vendredi 17 décembre 2021

Paiement de loyer - Ch. 04

Texte de gkcdqho

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Le propriétaire livre Léa à un de ses voisins.

Je me brosse les dents tellement de fois que mes gencives commencent à saigner. Je mâche chewing-gum après chewing-gum, mais je n'arrive pas à me débarrasser du goût dégoûtant de ma bouche. À chaque fois que je pense a leurs bites qui se vident dans ma gorge, je vomis encore et encore toute ma bile. Je me dégoûte d'être si vulnérable et d'avoir autant joui, d'être aussi humiliée.

Je me regarde dans le miroir de ma chambre. J'ai été si occupée à être malade et à me laver les dents que je ne me suis pas encore regardée. Mon mascara coule le long de mes joues. Il se mélange à mes larmes et au sperme qui est sur encore mon visage. Mes cheveux sont complètement emmêlés, à cause du clochard qui a bien tiré dessus. Ma robe en latex brille du sperme des clodos, tout comme mes bottes.

J'enlève ces vêtements et je me regarde nue devant le miroir. Je me rends compte que j'ai des ecchymoses et des griffures sur les hanches, là où les chiens et leur maître m'ont tenue pendant qu'ils me baisaient comme une salope. J'ai du sperme séché partout sur mes seins et à l'intérieur de mes cuisses. Pour compléter les dégâts, ma grotte d'amour et la petite entrée de mes reins sont dégoulinants de foutre.

Je passe ma main sur mon anus et c'est très douloureux. J'ai perdu ma virginité anale avec ces clochards. Je masse légèrement mon anus et je sens l'humidité du sperme. Je regarde ma main et je m'aperçois qu'il y a un peu d’excrément mélangé avec le sperme, mes intestins gargouillent.

J'entre dans la douche et je frotte ma peau rudement. J'ai besoin de laver tous les endroits qu'ont touchés les clodos. Je culpabilise, je me douche encore et encore avec des tonnes de savon, pour effacer la honte. Je frotte si fort que ma peau rougit et devient douloureuse. Je suis soulagée en pensant que mon mari Léo n'ira pas au travail ces prochains jours. Ce qui signifie que je vais avoir un peu de repos avant que mon propriétaire revienne me chercher.

Nous avons des relations sexuelles Léo et moi, mais pour une raison étrange, je ne peux en profiter. Après ce qui vient de m'arriver ces derniers jours, comment pourrais-je être excitée ?

- Ça va Léa ? Que se passe-t-il ? Me demande-t-il doucement.

Je lui dis simplement que je ne suis pas d'humeur et nous en restons là. J'espérais qu'il essaie de m'exciter un minimum, mais il ne le fait pas. Ma libido m'a trahi toute la semaine alors pourquoi elle ne veut pas de sexe maintenant ? Alors nous nous blottissons simplement l'un contre l'autre.

Je ne dis rien à personne. Je me sens coupable, avilie, salie et plus encore parce que j’ai aimé, j’ai aimé à fond et plus les jours passent, plus mon désir me pousse à regretter de ne pouvoir recommencer. La nostalgie fait place à la honte et mes rêves sont faits d’hommes vigoureux et de meutes en rut qui me couvrent des heures durant en m’entraînant toujours plus loin dans l’orgasme.

Le lendemain soir au lit, Léo commence à m'embrasser. Il roule sur moi et explore ma bouche avec sa langue. En même temps, il met sa main entre mes cuisses pour les séparer. Il aligne sa queue sur l'entrée de mon puits d'amour et me pénètre lentement. Je ressens de la douleur, car je ne suis pas prête, je suis trop tendue. Lentement, il me fait l'amour. Je reste là allongée, mais tout ce que je ressens, c'est de la douleur dans mon sexe. 

Je veux pleurer. J'ai essayé toute la semaine de ne pas profiter des moments de débauche, de ne pas les apprécier, mais ma libido, elle, s'est vautrée dans le plaisir pour bien que j'en profite. Alors que maintenant que je veux faire l'amour avec mon mari, ma libido reste éteinte. Il ne faut pas longtemps avant que Léo se vide en moi avec un long gémissement. Mais ma moule n'est toujours pas excitée, elle reste presque sèche.

- As-tu eu du plaisir ma chérie ?

Je le regarde dans les yeux et je prévois sa déception si je lui réponds non. Alors je souris et lui dis :

- Mais oui, bien sûr !

Il me regarde, perplexe et dit : 

- Mais tu n'as pas gémi ?

- C'est parce que je me mordais les lèvres pour ne pas faire trop de bruit. Que je réponds avec un sourire forcé.

Il me sourit en retour et nous en restons là. Cette nuit-là, je pleure en silence.

Les deux jours avec mon mari s'écoulent trop rapidement. Et je me retrouve bientôt, assise sur mon canapé, en train d'attendre Mr Alain. Je m'habille comme il me l'a ordonné. Je mets les bas noirs avec le porte-jarretelle noirs ainsi que le string, un haut noir échancré et des hauts talons puis je m'assois sur le canapé pour attendre son arrivée.

Je ressens de la peur et de la tristesse. C'est alors que je sens que ma moule réagit. Je mouille ? Mais  Pourquoi ? Pourquoi ma moule n'a-t-elle pas réagi suite aux efforts de mon mari ? Ça doit être en prévision de ce qui va m'arriver. Quels actes sexuels dégoûtants vais-je encore devoir subir ? Quoi qu'il en soit, ma moule est impatiente. Je suis outrée qu'une partie de mon corps réagisse ainsi, comme une vraie salope.

Quand le propriétaire arrive, il est extrêmement content de ma tenue. Il me dit :

- Bien Léa, tu es devenue une vraie petite pute, n'est-ce pas ?

C'est vrai. Ma grotte me rend folle. Une chaleur m'envahit quand M. Alain me traite comme de prostituée.

- J'ai une surprise pour toi ma chère Léa !

Je lève les yeux.

-Il y a quelqu'un dehors qui donnerait sa vie pour ta chatte. Tu vois, tu as déjà des admirateurs.

J'ai peur. Je lui demande :

- Combien de personnes savent ?

- Mmmmm ? Quelques-unes des femmes de cet immeuble sont conscientes de tes obligations pour ta dette. Qu'il me répond en riant.

Je le regarde avec un air choqué.

- Mais ne t'inquiète pas Léa, elles ont leurs propres ennuis financiers pour ne pas s'occuper de toi.

- Vous voulez dire qu'il y a d'autres femmes dans cet immeuble qui ne vous paient pas le loyer et que vous en abusez ?

Il sourit.

- Eh bien ? Si elles ne peuvent pas me donner d'argent, elles doivent payer autrement. La plupart des femmes vivant dans le quartier ne peuvent payer le loyer alors je m'assure qu'elles comprennent que ce n'est pas gratuit.

Il dit cela avec une telle froideur que je frissonne littéralement. Et il surenchérit :

- Mais je vais te dire une chose qui va rester entre nous. Certaines femmes ici aiment être traitées comme de complètes et totales prostituées. Au début, elles ne veulent pas, mais elles prennent goût à l'humiliation, c'est merveilleux à voir.

Il lève les yeux vers le ciel et dit assez fort :

- Vous pouvez entrer maintenant !

Je retiens mon souffle et regarde en direction de la porte.

- Oh ! Mon Dieu ! S'il vous plaît, pas lui ? Dis-je discrètement en suppliant.

Dans l'encadrement de la porte se trouve mon voisin qui habite juste en dessous de nous. Dire qu'il est bizarre est un euphémisme. Il quitte rarement son appartement et lorsqu'il le fait il laisse derrière lui une odeur de renfermé. C'est le genre de type qui passe sa vie devant un écran d'ordinateur.

Il a des cheveux noirs, gras et emmêlés, une barbe crasseuse. Il porte de grosses lunettes noires ainsi qu'un tee-shirt jaune qui moule son corps et laisse apparaître sa poitrine. Il devrait acheter un soutien-gorge, que je me dis. Il me regarde, bouche bée. J'ai oublié que j'étais en bas avec porte-jarretelle et talons hauts.

- Mario m'a payé un peu pour avoir ta compagnie pendant un moment. Dit Mr Alain.

- Moi ! Je ne verrai pas la couleur de cet argent alors que je vais me faire baiser ? C'est ça ?

Je devrais vraiment apprendre à me taire. Mes plaintes ont toujours été récompensés par une claque. Et ce n'est pas différent cette fois-ci. Alors que je m'assois sur mon canapé en frottant ma joue douloureuse, Mr Alain s'assoit en face et dit :

- Tu peux entrer Mario, et fermer la porte. Elle est à toi.

Mario s'approche et s'assoit à côté de moi. Son odeur me fait instantanément oublier ma joue brûlante. Il se penche en avant et essaie de m'embrasser. Son souffle est horrible. Je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose.

Je sens son visage s'approcher et il embrasse doucement mes lèvres. Sa barbe crasseuse chatouille ma figure. Il pose ensuite une grosse main sur ma cuisse, la fait glisser sur le bas. Je tente de le repousser, mais il force sa langue dans ma bouche. Sa salive au goût acre coule sur ma langue et dans ma bouche.

Après ce qu'il me semble une éternité, il retire finalement sa langue de ma bouche. Ça me laisse un goût horrible dans la bouche. Il place ses mains de chaque côté de mes hanches et il tire mon string vers le bas, exposant ainsi ma grotte rasée. Il retire mon string noir jusqu'à mes chevilles et me l'enlève. Puis, il le porte à son nez et prend une longue bouffée de l'odeur résiduelle. Écœurée, je regarde ce reclus social sentir mon sous-vêtement. Puis quand il est satisfait, il met le string dans sa poche.

Pendant ce temps-là, Mr Alain reste assis avec un grand sourire sur son visage, sa bite tend son pantalon.

Mario passe alors ses mains sous mon haut et sort mes seins. Il se penche en avant et passe sa langue sur mes tétons raidis. En même temps, il met une main entre mes cuisses et commence à fouiller ma chatte.
Je pense qu'il n'a jamais eu de femme dans sa vie, car il n'a pas la moindre idée de ce qu'il cherche. Il tâtonne en essayant de trouver l'ouverture de mon sexe. Il lève les yeux vers moi. Je vois de la fureur dans son regard. J'ai peur. Il me claque le visage avec une force considérable.

- AH ! AH ! C'est ça Mario, donne-lui une leçon à cette salope ! 

Mario me gifle encore plusieurs fois avec sa main ouverte. Puis il se penche en avant, prend un de mes tétons dans sa bouche et le mord fortement.

- AIIIIIEEEE !! Salaud ! Crié-je de douleur.

Une autre gifle sur la figure me fait reculer. Puis il se lève et tire son tee-shirt au-dessus de sa tête. Son ventre flasque rebondit avec le mouvement. Puis, il tire son pantalon vers le bas. Celui-ci tombe en pile autour de ses chevilles.

- Oh mon Dieu ! Soupiré-je.

Mr Alain rigole.

- Ça, c'est pour toi maintenant.

Je reste bouche bée devant la taille de la bite de Mario. Elle est énorme. Je n'en ai encore jamais vu une aussi grosse. Son sexe pend, il fait bien trente centimètres de long. Je le trouve beau et bien épais. Je sens une chaleur poindre dans mon puits d'amour. Ma grotte mouille à sa vue, elle veut ce sexe, elle a envie de cette grosse bite. Elle veut être remplie par ce gros membre de chair, elle a envie de cette longue et grosse queue. Moi aussi.

A suivre...

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