jeudi 28 février 2019

Voyage au Mexique Ch. 01

Voyage au Mexique - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Rencontre à la station service.

Pour notre dixième anniversaire de mariage, mon mari m'a offert une surprise : un voyage au Mexique en 4x4. Il en rêvait depuis des années.

Nous roulons maintenant depuis des heures à travers une plaine desséchée, et écrasée par le soleil.
Nous ne rêvons plus, l'un comme l'autre, que d'une chose, des boissons fraîches. Del Rio au Texas est bien loin, et par comparaison avec la misère de la région qu'on traverse, Piedras Negras, elle-même, nous semble une mystérieuse enclave de prospérité.

Soudain apparaît, inattendue dans ce décor, une minuscule station d’essence « PEMEX », flanquée de son inévitable « Taqueiras», une sorte de resto sordide, où, quand on a de la chance, et pas peur des amibes, il est possible de manger des tacos agrémentés d'une bière « Das Equis», le must du must au Michelin local, au moins un « trois amibes ». Dans la région, la qualité d'un resto se calcule en « amibes », et celle d'un hôtel en « cancrelats ».

André, mon mari, n'hésite pourtant pas un seul instant. Il a soif, et le réservoir de la 4x4 est quasi vide. Pourtant la station n'est guère encourageante. Je ne dirais même pas qu'elle est pittoresque. Elle est crasseuse, c'est tout.
Un peu à l'ombre, autour d'une table miteuse, un petit groupe d'hommes, la mine patibulaire, sirotent ce qui de toutes évidences ne doit pas être leur première bière.

Il me semble préférable de ne pas descendre. Les types ne me quittent pas des yeux, et ne se gênent même pas pour me faire des gestes obscènes pendant que mon mari fait le plein.

Le plein fait, André me quitte un instant pour payer l'essence et nous acheter des cocas bien glacés. Je n'aime pas ça, j'ai peur, vraiment peur. Ces types feraient peur à n'importe qui. Mon mari est à peine rentré dans le garage que, un à un, les types se lèvent et viennent entourer notre voiture.

Ce sont des « quemadores », des ouvriers agricoles. Ils en ont en tous cas l'habillement : le pantalon qui s'arrête au-dessus des chevilles, la chemise ample qui dépasse à peine le coude, le chapeau de paille pour se protéger du soleil, et l'inévitable machette passée dans une large ceinture de toile vive.

C'est avec soulagement que je vois mon mari réapparaître. Comprenant tout de suite la situation, et fou de rage, il se dirige vers nous. Il n'a pas fait quelques pas, qu'une bouteille de « Cervesa » s'écrase sur son crâne. Il tombe comme une masse et se voit gratifier au passage d'un formidable coup de pied botté dans le ventre.

Ma peur fait place maintenant à de l'affolement. Ma vitre vole en éclat. Ma portière s'ouvre. Des bras s'emparent de moi. On me projette à terre. On me tire jusqu'à la table où quelques minutes avant encore ils étaient installés. D'un revers du bras, l'un des types dégage la table de toutes les bouteilles qui l'encombrent. On m'empoigne, on déchire ma jupe, on me colle le dos à la table. Quatre types m'y maintiennent, je ne peux plus bouger. Autour de moi, je n'entends que des rires gras et mauvais.
Un homme s'approche. Il arbore un sourire triomphant, et sort un coutelas de sa botte.

Il savoure la peur qui se lit dans mes yeux. Je ne peux pas m’empêcher de fixer cette longue lame brillante s'approcher de mon corps. La pointe de la lame s'attarde maintenant entre mes jambes. C'est presque avec soulagement que je constate que le type se borne à me trancher le slip. Au tour de mon soutien-gorge. Ce n'est bientôt plus qu'un souvenir. Le type s'amuse maintenant à apprécier l'élasticité de ma poitrine avec la pointe de son couteau. Je suis terrorisée. Je n'ose plus faire un geste, je n'ose plus émettre un son.

D'un mouvement de sa tête, il fait comprendre aux deux mecs qui me tiennent les jambes qu'il faut me les écarter et les mettre sur ses épaules. Ma position est inconfortable, je ne peux plus garder la tête redressée, je la laisse retomber dans le vide, je vois désormais le monde autour de moi à l'envers.

Je suis quasi nue sur cette table, j'y suis littéralement piquée comme un papillon sur le fond de sa boite. Autour de moi, ce ne sont que des rires. Un des types gueule à je ne sais qui, quelque chose que je ne comprends pas.

La tête à l'envers, je vois un jeune adolescent sortir du garage. Il a vite compris ce qu'on lui offre, et sans que personne ne lui ait rien demandé, il me plante dans la bouche une bite vigoureuse. Je n'ai pas le choix, résister ne servirait qu'à m'attirer des coups. Et j'ai vu ce qu'ils ont fait à mon mari. Je commence à sucer le gosse, la tête toujours dans le vide. Le jeune ne se contente pas de se faire sucer la bite, il en profite au passage pour me pincer cruellement les seins.

J'ai mal, vraiment très mal. Je pleure. Mes plaintes meurent dans un éclat de rire général. Les types laissent le gosse se faire pomper jusqu'à ce qu'il éjacule dans le fond de ma gorge. Je n'ai pas le choix, placée comme je suis, je dois tout avaler ou j'étouffe. Tout autour de moi ce ne sont que des rires et des commentaires salaces sur l'avenir prometteur du gamin.

Une fois que le gosse a eu ce qu'il voulait, on l'écarte sans ménagement. Ça, c'était de toutes évidences, uniquement les préliminaires. Le type au couteau se présente maintenant devant ma chatte. Je ne vois toujours rien, mais je sens que sa bite est bien dressée et qu'il n'a qu'à faire un geste pour me pénétrer. Mais non, il savoure devant ses hommes le morceau de choix qui lui est offert : la femme d'un gringo.

Il me taquine un long moment l'entrejambe et mes petites lèvres de la pointe de son organe. Brutalement je le sens me pénétrer violemment jusqu'à ce que ses couilles viennent battre mon entrejambe. Je m'attends à ce qu'il me besogne rudement mais non, il prend une fois encore tout son temps, s'amusant visiblement à lire la moindre nuance de terreur dans mes yeux. Je comprends assez l'espagnol pour savoir que ce salaud entre deux grognements de satisfactions décrit à ses hommes avec complaisance l'étroitesse et l'humidité de ma chatte. Je le sens s'activer maintenant tout lentement, mais bien à fond. Je ne m'attends pas à une pénétration pareille dans un viol. Ce rythme lent et puissant, ce rythme qui aspire ma féminité comme une pompe à vide, me bouleverse. Je sens le plaisir monter en moi, et l'homme s'en aperçoit lui aussi. Voyant l'orgasme sur le point de me submerger, il me sourit, mais ne modifie pas son rythme pour autant.

Malgré moi, malgré ma situation, malgré mon humiliation, malgré la terreur, malgré la rudesse de cet homme, je ne sais pas comment ; sa façon de me faire l'amour, sa puissance, son autorité naturelle, la perversité qui se lit dans ses yeux, mais ce type me fait jouir comme je n'aurais jamais cru qu'il soit possible.

Lorsque je reviens à moi, c'est pour constater qu'il vient de jouir à son tour, en inondant ma chatte de sa semence. Reprenant sa contenance, le type, un sourire narquois aux lèvres, me dit en se retirant :

-  Toi, tu vas rendre mes hommes très heureux...

Le suivant prend la place libre, encouragé par de grandes tapes amicales de ses copains sur ses épaules. Je sens ses mains calleuses qui patrouillent mon corps et ma chatte. Je les imagine repoussantes de saleté. Lui, à la différence du premier, me pénètre et me besogne sans aucun ménagement, comme si j'étais la vulgaire chèvre qui devait faire de toutes évidences son ordinaire. Ses mains s'emparent de mes seins. Il les soupèse avec un soupir d'aise, et se met à tirer méchamment sur les mamelons, les allongeant cruellement. Je ne suis plus qu'un objet entre ses mains. Sous la douleur, ma tête oscille dans tous les sens. J'implore sa pitié.

Autour de moi, les hommes rient de mes contorsions qui ne font que dévoiler plus encore mes charmes les plus intimes, et qui surtout, montrent bien malgré moi, ma chatte ruisselante de mouille et du sperme de son copain.

Il est encore en train de me baiser la chatte, que déjà un autre type se présente. Il s'installe devant ma figure, et laisse tomber son pantalon en exhibant son sexe. Une odeur épouvantable faite d'un mélange subtil de crasse, de sueur et de ferme s'en dégage. Il a visiblement envie d'une pipe avant de me baiser. L'odeur est trop repoussante, j'ai envie de dégueuler, je tente de garder mes lèvres closes, mais la lame tranchante d'un poignard appliquée sur ma gorge me fait rapidement comprendre que cette idée n'est pas la bonne.

D'une poussée, son sexe immonde envahit ma bouche. Il s'en sert comme d'une chatte, me forçant à le pomper, tandis que son copain, toujours occupé à me baiser active sa cadence. Il ne tarde pas à éjaculer et se retire. J'en suis fort satisfaite. Un de ses copains prend la place vacante. Il me saisit par les hanches comme les deux premiers, mais à la différence des deux autres, lentement mais avec une force terrible, il accentue la cambrure de mon bassin.

Je commence à comprendre où il veut en venir. Il veut m'enculer. Je suis prise de terreur, et je me débats. J'ai toujours détesté çà. Mon mari ne me l'a fait qu'une fois ou deux et encore, après bien des discussions et des bagarres. C'est dégradant pour une femme, et c'est douloureux. Pourtant il m'est impossible de me dégager de cette poigne puissante.

Un sourire mauvais aux lèvres, je ne vois que son air de satisfaction lorsqu'il introduit son gland boursouflé dans mon cul. Comme le premier, il met un temps interminable, une éternité pour me pénétrer. Je sens son sexe remonter centimètres par centimètres dans mon étroit conduit. Je hurle de douleur, je me débats, mais ça ne fait que l'exciter davantage.

Il est maintenant au fond de mon cul, je sens ses couilles battre mes fesses, il ne peut pas aller plus loin. La douleur a fait place à une vague de chaleur qui irradie de mon cul. Je reviens sur mon opinion concernant la sodomie.

C'est maintenant en alternant leurs mouvements que les deux hommes enfoncent profondément leur sexe, l'un dans ma bouche, et l'autre dans mon cul. Je me balance au rythme de leurs pénétrations. Malgré moi, je laisse échapper des râles de plaisirs.

Les types s'en rendent compte immédiatement. L'ambiance change du tout au tout. Mes deux violeurs en tirent visiblement grande gloire auprès de leurs compagnons. C'est maintenant avec plus de force, mais aussi avec plus de douceur, qu'ils me besognent. J'ai bien fait de changer d'attitude.

Bien malgré moi, je réagis de plus en plus, je participe activement maintenant. Mon corps tendu, je réponds par une série de frissons annonciateurs de l'orgasme puissant que je sens venir du plus profond de mon être. J'accompagne leurs mouvements d'une puissante oscillation du bassin. J'enserre de mes jambes pour mieux le retenir celui qui m'encule.

Le type que je pompe, sort de ma bouche. Il n'a pas éjaculé. Je reste sur ma faim. Voyant ma collaboration sincère, les autres types ne me retiennent plus que pour la forme. C'est avec avidité que je me jette sur cette queue qui tente de s'échapper, et je l'avale toute entière. J'enfouis mon visage jusqu'au pubis de l'homme qui, étonné, se met à rire. Son rire est communicatif, et ses copains se marrent aussi. Je m'en fous, je suis une salope.

Mes lèvres se remettent à pomper ce membre qui, un moment, a tenté de s'échapper. Cette fois j'ai bien décidé qu'il ne quitterait plus ma bouche avant de s'y être complètement vidé. J'y mets toute ma science. Ma langue s'enroule sur les bourses incroyablement poilues de l'homme, et y laissent de larges traînées de salive. Je garde fermement mes lèvres serrées autour de sa bite, je la gobe tout entière, et voracement. Je sens le plaisir monter dans sa queue. Bientôt je vais recevoir sa semence dans ma gueule.

Elle arrive, je m'y attendais, mais la puissance de l'éjaculation me laisse pantoise. Malgré mes efforts, je ne parviens pas à retenir tout en bouche. Du sperme s'écoule sur ma figure. De fines coulées se rejoignent sur le globe de mes seins, une goutte s'y forme, et vient perler sur la pointe d'un de mes mamelons. Je laisse s'échapper un long cri perçant de femelle comblée. Je perds conscience.

Devant le spectacle qui lui est offert, l'excitation de l'homme qui m'encule décuple. Il change son rythme et sa puissance. Il ne tarde pas lui non plus à se vider dans mes entrailles. Je suis comblée.

Au-dessus de moi, tout se brouille, je parviens encore à distinguer les deux types hilares,
leur queue encore plantée dans mon corps, se taper dans les mains en témoignage de reconnaissance mutuelle de leur exploit.

Quand je reviens à moi, c'est pour constater que mes jeunes amants m'ont quitté, pour laisser la place à un gros et vieux type qui me baise tranquillement, et sans grande conviction, alternant les mouvements de son bassin avec des rasades de cette ignoble Cervesa. En voyant l'adolescent qui m'a violé ricaner à côté de lui, j'en déduis que çà doit être son père. C'est sur cette dernière vision que je sombre à nouveau dans l'inconscience.

Quand je reviens à moi, je suis seule, étendue en plein air sur cette table ignoble. Je suis exténuée et assommée de jouissance. Je me redresse, et je sens immédiatement un flot de sperme dégouliner de ma chatte et de mon cul. J'ai la bouche pleine de sperme, j'ai beau tenter de le recracher, le goût persiste dans ma bouche. Mon mari lui, est toujours étendu, face contre terre. Une volumineuse bosse orne le sommet de son crâne.

C'est dans un état second, et entièrement nue, que j'entre dans la « taqueras ». Les hommes qui m'ont violée sont là, accoudés au bar. Je ne sais pas pourquoi, mais je me dirige directement vers le premier qui m'a violé, et qui semble être leur chef, l'homme au couteau, celui qui se fait appeler Pedro.

Je m'agenouille devant lui, j'enfonce ma tête amoureusement entre ses jambes. Cet homme rustre, cette bête, m'a comblée. A 35 ans, je sais enfin ce que c'est le sexe. Il m'a révélé ma sexualité. Je suis sa chose. Il est mon maître.

Etonné par mon attitude, il me passe tendrement la main dans les cheveux, tandis qu'en signe de soumission publique, je lui suce une nouvelle fois la queue devant tous ses hommes médusés.


A suivre...


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