Traduction d'un texte de 62_goo
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Je m'appelle Jody Morrison. Je suis mariée à James, l'homme le plus merveilleux et le plus doux du monde. Je l'aime profondément. Nous avons un enfant, Bonnie, une fille de neuf mois.
Nous sommes une famille classique. Mon mari apprécie son travail donc il a obtenu des promotions rapides. Il est le directeur régional d'une chaîne de magasins d’électronique. Il est donc obligé de voyager, mais il est absent la nuit que lorsque c'est nécessaire.
Notre vie sexuelle est merveilleuse. Mon mari est un amant doux et attentionné. Son but principal est de s'assurer que je suis satisfaite. Même après l'arrivée de notre fille, il a toujours compris mes besoins. Il a été très prudent et doux lorsque nous avons fait l'amour pour la première fois après la naissance.
J'ai tout ce que je veux, mais je suis prête à tout abandonner en un instant.
Très jeune j'ai compris que j’étais une personne soumise. J'ai eu des petits amis qui l'avaient compris et qui ont pris un grand plaisir à m'humilier en public. J'avais tellement honte, mais ça m'excitait énormément.
J'ai rencontré mon maître il y a deux ans. Je me promenais sur internet dans des salles de chat BDSM, quand j'ai trouvé un homme qui semblait pouvoir être le maître auquel je pouvais appartenir. J'ai commencé à dialoguer avec lui et nous avons découvert que nous vivions dans la même ville. Immédiatement nous avons débuté une conversation en privé. Dès le début, il m’a ordonné de me déshabiller.
J’étais chez moi, sur mon ordinateur portable. C’était tôt le soir et mon mari allait bientôt rentrer. Bonnie faisait la sieste. Ma chatte était humide. J'ai enlevé tous mes vêtements.
L'homme a alors écrit : « Prends une photo et envoie-la moi ! MAINTENANT ! »
J'ai fait ce qu'il voulait. Ma chatte dégoulinait d'excitation.
« Très bien salope » fut son prochain message suivi immédiatement de « Maintenant filme-toi en train de te masturber et envoie-moi l'enregistrement ».
J'ai tout de suite obéi. J'ai allumé la caméra vidéo et j'ai commencé à me toucher. Il ne m'a pas fallu longtemps avant d'avoir un orgasme. Il fut un des plus intenses depuis mon mariage. Ensuite, j’ai posté le film avec mon prochain message.
« Bien salope ! Tu peux te rhabiller, je te contacterai demain. »
Et ce fut tout. En moins de dix minutes, cet homme m'avait ordonné de me déshabiller et de me masturber, et j'avais obéi. C’était excitant. Je venais de finir de m'habiller quand j'ai entendu la voiture de mon mari. J'ai nettoyé du mieux que j'ai pu. Bonnie se réveillait alors je suis allée la chercher. James mon mari était dans le salon quand je suis revenue avec notre fille. Il m'a embrassé sur la joue et a pris notre bébé.
Notre soirée fut relativement normale, même si je ne pus m'empêcher de penser à l'homme d'internet. Après avoir mis Bonnie au lit pour la nuit, James et moi étions trop fatigués pour faire l'amour. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.
Le lendemain, dès que James fut parti travailler, je me suis mise sur mon ordinateur. Et bientôt j'ai reçu un message :
« Salope, sois à l'adresse 1640 Mouton Drive avant 9h30 ce matin. Tu ne porteras rien sous une robe moulante. Et tu seras épilée. Je veux que tu sois maquillée comme une salope. Ne sois pas en retard et apportes des vêtements de rechange avec toi ! »
J'ai regardé l'horloge, il était presque 8h30. J'avais un peu plus d'une heure pour me préparer et me rendre à ce rendez-vous. Mais j'ai commencé à paniquer, il me faudrait plus d'une heure pour m’épiler et m'habiller. Je savais quelle robe j'allais porter. Je possédais une robe de soirée bien serrée qui faisait bien ressortir mes courbes.
Je me suis douchée et épilée en un temps record. Je me suis maquillée aussi rapidement, yeux sombres et fumés, beaucoup de fard à joues et un rouge à lèvres rubis. Je suis montée dans ma voiture et je suis partie pour ce rendez-vous. A mi-chemin, j’ai réalisé que je n'avais même pas pensé à ne pas y aller. En fait, ma chatte dégoulinait par anticipation.
Je suis arrivée à l'adresse et je me suis retrouvée devant un manoir. J'ai garé ma voiture et je me suis avancée jusqu’à la porte d’entrée. Avant que je ne puisse frapper, elle est ouverte par le plus bel homme noir que je n'aie jamais vu.
- Bienvenue chez moi salope ! Tu es juste à l'heure ! Entre ! Donne-moi tes clés de voiture, va dans la pièce là, enlève ta robe et agenouille-toi face au bureau, les mains dans le dos !
J’ai fait ce qu’il m'a demandé et j'ai attendu ce qui m'a semblé être une éternité. Puis j'ai entendu la porte se fermer. J'ai senti qu'il était juste derrière moi. Il m’a chuchoté à l'oreille :
- Bonne salope !
Sur ce, il m'a menottée. Puis il m’a fait plier à la taille jusqu’à me faire poser le front sur le sol. J’ai senti ses mains sur mes fesses qu'il a retirées cinq secondes plus tard. J'ai entendu un bruissement et quelques instants après mon cul a ressenti une grande douleur. Il m'avait fouettée. Je savais que je n'aurais pas dû pleurer, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.
- Ne pleure JAMAIS en ma présence salope. Tu viens de mériter une raclée.
Il m'a fouettée encore et encore. J'ai rapidement perdu le compte du nombre de fois où il m’a frappée. Mon cul était en feu, mais ma chatte dégoulinait. Il l'a vu quand il a fini de me punir. Il a doucement joué avec ma chatte jusqu’à ce que j'aie un orgasme massif. Je pense que je me suis évanouie, mais je sais que j'ai giclé sur sa main.
Quand j’ai repris mes esprits, il a mis sa main près de ma bouche. J'ai compris qu’il voulait que je nettoie sa main de mon jus. Je l'ai fait avec empressement, en léchant sa paume et en suçant ses doigts un par un.
- Bonne petite salope ! Dit-il.
Je rayonnai de joie.
- Maintenant suce ma bite ! Et ne laisse pas une goutte s’échapper.
Il a baissé son pantalon et j’étais face à une énorme queue noire. Elle mesurait bien 25 centimètres et elle était aussi épaisse que mon poignet. J'ai engouffré son membre avec impatience. Je l'ai sucé en essayant d'en prendre le plus possible dans ma gorge. Ça m'a pris du temps, mais j'ai réussi. Puis il a donné des coups de reins. Chaque poussée a cogné son ventre contre mon visage, durement. Ma gorge était en feu, mais j'ai adoré ce traitement. C’était ma place. C'est ainsi que je devais être traitée. J’étais sur le point de jouir sans que l'on touche mon sexe.
Soudain, l'homme s'est raidi et a poussé encore plus fort sa bite dans ma bouche. Puis des litres de sperme sont descendus directement dans mon gosier. Je n'en ai pas perdu une goutte. Quand il s'est retiré, j'ai suivi sa queue pour la nettoyer. Je voulais qu'il me baise brutalement alors j'espérais qu’il continue de bander.
Il m’a contourné et a fourré sa bite dans ma chatte. J'ai gémi de bonheur alors qu’il me pilonnait. Il était brutal. Il m’a traitée comme une poupée de chiffon. Il m’a baisé plus violemment que ce que j'ai connu auparavant. C’était animal et j'ai aimé chaque minute de ce traitement.
Soudain, il a ralenti et a demandé :
- Qui est ton Maître ?
- Vous.
- Que vas-tu faire pour moi ?
- Tout ce que vous me demanderez.
- N'importe quoi ?
- N'importe quoi. Je serai votre putain. N’arrêtez pas ! Je ferai n'importe quoi pour que vous me fassiez. Je ferai tout ce que vous voudrez.
- Tu feras tout ce que je te dis ? Même si je veux donner ton cul de salope ?
- Oh oui, je vous en prie, faîtes de moi une pute. Faites-moi baiser par n'importe qui, du moment que vous me baisez aussi.
- Tais-toi salope ! Je te baiserai si ça me plaît, pas si tu le souhaites. Tu es là pour mon plaisir, et seulement pour le mien.
- Je comprends Maître, je ferai tout ce que vous me demanderez. Je me consacrerai à vous et à votre plaisir. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec moi.
- Ne parle plus de toi en disant « je ». Tu n’es plus rien. Tu parleras de toi à la troisième personne, compris ?
- Votre salope vous comprend Maître. S’il vous plaît, baisez votre salope pour s’être trompée.
- Bien salope !
Il attrape ensuite mes cheveux et recommence à me pilonner. Je suis baisée au-delà de ce que je souhaitais. Et je jouis continuellement du traitement brutal que je reçois.
Il éjacule en moi, me gifle et s’en va en disant simplement :
- Ne bouge pas !
Je peux sentir son sperme couler sur mes jambes. J’ai le souffle court comme une chienne en chaleur. Et c’est merveilleux. Pendant qu’il me baisait, j’avais l’impression d’être morte et d’être montée au paradis. Il est tout ce que je veux chez un Maître. j’ai oublié que je suis une femme et une mère, mais je sais que je quitterai cette vie dans la seconde si mon Maître me le demande.
Il revient un peu plus tard avec un groupe d’amis. Immédiatement je recommence à être baisée. L’un d’eux enfonce sa bite dans ma bouche pendant qu’autre investit ma chatte. J’aime ça. Je suis malmenée et contusionnée, mes poignets sont à vif là où les menottes frottent contre ma peau, mais je suis là où je voulais être.
Ça dure toute la matinée. Personne ne me parle, ils se contentent de me baiser. Je les fais jouir, mais je ne suis rien à leurs yeux. Je suis une chose, un jouet sexuel, une pute.
Quand ils ont tous fini, ils me pissent dessus à tour de rôle. Mon Maître m’ordonne de tout boire, mais j’en renverse beaucoup. Je suis fouettée pour ça. Je suis tellement excitée que je jouis lorsque le fouet tombe sur ma chatte.
Après que les hommes soient partis, le Maître me fait prendre une douche et me rend ma robe. Puis il me fait monter dans sa voiture et me dit :
- J’ai une surprise pour toi, mais je dois d’abord savoir quelque chose. Es-tu ma salope ?
- Oui Maître, cette salope est à vous et à vous seul.
- Et ton enfant et ton mari ?
- Cette salope est à vous Maître. Peu importe le reste.
- Bonne salope !
Il me conduit en ville et nous entrons dans un salon de tatouage. Il m’ordonne de soulever ma robe pour que le tatoueur puisse travailler. Celui-ci siffle quand il voit que je ne porte pas de culotte.
Il me tatoue ces mots : Esclave d’Antwan.
Je pense que j’ai joui pendant qu’il le faisait. J’étais si heureuse qu’un homme me croit digne d’être marquée d’une manière qui montrait mon dévouement envers lui. La douleur de l’opération n’a fait qu’améliorer l’expérience.
Le Maître me ramène ensuite chez lui. Il m’ordonne de prendre mes vêtements de rechange et de rentrer chez moi. Je suis dévastée :
- Maître, cette esclave a-t-elle fait quelque chose de mal ?
- Non salope !
- Mais Maître, je veux rester ici avec vous.
Il me gifle durement au visage et me coupe la lèvre. Un peu de sang coule.
- Ce que tu veux n’a pas d’importance, c’est ce que je veux qui importe. Je veux que tu rentres chez toi en sachant que je veux que ton tatouage reste loin des yeux de ton mari. Je t’ordonne de le baiser ce soir. On va voir s’il remarque quelque chose.
- Oui Maître, tout ce que vous voulez.
Je rentre à la maison. Ma petite fille est heureuse de me voir et la nounou peut rentrer chez elle. Je passe le reste de la journée à revivre tout ce qui s’est passé. Maintenant que je suis à la maison, j’ai peur. Et si mon Maître ne voulait plus vraiment de sa salope ? Et si mon mari découvre ce que j’ai fait et ne veut plus de moi ?
J’essaie d’agir normalement quand mon mari est de retour à la maison. Sachant que mon Maître veut que je le baise ce soir, je me montre particulièrement amoureuse.
Nous nous sommes couchés nous avons fait l’amour. Nous n’avons pas baisé, nous avons fait l’amour. Sa petite bite trouve son chemin dans ma chatte, mais je ne sens rien du tout. Après quelques secondes, mon mari éjacule et me demande si j’ai joui. Je lui mens et je lui dis qu’il est merveilleux et que j’ai joui. Ne m’a-t-il pas toujours fait jouir ? Ajouté-je.
Plus tard dans la nuit, je reçois un message de mon Maître : « Salope, sois chez moi à 9 heures du matin. Pas de sous-vêtements et une robe moulante. »
Mon cœur bondit. Il veut encore de moi. Je m’endors, un sourire sur le visage.
Le lendemain je suis à l’heure. Mon Maître me fait pénétrer à l’intérieur, m’oblige à m’agenouiller et baise ma bouche. J’ai du mal à respirer , mais il insiste jusqu’au moment où il se vide dans ma gorge.
Ensuite, il me traîne dehors jusqu’à ma voiture et me dit :
- Monte et conduis !
Il me donne des instructions et nous retournons au salon de tatouage. Cette fois-ci , je dois me faire tatouer un pique noir sur le sein droit afin de montrer mon amour pour la bite noire.
Nous allons ensuite au club préféré de mon Maître, un club de strip-tease. Il m’emmène dans une chambre privée où il m’ordonne de me déshabiller et de faire tout ce voudront les personnes qui entreront.
Je passe les quatre heures suivantes à me faire baiser dans tous les sens. J’ai des queues dans ma chatte, des queues dans mon cul et des queues dans ma bouche. Tous les hommes qui entrent me dégradent d’une manière ou d’une autre. En plus de me baiser, ils m’insultent, me traitent de chienne sans valeur, de vide-couilles ou de salope stupide. A chaque fois qu’ils me traitent mal, une vague de plaisir me traverse. Chaque fois qu’une bite abuse de moi, j’ai un mini orgasme. Je sais que c’est là que je dois être et c’est ma vie maintenant. M’en rendre compte me fait jouir.
Puis mon Maître Antwan m’ordonne de rentrer à la maison et de baiser à nouveau mon mari. Il m’ordonne aussi de lui cacher mes tatouages.
J’essaie, mais je pense qu’il soupçonne que quelque chose se passe. Quand nous faisons l’amour, je garde mon haut au lieu de l’enlever comme d’habitude. Heureusement mon mari ne dit rien et moi non plus.
Plus tard je reçois un message de mon Maître : « Salope, tu es à moi. Demain, amène toutes tes affaires chez moi. Tu vivras ici maintenant. Tu feras tout ce que je te dis. Ne dis rien à ton mari ».
Je frissonne de joie. Je suis sur le point de quitter un homme que j’aime et qui sait m’aimer ainsi que mon bébé pour être l’esclave d’un Maître noir. Je ne peux pas attendre.
Je dors à peine cette nuit-là, mais je ne suis pas tout à fait réveillée lorsque mon mari part travailler. Il embrasse ma joue et s’en va. Je me lève immédiatement et j’emballe tous mes vêtements et effets personnels dans deux valises que je mets dans ma voiture. Quand la nounou est arrivée, j’embrasse ma petite fille et je pars pour ma nouvelle vie avec mon Maître.
FIN
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