Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.
Récit de Gabrieldutour
***********
Ma mère s'offre à moi.
Comme prévu, je vais vous raconter la suite des aventures de ma mère Martine et des miennes aussi par la même occasion puisque la tournure des choses a suivi un cheminement très inattendu. Ma mère fut trouvée au bord de la route et ramenée par un couple de personnes âgées qui revenait d’une soirée. Ils tentèrent de nous convaincre de porter plainte mais ma mère refusa. Elle ne voulait pas mettre en péril son mariage et la cohésion familiale. Pour ma part, j’étais soulagé de voir que malgré son état, elle allait bien.
Ma mère se précipite donc dans mes bras et je la calme comme je peux. Je lui dis que tout est fini. Après avoir pris une douche, elle descend en peignoir boire un verre d’alcool. Je lui propose de partager ce moment avec elle, trop heureux de voir qu’elle va bien.
- Maman, je tiens encore à m’excuser, c’est de ma faute si tout ceci est arrivé !
- Rassure toi, je ne t’en veux pas, mon chéri. Ce qui est arrivé devait arriver ! c’est la faute de ces ignobles de pervers du net !
- Mais, tu ...tu as été enlevée.
- Oui... (une larme coule et elle renifle) Ces gens m’ont...m’ont violée !
Elle avale d’un trait son whisky et s’en verse un autre. Elle reprend :
- Ils m’ont abandonnée ensuite au bord de la route toute nue !
Je n’arrive pas à y croire. C’est horrible.
- Ensuite, il y’a eu ce camion avec ces deux pervers ! j’ai essayé de m’enfuir mais ils m’ont rattrapée.
Ma mère souffle et essuie ses larmes.
- Que t’ont-ils fait ?
- Ils m’ont séquestrée dans leur camion, m’ont torturée et violée pendant une heure en se relayant. J’ai réussi à m’enfuir pendant qu’ils dormaient en emportant le blouson de l’un d’eux. C’est là que ces gentilles personnes m’ont trouvée. Sans eux, je n’ose penser à ce qui aurait pu m’arriver.
- Ecoute maman, on va tout dire aux gendarmes !
- Non, mon chéri, c’est à nous d’assumer ! J’appartiens à ces pervers. Je me sens comme ...comme une prostituée.
- Non maman, tu n’es pas une prostituée. Tu n’étais pas consentante à tout cela. Tu as été violée. Ce n’est pas ta faute !
Maman ne dit rien et avala son deuxième whisky. Cela lui fait du bien et lui redonne un peu de force car elle semble vraiment choquée par ce qui est arrivé. Elle lève soudain les yeux vers moi.
- Julien, je... ?
- Quoi, maman ?
- Non...rien. Je me demandais si tu as vraiment fantasmé sur les histoires que tu as écrites sur moi ?
Je ne me sens plus la force de lui cacher quoique ce soit et c’est presque machinalement que je lui réponds.
- Ecoute, c’était vraiment du fantasme ! Je n’ai jamais voulu te voir te faire violer réellement !
- Et cette histoire où je me prostitue ?
- Oui, maman, j’en ai même rêvé mais dans le fantasme.
- Tu es franc avec moi mon chéri et je te pardonne tout.
Elle se sert à boire de nouveau. Ses larmes ont séché et la voilà détendue.
- Je regrette ces histoires ! Elles m’ont fait plaisir mais tu en as malheureusement fait les frais !
Elle me coupe brutalement.
- J’ai toujours ignoré que tu me voyais autrement que comme ta mère ! Pourtant, avant cette histoire, je...je n’ai jamais mis de vêtement sexy, je n’ai jamais connu d’autres hommes que ton père. J’ai toujours été une mère à l’écoute de ses enfants.
- Pourquoi me dis tu cela ? Tu es une belle femme et c’est pour cela que je t’ai mise dans l’histoire !
- Une belle femme ! Et apparemment, ma poitrine semble aussi t’attirer particulièrement !
- Je l’avoue et les lecteurs aussi ! ?
- Mais je ne comprends pas pourquoi tu aimes me faire violer ! Tes histoires sont toujours les mêmes, je termine en subissant les pires outrages ! Tu ne te rends pas compte : faire violer ta propre mère !
- T’imaginer te faire violer a toujours été mon plus grand fantasme. Surtout si tu es consentante à la fin. Je sais, c’est pervers mais c’est comme çà. Dans la réalité, cela ne m’a pas donné de plaisir par contre !
Ma mère semble un peu gênée par ces révélations mais elle semble déterminée à poursuivre.
- Tu m’as fait prostituer par la suite !
- Oui, je voulais te mener à la prostitution depuis longtemps, maman ! C’était la conclusion que je voulais faire ! Que tu sois toi même ! ?
- Comment ? Tu insinues que...que je suis une prostituée dans l’âme ?
- Non, dans les histoires ! Dans la réalité tu es ma mère et je t’aime comme un fils !
Nouveau silence.
- Ton père rentre demain. Il ne faut pas qu’il sache tout ça, tu sais ! C’est quelqu'un de prude et un romantique.
- Jamais je ne lui dirais maman, jamais !
Ma mère vient de descendre son dernier verre. Elle s’en ressert un autre et se lève. Là, tout a été très vite.
- Mon fils, je n’ai jamais soupçonné que tu étais comme ça ! Je t’ai vu avec des petites copines ! tu avais l’air de quelqu'un de normal !
Ma mère me prend pour un pervers au même titre que ses ravisseurs.
-je ne vois qu’un seul moyen de te soigner même si cela est interdit.
A ma grande surprise, maman ôte son beau peignoir marron qui glisse le long de son corps. Je n’arrive pas à y croire. Ma mère que je croyais si prude se met nue devant moi, son propre fils. Ces paroles aussi me choquent :
- Maintenant, je veux que tu me baises comme une pute, que tu accomplisses ton fantasme en baisant ta propre mère.
- Maman, tu es folle ! tu es choquée car tu as été violée et tu as bu !
- Julien, mon fils, je me sens pute aujourd'hui et grâce à tes histoires, je me rends compte que j’ai toujours désiré être ainsi. Faire le trottoir a toujours été mon fantasme le plus inavouable.
Je découvre ma mère sous un nouveau jour.
- Les viols que j’ai subi m’ont choquée mais pas par l’acte mais parce que j’avais honte de m’avouer que j’ai aimé.
- Maman, tu débloques ?
- Non, mon chéri ! Et avoir vu ça prouve que tu es quelqu'un de sensible ! Maintenant profites bien de mes charmes ! Mon corps est à toi ! traite-moi comme une truie !
Je regarde le corps de ma mère. Je suis freiné par le tabou de l’inceste mais attiré par ce corps de femme aussi bandant. Ma mère est vraiment bien conservée pour ses 48 ans. Elle prend soin de son corps. C’est une superbe femme mature d’1m64 aux cheveux bruns et aux yeux noisette. Sa coupe au carré lui va parfaitement et son visage, ressemblant à l’animatrice Evelyne T, la rend véritablement sexy. Sa poitrine est vraiment énorme, comme dans les histoires. Je contemple les seins maternels, lourds, laiteux, aux larges auréoles brunes qui m’ont toujours fasciné. Ma mère prit un regard de salope. C’est surprenant car j’ai l’impression d’avoir à faire à quelqu'un d’autre. Cette fois, je ne vois plus la mère mais la femme.
Elle s’avance et m’embrasse tendrement. Puis elle me roule un patin en me prenant la main droite qu’elle mène vers son sexe. Je sens les poils sur mes doigts et je commence à la doigter. Je sens l’imposant volume de ses seins contre moi. Je ne peux m’empêcher de les saisir et de les dévorer. Ma bouche suce les tétons. Ces grosses loches, lourdes et chaudes qui m’ont nourri jadis, deviennent des objets sexuels. Ma mère gémit et elle se met à genoux devant moi.
- Aah, mon fils ! je vais te sucer et après, tu te branleras entre mes seins !
Elle défait ma braguette et en sort ma queue en érection comme jamais. Sa bouche, devenue experte depuis peu, englobe mon membre. Sa langue enroule et titille mon gland et de temps en temps, avec sa bouche, elle me gobe les couilles remplies. Je lutte pour ne pas gicler sur ce beau visage. Ce visage qui, il y’a à peine deux heures, était maculé de sperme de façon à le rendre méconnaissable. Ma mère venait de subir les pires outrages et elle trouve le moyen de baiser avec son propre fils. Elle a dû sentir que j’allais gicler et elle s’arrête. Elle se relève et m’embrasse à nouveau goulûment. A nouveau j’en profite pour palper ses énormes mamelles.
- Julien, tu aimes beaucoup mes seins on dirait !
- Oui, maman, ils sont si gros, si beaux !
- Lèche-les, baise-les mon fils, je te les offre !
Je ne me lasse pas de les tripoter. Du bonheur, je n’arrive pas à m’en défaire. Ma mère éprouve du plaisir à sentir les doigts de son propre fils malaxer et lécher sa lourde poitrine. Ceci dit, elle voulait passer à quelque chose qui lui tenait à cœur. Elle se met contre la table et oriente son cul vers moi.
- Encule-moi, mon chéri, vite !
- Oui, maman, je le désire !
Ma queue rentra dans son cul comme du beurre. Son anus, à force d’être ramoné, avait été élargi. J’y vais à fond, lui limant le cul comme jamais. Elle accompagnait les mouvements par des ondulations du bassin. Je n’arrive pas à y croire : j’encule ma propre mère qui est à poil sur la table de la cuisine. Ses gros nichons sont aplatis contre la table et ondulent lourdement sous l’effet de mes coups de bite. Elle gémit de plus en plus fort accentuant de ce fait mon plaisir. Je suis à deux doigts de gicler dans son cul mais moi, je veux gicler sur ses seins. Elle le comprend et ma mère, voulant mon plaisir se remet à genoux.
- Vas-y mon fils, branle-toi entre mes gros seins ! je veux sentir ta semence couler sur mes tétons !
Elle prend les devants et s’empare de mon sexe. Elle l’installe entre ses deux loches, les presse et entame des va et vient. Je sens ma queue, dure comme jamais, subir la pression des deux gros seins. Cela me fait gémir de bonheur. Ma mère me branle comme une professionnelle. Je finis par gicler sur ses nichons et sur sa bouche. Le sperme se répand sur sa grosse poitrine et coule sur ses tétons qui pointent durs. Ma mère s’empresse de lécher tout ce sperme. Elle avale celui qu’elle avait autour de la bouche puis elle lèche un à un ses nichons. Je suis dans un état second et je prends ma mère par le poignet.
- Allons baiser dans la chambre !
- Comme tu veux, je suis ta pute ce soir !
Nous montons les escaliers et je la pousse contre le lit. Je suis excité comme jamais. Les barrières mère-fils n’existent plus. Ma mère n’est plus qu’une femme aux gros seins, nue devant moi et que je veux baiser par tous les trous. Je la prends par les jambes que je mets sur mes épaules et commence à la baiser comme une salope. Ma queue rentre dans sa chatte mouillée. J’y vais à nouveau à grand coup de rein, la pénétrant de toute mes forces. Ma mère gémit et hurle. Ses gros nichons ballottent devant moi. Ils sont énormes. Je finis par gicler à grand flots ce qui me reste comme jus, répandant mon foutre dans sa chatte. Elle sent la semence de son fils remplir ses entrailles et hurle de bonheur. Je n’arrête pas, je me vide totalement les couilles en la limant comme un fou.
Enfin, épuisé, je laisse ma mère allongée sur le lit, les cuisses écartées, sa chatte dégoulinant encore de mon foutre. Je réalise à peine que je viens de baiser ma propre mère. Je suis épuisé mais encore excité. Non, je ne peux en finir comme ça. Ma mère subit l’effet du whisky et s’endort à poil sur le lit. Je reste à la regarder et en arrive à la conclusion que c’est vraiment une belle salope finalement. Je descends dans la cuisine pour me servir un verre. Tout ça me trotte dans la tête et j’ai l’impression de basculer dans un autre monde. Les scrupules m’abandonnent et je remonte dans la chambre. Ma mère dort, son ventre se soulève et s’abaisse régulièrement. Je regarde ses gros seins encore luisant des restes de mon sperme. J’ai envie de la baiser mais je suis fatigué pour le moment.
Je vide un dernier verre et m’endort sur le canapé. Vers 4h00 du matin, je me réveille avec une seule chose en tête : baiser à nouveau ma salope de mère. Je file à la chambre. Ma mère dort toujours. Elle est sur le côté mais toujours nue de la tête au pied. Je regarde son cul magnifique ramoné de multiple fois. Je décide d’examiner son anus de plus prêt. J’écarte les deux fesses et fixe l’orifice offert. Je reste en extase. L’excitation me reprend et voilà que je décide de faire un truc insensé. Je vais chercher la bouteille de whisky et lubrifie son anus les restes de whisky et un peu de salive. Là, je commence à lui goder le cul avec la bouteille. Son anus résiste mais je veux qu’elle aille plus loin. La bouteille s’enfonce dans son cul jusque à la moitié. Puis, je commence à ramoner. Ma mère est toujours endormie. La bouteille est enfoncée dans son cul et je la laisse comme ça pendant un long moment. Puis, je l’enlève et je me mets à la tripoter pendant qu’elle dort. D'abord le cul. Je malaxe ses fesses rondes et fermes un moment et insinue mon doigt dans sa chatte après lui avoir écarté les cuisses.
A force de la doigter, elle finit par gémir. Sa grosse poitrine est à moi et j’en profite pour la peloter avidement. Mes deux mains sont posées sur ses deux gros nichons. J’adore lui masser les seins. J’en profite pour les embrasser longuement et les sucer. La voilà qui se réveille et est surprise de me voir au-dessus d’elle, les mains plaquées sur sa grosse poitrine. J’en profite pour me mettre sur elle, et je la baise une fois de plus. Ma mère accueille ma queue en écartant bien les cuisses. Je la pénètre à nouveau et c’est reparti. Il ne faut pas longtemps avant de me vider en elle tant je suis excité. Épuisé, je m’endors sur elle, la tête entre ses gros nichons chauds.
Au réveil, ma mère est dans la cuisine, buvant un café. Rien que d’y penser, mon sexe se met en érection : la gaule du matin. J’envisage de me masturber mais ma mère entre deux minutes plus tard pour voir si je suis réveillé. Elle a mis son peignoir marron et j’en déduit qu’elle est toujours nue en dessous.
- Julien, tu as encore la force de bander ?
- Désolé, maman, mais je n’arrive pas à penser à autre chose que du cul et le tien en particulier !
- Il va falloir ! Ton père revient ce soir et je ne veux pas qu’il apprenne quoique ce soit sur notre relation incestueuse.
- Moi, non plus mais j’ai envie de profiter de la journée pour profiter de tes charmes.
- Oui, mon chéri, moi aussi ! Je veux être ta pute désormais !
Elle se penche sur moi et s’empare de mon sexe. Comme elle est penchée, je vois l’échancrure du peignoir et donc sa lourde poitrine.
- Maman, laisse-moi toucher tes seins !
- Encore, mais tu ne penses qu’à cela ! Mais si tu insistes d’ailleurs, je ne porterai pas de vêtement ce matin. Tu pourras me baiser à ta guise.
Elle s’exécuta et ôta son peignoir qu’elle lança dans la chambre. Ses gros seins pendaient lourdement au-dessus de moi. Je me mis à les pétrir. Ma mère posa ses mains sur les mienne et m’incita à lui masser ses énormes nibards. Elle me fit ensuite la plus belle pipe que je n’ai jamais eu. Elle fit durer le plaisir et ma gaule était toujours là. Sa bouche était devenue experte. Elle s’arrêta et se mit à quatre pattes.
- Voilà, mon chéri...Maintenant que tu as eu mes seins et que je t’ai gâté, tu vas m’enculer pour mon plaisir.
- Oui maman, c’est toujours un plaisir que de t’enculer.
Je me mets derrière elle et c’est reparti. Après l’avoir bien ramonée, je parviens à me retenir de lui gicler dans le cul. Je veux faire durer cette matinée. Une matinée pendant laquelle je reste collé à ses nichons et à son cul. Elle est restée nue comme elle l’avait dit, déambulant dans la maison familiale. J’observe avec délice son cul magnifique et sa lourde poitrine ballotter pendant qu’elle marche. Elle décide vers 11h30 de faire une tarte. Toujours nue, elle va dans la cuisine et sort un rouleau à tapisserie. Elle commence à étaler la pâte. Je la regarde faire, et je bande. Je n’arrive pas à me désexciter. Je me précipite sur elle dans le but de la baiser mais dans la précipitation, je renverse la farine sur la table.
- Julien, calme-toi un peu ! tu es fou !
- Je veux te baiser sur la table !
- Non, cela suffit, je dois faire un peu de cuisine et nettoyer ta bêtise.
Je ne l’écoute pas et la retourne sur le ventre, le cul bien en évidence. Sa grosse poitrine écrase la pâte et la farine. Là, je décide de la sodomiser. Ma mère n’est pas trop d’accord, mais je m’en fiche un peu finalement. Je suis trop heureux d’éculer cette femme aux gros seins qui est en plus ma propre mère. Je l’encule pendant cinq bonnes minutes et finis par gicler dans son cul. Le sperme en grande quantité ressort par son trou et dégouline le long de ses cuisses pour couler sur le carrelage froid de la cuisine. Ma mère se relève, un peu ennuyée :
- Julien, regarde ce que tu as fait ! la pâte...On voit la marque de mes seins.
- Je mangerai ta tarte avec délice, alors.
Ma mère me sourit et m’embrasse. Elle a les seins recouverts de farine, c’est beau à voir. Je prends une serviette et les lui essuie.
- Décidément, mes seins, tu les adores, tu peux me les laver.
Ma mère m’offre sa poitrine que je lave en prenant mon temps. Vers midi, une fois la tarte mis au four, ma mère me dit :
- Voilà, Julien, Il faut que je m’habille maintenant.
- Mais maman, tu es bien mieux nue !
- Merci, mon chéri, mais il faut savoir s’arrêter.
Je la regarde monter à la salle de bain du haut en me disant que j’avais de la chance d’avoir une mère aussi extraordinaire. Je sais que je suis devenu un beau pervers en baisant ma propre mère. C’est vrai qu’elle a été consentante cette fois-ci et j’en arrive à me demander si elle n’a pas pris du plaisir à se faire séquestrer et se faire violer. Elle doit être perverse finalement...Telle mère, tel fils !
A suivre.
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Ma mère s'offre à moi.
Comme prévu, je vais vous raconter la suite des aventures de ma mère Martine et des miennes aussi par la même occasion puisque la tournure des choses a suivi un cheminement très inattendu. Ma mère fut trouvée au bord de la route et ramenée par un couple de personnes âgées qui revenait d’une soirée. Ils tentèrent de nous convaincre de porter plainte mais ma mère refusa. Elle ne voulait pas mettre en péril son mariage et la cohésion familiale. Pour ma part, j’étais soulagé de voir que malgré son état, elle allait bien.
Ma mère se précipite donc dans mes bras et je la calme comme je peux. Je lui dis que tout est fini. Après avoir pris une douche, elle descend en peignoir boire un verre d’alcool. Je lui propose de partager ce moment avec elle, trop heureux de voir qu’elle va bien.
- Maman, je tiens encore à m’excuser, c’est de ma faute si tout ceci est arrivé !
- Rassure toi, je ne t’en veux pas, mon chéri. Ce qui est arrivé devait arriver ! c’est la faute de ces ignobles de pervers du net !
- Mais, tu ...tu as été enlevée.
- Oui... (une larme coule et elle renifle) Ces gens m’ont...m’ont violée !
Elle avale d’un trait son whisky et s’en verse un autre. Elle reprend :
- Ils m’ont abandonnée ensuite au bord de la route toute nue !
Je n’arrive pas à y croire. C’est horrible.
- Ensuite, il y’a eu ce camion avec ces deux pervers ! j’ai essayé de m’enfuir mais ils m’ont rattrapée.
Ma mère souffle et essuie ses larmes.
- Que t’ont-ils fait ?
- Ils m’ont séquestrée dans leur camion, m’ont torturée et violée pendant une heure en se relayant. J’ai réussi à m’enfuir pendant qu’ils dormaient en emportant le blouson de l’un d’eux. C’est là que ces gentilles personnes m’ont trouvée. Sans eux, je n’ose penser à ce qui aurait pu m’arriver.
- Ecoute maman, on va tout dire aux gendarmes !
- Non, mon chéri, c’est à nous d’assumer ! J’appartiens à ces pervers. Je me sens comme ...comme une prostituée.
- Non maman, tu n’es pas une prostituée. Tu n’étais pas consentante à tout cela. Tu as été violée. Ce n’est pas ta faute !
Maman ne dit rien et avala son deuxième whisky. Cela lui fait du bien et lui redonne un peu de force car elle semble vraiment choquée par ce qui est arrivé. Elle lève soudain les yeux vers moi.
- Julien, je... ?
- Quoi, maman ?
- Non...rien. Je me demandais si tu as vraiment fantasmé sur les histoires que tu as écrites sur moi ?
Je ne me sens plus la force de lui cacher quoique ce soit et c’est presque machinalement que je lui réponds.
- Ecoute, c’était vraiment du fantasme ! Je n’ai jamais voulu te voir te faire violer réellement !
- Et cette histoire où je me prostitue ?
- Oui, maman, j’en ai même rêvé mais dans le fantasme.
- Tu es franc avec moi mon chéri et je te pardonne tout.
Elle se sert à boire de nouveau. Ses larmes ont séché et la voilà détendue.
- Je regrette ces histoires ! Elles m’ont fait plaisir mais tu en as malheureusement fait les frais !
Elle me coupe brutalement.
- J’ai toujours ignoré que tu me voyais autrement que comme ta mère ! Pourtant, avant cette histoire, je...je n’ai jamais mis de vêtement sexy, je n’ai jamais connu d’autres hommes que ton père. J’ai toujours été une mère à l’écoute de ses enfants.
- Pourquoi me dis tu cela ? Tu es une belle femme et c’est pour cela que je t’ai mise dans l’histoire !
- Une belle femme ! Et apparemment, ma poitrine semble aussi t’attirer particulièrement !
- Je l’avoue et les lecteurs aussi ! ?
- Mais je ne comprends pas pourquoi tu aimes me faire violer ! Tes histoires sont toujours les mêmes, je termine en subissant les pires outrages ! Tu ne te rends pas compte : faire violer ta propre mère !
- T’imaginer te faire violer a toujours été mon plus grand fantasme. Surtout si tu es consentante à la fin. Je sais, c’est pervers mais c’est comme çà. Dans la réalité, cela ne m’a pas donné de plaisir par contre !
Ma mère semble un peu gênée par ces révélations mais elle semble déterminée à poursuivre.
- Tu m’as fait prostituer par la suite !
- Oui, je voulais te mener à la prostitution depuis longtemps, maman ! C’était la conclusion que je voulais faire ! Que tu sois toi même ! ?
- Comment ? Tu insinues que...que je suis une prostituée dans l’âme ?
- Non, dans les histoires ! Dans la réalité tu es ma mère et je t’aime comme un fils !
Nouveau silence.
- Ton père rentre demain. Il ne faut pas qu’il sache tout ça, tu sais ! C’est quelqu'un de prude et un romantique.
- Jamais je ne lui dirais maman, jamais !
Ma mère vient de descendre son dernier verre. Elle s’en ressert un autre et se lève. Là, tout a été très vite.
- Mon fils, je n’ai jamais soupçonné que tu étais comme ça ! Je t’ai vu avec des petites copines ! tu avais l’air de quelqu'un de normal !
Ma mère me prend pour un pervers au même titre que ses ravisseurs.
-je ne vois qu’un seul moyen de te soigner même si cela est interdit.
A ma grande surprise, maman ôte son beau peignoir marron qui glisse le long de son corps. Je n’arrive pas à y croire. Ma mère que je croyais si prude se met nue devant moi, son propre fils. Ces paroles aussi me choquent :
- Maintenant, je veux que tu me baises comme une pute, que tu accomplisses ton fantasme en baisant ta propre mère.
- Maman, tu es folle ! tu es choquée car tu as été violée et tu as bu !
- Julien, mon fils, je me sens pute aujourd'hui et grâce à tes histoires, je me rends compte que j’ai toujours désiré être ainsi. Faire le trottoir a toujours été mon fantasme le plus inavouable.
Je découvre ma mère sous un nouveau jour.
- Les viols que j’ai subi m’ont choquée mais pas par l’acte mais parce que j’avais honte de m’avouer que j’ai aimé.
- Maman, tu débloques ?
- Non, mon chéri ! Et avoir vu ça prouve que tu es quelqu'un de sensible ! Maintenant profites bien de mes charmes ! Mon corps est à toi ! traite-moi comme une truie !
Je regarde le corps de ma mère. Je suis freiné par le tabou de l’inceste mais attiré par ce corps de femme aussi bandant. Ma mère est vraiment bien conservée pour ses 48 ans. Elle prend soin de son corps. C’est une superbe femme mature d’1m64 aux cheveux bruns et aux yeux noisette. Sa coupe au carré lui va parfaitement et son visage, ressemblant à l’animatrice Evelyne T, la rend véritablement sexy. Sa poitrine est vraiment énorme, comme dans les histoires. Je contemple les seins maternels, lourds, laiteux, aux larges auréoles brunes qui m’ont toujours fasciné. Ma mère prit un regard de salope. C’est surprenant car j’ai l’impression d’avoir à faire à quelqu'un d’autre. Cette fois, je ne vois plus la mère mais la femme.
Elle s’avance et m’embrasse tendrement. Puis elle me roule un patin en me prenant la main droite qu’elle mène vers son sexe. Je sens les poils sur mes doigts et je commence à la doigter. Je sens l’imposant volume de ses seins contre moi. Je ne peux m’empêcher de les saisir et de les dévorer. Ma bouche suce les tétons. Ces grosses loches, lourdes et chaudes qui m’ont nourri jadis, deviennent des objets sexuels. Ma mère gémit et elle se met à genoux devant moi.
- Aah, mon fils ! je vais te sucer et après, tu te branleras entre mes seins !
Elle défait ma braguette et en sort ma queue en érection comme jamais. Sa bouche, devenue experte depuis peu, englobe mon membre. Sa langue enroule et titille mon gland et de temps en temps, avec sa bouche, elle me gobe les couilles remplies. Je lutte pour ne pas gicler sur ce beau visage. Ce visage qui, il y’a à peine deux heures, était maculé de sperme de façon à le rendre méconnaissable. Ma mère venait de subir les pires outrages et elle trouve le moyen de baiser avec son propre fils. Elle a dû sentir que j’allais gicler et elle s’arrête. Elle se relève et m’embrasse à nouveau goulûment. A nouveau j’en profite pour palper ses énormes mamelles.
- Julien, tu aimes beaucoup mes seins on dirait !
- Oui, maman, ils sont si gros, si beaux !
- Lèche-les, baise-les mon fils, je te les offre !
Je ne me lasse pas de les tripoter. Du bonheur, je n’arrive pas à m’en défaire. Ma mère éprouve du plaisir à sentir les doigts de son propre fils malaxer et lécher sa lourde poitrine. Ceci dit, elle voulait passer à quelque chose qui lui tenait à cœur. Elle se met contre la table et oriente son cul vers moi.
- Encule-moi, mon chéri, vite !
- Oui, maman, je le désire !
Ma queue rentra dans son cul comme du beurre. Son anus, à force d’être ramoné, avait été élargi. J’y vais à fond, lui limant le cul comme jamais. Elle accompagnait les mouvements par des ondulations du bassin. Je n’arrive pas à y croire : j’encule ma propre mère qui est à poil sur la table de la cuisine. Ses gros nichons sont aplatis contre la table et ondulent lourdement sous l’effet de mes coups de bite. Elle gémit de plus en plus fort accentuant de ce fait mon plaisir. Je suis à deux doigts de gicler dans son cul mais moi, je veux gicler sur ses seins. Elle le comprend et ma mère, voulant mon plaisir se remet à genoux.
- Vas-y mon fils, branle-toi entre mes gros seins ! je veux sentir ta semence couler sur mes tétons !
Elle prend les devants et s’empare de mon sexe. Elle l’installe entre ses deux loches, les presse et entame des va et vient. Je sens ma queue, dure comme jamais, subir la pression des deux gros seins. Cela me fait gémir de bonheur. Ma mère me branle comme une professionnelle. Je finis par gicler sur ses nichons et sur sa bouche. Le sperme se répand sur sa grosse poitrine et coule sur ses tétons qui pointent durs. Ma mère s’empresse de lécher tout ce sperme. Elle avale celui qu’elle avait autour de la bouche puis elle lèche un à un ses nichons. Je suis dans un état second et je prends ma mère par le poignet.
- Allons baiser dans la chambre !
- Comme tu veux, je suis ta pute ce soir !
Nous montons les escaliers et je la pousse contre le lit. Je suis excité comme jamais. Les barrières mère-fils n’existent plus. Ma mère n’est plus qu’une femme aux gros seins, nue devant moi et que je veux baiser par tous les trous. Je la prends par les jambes que je mets sur mes épaules et commence à la baiser comme une salope. Ma queue rentre dans sa chatte mouillée. J’y vais à nouveau à grand coup de rein, la pénétrant de toute mes forces. Ma mère gémit et hurle. Ses gros nichons ballottent devant moi. Ils sont énormes. Je finis par gicler à grand flots ce qui me reste comme jus, répandant mon foutre dans sa chatte. Elle sent la semence de son fils remplir ses entrailles et hurle de bonheur. Je n’arrête pas, je me vide totalement les couilles en la limant comme un fou.
Enfin, épuisé, je laisse ma mère allongée sur le lit, les cuisses écartées, sa chatte dégoulinant encore de mon foutre. Je réalise à peine que je viens de baiser ma propre mère. Je suis épuisé mais encore excité. Non, je ne peux en finir comme ça. Ma mère subit l’effet du whisky et s’endort à poil sur le lit. Je reste à la regarder et en arrive à la conclusion que c’est vraiment une belle salope finalement. Je descends dans la cuisine pour me servir un verre. Tout ça me trotte dans la tête et j’ai l’impression de basculer dans un autre monde. Les scrupules m’abandonnent et je remonte dans la chambre. Ma mère dort, son ventre se soulève et s’abaisse régulièrement. Je regarde ses gros seins encore luisant des restes de mon sperme. J’ai envie de la baiser mais je suis fatigué pour le moment.
Je vide un dernier verre et m’endort sur le canapé. Vers 4h00 du matin, je me réveille avec une seule chose en tête : baiser à nouveau ma salope de mère. Je file à la chambre. Ma mère dort toujours. Elle est sur le côté mais toujours nue de la tête au pied. Je regarde son cul magnifique ramoné de multiple fois. Je décide d’examiner son anus de plus prêt. J’écarte les deux fesses et fixe l’orifice offert. Je reste en extase. L’excitation me reprend et voilà que je décide de faire un truc insensé. Je vais chercher la bouteille de whisky et lubrifie son anus les restes de whisky et un peu de salive. Là, je commence à lui goder le cul avec la bouteille. Son anus résiste mais je veux qu’elle aille plus loin. La bouteille s’enfonce dans son cul jusque à la moitié. Puis, je commence à ramoner. Ma mère est toujours endormie. La bouteille est enfoncée dans son cul et je la laisse comme ça pendant un long moment. Puis, je l’enlève et je me mets à la tripoter pendant qu’elle dort. D'abord le cul. Je malaxe ses fesses rondes et fermes un moment et insinue mon doigt dans sa chatte après lui avoir écarté les cuisses.
A force de la doigter, elle finit par gémir. Sa grosse poitrine est à moi et j’en profite pour la peloter avidement. Mes deux mains sont posées sur ses deux gros nichons. J’adore lui masser les seins. J’en profite pour les embrasser longuement et les sucer. La voilà qui se réveille et est surprise de me voir au-dessus d’elle, les mains plaquées sur sa grosse poitrine. J’en profite pour me mettre sur elle, et je la baise une fois de plus. Ma mère accueille ma queue en écartant bien les cuisses. Je la pénètre à nouveau et c’est reparti. Il ne faut pas longtemps avant de me vider en elle tant je suis excité. Épuisé, je m’endors sur elle, la tête entre ses gros nichons chauds.
Au réveil, ma mère est dans la cuisine, buvant un café. Rien que d’y penser, mon sexe se met en érection : la gaule du matin. J’envisage de me masturber mais ma mère entre deux minutes plus tard pour voir si je suis réveillé. Elle a mis son peignoir marron et j’en déduit qu’elle est toujours nue en dessous.
- Julien, tu as encore la force de bander ?
- Désolé, maman, mais je n’arrive pas à penser à autre chose que du cul et le tien en particulier !
- Il va falloir ! Ton père revient ce soir et je ne veux pas qu’il apprenne quoique ce soit sur notre relation incestueuse.
- Moi, non plus mais j’ai envie de profiter de la journée pour profiter de tes charmes.
- Oui, mon chéri, moi aussi ! Je veux être ta pute désormais !
Elle se penche sur moi et s’empare de mon sexe. Comme elle est penchée, je vois l’échancrure du peignoir et donc sa lourde poitrine.
- Maman, laisse-moi toucher tes seins !
- Encore, mais tu ne penses qu’à cela ! Mais si tu insistes d’ailleurs, je ne porterai pas de vêtement ce matin. Tu pourras me baiser à ta guise.
Elle s’exécuta et ôta son peignoir qu’elle lança dans la chambre. Ses gros seins pendaient lourdement au-dessus de moi. Je me mis à les pétrir. Ma mère posa ses mains sur les mienne et m’incita à lui masser ses énormes nibards. Elle me fit ensuite la plus belle pipe que je n’ai jamais eu. Elle fit durer le plaisir et ma gaule était toujours là. Sa bouche était devenue experte. Elle s’arrêta et se mit à quatre pattes.
- Voilà, mon chéri...Maintenant que tu as eu mes seins et que je t’ai gâté, tu vas m’enculer pour mon plaisir.
- Oui maman, c’est toujours un plaisir que de t’enculer.
Je me mets derrière elle et c’est reparti. Après l’avoir bien ramonée, je parviens à me retenir de lui gicler dans le cul. Je veux faire durer cette matinée. Une matinée pendant laquelle je reste collé à ses nichons et à son cul. Elle est restée nue comme elle l’avait dit, déambulant dans la maison familiale. J’observe avec délice son cul magnifique et sa lourde poitrine ballotter pendant qu’elle marche. Elle décide vers 11h30 de faire une tarte. Toujours nue, elle va dans la cuisine et sort un rouleau à tapisserie. Elle commence à étaler la pâte. Je la regarde faire, et je bande. Je n’arrive pas à me désexciter. Je me précipite sur elle dans le but de la baiser mais dans la précipitation, je renverse la farine sur la table.
- Julien, calme-toi un peu ! tu es fou !
- Je veux te baiser sur la table !
- Non, cela suffit, je dois faire un peu de cuisine et nettoyer ta bêtise.
Je ne l’écoute pas et la retourne sur le ventre, le cul bien en évidence. Sa grosse poitrine écrase la pâte et la farine. Là, je décide de la sodomiser. Ma mère n’est pas trop d’accord, mais je m’en fiche un peu finalement. Je suis trop heureux d’éculer cette femme aux gros seins qui est en plus ma propre mère. Je l’encule pendant cinq bonnes minutes et finis par gicler dans son cul. Le sperme en grande quantité ressort par son trou et dégouline le long de ses cuisses pour couler sur le carrelage froid de la cuisine. Ma mère se relève, un peu ennuyée :
- Julien, regarde ce que tu as fait ! la pâte...On voit la marque de mes seins.
- Je mangerai ta tarte avec délice, alors.
Ma mère me sourit et m’embrasse. Elle a les seins recouverts de farine, c’est beau à voir. Je prends une serviette et les lui essuie.
- Décidément, mes seins, tu les adores, tu peux me les laver.
Ma mère m’offre sa poitrine que je lave en prenant mon temps. Vers midi, une fois la tarte mis au four, ma mère me dit :
- Voilà, Julien, Il faut que je m’habille maintenant.
- Mais maman, tu es bien mieux nue !
- Merci, mon chéri, mais il faut savoir s’arrêter.
Je la regarde monter à la salle de bain du haut en me disant que j’avais de la chance d’avoir une mère aussi extraordinaire. Je sais que je suis devenu un beau pervers en baisant ma propre mère. C’est vrai qu’elle a été consentante cette fois-ci et j’en arrive à me demander si elle n’a pas pris du plaisir à se faire séquestrer et se faire violer. Elle doit être perverse finalement...Telle mère, tel fils !
A suivre.
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