 ans et était ravissante. Elle était blonde, avec des cheveux ondulés qui lui tombaient sur les épaules et avait des yeux gris envoutants. Sa croupe était incendiaire et sa poitrine arrogante. Les tenues, assez sages mais souvent moulantes, qu’elle portait, ne laissaient pas les hommes indifférents. Ce matin là, pourtant, un événement allait changer sa vie.

Juste après le cours qu’elle venait de donner à une de ses classes de seconde, elle passa par la salle des profs comme elle en avait l’habitude. Une enveloppe entièrement blanche se trouvait dans son casier elle la prit et l’ouvrit distraitement. En voyant son contenu, elle se figea sur place. L’enveloppe contenait une photo d’elle en petite tenue…

Elle sortit de la pièce très perturbée, au point qu’elle faillit renverser un de ses collègues. Elle s’isola et regarda le cliché plus attentivement. Il la représentait debout, vêtue d’un tanga et d’un soutien-gorge rouges très sexy. La très fine épaisseur de tissu ne cache en rien de larges mamelons rose clair et des tétons dressés et durs. C’était justement le modèle qu’elle avait acheté quelques jours plus tôt pour faire une bonne surprise à son mari qui passait la voir. Il n’y avait aucun montage : le corps était bien le sien. Le grain de beauté situé à droite de son nombril en était la preuve. En arrière-plan, on voyait le mur du petit appartement qu’elle louait dans le centre ville. Comment quelqu’un avait-il pu prendre cette photo chez elle sans qu’elle s’en rende compte ? Elle n’avait essayé la parure qu’une fois, le soir où son mari était passé et ensuite, elle l’avait soigneusement rangée dans son emballage.

Elle eut beau chercher, aucun mot n’accompagnait la photo. Pas la moindre trace de sa provenance non plus. Qui avait pris cette photo et pourquoi ? Qui l’espionnait ?

Elle pensa à un élève, réalisant une traque d’enfer et devenant l’idole des garçons du lycée en diffusant la photo hyper-sexy de la prof de SVT. Elle songea aussi que ce pouvait être un des ses collègues… Oui, mais lequel ? Mentalement, elle les passa en revue…

Il y avait bien Benoit, le prof de Maths qui la draguait un peu… Il était jeune et beau, mais elle avait mis les choses au point avec lui. Elle aimait son mari et n’avait aucunement l’intention de profiter de son éloignement pour se permettre quelques incartades.

Il y avait aussi Albert, le prof d’histoire géo, un vieux vicieux proche de la retraite et connu pour reluquer outrageusement le décolleté de ses élèves de troisième quand il passait dans les rangs. Cela lui ressemblait beaucoup plus… 

Elle resta sur cette idée et fut perturbée tout le reste de la journée.

Le lendemain, en salle des profs, une nouvelle enveloppe l’attendait Celle-ci la représentait entièrement nue à la plage. On voyait nettement ses fesses galbées, dorées par le soleil, et, là encore, il ne pouvait pas s’agir d’un montage. Son autre grain de beauté, celui situé sous la fesse gauche, était nettement visible. Cette année là, pour la première fois, elle avait osé bronzer entièrement nue sur les immenses plages de Gironde. Mais comment était-il possible que quelqu’un ait pu se procurer une photo de ses vacances ? Elle se mit à paniquer. Où voulait en venir celui qui lui remettait ces photos compromettantes ? Qu’allait-il lui demander ?

Cette fois, il y avait un petit mot avec la photographie. Il était dactylographié et elle ne pouvait en reconnaître l’écriture : « Venez demain nue sous votre chemisier transparent, sinon… ».

De plus en plus perturbée, elle passa une journée horrible. Le soir, en rentrant chez elle, elle téléphona à son mari. Elle voulait lui parler de ce chantage horrible. Elle avait besoin qu’il la rassure…

Lionel sembla ravi d’avoir son épouse au téléphone. Elle lui exposa la situation, mais il sembla prendre le problème à la rigolade.

— C’est surement une de tes soupirants, un collègue qui fantasme sur toi… Laisse faire, ce n’est pas bien méchant… 

— Mais tu ne te rends pas compte ! Et puis comment a-t-il eu ces photos ? 

— Il doit te suivre partout… Tu devrais fermer les volets. 

Noëlle se leva et alla baisser le store roulant.

— Ne t’en fait pas, lui dit Lionel. Quand tu sauras qui c’est, je viendrai lui casser la gueule ! 

— Oui, mais en attendant, je fais quoi pour le chemisier ? 

— Comme tu veux… Moi, je te trouve très bandante avec un chemisier transparent sans soutien-gorge… »

— Idiot ! lui répondit-elle seulement, un peu exaspérée. 

— Tu es habillée comment, là ? demanda Lionel. J’ai envie que tu m’excite !

— Je porte ma jupe plissée écossaise et un débardeur blanc… 

— Enlève-les vite ! Et dessous ? 

— Juste une culotte blanche toute simple, j’ai déjà enlevé mon soutien-gorge… 

— Allonge-toi sur le lit et retire la culotte ! Masturbe-toi et décris-moi ce que tu fais… Je veux entendre le clapotis de tes doigts dans ta chatte ! 

Noëlle s’exécuta et lui décrivit ce qu’elle faisait. Elle expliqua comment ses doigts frottaient ses lèvres un peu pendantes. Comment elle faisait pénétrer son index dans sa chatte largement lubrifiée. Comment elle pinçait les pointes de ses seins. Puis comment elle se mit à frotter vigoureusement son clitoris pour se faire jouir.

Le râle qu’elle entendit à l’autre bout du fil lui prouva que Lionel avait joui lui aussi. Ils échangèrent quelques mots tendres, puis elle raccrocha.

Elle passa la nuit à se demander si elle allait obéir aux exigences du maître-chanteur. Le matin, elle se leva, fatiguée par sa nuit. Quand vint le moment de s’habiller, elle resta un long moment devant le miroir de sa chambre. Elle était nue devant la glace et s’observait sous toutes les coutures. Ses cheveux mi-longs lui donnaient un air un peu sauvage. Sa toison était assez fournie aussi, mais Lionel aimait ça ! Ses seins étaient lourds et volumineux, 90C ou 90D selon les marques… Ils étaient en forme d’obus et les aréoles étaient roses. Les tétons pointaient presque tout le temps. La moindre excitation les dressait aussitôt.

Elle vit le grain de beauté à côté de son nombril et pensa immédiatement à celui situé sous ses fesses. Elle se contorsionna pour le regarder et resta en admiration devant son cul. Pour elle c’était son atout de séduction numéro un. Ses fesses étaient rebondies, un peu comme celles des africaines, mais elles étaient très blanches. Son dos cambré accentuait l’effet. Elle avait un cul à damner un saint !

Elle enfila une culotte, sa jupe et prit le soutien-gorge, hésitante. Elle regarda le chemisier transparent posé sur le lit et se dit que décemment elle ne pouvait pas le porter seins nus. Elle mit donc le soutien-gorge et partit travailler.

A cause des dentelles qu’on voyait par transparence, les garçons de sa classe étaient intenables. Mais au moins, on ne pouvait pas l’accuser d’attentat à la pudeur. Elle eut beau guetter les regards des élèves et des profs, rien ne lui permit d’avoir le moindre début d’un indice permettant d’identifier l’auteur des lettres.

En retournant dans la salle des profs juste avant de partir, son cœur se mit à battre. Une nouvelle enveloppe blanche était dans son casier. Elle l’ouvrit fébrilement et y trouva un mot. « J’avais dit sans soutien-gorge ! La prochaine fois, je diffuse la photo nue dans tout le lycée… »

Cette fois ce n’était qu’un avertissement. Elle poussa un ouf de soulagement, mais son apaisement ne dura pas. Le proviseur entra dans la salle des profs. Il tenait la photo sur laquelle elle était en petite tenue dans la main droite. Il s’avança vers elle et lui tendit le cliché.

— C’est à vous je crois Noëlle ? Je me suis permis de la retirer du panneau d’affichage de la salle des profs… Je ne vais pas vous retarder ce soir, mais demain matin, j’aimerais bien que vous me donniez quelques explications dans mon bureau. Je vous attends à 8 heures !

Sur ce, il tourna les talons et sortit de la pièce. Elle resta bouche bée, puis planqua rapidement la photo car un de ses collègues arrivait. Elle était dans de beaux draps !

(A suivre)

dimanche 17 novembre 2024

Qui suis-je vraiment - Ch. 09

  Récit de Realbluetit (2013)

*****

Nietzsche continue de souffler le chaud et le froid.

Malgré les évènements et les demandes diverses et variées, je n'en restais pas moins choquée ou honteuse. Choquée en fait de ce qu'on voulait faire de moi, et honteuse de le faire sans plus de résistance.

Je me demandais pourquoi je ne disais pas non. Il ne reviendrait sûrement pas sur sa décision de m'abandonner définitivement si j'exerçais le moindre refus face à ses volontés. Mais je n'en étais pas sûr et je n'avais nullement l'envie de prendre un tel risque. Et puis... j'aimais bien cette sensation d'être dirigée par un homme aussi sûr de lui.

Désormais, je jonglais entre des tenues plutôt sages mais fort féminines pour le travail, et ultra-sexy voire provocatrices avec mon maître. Cela me convenait très bien et je ne souhaitais pas trouver dans mes escapades sexuelles des relations professionnelles ou des proches. Je pense que Nietzsche en était bien conscient et faisait tout pour éviter de jouer avec moi dans le quartier ou au travail.

Nous primes une semaine de congé début avril pour aller au ski. J'eus à cette occasion très peur car j'appris quelques jours plus tard que mon patron partait lui aussi dans cette station heureusement assez vaste pour ne pas nous y rencontrer. C'est ce qui arriva par bonheur pour ma double vie.

Ces vacances furent en tout cas très chaudes malgré le temps toujours hivernal en ce début de printemps. En effet, Nietzsche décida de me partager à nouveau avec ses compères Fabrice & Jean. Mais leurs exigences se firent attendre.

Pendant les 3 premiers jours, je profitais alors à fond pour skier à ma guise. Ce qui était intriguant c'est qu'ils ne portèrent aucune attention à mon égard, ni geste ni regard.

Au cours de ces vacances ils décidèrent de pique-niquer sur les pistes. Idée fort sympathique car ainsi on profitait au maximum de nos journées sans s'entasser dans les restaurants d'altitude. Mais le quatrième jour après un déjeuner accompagné d'un petit bordeaux, ces messieurs redevinrent grivois et graveleux. Nietzsche dit :

—  Laurence, cela fait bien longtemps que tu ne nous as pas dévoilé ton anatomie. Je me trompe ?

— Il ne faut pas exagérer, il n'y a que quatre jours de cela.

— Il a raison, on va finir par oublier qui tu es ! Dit Fabrice.

— Tiens, j'ai même oublié tes surnoms. J'aimerais vivement les entendre et de vive voix afin que les éventuels guetteurs puissent entendre. Ajouta Jean.

— Je suis votre petite soumise, votre salope, c'est bien cela..

— Un peu rebelle et je trouve trop d'assurance dans le son de ta voix ! Dit fabrice

— Ne t'inquiètes pas elle va vite perdre cette douce assurance pour redevenir la fébrile soumise qu'on aime tant. Le petit dessein que nous avons à son égard est idéal en cela. Lui répondit Nietzsche.

— Mais qu'est ce que vous manigancez ?

— Arrête de réfléchir et désape-toi immédiatement en enlevant ce fuseau qui moule si bien ton petit cul. Demanda Jean.

— Oui et voyons ce quelle porte comme dessous quand on ne lui demande rien !

Comme exigé, mais les joues pourpres, je me levai et de manière maladroite en raison de la neige je défis mon pantalon de ski. Ils purent dès lors admirer mon Tanga en dentelle noir. Pour me mettre mal à l'aise, ils me sifflèrent comme les matelots le long des quais selon certains clichés cinématographiques. Nietzsche m'ordonna :

— Mets-toi à quatre pattes qu'on matte ton fessier avec sa guirlande noire.

— Et profites-en pour te caresser l'entrejambe afin de te réchauffer le minou ! Ajouta Fabrice.

Mon assurance avait bel et bien disparu. Je me mis en position, inquiète par ce qu'ils avaient en tête et effrayée que des gens m'aperçoivent ainsi.

L'attente pour mon supplice ne fut pas longue. Sans prévenir Nietzsche prit ma culotte et la descendit brusquement jusqu'à l'inflexion de mes genoux. Puis d'une main il écarta les lèvres de mon sexe pour de l'autre y introduire de la neige. Le froid me saisit au point de gémir, mais Fabrice m'ordonna immédiatement de me taire ce que je fis sur le champ.

— Au lieu de crier tu devrais te préparer pour la suite car cela n'est qu'un hors d'œuvre !

— Il a raison Laurence... tu vois cette stalactite, et bien tu vas la sucer. Comme cela, cela te fera oublier le froid qui secoue ton bas-ventre.

— Mais ce n'est pas de ma faute, c'est le froid qui m'a brûlé le sexe et puis je n'étais pas prête.

— Alors tu n'as pas fini de crier car je vais te remplir ton con de neige.

— Mais surtout tu as intérêt à bien sucer cet embout de glace et par-dessus tout en arrondir l'extrémité !

— Pourquoi cela?

— Parce que ce pieu va servir à enfoncer la neige dans ta chatte. Tu comprends ?

— Non s'il vous plaît, je vous ferais pleins de gâteries en échange mais pas cela. Je suis frileuse et je vais prendre froid.

— Quand on est chaude comme toi il n'y a que la neige pour calmer tes pics de chaleur.

La messe était dite, et Fabrice sortit son sexe raide de part l'excitation de ce scénario tandis que Nietzsche me caressait la tête tel un chien pour le féliciter de son comportement, et plus particulièrement de mon ardeur à préparer ce bâton de glace.

Au bout de cinq minutes, j'avais le vagin remplit de neige, quand Nietzsche me planta sans coup férir le mandrin glacé dans mon anus.

Excité, que dis-je surexcité, Jean sortit son sexe et me le fit lécher, alors que Fabrice investissait mon sexe avec sa verge afin comme il se plut à le dire, de faire fondre laneige. La sensation de brûlure laissa place à une douce sensation de chaud et froid.

Nietzsche, quant à lui, se mit à bouger le pic de glace pour activer mon plaisir. Je commençais à haleter mais mes petits cris étaient étouffés par le bâillon de chair de Jean. Ce dernier céda sa place à Fabrice qui se précipita et me fit avaler sa chaude semence tandis que Jean au fond de mon vagin s'agitait fermement afin de prendre son pied.

Je finis par avoir des secousses et jouir en raison des multiples assauts. Mes muscles se comprimèrent autour du membre de Jean, ce qui eu pour effet de déclencher sa jouissance. Il sortit ensuite sa bite en berne de mon antre.

Quelques instants plus tard, perdue, le regard dans le vide, ne voyant plus mes compagnons, je me relevai et voulus naïvement extraire le plug de glace, avant de rajuster ma culotte et mon fuseau. Sans attendre plus longtemps mon maître d'un geste ferme m'empêcha d'ôter l'objet.

Au même moment Fabrice valida définitivement la décision en remontant le Tanga le plus haut possible jusqu'à faire rentrer le tissu dans ma raie. De fait, le pieu de glace coulissa de nouveau dans mon anus ce qui déclencha un éclair de plaisir tout au long de ma colonne vertébrale.

Je dus par la suite skier pendant une heure tout en étant sodomisée par cet engin. Ces messieurs ne se génaient pas pour m'obliger à plier les jambes ou à me courber afin que je profite à fond de ce membre. J'avais du mal à me concentrer, mon visage était rouge de honte d'anxiété... de plaisir aussi, mais où allaient-ils chercher des idées pareilles.

Après une heure de supplice, ils compatirent et me proposèrent de l'enlever mais pour ce faire, je dus, au cours d'une montée en œufs, baisser à nouveau mon pantalon de ski ainsi que ma culotte. Le reste de stalactite sorti, ils me forcèrent à coller mes fesses à la fenêtre afin d'être vue de tout skieur ayant la tête en l'air tandis que je leur taillais des pipes.

L'enjeu était de remonter mes affaires que si l'un des trois arrivait à éjaculer, tout en maintenant les deux autres queues excitées. Heureusement pour moi que ce remonte pente était long car ce n'est qu'au dernier pylône que Jean me récompensa à nouveau en déversant son jus sur mon pull. Je m'empressai de me rhabiller mais en contrepartie je finis la journée avec cette belle preuve de mon attrait pour le sexe.

Le reste de la semaine fut plus calme. Certes je fus obligée de préparer des repas nue ou servir en me déhanchant pour faire ballotter mes seins. Bien sûr les voisins étaient invités au spectacle puisque les rideaux étaient plus qu'entrebäillés, mais il semblerait que le ski fatigue car mes compagnons ne virent aucun « observateur » aux fenêtres.

Quant au reste, rien de plus classique que de partager mon corps avec trois hommes prêt à me soumettre à leurs envies les plus folles... voire tout simplement à me soumettre.

 ***

Les vacances étaient finies, bien trop rapidement à mon goût, je retrouvai mon fils que j'avais envoyé en colonie. Quant à Nietzsche, je n'eus pas de nouvelle de lui pendant deux semaines. Mais je n'étais pas inquiète car il avait apprécié mon obéissance durant cette semaine au ski.

Un mardi soir donc, Nietzsche m'appela pour m'avertir que je devrais m'habiller de manière sensuelle demain pour aller travailler, car nous irions manger ensemble le midi. J'étais mal à l'aise car je vous l'avais dit, j'aimais bien séparer mes frasques sexuelles de ma vie professionnelle. Cette gêne, Nietzsche la ressentit, et pour me rabaisser un peu plus se moqua de moi et de mes manies de vieille fille alors que quelques instants plus tard je n'étais qu'une dévergondée.

— Je veux que tu portes la robe que nous avons achetée ensemble dans la petite boutique ! Dit Nietzsche.

— Mais elle est transparente et si quelqu'un tire par mégarde sur la cordelette d'en haut, tout le monde va voir ma poitrine.

— Et tu oublies si quelqu'un tire sur la cordelette au niveau des hanches c'est ta foufoune que tu va exhiber. De toute façon tu ne risques rien puisque ton abricot est tout lisse. N'est ce pas ?

— Euh ... oui il est comme tu le souhaites mais je ne peux pas... pas dans le cadre du travail.

— Non mais ? tu t'opposes à mes ordres ou quoi ?

— Non, mais c'est que mon chef n'est pas insensible à mes charmes et si je me montre ainsi il va vouloir me... me... me sauter... voilà!!!

— Bon pour te faire plaisir je t'autorise à mettre des bas noirs et un porte-jarretelles noir comme cela le noir sur le noir cela se verra moins. Et comble de générosité, je t'autorise à mettre un soutien-gorge, mais je veux qu'il soit en dentelle pour souligner ta belle poitrine

— Mais c'est pire que tout, la transparence va faire qu'il va pouvoir voir quel type de dessous je mets. Et en plus comme je ne porte que des strings désormais voire des culottes Tanga il va considérer que je n'attends qu'une chose... lui.

— Va te préparer comme je le veux sinon je risque de changer d'avis et ce sera avec porte-jarretelles mais sans string ni soutien-gorge. Et là, il verra que tu es une dévergondée de première.

— D'accord maître mais...

— Il n'y a pas de mais. Et puis tiens tu m'as énervée. Donc pour la peine je t'appellerai dans la matinée, et tu auras cinq minutes pour ôter ton soutif et ta culotte. Pour m'assurer de ton obéissance tu devras prendre une photo avec ton mobile et me l'envoyer sur le champ.

— Mais je ne sais peux pas prendre une photo de moi en tenant l'appareil de ma main.

— Tu as un système retardateur... donc tu poseras ton mobile sur la table et tu montreras ce que donne ta robe sans tes sous-vêtements. Et puis tant qu'on y est, tu tireras sur la cordelette pour relever celle-ci au niveau de tes hanches et montrer ton mont de vénus.

Sur ces mots il raccrocha. J'étais anéantie, je n'osais plus rien dire de peur d'avoir à faire des choses pires durant cette journée. Je partis dans ma salle de bain telle une zombie pour m'épiler le sexe. Je n'avais pas envie de me faire réprimander pour avoir une pilosité naissante. Qui sait ce que je devrais faire en plus ?

J'appliquai donc de la cire sur mon pubis puis sur mes lèvres et autour de mon anus. Je tirai d'un coup la cire une fois celle-ci refroidie. Passé la douleur, je regardai ma peau de nouveau imberbe et rougie. Pour finir je passai de la pommade pour apaiser le feu de mon bas ventre et allai me coucher pour tenter de dormir malgré l'angoisse de ce que j'avais à faire le lendemain.

Le mercredi matin donc je pris ma douche puis allai dans ma chambre pour prendre les dessous que je devais porter. Je commençai par les bas noirs. Je pris des bas coutures, je ne sais pourquoi. Dans ma tête c'était le classique avec des porte-jarretelles. Comme cela si un amateur de dessous voyait mes sous-vêtements grâce à la transparence de la robe, il pourrait croire que j'étais une vieille fille, une de ces filles qui aime les vêtements des années 30.

En clair j'essayai de trouver une histoire pour diminuer mon angoisse d'être vue dans une telle tenue. Les bas une fois attachés au porte-jarretelles en dentelle noir, je remontai mon string lui aussi en dentelle noire. La dentelle permettait d'apercevoir ma peau, mais difficile avec une robe par-dessus de pouvoir voire mon intimité... enfin je l'espérais et n'avait pas envie de me regarder dans le miroir de peur d'être contredite par les faits.

Ensuite, j'agrafai mon soutien-gorge dont les bouts rouges ressortaient de cette satanée dentelle noire. Enfin, j'enfilai la robe maudite avec ces deux cordelettes que j'appréhendais tant. La transparence n'était pas aussi forte que je le craignais. En fait, le contre-jour était à proscrire, car dans ce cas là effectivement elle était très transparente et dévoilait automatiquement tous les dessous.

J'arrivai donc au travail très tôt afin de pouvoir partir à la première heure, et ainsi avoir à côtoyer mes collègues le moins de temps possible. Malheureusement pour moi, mon chef était déjà présent et semblait de forte mauvaise humeur. M'apercevant de loin il m'appela cinq minutes plus tard et me convoqua dans son bureau. J'étais tout bonnement terrifiée. Pourquoi voulait-il me voir ? Qu'avais-je fait de mal ? Allait-il s'apercevoir de la tenue que je portais ? Cela tombait en tout cas au plus mauvais moment cet entretien.

J'arrivai donc dans le bureau de mon chef qui me demanda de fermer la porte puis de m'avancer. Son visage sévère ne laissait rein présager de bon.

— Avancez Laurence, venez devant mon bureau.

— Qu'y a-t-il Monsieur ?

— Vous savez je suis quelqu'un de tolérant et ouvert, mais je n'aime pas les personnes qui mélangent travail et plaisir.

— Je comprends tout à fait... mais je pense que je n'ai pas commis d'erreur Monsieur.

— Quand je vois la tenue d'aujourd'hui vous comprendrez que j'ai des doutes ??? Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai demandé de venir.

— Pourquoi alors Monsieur ?

— Penchez-vous au-dessus de mon bureau je vais vous montrer quelque chose.

— Mais c'est que je porte une robe et ce serait génant si quelqu'un arrivait.

— Ne vous inquiétez pas il est très tôt. Ce que je vais vous montrer mérite toute votre attention.

— Mais c'est qu'on va voir mes cuisses.

— Bon Madame je ne peux rien voir vu que je suis devant vous et personne ne viendra.

Rassurée par ces propos, mais aussi craintive car je sentais que je commençais à l'énerver, je me penchai et sentis la robe remonter au niveau de l'attache de mes porte-jarretelles. Je fis comme si de rien n'était mais j'avais envie que le point se finisse vite.

— Vous voyez ce dossier sur mon bureau.

— Oui ???

— Je viens de le créer vendredi suite à un courrier reçu. Et c'est le genre de dossier qui mérite d'être traité avec sévérité et énergie.

— Mais sur quoi porte t-il ?

— Ouvrez le et vous comprendrez mieux !!!

Sans attendre j'ouvris la couverture carton. C'est alors que je découvris la photo de jambes gainées de bas et porte-jarretelles mais sans culotte dans un lieu ressemblant à l'identique à mon bureau. Certes mon anonymat était préservé mais on devinait clairement qu'il s'agissait de mon bureau et les chances d'une pure coïncidence étaient infimes.

J'étais blême, et je n'osais pas sortir mon regard de cette photo de peur de croiser celui de mon Patron.

— Vous comprenez mieux mon point Laurence ?

— Euh ! oui je peux comprendre...

— Regardez-moi dans les yeux et parlez plus fort je ne vous entends pas très bien.

— Je... je... ne... ne sais quoi dire Monsieur.

— Et bien regardez la suite des photos.

Comme exigé je poursuivis la découverte des photos qui étaient de plus en plus explicites. Je ne me rappelais pas avoir fait tout cela mais il n'y avait aucun doute c'était bien moi lors de mes gages au début de ma relation avec Nietzsche. Et puis tout d'un coup la dernière photo me montrant en train de pratiquer une fellation, avec mon visage en gros plan.

— C'est bien vous, n'est ce pas ?

— Oui patron.

— C'est bien de l'avouer. Bon j'ai deux solutions Madame. Soit vous démissionnez sur le champ, soit nous nous arrangeons entre adultes consentants.

— Je ne le referai plus vous savez, c'était une folie de ma part et...

— Je ne peux pas prendre le risque Madame, donc si c'est cela j'attends votre lettre de...

— Non !!! Je préfère que nous trouvions une autre solution.

— Mettez vos coudes sur le bureau.

— Comme cela Monsieur ?

— Oui. Que voyez-vous là ?

— Une règle en plastique.

— Et en dehors de faire des traits que peut-on faire avec ?

— Donner des coups ?

— Et bien, c'est que je vais faire sur vos fesses. Bon remontez votre jupe que je vois votre petit cul.

Je fis comme demandé et relevai ma jupe afin d'exhiber mes fesses fendues du string dentelle.

— C'est ce que j'avais cru entrevoir, vous êtes vraiment une délurée... que dis-je, une salope. Je crois que je vais aller plus loin avec vous qu'une simple fessée ? N'auriez vous pas un penchant pour la soumission Laurence ?

— Ne dites pas cela Monsieur !

— Bon, commençons la punition.

Sans plus attendre, la règle tomba sur mes fesses. La douleur fut vive mais tenable et je pus me contenir. C'est alors que le téléphone sonna.

— Très amusant cela. Vous allez immédiatement répondre pendant que je continue de vous fesser.

— D'accord Monsieur Bernard !

— Et bien répondez !

— Bonjour !

— Bonjour Laurence, c'est ton maître. Il est l'heure de faire ton strip-tease. 

— Mais c'est que je suis...

— Pas question, tu as cinq minutes pour envoyer la photo. 

Bip Bip Bip...

— Monsieur Bernard j'ai une faveur à vous demander.

— A oui et laquelle ?

— En fait je suis soumise à un homme qui me demande d'ôter mes sous-vêtements et de lui envoyer une photo témoignant de cela. Puis-je le faire ?

— De mieux en mieux, une belle salope soumise. Bon je suis d'accord mais après je vais me rembourser en nature.

Je me relevai et aussi vite que je pus, j'ôtai mon string et mon soutien-gorge.

Bernard me les confisqua immédiatement disant que j'étais plus belle ainsi. Voyant les deux cordelettes et soupçonnant la mine d'or qu'il avait devant lui, il me demanda de tirer sur les cordelettes. J'étais au fond du puits sans aucune autre échappatoire que de montrer à mon chef que j'étais une femme des plus soumise et dépravée qui soit.

Je tirai donc sur les cordelettes l'une après l'autre ce qui eût pour conséquence de dévoiler mes seins puis mon abricot tout lisse. Bernard était aux anges et après avoir photographié le beau tableau puis envoyé la preuve à mon maître, il me demanda de reprendre ma position accoudée sur le bureau afin qu'il me prenne par derrière.

J'entendis sa fermeture éclair s'ouvrir et son corps être tout proche du mien. C'est alors que son sexe dur et chaud se présenta aux abords de mes lèvres en feu. Il traîna son membre le long de mon sexe puis sans avertissement s'enfonça d'un trait. J'en eus le souffle coupé, mais cela ne l'empêcha pas d'aller et venir avec vigueur dans mon vagin. Mon bas ventre était en émoi et je n'arrivais plus à cacher mon plaisir, quand tout d'un coup quelqu'un frappa à la porte.

Je voulus me retourner mais mon patron me l'interdit.

— Qui c'est ?

— Hermès le message divin.

— Entrez ! Et toi reste ainsi !

L'inconnu restait derrière moi et ne disait mot. En fait Bernard reprit ses pénétrations musclées ce qui remplaça l'angoisse d'avoir un inconnu m'observant par un diffus plaisir. Il sortit de mon vagin quelques instants plus tard pour faire le tour du bureau et positionner son sexe devant mon visage. Je compris le message et ouvris ma bouche afin d'accueillir son membre raide. Pendant ce temps là, disons qu'Hermès le remplaça et me pénétra. Mais il ne resta que peu de temps dans mon con. Il préféra changer d'issue et donc me sodomisa quelques instants plus tard.

J'étais prise par deux hommes qui trouvèrent que leurs sexes ne suffisaient pas à ma déchéance. Ils se mirent avec leurs mains à l'un, triturer mes seins et l'autre, me doigter. Je haletai sous leurs pénétrations et attouchements et il ne fallut pas longtemps avant que mon corps explose de plaisir.

Mon patron profita de cet instant pour éjaculer dans ma bouche tandis qu'Hermès prit un malin plaisir à tirer mon bas pour déverse sa semence sur ma cuisse. Affalée sur le bureau, les jambes écartées et tremblantes, j'avalai avec joie le cadeau de mon nouvel amant.

C'est alors qu'Hermès me fit face avec un sourire radieux. Hermès n'était autre que Nietzsche et d'une voix calme m'informa que désormais je pourrais jouir de mes penchants même dans le cadre de mon travail. Donc chaque semaine Bernard pourrait communiquer à Nietzsche ses désirs à mon égard. Libre à lui de me pousser ou non dans ses bras.

Quant au reste de la journée je finis sans sous-vêtement ce qui ne manqua pas d'attirer l'œil de certains collègues qui ne savaient si leur vue leur jouait des tours.

FIN