jeudi 9 décembre 2021

Baiser la femme du voisin.

 Traduction d’un texte de Tony King.

 *****

Je n’arrive pas à croire en ma chance. Je suis sur un chemin dans les bois et à quelques mètres de là, je vois ma voisine contre un arbre, la jupe troussée à sa taille, son chemisier ouvert exposant ses deux gros seins tandis qu’un gars de je n’ai jamais vu auparavant pilonne sa chatte avec vigueur. Je m’empresse de sortir mon téléphone pour faire quelques bonnes photos avant que mon chien Rex ne les aperçoive et se dirige vers eux en aboyant comme un fou. Ils essaient de se rhabiller pendant que je récupère mon chien, mais je vois bien qu’elle m’a reconnu.

Quelques jours plus tard, on sonne à ma porte :

- Madame RAYNAUD, Que puis-je faire pour vous ?

Il faut que je vous dise que elle et moi nous nous entendons pas. Depuis qu’elle a emménagé avec son abruti de mari, j’ai des problèmes. Il est chauffeur de camion longue distance et il boit beaucoup. Chaque fois qu’il ne travaille pas, il passe ses soirées en ville puis quand il rentre à la maison il frappe sa femme. A deux reprises, lui et moi en sommes venus aux mains lorsque j’ai été obligé d’intervenir dans la nuit. La dernière fois, il a été arrêté et gardé en cellule de dégrisement pour toute la nuit. 

Mais au lieu d’être reconnaissante, sa salope de femme n’avait pas porté plainte contre lui, mais contre moi. Heureusement il n’y a pas eu de suites, mais ça n’a pas arrangé notre relation. Et aujourd’hui, elle est sur mon pas de porte.

C’est la première fois que je la vois de si près et en plein jour. Elle a quarante ans environ et devait être une vraie beauté dans sa jeunesse. Elle de longs cheveux blonds et des yeux bleu vif, mais son plus grand atout est sa poitrine. Ses seins sont énormes.

- Bonjour, je viens m’expliquer pour samedi ! Commence-t-elle.

- Qu’est-ce qu’il y a à expliquer ? Vous étiez en train de vous faire bien baiser contre un arbre. J’ai des photos pour le prouver.

Instantanément elle pâlit.

- Qu… Euhhh… Qu’allez-vous faire de ces photos ? Bégaie-t-elle finalement.

Je décide alors de jouer.

- C’est simple. Je compte les donner à ton mari, et après qu’il vous aura tuée, il sera emprisonné à vie et j’aurais enfin un peu de paix et de tranquillité.

Puis je lui claque la porte au nez. La sonnerie retentit à nouveau.

- Oui ?

- Écoutez, je sais que j’ai été un peu garce avec vous, mais ne pourrions-nous pas régler cette affaire en gens courtois ?

- et vous pensez à quoi ? Demandé-je.

- Eh bien, je pensais vous donner 100 euros pour que vous détruisiez les photos.

- Hein ? 100 euros ! Je crois que ces clichés valent beaucoup plus que ça.

Elle réagit alors avec colère :

- D’accord, 500 euros ! Mais ça sera tout espèce de trou du cul ! Maintenant donne-moi ces putains de photos !

Je ne sais pas pour vous, mais pour moi quand quelqu’un commence à me menacer et m’insulter, je deviens désagréable, surtout quand je détiens toutes les cartes.

- Entrez ! Dis-je gentiment en me déplaçant sur le côté.

Elle entre dans mon couloir avec un sourire suffisant sur le visage. 

- Je savais que vous reviendrez à la raison. Maintenant où sont ces photos ? Dit-elle avec arrogance en cherchant son chéquier dans son sac.

Je saisis ses cheveux et je la jette contre le mur.

- Maintenant tu vas m’écouter espèce de petite suceuse de bites. Si tu veux ces photos, ça va te coûter plus que de l’argent. 

Choquée, elle ne bouge pas et essaie de comprendre. Alors je continue :

- Commencer, montre-moi tes seins !

Au lieu de déboutonner son chemisier comme je l’avais prévu, elle crie :

- Va te faire foutre !

Et elle sort de chez moi en vitesse. Je me dis alors que j’ai vraiment foiré mon coup. Je passe la journée à attendre l’arrivée de la police, mais il ne se passe rien.

Le soir, je décide alors de bluffer. J’attends que son mari rentre à la maison, et, une grande enveloppe grise à la main, je vais frapper chez eux. C’est elle qui ouvre.

- Bonjour, est-ce que Monsieur RAYNAUD est là ? J’ai un courrier pour lui.

Je la vois paniquée alors qu’une voix ivre à l’intérieur de la maison crie :

- Qui est-ce ?

- Ce n’est rien mon chéri, juste l’armée du salut qui récolte de l’argent. Répond la blonde.

- Dis-leur d’aller se faire foutre et ramène ton cul ici ! Ferme cette putain de porte, tu laisses la chaleur sortir !

- Oh mon Dieu, il a bu et il va me tuer ! s’il vous plaît je ferais n’importe quoi ! Regardez !

Et sur le pas de sa porte, elle ouvre son chemisier et prend en coup ses deux seins pour me les montrer avant d’ajouter :

- S’il vous plaît, nous pourrons nous voir demain quand il sera parti au travail. Il va être absent trois jours et vous pourrez faire ce que vous voudrez de moi. S’il vous plaît ?

- D’accord, mais demain je te veux en bas avec porte-jarretelles, talons hauts, soutien-gorge sexy, mini-jupe et chemisier transparent. Ah oui, maquille-toi et rase ta chatte, je déteste les poils entre mes dents. Je passerai à 19 heures.

Elle cache ses seins juste au moment où son mari recommence à beugler.

Le lendemain, l’homme part après l’heure du déjeuner. J’essaie d’imaginer ce qui se passe dans l’esprit de la femme alors qu’elle doit se préparer. A 19 heures, je sonne à sa porte. Elle ouvre et scrute la rue derrière moi.

- Entrez vite !

Je pénètre dans sa maison et elle ferme la porte derrière moi. Bon sang, elle est absolument magnifique. Son maquillage est claquant avce un mascara noir épais et un rouge à lèvres rouge vif. Elle porte un chemisier noir transparent qui laisse bien apparaître son soutien-gorge. Celui-ci a une petite découpe en V qui laisse passer les mamelons. Sa tenue es complétée par une jupe courte et rouge, des bas et des talons très hauts. Elle se tient appuyée contre le mur.

- Alors ?

- Très jolie Madame RAYNAUD, Vraiment très jolie !

- Les chambres sont en haut ! Dit-elle avant de se diriger vers l’escalier.

- Hé ! Pas si vite ! Je pensais que nous pourrions aller nous promener, vu que tu aimes tellement le sexe en extérieur. 

- Je ne peux pas sortir comme ça ! Rétorque-t-elle, troublée.

J’attrape un long manteau accroché à une patère et je lui jette en disant :

- Mets ça alors !

Nous partons en voiture avec moi au volant. Elle a l’air extrêmement mal à l’aise sur le siège passager.

- Enlève le manteau !

Elle me jette un coup d’œil, mais elle m’obéit et jette le manteau sur le siège arrière.

- Bien, maintenant je veux voir tes bas, alors remonte ta jupe !

Elle trousse sa jupe à la taille et révèle une culotte noire transparente qui couvre une chatte fraîchement rasée. 

- Hum, très jolie ! Pourquoi ne joues-tu pas avec ?

Elle commence alors à protester, mais je lui montre l’enveloppe :

- C’est à toi de décider, soit tu fais ce que je dis, soit je donne ça à ton mari.

A contrecœur, elle écarte ses longues jambes et elle commence à caresser sa chatte.

Je suis déterminée à la pousser à bout. Je veux humilier et dégrader cette chienne. Quand j’aurais fini elle sera ma pute soumise. Elle frotte sa chatte à travers sa culotte sans vraiment de convictions alors je l’avertis :

- Si ça ne dégouline pas au moment o^nous arrivons, alors je t’offre au premier mec que nous rencontrerons.

Elle me regarde avec étonnement, et alors que je détourne mon visage sérieux, la réalité s’impose à elle. Glissant plus bas sur le siège, elle commence à jouer avec ses mamelons, ce qui les fait durcir. Puis une main descend sur sa chatte, mais cette fois elle entre dans sa culotte. C’est mieux comme ça. Alors que j’arrive sur un parking près d’un bois, je commence à entendre des sons mouillés. Je me gare dans un coin et je sens sa chatte. C’est humide, mais ça ne dégouline pas encore.

Je l’ai amenée dans un endroit appelé le bois des amours. C’est un lieu de rencontre bien connu des échangistes, exhibitionnistes et voyeurs. 

J’incline son siège et j’ouvre la fenêtre, puis je m’occupe de ses seins. Je défais le chemisier et je suce ses mamelons jusqu’à ce qu’ils soient bien dures. En même temps, ma main a remplacé la sienne et j’ai commencé à jouer avec sa chatte. J’adore les sexes féminins lisse et il n’y a rien de mieux que de mettre en coupe tout le monticule pubien dans sa main avant de glisser un doigt entre les lèvres chaudes et humides. Je m’amuse à faire courir mon doigt jusqu’à ce que finalement je le frotte contre son clitoris. A présent, elle est allongée, les yeux fermés alors que je la caresse.

Comme je l’ai espéré, il ne faut pas longtemps avant qu’une première silhouette sorte du noir et s’approche de la voiture. L’homme se place près de la porte passager et il regarde dans la voiture en caressant sa queue sortie du pantalon.

- Enlève ta culotte !

Elle soulève ses hanches et fait glisser le tissu fragile sur ses cuisses. De mon côté, je relève plus sa jupe pour m’assurer que notre voyeur ait une bonne vue sur son monticule rasé. Alors qu’il se tient là en train de se branler, je fourre deux doigts dans la chatte et je la baise avec. Elle a encore les yeux fermés et elle gémis de plaisir. Quand je sens qu’elle approche de l’orgasme je m’arrête brusquement.

- Qu’est-ce que…

Elle me regarde avec des yeux suppliants.

- Sors de la voiture !

Le voyeur recule dans l’ombre alors qu’elle sort de la voiture, la lumière du plafonnier illuminant son état à moitié nu. 

- Bien ! Maintenant penche-toi et suce ma bite ! Et soulève bien ta jupe au-dessus de ton cul !

Je me déplace sur le siège passager et je baisse mon pantalon.

- Vous ne pouvez pas au moins éteindre la lumière ? Demande-t-elle. 

- Hein ? Et manquer de voir ta bouche sur ma bite !

Nerveuse, elle regarde autour d’elle avant de se pencher vers ma bite.

- Tu n’oublies pas quelque chose ?

Elle relève alors sa jupe courte pour exposer son cul et sa chatte à quiconque passe par là.

- Bien, maintenant suce et applique-toi ! Et tu ferais mieux de tout avaler sans oublier une seule goutte. 

La sensation de sa bouche chaude autour de ma bite est juste exquise. Et le fait de savoir que nous sommes regardés la rend encore plus savoureuse. Elle commence à me sucer longuement quand le voyeur revient dans la lumière en branlant avec vigueur sa bite. Il reste à un mètre derrière elle en admirant la vue. Cette fois-ci j’attire son attention en faisant des signes. Je lui indique qu’il peut en profiter.

L’homme baisse alors son pantalon et se traîne derrière elle. Quand il attrape ses hanches, elle se fige et essaie de partir, mais je tiens fermement sa tête contre ma queue.

- Oh mon Dieu ! Bafouille-t-elle quand l’homme pénètre sa chatte humide.

- Continue à sucer comme la bonne salope que tu es !

Alors que le voyeur derrière elle commence à la baiser, elle se remet à sucer ma bite. Elle écarte les jambes encore plus en grand pour s’équilibrer et je regarde l’homme la pilonner durement et rapidement.

Ses gros seins se balancent en dehors du soutien-gorge et je joue avec ses mamelons pendant que nous la baisons. Alors que le voyeur va bientôt jouir, un autre gars apparaît et regarde tout en se branlant. Je pousse la tête de ma voisine encore plus sur ma bite et je sens qu’elle étouffe alors que je touche le fond de sa gorge

- Oh Ouiiiii ! Hurle le premier voyeur en éjaculant dans le sexe de la blonde. Puis il se retire avec un « plop » bruyant et il s’écarte pour laisser l’autre prendre sa place.

Il ne la baise que peu de temps et jouit lui aussi dans sa chatte bien utilisée. Puis c’est à mon tour de remplir sa bouche.

- Vas-y, avale bien, salope !

Elle avale rapidement pour essayer de suivre mon éjaculation sans en laisser. Le gars qui la baisait disparaît dans les bois et finalement je lui permets de se relever. Des larmes coulent sur son visage. Elle me dit :

- Salaud ! Vous avez laissé ces hommes me violer !

Je retire son chemisier et sa jupe puis je touche son entrejambe en disant :

- Souviens-toi que je t’ai dit que je voulais que ça dégouline. Eh bien ce n’est pas le cas.

Je lui ordonne alors de marcher jusqu’à une table de pique-nique à quelques mètres de là et de s’y allonger sur le dos. Quel spectacle fantastique, son cul brille au clair de lune, ses fesses se balancent de haut en bas alors que ses gros seins ballottent. Avec ses bas noirs et ses talons hauts elle a vraiment l’air d’une salope. Elle m’obéit et s’allonge sur la table en bois, les seins pointant vers le ciel. Je soulève ses jambes sur mes épaules et je la place juste au bord.

- Maintenant je vais te faire mouiller !

J’adore les chattes déjà utilisées. Cette sensation gluante et collante pendant que votre bite pilonne un sexe déjà rempli de foutre est fantastique. Je me mets à jouer avec ses mamelons et je prends un rythme régulier de baise. Ayant déjà joui une fois, je ne suis pas pressé et cette sensation agréable me donne envie de prolonger le plaisir le plus longtemps possible.

Malheureusement ce n’est pas possible. Alors que je la baise avec joie, une bande de jeunes nous entoure soudainement. L’un d’eux dit :

- Putain , qu’est-ce qu’on a là ?

- C’est votre amie, Monsieur ? Demande un autre.

Un jeune noir se place vers la tête de ma voisine, un renflement bien visible dans son jean. Sans ralentir le rythme, je dis alors :

- Sa bouche est vide !

Je n’ai pas besoin de répéter, le black défait sa braguette et une grosse bite d’ébène en sort et frappe la femme. Sans qu’on lui dise quoi que ce soit, elle le prend directement en bouche. C’est alors que je jouis à gros bouillon et que je remplis sa chatte pour la troisième fois en moins d’une heure.

- Amusez-vous les gars ! Dis-je en me retirant.

Ils sont cinq, trois blancs et deux noirs. Alors que ma voisine suce la queue noire dans sa bouche, les trois jeunes blancs se relaient pour baiser sa chatte. Aucun d’eux ne dure très longtemps et tous éjaculent avant que celui dans sa bouche ne le fasse.

- Putain d’amateurs! Dit-il en tirant sa bite de la bouche et en prenant place entre les jambes de la femme.

Il est évident qu’il a la plus grosse bite de la bande et il prend grand plaisir à pénétrer lentement la chatte en l’entendant crier :

- Oh putain c’est trop gros ! S’il te plaît, vas-y doucement ! Oh oui !

- Je vais te baiser dans des endroits où ces gars n’ont jamais été ! Dit-il en riant.

- Nous ne l’appelons pas « Gorille » pour rien ! Rétorque l’un des jeunes blancs.

Alors que le black commence à pilonner ma voisine avec un bon rythme, les autres se font sucer tour à tour et jouent avec ses seins. C’est alors que l’autre noir s’approche. 

- Tiens salope ! Prends ça ! Dit « Gorille » en donnant un dernier gros coup de rein qui fait crier si fort la femme que je me dis que le monde entier va l’entendre. 

Quand il sort finalement sa bite du sexe de la blonde, on peut voir que la chatte dégouline de jus de chatte et de foutre.

- Hé frère, tu en veux ? 

L’autre noir s »approche de la table et fixe la chatte dégoulinante devant lui.

- Retourne-la ! Dit-il simplement.

Les jeunes repositionnent ma voisine sur la table de pique-nique en l’allongeant sur la ventre, les seins écrasés contre la surface en bois. Le garçon baisse son pantalon et sort un sexe un peu lus court que l’autre black, mais presque deux fois plus épais. Il fait courir son gland sur la fente dégoulinante de fluides corporels. Puis, sans avertissement, il pousse sa queue dans le cul devant lui. Nous devons rapidement bâillonner ma voisine qui crie trop fort. Alors que ses sanglots se transforment en gémissement, les mains sur sa bouche sont remplacées par une bite. Une fois de plus elle est prise par les deux extrémités.

- Oh putain , cette garce est vraiment serrée. Dit le black en s’enfonçant centimètre par centimètre.

Le calvaire de ma voisine dure environ deux heures, chaque garçon la baisant deux ou trois fois chacun. Bien sûr, ils ont tous voulu la sodomiser et au moment où ils finissent, son cul déborde autant que sa chatte. Elle a des morsures sur les deux seins, son visage et ses cheveux sont couverts de sperme séché. Étonnamment, ses bas sont toujours intacts et quand elle retourne en titubant vers la voiture, je vois de grosses quantités de sperme gluant blanc y couler dessus.

Je l’oblige à rester tel qu’elle est sur le chemin du retour. Nous avons eux droit à des regards appuyés e attendant aux feux ou en nous arrêtant à côté d’autres véhicules. Vêtue seulement de ses bas, porte-jarretelles et talons hauts, elle se détend et ferme les yeux, totalement épuisée des évènements de la nuit.

Mais c’est loin d’être terminé. Je veux que sa dégradation soit encore plus profonde.

Je conduis jusqu’à un ancien entrepôt à seulement quelques centaines de mètres de l’endroit où nous vivons et je me gare à l’arrière. J’ai souvent promené mon chien par ici la nuit et je sais que le lieu sera rempli de SDF et de clochards.

- Dehors ! Dis-je.

Sans un murmure, elle sort de la voiture. Je prends sa main et je la conduis à l’intérieur du bâtiment miteux. Immédiatement je vois où je vais l’emmener. A quelques mètres, un feu brûle dans un vieux bidon, signe certain que quelqu’un est là.

Alors que nous nous rapprochons, je peux voir trois vieux crasseux, assis autour du feu, buvant dans ne bouteille.

- Putain , qu’est-ce que vous voulez ? Dit l’un d’eux.

- La dame veut se réchauffer, ça ne vous dérange pas qu’elle partage votre feu non ?

Je pousse alors ma voisine vers eux.

- Putain elle est nue !

Les trois hommes se lèvent et se dirigent vers elle.

- Oh non ! Pas eux ! S’il vous plaît, pas eux ! Me supplie-t-elle en essayant de se cacher derrière moi.

Mais je la pousse en avant.

- Regardez comme elle a froid ! Dis-je en prenant ses seins et en faisant ressortir ses mamelons. Le plus proche entre dans la lumière du feu. Ses cheveux sont longs et visiblement ils n’ont pas été lavés depuis très longtemps. Ses dents sont jaunes et son visage et ses mains semblent couverts de crasse. Il porte une vieille veste et son pantalon est attaché avec de la ficelle. Il tend sa main sale et tord un mamelon.

- Que veux-tu de nous ? Demande-t-il.

- Rien, simplement profiter du feu ! Dis-je en tenant la blonde immobile pendant qu’il la touche.

- Ça se paie ! Dit-il sournoisement.

- Oh, je suis sûr que nous pouvons arriver à un arrangement. Rétorqué-je en tenant les bras de ma voisine derrière son dos pour forcer ses seins à se redresser. 

Un autre clochard avance et la regarde de haut en bas. Il semble un peu mieux habillé que son ami, et beaucoup plus propre. Il me demande :

- Elle est pour nous ?

- Pourquoi pas ? Dis-je en la tenant toujours immobile.

Poussant son collègue sale sur le côté, le second clochard prend le contrôle.

- Ça fait trop longtemps que je n’ai pas vu ça ! Dit le vagabond en passant ses mains sur le corps de la blonde.

L’autre clochard sale essaie de revenir, mais il reçoit un coup dans le bide.

- Désolé, mais je n’ai pas de patience. Maintenant, viens t’asseoir là ma jolie !

Il la conduit vers une pile de tissus qui semble composée de vieux draps. Il la fait asseoir et me demande :

- Que va-t-elle faire mon gars ? 

- Tout ce que tu veux !

Ma voisine est passée en mode zombie, et elle ne dit rien quand le clodo lui écarte les jambes.

- Il y a déjà eu de l’action ! Dit-il en passant ses doigts sur la chatte trempée. Il joue avec tout en libérant sa queue de son pantalon. 

- Allez chérie, joue avec ça !

Il place sa main sur son sexe et elle commence immédiatement à le branler lentement. Puis il présente ses doigts crasseux trempés du mélange de jus de chatte et de sperme à sa bouche pour qu’elle lèche. 

- Est-ce qu’elle suce ?

L’idée de prendre sa vieille bite puante dans sa bouche fait gémir bruyamment la blonde.

- J’ai l’impression qu’elle aimerait !

Il la saisit par les cheveux et dirige son visage vers son sexe. Celui-ci est de taille moyenne et déjà bien raide. Elle tire la langue et fait mine de le lécher, mais il pousse son gland en avant et fourre les deux tiers de sa bite dans la bouche ouverte.

- C’est une bonne suceuse de bites n’est-ce pas ?

Le troisième clochard était resté dans son coin jusqu’à présent, mais il s’approche lentement et s’assoit à côté d’eux.

- C’est Stan, il est OK, pas comme ce vieux salaud là-bas. Oh et moi c’est Henry. 

C’est étonnant, ces deux-là ne sont pas aussi sales que l’autre, mais ils ne sont pas propres non plus. Stan commence à doigter la chatte de ma voisine pendant qu’Henry continue de se faire sucer.

- Vas-y Stan, Baise-la, tu n’as pas eu de chatte depuis bien longtemps.

Il positionne la femme à quatre pattes et alors qu’henry réintroduit sa bite dans sa bouche, Stan avance entre ses jambes et commence à frotter sa queue de haut en bas de sa fente. Il s’exclame alors :

- Elle est bien mouillée !

- Bien, c’est qu’elle le veut alors! Répond Henry.

Stan semble réfléchir un moment, puis il attrape ses hanches et s’enfonce d’un coup sec en elle. Si elle n’avait pas eu la bite d’Henry dans sa bouche, elle aurait crié. Et je comprends pourquoi quand Stan se retire. Sa queue est deux fois plus grosse que celles de noirs, aussi bien en longueur qu’en largeur. Et même si elle vient d’être bien baisée, elle a du la sentir tout au fond de son ventre. 

Les deux vieux clochards s’activent à baiser ma voisine jusqu’à ce que l’un après l’autre il dépose leur semence dans chaque trou. Elle retombe ensuite sur le tas de tissus sales complètement épuisée, maltraitée et dégradée. Les deux vieux me remercient et s’éloignent. Je m’assois à côté d’elle et commence à jouer avec ses gros tétons quand je réalise le l’autre clochard sale nous regarde en jouant avec sa bite.

- Tu veux la baiser ? Lui demandé-je.

- Oh non, s’il vous plaît, il est trop sale !

Elle me supplie encore et encore en essayant de s’éloigner de l’homme. Mais il s’approche d’elle et moi je la retiens. Il se penche en avant et suce ses seins meurtris, ses mains crasseuses contrastant avec la peau blanche. Elle ferme les yeux et détourne la tête. Satisfait d’avoir sucé sa poitrine, il continue à lécher son corps, provoquant des frissons de dégoût à la blonde. Bientôt il atteint sa chatte. Il force les jambes à s’écarter et il commence à laper le mélange de sperme fraîchement déposé et de jus de chatte. 

Il s’agenouille entre ses jambes et la force à s’allonger sur le dos. Elle le regarde alors qu’il mange sa chatte et elle gémit à chaque fois qu’il lèche son clitoris. Doucement je joue avec ses mamelons. Elle continue de gémir et des tremblements parcourent son corps. 

Bientôt elle commence à lever ses hanches et à tenir la tête du vieux en place, ses doigts entrelacés dans les cheveux sales et graisseux.

- Oh mon Dieu, ne t’arrête pas ! S’il te plaît, ne t’arrête pas !

Pendant une minute, je crois qu’elle a une crise cardiaque. Son corps se raidit et elle cesse de respirer. Sa chatte est durement tenue contre le visage du clochard et ses doigts blanchissent en forçant. 

- OUUUUUIIIIIIIIIII !!!!

C’est comme si l’air est totalement expulsé de son corps. Elle s’affaisse comme une poupée de chiffon sur le tas de tissus.

Le vagabond, le visage et le menton scintillant de son jus rampe sur elle. Elle lève les jambes quand il la pénètre et elle les enroule autour de lui pendant qu’il la baise.

C’est alors que je me rends compte que c’est la première fois que je la vois jouir de la soirée. Elle regarde le clochard pendant qu’il la pilonne et elle jouis encore plusieurs fois, chaque orgasme semblant durer plus longtemps que le précédent.

- Oh oui baise-moi ! Baise-moi fort ! Allez salaud dégueulasse, fais-moi sentir ta bite ! Utilise-moi comme une pute ! Vas-y !

Elle aime vraiment que ce clochard la baise. Soudain je ressens une pointe de culpabilité à l’avoir traînée si loin dans la déchéance. Le vieux clochard sale lui provoque plusieurs orgasmes avant de se retirer et de gicler son foutre sur tout son corps. Il gicle de grosses quantités de sperme. Les premiers jets couvrent ses cheveux et son visage, le foutre atterrissant dans sa bouche ouverte. Le reste couvre ses seins et sa chatte. Puis comme les autres avant lui, le clodo récupère ses affaires et s’en va.

Je remets ma voisine sur ses pieds. Elle est maintenant aussi sale que le vagabond avec de la boue et Dieu sait quoi d’autre s’accrochant à ses fesses et à ses jambes. Ses bas sont déchirés et ses cuisses sont couvertes d’une croûte de sperme séché. Elle pue comme un urinoir public. Je ne veux pas qu’elle monte dans ma voiture dans cet état. Alors, les talons claquant sur le bitume, je l’aide à franchir les quelques centaines de mètres jusqu’à sa maison. J’ouvre la porte et la pousse à l’intérieur en lui suggérant de prendre un bain. Je dépose l’enveloppe contenant les photos dans sa main.

Son mari est revenu quelques jours plus tard et les disputes ont recommencé. Le week-end suivant, je vois l’homme partir et un peu plus tard on sonne à ma porte. J’ouvre pour trouve Madame RAYNAUD sur mon perron, habillée d’un long manteau. 

- Mme RAYNAUD, que puis-je faire pour vous ? Demandé-je.

Elle ouvre son manteau pour me dévoiler la même tenue sexy que l’autre jour.

- Je pensais que vous pourriez de nouveau m’accompagner en voiture dans les bois !

FIN.

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