Texte de Black Demon (Pimped by Her Own Pastor) traduit par Coulybaca.
Cette histoire se suffit en elle-même, cependant elle est aussi la suite logique de "Violée et subjuguée en vacances" (Victim's Violated Vacation) et "Le pasteur se fait maquereau" (Pastor's a Pimp I et II)
Le pasteur poursuit sa carrière.
Ce dimanche matin, le professeur Amos Thompson était chaudement accueilli par le Pasteur Knowlton qui l'avait invité assister au service la veille au soir. Comme la femme du pasteur Knowlton s'avançait pour le saluer, Amos senti une bouffée d'excitation l'envahir alors qu'il tendait sa main pour prendre la sienne la saluant avec déférence :
- Ravi de vous revoir madame Knowlton...
Sentir la main de la voluptueuse beauté trembler dans la sienne le réjouissait profondément. Il était bien normal qu'elle soit aussi nerveuse en saluant l'homme qui avait longuement abusé de ses succulents charmes la veille. Toute tremblante elle prit place à son coté.
Assis juste à coté de l'adorable femme du pasteur sur le deuxième banc de l'église, il appréciait vivement de la voir trembler de peur alors qu'il pressait sa cuisse contre la sienne. Amos connaissait les méfaits commis par le pasteur Knowlton à l'encontre de ses paroissiennes mais il ignorait que ce dernier l'avait observé longuement en train de baiser sa femme la nuit dernière.
Mais Amos se réjouit encore plus de voir Troy et Gwen Bannister les rejoindre, c'était le couple qui avait partagé leur table lors de la réception de mariage la veille au soir. Il les salua convivialement alors qu'ils prenaient place à leur coté sur le même banc, Amos savait que c'était le pasteur qui avait déterminé les places occupées par ses paroissiens.
Assis entre les deux somptueuses femmes, une qu'il avait baisé jusqu'à l'os et l'autre qu'il mourrait d'envie de sauter, Amos bandait comme un âne alors que la messe commençait à peine.
Dressé dans sa chaire, le pasteur Knowlton représentait bien le pilier de sa paroisse, l'image d'un homme respecté de tous, personne ne connaissait ses sombres secrets intimes qu'il ne mettait en œuvre qu'en de strictes occasions privées.
Son adorable épouse Nell était un exemple de cette ignorance, elle ignorait totalement que son mari savait parfaitement qu'elle avait été violée puis soumise à un horrible chantage, pas plus qu'elle ne savait qu'il se tenait à la fenêtre de leur chambre la dernière nuit observant avec excitation le pervers professeur, assis à son coté à cet instant, se la faire à couilles rabattues.
Le pasteur Knowlton avait découvert la fascination de son épouse pour les peaux noires, il savait que c'était tout à fait forcée au début mais que c'était vite devenu sa drogue, il épiait avec perversité les ébats de sa femme avec toutes les grosses bites qu'elle accueillait dans son intimité.
Mais son secret avait été éventé par un tiers, il avait été lui-même filmé matant les ébats de sa femme, il avait alors été l'objet d'un chantage, son maître chanteur avait exigé un important prix en échange de son silence et de la non-divulgation de la cassette vidéo, il lui avait tout d'abord obéi à contrecœur, mais maintenant sa participation aux méfaits qu'ils commettaient était toute volontaire.
Le pasteur Knowlton prenait un soin particulier de ses paroissiennes et plus particulièrement de celles qui étaient fraîchement mariées ou sur le point de convoler. Non seulement il recevait leurs vœux maritaux, mais encore partageait-il la couche de ces jeunes femmes qu'il accueillait confraternellement dans ses bureaux.
La veille au soir, à la demande du pasteur Knowlton, Troy et sa ravissante épouse s'étaient assis en compagnie du couple de jeunes mariés à la table du professeur Thompson. Troy et sa famille étaient membres de la congrégation depuis de longues années et la photo des jeunes mariés avaient été publiées dans le journal de la paroisse et sur le site web la semaine suivant leur mariage qui avait eu lieu à Bridgemont, dans la ville native de la jeune épousée. Après leur mariage et la lune de miel, les nouveaux mariés devaient venir habiter Presswood ou les Bannister possédaient plusieurs terrains où construire une maison.
Le professeur Thompson avait vu la photo des jeunes époux alors que le pasteur Knowlton avait usé des charmes de la jeune mariée. Lors de la réception de mariage, la ravissante madame Gwen Bannister lui avait tapé dans l'œil, il l'avait reconnue d'après la photo parue sur le site web de la paroisse montrant l'époux et son adorable épouse qui rejoignait maintenant la congrégation du mari. Elle irradiait dans la tenue rose qu'elle arborait alors qu'elle se mêlait en compagnie de son mari à la foule des invités gravitant autour de la piscine en attendant l'ouverture des portes de la salle de réception.
Se pourléchant les babines, Amos concluait que les 25.000 $ qu'il avait versé pour sauter ce morceau de choix pendant les presque 24 que durerait la réception, s'avéraient vraiment une bonne affaire. Quelle beauté ! Elle paraissait si douce dans sa tenue toute rose, du rouge aux lèvres aux orteils vernis en rose, une vraie symphonie en rose ! Elle lui aurait paru encore plus adorable sans un seul vêtement, ses adorables petons posés sur mes épaules.
"Bordel ce que je vais aimer grimper cette salope !" Méditait-il lascivement.
Amos fixait attentivement le jeune couple enamouré qui prenait place face à lui de l'autre coté de la table, il ne put s'empêcher de se pourlécher les babines par anticipation à la vue du magnifique diamant ornant son annulaire. L'éclat de ce diamant brillant à son doigt accroissait follement son excitation.
"Oooooh... Ils sont à peine mariés depuis un mois et je vais pouvoir user des charmes de la jeune épouse cet après-midi même ! Cet éclatant diamant brillera de mille feux lorsque ses doigts seront refermés sur ma grosse hampe noire ! Prend-elle la pilule ? Mon Dieu j'espère bien que non ! Si elle ne la prend pas, dans 9 mois elle pourrait bien écarter ses somptueuses cuisses pour donner naissance à un petit bâtard noir ! Bordel, si cela arrive, j'espère seulement que son mari se trouvera dans la salle de travail pour assister à l'événement ! " Gloussait-il au fond de lui-même.
Troy Bannister sa pavanait fier comme un paon, il était visiblement extrêmement fier de présenter son exquise épouse à ses nombreux amis qui attendaient eux aussi l'ouverture des portes de la salle de réception. Il était vraisemblablement enchanté que Gwen ait accepté de déménager à Presswood pour y entamer leur vie conjugale, elle venait par ailleurs d'être titularisée sur un poste d'institutrice élémentaire à l'école de Presswood. Ils avaient tous deux 23 ans et leur avenir ne pouvait pas paraître meilleur. Il était très fier de la somptueuse beauté de sa jeune femme, une beauté dont chaque homme dans la salle aurait aimé partager le lit. Ils étaient assis à la même table que le couple Knowlton, leur invité et un autre couple de jeunes gens.
Quelques semaines plus tôt, juste après que son mari l'aie présentée au pasteur Knowlton le premier dimanche suivant leur installation à Presswood en tant que mari et femme, Troy et Gwen acceptèrent avec enthousiasme de participer aux journées de formation à la vie maritale initiées par le pasteur Knowlton. Le fait qu'ils étaient jeunes mariés rendaient essentielles leur participation à ces cours.
Comme les entretiens avec le conseiller conjugal, menant les travaux, nécessitaient d'être individuels, il tombait bien que ce dimanche après-midi Troy se soit engagé à jouer au Softball avec ses vieux copains, Gwen en profita pour programmer une entrevue avec le conseiller marital ce même après-midi.
Troy était le seul petit ami que Gwen avait eu depuis qu'elle l'avait rencontré lors de ses premières années de collège. Elle avait eu bien du mal à résister à la tentation de se donner à ce jeune homme qu'elle aimait, mais elle s'était débrouillée pour ne lui accorder que des caresses très intimes de façon à le faire patienter. Ce matin, après s'être rendu à l'église, le jeune couple s'était longuement enlacé pour fêter l'anniversaire du premier mois de leurs épousailles. Langues entremêlées, ils s'étaient excités l'un l'autre comme ils adoraient le faire. Troy Bannister aurait aimé que sa femme, tout comme cette nuit lui taille une savoureuse pipe d'une langue agile, l'amenant à se vider les couilles dans sa bouche et sa gorge emplies de sa semence.
A l'insu de Gwen, ce charmant professeur assit à son coté sur le banc de l'église, se réjouissait de la rencontrer cet après-midi même. Le bâtard noir possédait les fonds nécessaires et avait accepté de payer la somme réclamée pour que le conseiller matrimonial la place sous état hypnotique dans son bureau de façon à ce qu'il puisse bien la connaître... Très intimement en fait !
A cet instant même cet homme qui semblait avoir les yeux rivés sur sa bible observait en fait ses longues cuisses blanches qui apparaissaient au-dessus de sa jupe noire et le diamant qui brillait à son annulaire.
Si l'entrevue de Gwen avec le conseiller matrimonial s'avérait un succès, Troy Bannister ne serait plus très longtemps le seul à user des charmes de sa ravissante femme. La messe terminée, Amos se joignit aux Bannister et au pasteur Knowlton accompagné de son épouse pour profiter des rafraîchissements offerts par la paroisse. La bite d'Amos tressauta d'impatience en entendant le pasteur Knowlton commenter :
- Je suis très heureux de voir Gwen se joindre à notre congrégation ! Tout juste mariée et installée à Presswood 2 semaines après leur lune de miel elle se dévoue déjà pour nous aider gracieusement dans la conduite des cours de formation conjugale ! Je suis si heureux, nous avions vraiment besoin qu'un jeune couple se joigne à nous pour conserver un certain équilibre entre les âges des différents groupes participant à ces menées. Chère amie, vous trouverez en Monsieur. Mollway un conseiller très amical et efficace, et il vous mettra tout de suite à l'aise !
Quand ils eurent tous vidés leurs verres de ponche, Troy Bannister annonça :
- Eh bien nous allons nous quitter maintenant... Je vais tout d'abord emmener Gwen jusqu'au restaurant pour prendre une rapide collation avant qu'elle ne se rende à son rendez-vous avec le conseiller matrimonial. Sur ce Amos tendit la main au jeune homme et le félicita :
- J'ai été enchanté de vous rencontrer vous et votre ravissante épouse... Toutes mes félicitations pour avoir fait de cette ravissante jeune femme votre épouse !
Puis il tendit la main à la jeune épousée, sa bite vibrait d'excitation dans son caleçon en serrant dans sa main la menotte manucurée de sa future proie.
"Oh chérie, encore une paire d'heures et ta ravissante petite main se refermera sur ma grosse bite !" frissonnait-il par anticipation.
Quelques heures plus tard, caché dans les toilettes avec le pasteur Knowlton, ils mataient tous deux le vieux Mollway saluer la jeune mariée alors qu'elle pénétrait dans le hall de réception. Amos se prenait d'amitié pour le jeune pasteur et se sentait un peu coupable d'avoir sauté sa ravissante femme ce jeudi soir. Il n'avait aucunement conscience qu'en fait le jeune pasteur avait épié toute la scène par la fenêtre de la chambre.
"Je sens que mon ami Knowlton préférerait participer à l'action plutôt que la mater ! Mais bordel quand j'ai vu Molly hypnotisée par Mollway s'agenouiller, j'ai vraiment assisté à la meilleure leçon de fellation délivrée par maître en la matière ! Bordel quel spectacle !"Réfléchissait Amos se remémorant la première fellation délivrée, sous emprise hypnotique, par la prude Kelly Garisson dont ils avaient assisté au mariage la nuit précédente.
Le jeune et innocente Gwen Bannister était ravie de se voir si chaleureusement accueillie dans la congrégation, et de se voir sollicitée par le pasteur pour participer aux travaux de la cellule d'initiation à la vie conjugale. Une fois que monsieur Mollway se fut présenté et lui ait donné un questionnaire à remplir en vue de sa participation aux différents travaux, elle entreprit de le renseigner tandis que l'ancien pasteur maintenant conseiller marital gagnait son bureau pour préparer l'étape suivante comportant une session d'hypnotisme qui permettrait à la jeune femme de répondre aux questions sans aucune hésitation.
Elle ne se doutait absolument pas à ce qui l'attendait vraiment une fois franchie la porte du bureau, ni ce à quoi servait véritablement la session d'hypnotisme.
Amos et le pasteur Knowlton observaient attentivement la naïve jeune épousée s'allonger sur le divan de psychiatre, alors que l'ex-pasteur s'occupait maintenant de la placer sous hypnose. De leur cachette les deux pervers épiaient le vieux Mollway qui plongeait sa proie dans un état de suggestion de plus en plus profond ce qui allait lui permettre de dévoiler ses secrets les plus intimes.
- Comment t'appelles-tu ?
- Gwen Bannister...
- Quel âge as-tu ?
- 23 ans...
- Travailles-tu ?
- Pas pour l'instant, mais je commencerai à travailler à la mi-août...
- Quel sorte d'emploi ?
- Un emploi d'institutrice à l'école maternelle de Presswood...
- Depuis combien de temps es-tu mariée ?
- Un mois exactement aujourd'hui...
- Quel est ton nom de jeune fille ?
- Hamilton...
- As-tu programmé, avec ton mari de fonder une famille ?
- Oui...
- Tout de suite ?
- Cela pourrait arriver accidentellement, mais nous avons plus tôt prévu dans un an ou deux...
- Prends-tu la pilule ?
- Non...
- Ton mari utilise-t-il des capotes quand vous faites l'amour ?
- Oui...
- As-tu déjà baisé avec un autre que ton mari ?
- Non...
- Etais-tu vierge le jour de ta nuit de noce ?
- Oui...
- As-tu déjà pensé à baiser avec un autre homme que ton mari ?
- Jamais, absolument jamais...
- As-tu déjà fait une fellation à ton époux ?
- Oh non, non...
- T'a-t-il déjà sodomisée ?
- Oh non...
- As-tu déjà entendu parler du mythe concernant les hommes noirs ?
- Oui...
- Penses-tu que ce soit vrai ?
- Je ne sais pas...
- T'es-tu déjà demandé si c'était vrai ?
- Oui...
Ces questions et réponses obtenues sous hypnose étaient maintenant bien implantées dans son esprit, ce qui devait entraîner une forte propension à découvrir la vérité quant à la dernière question. La ravissante blonde était maintenant sous l'emprise d'un état hypnotique profond, Mollway lui intima alors d'obéir à ses instructions, ses yeux semblaient totalement vide alors qu'il ordonnait :
- Donne-moi ta main droite que je puisse t'aider te remonter sur le sofa.
Et, un fois qu'il l'eut aidée à se redresser, Mollway posa sa main sur sa taille et poursuivit :
- Suis-moi ma chérie, laisse-moi te guider...
Sur ces mots il la guida vers un lit situé dans un coin de la pièce, tout en lui caressant lascivement la croupe. Il l'aida ensuite à s'allonger à plat dos dur le lit tout en entreprenant de lui palper ses longues jambes. Il lui indiqua alors :
- Tu vas ressentir énormément de plaisir à être caressée... Imagine que c'est ton mari qui te câline... Que cela t'excite profondément... Que cela te donne envie de faire l'amour avec lui...
Alors que la somptueuse jeune épousée était allongée sur le dos, Mollway bloquait la vue sur le pied du lit alors qu'il lui caressait maintenant les cuisses. Le pasteur Knowlton soupira à l'oreille d'Amos :
- Le vieux Mollway est fétichiste du pied... Je parie qu'il a une folle envie d'éjaculer sur ses pieds...
De fait cela semblait exact, déjà le corps tressautant, il jouissait. Puis il se tourna vers eux, leur faisant signe de venir le rejoindre pour participer à l'action. Sortant de leur cachette ils s'approchèrent du lit, ils se rendirent alors compte que Mollway avait ôté les hauts talons noirs de l'adorable blonde il les avait enlevés alors qu'ils étaient couverts de foutre, il s'était vidé les couilles sur ses pieds...
Le Pasteur Knowlton était enthousiaste à l'idée de quitter son rôle de spectateur pour participer activement à la dégradation de leur somptueuse proie. Ayant entendu les réponses aux questions du conseiller Mollway l'idée d'être le premier à glisser sa grosse pine entre ses lèvres charnues lui faisait monter des gouttes de pré-sperme au méat. Il savait que ce genre de pensée étaient bien viles et perverses mais il savait parfaitement qu'il était maintenant bien loin d'obtenir un jour sa rédemption, qu'il continue ou pas ses méfaits. Et comme de plus il s'excusait lui-même, prétextant d'une trop grande faiblesse envers les tentations de la chair...
- Poste-toi à sa tête Knowlton... Délivre ta bénédiction spéciale à notre nouvelle paroissienne... Je vais la déloquer, qu'on découvre les secrets qu'elle cache sous sa prude robe noire... Intima Mollway tout en laissant courir sa main calleuse sur ses longues jambes sexy.
Tandis que le pasteur Knowlton prenait place à la tête du lit, le conseiller Mollway renforça son état de suggestion en ajoutant :
- Pense au plaisir que tu vas délivrer à ton bien-aimé en te servant de tes douces lèvres... Tous les hommes adorent que de ravissantes femmes accueillent leur penis vibrant dans leur bouche... Même si certaines femmes peuvent penser qu'il s'agisse là d'un acte dégradant, imagine à quel point un homme peut être fier de voir une adorable jeune femme comme toi se soumettre à son désir... Et maintenant ouvre bien la bouche comme si tu communiais... Oui comme ça... Et maintenant tends la langue... exactement comme si le pasteur Knowlton déposait une hostie sur ta langue dans son église... Oui... Oui... Comme ça ma petite chérie... Ecarte un peu plus les lèvres... Oui comme ça... La conseillait Mollway en la voyant obéir docilement à ses ordres.
En voyant le visage du jeune pasteur afficher un plaisir béat, l'entendant grogner sa satisfaction, alors que tout son corps frissonnait alors que sa bite coulissait aisément entre ses lèvres hospitalières, Mollway se demandait si son excitation ne devenait pas trop forte pour qu'il puisse conserver plus longtemps le contrôle de ses sens, et s'il n'allait pas délivrer une abondante communion sur le visage et dans la bouche de la somptueuse jeune épouse dégradée par leurs soins.
Pendant ce temps Amos avait disposé la jeune beauté sur le flanc pour qu'elle s'occupe plus facilement du jeune pasteur. Comme le pasteur Knowlton lui tenait fermement la nuque alors que sa bite coulissait allégrement entre ses lèvres, Amos dégrafa le curseur dorsal de sa robe et l'agrafe de son soutien-gorge de dentelle noire. Puis replaçant l'adorable jeune femme sur le dos, il tira la robe vers le bas passant ses genoux et ses chevilles avant de la lui ôter. Puis ce fut au tour de son affriolant soutien-gorge, il put ensuite saisir entre index et pouce les mamelons dardés de ses somptueux nibards. Il sourit en voyant ses tétons se raidirent. Il saisit alors à deux mains la ceinture de sa petite culotte noire et une seconde plus tard découvrait ses blondeurs intimes.
- Ohhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhh... Oh doux Jésuuuuuuuuuussssssssss... Oui comme ça... Oh Gwen... Caresse moi du bout de la langue... Ahhhhhh... Ahhhh... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... grogna alors le pasteur Knowlton alors qu'il se vidait les couilles dans sa bouche hospitalière.
- Avale madame Bannister... Avale tout ce bon foutre chaud dont le gentil pasteur vient de te faire don... A partir de ce jour, tu adoreras le goût de la semence masculine ma petite chérie ! Lui implanta immédiatement son hypnotiseur dans son esprit embrumé.
Une fois que Mollway eut préparé le terrain en ajoutant quelques suggestions hypnotiques additionnelles, persuadant la jeune épouse qu'elle devait dorénavant extérioriser ses émotions lorsqu'elle ferait l'amour avec son "mari"', Amos se releva et enfourcha le corps de sa succulente proie. Il regardait sa bite vibrer d'impatience et frémit de joie en entendant Mollway poursuivre :
- Tend la main entre ton "mari" et toi... Prend sa bite en main et commence à la branler langoureusement... Sens-tu comme sa bite est raide et épaisse, c'est tellement il a envie de te posséder...
La vue des fins doigts manucurés refermés sur sa bite lui plaisait autant que de se faire branler.
- Et maintenant guide ton "mari" pour qu'il te pénètre... Frotte son gland dans ta fentine... Enduis sa grosse prune de ton succulent jus... Lui indiquait Mollway.
- Oui... Oh oui ma petite chérie... C 'est ça... Ecarte tes cuisses en grand, ton "mari" est follement excité... Sa bite est bien plus grosse que d'habitude... Tu dois bien le sentir... Commentait-il à l'usage de la succulente jeune femme éperdue de désir.
- Tu sens la bite de ton mari... Caresse ses bras musclés... Remonte tes jambes si sexy et verrouille les dans son dos... Oui... Comme ça... Sers-toi de tes cuisses pour l'inviter à t'investir... Invite-le à te faire l'amour... montre-lui que tu veux qu'il te BAISE... L'instruisait-il.
- Excellent... Serre sa bite avec tes muscles vaginaux... Sers-toi de tes sphincters pour enserrer sa grosse bite... Montre à ton "mari" à quel point tu as envie de lui, ma chère madame Bannister... Excite le encore en utilisant des mots vulgaires, ma chérie... Conseillait Mollway en observant attentivement la séance de baise qui se développait dans le lit.
Ses doigts minutieusement manucurés caressant les épaules et les avant-bras musclés d'Amos, ses splendides jambes ivoirines refermées dans son dos, Gwen pantelait :
- Oh Troy... Ohhhhhhh fais-moi l'amour... Oh ouiiiiiiiiiiiii... T'es si grooooooooooosssssssss... Haletait-elle le corps couvert de sueur alors qu'elle cherchait à s'adapter aux dimensions inusitées de son "mari".
Elle écarta encore plus ses cuisses, ses orteils vernis se tendant comme aimantés par le plafond.
- Oh mon Dieu... BAISE-MOI... BAISE MOOOOOOIIIIIIII... Ohhhhhhhh... Tu me distends la chatoune... Arrrrggghhhhhhhhhhh... Grognait-elle éperdue de plaisir.
- Ohhhhhh... Bordel ce qu'elle est étroite... Elle m'épluche quasiment la queue... Grommelait Amos alors qu'il enfouissait sa bite de quelques centimètres de plus dans son étroite fente, il la pénétrait maintenant de quelques bons 10 centimètres, à peine la moitié de la taille de son énorme chibre.
- Mmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmmmmm... Grondait-il alors qu'un plaisir douloureux le submergeait à chaque coup de boutoir.
Il était ravi de distendre la chatoune de cette somptueuse salope, avec sa bite visiblement bien plus conséquente que celle de son époux. Maintenant l'étroite moule de la nouvelle épousée lui rabotait véritablement durement son épaisse mentule. Il coulissait avec peine dans son étroit chaton, Amos se réjouissait en repensant que son mari utilisait toujours une capote, il réalisait qu'il allait être le premier à emplir le ventre de cette ravissante salope de son foutre crémeux.
- Oh chérie... Oh oui... Je vais t'engrosser... Je vais te foutre un petit polichinelle dans le tiroir... Délirait-il enthousiaste.
Il martelait maintenant la jeune chienne à la vitesse d'un marteau pilon. Il espérait vivement que les caméras enregistraient bien cette séance de baise qu'il faisait durer à sa guise. Peut-être bien que dorénavant il arrêterait de temps à autre, bien sûr en acquittant son écot, pour avoir le privilège de baiser à nouveau cette succulente pute mais cette fois elle serait pleinement consciente, elle s'offrirait à lui après qu'il lui eut dévoilé les images de leur exceptionnelle séance de baise.
Il savait qu'elle devrait se soumettre et écarter ses ravissantes cuisses pour lui par peur que son mari apprenne son infidélité. Il savait par ailleurs que cette ravissante petite salope serait bientôt obligée d'écarter ses cuisses en grand, et d'ouvrir ses lèvres charnues pour servir les nombreux membres du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" lorsqu'ils publieraient les images de sa dégradation sur le web en la présentant comme la nouvelle petite pute au service des noirs.
De retour à l'instant présent, il coulissait maintenant avec aisance dans sa foufoune convenablement élargie :
- Oh chérie... Je t'ai vraiment bien distendu la chagatte... Ton mari va se demander si c'est sa bite qui a rétréci la prochaine qu'il te fourrera... Il ne sentira plus grand chose quand il plongera sa ridicule petite bite dans ta caverne dilatée... Dorénavant il te faudra vraiment une grosse bite pour te remplir la chatoune... Sûrement une grosse bite noire... Rigolait Amos en continuant sa chevauchée sauvage.
- Ah oui... Oh oui... Je vais jouir... Je vais t'engrosser... Oui... Oui... Oh ouiiiiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Frissonna-t-il en bourrant sa mentule au fin fond de son utérus, lui remplissant giclée après giclée son utérus fertile.
Les trois hommes se tenaient autour du lit, les yeux rivés sur cette ravissante jeune épousée qu'ils venaient de violer, souiller et dégrader à jamais. Ils commencèrent alors à se congratuler avec force de compliments salaces.
- J'aurai vivement souhaité que le mari puisse voir son innocente épouse à cet instant. Qu'il voie ce flot de foutre s'écoulant de sa chatoune. Commentait Amos hilare.
- Regardez les gars, elle se pourlèche les babines. Elle savoure le goût du sperme imprégnant sa bouche.. A coup sûr, c'est la première fois qu'elle reçoit ce genre de communion. Ajouta le pasteur Knowlton affichant un large sourire.
- Bordel elle a vraiment de très jolis pieds ! Reprenait Mollway.
Le pasteur Knowlton concluait alors :
- Quelle succulente façon d'accueillir une nouvelle paroissienne dans notre congrégation !
Puis le pasteur Knowlton s'empara de sa main gauche et la posa sur sa bite qui se déployait à nouveau, la vue de son alliance, symbole de son indéfectible union, accroissant encore sa bandaison. Amos se posta à sa tête, lui saisit le menton l'amenant à accueillir sa bite luisante de foutre en pleine bouche. Le vieux Mollway, quant à lui, cherchait à resserrer ses plantes de pied sur sa hampe, ses orteils toujours poisseux de foutre cherchant à goûter à ce contact lubrique avant de se faire une branlette entre ses pieds et d'éjaculer à nouveau sur ses orteils. Les trois pervers bâtards cherchaient à satisfaire leurs graveleux appétits aux dépens de leur délicieuse proie, ils étaient sur le point de jouir à nouveau.
Un peu plus de dix minutes plus tard, la jeune beauté toujours sous hypnose tendait la main pour prendre une serviette de toilette mouillée pour suivre les instructions de Mollway :
- Utilise cette serviette pour te nettoyer les mains et les pieds...
La regardant obéir docilement il ajouta :
- C'est ça ma petite chérie... Essuie tout ce foutre qui embourbe tes doigts et tes orteils, sans oublier de nettoyer ton alliance couverte du sperme de ton gentil pasteur...
Comme elle se penchait pour essuyer ses pieds et ses orteils Mollway gloussa :
- N'oublie de nettoyer la semence entre tes orteils, je t'ai vraiment couvert foutre les orteils... Hey, hey, hey...
Puis Mollway poursuivit :
- Et maintenant file dans la salle de bain à ta droite et prend une douche bien chaude pour curer ton corps de tout ce foutre qui le couvre...
A cet instant Amos intervint en se désignant du doigt, il avait payé une forte somme pour se payer les charmes de la belle et voulait en profiter à fond. Il attendit alors que Mollway ait conforté les suggestions implantées dans l'esprit de l'adorable blonde avant qu'il n'ajoute :
- Monsieur Thompson va t'aider à te laver le dos sous la douche... Hey, hey, hey et je pense qu'il va vraiment te faire du bien sous cette douche...
Amos demanda alors au vieux pervers :
- Pourriez-vous chasser de son esprit toute notion de douleur lorsqu'elle repensera à cet épisode ? Parce que si vous le permettez, je vais lui casser le trou du cul, m'emparer de son pucelage anal.
Amos se réjouit en s'entendant répondre :
- Donne-nous quelques minutes et tu pourras y aller... Je veux enregistrer ses expressions et ses sentiments tandis que vous serez tous deux sous la douche et que tu l'auras disposée à ton gré...
La porte de la salle de bains fermée, Le pasteur Knowlton et l'ex pasteur Mollway regardaient le moniteur qui retransmettait les images de luxure enregistrées par la camera. Ils observaient attentivement Amos installant la jeune épouse sur le banc disposé contre le mur de la douche. Bientôt elle reposait la tête et les épaules posées sur le banc alors qu'il se postait dans son dos. Il caressait les globes charnus de son opulente croupe d'une main douce, alors que de son autre main il disposait son gland au centre du cratère annelé de son petit anus insouciant. Puis il empoigna d'une main ferme ses hanches de façon à s'assurer une excellente prise.
Ils le regardèrent avec intensité et avalèrent leur salive alors qu'Amos donnait un brusque coup de rein et sans aucune pitié explosait le goulot resserré de son anus tremblant lui arrachant des cris perçants :
- Nonnnnnnnnnn... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Oh mon Dieuuuuuuuuuuuu... Arrêteeeeeeeeee... Ca fait mal... Maaaaaaaaalllllllllll... Troy, arrêteeeeeeeee...
Ces hurlements de douleur émanaient aussi bien du micro que directement de la salle de bain.
- Arrête... Oh, mon Dieu... Arrêteeeeeeeeeeeeeee... hurlait-elle, mais ces cris ne faisaient qu'encourager son ignoble sodomiseur à continuer à lui casser le cul.
Une demi-heure plus tard, Gwen Bannister secouait énergiquement la main du conseiller matrimonial l'avisant :
- Que le temps a passé vite. J'espère vous avoir bien aidé dans la future conduite de la paroisse. Nom d'un chien, tout ce que je me rappelle c'est de m'être réveillée sur le sofa presque deux heures après m'y être étendue.
Mollway avait effacé tous les événements de cet après-midi de sa mémoire, mais lui avait suggéré de repenser à eux la nuit dans son lit. Ces réminiscences devaient la corrompre, l'amenant à se demander ce qu'elle éprouverait à se faire pénétrer par une grosse mentule noire, comme celle que devait avoir le professeur Thomson qu'elle avait récemment rencontré lors de son mariage et sur les bancs de l'église.
A partir de ce jour, madame Gwen Bannister retrouva toujours le même plaisir en faisant l'amour. Mais pas avec son mari. Mais avec d'autres hommes et spécialement des noirs. Mais c'est une toute autre histoire.
Mollway avait aussi implanté dans son esprit qu'elle était désormais membre du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" et, que lorsqu'elle entendrait une phrase définie elle devrait obéir en tout point aux requêtes des autres membres. A la mention de cette phrase spéciale, Gwen devait se comporter comme une pute expérimentée, elle devait faire la fortune de l'organisation en tant que Pouffe Pour Bites Noires.
Ils ajoutèrent plusieurs suggestions dans son esprit afin de l'asservir totalement lorsqu'elle reviendrait dans le bureau du conseiller où qu'elle rencontrerait le jeune pasteur ou le vieux conseiller au gré de ses déplacements. Non seulement ils avaient programmé de se servir d'elle selon leurs désirs lubriques, mais encore Mollway avait-il installé des suggestions lubriques dans son esprit qui lui intimaient d'allumer vicieusement certains hommes de Presswood.
Plus tard ils implantèrent même l'ordre de séduire le vieux concierge noir de l'école élémentaire l'invitant à la baiser à couilles rabattues sur le bureau de sa classe...
FIN
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