vendredi 8 février 2019

Mon aventure Ch. 09

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Ma formation continue.

Les filles parlèrent et planifièrent la suite jusqu'à l'aube. Elles finirent par s'endormir dans le même lit. Quand elles se réveillèrent elles recommencèrent à se caresser. Elles avaient créé entre elles une solidarité qui resterait toujours sans faille.

Elles s'embrassèrent, se caressèrent et rigolèrent pendant toute la matinée. James s'arrêta chez nous à l'heure du déjeuner. Il eut un comportement un peu différent de d'habitude. Il resta sans voix quand il vit Avril pour la première fois. Il la regarda de haut en bas tout en se léchant les lèvres. La jeune fille réalisa qu'elle était nue devant cet homme noir. Elle couvrit ses seins avec ses mains et commença à reculer. Ses sœurs se mirent à rire et la ramenèrent à la table.

- Habitue toi à lui, il te verra souvent nue! Rit Septembre.

Avril se rappela comment ses sœurs avaient décrit l'homme. Et, malgré sa timidité, son regard alla se poser sur l'entrejambe de James. Celui-ci sourit et regarda la jeune fille, de la perversité dans les yeux. Janvier intervint :

- Pas touche cow-boy! Papa n'a pas fini sa formation. Nous te dirons quand elle sera disponible.

Janvier avait pris le rôle qu'elle tiendrait plus tard, celui de Maîtresse de jeu au franc-parler. Elle n'avait peur de rien et regardait les hommes durement sans fléchir. Elle dévisagea James et bien que le sourire ne quittât pas le visage de l'homme, il recula.

Janvier commença alors à se caresser. Avril avait eu de l'effet sur lui. James bandait en regardant la jeune fille qui se cachait toujours les seins. Le noir frotta son sexe à travers son pantalon puis regarda la fille blonde. Son sourire s'adoucit. Poli et bien élevé, il demanda à Septembre de lui accorder une baise rapide.

Les trois filles nues et James allèrent dans le salon. Avril put poser son premier regard sur la bite noire qui envahirait bientôt sa petite chatte serrée. Elle mouilla juste en regardant Septembre mettre ses lèvres autour de la grosse queue.

Au bout de quelques minutes, James allongea la jeune fille sur le sol et les deux autres sœurs le regardèrent pilonner la petite chatte de Septembre jusqu'à ce qu'il jouisse en elle. Ensuite elle le nettoya et il se rhabilla. Quelques minutes plus tard il était parti. Les filles rigolèrent et applaudirent nerveusement.

- J'aime bien James. Dit Septembre.

Elle se redressa et un filet de sperme coula sur sa cuisse. Les autres filles regardaient et riaient.

- Pas de cette façon, pas de l'amour. Juste, comme un gars avec qui on peut s'amuser. Dit Septembre.

- A ton tour!

Janvier poussa la tête d'Avril vers Septembre. Elle lécha sa sœur et récupéra tout le sperme, dégustant cette substance pour la deuxième fois de sa vie.

Ensuite les filles retournèrent à la cuisine et se servirent du café et des jus de fruits. Elles discutèrent comme elles ne l'avaient jamais fait auparavant. Elles parlèrent des hommes. Le préféré de Janvier était Sam. Avril avait eu un peu peur du morceau qu'elle avait vu entre les jambes de James mais elle avait remarqué que sa sœur avait été pilonnée sans problème.

Elles parlèrent de la taille, de la grosseur, des couilles, des cheveux et des expressions des hommes lorsqu'ils jouissaient. Elles parlèrent de technique pour sucer, baiser, se faire sodomiser, avaler le sperme et mal parler. Septembre admit que son favori était James.

Elles décidèrent que l'amour resterait en famille. Tout le reste serait extérieur et différent. Les heures passèrent. Elles jouèrent les unes et les autres avec leurs corps et elles se douchèrent ensemble. Elles eurent une journée de parfaite communion.

Et Janvier s'exclama :

- Eh bien, même si je me marie, ma porte sera toujours ouverte pour l'une de vous ou de papa pour que vous puissiez m'utiliser comme vous le voulez. Et si mon mari n'aime pas ça, il pourra repartir d'où il est venu.

Les filles aînées se mirent à rire. Mais une idée plus sérieuse leur vint à l'esprit. Elles acceptèrent d'être fidèles les unes aux autres ainsi qu'à leur père, pour toujours et quoi qu'il leur arrive.

Quand Jack rentra à la maison, elles lui expliquèrent leur idée du cercle amoureux, leur serment envers lui et des unes envers les autres. Quand ils finirent de parler, ils avaient tous les larmes aux yeux.

Avril dit alors :

- Je ne sais pas pour vous mais j'en ai assez d'être sérieuse. Je suis prête pour que ma bouche et mon cul soient remplis du sperme de papa. Je veux finir ma formation.

L'ambiance se réchauffa. Avril suça la bite de son père jusqu'à ce qu'il éjacule dans sa bouche. Elle avala joyeusement et lécha ses couilles. Les autres filles regardèrent, applaudirent et prodiguèrent des conseils. Janvier eut un pincement au cœur. Elle fut un peu jalouse de ne pas être la dernière à avoir été formée et de n'avoir obtenu autant d'attention et de soutien.

Je n'étais pas à la maison, si bien que Jack et les filles se promenèrent entièrement nus dans les pièces, regardèrent des films et dînèrent. Ils jouèrent les uns avec les autres, et chaque fille eut sa petite chatte léchée.

Jack fut sucé par ses trois filles, mais chacune arrêta avant qu'il ne jouisse. Elle l'économisait pour le cul d'Avril. Janvier étala une grande feuille de plastique sur le plancher du salon. Septembre sortit de la cuisine avec une bouteille d'huile d'olive et en recouvrit Avril.

Elle laissa glisser son doigt gras dans le cul de sa sœur. Elle la doigta avec un puis deux puis trois doigts. Avril était face sur le sol, le cul en l'air, attendant le pire. Mais avec le travail de sa sœur et son cul lubrifié par l'huile, elle prit la queue de son père presque sans douleur. Jack fit glisser facilement dans et hors du cul sa bite. Le petit cul serré étreignait son membre. Bientôt Avril sentit son père se vider en elle.

La jeune fille fut excitée et heureuse et, quand Jack se retira, elle jeta ses bras autour de son cou et elle l'embrassa. La formation était terminée. Ils le célébrèrent et décidèrent pendant une semaine de simplement s'amuser les uns avec les autres et de faire intervenir leurs amis noirs.

Jack décida de louer une chambre d'hôtel et d'inviter ses amis pour une orgie. Les filles se réunirent en secret et décidèrent qu'avec trois filles pour quatre hommes, il faudrait qu'une d'entre elle s'occupe de deux ou trois hommes à la fois pour que leur père ne soit jamais laissé seul.

Avril frémit à l'idée de se faire baiser par les hommes noirs mais à l'idée de se faire prendre par deux d'entre eux, elle trembla. Toutefois, sa chatte s'humidifia en écoutant les plans. Elle se mit à titiller son clitoris. Voyant cela, les autres filles commencèrent à se caresser. Et peu de temps après elles s'embrassaient et se gouinaient.

Au cours de la semaine, Sam, John et James s'arrêtèrent plusieurs fois à la maison. Chacun essaya Avril au moins une fois dans chacun de ses trous. A la fin de la semaine, elle avait pris chacun des trois dans sa bouche, sa chatte et son cul. Etre enculée par James avait été le plus dur, mais elle endura la douleur et sut en profiter sur la fin. Et parce qu'il n'y avait que 3 filles et 3 garçons, Avril ne put jamais expérimenter une double ou triple pénétration. Elle décida de corriger ça à l'orgie.

Je ne savais pas tout cela bien sûr. Jack donna l'excuse qu'il était parti pour les affaires. Je ne me souviens pas exactement des excuses mais elles étaient crédibles. D'ailleurs mes filles avaient plus de 18 ans et je ne jouais plus depuis longtemps mon rôle de mère. J'avais profité de ces moments où j'avais été seule.

Ils ont eu un weekend sauvage. Quelques mois après j'eus des morceaux de cette histoire, racontée par des personnes différentes. Je compris également que mon mari et mes filles avaient comploté à ce moment de me faire devenir leur salope esclave.

Dans la voiture, ma plus jeune fille jouit sur mon visage une nouvelle fois pour me rappeler ma nouvelle condition entre leurs mains. Janvier retira ma figure d'entre ses jambes et m'ordonna de conduire jusqu'à la maison. Elle m'avait permis de baisser ma jupe et remettre mon haut.

Nous arrivâmes à la maison et elle me fit décharger ses sacs. J'essayai de me dépêcher en portant plusieurs sacs à la fois afin de faire le moins de voyage possible. Assise à la table, Janvier décrit aux autres avec enthousiasme notre journée. Elle commença à vider les sacs et montrer ses achats.

Avril réchauffa les pizzas et ils s'assirent pour manger et discuter. Quand je m'approchai de la table, Septembre me jeta un regard froid et m'ordonna :

- Va te rendre présentable!

Après avoir pris une douche à l'école je ne m'étais pas regardée dans le miroir. J'étais affreuse. J'avais un regard hagard, sans maquillage, mes cheveux ébouriffés. J'essayai d'obéir rapidement, ne sachant pas combien de temps j'avais. Je pris un bain, me maquillai et séchai mes cheveux. Pourtant, me regardant dans la glace, je ne me reconnus pas.

Physiquement, je n'avais pas l'air différente. Mais je me sentis différente et je vis une lueur dans mes yeux que je n'avais jamais vu. Je me demandai si je n'avais pas souhaité ce mode de vie. Les choses avaient changé si rapidement ces derniers jours. J'avais été utilisée et abusée par toute ma famille ainsi que par beaucoup d'étrangers. Tout en sachant que je n'étais qu'un jouet, je me sentais plus vivante que jamais. J'eus un sentiment de fierté à me mettre à la disposition de qui le voulait.

Je restai nue mais je m'attachai un foulard coloré autour de la taille. Mes mamelons se dressèrent. Ma chatte rasée était prête à l'emploi. Je me brossai les dents et je remis mon collier avec la laisse dans le dos. Je pris une profonde inspiration et je retournai en bas. Ma famille était toujours dans la cuisine, en train de parler et de rire de mes aventures. J'allai à la table et je tirai une chaise.

La conversation s'interrompit immédiatement et tous les yeux se tournèrent vers moi. Les regards étaient durs. Je me figeai. Septembre regarda le sol. Je suivis son regard et je vis une gamelle de chien sur le plancher, non correction, deux gamelles. Une était remplie d'eau et on avait mis une part de pizza dans l'autre. J'avalai ma salive. Avril se pencha et tourna une gamelle. Je pus voir qu'il était écrit « Maman ».

Je fus stupéfaite. Avril me dit qu'elle me l'avait acheté pour me faire un cadeau. Elle tourna l'autre gamelle et je vis mon prénom.

- Papa a eu la même idée. Celle-là est de lui. Dit-elle.

En plus d'être la salope de la famille, j'étais aussi devenue le chien de la famille.

- Tu seras autorisée à manger à table quand nous trouverons que cette maison est bien tenue. Dit Septembre en me regardant fixement.

Conformément à leurs ordres, je mangeai à genoux par terre. Le sperme que j'avais avalé tout au long de la journée n'avait pas été copieux et j'avais faim. Je bus le bol d'eau d'un seul trait. Mon esprit se réveilla et je compris mon rôle. Je rampai jusqu'à Avril et j'embrassai ses pieds en disant :

- Merci Maîtresse pour ce cadeau.

Elle ouvrit ses jambes. Je me mis à genoux sous la table, fis glisser sa culotte et je la léchai jusqu'à l'orgasme. Je remerciai aussi Jack pour le cadeau mais il m'arrêta avant de jouir. Il me dit :

- Mon sperme est un cadeau. Tu auras la chance de le goûter quand je sentirai que tu le mérites.

Je fus désolée. Janvier m'ordonna de me mettre au travail. Ils partirent dans le salon alors que je commençai à nettoyer la cuisine.

Je les entendis discuter et rire. Je voulais être avec eux. Plusieurs fois, je jetai un coup d'œil dans le salon. Mon mari et mes filles étaient nus. Ils regardaient la télévision ou jouaient les uns avec les autres. La troisième fois où je regardai, je vis Jack enterrer profondément sa bite dans la chatte humide de Janvier. Puis elle remua d'avant en arrière sur la queue. Elle était à quatre pattes et mon mari était derrière elle. Il ne bougeait pas beaucoup. Janvier s'empalait sur sa queue.

J'arrêtai de travailler et j'attendis l'occasion d'aller les nettoyer. Je léchai mes lèvres en prévision du jus de la petite chatte de ma fille et du sperme de mon mari. J'entendis gémir Jack et Janvier. Je sus qu'ils avaient joui en même temps. Je laissai tomber ma serviette et je me dirigeai vers le salon. Mais Septembre s'interposa sur le chemin.

- Je vais m'en occuper. Dit-elle.

Puis elle ferma la porte sur mon nez. Je savais que ma fille aînée allait faire mon travail. Elle allait déguster le sperme merveilleux et elle pourrait mettre sa langue sur les douces petites lèvres de Janvier. Je fus jalouse et je déprimai. Alors je retournai au travail.

Une longue heure passa. Je grattai, lavai et essuyai chaque partie de la cuisine. J'étais à quatre pattes quand la porte de la cuisine s'ouvrit. Sam et James entrèrent. Mais ne sachant pas qui venait, je fus partagée en l'espoir et l'idée de me cacher. Je fus contente quand je vis qui était là et je souris aux deux hommes. Ils m'ignorèrent, me regardant à peine. Ils repartirent au salon.

Je restai en plan, complètement étonnée. Ma chatte s'était humidifiée à la minute où je les avais vus. J'étais prête à avoir à sucer les grosses bites noires, à les avoir dans ma chatte et dans mon cul. Pendant un bref instant, je crus qu'ils ne m'avaient pas vue mais je me trompais.

Ils savaient bien que j'étais là. Mais ils n'étaient tout simplement pas intéressés de me baiser. Je retournai au travail en écoutant James qui disait avoir rêver d'une chatte blanche pendant toute la journée et en entendant Septembre glousser. Et j'entendis les bruits accompagnant une partie de jambes en l'air de l'autre côté de la porte.

Une autre heure passa. J'imaginai la scène à quelques mètres de moi. Janvier entra dans la cuisine et alla au réfrigérateur pour y prendre une bouteille d'eau. Elle était nue, les lèvres de sa chatte gonflées, et son corps brillait de sueur dû à l'activité sexuelle. Je pouvais le sentir. Elle détacha l'écharpe de ma taille puis elle la renoua autour de mes yeux. Puis elle attrapa la laisse.

Elle tira dessus et je la suivis, mes mains devant moi, de peur de me cogner contre un mur. Elle me tira le long de l'escalier puis dans le couloir jusqu'à ma petite chambre.

- C'est l'heure de se coucher salope. Dommage que ta chambre ne soit pas prête. Je pense que tu vas dormir sur le sol.

Elle me poussa par terre jusqu'à ce que je sois à plat ventre sur le sol. Elle m'attacha les poignets et les chevilles puis elle fixa les cordes pour les sécuriser. Je pouvais à peine bouger. J'entendis la porte se fermer et je compris que j'étais seule dans mon cagibi. Je craignais et je voulais être punie mais je savais que la punition s'accompagnerait de douleur. Je serais victime d'abus sexuel, humiliée, fouettée et malmenée. J'appelai cela une punition mais en vérité je le désirais.

Je compris que les punitions pouvaient prendre plusieurs formes. Après avoir été abusée et utilisée, je voulais encore plus et je supposais que je recevrai encore plus pour me punir. Mais je me trompai. Ma plus grosse punition fut d'être isolée du reste de la famille et de leurs ébats. Je commençai à pleurer et je finis par m'endormir.

Quand je me réveillai, j'étais détachée. J'étais seule, et quand les brumes du sommeil s'évaporèrent, je me rappelai que j'avais des tâches à accomplir. Je me mis debout. J'étais courbaturée, mon corps douloureux d'avoir dormi sur le sol. J'allai me rafraîchir à la salle de bain puis je me précipitai en bas. J'étais en retard, je frémis. Puis je compris que j'étais seule. Il était neuf heures et tout le monde était parti pour la journée.

Je vis un morceau de pain grillé et un œuf brouillé dans une de mes gamelles. L'autre avait été remplie d'eau. Je les regardai puis je passai dans chacune des pièces de la maison pour m'assurer que j'étais bien seule. Je revins à la cuisine et je mangeai à table. Je pris ce qu'il y avait dans la gamelle et je le mis dans une assiette pour le manger avec une fourchette. Puis je bus un café qui rechargea mon énergie.

Je nettoyai la cuisine puis commençai le salon. Je dépoussiérai avec désinvolture, allumant même la télévision. Mais rien n'apparut sur l'écran. Je vis qu'un DVD avait été mis en dernier. Alors j'attrapai la télécommande et je démarrai le film pour savoir ce qu'ils avaient regardé. Le visage de Septembre emplit l'écran. La caméra descendit vers le bas et recula. James était sur ma fille, la pilonnant avec sa grosse queue.

Je regardai pendant un bon moment. Peut-être parce que je connaissais les acteurs et que je ressentais l'action, mais ce fut le porno le plus érotique que je n'ai jamais vu. Tout le monde se relayait pour tenir la caméra et il était clair que chacun avait sa propre idée pour faire des séquences très chaudes. Il y avait des gros plans où on voyait juste une grosse bite entrer et sortir d'une petite chatte serrée. Il y avait des scènes qui mettaient l'accent sur le visage de la jeune fille baisée et des scènes de figures recouvertes de sperme.

Ce visionnage me donna le vertige par ses scènes serrées. Et le désir accentua mon malaise. Bientôt mes doigts trouvèrent la moiteur de ma chatte et je me caressai. J'eus plusieurs orgasmes. Entre ceux-ci je regardai autour de moi, en espérant ne pas être prise. Je pris conscience que j'avais perdu la notion du temps alors je me calmai et je finis par me remettre au travail. Je pris un bain, nettoyai la salle de bain. Quand j'en sortis, j'entendis du bruit en bas.

Alors je m'occupai en haut. Je fis les lits et je ramassai et rangeai les vêtements qui traînaient. J'attendis de voir si j'étais appelé en bas. Mais ne n'entendis rien. Alors je décidai de descendre, une panière de linge sale sous le bas. Une conversation venait du salon. Janvier et Avril étaient assise ensemble et regardaient la télévision.

Je me tournai vers l'écran et j'eus un grand choc. Je me vis jouant furieusement avec ma chatte, plus tôt dans la journée. Ils avaient donc mis des caméras de surveillance et je ne m'en étais pas rendue compte. Mes deux filles me jetèrent un regard glacial, éteignirent la télévision et s'en allèrent. Mon cœur se serra, je sus que j'allais avoir des problèmes. L'idée que j'avais été seule et que je n'avais pas respecté les règles me frappa de plein fouet. Pourtant je voulais vraiment être acceptée dans mon nouveau rôle.

Plus tard, Septembre me fit asseoir et m'expliqua les choses. Il y avait des caméras installées dans divers endroits de la maison et elles seraient changées souvent d'endroit. Si je les cherchais, ils le verraient. Elle me dit qu'il y avait bien pire que d'être baisée et utilisée comme un jouet sexuel.

Je gardai la tête base. Elle m'expliqua en détail ce qu'ils attendaient de moi. Comme je devais retourner au travail dans quelques jours, elle m'indiqua les règles à suivre au cours de la journée lorsque je ne suis pas à la maison.

Je fus soulagée qu'elle ait pris le temps de m'expliquer ces choses. Peut-être que je serai moins punie. Toutefois, ils avaient jugé mon nettoyage insatisfaisant. Donc, jusqu'à ce que j'arrive à les satisfaire par mon travail à la maison, je ne pourrai jouir des abus sexuels que j'avais accepté dans mon nouveau rôle. A chaque fois que je ne respecterai pas une règle, je serai ignorée et attachée pour dormir sur le sol.

Je remerciai Septembre pour ce discours. Ce soir-là, je trouvais dans mes gamelles seulement du pain et de l'eau.


Pendant la soirée, Jack et mes filles jouèrent ensemble, regardèrent des films et eurent des ébats débridés. Au cours de prochains jours, je pus entendre le bruit de fêtes dont j'étais exclue. Après trois repas de pain et d'eau, je recommençai à obtenir une meilleure nourriture. Toutefois, chaque nuit, j'étais attachée sur le sol pour dormir, même si j'avais pu mettre en place un petit lit dans mon cagibi. Je fus dégagée de mes fonctions à la salle de bain, car, dans le cadre de ma punition, ils ne voulaient pas me permettre de les toucher.

Je commençai à me lever à six heures chaque matin. Habituellement quelqu'un venait et me détachait avant que je me réveille. Mais un jour, personne ne vint. Je savais que mon devoir était de me lever et de préparer tout avant qu'ils ne se lèvent. Alors je me débrouillai pour enlever mes liens et me libérer. Quand ma famille descendit l'escalier, tout était prêt. Intérieurement je souris et je fus fier de moi.

Ce jour-là je devais retourner au travail. J'avais enduré trois jours et quatre nuits sans contact avec ma famille. J'avais vu des hommes noirs venir et passer à la maison mais ils ne me regardaient même pas. Parfois j'avais entendu et vu mes filles s'amuser avec ces bites noires.

J'avais entendu aussi mon mari et mes filles s'amuser dans mon ancienne chambre, dans la salle de bain, dans les chambres des filles. Les images, les sons et les odeurs des orgasmes à travers la maison me peinèrent profondément. Cela augmenta ma détermination à faire partie de la famille à nouveau.

J'avais nettoyé les chambres de fond en comble, lavé les murs et les plafonds. J'avais travaillé du matin tôt jusqu'à tard le soir. La maison semblait n'avoir jamais été habitée. Elle semblait comme neuve. Chaque morceau de linge était lavé, repassé, plié et rangé soigneusement. J'avais cuisiné chaque soir, posé le repas sur la table et avait attendu ma nourriture devant mes gamelles. J'avais tout fait pour devenir une très bonne fille.

Les portes furent de nouveau laissées ouvertes. Je pus voir leurs ébats mais je ne pus pas participer. J'arrangeai mon apparence pour essayer d'être tous les jours désirable. Le lundi, je partis travailler vêtue d'une jupe et d'un chemisier sans rien dessous. L'isolement commençait à me peser, je voulais que ma famille m'accepte.

Dans une librairie, il n'y a pas d'endroit où se cacher. Janvier avait enlevé tous mes vêtements plus épais ou qui me couvraient trop. Beaucoup de regards se portèrent sur moi, surtout quand mes tétons étaient dressés ou quand je me penchais. Mais je fis mon travail normalement. Mes mamelons étaient sensibles, et chaque fois que je passai devant les sorties de la climatisation, je les sentais durcir. De même, comme mon travail, le tri et le rangement des livres, demandait que je me penche ou que je m'accroupisse, je faisais attention d'être prudente.

La journée se passa bien et je rentrai directement à la maison après le travail. La seconde après avoir franchi la porte, j'enlevai ma jupe et mon chemisier. Puis j'avançai nue dans le salon. Je me figeai d'effroi. Mon père et mon beau-père étaient assis dans le canapé. Ils me regardaient. Je me suis tournai et je commençai à courir hors de la pièce. Je me cognai contre Jack. Il m'attrapa et me retourna face à nos parents. Il mit ses mains sur mes épaules et me poussa dans la pièce.

- Elle n'a pas encore gagné le privilège d'être baisée. Mais elle peut sucer des bites. Dit mon mari.

Il me poussa vers les deux hommes et ajouta :

- Si vous avez envie d'une chatte, vos petites-filles seront heureuses de vous proposer les leurs. Chaque chatte, chaque cul et chaque bouche sont à disposition à tout moment. N'est-ce pas salope?

J'avalai ma salive ne rougissant. Mon père ne m'avait pas vu nue depuis que j'étais bébé. Et maintenant on lui disait que je serai heureuse de lui sucer la bite. Mon père et mon beau-père ont eu un regard étonné mais vicieux aussi. Je vis qu'ils détaillaient mes seins, ma chatte rasée, mon corps nu. A ce moment-là, j'eus la plus grande honte de ma vie.

Je pensai qu'ils allaient dire quelque chose, protester peut-être ou défendre mon honneur. Mais leur attention fut détournée de moi quand Septembre entra dans le salon, seins nus. Elle cria de joie, courut vers ses grands-pères et les couvrit de bisous.

Elle prit tout son temps. Elle mit la main de mon père sur un de ses seins tandis qu'elle le serrait et embrassait sa joue. Elle glissa la main du père de Jack sous sa jupe quand elle l'embrassa. Puis elle recula et baissa sa braguette. Elle attrapa son sexe qui commençait à durcir. Puis elle le branla, sentant la queue grandir dans sa main.

Septembre se tourna vers moi et me lança un regard. Je me mis à genoux, m'avançai vers mon beau-père, ouvrit ma bouche et suçai la vieille bite. Je ne pus pas me résoudre à regarder mon père. Je me demandai quelle était sa réaction quand j'entendis une fermeture éclair et qu'une autre bite se présenta devant mon visage. Je fus choquée mais je ne laissai pas passer cette chance. Je suçai les deux queues, léchai les couilles jusqu'à ce qu'ils se mettent à l'aise sur le canapé.

Ma bouche suivit leurs mouvements et j'alternai entre les deux hommes, suçant leur bite et jouant avec leurs couilles. Tout le temps j'eus une queue dans la bouche te l'autre dans la main. Mon éducation me criait dans la tête que je ne devais pas faire ça. Il y avait une ligne qui ne devait pas être traversée et c'était elle. Mais mon envie m'avait trahi. Après avoir été bien baisée et avoir laissé apparaître l'esclave salope en moi, l'abstinence de ces derniers jours m'avait brisé. Je voulais de la bite. Je me fichais de qui ou de l'endroit, j'en avais besoin.

Je fis plaisir aux deux hommes avec la douceur de ma bouche. Il fut évident pour moi que ça ne leur était pas arrivé depuis un bon moment. Mon père gémit et en me tenant la tête, baisa mon visage. Sa queue était moyenne mais ses couilles étaient énormes. Je les aspirai dans ma bouche, laissant ma langue les faire rouler. Mon père laissa échapper un long râle et remplit ma bouche avec son sperme.

J'avalai et je léchai sa bite pour la nettoyer. Puis je laissai ma main jouer avec ses boules et je portai mon attention sur mon beau-père. Il ne tint pas longtemps et explosa dans ma gorge. J'avalai de nouveau mais un petit filet de sperme resta au coin de ma bouche. Je le ramassai avec mon doigt que je léchai. Je nettoyai la queue de mon beau-père avec ma langue jusqu'à ce que chaque goutte de sperme ait disparu. Enfin, je m'agenouillai entre les hommes, la tête baissée, attendant les ordres.

Mon père et mon beau-père, étourdis et satisfaits regardèrent Jack. Il leur fit signe de le rejoindre dans la cuisine. Sans plus personne à servir, je me précipitai dans l'escalier puis la salle de bain. Je regardai dans le miroir la personne qui venait d'avaler la semence de son père. J'eus le vertige.

Comme il ne m'était permis aucune intimité, je ne fus pas surprise quand la porte s'ouvra. Mon père entra dans la salle de bain et me regarda. Je ne pus comprendre l'expression sur son visage.


A suivre...


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