Texte de gkcdqho
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Le propriétaire emmène Léa chez des clodos.
Après être sortie pendant environ quatre heures, je reviens à mon appartement que je crois être mon sanctuaire. Je ferme la porte et j'entre dans ma chambre. Je vide le contenu de mes sacs sur le lit. Je place tous les articles achetés l'un à côté de l'autre. Je les examine un par un. Le tout m'a coûté deux cents euros, mais je n'ai pas aimé ce que j'ai vu et où j'ai été.
J'ai dû aller dans un magasin dans une zone reculée de la ville où je ne suis jamais allée auparavant. Dans ce quartier, il y a de nombreux sans-abris dégoûtants. Pour être clair, ce magasin est un sex-shop. C'est d'ailleurs plus que ça. Lorsque je suis entrée, j'ai été accueillie par un nombre inimaginable de tenues en cuir, godemichés, vibromasseurs, fouets... Tous les jouets sexuels imaginables. Je n'avais jamais vu ça.
J'ai montré ma liste d'articles à la vendeuse du magasin. Mais cette femme ne ressemblait pas à une vendeuse normale. Elle portait un haut en plastique rose qui couvrait à peine sa poitrine immense et une micro jupe très serrée. Toutefois, elle m'a bien aidée.
Tous les objets achetés sont maintenant étalés sur mon lit. Je les regarde. Il y a deux paires de menottes, un ball-gag, un fouet, des bottes hautes en cuir brillant, quelques paires de bas-résille, quelques mini-jupes en cuir, une courte robe noire en latex, quelques hauts échancrés et un gros gode en caoutchouc noir. Pour être honnête, les vêtements et la lingerie ne m'effraient pas, par contre le fouet et le gros gode ne me rassurent pas.
La vendeuse du magasin a été étonnée de la taille de celui que je devais prendre. Il fait bien trente centimètres de long pour un très gros diamètre. Il me fait très peur. Je remets tous les objets dans le sac et je cache celui-ci sous le lit en espérant que Léo ne le trouve pas et ainsi découvre l'humiliation à laquelle je me soumets pour que nous ayons un toit au-dessus de nos têtes.
Le lendemain, je suis réveillée avant mon mari. J'étais agitée et je ne pouvais pas dormir en sachant ce qui se cachait sous mon lit, tous ces objets qui me feront souffrir. Le temps passe lentement. Il n'est que huit heures du matin lorsque mon Léo part travailler. Je n'ai aucune idée de ce qui va m'arriver dans trois heures.
Toute la matinée, je tourne dans mon appartement sans arriver à me détendre. Je n'arrête pas de regarder l'horloge jusqu'à ce qu'elle indique onze heures. Mon propriétaire arrive juste à l'heure. Quand je le laisse entrer, je soupire de soulagement, car il est seul. Tout de suite il me demande.
- As-tu ce que je t'ai demandé ?
- Oui.
J'entre dans ma chambre, l'homme sur mes talons. Je sors le sac de dessous le lit et je verse son contenu dessus. Les yeux de Mr Alain s'élargissent de joie à la vue de tous les objets. Il fouille dedans et attrape la robe courte en latex. Il me la jette en me disant de la mettre.
- Puis-je avoir un peu d'intimité SVP ?
Je finis à peine ma phrase que ma joue me brûle, comme hier. Après cette claque, il sourit et me répond :
- Et puis quoi encore ? Madame est-elle pudibonde ?
Je me déshabille, mais je garde mon soutien-gorge et ma culotte. Il me dit sèchement de les enlever. Comme je ne veux pas une autre gifle, je lui obéis. Ses yeux sortent de sa tête. J'ai des frissons alors que son regard parcourt mon corps, mes seins et ma moule rasée. Finalement je réussis à me faufiler dans la robe en latex. Elle est extrêmement serrée et j'ai l'impression d'être étouffée. Je tire sur le bas afin de m'assurer d'être convenable.
- Regarde-toi dans le miroir ! Commande Mr Alain.
J'avais essayé les vêtements dans le magasin, mais je n'avais pas beaucoup prêté attention à mon apparence, car je savais que j'avais l'air d'une pute. Je me tourne vers mon miroir et mon idée est confirmée, j'ai vraiment l'air d'une pute. Mes gros seins sont tendus contre le caoutchouc et on a l'impression qu'ils vont éclater. La robe est si courte que la rondeur de mes fesses va s'échapper. Je déteste mon apparence, mais ma libido semble aimer. Je sens que mon entrejambe est mouillé. Ma libido aime que je m'habille en pute et elle me le fait savoir. Je jette un coup d'œil vers mon propriétaire et je peux voir une grosse bosse dans son pantalon.
Ma libido m'ordonne de libérer sa bite. Elle veut que je la prenne dans ma bouche, que je suce sa bite malgré sa mauvaise odeur. Je ne peux croire que ma libido réagisse ainsi. L'humiliation d'hier semble lui avoir plu. Je déteste ça, je voudrais me punir de vouloir trahir mon mari.
Mr Alain me demande d'enfiler les bottes qui me montent jusqu'aux genoux. Je vois maintenant une vraie salope dans le miroir.
- Nous sortons maintenant ! Me dit l'homme.
Dehors ? Mais je ne peux pas sortir dans cette tenue. Je sais que je risque une autre claque, mais je m'en fiche, je ne peux pas sortir, les gens vont me voir.
- Mais je ne peux pas sortir comme ça, on va me voir !!
Mr Alain sourit.
- Léa, tu as ce long manteau là-bas ! Tu crois que je suis stupide ?
Je regarde le sol en attendant qu'arrive la gifle, mais ce n'est pas le cas. Il continue.
- De plus, tu ne crois quand même pas que tu es la seule idiote à ne pas payer ton loyer ?
Je ne suis pas la seule ? Oh mon Dieu, je n'arrive pas à croire qu'une autre pauvre femme doit subir la même épreuve. Qui est-elle ? Est-ce que je la connais ?
J'attrape mon manteau et je suis mon proprio dans les escaliers. Je ne sais pas où l'on va et j'ai peur de lui demander. Nous entrons dans une grosse et voyante BMW et nous quittons le parking. Sa voiture pue la transpiration aussi. Tandis que nous roulons, des petites gouttes de pluie tombent sur le pare-brise. Le temps est humide comme ma moule. Je n'arrive pas à contrôler ma libido alors que j'anticipe ce qui va m'arriver. Je déteste mon propriétaire, je déteste ce qu'il me force à faire, je veux juste être avec mon mari.
Puis je réalise que nous sommes dans le quartier le plus glauque de la ville. Ça grouille de SDF, de drogués et de prostituées. Je commence à avoir peur, je n'aime pas cet endroit. Nous passons devant le sex-shop où j'ai acheté ma tenue. Je regarde mon propriétaire qui garde son regard sur la route.
Nous tournons dans une rue avec des tas de détritus un peu partout. Un coup de tonnerre me fait sursauter. J'ai peur. Le long de la route se trouve de grands entrepôts délabrés. Les enseignes sont complètement ternies et il y a des vitres brisées. Ils ont l'air complètement abandonnés. Mr Alain entre sur le parking d'un de ces entrepôts. Il se gare et coupe le moteur.
- Sors !
J'ouvre lentement la porte et j'obéis. Ma robe en latex est légèrement relevée alors je la remets en place.
- Enlève ton manteau et donne-le-moi !
Je continue à obéir. Je ne me suis jamais sentie aussi vulnérable dans ma vie. Je suis habillée comme une pute dans ce quartier malfamé de la ville. J'ai peur.
- Maintenant voilà ce que tu vas faire ! Tu vas entrer dans cet entrepôt. Ne t'inquiète pas, tout ira bien !
Je regarde le bâtiment abandonné et je me demande ce qu'il y a dedans.
- Il y a quelques-uns de mes amis. Ils sont au courant de ton arrivée, tu vas les aider à assouvir quelques besoins sexuels.
Son sourire est glacial, il me fait presque fondre en larmes. Je n'ai jamais autant eu peur de ma vie.
- Ne t'inquiète pas, je ne serai pas loin.
Ses paroles ne m'inspirent pas confiance. Je me détourne de lui et je marche vers un espace noir où je crois qu'il y a une porte. Les talons de mes bottes claquent bruyamment lorsque j'entre avec appréhension. Je jette un coup d'œil et j'entends des hommes rire et parler fort. J'essaie de mieux regarder, mais d'où je suis, je ne vois personne. Alors je prends une grande inspiration et je pénètre plus loin dans l'entrepôt. Il est complètement vide à l'exception de vieux cartons qui traînent un peu partout.
- Regardez ça les gars ! Crie une voix.
Mes yeux se dirigent dans la direction de la voix et mon cœur s'arrête de battre. Dans un coin de l'entrepôt sont assis trois clochards sales. Ils sont là avec leurs vêtements noirs de crasse et leurs regards vicieux. Avant que je ne réagisse, ils sont autour de moi comme des mouches sur de la viande. Leurs yeux ne peuvent croire leur chance. Le plus grand semble être le chef. Un autre est petit et le dernier assez gros. Ils sentent vraiment plus mauvais que la bite de Mr Alain.
Je me dis qu'avec trois hommes sales, que je ne connais pas, ce n’est pas raisonnable. Une fois de plus je suis indécise, une fois de plus je ne sais pas ce que je veux ; alors je tourne les talons, mais avant que j’atteigne la porte, un des hommes a sifflé. Et aussitôt trois énormes chiens, me barrent le passage.
Le chef vient se planter juste devant moi, presque à me frôler. Il a posé sa main sur sa braguette et a commencé à se toucher. Je ne lève pas les yeux vers lui, enfin pas plus haut que la ceinture sous laquelle une excroissance visible me donnerait du désir, mais je n’ose pas bouger.
-Tu suces ?
Je n’ai pas répondu, plus à cause de la vulgarité de la demande que pour la demande elle-même.
- Je suis sûr que tu suces. Tu as une belle bouche à zobs, salope.
Un deuxième enchaîne :
- Oh ! Elle tombe bien, y a longtemps qu’on n’a pas vu de femme. On allait faire ça entre nous et je venais d’être tiré au sort pour me faire niquer. Oui, elle tombe bien !
Je ne dis toujours rien. Trop vulgaire le mec, s’il y avait mis plus de formes pourquoi pas.
- Aller, vas-y ! Je suis sûr que tu n'as jamais gobé une bite comme la mienne. Dit le grand.
Les autres semblent d'accord avec lui.
- Que fais-tu ici salope ? Ton mari ne te satisfait pas alors tu cherches de vrais hommes.
Je regarde le chef et je lui crache au visage pour cette remarque. Tout ce que je reçois en retour, c'est une méchante claque. Je tombe sur le sol, au milieu de leurs rires. Puis je suis tirée brutalement par les cheveux pour être mise à genoux. Un peu étourdie, je vois que le grand a sorti sa bite et se masturbe. Les deux autres font de même.
Le chef pose sa main derrière ma tête et m'ordonne de sucer sa bite. Il me tire en avant et pousse sa queue dans ma bouche. Je sens une odeur d'urine, sa bite est dégueulasse. Vicieusement, il baise ma bouche. Je sens des mains parcourir mon corps, mes seins et mes fesses. Puis je sens que l'on met une queue bien raide dans ma main gauche.
- Branle ma queue, salope !
J'obéis et je branle sa bite de haut en bas. Le troisième clochard essaie de sortir mes seins de ma robe moulante. Le chef continue de me baiser la bouche. Il a une grosse queue et il la pousse jusqu'au fond de ma gorge jusqu'au moment où j'étouffe. Il la ressort pour me permettre de tousser et reprendre mon souffle puis il la repousse à l'intérieur.
Peu de temps après sa bite se contracte et libère une grosse quantité de sperme chaud dans ma bouche. Il pousse ma tête sur sa bite et je dois lutter pour m'accommoder de son membre et avaler sa semence. Je sens des doigts s'enfoncer dans ma grotte d'amour.
- Elle n'a pas de culotte cette salope. Oh ! Merde, sa chatte est trempée ! Dit l'un des deux autres.
Mon Dieu non, je ne peux croire que mon corps apprécie ce traitement. Je veux rentrer chez moi. Le grand clochard recule et sort sa bite de ma bouche. Maintenant je vois bien sa bite, elle fait bien dix-huit centimètres de long. Un filet de salive mélangé à du sperme s'étire de ma bouche à sa queue. Il recule encore et s'assoit. Il a son compte pour le moment.
J'ai à peine le temps de réfléchir que le plus gros fourre son membre dans ma bouche. Sa bite est aussi longue que celle du grand, mais elle est un peu courbée. Lui aussi me baise la bouche sans ménagement. Il ne tient pas longtemps et vide ses couilles dans le fond de ma gorge.
Ensuite je suis tirée par-derrière jusqu'à une sorte de banc. On me couche dessus et mon cul est maintenant à leur merci. C'est le petit qui m'a traîné. Il gifle mes fesses et soudain, met un doigt dans mon trou du cul vierge.
- OUURRCH !! Mon Dieu s'il vous plaît, AIIIIIIIEEEE ! PAS Là !
Je me mets à pleurer. J'entends le clochard déboutonner son pantalon et farfouiller pour sortir son sexe.
- Tu vas l'avoir bien profond dans le cul salope ! Dit l'un des deux autres.
Ouf ! Sans hésitation, une grosse bite pénètre ma chatte. Je pleure d'angoisse, car je n'ai jamais senti un aussi gros engin. L'homme retire sa queue et la replonge à nouveau. Centimètre par centimètre, elle rentre de plus en plus profondément dans mon puits d'amour. Léo a toujours peiné à me satisfaire au lit, j'aurais tant aimé qu’il soit plus membré, qu'il en ai une comme celui-là qui me baise.
Cette bite crasseuse m'apporte un plaisir que je n'ai jamais ressenti auparavant. C'est si fort que je ne peux me battre contre ça. Une bite plus grosse que celle de mon mari me défonce et je suis impuissante à me battre contre. Je peux entendre les deux autres clochards rirent et dirent bien forts :
- Regarde, elle aime ta bite, quelle salope !
L'homme me baise si fort que je peux sentir mon jus couler sur mes cuisses. Malgré mes appréhensions, la sensation est nouvelle, mais oh combien agréable. Je me surprends à émettre des petits cris étouffés alors que des tremblements secouent mon corps et remontent dans ma colonne vertébrale.
- ARRFF ! S'il vous plaît ? AARRFF !! Non pas plus ? OORRR !! MMM ! OOUIIIIFFF !!
Ses coups de rein s'accélèrent et une chaleur monte à l'intérieur de mon ventre. C'est si étrange. Je n'arrive pas à le croire. Ce clochard va me faire avoir un orgasme avec sa bite sale. Je le supplie pour qu'il s'arrête. Je ne veux pas jouir. Si je jouis, je ne serai plus jamais capable de regarder mon mari dans les yeux. Mais c'est inutile, ma libido a pris le contrôle de mon corps.
Le clochard se contente de me pilonner plus fort et mon corps cède. Je sens une explosion dans mon ventre, mon corps tremble violemment et je feule de plaisir. J'ai l'impression que mes genoux vont céder alors que mes hanches viennent à la rencontre de cette grosse bite sale.
Quand je me remets de mon orgasme, je les entends tous rire. Je n'arrive pas à croire ce que je viens de ressentir, je voudrais mourir sur place. Ce clochard me baise et j'apprécie. Je suis une salope, comment je peux faire ça à mon mari ?
Y en a un qui me dilate la rondelle avec les doigts. Je sens le moment où je vais connaître ma première sodomie. Contrairement à ce que je pensais, ça n’a pas été très douloureux. Il faut dire que les deux autres hommes me chauffent tellement que mon cul déborde de désir. Le gros braquemart a du mal à s’introduire mais, une fois qu’il y est, il se met à coulisser presque aussi bien que dans ma moule coulante. C’est fou de sentir ces deux gros nœuds se heurter, seulement séparés par ma paroi. Je jouis plusieurs fois, sans me cacher.
Le clodo qui me bourre le cul, agrippe mes seins. Il se félicite de prendre ma virginité anale. Ils changent tous de place, chacun passant dans tous mes trous. Ils sont terriblement endurants. Le premier à craquer est dans ma bouche. Je le sens se cabrer à mesure que la pression de ses mains sur ma tête augmente. Trop occupée à ressentir les coups de boutoirs des deux autres dans mes deux trous, je ne réagis pas et il commence à gicler abondamment jusque dans le fond de ma gorge, presque à me faire vomir. Pas habituée à ce petit jeu, je réussis à me dégager de ce zob englué, mais je ne peux pas recracher tout le sperme au goût amer et salé. Les couilles bien vides, il s’assoie sur une caisse pour regarder ses deux copains me finir tout en buvant une bière.
- Je vais gicler ! Gémit l'homme qui me baise.
En jouissant je ne lui demande de ne pas le faire dans ma moule. Mais ma supplique est sans succès et il se libère dans ma grotte, l'inondant de son sperme. Puis celui qui me sodomise remplit mes intestins de sa semence, je sens la chaleur de son sperme se répandre dans mon ventre ce qui me déclenche un orgasme. Je suis si faible à résister que j'ai l’impression d'avoir trahi mon mari.
Alors que je suis là à genoux, du sperme dégoulinant de ma chatte, de mon trou du cul, descendant sur mes cuisses, avec le goût de leur jus dans la bouche, je commence à faire le geste de me relever.
- Reste comme ça, car tu n'as pas encore fini salope !
Ils sont allés chercher un chien.
- Alors la petite salope ? On pue ? Mais nous t'avons fait jouir comme une chienne en chaleur. Tu vas baiser avec mon chien comme la chienne que tu es et tu vas pouvoir comparer !
C’est sûrement la petite vengeance du grand pour lui avoir craché au visage. Mais le chien est sans doute plus excité qu’ils ne pensent, il leur échappe, d’ailleurs, celui qui le tient dit :
- Oh merde !
Le chien se précipite sur moi, très vite ; je n’ai pas eu le temps de broncher, un peu surprise par la masse de la bête. J’ai peur qu’il ne me saute à la gorge, mais il se précipite sur ma raie. Sa langue chaude s’insère dans ma fente et comme j’ai la moule encore très sensible, je monte honteusement immédiatement dans les tours, en quelques secondes sans réaliser. Je hurle de plaisir et j’écarte même mes fesses et mon sexe qui s’intéresse vivement à cette nouvelle expérience.
Malgré mon orgasme clitoridien ou à cause de lui, le chien continue de me lécher. Ses maîtres, après un moment de silence se rapprochent et ils l’encouragent :
- Vas-y Lupus, régale-toi, elle est bonne, elle aime ça, tu l’as bien méritée !
- Oh putain, regarde comment il trique ton clébard. Ce clebs est encore plus chaud que toi.
L’idée d’être livrée à un animal aurait dû me faire horreur et pourtant les coups de langue me chauffent de plus en plus. J’ai perdu la tête. Jamais Léo ne m’a léchée avec cette fougue, cette force.
Plus longue, plus chaude, plus mobile et plus rêche que celle d’un homme, la langue d’un chien est un bonheur infini pour la raie.
Mon dégoût est immense, mais les décharges de plaisir qui montent dans mes reins démentent mon aversion intellectuelle. Je tâche de résister, mais bien malgré moi, je cambre mon corps pour trouver la meilleure position.
Puis je pense que mon humiliation va s’arrêter là et qu’ils se contenteront de cela. Alors qu’ils continuent à se marrer tout en se répandant en propos salaces, le petit gros fait remarquer :
- Eh, il commence à juter, y a pas de temps à perdre. Tu crois qu’il peut la baiser ?
Alors le grand, pour toute réponse, aide son chien à me pénétrer. Je suis chaude comme une baraque à frites, mais pas très fière de me donner en spectacle avec un chien devant ces hommes, quand la verge démesurée commence à glisser dans mon puits d'amour. Elle est longue, avec une énorme excroissance qui m’éclate la moule.
Le chien est entré jusqu’aux couilles. Je ne peux rien voir, mais je sais qu’ils regardent la scène et l'autre me serre toujours la nuque pour que je subisse la loi de son chien qui me laboure en profondeur. La sensation, est très différente par rapport à un homme. D’abord, les poils du chien sont moins doux que la peau lisse et ferme de l'homme. Je déteste le contact de cette toison sur mes fesses et mon dos, dans un premier temps.
Ensuite, le chien est plus statique dans le vagin. Un homme, ça va et vient, il sort, rentre, change de rythme, joue avec sa bite dans tous les sens et à toutes les vitesses. Pas le chien. Il ne cesse de pousser en avant, en lâchant régulièrement des petites giclées de semence et à chaque fois on sent son sexe se gonfler par saccades.
Les deux autres chiens sont excités. Ils grognent et tournent en rond attendant un tour qu’on vient de leur promettre. C’est fabuleux. Puis tout à coup, il accélère et expulse une grosse quantité de jus. Ça a pris presque un quart d’heure.
Quand le chien se retire, un flot de liquide s’échappe de mon sexe. Mais déjà, on me fait saillir par une deuxième bête. Plus gros, le poil plus ras et plus agréable, le sexe plus long, il ne met pas très longtemps à se soulager d’un jet chaud et interminable. J'en suis déjà à mon troisième orgasme et la position à quatre pattes commence à me plaire de plus en plus.
On approche le troisième. Derrière moi, je sens qu'on met le bout du sexe de chien.
- OOOOOHH NON!! PAS DANS LE CUL!!! Je crie ! Ça ne passera pas !!! AAAAIIIIII!!!
Quand le gland force la bague de l'anus ça me fait un effet incroyable. C'est passé!! Mon anus n'a jamais été aussi dilaté !! AAAH ! Non!! Il continue à m'enculer jusqu'à ce que son sexe se mette aussi à gonfler !! Et mon anus supporte, pire même, il adore !!
Je crois que j'ai été aux limites de son élasticité, bin non ! Un clodo donne une bonne poussée au cul du chien et le nœud bulbeux s'enfonce dans mes reins. Ça y est le nœud de la taille d'une orange a forcé mon anus qui s'est refermé sur la base. Je continue à crier. Là je ne crie pas, J'ai un blanc ? Et puis une sensation incroyable, un truc énorme, genre orgasme d'une force inouïe !!!
La scène a excité les clodos et ils bandent tous à nouveau comme des ânes. Je dois donc me remettre à les sucer. Mon anus tient bon, mais moi pas, je suce celui qui est devant moi, il me fait même un compliment ?
- Pas mal pour une chienne stupide !
Le chien qui est en moi se retourne et on est cul à cul. Mon anus est plus ouvert, qu'un puits dans le dessert et mon ventre gargouille à cause des quantités de sperme que le chien a déversé en moi. Le petit gros lui caresse la tête.
- C'est bien mon chien.
Quand il se retire, je sens une bite d’homme qui veut prendre sa place. Je reconnais celle du grand à sa courbure marquée à gauche. Il plante sa bite dans mon puits d'amour rempli de sperme canin. Et il se met à me défoncer la moule en levrette.
- Alors chienne ? C’est qui le meilleur, mon clebs ou moi ?
J’ais la bouche pleine d’un membre sur le point d’exploser. Je ne peux pu répondre. Le grand fait comme les chiens, il lâche tout dans ma grotte tandis que les deux autres se finissent à la main sur mon visage.
Finalement je suis autorisé à partir. Mon propriétaire m'attend dehors, un grand sourire sur sa figure. Je le regarde et je lui demande si ça compense le loyer que nous lui devons. Il sourit simplement et dit :
- Léa, cette expérience sera financièrement bénéfique pour toi, je te le promets.
Il me reconduit à mon appartement sans que nous échangions d'autres mots.
A suivre...
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