Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu
miliation - dégradation - contrainte
Une jeune femme tombe dans le piège tendu par 2 ados.
Elle appelait frénétiquement tous ses amis à la recherche de quelqu'un capable d'intervenir sur son PC. Elle ne savait pas ce qu'elle avait fait, mais elle avait effacé des fichiers importants pour les affaires de son mari.
Elle avait quasiment épuisé toutes ses ressources lorsque qu'une membre de l'association informatique local l'appela. Elle lui demanda si elle connaissait quelqu'un susceptible de régler ses problèmes, la femme répondit non de prime abord, puis se souvint d'une connaissance de son fils. Elle poursuivit qu'elle pourrait en toucher un mot à son fils, mais son ami lui semblait bizarre et elle n'aimait pas trop le voir chez elle.
Madame Hutchinson n'avait pas vraiment écouté ses réserves et lui dit qu'elle serait très heureuse s'il parvenait à remettre en ordre son PC.
De retour des magasins le matin suivant, un message la prévint qu'un jeune homme nommé Gary l'appellerait dans la journée et verrait ce qu'il pouvait faire pour elle. Juste après le repas, la sonnette de la porte carillonna. Deux jeunes d'environ 18 ans se tenaient sur le palier.
- Bonjour madame, Je suis Gary. Vous avez un problème d'ordinateur ?
- Oh oui ! Je vous en prie, entrez !
Ils la suivirent,
- L'ordinateur est dans la chambre d'ami si vous voulez bien me suivre.
Les deux jeunes se poussèrent du coude en reluquant sa croupe moulée dans son jean étroit.
Elle les introduisit dans une petite chambre meublée d'un lit à deux places, l'ordinateur se trouvait sur une table le long du mur. Gary prit place sur une chaise, son pote Ray s'assit sur le lit. L'ordinateur allumé, il s'enquit du problème.
- Croyez-vous pouvoir y remédier ?
- On peut toujours essayer, et maintenant si vous descendiez nous préparer une bonne tasse de thé.
- L'insolent. Pensa-t-elle avant qu'ils l'appelent à nouveau.
- Et n'oublie pas les biscuits.
Quand elle revint, apportant le thé et les biscuits, Gary l'interrogea :
- Hé bien, madame Hutchinson, vous avez vraiment fait fort.
- Oh non, pensez vous pouvoir réparer ma bêtise, oui ou non ?
-J'espère bien y arriver, mais vous mériteriez une bonne punition ! Ricana-t-il railleur.
- Vous avez raison. Rit-elle nerveusement.
- Mais j'ai besoin de m'en servir avant le retour de mon mari qui rentre demain. Pourrez vous le réparer aujourd'hui ?
- Je ne peux pas vous répondre comme ça.
- S'il vous plaît, réparez-le, j'en ai besoin aujourd'hui même. Je vous paierai bien.
- Bien, bien, bien, on va voir ce qu'on peut faire.
- Oh merci. Dit-elle soulagée en posant une main légère sur l'épaule de Gary.
- Je suis en bas si vous avez besoin de moi.
- Ok madame Hutchinson, on vous appellera dès qu'on aura besoin de vous.
Le problème était facile à résoudre, mais ils jouèrent sur le PC tout en peaufinant leur plan.
- C'est bon, appelle là, on va lui mettre le marché en main.
Il se pencha au dessus de la rampe et la héla :
- Madame Hutchinson, on a besoin de vous dans la chambre.
- J'arrive,
- Vous feriez mieux. Glissa-t-il sourdement à son copain.
Elle apparut dans la chambre.
- Avez vous réussi ? Les interrogea-t-elle anxieuse.
- Venez ici et asseyez-vous, nous allons vous montrer. Dit Gary en désignant le lit du doigt.
Il se leva pour la laisser passer. Elle s'assit sur le lit à coté de Ray, Gary occupant la chaise de bureau. Celui-ci cliqua sur quelques icônes et forma une liste de fichiers pour l'impressionner.
- Vous voyez ? Lui demanda-t-il.
- Non pas vraiment, mais je suis très contente que vous ayez pu réparer ma bêtise et je paierai un bon prix pour vous remercier.
- C'est d'accord en ce qui me concerne. Répliqua Gary.
- Mais avant nous aimerions que vous nous fassiez une faveur.
Toute surprise elle répéta :
-Une faveur ? Qu'entendez-vous par là ?
- Puisque nous te rendons un grand service, nous aimerions que pour nous remercier tu nous montres ton adorable petit cul et tes nichons.
- Quoi !!!!! Hurla-t-elle sautant sur ses pieds.
- Comment osez-vous me proposer ça ? Et maintenant laissez-moi passer ou ça va faire mal !
Gary restait assis calmement, il s'attendait à cette réaction.
- Avant de monter sur tes grands chevaux, tu ferais mieux de jeter un coup d’œil sur ceci madame Hutchinson. Lui rétorqua-t-il désignant l'écran.
Elle se tut et regarda.
- Cette liste contient tous les fichiers présents sur ton ordinateur, je peux aisément les effacer définitivement. Comment expliqueras-tu ça à ton mari ?
- Je... Je suis désolée de vous avoir offensé. Je suis flattée de votre demande, mais je ne peux pas… ET je ne veux pas... Qu'en dites vous ?
- Rassieds toi ! Lui intima-t-il.
- Discutons d'un bon prix. Dit- elle en reprenant sa place sur le lit.
Gary ouvrit un fichier qui ne contenait que du texte avec pour en-têtes des noms de hauts fonctionnaires.
- A partir de cet instant, madame Hutchinson, on va faire un petit jeu.
- Laissez tomber les gars, je veux juste discuter du prix de votre intervention.
- Vous feriez mieux d'écouter les règles madame Hutchinson. La prévint sèchement Ray.
- Mais... Je...
- Vous voyez ces 10 fichiers ? Ce sont les plus importants dans cet ordinateur. Et maintenant on va te poser quelques questions madame Hutchinson.
- Que... Quelle sorte de questions ?
- Des questions dont tu connais les réponses, mais si tu refuses de répondre, j'efface un fichier. A ce moment je pourrai encore revenir en arrière si tu réponds correctement à la question posée et aux suivantes. Comprends-tu bien ?
Le tutoiement instaurant un rapport de dominant à dominé lui était venu tout naturellement, et comme justement ils voulaient plier cette chère madame Hutchinson à toutes leurs volontés...
- Non, non pas vraiment.
- Tu comprendras mieux en jouant. Pour commencer quel est ton prénom ?
- Susan.
- C'est ça, mais tu aurais du employer la formule correcte : Je m'appelle Susan. T'as compris ?
- Je crois que oui.
- Bon, et bien alors Susan, qu'elle est la taille de tes nichons ?
- Quoi ! Vous ne pouvez pas me demander des choses comme ça ! S'insurgea-t-elle en croisant instinctivement les bras sur sa poitrine.
- Mauvaise réponse. Commenta-t-il en effaçant deux fichiers.
- On non. Haleta-t-elle éperdue.
- Dans ce jeu on peut te poser toutes les questions qu'on veut. Et maintenant aimerais-tu que je rappelle les fichiers disparus ?
- Oh oui, remettez les en place. Je vous en prie . Le supplia-t-elle misérablement.
- Alors réponds à ma question, et correctement, quelle taille font tes nibards ?
Elle savait qu'en fait elle n'avait pas vraiment le choix.
- Ça va, ça va. Du 100 C je crois...
- C'est bien et maintenant tes autres mensurations ?
- Je ne suis pas sûre, mais je pense que ce doit être 90-62-90 où quelque chose comme ça.
- Voilà c'est mieux. Tu sembles en forme Susan, et maintenant c'est au tour de Ray de te poser quelques questions.
- Bon, à nous deux Susan. Quand t'es tu faite baiser pour la dernière fois ?
- Vous êtes fous ou quoi ? IL n'est pas question que je réponde à ce genre de question.
- Mauvaise réponse . Grinça calmement Gary en effaçant 3 fichiers.
- A toi de jouer Susan, il sont encore en balance.
- S'il vous plait...
- Un click et ils disparaissent à jamais.
- D'accord. Soupira-t-elle pitoyablement.
- Vendredi de la semaine dernière.
- C'est tout ? Je veux que tu répondes en y mettant les formes ma douce.
- Je pense que j'ai baisé pour la dernière fois vendredi de la semaine dernière.
Elle ne parlait jamais de ces choses avec qui que ce soit et elle n'avait jamais utilisé le terme baiser. Elle ne comprenait pas le sens de tout ceci, elle frissonna d'appréhension.
- Par qui ? L'interrogea Ray.
- Mon mari bien sur !
Les questions des deux jeunes se faisaient plus intimes.
- As-tu joui ? Lui demanda alors Ray.
Elle vit la souris pointer un fichier.
- Non je n'ai pas joui ! Répliqua-t-elle rapidement.
- Ton mari te fait-il encore jouir ? Ajouta Gary, qui venait de souligner un fichier en surbrillance en guise d'avertissement.
- Il me fait parfois jouir.
- Cela arrive-t-il souvent ?
- Assez rarement, Dut-elle concéder.
Ray reprit :
- Comment une jeune femme aussi sexy que toi le supporte-t-il ? te masturbes-tu ?
- Dois je vraiment répondre à cette question? Demanda-t-elle bien que connaissant déjà la réponse.
Gary bougea la souris.
- Eh oui, il m'arrive de me masturber.
Ils ne pouvaient plus revenir en arrière désormais.
-Quand tu te donnes du plaisir ma chère Susan, te sers-tu de tes doigts ou d'autres choses ?
Elle répondit :
-Je me sers parfois de mes doigts, et parfois de…
Elle s'arrêta net.
- Oui Susan ? De quoi ?
- Mon... Mon vibromasseur.
- Bordel, t'as un vibromasseur. Où se trouve-t-il ? Se réjouit Ray hilare.
- Quoi ?
- Où est il ? Jusqu'ici, je n'en ai vu que sur internet.
- Dans le tiroir de mon bureau. Dit-elle le désignant du doigt.
- Sors le qu'on voit à quoi ça ressemble en réalité.
Elle se leva et se pencha sur le bureau alors qu'ils se souriaient l'un à l'autre dans son dos. Elle se rassit, le vibro entre les mains. Ray s'en empara.
- Ainsi c'est ton petit pénis artificiel. Qu'en pense ton mari ?
- Il n'en sait rien,
- Très bien. Je suppose que cela ne te pose aucun problème de t'en servir ?
- Non.
- Quand t'en es tu servi la dernière fois Susan ?
- Je m'en suis servi pour la dernière fois hier !
Sur ces mots, Gary quitta le bureau et s'assit sur le lit à coté d'elle.
- Tu as bien fait de répondre Susan, tu as tous les fichiers sous les yeux. Te rappelles-tu qu'au départ on réclamait une faveur ?
- Non. Mentit-elle sans vergogne.
- Tu mens Susan, je suis sûr que tu t'en rappelles.
- Vous vouliez me... toucher.
- Pas seulement te toucher, mais te palper tout le corps.
- Mon ventre, mes tétons, et mes fesses.
- Bien, es-tu prête à nous accorder cette faveur maintenant ?
- Effacerez-vous les fichiers si je refuse ?
- Peut-être bien qu'oui, peut-être bien que non, c'est à toi de voir Susan, mais tu n'as pas toute la journée pour te décider.
Elle savait qu'elle aurait pu tenter de les bluffer, mais elle avait l'esprit confus, et une certain part d'elle-même voulait savoir jusqu'où ils iraient,
- C'est d'accord. Souffla-t-elle misérablement.
- C'est d'accord pour quoi ma petite Susan ?
- Vous... Vous pouvez me palper les nichons.
- Bordel à cul !. S'esclaffa Ray en posant le vibromasseur alors qu'ils la regardaient avec attention.
Elle inclina la tête et ferma les yeux alors qu'ils prenaient chacun un de ses nibards en main et entreprenaient de les peloter lascivement.
- Ce n'était pas supposé me donner du plaisir. Pensa-t-elle fugitivement.
Elle sentait des sensations aussi excitantes que coupables la gagner. Elle n'avait pas remarqué que Ray avait extirpé le bas de son corsage de la ceinture de son jean. Elle revint sur terre en réalisant que Gary déboutonnait son chemisier. Elle était déjà ouverte jusqu'au nombril lorsqu'elle lui saisit la main.
- Non, non vous ne devez pas faire ça.
- Tu as bien dit qu'on pouvait te peloter les seins Susan ?
- Oui... Mais... Mais cela ne voulait pas dire...
Comme elle retenait la main de Gary bloquée sur son ventre, Ray saisit cette opportunité et dégrafa le clip de son soutien-gorge dans son dos.
- Hey. Grogna-t-elle cherchant à le réagrafer.
Comme elle tâtonnait, Ray déboutonna tranquillement les trois derniers boutons de son corsage. Ils lui enlevèrent vivement son soutien gorge, anéantissant tous ses efforts pour le garder. Ils reprirent ses tétons en main alors qu'elle laissait retomber ses bras le long de son corps.
- Couche toi sur le dos ! Lui intima Ray.
Ils l'allongèrent sur la couche et prirent chacun un de ses bras qu'ils lui bloquèrent au-dessus de la tête.
- Reste étendue pendant qu'on s'occupe de tes nibards. Lui conseilla Ray.
- Mais…
Ce fut sa seule protestation. Ils ne se servaient pas que leurs doigts, mais aussi de leurs lèvres, de leurs dents, de leur langue. Elle avait toujours eu les tétons très sensibles, et elle aurait aimé que son mari leur prête plus d'attention. Elle se mordit les lèvres cherchant à refréner le gémissement qui lui venait aux lèvres. Gary lui mignotait un nibard avec tendresse, alors que Ray se montrait plus rude, mordillant et étirant celui qu'il avait en bouche. Sa tête roulait de droite à gauche alors que le plaisir la gagnait.
Elle remarqua soudain qu'une main s'était posée sur chacun de ses genoux et rampait sur ses cuisses. Elle resserra fortement les jambes. Elle comprit alors comment les choses allaient tourner. Le fait de resserrer ses cuisses n'avait pas arrêté les deux jeunes. Leurs mains palpaient avidement, et soudainement, remontèrent jusqu'à son entrejambe qu'elles empoignèrent brusquement.
- Ohhhhh… Gémit-elle incapable de retenir ses soupirs.
- Non... Nonnnnn... Vous ne devez pas me toucher... Ohhhh... A cet endroit de mon corps...
Comme ils travaillaient ses nichons, elle put descendre ses mains le long de son corps. En dépit de ses protestations, ses jambes s'étaient légèrement écartées,et Ray lui frottait la fourche.
- Pourquoi serres tu les cuisses Susan, n'aimerais-tu pas ça ?
- Vous aviez dit... Mes... Mes nichons...Mais pas... Cet endroit.... Pas ça.
- C'est vrai ma chérie. Mais tes tétons sont si durs qu'on suppose que ton chaton aussi a faim de caresses. Commenta Ray se désintéressant soudain de son nibard.
- Je parie que ta chatte est trempée. Je vais le vérifier.
Sur ces mots il descendit la fermeture éclair de son jean.
- Non, oh non...
Elle aurait pu le repousser, mais elle se contenta de lui presser faiblement la main en accompagnant son geste. Elle ne montra pas plus de résistance lorsque sa main glissa dans l'ouverture et pénétra dans sa petite culotte.
- Oh non.… S'il vous plaît... Pas ça... Je ne veux pas... Protes-ta-t-elle mollement, le corps en désaccord total avec sa conscience,
Comme elle n'opposait aucune résistance réelle, Ray dégrafa sa ceinture et déboutonna son jean. Ses mains exploraient sa petite culotte. Il se pencha à son oreille et lui susurra :
- Juste comme je le pensais, ta chatte est douce et trempée.
Elle ne réalisait pas qu'elle tendait le bassin vers lui alors que Gary imperturbable continuait, à lui mignardiser les seins.
- Et si je descendais ton jean en bas de tes jambes pour atteindre pus facilement ta petite chatte ma petite chienne ?
N''attendant aucune réponse à sa remarque, il lui attrapa la taille.
- Je... je ne veux pas... Répéta-t-elle faiblement tout en relevant les fesses pour lui faciliter l'opération.
Il voyait maintenant clairement sa petite culotte rose. Elle se laissa docilement écarter les cuisses. Il écarta le fond de la petite culotte et se mit à lui caresser rudement les babines la rendant folle d'excitation.
- Aaaaaaaaaah... Oooooooooh... Mon Dieuuuuuu... Oh ouiiiiiiiiiiiii…
Il faisait rouler son clito sous son pouce lui demandant :
- T'es tu déjà fait bouffer la chatte ?
- Nonnnnnnnnn... Ohhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnn...
- Aimerais-tu que je te bouffe la chatte ?
- Ohhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Il sourit et entreprit de léchouiller son clito enflé. Elle cria, submergée à nouveau par un orgasme insensé, alors que tout en mignotant son clito il la doigtait tendrement.
- Prends-tu la pilule ? L'interrogea Gary.
- Oui. Rétorqua-t-elle oppressée.
- J'en suis bien content parce l'on va te baiser ma chérie, tu l'avais bien compris n'est pas ?
- Oui.
- T'as envie de te faire baiser n'est ce pas Susan ?
- Oui, oh ouiiiiiiiiiiiii !
Elle ne parvenait pas à croire ce qu'elle disait. Elle n'était qu'une paisible ménagère, mais ces deux petits salauds l'avaient tellement excitée.
- Relève-toi et enlève tes derniers vêtements qu'on te baise confortablement. Lui intima Gary.
Elle se leva comme un robot et laissa choir son corsage et son soutien-gorge au sol. Elle jeta un œil sur les deux copains qui se déshabillaient prestement et elle glissa sa petite culotte au bas de ses jambes.
- Garde tes bas ! L'instruisit Ray, se redressant dans sa somptueuse nudité.
Elle remarqua que sa bite était bien plus épaisse que celle de son mari. Et lorsqu'il la rejoignit elle vit ses énormes testicules qui pendaient entre ses cuisses.
- Écartes tes cuisses ! Lui demandèrent-ils.
Elle s’exécuta servilement. Cette fois c'est Gary qui jouait avec sa chatoune alors que Ray s'occupait de ses nibards et leurs gros tétons. Elle espérait que cela ne dure pas trop longtemps, tant elle se sentait faible sur ses jambes.
- Tu veux baiser maintenant ?
- Oh oui... Ouiiiiiiiiiii...
- On a rêvé de cet instant depuis que l'on te suit quand tu montes des escaliers. On était pas sûr de te persuader de coucher avec nous. Et maintenant c'est toi qui en a une folle envie.
- C'est vrai
- Suces-tu la bite de ton mari ?
- Non je ne l'ai jamais fait.
- As-tu déjà sucé d'autres bites ?
- Non. Soupira-t-elle.
- Tu te rends compte Gary, elle n'a jamais fait de pipes ! Elle est encore pucelle de la bouche !
- Eh oui, mais plus pour très longtemps. Parce qu'elle va sucer ma bite ! Répliqua Ray allongé sur le lit sa bite en main.
- Tu ferais mieux de grimper entre mes genoux pour me sucer, et si tu t'occupes bien de moi Gary te fourrera sa bite dans la chatte en même temps.
- Non... Non Je ne peux vraiment pas faire ça.
- Si tu n'as plus besoin des fichiers sur ton PC.
- Non, je vous en prie... Non... Pas ça...
- Alors grimpe sur le lit et commence ta première pipe !
Comme un petit animal soumis, elle grimpa sur le lit et prit sa grosse bite en main.
- C'est ça.... Tu l'embrasses et tu te mets à la lécher.
- Oh ouiiiiii... Maintenant enfourne là dans ta bouche de salope et suce.
- Oh ouiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... On fera d'elle une suceuse experte Gary !
Fesses saillantes en arrière il s'enfouit dans sa bouche docile alors que Gary la prenait en levrette.
- Mmmmmmmp... Mmmmmmph... Grommelait-elle alors qu'elle allait et venait sur sa bite érigée.
Ray explosa le premier dans sa bouche asservie.
- Aaaaag... Oui comme ça... Prends tout... Avale mon foutre...
Elle n'avait pas le choix de toute manière, il la maintenait contre son ventre en lui agrippant les cheveux. La crème épaisse coula dans sa gorge. Elle haleta cherchant sa respiration lorsqu'il la relâcha. Gary lui inonda alors soudainement la chatte alors que quelques gouttes de sperme suintaient à la commissure de ses lèvres.
Elle s'écroula sur le lit épuisée, elle nageait en pleine confusion et à sa grande surprise les deux jeunes hommes reprenaient déjà de la vigueur. Ils s'agenouillèrent de chaque côté d'elle.
- Aide nous à bander à nouveau. Lui intima Ray.
Et pour la première fois de sa vie elle se retrouva à branler simultanément deux hommes.
- T'es devenue notre petite salope. La complimenta Ray tout en titillant lascivement son clito.
- On va te remplir un nouvelle fois de foutre avant de te quitter. C'est bien ce que tu veux petite salope ? Poursuivit-il.
- Hemmmm... Oui je sais que vous allez encore me baiser.
Gary remonta vers la tête du lit prenant place contre les oreillers et la tête de lit. Il proposa un oreiller à son copain. Gary saisit une poignée de ses boucles brunes et ramena son visage tout contre sa bite qu'il frotta sur sa bouche. Elle l'ouvrit.
-T u as des réflexes de bonne suceuse maintenant. Vas-y puis-que c'est ce que tu voulais.
- Oh ouiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii!..,
Ray avait repoussé l'oreiller sous ses fesses. Il prit ses chevilles sur ses épaules et la pénétra profondément. Si profondément en fait qu'elle poussa immédiatement un long cri de plaisir incontrôlable.
- Aaaaaaaaah... Ouiiiiiii... Aaaaaaaah... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii...
Il se mit à jouir à gros bouillons tout en coulissant dans sa chatte pour enfin se retirer aspergeant de foutre sa toison et son ventre. Il empoigna alors le vibromasseur et entreprit de la travailler avec. Elle devenait folle de luxure tout en suçant son copain. Il lui saisit la main.
- Je veux voir comment tu t'en sers.
Elle le repoussa, le forçant à se retirer de sa chatte embrasée. Elle ne le vit pas relever sa petite caméra digitale. Il la régla en position automatique pour la prendre en train de sucer son pote pendant qu'il se remettait à la fourrer avec le vibro.
- Oh oui, je vais jouir. Dit Gary.
- Ouvre bien grande ta bouche... Aaaaaaaaaaaah... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii... Aaaaaaaaaaaaaaaah...
Il projeta des torrents de foutre chaud dans sa bouche grande ouverte, alors qu'un orgasme d'une violence inouïe la terrassait. Elle s'écroula épuisée et pantelante sur le lit. Ils se servirent de sa petite culotte et de son soutien-gorge pour se nettoyer la queue et se rhabillèrent. Elle s'était endormie couverte de foutre sur le lit. Ils se penchèrent sur elle pour lui donner un dernier baiser sur ses adorables tétons et partirent.
Elle avait du s'assoupir, la seule chose dont elle se rappelait c'était la voix de sa fille l'interpellant :
- T'es en haut maman ?
Elle sauta du lit, rassembla de son mieux ses effets et se rua dans la salle de bain.
- Oui. Répondit-elle.
Et elle ajouta :
- Je vais prendre une douche.
Elle se réjouit vraiment de prendre cette douche, mais l'eau la faisait frémir de milles fourmillements. En se lavant elle réalisa que son corps était toujours aussi réceptif. La culpabilité la frappait alors qu'elle jouissait une dernière fois en se triturant le clito.
A suivre...
Elle avait quasiment épuisé toutes ses ressources lorsque qu'une membre de l'association informatique local l'appela. Elle lui demanda si elle connaissait quelqu'un susceptible de régler ses problèmes, la femme répondit non de prime abord, puis se souvint d'une connaissance de son fils. Elle poursuivit qu'elle pourrait en toucher un mot à son fils, mais son ami lui semblait bizarre et elle n'aimait pas trop le voir chez elle.
Madame Hutchinson n'avait pas vraiment écouté ses réserves et lui dit qu'elle serait très heureuse s'il parvenait à remettre en ordre son PC.
De retour des magasins le matin suivant, un message la prévint qu'un jeune homme nommé Gary l'appellerait dans la journée et verrait ce qu'il pouvait faire pour elle. Juste après le repas, la sonnette de la porte carillonna. Deux jeunes d'environ 18 ans se tenaient sur le palier.
- Bonjour madame, Je suis Gary. Vous avez un problème d'ordinateur ?
- Oh oui ! Je vous en prie, entrez !
Ils la suivirent,
- L'ordinateur est dans la chambre d'ami si vous voulez bien me suivre.
Les deux jeunes se poussèrent du coude en reluquant sa croupe moulée dans son jean étroit.
Elle les introduisit dans une petite chambre meublée d'un lit à deux places, l'ordinateur se trouvait sur une table le long du mur. Gary prit place sur une chaise, son pote Ray s'assit sur le lit. L'ordinateur allumé, il s'enquit du problème.
- Croyez-vous pouvoir y remédier ?
- On peut toujours essayer, et maintenant si vous descendiez nous préparer une bonne tasse de thé.
- L'insolent. Pensa-t-elle avant qu'ils l'appelent à nouveau.
- Et n'oublie pas les biscuits.
Quand elle revint, apportant le thé et les biscuits, Gary l'interrogea :
- Hé bien, madame Hutchinson, vous avez vraiment fait fort.
- Oh non, pensez vous pouvoir réparer ma bêtise, oui ou non ?
-J'espère bien y arriver, mais vous mériteriez une bonne punition ! Ricana-t-il railleur.
- Vous avez raison. Rit-elle nerveusement.
- Mais j'ai besoin de m'en servir avant le retour de mon mari qui rentre demain. Pourrez vous le réparer aujourd'hui ?
- Je ne peux pas vous répondre comme ça.
- S'il vous plaît, réparez-le, j'en ai besoin aujourd'hui même. Je vous paierai bien.
- Bien, bien, bien, on va voir ce qu'on peut faire.
- Oh merci. Dit-elle soulagée en posant une main légère sur l'épaule de Gary.
- Je suis en bas si vous avez besoin de moi.
- Ok madame Hutchinson, on vous appellera dès qu'on aura besoin de vous.
Le problème était facile à résoudre, mais ils jouèrent sur le PC tout en peaufinant leur plan.
- C'est bon, appelle là, on va lui mettre le marché en main.
Il se pencha au dessus de la rampe et la héla :
- Madame Hutchinson, on a besoin de vous dans la chambre.
- J'arrive,
- Vous feriez mieux. Glissa-t-il sourdement à son copain.
Elle apparut dans la chambre.
- Avez vous réussi ? Les interrogea-t-elle anxieuse.
- Venez ici et asseyez-vous, nous allons vous montrer. Dit Gary en désignant le lit du doigt.
Il se leva pour la laisser passer. Elle s'assit sur le lit à coté de Ray, Gary occupant la chaise de bureau. Celui-ci cliqua sur quelques icônes et forma une liste de fichiers pour l'impressionner.
- Vous voyez ? Lui demanda-t-il.
- Non pas vraiment, mais je suis très contente que vous ayez pu réparer ma bêtise et je paierai un bon prix pour vous remercier.
- C'est d'accord en ce qui me concerne. Répliqua Gary.
- Mais avant nous aimerions que vous nous fassiez une faveur.
Toute surprise elle répéta :
-Une faveur ? Qu'entendez-vous par là ?
- Puisque nous te rendons un grand service, nous aimerions que pour nous remercier tu nous montres ton adorable petit cul et tes nichons.
- Quoi !!!!! Hurla-t-elle sautant sur ses pieds.
- Comment osez-vous me proposer ça ? Et maintenant laissez-moi passer ou ça va faire mal !
Gary restait assis calmement, il s'attendait à cette réaction.
- Avant de monter sur tes grands chevaux, tu ferais mieux de jeter un coup d’œil sur ceci madame Hutchinson. Lui rétorqua-t-il désignant l'écran.
Elle se tut et regarda.
- Cette liste contient tous les fichiers présents sur ton ordinateur, je peux aisément les effacer définitivement. Comment expliqueras-tu ça à ton mari ?
- Je... Je suis désolée de vous avoir offensé. Je suis flattée de votre demande, mais je ne peux pas… ET je ne veux pas... Qu'en dites vous ?
- Rassieds toi ! Lui intima-t-il.
- Discutons d'un bon prix. Dit- elle en reprenant sa place sur le lit.
Gary ouvrit un fichier qui ne contenait que du texte avec pour en-têtes des noms de hauts fonctionnaires.
- A partir de cet instant, madame Hutchinson, on va faire un petit jeu.
- Laissez tomber les gars, je veux juste discuter du prix de votre intervention.
- Vous feriez mieux d'écouter les règles madame Hutchinson. La prévint sèchement Ray.
- Mais... Je...
- Vous voyez ces 10 fichiers ? Ce sont les plus importants dans cet ordinateur. Et maintenant on va te poser quelques questions madame Hutchinson.
- Que... Quelle sorte de questions ?
- Des questions dont tu connais les réponses, mais si tu refuses de répondre, j'efface un fichier. A ce moment je pourrai encore revenir en arrière si tu réponds correctement à la question posée et aux suivantes. Comprends-tu bien ?
Le tutoiement instaurant un rapport de dominant à dominé lui était venu tout naturellement, et comme justement ils voulaient plier cette chère madame Hutchinson à toutes leurs volontés...
- Non, non pas vraiment.
- Tu comprendras mieux en jouant. Pour commencer quel est ton prénom ?
- Susan.
- C'est ça, mais tu aurais du employer la formule correcte : Je m'appelle Susan. T'as compris ?
- Je crois que oui.
- Bon, et bien alors Susan, qu'elle est la taille de tes nichons ?
- Quoi ! Vous ne pouvez pas me demander des choses comme ça ! S'insurgea-t-elle en croisant instinctivement les bras sur sa poitrine.
- Mauvaise réponse. Commenta-t-il en effaçant deux fichiers.
- On non. Haleta-t-elle éperdue.
- Dans ce jeu on peut te poser toutes les questions qu'on veut. Et maintenant aimerais-tu que je rappelle les fichiers disparus ?
- Oh oui, remettez les en place. Je vous en prie . Le supplia-t-elle misérablement.
- Alors réponds à ma question, et correctement, quelle taille font tes nibards ?
Elle savait qu'en fait elle n'avait pas vraiment le choix.
- Ça va, ça va. Du 100 C je crois...
- C'est bien et maintenant tes autres mensurations ?
- Je ne suis pas sûre, mais je pense que ce doit être 90-62-90 où quelque chose comme ça.
- Voilà c'est mieux. Tu sembles en forme Susan, et maintenant c'est au tour de Ray de te poser quelques questions.
- Bon, à nous deux Susan. Quand t'es tu faite baiser pour la dernière fois ?
- Vous êtes fous ou quoi ? IL n'est pas question que je réponde à ce genre de question.
- Mauvaise réponse . Grinça calmement Gary en effaçant 3 fichiers.
- A toi de jouer Susan, il sont encore en balance.
- S'il vous plait...
- Un click et ils disparaissent à jamais.
- D'accord. Soupira-t-elle pitoyablement.
- Vendredi de la semaine dernière.
- C'est tout ? Je veux que tu répondes en y mettant les formes ma douce.
- Je pense que j'ai baisé pour la dernière fois vendredi de la semaine dernière.
Elle ne parlait jamais de ces choses avec qui que ce soit et elle n'avait jamais utilisé le terme baiser. Elle ne comprenait pas le sens de tout ceci, elle frissonna d'appréhension.
- Par qui ? L'interrogea Ray.
- Mon mari bien sur !
Les questions des deux jeunes se faisaient plus intimes.
- As-tu joui ? Lui demanda alors Ray.
Elle vit la souris pointer un fichier.
- Non je n'ai pas joui ! Répliqua-t-elle rapidement.
- Ton mari te fait-il encore jouir ? Ajouta Gary, qui venait de souligner un fichier en surbrillance en guise d'avertissement.
- Il me fait parfois jouir.
- Cela arrive-t-il souvent ?
- Assez rarement, Dut-elle concéder.
Ray reprit :
- Comment une jeune femme aussi sexy que toi le supporte-t-il ? te masturbes-tu ?
- Dois je vraiment répondre à cette question? Demanda-t-elle bien que connaissant déjà la réponse.
Gary bougea la souris.
- Eh oui, il m'arrive de me masturber.
Ils ne pouvaient plus revenir en arrière désormais.
-Quand tu te donnes du plaisir ma chère Susan, te sers-tu de tes doigts ou d'autres choses ?
Elle répondit :
-Je me sers parfois de mes doigts, et parfois de…
Elle s'arrêta net.
- Oui Susan ? De quoi ?
- Mon... Mon vibromasseur.
- Bordel, t'as un vibromasseur. Où se trouve-t-il ? Se réjouit Ray hilare.
- Quoi ?
- Où est il ? Jusqu'ici, je n'en ai vu que sur internet.
- Dans le tiroir de mon bureau. Dit-elle le désignant du doigt.
- Sors le qu'on voit à quoi ça ressemble en réalité.
Elle se leva et se pencha sur le bureau alors qu'ils se souriaient l'un à l'autre dans son dos. Elle se rassit, le vibro entre les mains. Ray s'en empara.
- Ainsi c'est ton petit pénis artificiel. Qu'en pense ton mari ?
- Il n'en sait rien,
- Très bien. Je suppose que cela ne te pose aucun problème de t'en servir ?
- Non.
- Quand t'en es tu servi la dernière fois Susan ?
- Je m'en suis servi pour la dernière fois hier !
Sur ces mots, Gary quitta le bureau et s'assit sur le lit à coté d'elle.
- Tu as bien fait de répondre Susan, tu as tous les fichiers sous les yeux. Te rappelles-tu qu'au départ on réclamait une faveur ?
- Non. Mentit-elle sans vergogne.
- Tu mens Susan, je suis sûr que tu t'en rappelles.
- Vous vouliez me... toucher.
- Pas seulement te toucher, mais te palper tout le corps.
- Mon ventre, mes tétons, et mes fesses.
- Bien, es-tu prête à nous accorder cette faveur maintenant ?
- Effacerez-vous les fichiers si je refuse ?
- Peut-être bien qu'oui, peut-être bien que non, c'est à toi de voir Susan, mais tu n'as pas toute la journée pour te décider.
Elle savait qu'elle aurait pu tenter de les bluffer, mais elle avait l'esprit confus, et une certain part d'elle-même voulait savoir jusqu'où ils iraient,
- C'est d'accord. Souffla-t-elle misérablement.
- C'est d'accord pour quoi ma petite Susan ?
- Vous... Vous pouvez me palper les nichons.
- Bordel à cul !. S'esclaffa Ray en posant le vibromasseur alors qu'ils la regardaient avec attention.
Elle inclina la tête et ferma les yeux alors qu'ils prenaient chacun un de ses nibards en main et entreprenaient de les peloter lascivement.
- Ce n'était pas supposé me donner du plaisir. Pensa-t-elle fugitivement.
Elle sentait des sensations aussi excitantes que coupables la gagner. Elle n'avait pas remarqué que Ray avait extirpé le bas de son corsage de la ceinture de son jean. Elle revint sur terre en réalisant que Gary déboutonnait son chemisier. Elle était déjà ouverte jusqu'au nombril lorsqu'elle lui saisit la main.
- Non, non vous ne devez pas faire ça.
- Tu as bien dit qu'on pouvait te peloter les seins Susan ?
- Oui... Mais... Mais cela ne voulait pas dire...
Comme elle retenait la main de Gary bloquée sur son ventre, Ray saisit cette opportunité et dégrafa le clip de son soutien-gorge dans son dos.
- Hey. Grogna-t-elle cherchant à le réagrafer.
Comme elle tâtonnait, Ray déboutonna tranquillement les trois derniers boutons de son corsage. Ils lui enlevèrent vivement son soutien gorge, anéantissant tous ses efforts pour le garder. Ils reprirent ses tétons en main alors qu'elle laissait retomber ses bras le long de son corps.
- Couche toi sur le dos ! Lui intima Ray.
Ils l'allongèrent sur la couche et prirent chacun un de ses bras qu'ils lui bloquèrent au-dessus de la tête.
- Reste étendue pendant qu'on s'occupe de tes nibards. Lui conseilla Ray.
- Mais…
Ce fut sa seule protestation. Ils ne se servaient pas que leurs doigts, mais aussi de leurs lèvres, de leurs dents, de leur langue. Elle avait toujours eu les tétons très sensibles, et elle aurait aimé que son mari leur prête plus d'attention. Elle se mordit les lèvres cherchant à refréner le gémissement qui lui venait aux lèvres. Gary lui mignotait un nibard avec tendresse, alors que Ray se montrait plus rude, mordillant et étirant celui qu'il avait en bouche. Sa tête roulait de droite à gauche alors que le plaisir la gagnait.
Elle remarqua soudain qu'une main s'était posée sur chacun de ses genoux et rampait sur ses cuisses. Elle resserra fortement les jambes. Elle comprit alors comment les choses allaient tourner. Le fait de resserrer ses cuisses n'avait pas arrêté les deux jeunes. Leurs mains palpaient avidement, et soudainement, remontèrent jusqu'à son entrejambe qu'elles empoignèrent brusquement.
- Ohhhhh… Gémit-elle incapable de retenir ses soupirs.
- Non... Nonnnnn... Vous ne devez pas me toucher... Ohhhh... A cet endroit de mon corps...
Comme ils travaillaient ses nichons, elle put descendre ses mains le long de son corps. En dépit de ses protestations, ses jambes s'étaient légèrement écartées,et Ray lui frottait la fourche.
- Pourquoi serres tu les cuisses Susan, n'aimerais-tu pas ça ?
- Vous aviez dit... Mes... Mes nichons...Mais pas... Cet endroit.... Pas ça.
- C'est vrai ma chérie. Mais tes tétons sont si durs qu'on suppose que ton chaton aussi a faim de caresses. Commenta Ray se désintéressant soudain de son nibard.
- Je parie que ta chatte est trempée. Je vais le vérifier.
Sur ces mots il descendit la fermeture éclair de son jean.
- Non, oh non...
Elle aurait pu le repousser, mais elle se contenta de lui presser faiblement la main en accompagnant son geste. Elle ne montra pas plus de résistance lorsque sa main glissa dans l'ouverture et pénétra dans sa petite culotte.
- Oh non.… S'il vous plaît... Pas ça... Je ne veux pas... Protes-ta-t-elle mollement, le corps en désaccord total avec sa conscience,
Comme elle n'opposait aucune résistance réelle, Ray dégrafa sa ceinture et déboutonna son jean. Ses mains exploraient sa petite culotte. Il se pencha à son oreille et lui susurra :
- Juste comme je le pensais, ta chatte est douce et trempée.
Elle ne réalisait pas qu'elle tendait le bassin vers lui alors que Gary imperturbable continuait, à lui mignardiser les seins.
- Et si je descendais ton jean en bas de tes jambes pour atteindre pus facilement ta petite chatte ma petite chienne ?
N''attendant aucune réponse à sa remarque, il lui attrapa la taille.
- Je... je ne veux pas... Répéta-t-elle faiblement tout en relevant les fesses pour lui faciliter l'opération.
Il voyait maintenant clairement sa petite culotte rose. Elle se laissa docilement écarter les cuisses. Il écarta le fond de la petite culotte et se mit à lui caresser rudement les babines la rendant folle d'excitation.
- Aaaaaaaaaah... Oooooooooh... Mon Dieuuuuuu... Oh ouiiiiiiiiiiiii…
Il faisait rouler son clito sous son pouce lui demandant :
- T'es tu déjà fait bouffer la chatte ?
- Nonnnnnnnnn... Ohhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnn...
- Aimerais-tu que je te bouffe la chatte ?
- Ohhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Il sourit et entreprit de léchouiller son clito enflé. Elle cria, submergée à nouveau par un orgasme insensé, alors que tout en mignotant son clito il la doigtait tendrement.
- Prends-tu la pilule ? L'interrogea Gary.
- Oui. Rétorqua-t-elle oppressée.
- J'en suis bien content parce l'on va te baiser ma chérie, tu l'avais bien compris n'est pas ?
- Oui.
- T'as envie de te faire baiser n'est ce pas Susan ?
- Oui, oh ouiiiiiiiiiiiii !
Elle ne parvenait pas à croire ce qu'elle disait. Elle n'était qu'une paisible ménagère, mais ces deux petits salauds l'avaient tellement excitée.
- Relève-toi et enlève tes derniers vêtements qu'on te baise confortablement. Lui intima Gary.
Elle se leva comme un robot et laissa choir son corsage et son soutien-gorge au sol. Elle jeta un œil sur les deux copains qui se déshabillaient prestement et elle glissa sa petite culotte au bas de ses jambes.
- Garde tes bas ! L'instruisit Ray, se redressant dans sa somptueuse nudité.
Elle remarqua que sa bite était bien plus épaisse que celle de son mari. Et lorsqu'il la rejoignit elle vit ses énormes testicules qui pendaient entre ses cuisses.
- Écartes tes cuisses ! Lui demandèrent-ils.
Elle s’exécuta servilement. Cette fois c'est Gary qui jouait avec sa chatoune alors que Ray s'occupait de ses nibards et leurs gros tétons. Elle espérait que cela ne dure pas trop longtemps, tant elle se sentait faible sur ses jambes.
- Tu veux baiser maintenant ?
- Oh oui... Ouiiiiiiiiiii...
- On a rêvé de cet instant depuis que l'on te suit quand tu montes des escaliers. On était pas sûr de te persuader de coucher avec nous. Et maintenant c'est toi qui en a une folle envie.
- C'est vrai
- Suces-tu la bite de ton mari ?
- Non je ne l'ai jamais fait.
- As-tu déjà sucé d'autres bites ?
- Non. Soupira-t-elle.
- Tu te rends compte Gary, elle n'a jamais fait de pipes ! Elle est encore pucelle de la bouche !
- Eh oui, mais plus pour très longtemps. Parce qu'elle va sucer ma bite ! Répliqua Ray allongé sur le lit sa bite en main.
- Tu ferais mieux de grimper entre mes genoux pour me sucer, et si tu t'occupes bien de moi Gary te fourrera sa bite dans la chatte en même temps.
- Non... Non Je ne peux vraiment pas faire ça.
- Si tu n'as plus besoin des fichiers sur ton PC.
- Non, je vous en prie... Non... Pas ça...
- Alors grimpe sur le lit et commence ta première pipe !
Comme un petit animal soumis, elle grimpa sur le lit et prit sa grosse bite en main.
- C'est ça.... Tu l'embrasses et tu te mets à la lécher.
- Oh ouiiiiii... Maintenant enfourne là dans ta bouche de salope et suce.
- Oh ouiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... On fera d'elle une suceuse experte Gary !
Fesses saillantes en arrière il s'enfouit dans sa bouche docile alors que Gary la prenait en levrette.
- Mmmmmmmp... Mmmmmmph... Grommelait-elle alors qu'elle allait et venait sur sa bite érigée.
Ray explosa le premier dans sa bouche asservie.
- Aaaaag... Oui comme ça... Prends tout... Avale mon foutre...
Elle n'avait pas le choix de toute manière, il la maintenait contre son ventre en lui agrippant les cheveux. La crème épaisse coula dans sa gorge. Elle haleta cherchant sa respiration lorsqu'il la relâcha. Gary lui inonda alors soudainement la chatte alors que quelques gouttes de sperme suintaient à la commissure de ses lèvres.
Elle s'écroula sur le lit épuisée, elle nageait en pleine confusion et à sa grande surprise les deux jeunes hommes reprenaient déjà de la vigueur. Ils s'agenouillèrent de chaque côté d'elle.
- Aide nous à bander à nouveau. Lui intima Ray.
Et pour la première fois de sa vie elle se retrouva à branler simultanément deux hommes.
- T'es devenue notre petite salope. La complimenta Ray tout en titillant lascivement son clito.
- On va te remplir un nouvelle fois de foutre avant de te quitter. C'est bien ce que tu veux petite salope ? Poursuivit-il.
- Hemmmm... Oui je sais que vous allez encore me baiser.
Gary remonta vers la tête du lit prenant place contre les oreillers et la tête de lit. Il proposa un oreiller à son copain. Gary saisit une poignée de ses boucles brunes et ramena son visage tout contre sa bite qu'il frotta sur sa bouche. Elle l'ouvrit.
-T u as des réflexes de bonne suceuse maintenant. Vas-y puis-que c'est ce que tu voulais.
- Oh ouiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii!..,
Ray avait repoussé l'oreiller sous ses fesses. Il prit ses chevilles sur ses épaules et la pénétra profondément. Si profondément en fait qu'elle poussa immédiatement un long cri de plaisir incontrôlable.
- Aaaaaaaaah... Ouiiiiiii... Aaaaaaaah... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii...
Il se mit à jouir à gros bouillons tout en coulissant dans sa chatte pour enfin se retirer aspergeant de foutre sa toison et son ventre. Il empoigna alors le vibromasseur et entreprit de la travailler avec. Elle devenait folle de luxure tout en suçant son copain. Il lui saisit la main.
- Je veux voir comment tu t'en sers.
Elle le repoussa, le forçant à se retirer de sa chatte embrasée. Elle ne le vit pas relever sa petite caméra digitale. Il la régla en position automatique pour la prendre en train de sucer son pote pendant qu'il se remettait à la fourrer avec le vibro.
- Oh oui, je vais jouir. Dit Gary.
- Ouvre bien grande ta bouche... Aaaaaaaaaaaah... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii... Aaaaaaaaaaaaaaaah...
Il projeta des torrents de foutre chaud dans sa bouche grande ouverte, alors qu'un orgasme d'une violence inouïe la terrassait. Elle s'écroula épuisée et pantelante sur le lit. Ils se servirent de sa petite culotte et de son soutien-gorge pour se nettoyer la queue et se rhabillèrent. Elle s'était endormie couverte de foutre sur le lit. Ils se penchèrent sur elle pour lui donner un dernier baiser sur ses adorables tétons et partirent.
Elle avait du s'assoupir, la seule chose dont elle se rappelait c'était la voix de sa fille l'interpellant :
- T'es en haut maman ?
Elle sauta du lit, rassembla de son mieux ses effets et se rua dans la salle de bain.
- Oui. Répondit-elle.
Et elle ajouta :
- Je vais prendre une douche.
Elle se réjouit vraiment de prendre cette douche, mais l'eau la faisait frémir de milles fourmillements. En se lavant elle réalisa que son corps était toujours aussi réceptif. La culpabilité la frappait alors qu'elle jouissait une dernière fois en se triturant le clito.
A suivre...
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