Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Petite fête à l'école.
Mon père me dit que Jack leur avait tout expliqué. Il ne voulait pas qu'ils soient surpris lors de leurs visites. Jack avait pensé que c'était la meilleure façon de leur présenter mon nouveau rôle. Mon père rigola et me dit que le dîner de nouvel an se passerait différemment. Il me dit qu'il était fier de moi et que la maison n'avait jamais été aussi bien entretenue.
Mon cœur se gonfla de fierté et j'allai lui faire un câlin. Mais ce câlin fut plus que ce que j'attendais. Mon père passa un doigt entre mes jambes et il le poussa dans ma chatte humide.
C'était mon père! Immédiatement je jouis sur cette intrusion. Je me sentis à la fois soulagée et honteuse. Je me tins contre lui. Étant moins grande, je posai ma tête sur sa poitrine alors que mes jambes tremblaient.
Il retira son doigt et le porta à ma bouche. Je le léchai. Il me poussa et me mit à genoux. Un petit choc me traversa. Il me demandait de sucer sa bite une nouvelle fois. Je fus déterminée à faire un meilleur travail cette fois-ci. J'utilisai toute mon expérience, ma tête se balançant de haut en bas sur sa queue. Je léchai et suçai ses couilles. Ma langue tourbillonna autour de son gland. Et J'engloutis complètement son sexe.
J'avalai son sperme pour la deuxième fois puis je nettoyai sa bite avec ma bouche. Il me tira vers le haut et il m'embrassa, serrant ma poitrine pendant que sa langue s'introduisait dans ma bouche. Je fus électrisée et je faillis jouir une nouvelle fois. Mon père me dit qu'il avait hâte de me baiser.
Septembre était dans l'encadrement de la porte quand je levai les yeux. Elle souriait. Mon père alla jusqu'à elle et lui souleva sa jupe. Elle ne portait pas de culotte et elle avait la poitrine à l'air. Mon père pris son temps pour lui caresser sa chatte et lui sucer les seins. Ma fille lui dit qu'il n'avait pas besoin d'attendre pour baiser, qu'il pouvait avoir sa chatte quand il voulait. Mon père sourit et me regarda.
Puis il chuchota à l'oreille de Septembre avant de partir. Ma fille me dit alors que mes privilèges oraux étaient rétablis. Je pouvais à nouveau servir la famille. Elle ajouta que cela concernait aussi mes privilèges de salle de bain. Je compris le sens et je lui donnai un bain. Je passai la demi-heure suivante à laver les cheveux, le corps de ma fille. Puis je la rasai, je la séchai et je lui frottai le corps avec une lotion. Enfin je séchai et coiffai ses cheveux.
Septembre alla dans sa chambre et je la suivis. Elle enfila une petite nuisette qui couvrit à peine son sexe. Ses petites lèvres roses étaient bien visibles et ses mamelons pointaient sous le fin tissu. A ce moment-là j'étais vraiment excitée. Je sentis un petit filet de liquide couler le long de ma cuisse. Ça aurait pu être de la sueur comme nous étions dans la salle de bain chaude, mais je pensai qu'il s'agissait sûrement de ma chatte qui était assez humide pour couler le long de ma jambe. J'avais envie d'être baisée.
Avril arriva et me repoussa. Elle dit à sa sœur :
- Jolie!
Puis elle lui donna un gros bisou. Elle dégagea un des seins de sa sœur puis commença à le sucer. Espiègle, elle repoussa Septembre sur le lit. Ma fille aînée rigola et ouvrit ses jambes. Avril embrassa la chatte de sa sœur et donna un coup de langue sur les petites lèvres. Puis elle se tourna vers moi et dit :
- Allons-y!
Je répétai mes tâches de salle de bain sur ma fille Avril. Puis dans sa chambre elle enfila une paire de bas. Ils étaient en résille blanche. Elle était très sexy avec. Elle mit une nuisette comme sa sœur. Le tissu était noir et soyeux. Et elle était aussi courte que celle de Septembre. La zone entre le haut des bas et le bas de la nuisette était une invitation au viol. Elle s'approcha de mon visage et me laissa embrasser son clitoris et lui donner un coup de langue avant de se détourner et sortir.
Comme je m'y attendais, Janvier arriva peu de temps après. Quand elle enleva ses vêtements, je fus surprise. Ses tétons étaient percés et des petits anneaux en argent y pendaient. Elle vit ma réaction étonnée et elle gloussa. Puis elle écarta les lèvres de sa chatte pour me montrer une petite bague en argent traversant son clitoris.
- Ça fait mal mais c'est bon. Peut-être que je te le ferais faire aussi. Dit-elle.
Un frisson traversa ma colonne vertébrale. Elle me dit en tordant un de mes mamelons :
- Je l'ai payé avec ton corps. Je vais t'y emmener cette semaine pour payer cette dette.
Je réfléchis à ses mots pendant que je la lavai. Ses cheveux étaient plus courts que ceux des autres filles alors ils demandaient moins d'attention. Elle me demanda de lui laisser un petit peu de poils pubiens au-dessus de sa fente. La petite marque en « V » accentuait ses petites lèvres.
Janvier mit des bas noirs et une jupe qu'elle avait modifiée elle-même. Elle avait fendu les coutures de chaque côté jusqu'à la ceinture. C'était devenu plus un pagne qu'une jupe. Elle sortit un chemisier très fin et très transparent. Elle le mit et on pouvait voir à travers. Ses seins n'étaient pas très bombés mais on voyait bien ses gros tétons roses. Elle rigola et dit :
- Nous allons à l'école. Ça devrait être amusant. Je t'aurai bien demandé de venir mais il y aura beaucoup d'occasion plus tard.
Tout en riant, elle s'approcha de mon entrejambe. J'écartai mes jambes, debout devant ma fille. Elle s'assit devant sa coiffeuse tout en frottant ma chatte. Je fermai les yeux pendant que ses doigts jouaient avec mon sexe. Et je me rappelai ces cinq derniers jours. Ma fille devint cruelle, tordant et tirant mes petites lèvres. Elle enfonça deux doigts dans ma chatte et je faillis m'évanouir. Je gémis et j'eus un orgasme sur ses doigts. Elle leva sa main et je léchai ses doigts pour les rendre propre.
Tout mon corps tremblait.
- Merci Maîtresse! Réussis-je à dire avant de reculer.
- Nettoie la salle de bain et fais-toi jolie. Papa a des amis qui viennent. Et tu vas être le divertissement.
En sortant de la pièce, je sentis mon excitation grandir et j'espérai que j'allais prendre des bites ailleurs que dans ma bouche. Je me laissai transporter par mes émotions et l'anticipation de la soirée pendant que je me douchai.
Les trois sœurs partirent à l'école. Plusieurs événements s'y déroulaient. Il y avait une journée portes ouvertes pour que les parents puissent voir comme leurs enfants se débrouillaient pendant l'été. Il y avait une orientation pour les premières années où les parents pouvaient rencontrer les enseignants pour la prochaine année. Il y avait aussi une réunion de l'équipe de football. Bien que la saison ne fût pas commencée, l'équipe se réunissaient pour avoir leurs postes et les horaires d'entrainement.
Les filles étaient parties pour plusieurs raisons. D'abord, M. GRAINGER avait mis le vice-directeur dans la confidence. Janvier avait voulu s'assurer d'avoir de bonnes notes toute l'année. Mes filles ciblaient aussi deux femmes à l'école, une enseignante et un étudiant. Janvier voulait aussi récompenser le concierge pour l'avoir aidé et l’entraîneur de football. Mes filles attendirent patiemment que le parking visiteurs se vide.
Une fois qu'il n'y eut plus personne dessus, elles vérifièrent aussi le parking de l'école. Il restait moins de 10 voitures, mais il y en avait une vingtaine dans le parking des étudiants. Les filles sortirent de la voiture et marchèrent avec confiance vers l'école comme si elles en étaient propriétaires. Elles allèrent directement vers le bâtiment abritant les joueurs de football. L’entraîneur avait congédié plus de la moitié de l'équipe, gardant seulement une douzaine de jeunes hommes dans le vestiaire. L’entraîneur venait de leur faire subir des exercices pour évaluer leur condition.
Maintenant, les garçons discutaient en se douchant et en s'habillant. Les filles s'étaient réfugiées dans une salle et gloussaient pendant que les autres s'étaient éloignés. Puis elles entrèrent dans le vestiaire avec désinvolture. Elles furent accueillies avec un silence stupéfait. Tous les yeux s'étaient posés sur elles, la plupart fixés sur les chattes exposées. Les filles minaudèrent en jouant avec leurs ourlets, les soulevant pour exposer leur sexe aux joueurs.
Septembre quitta ses deux sœurs pour pénétrer dans le bureau de l’entraîneur. Celui-ci attendait patiemment. Il était à moitié assis, à moitié appuyé contre le devant de son bureau. Son pantalon était déjà baissé au niveau des genoux et il ne portait pas de sous-vêtement. Septembre pris sa main pour la poser sous sa chemise de nuit et immédiatement il enfonça un gros doigt dans sa chatte.
- Pas maintenant et pas moi. Souffla-t-elle dans son oreille.
Et elle ajouta :
- Je vous promets que je reviendrai un jour et que nous baiserons, mais ce soir, je veux que vous baisiez deux autres chattes blanches.
Septembre joua avec ses couilles en parlant. Elle s'accroupit et commença à sucer la grosse bite noire. A ce moment, le concierge entra et rigola :
- Puis-je en avoir un peu?
Septembre rit et dit à l’entraîneur :
- Dites lui le plan, je reviens vite.
En passant devant le concierge, elle l'embrassa et lui donna un coup de coude. L'homme sourit, sentant sa bite grossir.
- Petite chatte chaude de blanche. Dit-il en glissant une main entre les jambes de ma fille pour sentir son humidité.
Septembre se dégagea et sortit de la pièce. Ses sœurs s'amusaient avec les joueurs. Elles se déplaçaient de l'un à l'autre en caressant leur chatte et leurs seins. Elles embrassèrent les garçons et se frottèrent contre eux jusqu'à que chaque queue soit dure comme du roc. Septembre fit un signe et Avril la suivit. Janvier dit aux jeunes hommes :
- Elles vont revenir dans quelques minutes. Et elles amèneront deux filles sexy pour que vous jouiez avec. Voici le plan...
Avril se dirigea vers Stacy. La capitaine des pom-pom girls mettait des papiers dans son sac à dos. Avril l'attrapa par les cheveux et gronda :
- Tu viens avec moi chienne!
Stacy avait torturé Avril pendant toute l'année de lycée et elle ferait surement la même chose à Janvier. Cette fille pensait qu'elle dirigeait l'école. Elle avait de longs cheveux blonds et un joli visage. Elle avait aussi de gros seins et un cul bien rond qu'elle utilisait pour séduire les gens qu'elle aimait et torturer ceux qu'elle n'aimait pas.
Stacy était une blanche de pure souche. Elle évitait de parler ou même de regarder des noirs. Elle avait eu un problème avec un professeur noir, l'accusant de l'avoir mal regardé. Il avait été obligé de partir enseigner dans une autre école. Avril aimait bien cet enseignant et elle avait découvert que Stacy avait exagéré car il lui avait donné une mauvaise note. Stacy n'aurait jamais envisagé de sortir avec un homme noir ou alors d'avoir une fille noire dans son équipe de pom-pom girls.
Avril traîna la jeune fille par les cheveux dans le couloir. Septembre était là pour l'aider mais la blonde ne faisait pas le poids contre Avril. Septembre suit, juste au cas où. Stacy avait deux ans de moins mais était à l'école avec Septembre et avait rejoint les pom-pom girls quand Septembre en était la capitaine. Stacy avait été détestable, essayant de prendre la place de Septembre à la tête de l'équipe. Et quand ma fille fut diplômée Stacy prit le relais.
Toujours dans sa tenue de pom-pom girl, la jeune blonde fut poussée à travers la porte. Elle atterrit en tas aux pieds de deux grands joueurs noirs de football. Ils la soulèvent et la plie sur une table. Les deux hommes sont complètement nus, avec de grosses bites bien épaisses qui se tiennent au garde-à-vous. L'un des noirs prit les poignets de Stacy pour la tenir. L'autre remonta sa mini-jupe et retira sa petite culotte.
Debout, mais penchée en avant, la jeune fille fulmine, impuissante et effrayée.
- Enlève tes mains de mon corps négro! Cria-t-elle.
Tous les hommes la regardaient, amusés, pendant qu'elle essayait de se libérer de l'emprise de l'homme qui lui tenait les poignets devant elle. Le noir derrière frotta sa chatte avec sa main et rigola :
- Elle est toute mouillée.
Il se pencha et murmura à l'oreille de Stacy :
- Tu me supplieras de te baiser avec ma bite de négro avant que j'en finisse avec toi.
Septembre et Avril remplacèrent le joueur qui tenait les poignets de la jeune fille. Elles tirèrent dessus, soulevant son cul sur la table. Le joueur de football derrière Stacy regarda longuement le cul bien bombé. La jeune blonde essaya de garder les jambes bien fermées, mais le jeune garçon arriva facilement à les écarter puis il aligna ma tête de sa bite avec le vagin de la blonde. Il poussa et sa queue glissa entre les lèvres de la chatte et l'ouvrit. Stacy cria sous l'invasion soudaine.
Une minute plus tard, après que le gars eut enfoncé toute sa bite en elle, Stacy gémissait et secouait ses cheveux blonds d'avant en arrière. Septembre et Avril relâchèrent les poignets de la jeune fille qui, aussitôt, agrippa les bords de la table. L'esprit et le corps de Stacy se livrait une bataille perdue d'avance. Elle criait « non » dans sa tête mais sa chatte répondait à la grosse bite enfouie en elle.
Soudainement, Stacy se sentit très humide et très vide. Cela arriva si vite qu'elle cligna des yeux en face des deux sœurs. Elle vit alors la caméra vidéo et reçut un nouveau choc quand un autre joueur noir se plaça derrière elle et la pénétra avec sa grosse queue. Celle-ci était plus épaisse. L'homme remplit si bien Stacy et il la baisa si fort qu'elle réagit immédiatement.
Un orgasme massif la traverse et il frappe si fort que Stacy se raidit tout en tremblant de partout. Puis elle retombe tout molle. Avril regarde Septembre et dit :
- Merde, je crois que nous l'avons tuée.
- Pas de chance! Rigola Septembre en continuant de filmer la scène.
Mais elle ajoute :
- Elle vient juste d'avoir son premier orgasme et elle s'est évanouie.
L'homme noir continuait de baiser la jeune fille blonde. La jupe de pom-pom girl était relevée et il regardait sa queue entrer et sortir de la petite chatte blanche.
Il gifla le cul devant lui et obtint un petit gémissement de Stacy. Tout autour, les autres joueurs étaient nus et se masturbaient. Alors qu'ils attendaient leur tout, la porte s'ouvrit. Janvier entra, suivie d'une femme d'une trentaine d'années. Celle-ci stoppa net quand elle vit la scène. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais janvier la poussa vers le bureau de l’entraîneur.
Celui-ci avec le concierge regardaient par la fenêtre la pom-pom girl se faire baiser. Ils se retournèrent quand la porte s'ouvrit et ils détaillèrent la professeure. Elle était grande avec de beaux seins et un beau cul. Sa taille était fine et elle était vêtue d'une tenue d'enseignant type, un chemisier blanc et une jupe noire arrivant aux genoux. Elle était belle, avec une chevelure noir corbeau et des yeux bleus perçants.
Elle regarda par la fenêtre alors que le jeune joueur noir éjaculait dans la pom-pom girl. Angela WRIGHT, professeure d'histoire, cligna des yeux et déglutit difficilement. Elle se tourna vers le concierge et l’entraîneur et commença à protester. Le coach leva la main pour l'arrêter :
- J'ai une douzaine de joueurs qui veulent profiter de ce cul.
Puis il regarda le concierge.
- De plus vous n'êtes que deux. Si tu veux la sauver, il va falloir que tu prennes sa place.
Angela déglutit une nouvelle fois difficilement, regarda les hommes puis la fille. Stacy était immobile, le cul en l'air, la tête à plat sur la table. L'enseignante se retourna vers les deux hommes noirs et leur fit un petit signe de tête. L’entraîneur s'assit sur une chaise et lui dit d'enlever ses vêtements. Angela déboutonna lentement son chemisier. Le concierge regardait fixement les gros seins à peine contenus dans le soutien-gorge de dentelle blanche avec des petites fleurs bleues.
L’entraîneur baissa les yeux et Angela dégrafa sa jupe. Après l'avoir enlevé complètement elle se tourna pour faire face au coach. Celui-ci apprécia le spectacle. La grosse poitrine se soulevait et sous la culotte assortie, il put voir une touffe sombre de poils. L'enseignante posa sa jupe sur une chaise et défit lentement son soutien-gorge. Il lui fallut une minute entière pour l'enlever avant que les hommes n'aperçoivent les gros mamelons roses.
Les mains de la femme couvrirent ses seins et elle baissa les yeux, rouge d'embarras. L’entraîneur lui demanda d'approcher. Elle obéit et il prit ses mains pour les écarter de sa poitrine. Il prit doucement les gros seins et pinça les tétons raides. Puis il passa un doigt entre les jambes de la femme, pressant doucement la culotte, sentant la petite fente. Il tira la culotte vers le bas et afficha sa toison pubienne.
Le concierge se lécha les lèvres en regardant son acolyte poser ses grosses mains sur le cul d'Angela. L’entraîneur attira la femme vers lui jusqu'à ce que ses jambes s'ouvrent et qu'elle soit à califourchon sur lui. Le noir libéra son sexe qui se leva droit comme un i et visa la chatte. Angela baissa les yeux et haleta quand elle vit la bite qui allait la pénétrer.
Le gourdin noir se posa à l'entrée de sa chatte et l’entraîneur tira l'enseignante vers le bas, sa queue ouvrant son sexe. Ses petites lèvres se séparèrent et elle retint son souffle. L'homme sentit de la résistance et regarda son visage. Elle retourna son regard et commença à dire :
- Je suis vier...
Mais l'homme la tira d'un coup sec et la pénétra. Angela eut mal.
L’entraîneur l'abaissa sur lui jusqu'à ce que sa bite soit complètement à l'intérieur d'elle. Il se serra contre elle, pressant ses seins contre sa poitrine. Puis il la souleva et la reposa, une fois, deux fois, trois fois et la douleur disparut. Elle se pressa complètement contre lui, et il sentit qu'elle embrassait son cou. Alors il recommença à la soulever et abaisser sur sa queue. Puis elle prit elle-même l'initiative et bougea sa chatte de haut en bas sur la bite noire. Dans le temps, l’entraîneur avait brisé quelques filles. Il vit tout de suite que celle-ci allait devenir une cochonne pour black.
Il la baisa violemment pendant qu'elle l'embrassait. L'enseignante eut une drôle de sensation dans son ventre mais elle ne voulait pas que ça se termine. Mais son corps fut bientôt hors de son contrôle et elle gémit alors qu'un orgasme la frappa. Sa chatte se serra sur la grosse bite et elle se laissa aller pour qu'elle la pénètre le plus profondément possible. L’entraîneur sourit à cette réaction.
- Je vais jouir maintenant. Murmura-t-il à son oreille.
Elle gémit d'excitation mais chuchota :
- S'il te plaît, n'éjacule pas en moi.
Elle embrassa son cou. L’entraîneur sourit et déchargea son sperme dans son ventre. Elle soupira et continua à embrasser son cou. Plusieurs minutes s'écoulèrent et il la tint empalée sur lui. Elle respirait fort. Finalement elle ouvrit les yeux quand sa queue commença à débander.
Angela fut attrapée par derrière par les grandes mains du concierge. Il la berça dans ses bras tout en la portant dans le vestiaire. Elle pouvait sentir le sperme de l’entraîneur s'échapper de sa chatte ouverte. Elle leva les yeux et vit la caméra vidéo dans les mains de Janvier. Elle commença à dire quelque chose quand elle fut allongée sur le dos sur la table à côté de la pom-pom girl.
Elle regarda la caméra, ne sachant pas trop que dire tout en sentant qu'on la pénétrait à nouveau. Elle était vaguement consciente d'être baisée alors que son esprit réfléchissait sur le fait qu'elle était filmée. Quelqu'un s'approcha de sa tête et elle sentit des mains sur ses seins. Ses jambes furent poussées vers le haut et écartées par le concierge. Il la baisa lentement, savourant cette petite chatte serrée.
Angela leva les yeux et vit le visage d'un jeune joueur noir. Il jouait avec ses seins et elle sentait sa grosse bite noire contre sa joue. Elle regarda la pom-pom girl toujours immobile. Tout en étant baisée par le concierge, elle n'était pas complètement consciente de l'être même si elle le savait. Ses pensées allaient à la vidéo et à la jeune fille à côté d'elle. Elle commença à sentir un frémissement dans son corps et elle le va les yeux vers la caméra juste au moment où un orgasme la traversa.
L’entraîneur avait récupéré, il bandait à nouveau. Il entra dans le vestiaire. Le cul de la pom-pom girl semblait l'inviter. Il s'approcha et écarta ses fesses pour voir la chatte humide et ouverte. C'est lui qui avait surement la plus grosse queue de tous les hommes présents. Il positionna son gland à l'entrée de la chatte de la jeune blonde. Puis il poussa et entra facilement. Il sentit Stacy bouger et haleter alors qu'il conduisait sa queue dans les profondeurs de la jeune fille.
Il la baisa rudement et il sentit un mouvement sous lui. Stacy était dans un état entre l'inconscience et la conscience. Elle savait que son corps était utilisé à nouveau. Elle était presque inanimée mais pas au point de ne pas pouvoir profiter du traitement. Elle était une poupée de chiffon avec une chatte chaude et humide, disponible pour tous ceux qui voulaient en profiter.
Angela avait cédé. Elle était amoureuse de ce traitement. Elle n'était plus vierge et l'idée de rester intacte pour son mari et sa nuit de noce disparut. Elle sentit la grosse bite noire se raidir alors qu'il déchargeait une nouvelle quantité de sperme dans son ventre. Cela l'excita. Elle savait qu'elle allait être partagée à d'autres hommes mais ses sentiments pour l’entraîneur devinrent profonds.
Tandis que le concierge se vidait, elle regarda le coach. Elle sentit qu'elle lui appartenait et qu'elle remplirait tous ses désirs aussi longtemps qu'il le voudrait. Tout au long de sa vie, elle avait entendu des histoires sur ces filles qui avaient gardé leur virginité et qui étaient tombées amoureuses du premier gars qui les avait baisées. Elle était restée vierge pour cette raison. Aujourd'hui, elle se retrouvait attachée à un homme de vingt ans son aîné et elle ne savait pas où cela allait la mener.
Le concierge avait fini avec elle et elle se sentait vide. Elle regarda l’entraîneur baiser la pom-pom girl, voyant son visage grimacer pendant qu'il se vidait dans le ventre de Stacy. L'homme sourit à Angela qui lui rendit son sourire. Elle n'avait pas bougé. Elle était allongée sur le dos sur la table, les jambes ouvertes, le sperme coulant le long de son cul. Le coach tira la jeune fille vers le haut et il défit sa petite robe, la faisant glisser sur ses épaules. Il défit le soutien-gorge, découvrant de petits seins et des tétons qui durcirent sous l'air froid.
Il emmena la jeune fille vers la douche et fit signe à Angela de les suivre. L'enseignante se releva lentement de la table et regarda autour d'elle. Elle réalisa qu'elle était surveillée par les joueurs de l'équipe. Ils fixaient sa beauté nue alors elle accéléra pour échapper à leurs regards. Elle rattrapa l’entraîneur et glissa sa main dans la sienne alors qu'il conduisait la pom-pom girl, toujours sur ses jambes tremblantes, sous la douche.
- Occupe-toi d'elle! Dit-il à Angela avant de les laisser seules.
Les trois sœurs avaient enregistré toute l'action. Elles s'étaient frottées contre certains joueurs et avaient caressé quelques queues. Maintenant, les deux autres filles parties, elles étaient le centre d'attention. Janvier baissa la caméra et vit ses deux sœurs s'embrasser. Avril caressait la chatte de Septembre. Janvier sourit, sachant que le spectacle était pour les garçons.
Janvier entendit un gémissement et se tourna vers celui-ci. Un des gars éjaculait sur le sol. La scène avait été trop longue pour lui. Janvier courut vers lui mais pas assez vite. Elle s'accroupit devant le garçon et prit sa bite dans sa bouche. Il gémit quand elle goûta son sperme.
Septembre prit un garçon par sa bite et l'amena à la table. Elle enleva sa nuisette et s'allongea sur la table. Elle écarta les jambes et sourit au grand footballeur noir.
- Mange-moi et baise-moi! Ordonna-t-elle en écartant les lèvres de sa chatte avec ses doigts.
Il n'eut pas besoin de plus d'encouragements et il fut sur elle en un éclair. Il posa sa langue sur les lèvres de la chatte excitée.
Avril vint à la table et se pencha comme Stacy l'avait été. Elle remua son cul et gloussa :
- Qui est le suivant?
Deux garçons se percutèrent presque en courant pour la pénétrer. L'un d'eux fourra sa bite dans la chatte et commença à la marteler. Il releva la nuisette jusqu'aux nichons et il lui tint le cul pour pouvoir mieux la pilonner.
Janvier enleva sa jupe et déboutonna sa chemise q après avoir été attrapée par deux gars. Elle se laissa embrasser et caresser pendant une minute avant de prendre l'initiative. Leurs mains maladroites lui firent comprendre qu'ils étaient inexpérimentés. Elle poussa un des gars pour qu'il soit assis sur un banc. Puis elle recula sur lui et elle guida sa chatte sur la bite bien raide.
Une fois qu'elle fut complètement installée sur la queue, elle attira l'autre garçon vers elle. Il était tout juste à la bonne hauteur pour que sa bouche enveloppe sa queue. C'était elle qui avait l'initiative en montant et descendant sur la queue sous elle. Elle laissa le garçon devant elle baiser sa bouche. Aucun des deux n'avait une très grosse bite et de la façon dont ils se tortillaient, elle savait qu'ils ne résisteraient pas encore très longtemps. Janvier prit la queue dans sa main et se pencha pour sucer les couilles.
Le garçon gémit et eut un sursaut. Son premier coup partit avant qu'elle ne puisse le reprendre en bouche. Mais il vida le reste de son foutre dans sa gueule. Elle suça et avala jusqu'à ce qu'il n'ait plus une goutte. Le gars sous elle restait immobile et elle se demanda ce qu'il se passait. Elle tourna la tête et réalisa que le premier coup du gars devant elle avait tapé sa joue et l'homme derrière elle.
Le jeune joueur noir essayait d'enlever le foutre de son visage sans attirer l'attention. Personne ne le regardait, même pas celui qui avait éjaculé. Janvier vint à sa rescousse en se tournant sur son sexe pour se mettre face à lui. Elle lécha le sperme sur son visage et quelques secondes plus tard il était propre. Elle put recommencer à chevaucher fougueusement sa bite.
Le jeune homme put se retenir un petit moment et il accompagna son chevauchement avec ses hanches. Mais bientôt, elle le sentit se raidir et elle comprit qu'il jouissait. Elle se leva et rechercha un peu plus d'action. Janvier aimait bien passer du temps avec des jeunes de son âge pour les baiser, mais après avoir été utilisée par des hommes plus âgés et expérimentés, elle savait qu'il y avait peu de chance qu'elle ait un orgasme. Alors elle se résigna à s'amuser seulement.
Avril était en train de se faire prendre par derrière. Elle accompagnait avec ses hanches le joueur qui la pilonnait. Elle respirait fort et regardait sa sœur être baisée à côté. Septembre était sur le côté opposé de la table, les jambes tirées vers le haut et grandes ouvertes pendant qu'un autre joueur noir pénétrait sa chatte avec une longue queue mince. Les deux gars jouirent presque en même temps, remplissant les deux filles de sperme.
- J'ai besoin de quelqu'un pour me sodomiser. Déclara Septembre.
Du sperme était descendu jusqu'à son cul. Le garçon qui s'approcha n'avait jamais sodomisé une fille. Il regarda Septembre dans les yeux et poussa sa bite contre le petit œillet. Le foutre ayant suffisamment lubrifié le petit trou du cul, la bite glissa sans problème à l'intérieur. Septembre le sentit la pénétrer et lui pomper le cul. Un autre garçon avait pris possession de la chatte d'Avril et elle sentit un petit orgasme la traverser alors qu'elle se caressait. Janvier était très sexy, le chemisier ouvert, les bas à mi-cuisses. Elle s'était empalée sur un gars allongé sur le banc et elle tirait sur ses tétons pour essayer d'avoir un orgasme.
Sous la douche, Angela avait amoureusement lavé la jeune pom-pom girl. Elle lui avait lavé les seins, le ventre et la chatte, puis le dos et le cul. Elle glissa ses doigts dans la chatte de la jeune fille. L'enseignante ne savait pas ce qui allait arriver mais elle se sentit attirée par Stacy.
La jeune fille revint à la vie et commença à embrasser la professeure. Elles s'embrassèrent et se serrèrent dans les bras l'une de l'autre puis se caressèrent. Stacy avait ses petites lèvres rasées avec juste une petite bande de poils au-dessus.
- J'aime que l'on tire mes cheveux. Murmura-t-elle à l'oreille d'Angela.
L'enseignante attrapa la chevelure de Stacy et tira dessus tout en embrassant son cou.
- Pas seulement là! Souffla Stacy.
Angela se pencha et tira sur les poils pubiens de la jeune fille. Stacy gémit et ferma les yeux, savourant le moment.
Elles se lavèrent l'une l'autre, puis Stacy repoussa l'enseignante. Angela attendit, assise sur le sol de la douche, jambes écartées. La pom-pom girl tailla la toison de la professeure et rasa ses petites lèvres. Angela regarda la petite touffe de poils juste au-dessus de ses petites lèvres roses et gonflées. Elle pensa que c'était vraiment sexy. Elles prirent le temps de se rincer et de se sécher l'une l'autre.
Au moment où elles sortirent de la douche, tout se terminait. La plupart des jeunes joueurs étaient partis. Un seul était encore occupé. Septembre suçait sa bite. Trois autres étaient en train de s'habiller. Angela vit la bite de l'un d'entre eux encore dure et lisse. Elle comprit qu'il venait juste de finir.
L'enseignante et la pom-pom girl étaient main dans la main, restant sur le côté pendant que les gars restants partaient avec un grand sourire sur le visage. Stacy avait toujours les jambes tremblantes alors qu'elle prenait sa robe et l'enfilait. Elle regarda les sœurs et leur demanda :
- Pourquoi?
- Parce que tu es une chienne. Et que nous en avons marre de toi. S'exclama Avril.
- A partir de maintenant tu feras ce que nous te dirons de faire. Dit Janvier.
Puis elle montra la caméra et ajouta :
- Si tu ne le fais pas, maman et papa verront leur petite fille en action.
Ensuite Janvier pointa son doigt sur Angela et dit :
- Toi! Tu n'es pas là parce que tu es une chienne mais parce que quelqu'un te voulait.
Janvier regarda derrière elle et Angela suivit son regard. L’entraîneur sourit. L'enseignante sentit un frisson de désir l'envahir.
Avril revint à Stacy et lui dit :
- Tu n'as pas encore fini. Tu vas nous nettoyer du sperme.
Elle s'assit sur le banc, ouvrant les jambes bien larges. La jeune fille blonde regarda le foutre qui sortait de la chatte ouverte. Elle se mit à genoux entre les jambes et commença à lécher les cuisses collantes.
- Tu peux y aller! Déclara janvier à la professeure.
Angela se rendit dans le bureau du coach. Pendant qu'elle rassemblait ses vêtements, l’entraîneur s'approcha d'elle. Il tendit la main et caressa ses seins par derrière, les pressant et tirant sur les tétons. Son autre main trouva sa chatte et il frotta un doigt sur les lèvres lisses. Il sourit intérieurement, se demandant ce qu'il s'était passé sous la douche sachant qu'elle était poilue en y entrant.
L’entraîneur la tourna pour qu'elle lui fasse face et il l'embrassa durement. Elle répondit au baiser en pressant son corps nu contre lui. Il lui prit son soutien-gorge et sa culotte.
- Je les garde. Dit-il.
Angela se sentit fière de lui appartenir.
- Maintenant tu peux sucer ma bite.
L'enseignante était inexpérimentée. Et sa tentative de fellation se tourna en une bonne baise de la bouche. Tout en lui remplissant la gorge de sperme, l’entraîneur noir lui dit qu'il lui apprendrait à sucer une bite.
Du sperme dégoulina du coin de la bouche et l'homme l'enleva avec son doigt qui lui donna à nettoyer. Elle suça son doigt pour le rendre propre. Puis elle s'habilla lentement pendant que l’entraîneur la regardait. Même en prenant sn temps, il ne lui fallut pas longtemps pour enfiler sa jupe et son chemisier. Elle voulait dire au revoir correctement, embrasser encore et encore l'homme. Mais il la congédia en lui disant qu'il la verrait demain. Son cœur était à la fois exalté et un peu blessé.
Angela se fraya un chemin vers la sortie sur ses jambes tremblantes. Sa tête était remplie d'émotions diverses. Il y avait une certaine tristesse d'avoir été vaincue par la luxure et une terreur profonde mélangée avec du désir et un sentiment d'appartenance. Elle était tendue de partout et elle sentit l'humidité entre ses jambes. Ses tétons poussaient presque douloureusement contre son chemisier. Son cerveau était gelé, elle ne savait ce qu'il fallait qu'elle fasse. Ses émotions l'embrouillèrent. Son côté rationnel la voyait sur la vidéo, en se donnant volontairement pour être baisée comme une pute.
Elle avait l'impression de balancer entre plusieurs solutions. Elle ne voulait pas admettre qu'elle voulait voir où ce chemin mènerait. Une partie d'elle-même voulait punir ses agresseurs. Une autre partie voulait qu'elle parte, qu'elle déménage dans une nouvelle ville, qu'elle recommence sa vie. Différents scénarios traversèrent son esprit. Au moment où elle ouvrit la porte d'entrée, elle comprit que s'en aller n'était pas la solution. La vidéo d'elle, postée sur internet, la suivrait toujours.
La plus grosse question qu'elle se posait était le rôle qu'elle avait joué dans les événements. Elle avait profondément honte mais elle était fière aussi d'avoir été désirée. Punir ses agresseurs ne serait pas juste. Elle s'était donnée trop rapidement et la vidéo le prouvait. Un frisson d'excitation la traversa quand elle pense qu'elle serait prise et utilisée chaque fois que le concierge noir aurait envie d'une chatte blanche. Il lui suffit de penser à une grosse bite noire dans sa chatte pour qu'elle mouille encore plus.
Elle décida de prendre les choses comme elles viendraient. Après un long bain et deux verres de vin, elle se coucha. Elle se mit au lit, complètement nue pour la première fois de sa vie. Pendant quelques minutes elle malmena ses propres seins, les pinça, tordit ses mamelons et elle frotta son clitoris avec vigueur. Elle perdit le contrôle. Après son orgasme, épuisée, l'enseignante tomba dans un profond sommeil. Sa dernière pensée fut que ça serait long d'attendre jusqu'à demain.
Le sort de Stacy avait été décidé par les sœurs. Elles la conduisirent à sa maison. Sue le chemin, Janvier s'amusa avec les tétons de la jeune fille. On lui rappela la vidéo. Mais même l'épisode de la douche avec l'enseignante pouvait gâcher sa vie. Il fallait qu'elle trouve le moyen de cacher tout cela. Son salut était de donner confiance aux sœurs en faisant ce qu'elles demandaient. Elle serait libérée après avoir obtenu son diplôme et pourrait vivre sa vie comme elle le souhaitait, avec sa propre sexualité. La pom-pom girl accepta sans réticence que Janvier tire sur ses mamelons et l'embrassa profondément.
Stacy se considérait comme une dur de dur. Elle faisait semblant de tout accepter tout en réfléchissant à sa revanche. Tout en se couchant, elle eut un sourire cruel. Les menaces des trois sœurs la tenaient en échec pour le moment, mais cela lui donnait le temps de réfléchir à un plan pour reprendre le dessus. Elle les punirait. L'enseignante, l’entraîneur, les joueurs de football et le concierge souffriraient avec les trois sœurs. Ils ne la verraient jamais venir.
FIN