Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Au tour de Septembre et Avril d'être embrigadées.Je suis heureuse de ma nouvelle vie. Gardez à l'esprit que cette histoire est la mienne. Je la raconte à un homme qui l'écrit. Et il retranscrit très bien ce que je lui dis. Je travaille dans une librairie et je lis beaucoup. Ses écrits sont fidèles aux événements.
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Se doutant que je serai bientôt à la maison, Janvier ma fille et Jack mon mari s'habillèrent et décidèrent de ne pas attendre. Ils avaient décidé de recruter Septembre dans quelques jours. Elle devait avoir un jour de congé et faire la grasse matinée. Ce jour-là Jack appela son travail et prit un jour de congé. Janvier, fraîchement douchée se promenait nue dans la maison.
Septembre se leva et alla prendre une douche alors que Sam, James et John arrivèrent. Janvier arriva dans la cuisine tandis que les hommes buvaient du café. Elle embrassa chaque gars et s'assit sur leurs genoux pour qu'ils puissent jouer avec sa chatte et ses seins. Elle se leva quand elle entendit que la douche s'arrêtait.
- Je vais faire avancer les choses. Dit-elle en s'éloignant, le doigt de John sortant de sa chatte.
Elle monta l'escalier. A ce stade de l'histoire, Janvier me fit arrêter une fois de plus la voiture. Soit elle était encore excitée, soit elle savait que la suite de l'histoire allait l'exciter. Je me garai dans le parking qu'elle me désigna. Je me trouvai à genoux sur le siège arrière, mon visage entre les cuisses de ma fille qui avait sa jupe relevée à la taille, quand elle continua l'histoire de l'embrigadement de Septembre.
Janvier était nue quand elle entra dans la chambre de Septembre. Celle-ci portait juste une serviette enroulée autour d'elle. Janvier s'assit sur le lit et parla de choses et d'autres. Elle dirigea la conversation vers leur avenir. Elle dit à sa grande sœur qu'elle envisageait de devenir massothérapeute.
- Mes amis me disent que je serais bonne dans ce domaine. Couche toi je vais te montrer. Dit-elle à sa sœur.
Avec son histoire convaincante, beaucoup de persuasion, un peu de tendresse et beaucoup de détermination, Septembre se retrouva attachée sur le lit, jambes écartées. Ses yeux s'ouvrirent de surprise.
- Détends toi et apprécie! Ça va être une nouvelle vie, il va falloir t'y habituer. Dit Janvier.
Elle commença à masser sa sœur, ses épaules, ses seins, son ventre, son entrejambe malgré ses protestations.
- Est-ce que tu entends parler en bas? Papa a pris un jour de congé. Lui et ses amis sont là pour t'initier.
Les yeux de Septembre s'agrandirent et elle se débattit avec ses liens. Janvier mit sa tête entre les jambes de sa sœur et se mit à lécher son clitoris.
Malgré elle, Septembre réagit à la stimulation. Son corps répondit. Alors que son esprit protestait, ses hanches ont commencé à remuer. Après quelques minutes, elle poussait sa chatte sur le visage de sa petite sœur.
Janvier s'arrêta juste avant que Septembre jouisse. Elle mit deux doigts dans la chatte de sa sœur et commença à la branler. Elle embrassa Septembre pour lui faire goûter son propre jus. Puis elle mordit et suça les gros seins de sa sœur.
- Je veux que mes seins deviennent aussi gros que les tiens. Se plaignit Janvier.
Elle retourna lécher le clito de Septembre. Septembre eut un orgasme sous l'action de la langue de sa sœur. Toutes protestations l'ont abandonnée. Janvier embrassa et caressa sa sœur quand sa respiration fut revenue à la normale.
- Papa et ses amis vont t'utiliser! Murmura-t-elle.
Elle saisit les cheveux de Septembre et la força à la regarder dans les yeux en disant :
- Tu vas les sucer et les baiser jusqu'à ce qu'ils soient fatigués. Habitue-toi à cette idée.
Et elle continua :
- Tu vas le faire et tu nous aideras à embrigader Avril. Tu peux ne pas me croire. Mais je vais te dire une chose. Si tu ne fais pas ce que je te dis de faire, je fais venir toute l'équipe de football et je les laisse tous, à tour de rôle, te baiser. Alors ma grande sœur, crois-tu ce que je dis?
Septembre eut le vertige. Elle pensait que sa sœur lui disait la vérité. Elle avait peur et était excitée à la fois. Elle se débattit et protesta quand les hommes noirs sont entrés dans sa chambre. Janvier la gifla puis s'assit à califourchon sur son visage, les lèvres de sa chatte humide et gonflée à quelques centimètres de la bouche de Septembre, qui n'avait jamais vu un sexe féminin d'aussi près. Janvier s'assit et se mit à rire en disant :
- Ça devrait la faire tenir tranquille. Lèche ma chatte salope!
Sam commença à lécher Septembre tandis que celle-ci léchait Janvier. Les yeux de Septembre se fermèrent alors qu'elle approchait d'un orgasme. La chatte quitta sa bouche pour être remplacée par une bite. Elle ouvrit la bouche puis ses yeux pour voir qu'elle était en train de sucer la queue de son père.
Quand elle voulut dire quelque chose, Jack poussa sa bite en avant et étouffa ses mots. La bouche remplie avec une queue et une langue léchant sa chatte, Septembre succomba.
Son père retira sa bite humide de sa bouche et Janvier se mit en position 69 sur elle. Sa petite sœur baissa sa chatte sur sa bouche et se mit à lécher son sexe. Elle écarta les petites lèvres et lécha l'intérieur, l'extérieur et le clitoris. La tête de Septembre lui tournait sous ces intentions. Puis elle vit une ombre sur son visage.
Janvier leva son cul et Septembre vit une grosse bite noire avec des grosses couilles au-dessus de son visage. Tandis que la queue de Sam commençait à séparer les petites lèvres de Janvier, Septembre sentit sa propre chatte s'ouvrir sur la pénétration d'une autre queue. Subjuguée, elle regarda l'énorme bite de Sam faire son chemin dans le petit sexe de sa sœur qui lui dit :
- Tu ne te sens pas bien avec la queue de papa en toi?
Et janvier retourna lécher son clitoris.
La bite noire sortir de sa sœur et s'approcha de ses lèvres. Septembre ouvrit sa bouche et se mit à la sucer. Sam baisa en alternance la chatte de Janvier et la bouche de Septembre. Jack fit la même chose. Il arrêta de baiser la chatte de son aînée, sortit sa queue et l'offrit à sa plus jeune fille qui l'engouffra dans sa bouche maintenant qualifiée. Sam s'arrêta et dit qu'il allait jouir. Il rit et demanda :
- Où voulez-vous mon sperme?
- Remplissez nos chattes à toutes les deux, nous les lécherons ensuite. Répondit Janvier.
Sam n'eut pas besoin de plus d'encouragements. Il se vida dans le vagin de Janvier.
Pour la première fois avant beaucoup d'autres, le sperme coula de la chatte de Janvier dans la bouche de Septembre. Celle-ci résista pendant une minute en gardant la bouche fermée. Mais Sam sortit du sexe de janvier et lui présenta sa bite à nettoyer. Elle le suça et le sperme mélangé au jus de sa sœur tomba sur son visage. Janvier saisit un mamelon de sa sœur et le tordit sauvagement en disant :
- Tu nettoies sa queue et ma chatte. Fais le bien ou tu le regretteras.
Elle tordit l'autre mamelon. La douleur fit crier Septembre.
Obéissante, elle retourna lécher et sucer. Bientôt elle sentit la queue dans sa chatte raidir et elle entendit le râle de son père qui éjaculait dans son ventre. Malgré elle, un orgasme la traverse. Tandis qu'il l'inonde de son sperme et que sa sœur titille son clitoris, elle hurle sa jouissance. Elle se tortille pendant quelques secondes avant de laisser retomber sa tête sur l'oreiller.
- Papa, je vais chercher les autres pendant que tu te remets en forme. Dit Janvier.
Elle partit et revint peu après avec les deux autres hommes. Elle les tenait par la main jusqu'à ce qu'ils atteignent le lit.
Puis Janvier lâcha leur main et saisit leur bite. Elle les sentit grandir dans ses petites mains et elle demanda à sa sœur Septembre :
- Tu choisis celui que tu veux dans ta chatte et celui que tu veux dans ta bouche!
Elle joua avec ses doigts sur les glands. Les bites se redressèrent en gonflant lentement. Janvier continue :
- Nous avons décidé que papa serait le premier à te sodomiser.
Elle vit qu'elle avait choqué sa sœur, de la peur se lisait sur son visage. Janvier dit encore :
- Si tu ne choisis pas, je le ferai pour toi.
Septembre hocha la tête et dit :
- Lui dans ma bouche.
- Tu es sûre que tu pourras ouvrir la bouche aussi grande? Dit Janvier en riant.
Elle ajouta :
- Non, non, non, non, Demande-leur comme il faut.
Janvier approcha ses lèvres de l'oreille de Septembre et saisit son mamelon. L’aînée de la famille comprit que son téton allait de nouveau être tordu violemment. Alors elle répéta les paroles chuchotées à son oreille :
- James, puis-je, s'il vous plaît sucer votre grosse bite noire jusqu'à ce que vous éjaculiez dans ma bouche?
Puis Septembre regarda John et dit :
- S'il vous plaît John, voulez-vous baiser ma petite chatte blanche avec votre grosse queue noire et remplir mon ventre avec votre sperme?
Les deux hommes se mit à rire et Sam et Jack sourirent de l'autre côté de la pièce. Ils avaient choisi la bonne fille pour commencer les choses. Janvier passait de maîtresse à salope aussi facilement que l'on manipule un interrupteur. Elle ne jouait pas seulement le rôle, elle l'aimait. James n'eut pas besoin de plus d'encouragements. Il commença à nourrir Septembre avec sa queue. John se mit en position et commença à remplir la chatte avec son gros morceau de viande noire. Janvier attrapa les jambes de sa sœur et les mit autour de la taille de John pour qu'elle soit encore plus pénétrée par John.
Septembre suçait James en essayant de mettre le plus possible de la grosse queue dans sa bouche. Janvier se tenait à côté de son père et regardait le spectacle. Ses petites mains jouaient avec les couilles de son père. Elle sentit que sa queue recommençait à enfler. John baisait Septembre avec de grands coups de reins. Les hanches de la jeune fille accompagnaient le mouvement. Ses seins étaient toujours sensibles et elle eut le souffle coupé avec le sexe dans sa bouche et John qui se mit à sucer ses mamelons tout en la pilonnant. Maintes et maintes fois, sa queue brillante sortit et claqua dans la chatte ouverte. Janvier se sentit mouiller à regarder l'action.
Septembre laissa glisser la queue hors de sa bouche. Elle regarda James avec de la convoitise dans les yeux et elle gémit :
- Changez de place.
La grosse queue qui lui faisait si peur à l'origine l'excitait maintenant. Elle voulait qu'elle la remplisse. Janvier avança et défit les liens des poignets de Septembre pendant que James et John changeaient de place.
- Ça ne te dérange pas de partager? Demanda Janvier en mettant sa tête près de celle de sa sœur.
John laissa sa bite balancer entre les deux bouches chaudes des adolescentes. James plaça son gland contre les lèvres de la chatte de Septembre. Puis il poussa et mit environ 10 centimètres de sa queue dans la chatte serrée. Elle gémit. James poussa ses jambes en avant. Il commence à la baiser en la pénétrant de plus en plus. Il s'amuse avec le clito alors que 14, 16 puis 18 centimètres disparaissent dans la chatte à chaque coup de rein. Et quand il met le reste de sa bite, Septembre jouit en criant :
- OUI OUI BAISE-MOI. C'est si bon papa, je jouis sur sa grosse bite noire, c'est si bon.
Son orgasme dura un bon moment et elle gémissait :
- Oh putain, oh merde, oui baise-moi, j'adore ça.
James continua à la pénétrer avec de longs coups de reins. Maintes fois, il claqua sa queue dans la petite chatte. Janvier embrassa Septembre. Elles sucèrent la queue de John ensemble puis séparément. Septembre lécha les couilles pendant que le gland glissait entre les lèvres de Janvier. Puis elles inversèrent. Enfin John mit sa queue entre elle deux et leurs lèvres léchèrent chaque côté en même temps. Le manège dura pendant plusieurs minutes.
John se baissa et rapprocha les deux visages. Elles furent joue contre joue à regarder John se branler au-dessus d'elles. Septembre oublia presque la bite dans sa chatte en regardant, fascinée, le premier jet de sperme sortir du membre de John. Le foutre tomba sur les deux faces puis l'homme caressa les visages avec sa queue jusqu'à ce qu'il se soit complètement vidé. Janvier prit la bite dans sa bouche, suça et lécha les gouttes restantes.
Sam se dirigea vers le lit et mit Janvier à quatre pattes. Puis il la pénétra alors qu'elle embrassait sa sœur. Septembre et Janvier léchait le sperme sur le visage de l'autre, tout en s'embrassant alors qu'elles étaient baisées par des bites de noirs. Elles continuèrent à s'embrasser même après avoir bien nettoyé leur figure. Puis Janvier se tourna vers Jack et lui demanda :
- Es-tu prêt?
Elle se dégagea de Sam et plaça James et septembre dans la position qu'elle désirait. James était sur le dos et Janvier guida sa sœur et la positionna juste au-dessus de la grosse queue. Puis elle aida Septembre à descendre jusqu'au moment où elle est complètement empalée sur la queue. Janvier poussa alors Septembre en avant et ses seins vinrent s'écraser contre la poitrine de James.
Janvier s'installe sur son dos à côté de James et écarta les jambes. Sam entra dans sa chatte lentement puis il commença à la baiser. Pendant ce temps, Jack passa derrière Septembre et plaça le bout de sa bite sur le petit trou du cul. Puis il poussa. Sa fille sentit l'intrusion et la douleur dans son cul pour la première fois de sa vie. Elle sortit de son euphorie d'être baisée par James quand elle sentit son père mettre de plus en plus de sa queue dans son cul.
Elle ressentait tout. Les gémissements de sa sœur remplir ses oreilles pendant que deux hommes la pilonnaient dans ses deux petits trous. Septembre tourna la tête pour regarder sa petite sœur baisée par Sam. Janvier avait une expression de satisfaction sur le visage. Elle avait les yeux fermés, la bouche ouverte et elle haletait pendant que la grosse bite noire entrait et sortait d'elle en rythme.
Septembre, elle, bougeait instinctivement. Son excitation prit le dessus et elle accompagna avec ses hanches les deux bites qui la pénétraient. Elle sentit une main sur sa tête et se tourna pour voir une troisième bite prête à entrer dans sa bouche.
Janvier joua avec son clitoris pendant que Sam la baisait. Elle jouit quand l'homme se vida en elle. Elle le sentit s'enfoncer au plus profond de son vagin et y rester. Alors elle mit ses bras autour de Sam pour l'attirer vers elle. Elle écrasa sa poitrine contre ses mamelons raidis et embrassa son cou.
- Je veux goûter. Murmura-t-elle à son oreille.
- Ok, roulons!
Sam mit son bras autour d'elle et les fit rouler tous les deux. Sa queue resta enterrée en elle tout du long et Janvier fut bientôt au-dessus de lui.
Sam gémit quand Janvier se releva et libéra sa bite. Le sperme coula le long de son sexe encore debout. Janvier sentit aussi du sperme dégouliner de sa chatte. Elle regarda le gros engin noir, humide et couvert de foutre de haut en bas. Elle baissa sa bouche dessus et commença à la sucer. Elle lécha ses couilles et finit par son cul et son ventre pour enlever toute trace de sperme.
Septembre sentit les hommes arrêter de la baiser. Mais elle continua à sucer la queue de John. James et son père gémirent. Ils semblaient satisfaits de quelque chose mais elle ne pouvait rien voir. Elle découvrit plus tard que sa sœur était passée derrière les hommes et leur léchait et suçait les couilles. Puis elle les sentit bouger de nouveau mais plus lentement, la pénétrant plus profondément.
Tandis que je léchai sa chatte dans la voiture, Janvier continua son histoire. Ce qu'elle dit en quelques minutes dura des heures en vrai. Septembre fut baisée par les quatre hommes toute la journée. Après que les trois hommes se furent vidés dans ma fille ainée, Janvier se positionna sur elle et nettoya le sperme de sa chatte et de son cul. Sans avoir besoin d'encouragement Septembre fit de même avec le sexe de sa petite sœur. Les hommes étaient sortis de la chambre pour récupérer des forces.
Enfin les filles entrèrent ensemble dans la salle de bain et se lavèrent. Elles ont parlé et se sont embrassées, trouvant une fraternité et une tendresse qu'elles n'avaient jamais eues auparavant. Septembre avoua à sa sœur que le sexe lui avait toujours fait un peu peur.
Etre utilisée de cette façon avait toujours était pour elle un fantasme. Mais elle croyait ne jamais pouvoir vivre cela. Son dernier petit ami n'avait pas été content de sa performance sexuelle alors il avait rompu en lui disant qu'elle était frigide. Elle l'avait quitté en larmes et honteuse d'elle-même.
Janvier écouta, caressant les cheveux de sa grande sœur alors qu'elles étaient assises ensemble dans la baignoire. Les filles s'embrassèrent et se caressèrent l'une l'autre. Elles parlèrent de l'expérience qu'elles venaient de partager. Janvier lui révéla son plan pour me faire participer, pour faire de moi leur esclave sexuel, pour que je comble tous leurs caprices. Les yeux dans le vague, Septembre réfléchit. Etant l'ainée, elle avait mémorisé chaque punition injuste que je lui avais donnée, chaque mot dur que je lui vais dit, et chaque négligence envers elle. Elle était prête à se venger.
Les filles constatèrent que deux têtes valent mieux qu'une. Alors elles préparèrent le terrain pour recruter Avril avec elle. Elles mirent aussi en place le système de porte.
Alors que je pensais que les portes ouvertes étaient une coïncidence, c'était en fait un signal pour ma famille. Une porte ouverte était une invitation à tout et à tout moment. Au cours des semaines qui ont précédé mon aventure avec Sam, Jack et les filles laissaient leurs portes de chambre ouvertes pour inviter les autres à venir baiser comme ils le voulaient.
Les portes fermées indiquaient que les filles n'étaient pas disponibles. Elles ne donnaient pas de raison, elles n'étaient simplement pas disponibles pour des ébats sexuels. Une porte légèrement entrouverte voulait dire qu'elles étaient disponibles simplement pour sucer une chatte ou une bite. Une porte à moitié ouverte signifiait qu'elles étaient prêtes à se faire baiser le cul mais pas la chatte.
Ce code arrangea bien les choses. Jack avait facilement recruté Sam. Ils avaient été amis, ils jouaient ensemble au basket dans le parc toutes les semaines. Leur amitié s'était amplifiée et ils parlèrent de leur travail et de leur famille.
Jack mit en place un plan qui me ferait rencontrer Sam. Il était curieux de voir si j'allais mordre à l'hameçon et laisser un autre homme baiser ma chatte. Et dans le cas où je le ferais, il envisageait de pousser mes limites encore plus loin.
Si j'étais restée fidèle, il avait d'autres plans. Je n'ai jamais su ce qu'était ces plans. Je suis tombée dans le piège et je me suis laissée séduire par Sam. Cela scella mon destin. Mon infidélité me fit tomber bien bas.
Sam ne voulut pas perdre la chance d'avoir quatre femmes blanches pour le servir quand il voulait. Il prit soin dans son recrutement d'autres gars pour participer aux orgies. Il fallait que ce soit discret et que les hommes soient testés avant de les intégrer dans le groupe.
Je découvris plus tard que les visites au bar étaient prévues d'avance. Tout était réel mais les hommes étaient sélectionnés pour être testés. Jack voulait que ses filles soient utilisées et baisées dans un environnement sécurisé.
Si les filles étaient endormies et que Sam venait dans la maison, il marchait dans le couloir et savait immédiatement où il pouvait trouver à s'occuper.
Sam, James et John vinrent souvent dans la maison. Mais ils avaient des périodes prédéfinies. Et ces hommes savaient respecter les règles. Aucun d'eux ne voulait perdre l'occasion de baiser une petite chatte blanche à cause d'une erreur ou indiscrétion.
Mais tous savaient que j'étais la cible principale. Je devais être utilisée et abusée. Je devais être la pute de la maison et le jouet sexuel de tous.
Tout en continuant à lécher la chatte de ma plus jeune fille, je fus de plus en plus excitée par les détails qu'elle me délivrait. Humblement je demandai à ma fille si je pouvais avoir un orgasme.
Elle me répondit qu'elle allait y penser. Cette réponse me frappa car elle ressemblait à ce que je lui avais dit de nombreuses fois quand elle me demandait quelque chose tout au long de sa jeune vie. Il était rare que je lui dise directement oui ou non comme la plupart des parents. Par habitude je lui disais que j'allais y penser et alors, elle laissait tomber ou allait voir son père.
Je subissais sa vengeance. Alors je retournai lécher sa chatte. Janvier continua son histoire en me disant qu'elles sortirent du bain, fraîches et excitées, prêtes pour plus d'action. Alors que Janvier trouvait dans sa nouvelle sexualité une source d'énergie et d'assurance, Septembre était plutôt soumise. Elle voulait plaire et faire en sorte de s'ouvrir pour que son ou ses partenaires trouvent du plaisir. Les filles trouvèrent dans leur système de porte un moyen de vivre leur sexualité librement.
Jack et James ne pouvaient faire qu'un tour. Mais Sam et John étaient des machines. Ils n'avaient besoin que de peu de temps pour récupérer avant d'être prêts à repartir.
James se montra le plus virulent et le plus raciste du groupe. Il demanda aux filles de le supplier pour sa bite de nègre. Il leur dit que sa grosse bite allait faire en sorte que leurs petites chattes de blanches seraient trop élargies pour des petites bites de blancs. Le discours excita les filles même si elles savaient que c'était faux.
Leurs culs ou chattes reprenaient leurs formes rapidement et aucune bite n'allait changer cela. Elles savaient qu'elles arriveraient à supporter les grosses queues aussi bien que les petites et qu'elles seraient tout autant satisfaites. Elles le prouvèrent de nombreuses fois plus tard. Elles apprirent aussi quelques leçons comme par exemple que l'amour c'est l'amour et que le sexe c'est le sexe et que les deux ne vont pas forcément ensemble. Le plaisir physique n'a pas besoin de tendresse pour être génial.
Janvier commanda et plaça les hommes comme elles le voulaient. Septembre resta soumise. Janvier pouvait contrôler ses propres orgasmes. Elle jouissait quand elle voulait, pas avant.
Septembre, elle, ne se contrôlait pas et pouvait jouir simplement avec une bite dans le cul ou des lèvres sur son clito. Janvier avait un orgasme de base, explosif et bruyant. Sinon, elle avait des petits orgasmes qui la chatouillaient au fond d'elle-même. Elle aimait les deux.
Septembre avait différents types d'orgasmes, tous différents et variables en intensité. Alors que Janvier pouvait se contenter d'un seul bon orgasme, Septembre ne s'arrêtait que lorsqu'elle avait obtenu sa dose de jouissance.
Les deux filles se demandaient comment était Avril. Elles avaient des idées différentes sur la façon de l'intégrer. Elles décidèrent de prendre quelques jours de plus pour en discuter.
En attendant, Jack était satisfait. Janvier se faufilait dans notre chambre pendant que je prenais une douche et elle le suçait jusqu'à ce qu'il lui remplisse la bouche avec son sperme. Ils faisaient des plaisanteries sur le fait qu'elle avalait ses frères et sœurs.
Quand je dormais ou que je regardais la télévision en bas, Jack allait dans la chambre de Septembre et la baisait. Elle était toujours prête à répondre à une envie de mon mari. Les deux filles ne portaient rien ou presque rien à la maison et je le remarquais pas. Un jour je n'ai même pas vu au petit-déjeuner que la bite de mon mari était enterrée dans la chatte de Janvier. Quand je me suis retournée, je n'ai vu que ma fille assise sur son père en train de lui faire un câlin comme elle le faisait certaines fois.
Pendant que nous regardions la télé, la seule lumière venant de l'appareil, Septembre était nue sous la couverture et Jack pouvait la caresser. Si je m'absentais pour aller aux toilettes ou à la cuisine pour une boisson, Janvier suçait la bite de Jack. Ils se taquinaient et jouaient derrière mon dos. Les doigts de Jack caressaient la chatte de son choix pendant le petit déjeuner. Il tripotait des seins pendant que je faisais des crêpes. Et des mains se posaient sur sa queue et ses couilles pendant que nous dînions.
On m'a dit qu'une fois j'ai appelé Janvier pour qu'elle vienne manger alors qu'elle était sous la table en train de sucer Jack.
Mais mon mari ne participait pas toujours aux ébats sexuels. Janvier se jetait sur son lit, les jambes écartées, la porte ouverte, invitant les filles à lui lécher la chatte. Elle se promenait la nuit dans le couloir en recherche d'action. Elle était aussi contente avec une chatte qu'avec une bite. Les filles s'embrassaient, se léchaient, se suçaient et se tripotaient derrière mon dos.
Septembre appris les signes que Jack faisait. Si elle sentait une main sur son dos entre ses omoplates, il fallait qu'elle se penche, cul en l'air. Si Jack touchait son épaule, elle devait se mettre sur le dos, jambes écartées. S'il touchait ses cheveux, elle devait ouvrir la bouche pour la bite qui allait venir.
Janvier semblait prête à tout mais généralement c'est elle qui faisait le premier pas. Elle était comme un loup en chasse, toujours prête à se jeter sur une opportunité sexuelle. Alors que Septembre attendait plutôt d'être utilisée et que Janvier cherchait son prochain orgasme. Avril préparait des rendez-vous. Elle planifiait tout dans son esprit. Cependant elle s'adaptait et si les choses n'allaient pas dans son sens, elle essayait d'orienter l'action dans son sens.
Elle avait des scénarios bien précis dans son esprit et elle voulait qu'il se déroule à la perfection. Elle savait à l'avance ce qu'elle voulait voir, sentir, goûter et entendre durant ses rapports. Elle ne limitait pas son imagination. Elle voulait du plaisir et de la douleur, elle voulait être utilisée et abusée, elle voulait être fouettée et humiliée. Elle voulait expérimenter tout ce qui pouvait être imaginable.
Tout commença avec son enrôlement. Endormie, elle rêvait d'étreintes passionnées. Elle sortit de son sommeil pour découvrir qu'il y avait bien une personne entre ses jambes. Doucement, Septembre léchait sa chatte pendant qu'elle dormait. Elle mit ses doigts sur ses lèvres et murmura :
- Chut...
Ensuite elle disparut. Avril resta excitée et mouillée. Confuse, elle se rendormit avec sa propre main entre ses jambes.
La nuit suivante, elle alla se coucher avec un mélange de confusion et d'envie. Elle n'avait pu coincer Septembre pour qu'elle s'explique. Elle ne savait pas à quoi s'attendre quand elle s'endormit.
Elle eut un rêve sexy, chaud et agréable. Elle était embrassée et caressée. Elle se réveilla et trouva sa petite sœur en train d'embrasser son cou et ses lèvres, de sucer ses mamelons et de faire courir ses doigts entre ses jambes.
Janvier ne dit rien. Elle se contenta de mettre son doigt sur ses lèvres et de quitter la chambre. De nouveau Avril resta excitée et seule. Elle se caressait la chatte quand elle décida d'aller voir ce qui se passait. Elle marcha dans le couloir pour trouver des réponses. Mais la chambre de Septembre était vide et la porte de celle de Janvier verrouillée. Frustrée et un peu en colère, elle retourna dans sa chambre et se rendormit.
La nuit suivante, après avoir cherché en vain des réponses à ses nombreuse questions, elle décida de rester éveillée pour voir qui allait entrer dans sa chambre. Mais finalement elle succomba au sommeil et se mit de nouveau à rêver. Elle se réveilla en sursaut, consciente qu'encore une fois, quelqu'un était non seulement dans sa chambre mais entre ses jambes. Elle baissa les yeux et vit son père lécher sa chatte. Elle commença à dire quelque chose mais une voix murmura à son oreille.
- Cela va se produire avec ou sans ta coopération. Alors détends toi et profite. Dit Septembre.
Avril réalisa qu'il n'y avait pas seulement son père qui la touchait. Sa sœur aînée était d'un coté et embrassait son cou en jouant avec un de ses mamelons et sa sœur cadette suçait l'autre mamelon. Il s'avéra plus tard qu'Avril avait souvent fantasmé sur des relations sexuelles avec sa famille.
Elle reposa sa tête en arrière et se laissa aller. Elle ne savait pas si c'était un rêve devenu réalité ou un cauchemar. Mais avec trois bouches sur son corps elle ne pouvait pas combattre même si elle le voulait. Elle eut le premier vrai orgasme se sa vie sur la langue de son père. Elle s'en était approchée à plusieurs reprises auparavant mais n'avait jamais réussi à finir. Ses relations sexuelles avec des garçons furent intéressantes mais elle n'a jamais été plus loin qu'être excitée.
Là c'était différent. La langue expérimentée léchait ses petites lèvres, titillait son clitoris. Ceci avec la stimulation sur ses mamelons firent qu'elle jouit rapidement. Janvier l'embrassa fougueusement pendant que l'orgasme la traversait. Elle se tordit et eut le souffle coupé. Elle poussa ses hanches et bloqua sa chatte sur les lèvres de son père. Celui-ci la lécha jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Puis il se releva et s'allongea sur sa fille.
La bite de Jack trouva l'entrée de la chatte sans assistance. La queue glissa entre les lèvres comme si elle était attirée par un aimant. Il la pénétra complètement puis il la serra et l'embrassa. Septembre et Janvier l'aidèrent en caressant le couple. Jack baisa sa fille lentement et Avril accueillit avec plaisir chaque coup de cette grosse queue.
Pendant longtemps il pilonna sa fille alors que les deux autres semblaient être partout. Avril sentit leurs petites mains sur tout son corps, pinçant les mamelons, des doigts entrant dans son cul. Ses sœurs l'embrassèrent sur ses lèvres et sur son cou, puis à l'intérieur de ses cuisses. Les filles encerclaient le couple, léchaient les couilles de Jack, embrassaient son cul.
- Je vais jouir bébé! Chuchota mon mari à Avril.
- Oui Papa, je veux le sentir, vide ton sperme dans mon ventre. Répondit la jeune fille.
Janvier rigola alors que son père se vidait dans la troisième fille de la famille.
Avril enveloppa ses bras autour de son père et l'embrassa profondément alors qu'il éjaculait en elle. Ses bras et ses jambes le serrèrent alors qu'un orgasme la terrassa. Jack tenait son corps tremblant et sa bite en elle. Ils restèrent comme ça un bon moment et jack bougea lentement sa queue dans la jeune chatte, savourant la chaude humidité de l'antre.
Puis mon mari se leva et s'approcha du visage d'Avril. Celle-ci sentit que Septembre lui léchait la chatte. Elle entendit murmurer la voix de Janvier à son oreille :
- Nettoie le, c'est une partie du marché.
Avril cligna des yeux, confuse. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais elle ne put dire un mot car Jack glissa sa queue entre ses lèvres. Instinctivement elle commença à le sucer et il baisa lentement sa bouche.
- La queue et les couilles, nettoie bien tout! Chuchota une nouvelle fois la voix de Janvier à son oreille.
Elle suça et lécha, plus par amour que par devoir. Quand elle eut fini, Jack s'en alla sans un mot. Mais la langue qualifiée de Septembre était toujours en activité sur sa chatte. Avril, encore une fois, gémit et eut un troisième orgasme. Septembre rampa et s'allongea à côté d'elle sur le lit.
- A notre tour, au boulot! Dit Janvier en écartant les jambes.
Avril cligna des yeux. Elle regarda sa sœur aînée qui elle aussi écartait ses jambes. Avril se mit elle-même en position face à la chatte de Janvier. Elle haussa les épaules et se mit au travail. Durant les minutes suivantes elle lécha alternativement les sexes rasés de ses deux sœurs jusqu'à ce que celles-ci soient satisfaites.
Tout au long de sa prestation, Avril fut repositionnée par les deux autres filles qui bougèrent leurs hanches pour mieux profiter de sa langue.
- Tu n'es pas encore très douée pour ça mais ça vient. Dit en riant Septembre.
- La pratique améliore tout. Regarde! Rajouta Janvier.
Elle écarta une nouvelle fois les jambes et fit un signe à Septembre. Celle-ci n'eut pas besoin de plus d'encouragement. Elle se déplaça rapidement entre les cuisses de sa sœur. Janvier attrapa la tête d'Avril en tirant ses cheveux et la tient en position la joue sur son ventre, les yeux à quelques centimètres du visage de son aînée.
Avril regarda Septembre agir avec habilité. Elle lécha le clito et travailla de ses lèvres et de sa langue sur les petites lèvres de Janvier l'amenant ainsi rapidement à l'orgasme. Quand elle sentit que sa jeune sœur jouissait, Septembre tira Avril vers elle et l'embrassa avec le jus de janvier sur ses lèvres. Avril accueillit ces lèvres chaudes pour déguster encore une fois sa petite sœur.
Enfin Septembre et Janvier demandèrent à Avril si elle avait des questions. Pour le moment elles lui expliquèrent comment elle allait intégrer l'équipe. Avril trembla d'émotion quand elles parlèrent de de voir se soumettre à des bites de noirs. Elle fut à la fois perdue et excitée, effrayée et ravie de poursuivre sa formation.
- Tu seras disponible et prête à nous servir à tout moment et n'importe où nous voudrons. Lui dit Janvier.
- De même, nous serons disponibles quand tu le voudras. Rajouta Septembre.
Et elle continua :
- Tu seras disponible pour papa à tout moment et pour n'importe quel trou qu'il voudra utiliser.
Un frisson d'excitation parcourut la colonne vertébrale d'Avril.
- Appelle ça de l'amour, du respect ou du remerciement pourvu que ça te reste à l'esprit. L'idée est que nous quatre arrivions à soumettre maman.
- Attendez! Avant de continuer je voudrais quelque chose. L'interrompit Avril.
Elle fit un signe à Septembre et dit :
- Toi!
Elle montra son visage et dit :
- Tu viens m'embrasser là. Et toi!
Elle montre Janvier puis son entrejambe et ajoute :
- Tu viens m'embrasser là.
Janvier rigola nerveusement et prit position pour lécher la chatte de sa sœur. Septembre approcha elle aussi et l'embrassa profondément. Avril était dans les nuages. Septembre joua avec ses mamelons tout en embrassant son cou et son visage. Après avoir baisé ses joues, son cou, son front et ses seins elle revint sur ses lèvres alors que la langue de Janvier provoquait un nouvel orgasme puissant à Avril.
Celle-ci retomba sur l'oreiller en disant :
- Wow!
Janvier rit de nouveau. Septembre demanda :
- Mais bon sang, que va-t-il se passer si nous sommes toutes excitées en même temps?
- Alors tu la lèches, elle me lèche et je te lèche. Répondit Avril
- Petit cercle de famille agréable. Rigola encore Janvier.
Quelques minutes s'écoulèrent avant qu'Avril ne se remette vraiment de son orgasme. Puis elle demanda :
- Que va-t-il se passer maintenant?
-Eh bien, papa va prendre ton cul puis il jouira dans ta bouche.
Avril regarda Janvier et questionna :
- Est-ce que ça fait mal?
- Non ça ne fait pas mal le sperme dans la bouche, ça fait juste bizarre la première fois. Dit Janvier en riant.
- Tu sais très bien ce que je veux dire. Prendre une bite dans le cul ça fait mal? Rétorqua Avril.
- Oh oui, c'est très douloureux mais c'est une douleur agréable qui disparaît après quelques minutes. Répondit Septembre.
- Je n'ai pas eu de problème avec la douleur. Mon plus gros souci a été de me faire à l'idée de sucer une bite qui sortait de mon cul. Mais une fois la répulsion passée, c'est plutôt excitant. Ajouta Janvier.
Septembre déclare alors :
- La facture d'eau va être énorme. Je veux toujours être propre et agréable. Avec tous ces ébats sexuels, je vais devoir prendre une douche ou un bain 3 ou 4 fois par jour.
Janvier dit :
- Eh bien, je suppose que nous allons devoir commencer par nous laver ensemble. Cela me semble une bonne idée.
- Parlez moi de vos idées pour maman. Demanda Avril.
Elles s'assirent toutes ensemble sur le lit et discutèrent.
- Tout dépend si maman tombe dans le piège. Vous pensez qu'elle le fera? Demande Avril après que ses sœurs lui aient expliqué le plan.
- Sam est habile et je pense qu'il n'aura aucun problème pour la séduire. Déclara Septembre.
Et janvier ajouta :
- De plus il sait bien baiser. Avec sa grosse bite, elle va en vouloir plus.
- Je veux la voir prise par James. Dit l’aînée des sœurs.
Elle regarda Janvier et toutes les deux se tournèrent vers Avril qui leur demanda :
- Qu'est ce qu'il y a avec James?
Janvier écarta les paumes de sa main et dit :
- Grosse... vraiment grosse...
Septembre ajouta :
- Tu verras. Environ trente centimètres et très épaisse, presque comme une canette de bière. Le plus dur est de s'habituer à sa taille mais après c'est génial.
- Et celle de Big Mike est encore plus grosse. Mais personne ne sait baiser comme papa. La façon dont il le fait est merveilleuse. Dit Janvier.
Les yeux d'avril s'écarquillèrent et elle murmura :
-Big Mike...
A suivre...
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