Sortie scolaire- récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Fin du séjour.
Pour Hélène CARTIER c'est la fin du séjour, son « amant » la laissera-t-il en paix ?
Cette fois la semaine se terminait, le lendemain matin les classes plieraient leurs bagages, en était-elle soulagée, Hélène n'osait même pas se répondre à cette question.
Allongée dans son petit lit de camp, incapable de dormir, elle tentait de résoudre ce dilemme, plus elle réfléchissait à sa mésaventure, moins elle se sentait honteuse de ce qui lui était arrivée, cela l'avait quand même drôlement changée des tièdes assauts de son mari, toujours si fatigué. Elle pressentait que si elle avait pris, bien malgré elle du plaisir aux étreintes qu'elle avait subies, c'était plus par manque que par véritable envie.
Or voilà que le fait de devoir se séparer de son jeune amant, car du rôle de suborneur il était passé à ce titre dans ses pensées, la chagrinait anormalement ; alors qu'elle aurait du se sentir apaisée de ne plus devoir se plier à ses diktats, voilà qu'elle se surprenait présumant qu'elle les regretterait. Alors qu'elle pensait avoir cédé à ses injonctions pour préserver sa famille, éviter le scandale que la révélation de sa conduite aurait entraîné, elle comprenait que, si au départ, c'était l'entière vérité, il s'y était mêlé, par la suite, une attitude beaucoup plus perverse. Elle savait et devait se l'avouer que dès les premières fornications ses sens s'étaient réveillés, puis habitués rapidement à cette fureur de jouir, jusqu'à sa dernière possession ; elle n'avait jamais subi, auparavant d'enculage, cette pratique lui paraissait d'ailleurs réservée aux prostituées, tant elle lui semblait dégradante, et voilà que maintenant, son opinion avait, même sur ce point évolué. Alors qu'elle croyait que cette fois cela la dégoûterait définitivement de son suborneur, la première douleur, fugace d'ailleurs, passée, elle avait pris un énorme plaisir à cette pratique qu'elle qualifiait de contre nature il y a encore peu de temps. Petit à petit elle devait convenir qu'elle avait évolué, qu'elle s'ouvrait à une sexualité qui jusqu'ici la rebutait, elle ne sortait pas indemne de cette sortie, son corps exigerait à l'avenir plus que ce que son mari lui accordait chichement.
C'est l'esprit encombré d'images folles : elle à genoux suçant le jeune loubard, écartant ses fesses au maximum pour l'inviter à l'empaler, dansant nue parmi plusieurs jeunes pour les exciter ... qu'elle s'endormit.
Le lendemain, après le petit déjeuner, alors qu'aux sanitaires elle lavait la vaisselle du petit déjeuner, Franck surgit à ses cotés, il pouvait lui dire ce qu'il voulait, ils étaient seuls, il commença :
- Alors chérie, remise de tes émotions? Pas trop mal au cul ? .
- Euh ... Oui ... non ... mais que veux-tu encore ?
- Vous partez demain je crois, on ne peut pas se quitter ainsi .... Mes copains ...
- .... Tes copains ? .. Que veux-tu dire ?
- Ils me reprochent d'avoir seul profité de toi. Eux aussi ils veulent te baiser ... une dernière fois ..... Ils menacent de tout dire à tes enfants si tu refuses ....
- «Non, non personne ne doit savoir ... je ne veux pas ....
- Alors tu sais ce qu'il te reste à faire .... On t'attend sur l'îlot vers 14 heures .... Je m'arrangerai pour être le seul à t'enculer .....
- «Je viendrai .... Je ne peux rien faire d'autre .... Tu me jures tu seras le seul .... A me ...
- Juré !
- ...
Il la quitta sur ces derniers mots, bêtement elle se sentait presque heureuse qu'il prenne soin d'elle, en se réservant son anus il lui épargnerait de subir cet ultime outrage par les autres, finalement ils ne profiteraient de son corps que par les orifices prévus à cet usage et ça elle le devait à Franck, un sentiment incongru la submergeait : elle lui était reconnaissante de la préserver, conservant pour son usage personnel le plus infamant.
L'après midi, elle savait qu'il était prévu une visite de la cathédrale, il lui suffirait donc de feindre une indisposition passagère et elle pourrait satisfaire Franck, car dans son esprit troublé il s'agissait plus de satisfaire son amant que d'échapper au scandale dont la menaçait une éventuelle révélation de son aventure.
Comme attendu, lors du repas de midi, elle se plaignit d'une légère indisposition, il fut décidé qu'elle garderait le camp, le retour était prévu pour 18 heures.
Elle partit s 'allonger sous sa tente tandis que la petite troupe s'affairait, enfin, vers 13 heures trente, sa progéniture vint la visiter, s'enquérant de sa santé et l'informant que le départ était imminent. A peine eut–elle entendu démarrer le petit car que Franck surgissait dans sa tente, sure de ne pas être observée, elle l'embrassa à pleine bouche, tout de suite il inspecta sa valise décidant de la tenue qu'elle adopterait : une courte robe de bain très décolletée et rien que ça, aucun sous-vêtement.
Puis il l'entraîna vers l'îlot qui semblait être leur repère.
Chemin faisant, elle se surprit à envisager la rencontre avec sérénité loin de ressentir une crainte tout à fait normale en cette occurrence, elle marchait vers ce qui aurait du être son supplice plus exaltée de faire une nouvelle expérience tout en comblant les désirs de celui qu'elle voyait maintenant sous les yeux d'un amant, que révulsée à l'idée de se plier à un chantage ignoble.
Le vent frais s'infiltrait dans son entrejambe, lui rappelant sa nudité, et pourtant elle avançait d'un pas ferme, elle devait s'avouer franchement que ses sens, brutalement réveillés par son jeune galant exigeant des expériences plus luxurieuses que les fades prestations de son mari, elle comprenait que rien désormais ne serait jamais plus pareil, qu'elle devrait dorénavant compter avec une sexualité exacerbée par les derniers événements.
Enfin, ils débouchèrent au centre de l'îlot, ils étaient 3 à l'attendre, tous dans les mêmes ages, 18 20 ans, les présentations furent rapides :
- Le petit brun, c'est Joël, tu l'as déjà sucé et il t'a baisé l'autre jour, la grande asperge c'est Mohamed, lui aussi a déjà goûté à tes charmes, quant à Tony, tu ne le connais pas encore, je te promets une surprise ...
Puis se tournant vers ses copains :
- «La voilà, comme je vous l'ai promis! Mais attention, vous pouvez lui faire ce que vous voulez, mais pas l'enculer .... Son petit trou m'est réservé ... d'accord ?
Et comme ils acquiesçaient de la tête, il invita Hélène à les saluer, la poussant vers eux d'une petite claque sur les fesses.
Le petit brun l'enlaça, força d'une langue agile sa bouche, sans résister elle se laissa embrasser passivement, puis ce fut le tour de Mohamed qui se montra plus frustre, moins habile dans ces petits jeux, puis elle se retourna vers le grand noir musculeux qui la guettait du coin de l'œil. Furtivement elle pensa que pour une première c'était quelque chose, à part son mari, jusqu'ici elle n'avait connu, à son corps défendant que Joël et Mohamed, puis avec moins de réticence Franck et voilà que maintenant elle allait poursuivre son initiation culturelle avec ce grand noir. Si son raciste de mari la voyait ! .
Elle en frémit alors que Tony la ceinturait de ses bras durs, cette fois elle sut tout de suite qu'elle avait affaire à un expert, sa langue épaisse pris possession de sa bouche alors que ses mains se faufilaient sous sa jupe, il interrompit quelques secondes son baiser pour interpeller Franck :
- C'est toi qui lui a dit de venir cul nu ? ... c'est très bien ainsi ..... On la sent prête à tout pour nous satisfaire.
Et il lui reprit sensuellement les lèvres, sa main s'enfonçant entre ses fesses disjointes, effleurant déjà son sexe et son anus, bientôt poignardé par un pouce raidi, tandis que de l'index pénétrait profondément dans sa chagatte déjà sirupeuse.
Affolée, elle saisit que la courte marche l'avait sournoisement échauffée, sa cramouille, subrepticement s'était déjà préparée, distillant discrètement une poisseuse liqueur, traduisant avec clarté son désir profond. Tony ne s'y trompa pas.
- Sais tu qu'elle est trempée ta bourgeoise ..... Elle a la grotte visqueuse ... Je ne te dis que ça ... on va se régaler ... Tu parles d'une salope !
Il entreprit alors de l'affoler, jouant pinçant entre index et pouce le sensible périnè, une houle se leva alors dans ses reins, tandis qu'elle répondait avec passion à ses baisers enfiévrés.
Il continua quelques minutes, et bientôt sous les yeux stupéfaits des différents protagonistes elle avoua son plaisir à gorge déployée, un flot de cyprine s'écoula entre ses cuisses tandis que son corps s'amollissait entre les bras de son séducteur.
Ils s'allongèrent lentement au sol, elle vint se blottir entre les bras de Franck, tandis que leurs regards concupiscents s'attardaient sur ses charmes évidents. Fermement, son amant lui enjoignit de se dévêtir, alors le geste encore gourd, elle saisit d'une main frémissante le bas de sa robe, et lentement, elle fit glisser sa robe vers le haut, dénudant son ventre, puis ses seins avant de lui faire franchir ses épaules sans aucune hésitation. Elle était maintenant nue au milieu de quatre garçons tout habillés, esclave livrée à leurs turpitudes. Cette image lui plaisait bien finalement : celle de la « pure vestale « qu'un enchaînement de circonstances contraignait à s'offrir à la concupiscence d'impitoyables prédateurs.
Tony reprit l'initiative, il ouvrit rapidement la fermeture éclair de sa braguette, un épais mandrin, long d'une vingtaine de cm surgit tout bandé. Amollie dans ses bras, elle avait bien senti la grosseur de son engin, mais de là à l'imaginer de cette taille ... Abasourdie elle tendit la main, saisissant d'une main hébétée la robuste hampe, inconsciemment elle voulait vérifier tactilement ce que ses yeux ne parvenaient pas à fixer.
Au contact de la chair chaude, elle réalisa qu'il ne s'agissait pas d'un mirage, et obéissant servilement, la main de Tony sur la nuque lui indiquant la manœuvre, elle se pencha sur l'impressionnant vit. Dardant la langue elle lécha lascivement la tige, reculant ainsi l'instant ou elle devrait fatalement l'emboucher. Il la laissa faire, conscient qu'elle devait se pénétrer de ses dimensions avant de lui prodiguer la caresse qu'il attendait. Enfin, avec anxiété elle pencha le col et frotta le gland cramoisi à la commissure de ses lèvres, d'un petit coup de rein impatient il lui montra qu'il était maintenant temps d'agir. Fermant les yeux, elle écarta ses mâchoires au maximum et engloutit le bourgeon exubérant. Testant ses capacités elle commença de lent va et vient sur l'extrémité du braquemart, parvenant à chaque fois à accueillir un peu plus le chibre triomphant entre ses dents.
Elle sentit alors qu'on lui écartait fiévreusement les jambes, polarisée par son action buccale elle se laissa mollement disposer à la convenance de celui qui voulait la posséder, Joël, pantalon aux genoux s'engouffra alors d'une seul élan au plus profond de sa grotte accueillante, ce qui lui propulsa la tête vers l'avant, le bubon de chair s'engouffrant alors jusqu'au fond de sa gorge, jetant même un petit coup d'œil au delà. Résistant aux nausées qui soudain l'envahirent, elle resta bouche close figée sur la portion de bite ingurgitée, elle n'en croyait pas ses yeux, elle avait enfourné deux bons tiers de la confondante queue. Il lui laissa quelques secondes pour s'habituer à cette énorme présence, son chevaucheur arrière en profitant pour l'investir au plus profond, puis tandis que ce dernier entamait une brève cavalcade, elle reprit sa fellation avec application.
Joël, trop excité par le spectacle pour pouvoir se retenir explosa en longs geysers dans sa chatte enfiévrée, ce qui provoqua ensuite l'éjaculation de Tony. Elle sentit le manche frissonner, il gonfla encore dans sa bouche, puis le sperme jaillit avec force au fin fond de sa gorge, elle déglutit péniblement avalant tout ce qu'elle pouvait du flot légèrement salé, mais elle ne put tout ingurgiter, bientôt des filaments nacrés suintèrent aux commissures de ses lèvres, le trop plein faisait son chemin, s'écoulant lentement de son menton vers son cou.
Avec un soupir de contentement Tony la libéra, se laissant couler sur le dos pour reprendre ses esprits tandis que déjà, avec une impatience toute juvénile, Mohamed la retournait sur le dos pour s'allonger entre ses cuisses largement ouvertes. Bien qu'encore sous le choc des spasmes fortement éprouvés, un peu lasse, elle se laissa pénétrer sans coup férir, Tout comme Joël, Mohamed n'était qu'un débutant, quelques coups de reins suffirent à le conduire à un rapide coït. Essoufflé, vaguement honteux de la vitesse de son éjaculation, il se retira d'elle, la laissant étendue sur le dos, reprenant lentement ses esprits, inconsciente du spectacle qu'elle leur livrait, cuisses grandes écartées, la semence engluant lentement son entre-fesse, du con à l'anus.
Quelques instants de répit, et déjà Tony, visiblement pas rassasié lui faisait signe de le rejoindre, il s'allongea sur le dos, et mains sur ses hanches il guida son empalement. Malgré ses craintes, l'énorme phallus glissa avec facilité dans sa parfaitement grotte lubrifiée par le sperme de ses deux copulateurs successifs. Cependant, rien à voir avec les sensations perçues auparavant, même avec Franck, pourtant déjà bien membré, elle n'avait ressenti cela, alors que dire du ressenti lors de ce deux coïts précédents, ou lors de ses étreintes avec son mari. Jamais elle n'avait même imaginé être ainsi comblée, c'était inimaginable, elle était pleine de lui, elle avait l'impression que sa gaine se conformait à ses dimensions, s'étirait comme un gant pour mieux épouser son ampleur. D'une pression sur les reins il indiqua sa volonté, et éperdue, elle entreprit de se relever, à la limite du gland, pour mieux se laisser retomber sur la hampe victorieuse, petit à petit elle sentait le chibre s'enfoncer au plus profond de son intimité, ébahie de pouvoir absorber un tel menhir dans ses entrailles. Enfin, il buta sur le col de son utérus, là elle sut qu'il ne pourrait aller plus loin, ce qui était d'ailleurs inutile, ses cuisses maintenant à chaque enfouissement sur le ventre musclé de Tony.
L'empoignant par les hanches, il l'immobilisa sur son torse, puis l'attira contre son ventre, exhibant ainsi son fessier aux différents spectateurs, c'est alors qu'il proposa :
- Alors Franck, qu'attends tu ? Un bon sandwich ... Ça devrait te plaire ....
Elle n'eut pas le temps de s'étonner, nerveuse, incrédule elle sentit Franck lui écarter fermement les fesses, appréhendant soudain ce que cela laissait supposer, elle gémit :
- Non .... Nooon ... Franck, tu ne veux tout de même pas ...... c'est pas possible .... Jamais .....
- Et si ma jolie ...... tu vas être bientôt au nirvana ..... deux queues rien que pour toi .....
Et d'un doigt sur il récolta du sperme entre ses fesses et en enduisit son petit anneau frémissant de peur. Jamais elle n'aurait même supposé qu'on puisse faire cela, déjà quand il l'avait enculée elle avait dépassé les bores de son imagination mais là .... L'idée de devoir accueillir deux bites simultanément dans ses deux orifices l'épouvantait.
Son cœur s'emballa en sentant le gland peser impérieusement sur son œillet affolé, il lui conseilla :
- Calme ... calme toi .... Prête toi ... pousse comme si tu voulais aller au waters ....
Suivant ses conseils avertis, elle réussit à calmer les battements de son cœur, et elle poussa comme pour expulser une crotte, son sphincter s'arrondit, s'évasa, l'immobilisme de Tony lui facilitant la tâche. Le nœud de Franck s'insinua lentement dans le boyau domestiqué, elle le sentit s'installer complètement, la douleur était supportable, une simple brûlure pour l'instant, mais elle savait qu'elle mangé son pain blanc, tout autre devait être l'empalement, du moins elle le craignait.
Poussant de toutes ses forces, elle fit de son mieux pour faciliter l'intromission, la crainte disparaissait petit à petit, prise dans l'action, après tout, elle était directement impliquée, elle faisait de son mieux pour satisfaire son exigeant amant.
Il reprit sa progression, cette fois elle gémit, cela faisait mal, cela ne le ralentit pas pour autant, il ne pouvait afficher la moindre faiblesse devant ses comparses, elle en était persuadée et en déduisait que toute plainte serait vaine, il lui ne lui restait qu'à faire bonne face.
Son boyau s'élargissait, se conformant avec difficulté à la taille de son visiteur, elle creusa les reins , suivant son mouvement, l'accentuant il pénétra d'un bon tiers dans ses entrailles, il se permit alors une courte pause, la laissant s'adapter à cette présence incongrue dans ses reins, elle reprit contenance, la douleur faiblit, elle se décrispa, c'est l'instant qu'il attendait, d'un furieux coup de rein il s'installa jusqu'au couilles dans son tunnel vaincu, la douleur fulgura dans sa tête, elle se mit à trembler convulsivement de tout son corps, comme on flatte une jument rétive, il lui caressa les hanches, les flancs, la ramenant progressivement à un calme plus propice à la suite des événements.
Avec lenteur, coordonnant ils se mirent alors en mouvement, l'un la pénétrant lorsque l'autre se retirait et vice versa, une douleur fugitive cette fois, la traversa, puis, l'impensable survint, elle s'accorda à leurs impulsions, et bientôt elle participa pleinement à cette double pénétration qui lui paraissait inenvisageable dix minutes plus tôt, mieux même, bientôt ils la sentirent amplifier ses mouvements, ses orifices se dilater, ses muscles internes gainer leurs vits enfiévrés, emmanchée par ses deux trous, elle provoquait maintenant leur copulation, cherchant à leur extirper un plaisir retentissant, enfin, les deux bites se mirent à trembler à l'unisson, elles gonflèrent encore, elle le sentait, elle était arrivée à l'instant suprême, s'enfonçant jusqu'à d'un même élan dans ses deux orifices malmenés, elle vomirent leur sirop voluptueux, un long frissonnement les agita tous trois tandis qu'ils se déversaient au fin fond de ses entrailles, puis ils s'écroulèrent les uns sur les autres, haletant, le temps de reprendre leurs esprits.
Enfin les deux chibres en pleine détumescence glissèrent hors de ses trous, ils se dégagèrent quelque peu, soufflant encore comme des phoques, tandis qu'allongée au sol, toujours secouée de courts spasmes nerveux, elle sentait leur semence sourdre de ses trous dilatés, poissant son entre-fesse avant de s'écouler sur le sol.
Effarée de cette jouissance imprévue, elle se lava sous leurs goguenards avant de reprendre accompagnée de Franck le chemin du camp. Dans la tente, elle lui fit une dernière, du moins le pensait-elle, gâterie, avant de se changer pour accueillir les enfants.
Le lendemain matin, elle eut la surprise de trouver son fils, Emmanuel en train d'admirer la moto de Franck, curieux de tout, et fondu de moto, il était évident que son fils se devait de ne pas laisser passer une telle occasion. Elle ne fit aucune remarque, accordant même à Emmanuel l'autorisation de faire un tour de moto, puis ils chargèrent leurs affaires dans le bus, prirent une dernière photo de groupe, Emmanuel insista alors pour être pris en photo sur la moto de Franck, à ses cotés, convaincue qu'ainsi elle garderait un souvenir palpable de son aventure, elle y consentit, plutôt deux fois qu'une.
Enfin le bus chargé jusqu'à la gueule, ils reprirent la route, elle osa même, imitant son fils faire de grands signes d'adieu à Franck et sa bande qui les regardaient partir calmement, car si Hélène était certaine de ne plus jamais revoir Franck, dont elle conserverait cependant un souvenir ébloui, lui était convaincu que grâce au reçu qu'il s'était fait remettre par le tôlier le jour de leur rendez-vous à Saint Quentin, il pourrait à nouveau s'insinuer dans la vie de la belle bourgeoise, ce qui lui permettrait de poursuivre son dressage.
Il était certain qu'à l'avenir Hélène deviendrait bientôt sa pouliche entièrement soumise.
FIN.
Pour Hélène CARTIER c'est la fin du séjour, son « amant » la laissera-t-il en paix ?
Cette fois la semaine se terminait, le lendemain matin les classes plieraient leurs bagages, en était-elle soulagée, Hélène n'osait même pas se répondre à cette question.
Allongée dans son petit lit de camp, incapable de dormir, elle tentait de résoudre ce dilemme, plus elle réfléchissait à sa mésaventure, moins elle se sentait honteuse de ce qui lui était arrivée, cela l'avait quand même drôlement changée des tièdes assauts de son mari, toujours si fatigué. Elle pressentait que si elle avait pris, bien malgré elle du plaisir aux étreintes qu'elle avait subies, c'était plus par manque que par véritable envie.
Or voilà que le fait de devoir se séparer de son jeune amant, car du rôle de suborneur il était passé à ce titre dans ses pensées, la chagrinait anormalement ; alors qu'elle aurait du se sentir apaisée de ne plus devoir se plier à ses diktats, voilà qu'elle se surprenait présumant qu'elle les regretterait. Alors qu'elle pensait avoir cédé à ses injonctions pour préserver sa famille, éviter le scandale que la révélation de sa conduite aurait entraîné, elle comprenait que, si au départ, c'était l'entière vérité, il s'y était mêlé, par la suite, une attitude beaucoup plus perverse. Elle savait et devait se l'avouer que dès les premières fornications ses sens s'étaient réveillés, puis habitués rapidement à cette fureur de jouir, jusqu'à sa dernière possession ; elle n'avait jamais subi, auparavant d'enculage, cette pratique lui paraissait d'ailleurs réservée aux prostituées, tant elle lui semblait dégradante, et voilà que maintenant, son opinion avait, même sur ce point évolué. Alors qu'elle croyait que cette fois cela la dégoûterait définitivement de son suborneur, la première douleur, fugace d'ailleurs, passée, elle avait pris un énorme plaisir à cette pratique qu'elle qualifiait de contre nature il y a encore peu de temps. Petit à petit elle devait convenir qu'elle avait évolué, qu'elle s'ouvrait à une sexualité qui jusqu'ici la rebutait, elle ne sortait pas indemne de cette sortie, son corps exigerait à l'avenir plus que ce que son mari lui accordait chichement.
C'est l'esprit encombré d'images folles : elle à genoux suçant le jeune loubard, écartant ses fesses au maximum pour l'inviter à l'empaler, dansant nue parmi plusieurs jeunes pour les exciter ... qu'elle s'endormit.
Le lendemain, après le petit déjeuner, alors qu'aux sanitaires elle lavait la vaisselle du petit déjeuner, Franck surgit à ses cotés, il pouvait lui dire ce qu'il voulait, ils étaient seuls, il commença :
- Alors chérie, remise de tes émotions? Pas trop mal au cul ? .
- Euh ... Oui ... non ... mais que veux-tu encore ?
- Vous partez demain je crois, on ne peut pas se quitter ainsi .... Mes copains ...
- .... Tes copains ? .. Que veux-tu dire ?
- Ils me reprochent d'avoir seul profité de toi. Eux aussi ils veulent te baiser ... une dernière fois ..... Ils menacent de tout dire à tes enfants si tu refuses ....
- «Non, non personne ne doit savoir ... je ne veux pas ....
- Alors tu sais ce qu'il te reste à faire .... On t'attend sur l'îlot vers 14 heures .... Je m'arrangerai pour être le seul à t'enculer .....
- «Je viendrai .... Je ne peux rien faire d'autre .... Tu me jures tu seras le seul .... A me ...
- Juré !
- ...
Il la quitta sur ces derniers mots, bêtement elle se sentait presque heureuse qu'il prenne soin d'elle, en se réservant son anus il lui épargnerait de subir cet ultime outrage par les autres, finalement ils ne profiteraient de son corps que par les orifices prévus à cet usage et ça elle le devait à Franck, un sentiment incongru la submergeait : elle lui était reconnaissante de la préserver, conservant pour son usage personnel le plus infamant.
L'après midi, elle savait qu'il était prévu une visite de la cathédrale, il lui suffirait donc de feindre une indisposition passagère et elle pourrait satisfaire Franck, car dans son esprit troublé il s'agissait plus de satisfaire son amant que d'échapper au scandale dont la menaçait une éventuelle révélation de son aventure.
Comme attendu, lors du repas de midi, elle se plaignit d'une légère indisposition, il fut décidé qu'elle garderait le camp, le retour était prévu pour 18 heures.
Elle partit s 'allonger sous sa tente tandis que la petite troupe s'affairait, enfin, vers 13 heures trente, sa progéniture vint la visiter, s'enquérant de sa santé et l'informant que le départ était imminent. A peine eut–elle entendu démarrer le petit car que Franck surgissait dans sa tente, sure de ne pas être observée, elle l'embrassa à pleine bouche, tout de suite il inspecta sa valise décidant de la tenue qu'elle adopterait : une courte robe de bain très décolletée et rien que ça, aucun sous-vêtement.
Puis il l'entraîna vers l'îlot qui semblait être leur repère.
Chemin faisant, elle se surprit à envisager la rencontre avec sérénité loin de ressentir une crainte tout à fait normale en cette occurrence, elle marchait vers ce qui aurait du être son supplice plus exaltée de faire une nouvelle expérience tout en comblant les désirs de celui qu'elle voyait maintenant sous les yeux d'un amant, que révulsée à l'idée de se plier à un chantage ignoble.
Le vent frais s'infiltrait dans son entrejambe, lui rappelant sa nudité, et pourtant elle avançait d'un pas ferme, elle devait s'avouer franchement que ses sens, brutalement réveillés par son jeune galant exigeant des expériences plus luxurieuses que les fades prestations de son mari, elle comprenait que rien désormais ne serait jamais plus pareil, qu'elle devrait dorénavant compter avec une sexualité exacerbée par les derniers événements.
Enfin, ils débouchèrent au centre de l'îlot, ils étaient 3 à l'attendre, tous dans les mêmes ages, 18 20 ans, les présentations furent rapides :
- Le petit brun, c'est Joël, tu l'as déjà sucé et il t'a baisé l'autre jour, la grande asperge c'est Mohamed, lui aussi a déjà goûté à tes charmes, quant à Tony, tu ne le connais pas encore, je te promets une surprise ...
Puis se tournant vers ses copains :
- «La voilà, comme je vous l'ai promis! Mais attention, vous pouvez lui faire ce que vous voulez, mais pas l'enculer .... Son petit trou m'est réservé ... d'accord ?
Et comme ils acquiesçaient de la tête, il invita Hélène à les saluer, la poussant vers eux d'une petite claque sur les fesses.
Le petit brun l'enlaça, força d'une langue agile sa bouche, sans résister elle se laissa embrasser passivement, puis ce fut le tour de Mohamed qui se montra plus frustre, moins habile dans ces petits jeux, puis elle se retourna vers le grand noir musculeux qui la guettait du coin de l'œil. Furtivement elle pensa que pour une première c'était quelque chose, à part son mari, jusqu'ici elle n'avait connu, à son corps défendant que Joël et Mohamed, puis avec moins de réticence Franck et voilà que maintenant elle allait poursuivre son initiation culturelle avec ce grand noir. Si son raciste de mari la voyait ! .
Elle en frémit alors que Tony la ceinturait de ses bras durs, cette fois elle sut tout de suite qu'elle avait affaire à un expert, sa langue épaisse pris possession de sa bouche alors que ses mains se faufilaient sous sa jupe, il interrompit quelques secondes son baiser pour interpeller Franck :
- C'est toi qui lui a dit de venir cul nu ? ... c'est très bien ainsi ..... On la sent prête à tout pour nous satisfaire.
Et il lui reprit sensuellement les lèvres, sa main s'enfonçant entre ses fesses disjointes, effleurant déjà son sexe et son anus, bientôt poignardé par un pouce raidi, tandis que de l'index pénétrait profondément dans sa chagatte déjà sirupeuse.
Affolée, elle saisit que la courte marche l'avait sournoisement échauffée, sa cramouille, subrepticement s'était déjà préparée, distillant discrètement une poisseuse liqueur, traduisant avec clarté son désir profond. Tony ne s'y trompa pas.
- Sais tu qu'elle est trempée ta bourgeoise ..... Elle a la grotte visqueuse ... Je ne te dis que ça ... on va se régaler ... Tu parles d'une salope !
Il entreprit alors de l'affoler, jouant pinçant entre index et pouce le sensible périnè, une houle se leva alors dans ses reins, tandis qu'elle répondait avec passion à ses baisers enfiévrés.
Il continua quelques minutes, et bientôt sous les yeux stupéfaits des différents protagonistes elle avoua son plaisir à gorge déployée, un flot de cyprine s'écoula entre ses cuisses tandis que son corps s'amollissait entre les bras de son séducteur.
Ils s'allongèrent lentement au sol, elle vint se blottir entre les bras de Franck, tandis que leurs regards concupiscents s'attardaient sur ses charmes évidents. Fermement, son amant lui enjoignit de se dévêtir, alors le geste encore gourd, elle saisit d'une main frémissante le bas de sa robe, et lentement, elle fit glisser sa robe vers le haut, dénudant son ventre, puis ses seins avant de lui faire franchir ses épaules sans aucune hésitation. Elle était maintenant nue au milieu de quatre garçons tout habillés, esclave livrée à leurs turpitudes. Cette image lui plaisait bien finalement : celle de la « pure vestale « qu'un enchaînement de circonstances contraignait à s'offrir à la concupiscence d'impitoyables prédateurs.
Tony reprit l'initiative, il ouvrit rapidement la fermeture éclair de sa braguette, un épais mandrin, long d'une vingtaine de cm surgit tout bandé. Amollie dans ses bras, elle avait bien senti la grosseur de son engin, mais de là à l'imaginer de cette taille ... Abasourdie elle tendit la main, saisissant d'une main hébétée la robuste hampe, inconsciemment elle voulait vérifier tactilement ce que ses yeux ne parvenaient pas à fixer.
Au contact de la chair chaude, elle réalisa qu'il ne s'agissait pas d'un mirage, et obéissant servilement, la main de Tony sur la nuque lui indiquant la manœuvre, elle se pencha sur l'impressionnant vit. Dardant la langue elle lécha lascivement la tige, reculant ainsi l'instant ou elle devrait fatalement l'emboucher. Il la laissa faire, conscient qu'elle devait se pénétrer de ses dimensions avant de lui prodiguer la caresse qu'il attendait. Enfin, avec anxiété elle pencha le col et frotta le gland cramoisi à la commissure de ses lèvres, d'un petit coup de rein impatient il lui montra qu'il était maintenant temps d'agir. Fermant les yeux, elle écarta ses mâchoires au maximum et engloutit le bourgeon exubérant. Testant ses capacités elle commença de lent va et vient sur l'extrémité du braquemart, parvenant à chaque fois à accueillir un peu plus le chibre triomphant entre ses dents.
Elle sentit alors qu'on lui écartait fiévreusement les jambes, polarisée par son action buccale elle se laissa mollement disposer à la convenance de celui qui voulait la posséder, Joël, pantalon aux genoux s'engouffra alors d'une seul élan au plus profond de sa grotte accueillante, ce qui lui propulsa la tête vers l'avant, le bubon de chair s'engouffrant alors jusqu'au fond de sa gorge, jetant même un petit coup d'œil au delà. Résistant aux nausées qui soudain l'envahirent, elle resta bouche close figée sur la portion de bite ingurgitée, elle n'en croyait pas ses yeux, elle avait enfourné deux bons tiers de la confondante queue. Il lui laissa quelques secondes pour s'habituer à cette énorme présence, son chevaucheur arrière en profitant pour l'investir au plus profond, puis tandis que ce dernier entamait une brève cavalcade, elle reprit sa fellation avec application.
Joël, trop excité par le spectacle pour pouvoir se retenir explosa en longs geysers dans sa chatte enfiévrée, ce qui provoqua ensuite l'éjaculation de Tony. Elle sentit le manche frissonner, il gonfla encore dans sa bouche, puis le sperme jaillit avec force au fin fond de sa gorge, elle déglutit péniblement avalant tout ce qu'elle pouvait du flot légèrement salé, mais elle ne put tout ingurgiter, bientôt des filaments nacrés suintèrent aux commissures de ses lèvres, le trop plein faisait son chemin, s'écoulant lentement de son menton vers son cou.
Avec un soupir de contentement Tony la libéra, se laissant couler sur le dos pour reprendre ses esprits tandis que déjà, avec une impatience toute juvénile, Mohamed la retournait sur le dos pour s'allonger entre ses cuisses largement ouvertes. Bien qu'encore sous le choc des spasmes fortement éprouvés, un peu lasse, elle se laissa pénétrer sans coup férir, Tout comme Joël, Mohamed n'était qu'un débutant, quelques coups de reins suffirent à le conduire à un rapide coït. Essoufflé, vaguement honteux de la vitesse de son éjaculation, il se retira d'elle, la laissant étendue sur le dos, reprenant lentement ses esprits, inconsciente du spectacle qu'elle leur livrait, cuisses grandes écartées, la semence engluant lentement son entre-fesse, du con à l'anus.
Quelques instants de répit, et déjà Tony, visiblement pas rassasié lui faisait signe de le rejoindre, il s'allongea sur le dos, et mains sur ses hanches il guida son empalement. Malgré ses craintes, l'énorme phallus glissa avec facilité dans sa parfaitement grotte lubrifiée par le sperme de ses deux copulateurs successifs. Cependant, rien à voir avec les sensations perçues auparavant, même avec Franck, pourtant déjà bien membré, elle n'avait ressenti cela, alors que dire du ressenti lors de ce deux coïts précédents, ou lors de ses étreintes avec son mari. Jamais elle n'avait même imaginé être ainsi comblée, c'était inimaginable, elle était pleine de lui, elle avait l'impression que sa gaine se conformait à ses dimensions, s'étirait comme un gant pour mieux épouser son ampleur. D'une pression sur les reins il indiqua sa volonté, et éperdue, elle entreprit de se relever, à la limite du gland, pour mieux se laisser retomber sur la hampe victorieuse, petit à petit elle sentait le chibre s'enfoncer au plus profond de son intimité, ébahie de pouvoir absorber un tel menhir dans ses entrailles. Enfin, il buta sur le col de son utérus, là elle sut qu'il ne pourrait aller plus loin, ce qui était d'ailleurs inutile, ses cuisses maintenant à chaque enfouissement sur le ventre musclé de Tony.
L'empoignant par les hanches, il l'immobilisa sur son torse, puis l'attira contre son ventre, exhibant ainsi son fessier aux différents spectateurs, c'est alors qu'il proposa :
- Alors Franck, qu'attends tu ? Un bon sandwich ... Ça devrait te plaire ....
Elle n'eut pas le temps de s'étonner, nerveuse, incrédule elle sentit Franck lui écarter fermement les fesses, appréhendant soudain ce que cela laissait supposer, elle gémit :
- Non .... Nooon ... Franck, tu ne veux tout de même pas ...... c'est pas possible .... Jamais .....
- Et si ma jolie ...... tu vas être bientôt au nirvana ..... deux queues rien que pour toi .....
Et d'un doigt sur il récolta du sperme entre ses fesses et en enduisit son petit anneau frémissant de peur. Jamais elle n'aurait même supposé qu'on puisse faire cela, déjà quand il l'avait enculée elle avait dépassé les bores de son imagination mais là .... L'idée de devoir accueillir deux bites simultanément dans ses deux orifices l'épouvantait.
Son cœur s'emballa en sentant le gland peser impérieusement sur son œillet affolé, il lui conseilla :
- Calme ... calme toi .... Prête toi ... pousse comme si tu voulais aller au waters ....
Suivant ses conseils avertis, elle réussit à calmer les battements de son cœur, et elle poussa comme pour expulser une crotte, son sphincter s'arrondit, s'évasa, l'immobilisme de Tony lui facilitant la tâche. Le nœud de Franck s'insinua lentement dans le boyau domestiqué, elle le sentit s'installer complètement, la douleur était supportable, une simple brûlure pour l'instant, mais elle savait qu'elle mangé son pain blanc, tout autre devait être l'empalement, du moins elle le craignait.
Poussant de toutes ses forces, elle fit de son mieux pour faciliter l'intromission, la crainte disparaissait petit à petit, prise dans l'action, après tout, elle était directement impliquée, elle faisait de son mieux pour satisfaire son exigeant amant.
Il reprit sa progression, cette fois elle gémit, cela faisait mal, cela ne le ralentit pas pour autant, il ne pouvait afficher la moindre faiblesse devant ses comparses, elle en était persuadée et en déduisait que toute plainte serait vaine, il lui ne lui restait qu'à faire bonne face.
Son boyau s'élargissait, se conformant avec difficulté à la taille de son visiteur, elle creusa les reins , suivant son mouvement, l'accentuant il pénétra d'un bon tiers dans ses entrailles, il se permit alors une courte pause, la laissant s'adapter à cette présence incongrue dans ses reins, elle reprit contenance, la douleur faiblit, elle se décrispa, c'est l'instant qu'il attendait, d'un furieux coup de rein il s'installa jusqu'au couilles dans son tunnel vaincu, la douleur fulgura dans sa tête, elle se mit à trembler convulsivement de tout son corps, comme on flatte une jument rétive, il lui caressa les hanches, les flancs, la ramenant progressivement à un calme plus propice à la suite des événements.
Avec lenteur, coordonnant ils se mirent alors en mouvement, l'un la pénétrant lorsque l'autre se retirait et vice versa, une douleur fugitive cette fois, la traversa, puis, l'impensable survint, elle s'accorda à leurs impulsions, et bientôt elle participa pleinement à cette double pénétration qui lui paraissait inenvisageable dix minutes plus tôt, mieux même, bientôt ils la sentirent amplifier ses mouvements, ses orifices se dilater, ses muscles internes gainer leurs vits enfiévrés, emmanchée par ses deux trous, elle provoquait maintenant leur copulation, cherchant à leur extirper un plaisir retentissant, enfin, les deux bites se mirent à trembler à l'unisson, elles gonflèrent encore, elle le sentait, elle était arrivée à l'instant suprême, s'enfonçant jusqu'à d'un même élan dans ses deux orifices malmenés, elle vomirent leur sirop voluptueux, un long frissonnement les agita tous trois tandis qu'ils se déversaient au fin fond de ses entrailles, puis ils s'écroulèrent les uns sur les autres, haletant, le temps de reprendre leurs esprits.
Enfin les deux chibres en pleine détumescence glissèrent hors de ses trous, ils se dégagèrent quelque peu, soufflant encore comme des phoques, tandis qu'allongée au sol, toujours secouée de courts spasmes nerveux, elle sentait leur semence sourdre de ses trous dilatés, poissant son entre-fesse avant de s'écouler sur le sol.
Effarée de cette jouissance imprévue, elle se lava sous leurs goguenards avant de reprendre accompagnée de Franck le chemin du camp. Dans la tente, elle lui fit une dernière, du moins le pensait-elle, gâterie, avant de se changer pour accueillir les enfants.
Le lendemain matin, elle eut la surprise de trouver son fils, Emmanuel en train d'admirer la moto de Franck, curieux de tout, et fondu de moto, il était évident que son fils se devait de ne pas laisser passer une telle occasion. Elle ne fit aucune remarque, accordant même à Emmanuel l'autorisation de faire un tour de moto, puis ils chargèrent leurs affaires dans le bus, prirent une dernière photo de groupe, Emmanuel insista alors pour être pris en photo sur la moto de Franck, à ses cotés, convaincue qu'ainsi elle garderait un souvenir palpable de son aventure, elle y consentit, plutôt deux fois qu'une.
Enfin le bus chargé jusqu'à la gueule, ils reprirent la route, elle osa même, imitant son fils faire de grands signes d'adieu à Franck et sa bande qui les regardaient partir calmement, car si Hélène était certaine de ne plus jamais revoir Franck, dont elle conserverait cependant un souvenir ébloui, lui était convaincu que grâce au reçu qu'il s'était fait remettre par le tôlier le jour de leur rendez-vous à Saint Quentin, il pourrait à nouveau s'insinuer dans la vie de la belle bourgeoise, ce qui lui permettrait de poursuivre son dressage.
Il était certain qu'à l'avenir Hélène deviendrait bientôt sa pouliche entièrement soumise.
FIN.
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