vendredi 1 février 2019

Sortie scolaire. Ch. 06

Sortie scolaire- récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Son dernier pucelage.

Hélène CARTIER, sous la contrainte, a accepté un rendez-vous de son maître chanteur le lendemain, elle est déjà prévenue de ce qui l'attend si elle veut récupérer sa tenue de bain. Déjà elle vient d'être en but aux sarcasmes de deux potards, alors qu'elle se fournissait en vaseline .....

Midi sonnait au clocher de la cathédrale lorsqu'elle arriva sur le parvis, accoudé à sa moto, Franck l'y attendait, un large sourire illumina son visage lorsqu'il la vit arriver.

Il avait de quoi jubiler : cette fière bourgeoise pliait sous sa volonté, il savait maintenant qu'il avait suffisamment assis son autorité sur elle pour ne plus employer que dans les cas extrêmes le chantage. Il sentait qu'esclave de ses sens, sa petite révolution personnelle l'enchaînait à lui, d'autant plus, il s'en doutait, qu'elle devait penser que cela ne durerait que le temps des vacances, à lui de faire qu'il en soit autrement ..... qu'il puisse poursuivre par la suite.

Il sortit un casque de ses sacoches, elle l'enfila sans un mot, se hucha sur le siège de la moto, consciente de l'inanité de toute manifestation, elle était décidée à le contenter pleinement, mais n'était-ce vraiment que dans le but de récupérer son maillot?

La moto démarra lentement, il se coula dans la circulation, et gagna la périphérie de Saint Quentin, un petit hôtel discret, dont il connaissait le patron, ce qui lui permettrait indirectement d'asseoir définitivement son emprise, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver par la suite, et comme souvent femme varie, il jugeait nécessaire, par pure précaution d'engranger les preuves de son infidélité.

Il gara sa moto sur le parking, et descendant, lui indiqua la porte d'entrée.

Tête basse, consciente de sa veulerie, elle se dirigea vers le hall d'entrée. Franck salua le tenancier d'un bref signe de tête.

Ce dernier, derrière son bureau tendit un formulaire au couple indiquant :

- Si vous voulez bien remplir la fiche de police.

- Mais ....

- Nous somme tenus de la faire remplir à chacun de nos clients.

Intervenant alors, Franck lui intima :

- Tu la remplis au nom de Monsieur et Madame CARTIER.

Sans plus chercher à comprendre, elle s'exécuta, elle ne pouvait savoir qu'elle lui fournissait ainsi une preuve indiscutable de son escapade, un redoutable moyen de pression.

Prenant la clef que lui tendait l'hôtelier, il la poussa vers les escaliers, s'attardant quelques instants, le temps de demander au propriétaire :

- Tu m'en fais une photocopie ?

- Comme tu veux. Accepta le triste bonhomme, subodorant une magouille.

Il rejoignit rapidement Hélène, et la main aux fesses, l'encouragea du geste à se magner le fion.

La chambre était petite, sommairement meublée d'un placard, un lavabo et un grand lit de deux personnes, des serviettes et un gant attendaient l'utilisateur sur le dossier d'une chaise. On ne pouvait ignorer l'utilisation qui était faite de ces chambres, visiblement elles accueillaient plus souvent qu'à leur tour les amants en goguette, voir les amours tarifiés.

De toute manière toute à sa promesse de la veille d'obéir à toutes ses volontés, Hélène sentait son cœur battre la chamade, il l'en avait averti, elle devrait lui sacrifier une virginité qu'elle n'avait jamais pensé accorder à quiconque, pour parler net, elle était là pour se faire enculer, elle tremblait déjà à cette idée.

Comment allait-elle le supporter ?

La douleur serait-elle supportable ?

Saurait-elle aller jusqu'au bout ? Elle le devait pour récupérer son bikini ...

Comment cela allait-il se passer ?

Elle blêmissait de peur, sure qu'il serait inexorable et qu'il lui imposerait ce gage qu'elle lui avait accordé à la légère. Si hier, bien qu'angoissante, l'idée lui avait parue envisageable, il en était autrement aujourd'hui, il y avait loin de la promesse à la réalisation, et ce qui hier n'était finalement qu'une projection aléatoire s'avérait à cet instant même une affolante certitude : elle allait y passer.

Rapidement, il se dévêtit, jetant au hasard ses fringues sur une chaise. Elle le regardait faire, pour la première fois elle pouvait prendre connaissance de son corps, Franck était normalement musclé pour un jeune d'une vingtaine d'années, il dégageait une impression d'énergie, peu commune, elle réalisait combien son jeune corps lui plaisait, se secouant pour sortir de sa contemplation absorbante, elle entreprit à son tour de quitter un à un ses vêtements, cherchant inconsciemment à subjuguer son "amant", c'est avec des gestes mesurés, lascifs qu'elle dévoila petit à petit son corps, prenant bien soin, en ménagère soigneuse qu'elle était de poser ses frusques sur le dossier de la chaise, après les avoir méticuleusement pliés.

Elle se rendait compte du contraste qu'elle présentait alliant la sagesse de la femme respectable au déshabillage langoureux qu'elle lui prodiguait.

Enfin, alors que pas un mot n'avait été prononcé, elle s'agenouilla le long du lit, penchant son cou vers le glorieux pénis déployé qui s'offrait à sa convoitise, cette fois, il ne lui était nul besoin de réclamer cette caresse, comme ensorcelée elle se disposait à la lui prodiguer sans plus attendre.

Impatient il se cambra, proposant aux lèvres avides leur proie.

A peine eut-elle entrouvert les lèvres que déjà son gland s'insinua dans l'étroit passage. D'un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de sa langue et bientôt, il envahit sa bouche. Sa queue grossit rapidement, butant contre son palais.

Il entama alors un lent va et vient dans ma bouche, ses mouvements prirent de l'ampleur, il se servait de sa bouche comme d'un sexe, presque à chaque fois il butait au fond de sa gorge, pour éviter de suffoquer, pour limiter ses mouvements, elle posa ses mains contre son ventre, et modula la pression de ses lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula lui maintenant la tête contre son ventre, son gland au fond de ma gorge. Un flot de sperme envahit son palais s'écoulant lentement dans sa gorge, quelques filaments brillants s'échappant aux commissures de ses lèvres. Il la repoussa légèrement, maintenant néanmoins son visage près de son bas-ventre, elle en profita pour nettoyer méticuleusement sa pine, fière d'avoir obtenu si rapidement un tel résultat, un instant l'idée qu'il serait trop épuisé pour l'obliger à tenir ses promesses l'effleura.

Mais bientôt le chibre un instant défaillant repris de sa vigueur, elle le vit à nouveau se déployer glorieusement, un frisson courut le long de sa colonne vertébrale, l'instant fatidique était arrivé. Il se leva et la prenant aux épaules, la poussa l'obligeant à s'agenouiller sur le lit...

Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de ses fesses, s'insinuant dans la raie serrée qui séparaient ses deux globes voluptueux, son majeur suivait le fond du sillon velouté. elle tressaillit au contact de son doigt sur son œillet anal. Il palpa lentement les contours de son anus, en éprouvant l'élasticité.

Il réclama alors :

- Alors chérie, tu as amené ton tube de vaseline ?

- Oui, oui je ....

- Où l'as-tu mis ?

- Dans mon sac, sur la chaise ...

Se relevant il lui ordonna de garder sa posture, d'un geste vif il ouvrit le réticule de la dame et s'empara du tube souhaité, en un clin d'œil il perça l'opercule et recueillit une noisette de vaseline au bout de son index, puis s'approchant des fesses de sa pénitente, il ordonna :

- Prends tes fesses à deux mains et ouvres bien ton cul !

Servilement elle s'exécuta, face enfouie dans le couvre lit, elle tendit les bras et agrippa ses fesses, qu'elle écartela vigoureusement, livrant son anneau inviolé à la convoitise du sbire déjà enflammé.

Lentement, la faisant frissonner autant d'angoisse que d'impatience, il caressa longuement le petit puits largement exposé, en enduisant lentement la corolle d'une épaisse couche de pommade, puis d'un geste inexorable, il fora l'anus malgré tout rétif, introduisant un doigt curieux dans son boyau plus du tout secret.

Le fragile orifice céda sans plus de résistance, et elle sentit la première puis la deuxième phalange investir son intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans son cratère, évasant le plus possible le sphincter pour l'assouplir.

Alors qu'elle craignait tant d'avoir mal, très mal, elle sentait le doigt inquisiteur forer avec habileté son passage, ne créant qu'une vague gène, la sensation étrange de percevoir petit à petit son boyau s'adapter à la taille de l'index fouineur. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :

- Je vais forcer tes reins. Tu me faire l'offrande de ta dernière virginité. Ce sera délicieux, j'en suis sur, tu vas aimer!

- Oui, prends moi par là râla-t-elle, troublée jusqu'à la moelle.

Un second doigt, puis un troisième, dilatèrent encore son sphincter annelé, cette fois la gène se muait lentement en une extravagante sensation d'élargissement, il lui semblait que telle un goulot de bouteille, son cul recevait le bouchon qui lui était depuis toujours destiné.

Elle ne souffrait même pas, c'était comme si son esprit, ayant depuis bien longtemps abdiqué toute idée de révolte, s'étant fait à l'idée d'accorder son dernier trésor intime, anesthésiait toute sensation douloureuse, accompagnant avec soin la profanation de cet endroit qu'à peine une semaine avant elle pensait encore tabou.

Elle sentait d'ailleurs, physiquement son boyau culier se défroisser, se déplier, se conformant aux désirs de son enculeur.

La sentant prête, il présenta son sexe raidi au fébrile annelet, elle sentit le gland brûlant se glisser dans le sillon de ses fesses, se posant sur a boutonnière anale, toute frissonnante.

Il se guida d'une main sure et poussant inexorablement, il força le sphincter mater à jouer et à s'ouvrir, pour laisser le gland creuser son nid dans ses reins soumis.

Un instant de répit, le temps de la laisser s'habituer à cette présence inhabituelle à l'orée de ses reins, et le gland reprit sa lente progression, millimètre par millimètre, il s'enfouit inexorablement dan son anus.

Elle se mit à haleter, ressentant soudain une brutale brûlure au cœur de son conduit, mais chaque gémissement, chaque tremblement contractait son muscle anal autour du gland qui le distendait, facilitant son enfouissement au tréfonds de ses entrailles Son souffle se bloqua dans sa gorge, elle étouffait. Mais plus ne pouvait l'arrêter.

Peu à peu, son fourreau s'adapta à l'envahisseur, la douleur s'estompa.

Elle détendit son sphincter, et bientôt, son gland buta au fond de sa matrice.

Longuement il força ses reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein, au lieu de la déchirure tant crainte, elle sentait son boyau se conformer à la masse du pénis enfoui dans ses reins, elle se sentait pleine à ras bord, jamais elle n'avait ressenti une telle impression.

Chaque coup de boutoir était rythmé du claquement sec produit contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir son gland de l'anneau, la laissant pantelante un instant avant de labourer à nouveau ses reins. Elle sentait ses sphincters anéantis, son anus béait sans se refermer même lorsqu'il le libérait complètement. Petit à petit, son corps se mit à participer, par d'amples coups de reins elle sollicitait maintenant son enculeur, s'empalant à fond à chaque poussée, le sentant sur le point d'éjaculer, elle contracta ses muscles fessiers cherchant à encore approfondir l'intromission.

Prisonnier d'un gant de fer, il eut tout le mal du monde pour parvenir à se retirer sans s'être exonéré au fond de ses reins.

Sortant avec effort de son anus plus du tout secret, il l'enjamba, s'assit sur sa poitrine et, haletant lui mit la queue dans la bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure de son annelet.

Il éjacula longuement dans sa bouche, sa jouissance lui sembla interminable. Le sperme coulait impétueusement dans sa gorge, elle avait à peine le temps de déglutir, pas le temps d'en savourer le bouquet salé.

Enfin, les reins encore secoués de brefs spasmes, il s'effondra à ses cotés, la laissant pantelante reprendre ses esprits, effarée d'avoir pris un tel plaisir à ce qu'hier encore elle considérait comme la pire des turpitudes. Bien sur son conduit anal la brûlait, mais n'était-ce pas la juste rançon d'un tel éblouissement, car, elle en était convaincue, sans même le sa voir, du moins le croyait-il, d'un coup, d'un seul il venait d'en faire une fervente de l'enculage.

Elle s'assoupit sur le lit, la laissant récupérer, il en profita pour fouiller son sac à mains, différentes enveloppes adressées à son nom le convainquirent rapidement qu'elle avait indiqué sa véritable adresse sur le registre de l'hôtel, cela lui suffisait, il s'allongea à ses cotés et se laissa emporter dans un somme réparateur.

Déjà la sonnerie du réveil réglée sur 16 heures trente résonnait dans la chambre, rapidement, ils se rhabillèrent, elle descendit l'attendre sur le parking, tandis qu'en échange d'un billet de 20 euros, le portier lui livrait une photocopie de la page du jour du registre.

Quelque minutes de moto, et ils regagnaient le parvis de la cathédrale, le temps de récupérer les sacs de linge propre au pressing, et déjà le car convoyant enfants et accompagnateurs se pointait, sous l'œil goguenard de son amant, elle prit place dans le minibus, éprouvant quelques petites douleurs pour s'asseoir.


Déjà le car repartait vers le camping qui les accueillait.

A suivre...

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