jeudi 28 février 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 02

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

La belle-mère est encore soumise.

Lorsque Christine revint du travail, nous avons agi comme s'il ne s'était rien passé le matin. En effet, son mari Alain était là, encore complètement saoul. Comme d'habitude il insulta copieusement sa femme avant de gravir les escaliers pour aller s 'écrouler sur son lit.

5 minutes plus tard, il ronflait si fort que nous l'entendions d'en bas. C'est à ce moment que j'ai senti que l'atmosphère avait changé. Avec Christine nous étions seuls et une tension régnait dans l'air.

Elle quitta subitement le salon pour aller dans la cuisine. Je l'entendais fouiller dans les placards sans d'autre raison valable que de ne pas être dans la même pièce que moi.

Je me suis levé pour la rejoindre dans la cuisine afin de vérifier son état d'esprit.

J'approchai par-derrière et je la sentis se crisper alors que je plaçai mes deux mains sur ses fesses habillées de sa jupe serrée.

Elle murmura :

- Nous ne pouvons pas.... Ce matin, c'était....

Je la coupai.

- Chut Christine!

Accrochant le bas de la jupe avec mes doigts, je la remontai lentement jusqu'à ce qu'elle soit froissée autour de sa taille. Puis mes mains se baladèrent sur sa culotte, ses cuisses.

Elle chuchota sans trop de conviction dans sa voix :

- Arrêtez, nous ne pouvons pas recommencer!

Je continuai à la caresser. Puis mes mains remontèrent pour lui déboutonner son chemisier. Ensuite, je tirai son soutien-gorge sous sa poitrine afin de libérer ses énormes seins. Puis je pris chaque mamelon entre mon pouce et mon index pour les tirer et les rouler jusqu'à ce qu'ils durcissent.

Enfin, je descendis sa culotte sur ses genoux. L'odeur de nos ébats de ce matin remplit l'air alors que son sexe n'était plus couvert.

- Écarte les jambes! Lui murmurai-je à l'oreille.

Elle m'obéit en faisant glisser ses pieds sur le sol jusqu'à ce que sa culotte ne puisse pas s'étirer plus. Je glissai ma main entre ses cuisses. Je fus heureux de sentir que son sexe était humide si bien que je pus y entrer deux doigts sans problème.

- Tes paroles disent une chose Christine. Mais ton corps m'en dit une autre. N'as-tu pas encore envie de ma bite? Lui demandai-je, un grand sourire sur mon visage.

- Nous ne pouvons pas... Me répondit-elle.

De nouveau je la coupe au milieu de sa phrase :

- Nous pouvons et nous le ferons! dis-je avec un ton un peu plus autoritaire.

Reculant un peu, je baissai mon jogging et mon caleçon. Mon membre jaillit et vint frapper son cul nul. Elle commença à haleter.

- Penche-toi en avant! Ordonnai-je.

Christine recula d'un petit pas et se pencha en avant, la tête appuyée sur le comptoir de la cuisine, ses seins se balançant sous elle. Je fis glisser mon sexe plusieurs fois le long des plis de sa chatte. Quand il fut bien raide, je le positionnai sur l'ouverture du sexe de Christine, prêt à l'enfiler.

Je poussai ma bite à l'intérieur, remplissant complètement la cavité. Elle étouffa un cri avec sa main puis gémit.

- Alain ne se réveillera pas tu sais! Dis-je avant de sortir et de la pénétrer à nouveau avec une telle puissance qu'elle a failli perdre l'équilibre.

Elle dut s'agripper avec ses deux mains sur la surface de travail alors que j'augmentai la vitesse et la puissance de mon pilonnage.

3 minutes plus tard, elle avait son premier orgasme. Je la baisai si fort que sa main gauche avait glissé du plan de travail. Elle était pliée à la taille, sa tête touchant presque ses genoux, ses seins s'écrasant sure ses cuisses

Elle était obligée de se tenir avec une main au sol tellement je la martelai.

Puis elle eut un deuxième orgasme qui fit trembler tout son corps. Sa chatte était tellement trempée que mon membre coulissait avec une grande facilité.

Une fois qu'elle fut remise de son émotion, je me retirai d'elle. Je voulais aller dans la pièce d'à côté.

En la poussant légèrement vers la porte je lui dis :

- Allons dans le salon!

Je la regardai alors qu'elle essayait de marcher, sa culotte autour des genoux. Bientôt elle fut au milieu de la pièce.

Je la suivis puis je me dirigeai vers la table à manger. Après avoir poussé les choses qui encombraient, J'ai attrapé Christine pour la courber sur la table, ses seins s'écrasant sur le bois froid.

En regardant par-dessus son épaule, elle me supplia :

- Pas ici, s'il vous plaît, Alain est juste au-dessus.

- Comme je te l'ai dit, il est endormi et ne peux rien entendre. Écarte les jambes maintenant!

Ses jambes se sont ouvertes. Ma cible était en vue. Je ne perdis pas de temps. Je la pénétrai de nouveau. Je voulais qu'elle ait un orgasme alors que son mari dormait au-dessus. Je mis donc beaucoup de vigueur à la tâche afin qu'elle jouisse avant que j'éjacule.

Alors que je sentais venir mon propre plaisir, les muscles de la chatte de Christine commencèrent à se resserrer autour de mon membre alors qu'un long gémissement sortit de sa bouche. Je savais qu'elle n'était pas loin de jouir alors j'accélérai le mouvement. Enfin, j'éjaculai avec f***e alors qu'elle ne put retenir son cri de jouissance quand l'orgasme la frappa. Je continuai à la baiser quelques instants afin d'entretenir son long gémissement.

Finalement, je me retirai regardant mon sperme couler de son sexe béant le long de ses cuisses.

- Pas un bruit au-dessus! Tu vois que nous n'avons pas réveillé ton mari. Rejoins-moi sur le canapé!

Mon jogging sur les chevilles, j'allai m'asseoir sur le grand canapé en toile du salon. Christine me rejoignit quelques instants plus tard.

- As-tu aimé Christine? Demandai-je tout en caressant son sein gauche, jouant avec son mamelon.

- Oui! Répondit-elle

- Je veux que tu fasses une chose avant d'aller te coucher? Dis-je.

- Que voulez-vous?

- Je veux que tu me suces et que tu avales jusqu'à la dernière goutte de mon sperme.

Elle me regarda, puis baissa la tête afin d'engloutir ma bite. Elle me suça si bien que 10 minutes plus tard, je déchargeai une grosse quantité de sperme dans sa gorge. Bien obéissante, elle avala le tout.

Je me levai, remontai mon caleçon et mon jogging. Et la laissant sur le canapé à moitié vêtue, du sperme s'échappant de sa chatte, je lui dis :

- Je vous verrais demain!

La belle-mère se soumet encore plus.

Le lendemain, je fus réveillé par les bruits familiers que fait Christine lorsqu'elle se prépare pour aller au travail. Son mari était parti à 4 heures et là il était 7 heures.

Je retirai la couverture, et, couché sur le dos, nu, j'ai commencé à me branler alors que j'entendais Christine prendre sa douche.

Lorsqu'elle eut fini, j'étais en érection. Je voulais savoir jusqu'où elle était prête à aller.

En passant devant ma chambre, elle jeta un coup d'œil et se figea instantanément en voyant ma bite érigée.

- Entre! Et laisse ta serviette à la porte! Demandai-je de mon lit.

Elle répondit :

- je ne peux pas. J'ai une réunion tôt ce matin.

- Tu devrais peut-être aller chercher ton téléphone afin d'avertir que tu as des problèmes de voiture!

- S'il vous plaît, je ne peux vraiment pas rester aujourd'hui!

- Bon! Ben alors, je vais peut-être devoir raconter notre journée d'hier à ton mari?

- D'accord, d'accord, je vais chercher mon téléphone!

Après être revenue, et avoir laissé sa serviette à la porte de ma chambre, elle m'a rejoint sur le lit.

Elle composa un numéro et attendit que l'on réponde.

- Bonjour Marc! C'est Christine!

Ils échangèrent quelques plaisanteries. J'en profitai pour guider la main libre de ma belle-mère sur mon membre afin qu'elle continue de me branler.

- Je vais être un peu en retard Marc. J'ai des problèmes avec ma voiture. Mentit-elle

Je ne pouvais pas entendre la réponse de son interlocuteur. Elle continua :

- Je suis vraiment désolé mais si vous pouviez me remplacer. J'essaie de faire le plus vite que je peux.

- ......

- Oui Marc! Je vous devrais un service! Dit-elle avant de raccrocher.

- Il me semble que nous n'avons pas beaucoup de temps pour que te baise de nouveau. N'est-ce pas? Dis-je.

Sa main laissa tomber le téléphone, descendit directement entre ses jambes pour commencer à titiller son clitoris. Elle continuait à me masturber mais je pouvais voir qu'elle avait du mal à branler ma bite et se caresser en même temps.

- Si tu as besoin de tes deux mains pour te faire plaisir alors vas-y! je vais regarder. Dis-je avec un sourire en coin.

Tout de suite, sa main quitta mon membre pour rejoindre l'autre sur son sexe brûlant. Je me déplaçai afin d'avoir la meilleure vue de sa masturbation. En même temps je saisis mon propre téléphone sans qu'elle s'en rende compte. Puis, alors que j'avais une vue imprenable sur ma belle-mère se masturbant, je pris une photo avec le flash.

- MERDE! Hurla-t-elle en fermant ses jambes et essayant de couvrir ses seins de ses bras.

Choquée, elle demanda :

- Que faites-vous?

- Si tu ne veux pas qu'Alain voie cette photo, ouvre tes jambes et continue à faire ce que tu faisais.

Mais, paniquée, les jambes toujours serrées, elle questionna :

- Mais que voulez-vous faire de cette photo?

Je répondis, avec un sourire froid :

- Disons que c'est une assurance pour moi afin que continuions nos jeux dans le futur.

A contrecœur, Christine écarta les jambes, enleva ses mains cachant ses seins afin de les remettre sur son sexe et continuer à se masturber.

Je recommençai à prendre des photos, même si la consternation se lisait sur son visage. Mais elle n'essaya pas de se couvrir à nouveau. Il était clair que je prenais le contrôle de ma belle-mère. Après tant d'années de privation, elle avait besoin de sexe.

Mais je voulais encore plus. Je décidai alors de faire une vidéo et de voir jusqu'où je pouvais pousser Christine. J'enclenchai la vidéo. Elle compris tout de suite ce que je faisais.

- Maintenant, afin d'être sûr que tu continueras à m'obéir, je voudrais que tu dises quelque chose à la caméra pendant que tu continues à te toucher. Est-ce que tu comprends?

- Pourquoi une vidéo?

- Pour mon plaisir! allez, raconte ce que tu es en train de faire!

- Je ne comprends pas?

Agacé je lui dis :

- C'est simple, tu décris ce que tu es en train de faire là!

Après un silence gêné, nerveusement et doucement elle dit :

- Je me masturbe!

- Un peu plus fort s'il te plait : et essaie d'être moins nerveuse!

- Je me masturbe! Dit-elle d'une voix plus assurée.

- Pourquoi te masturbes-tu Christine?

- Pour mouiller et me faire plaisir!

- Pourquoi veux-tu être mouillée Christine?

- ...

Elle ne répondit pas, ne voulant pas avouer devant la caméra.

Je lui demandai à nouveau :

- Pour qui veux-tu être humide Christine?

Encore une fois, elle refusa de répondre. Pourtant elle continua à se masturber. Je pouvais voir que ses petites lèvres étaient humides et ses doigts glissaient facilement dans son sexe.

- Je te le demande à nouveau Christine? Pour qui mouilles-tu?

- Mon gendre! répondit-elle en baissant la tête.

Je souris, sachant que je prenais de plus en plus le contrôle de son être.

- Pourquoi? il te l'a demandé?

- Oui! dit-elle en détournant les yeux de la caméra.

- Pourquoi veut-il que tu fasses cela?

- Parce qu'il veut ma chatte mouillée pour pouvoir me baiser.

Je souris à nouveau et je décidai de poser plus de questions. Je voulais profiter de la situation et en tirer un maximum de soumission de sa part.

- Est-ce qu'il t'a déjà baisé?

- Oui! deux fois hier!

- Comment est-ce arrivé Christine?

- Il m'a surpris dans sa chambre en train de regarder son sexe.

Elle détourna les yeux, honteuse.

- Donc tu ne pouvais pas résister? C'est ce que tu dis?

- J'ai été curieuse et il m'a vu.

Encore une fois, elle rougit après cet aveu.

- As-tu été attirée parce qu'il a un grand sexe Christine?

- Il est très gros! admit-elle.

J'étais content qu'elle réponde si facilement. Donc je continuai :

- Est-ce qu'il est plus gros que celui de ton mari?

- Oui il est plus gros!

- Quand ton mari t'a-t-il fait l'amour pour la dernière fois?

- Il y a plus de trois ans!

- Cela fait longtemps! et t'a-t-il fait jouir ce jour-là?

- Non je ne crois pas!

Elle détourna de nouveau les yeux, gênée.

- Est-ce que ton gendre t'a fait jouir hier?

- Oui! répondit-elle rapidement.

- As-tu apprécié sa grosse bite de jeune dans ta chatte mariée?

- Ouuiii! dit-elle d'une voix tremblante alors qu'elle continuait à se masturber.

Je décidai de continuer à l'interroger jusqu'à ce qu'elle jouisse dans la vidéo.

- Est-ce qu'il t'a baisé mieux que ton mari?

Elle acquiesça alors qu'elle respirait plus fort et gémissait de plus en plus.

- Tu vas bientôt jouir non?

- Ouuii! dit-elle, sa voix vacillante.

- Seras-tu toujours disponible pour ton gendre Christine?

- Oui je le serai!

Sa réponse fut rapide, elle n'était pas loin de l'orgasme.

- Demande à ton gendre de te baiser! dis lui que tu veux prendre sa grosse bite!

- S'il vous plait..... Baisez-moi.... Je veux votre membre en moi.... S'il... s'il... vous... Plaiiiiiiiit.... Ahhhhhhhhhh..... ahhhhhhhh!

Elle cria haut et fort. Elle jouis, ses propres doigts enterrés jusqu'à la garde dans son trou, son jus coulant le long de son poignet et tombant sur mes draps.

Je lui demandai en souriant et en connaissant par avance la réponse :

- Es-tu prête à te faire baiser maintenant Christine?

- Oui je suis prête! répondit-elle essoufflée.

- Allonge-toi et écarte les jambes alors!

Ce fut à ce moment que je décidai de filmer jusqu'au bout.

Je m'avançai entre ses jambes puis je l'enfilai avec une grande facilité, tellement elle était mouillée. Je tenais mon téléphone de telle façon que l'on voit bien mon sexe la pénétrer durant les trois prochaines minutes. Puis je filmai son visage lorsque qu'elle a eu un super orgasme qui l'a fait crier encore plus fort que les précédentes fois.

- Retourne toi et met toi à quatre pattes! met ta tête entre tes genoux et relève tes fesses!

Je continuai à filmer.

Je me suis accroupi derrière elle, investissant son sexe à nouveau. Puis je crachai sur son anus. Le trou ultime était là! Le fruit défendu de beaucoup de femmes! Je le voulais et il me semblait que c'était le moment idéal alors qu'elle était complètement sous mon contrôle.

Alors que mon index pénétrait son petit trou du cul, elle sursauta, leva la tête et cria :

- NON! QUE FAITES-VOUS?

- Mets ta tête sur le lit! ordonnai-je.

Je tournai mon index dans son petit trou serré pendant un petit moment puis, approchant mon téléphone de son visage, je lui demandai :

- As-tu déjà été sodomisée Christine?

- Oui! Répondit-elle calmement.

- Quand?

- Il y a 17 ans! j'avais 22 ans!

- Est-ce ton mari qui l'a fait?

- Oui......

Elle respirait lourdement, ma bite dans sa chatte, mon doigt fouillant son cul.

- L'as-tu refait depuis?

- Non, je n'aime pas ça!

- Veux-tu que ton gendre t'encule Christine?

Elle répondit honnêtement!

- Non je ne veux pas vraiment!

- Que feras tu si ton gendre te dis que tu n'as pas le choix?

- Je lui demanderai de le faire doucement.

Elle avait compris que de toute façon, j'allais la sodomiser.

- Christine! Je veux que tu demandes à ton gendre de t'enculer!

Elle tourna la tête, me regardant dans les yeux alors que je me penchais, le téléphone pointé sur son visage. Et elle demanda d'une voix un peu effrayée :

- S'il vous plait, sodomisez moi, mais faites le doucement s'il vous plait.

Ce film sur mon téléphone était génial. Il ne me manquait plus que quelques séquences. Il fallait que je remplisse son cul avec ma bite.

Je retirai mon membre de sa chatte puis je pris de sa mouille pour la mettre sur son anus afin de faciliter la pénétration. Mais même avec ce lubrifiant naturel, Christine se débattit et cria pendant que ma queue s'introduisait dans son cul. Elle me supplia d'arrêter.

Finalement, ma bite entra complètement. J'attendis quelques minutes afin qu'elle s'habitue à être remplie par derrière.

Ensuite je baisai son cul avec des coups lents pendant six à sept minutes jusqu'au moment où j'éjaculai dans ses entrailles.

Je retirai mon membre, filmant son trou béant. Enfin j'arrêtai mon film et m'affaissai à côté d'une Christine gémissante.


Quelques minutes plus tard, elle descendit du lit. Mais nous n'avons pas parlé. Je l'écoutai alors qu'elle se préparait mais j'ai dû m'endormir avant son départ pour le travail.

A suivre...

Voyage au Mexique Ch. 01

Voyage au Mexique - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Rencontre à la station service.

Pour notre dixième anniversaire de mariage, mon mari m'a offert une surprise : un voyage au Mexique en 4x4. Il en rêvait depuis des années.

Nous roulons maintenant depuis des heures à travers une plaine desséchée, et écrasée par le soleil.
Nous ne rêvons plus, l'un comme l'autre, que d'une chose, des boissons fraîches. Del Rio au Texas est bien loin, et par comparaison avec la misère de la région qu'on traverse, Piedras Negras, elle-même, nous semble une mystérieuse enclave de prospérité.

Soudain apparaît, inattendue dans ce décor, une minuscule station d’essence « PEMEX », flanquée de son inévitable « Taqueiras», une sorte de resto sordide, où, quand on a de la chance, et pas peur des amibes, il est possible de manger des tacos agrémentés d'une bière « Das Equis», le must du must au Michelin local, au moins un « trois amibes ». Dans la région, la qualité d'un resto se calcule en « amibes », et celle d'un hôtel en « cancrelats ».

André, mon mari, n'hésite pourtant pas un seul instant. Il a soif, et le réservoir de la 4x4 est quasi vide. Pourtant la station n'est guère encourageante. Je ne dirais même pas qu'elle est pittoresque. Elle est crasseuse, c'est tout.
Un peu à l'ombre, autour d'une table miteuse, un petit groupe d'hommes, la mine patibulaire, sirotent ce qui de toutes évidences ne doit pas être leur première bière.

Il me semble préférable de ne pas descendre. Les types ne me quittent pas des yeux, et ne se gênent même pas pour me faire des gestes obscènes pendant que mon mari fait le plein.

Le plein fait, André me quitte un instant pour payer l'essence et nous acheter des cocas bien glacés. Je n'aime pas ça, j'ai peur, vraiment peur. Ces types feraient peur à n'importe qui. Mon mari est à peine rentré dans le garage que, un à un, les types se lèvent et viennent entourer notre voiture.

Ce sont des « quemadores », des ouvriers agricoles. Ils en ont en tous cas l'habillement : le pantalon qui s'arrête au-dessus des chevilles, la chemise ample qui dépasse à peine le coude, le chapeau de paille pour se protéger du soleil, et l'inévitable machette passée dans une large ceinture de toile vive.

C'est avec soulagement que je vois mon mari réapparaître. Comprenant tout de suite la situation, et fou de rage, il se dirige vers nous. Il n'a pas fait quelques pas, qu'une bouteille de « Cervesa » s'écrase sur son crâne. Il tombe comme une masse et se voit gratifier au passage d'un formidable coup de pied botté dans le ventre.

Ma peur fait place maintenant à de l'affolement. Ma vitre vole en éclat. Ma portière s'ouvre. Des bras s'emparent de moi. On me projette à terre. On me tire jusqu'à la table où quelques minutes avant encore ils étaient installés. D'un revers du bras, l'un des types dégage la table de toutes les bouteilles qui l'encombrent. On m'empoigne, on déchire ma jupe, on me colle le dos à la table. Quatre types m'y maintiennent, je ne peux plus bouger. Autour de moi, je n'entends que des rires gras et mauvais.
Un homme s'approche. Il arbore un sourire triomphant, et sort un coutelas de sa botte.

Il savoure la peur qui se lit dans mes yeux. Je ne peux pas m’empêcher de fixer cette longue lame brillante s'approcher de mon corps. La pointe de la lame s'attarde maintenant entre mes jambes. C'est presque avec soulagement que je constate que le type se borne à me trancher le slip. Au tour de mon soutien-gorge. Ce n'est bientôt plus qu'un souvenir. Le type s'amuse maintenant à apprécier l'élasticité de ma poitrine avec la pointe de son couteau. Je suis terrorisée. Je n'ose plus faire un geste, je n'ose plus émettre un son.

D'un mouvement de sa tête, il fait comprendre aux deux mecs qui me tiennent les jambes qu'il faut me les écarter et les mettre sur ses épaules. Ma position est inconfortable, je ne peux plus garder la tête redressée, je la laisse retomber dans le vide, je vois désormais le monde autour de moi à l'envers.

Je suis quasi nue sur cette table, j'y suis littéralement piquée comme un papillon sur le fond de sa boite. Autour de moi, ce ne sont que des rires. Un des types gueule à je ne sais qui, quelque chose que je ne comprends pas.

La tête à l'envers, je vois un jeune adolescent sortir du garage. Il a vite compris ce qu'on lui offre, et sans que personne ne lui ait rien demandé, il me plante dans la bouche une bite vigoureuse. Je n'ai pas le choix, résister ne servirait qu'à m'attirer des coups. Et j'ai vu ce qu'ils ont fait à mon mari. Je commence à sucer le gosse, la tête toujours dans le vide. Le jeune ne se contente pas de se faire sucer la bite, il en profite au passage pour me pincer cruellement les seins.

J'ai mal, vraiment très mal. Je pleure. Mes plaintes meurent dans un éclat de rire général. Les types laissent le gosse se faire pomper jusqu'à ce qu'il éjacule dans le fond de ma gorge. Je n'ai pas le choix, placée comme je suis, je dois tout avaler ou j'étouffe. Tout autour de moi ce ne sont que des rires et des commentaires salaces sur l'avenir prometteur du gamin.

Une fois que le gosse a eu ce qu'il voulait, on l'écarte sans ménagement. Ça, c'était de toutes évidences, uniquement les préliminaires. Le type au couteau se présente maintenant devant ma chatte. Je ne vois toujours rien, mais je sens que sa bite est bien dressée et qu'il n'a qu'à faire un geste pour me pénétrer. Mais non, il savoure devant ses hommes le morceau de choix qui lui est offert : la femme d'un gringo.

Il me taquine un long moment l'entrejambe et mes petites lèvres de la pointe de son organe. Brutalement je le sens me pénétrer violemment jusqu'à ce que ses couilles viennent battre mon entrejambe. Je m'attends à ce qu'il me besogne rudement mais non, il prend une fois encore tout son temps, s'amusant visiblement à lire la moindre nuance de terreur dans mes yeux. Je comprends assez l'espagnol pour savoir que ce salaud entre deux grognements de satisfactions décrit à ses hommes avec complaisance l'étroitesse et l'humidité de ma chatte. Je le sens s'activer maintenant tout lentement, mais bien à fond. Je ne m'attends pas à une pénétration pareille dans un viol. Ce rythme lent et puissant, ce rythme qui aspire ma féminité comme une pompe à vide, me bouleverse. Je sens le plaisir monter en moi, et l'homme s'en aperçoit lui aussi. Voyant l'orgasme sur le point de me submerger, il me sourit, mais ne modifie pas son rythme pour autant.

Malgré moi, malgré ma situation, malgré mon humiliation, malgré la terreur, malgré la rudesse de cet homme, je ne sais pas comment ; sa façon de me faire l'amour, sa puissance, son autorité naturelle, la perversité qui se lit dans ses yeux, mais ce type me fait jouir comme je n'aurais jamais cru qu'il soit possible.

Lorsque je reviens à moi, c'est pour constater qu'il vient de jouir à son tour, en inondant ma chatte de sa semence. Reprenant sa contenance, le type, un sourire narquois aux lèvres, me dit en se retirant :

-  Toi, tu vas rendre mes hommes très heureux...

Le suivant prend la place libre, encouragé par de grandes tapes amicales de ses copains sur ses épaules. Je sens ses mains calleuses qui patrouillent mon corps et ma chatte. Je les imagine repoussantes de saleté. Lui, à la différence du premier, me pénètre et me besogne sans aucun ménagement, comme si j'étais la vulgaire chèvre qui devait faire de toutes évidences son ordinaire. Ses mains s'emparent de mes seins. Il les soupèse avec un soupir d'aise, et se met à tirer méchamment sur les mamelons, les allongeant cruellement. Je ne suis plus qu'un objet entre ses mains. Sous la douleur, ma tête oscille dans tous les sens. J'implore sa pitié.

Autour de moi, les hommes rient de mes contorsions qui ne font que dévoiler plus encore mes charmes les plus intimes, et qui surtout, montrent bien malgré moi, ma chatte ruisselante de mouille et du sperme de son copain.

Il est encore en train de me baiser la chatte, que déjà un autre type se présente. Il s'installe devant ma figure, et laisse tomber son pantalon en exhibant son sexe. Une odeur épouvantable faite d'un mélange subtil de crasse, de sueur et de ferme s'en dégage. Il a visiblement envie d'une pipe avant de me baiser. L'odeur est trop repoussante, j'ai envie de dégueuler, je tente de garder mes lèvres closes, mais la lame tranchante d'un poignard appliquée sur ma gorge me fait rapidement comprendre que cette idée n'est pas la bonne.

D'une poussée, son sexe immonde envahit ma bouche. Il s'en sert comme d'une chatte, me forçant à le pomper, tandis que son copain, toujours occupé à me baiser active sa cadence. Il ne tarde pas à éjaculer et se retire. J'en suis fort satisfaite. Un de ses copains prend la place vacante. Il me saisit par les hanches comme les deux premiers, mais à la différence des deux autres, lentement mais avec une force terrible, il accentue la cambrure de mon bassin.

Je commence à comprendre où il veut en venir. Il veut m'enculer. Je suis prise de terreur, et je me débats. J'ai toujours détesté çà. Mon mari ne me l'a fait qu'une fois ou deux et encore, après bien des discussions et des bagarres. C'est dégradant pour une femme, et c'est douloureux. Pourtant il m'est impossible de me dégager de cette poigne puissante.

Un sourire mauvais aux lèvres, je ne vois que son air de satisfaction lorsqu'il introduit son gland boursouflé dans mon cul. Comme le premier, il met un temps interminable, une éternité pour me pénétrer. Je sens son sexe remonter centimètres par centimètres dans mon étroit conduit. Je hurle de douleur, je me débats, mais ça ne fait que l'exciter davantage.

Il est maintenant au fond de mon cul, je sens ses couilles battre mes fesses, il ne peut pas aller plus loin. La douleur a fait place à une vague de chaleur qui irradie de mon cul. Je reviens sur mon opinion concernant la sodomie.

C'est maintenant en alternant leurs mouvements que les deux hommes enfoncent profondément leur sexe, l'un dans ma bouche, et l'autre dans mon cul. Je me balance au rythme de leurs pénétrations. Malgré moi, je laisse échapper des râles de plaisirs.

Les types s'en rendent compte immédiatement. L'ambiance change du tout au tout. Mes deux violeurs en tirent visiblement grande gloire auprès de leurs compagnons. C'est maintenant avec plus de force, mais aussi avec plus de douceur, qu'ils me besognent. J'ai bien fait de changer d'attitude.

Bien malgré moi, je réagis de plus en plus, je participe activement maintenant. Mon corps tendu, je réponds par une série de frissons annonciateurs de l'orgasme puissant que je sens venir du plus profond de mon être. J'accompagne leurs mouvements d'une puissante oscillation du bassin. J'enserre de mes jambes pour mieux le retenir celui qui m'encule.

Le type que je pompe, sort de ma bouche. Il n'a pas éjaculé. Je reste sur ma faim. Voyant ma collaboration sincère, les autres types ne me retiennent plus que pour la forme. C'est avec avidité que je me jette sur cette queue qui tente de s'échapper, et je l'avale toute entière. J'enfouis mon visage jusqu'au pubis de l'homme qui, étonné, se met à rire. Son rire est communicatif, et ses copains se marrent aussi. Je m'en fous, je suis une salope.

Mes lèvres se remettent à pomper ce membre qui, un moment, a tenté de s'échapper. Cette fois j'ai bien décidé qu'il ne quitterait plus ma bouche avant de s'y être complètement vidé. J'y mets toute ma science. Ma langue s'enroule sur les bourses incroyablement poilues de l'homme, et y laissent de larges traînées de salive. Je garde fermement mes lèvres serrées autour de sa bite, je la gobe tout entière, et voracement. Je sens le plaisir monter dans sa queue. Bientôt je vais recevoir sa semence dans ma gueule.

Elle arrive, je m'y attendais, mais la puissance de l'éjaculation me laisse pantoise. Malgré mes efforts, je ne parviens pas à retenir tout en bouche. Du sperme s'écoule sur ma figure. De fines coulées se rejoignent sur le globe de mes seins, une goutte s'y forme, et vient perler sur la pointe d'un de mes mamelons. Je laisse s'échapper un long cri perçant de femelle comblée. Je perds conscience.

Devant le spectacle qui lui est offert, l'excitation de l'homme qui m'encule décuple. Il change son rythme et sa puissance. Il ne tarde pas lui non plus à se vider dans mes entrailles. Je suis comblée.

Au-dessus de moi, tout se brouille, je parviens encore à distinguer les deux types hilares,
leur queue encore plantée dans mon corps, se taper dans les mains en témoignage de reconnaissance mutuelle de leur exploit.

Quand je reviens à moi, c'est pour constater que mes jeunes amants m'ont quitté, pour laisser la place à un gros et vieux type qui me baise tranquillement, et sans grande conviction, alternant les mouvements de son bassin avec des rasades de cette ignoble Cervesa. En voyant l'adolescent qui m'a violé ricaner à côté de lui, j'en déduis que çà doit être son père. C'est sur cette dernière vision que je sombre à nouveau dans l'inconscience.

Quand je reviens à moi, je suis seule, étendue en plein air sur cette table ignoble. Je suis exténuée et assommée de jouissance. Je me redresse, et je sens immédiatement un flot de sperme dégouliner de ma chatte et de mon cul. J'ai la bouche pleine de sperme, j'ai beau tenter de le recracher, le goût persiste dans ma bouche. Mon mari lui, est toujours étendu, face contre terre. Une volumineuse bosse orne le sommet de son crâne.

C'est dans un état second, et entièrement nue, que j'entre dans la « taqueras ». Les hommes qui m'ont violée sont là, accoudés au bar. Je ne sais pas pourquoi, mais je me dirige directement vers le premier qui m'a violé, et qui semble être leur chef, l'homme au couteau, celui qui se fait appeler Pedro.

Je m'agenouille devant lui, j'enfonce ma tête amoureusement entre ses jambes. Cet homme rustre, cette bête, m'a comblée. A 35 ans, je sais enfin ce que c'est le sexe. Il m'a révélé ma sexualité. Je suis sa chose. Il est mon maître.

Etonné par mon attitude, il me passe tendrement la main dans les cheveux, tandis qu'en signe de soumission publique, je lui suce une nouvelle fois la queue devant tous ses hommes médusés.


A suivre...


Une pute BCBG. Ch. 07

Une pute BCBG - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes

Une dernière humiliation.

La vie pour Mlle Pinaud avait radicalement changé. Désormais sous la coupe du délégué syndical, Roger, sous peine de se retrouver en prison, Mlle Pinaud était devenue l'esclave sexuelle de tous les ouvriers de l'usine. Une journée pour notre chef-comptable était donc très bien remplie.

Elle arrivait vers 9 h à l'usine. Elle se garait dans le parking. Sortait de sa voiture où en général il y avait deux ou trois ouvriers pour l'aider à descendre. Pas par galanterie! Mais pour se rincer l'œil ; Mlle Pinaud avait maintenant comme instruction de ne mettre que des jupes courtes, des bas et des talons aiguilles les plus hauts possibles. Elle ne devait également ne mettre que des décolletés. Et bien sûr, pas de sous-vêtements.

Elle passait devant le vigile, à qui elle faisait parfois une gâterie. Elle allait pointer et se rendait à son bureau. Ce qui lui prenait plusieurs minutes, ralentie par les multiples attouchements pervers venant de la part des ouvriers, qui devaient vérifier, chaque matin, si elle avait bien mis des bas et ne portait pas de string. Les doigts s'égaraient dans sa fente et on la branlait rapidement. Elle arrivait à son bureau, essoufflée, et en général ne restait pas tranquille très longtemps. Rejointe par Roger celui-ci, selon son envie, exigeait une pipe ou qu'elle se courbe sur son bureau, jupe relevée, jambes écartées, pour qu'il puisse la baiser. Quand la pause du déjeuner arrivait, elle devait de nouveau se mettre à la disposition des ouvriers. Elle se faisait sauter par au moins 5 ou 6 hommes qui la besognaient brutalement. Ils repartaient ensuite travailler la laissant pantelante dans son bureau, recouverte de spermes sur ses vêtements et son corps. Elle se nettoyait tant bien que mal et mangeait rapidement.

Le soir, elle devait dire au revoir à tous les ouvriers en leur faisant une pipe! Elle avait la mâchoire douloureuse à force de sucer toutes ses queues. C'était le pire moment de la journée en fait!

Et justement, Mlle Pinaud attendait, inquiète, l'heure de la fermeture.

Des exclamations la firent sursauter. Dans l'usine, on criait, éclatait de rire.Des cris de protestations également résonnèrent. Curieuse, Mlle Pinaud se leva et alla regarder par la fenêtre de son bureau.

Elle mit sa main sur sa bouche, étouffant un cri, quand elle découvrit ce qui se passait.

Roger ainsi que ses deux acolytes, Carlos et André accueillent Charles, le chauffeur de Guillaume de Saint-Preux. Celui-ci est bâillonné ainsi que Hubert Bourbon Dumas. Derrière eux, titubantes sur leurs talons aiguilles, Mlle Pinaud reconnaît Bénédicte de Saint-Preux ainsi que l'épouse d'Hubert, Marie-Chantal. Elles ne sont vêtues que de leurs sous-vêtements, bas, porte-jarretelles et soutiens-gorges baissés laissant apparaître leurs volumineuses poitrines. Elles aussi sont bâillonnées et des cris de protestations indistincts s'échappent de leurs gorges. Elles ont le regard terrifié devant tous ces hommes qui les regardent déjà avec convoitises.

Elles portent un collier autour du cou avec une laisse, tenues par Maria qui se réjouit déjà de les livrer à tous ces mâles en rut.

Mlle Pinaud aperçu Roger qui lui faisait signe de descendre et son cœur cognant dans sa poitrine, elle obtempéra.

A peine arriver en bas, quatre ouvriers l'encerclèrent et on lui remonta sa courte jupe en cuir laissant apparaître les bas résille qu'elle portait. Ses escarpins noir vernis aux talons aiguilles démesurément hauts la faisaient tituber à chaque pas.

On lui dégagea les seins de son haut et on les lui malmène. On tire sur les tétons, on lèche ses mamelons; Des doigts s'aventurent dans sa chatte. Puis dans son cul, un index et un majeur la branlent sans ménagements. Elle pousse un gémissement. Rejoint par celui étouffé de Bénédicte, courbée sur un atelier de travail et pénétrée par un vieux maghrébin, doyen de l'usine bientôt à la retraite, malgré son âge, il est encore en pleine forme et il besogne la femme du patron avec une joie sadique. Son ventre vient claquer contre les fesses de Bénédicte qui gémit sourdement derrière son bâillon.

Hubert et Guillaume eux, ligotés, bâillonnés, ne participent pas, le sexe à l 'air, c'est la pire des humiliations! Assister impuissants à la déchéance de leurs épouses. Et devant leurs employés qui se moquent d'eux.

Hubert regarde sa femme, à genoux au milieu de l'usine. On lui a retiré son bâillon, elle se débat avec 5 ouvriers qui veulent absolument lui enfoncer en même temps leurs bites dans la bouche.Ce qui n'est pas possible reconnaissons le.

Elle lutte désespérément, crachant une queue pour en reprendre une autre, branlant une troisième.

Marie-Chantal, halète, gémit, la mâchoire déformée par l'épaisseur des bites qu'elle suce du mieux qu'elle peut. Elle donne des coups de langue sur le gland, lèche la hampe, l'engloutit de nouveau.Les rires et les insultes la font frémir de dégoût.

- Putain! Quelle salope, une vraie chienne. Elle suce comme une pro.

Maria, intéressée par Mlle Pinaud a demandé l'autorisation de s'en servir. Grand Seigneur, Roger accepte ; Maria s'est allongée sur le sol et jambes écartées se fait brouter le minou par Mlle Pinaud. Contrainte d'obéir. C'est la 1ere fois qu'elle a une relation de ce genre, sa langue d'abord timide lui titille le clitoris, ses lèvres.Maria appui fermement sur la tête de la chef-comptable à quatre pattes sur le sol crasseux de l'usine, Un de ses bas est filé.Carlos s'approcha par derrière et, pointant sa bite aux proportions impressionnantes, encula Mlle Pinaud qui poussa un hurlement.

Bénédicte sentit que le vieil homme qui la bourrait frénétiquement se vidait sur son dos. Elle sentit le sperme chaud couler.Elle se dit que c'était terminé mais son répit fut de courte durée. André la souleva et l'allongea à terre. Il lui écarta les cuisses et lui lécha la fente, s'introduisant entre ses lèvres intimes. Mme de Saint-Preux, donna un coup de reins et poussa un gémissement. Les yeux hagards, elle sent ce salopard d'André lui donner de grand coups de langue dans son intimité.Et elle mouille, elle sent sa fente s'humidifier, la cyprine couler. Elle secoue la tête de droite à gauche. André se releva, souleva ses jambes et la pénétra en poussant un rugissement. Il s'agita entre ses cuisses. La pénétrant de plus en plus loin. Bénédicte répond à ses coups de reins en ondulant du bassin. Elle gémit.

André la retourna brutalement et la positionnant à quatre pattes comme une chienne prête pour la saillie, il l'encula.

Au comble de l'humiliation, Marie-Chantal, à quatre pattes également doit lécher le trou du cul d'un des ouvriers de l'usine pendant que l'autre lui déchire sa chatte tout en lui donnant des claques sur les fesses.

- Allez salope de bourgeoise, nettoie lui le cul, après, on te prendra en double.

Marie-Chantal frissonne. Elle veut protester mais on appuie sur sa tête, la tenant par les cheveux et elle lèche l'anus de son ouvrier.

On la tira en arrière et on la mit debout. Ses seins sont malaxés par plusieurs mains.Un ouvrier s'allonge à terre, la bite dressée et elle doit s'empaler dessus avec une grimace.Puis, penchée en avant, elle sent le gland d'une queue forcer son anus. Elle pousse un grognement. Empalée, enculée, les deux bites commencèrent à coulisser, ses gros seins ballottant, elle ne tarda pas à gémir.

La fin des festivités arrivant, Charles et Roger positionnèrent Bénédicte, Mlle Pinaud et Marie-Chantal au milieu de l'usine. Tous les ouvriers en cercle autour d'eux. Se branlant mécaniquement. Elles durent ouvrir la bouche pour recevoir la semence des ouvriers. On leur éjacula sur le visage, certain cherchant à viser les yeux, le nez, les lèvres. D'autre préférèrent se vider directement dans leurs bouches, les contraignant à avaler leurs foutres. Certains lâchèrent des giclées de sperme qui atterrirent sur leurs seins qu'elles durent se nettoyer mutuellement après. Léchant à petits coups de langue, le liquide poisseux.

Les trois femmes, recouvertes de sperme, se relèvent péniblement. Hubert et Guillaume, humiliés, effondrés, observent leurs femmes, le regard perdu.

Charles et André s'approchent...

- Pour un début, c'était pas mal, estime André, mais il faudra nous les ramener.

- Bien sûr, pas de problème.

Nos deux bourgeoises, épouses respectables et respectées, se regardent : Elles ont compris que leur vie ne sera plus comme avant.

Et comme pour le confirmer, Charles les interpella :

- Eh les salopes! Et nous? Faudrait voir à ne pas nous oublier! Venez nous vider les couilles!

Devant leurs maris, Bénédicte et Marie-Chantal s'accroupirent, et commencèrent leurs dernières fellations de la journée.

Il y en aurait d'autres.

Beaucoup d'autres..


Fin


mercredi 20 février 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 01

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Soumission d'une belle-mère.

L'histoire qui suit a commencé il y a près de 10 ans alors que moi-même j'avais 20 ans.

Après avoir été viré par mes parents, je suis parti vivre dans la maison de ma petite amie du moment. Dans cette maison, vivaient les parents de ma copine. Sa mère Christine avait 39 ans et son père Alain 44 ans. Elle avait aussi une sœur, Alice qui allait sur ses 17 ans.

Au début j'étais un peu gêné par la cohabitation. Mais, comme au bout de deux mois, ma copine s'est vu offrir un stage à l'étranger avec une opportunité de travail, sa mère Christine, qui était toujours très gentille avec moi, me proposa de rester tant que je voulais. Elle savait en effet que je ne pouvais pas retourner chez mes parents.

Les six mois suivants, j'allais et venais comme je le souhaitais. Et la famille était contente que je donne 150 euros de loyer par mois.

C'est pendant cette période que je me suis rendu compte que le père de famille Alain était constamment en colère. Il était souvent parti pour de longues durées mais lorsqu'il rentrait du travail, il était toujours complètement saoul et en profitait pour insulter sa femme. Il la traitait de pute et de grosse salope avant de monter à l'étage et s'écrouler ivre.

Elle passait ses soirées au salon, regardant la télévision attendant qu'Alain s'endorme pour se faufiler dans le lit.

Un jour, une dispute attira mon attention. J'entendis Christine crier à Alain :

- Comment oses-tu me traiter de pute alors que tu vas baiser partout aux alentours!

Et en descendant rapidement les escaliers elle ajouta :

- Voilà pourquoi tu ne m'as pas touché depuis trois ans!

- Désolé! Me dit-elle alors qu'elle alla s'enfermer dans la salle de bain en pleurant.

A partir de ce moment, j'ai commencé à regarder Christine différemment. Elle n'avait pas fait l'amour durant ces trois dernières années, depuis ses 36 ans.

Alors, au lieu de sortir en soirée, d'aller au Bistrot, je restais à la maison afin de tenir compagnie à ma logeuse.

Un jour, alors que j'étais seul à la maison, je suis tombé sur ses sous-vêtements et fus agréablement surpris de me rendre compte que sa lingerie était très sexy. Pour une femme en manque depuis si longtemps, elle savait toujours comment se sentir séduisante.

Au cours des mois passés, en la voyant porter des hauts serrés, je savais qu'elle avait de très beaux seins ce qui m'a été confirmé par l'étiquette d'un soutien-gorge indiquant un 95 D.

Dans sa table de chevet, je trouvai un canard en plastique. Je devinai son utilisation immédiatement. Ce jouet était sûrement la seule chose qui avait aidé sexuellement Christine durant ces trois dernières années.

Alors, au cours des prochaines semaines, je commençai à prendre des douches en laissant la porte entrouverte alors que je savais que Christine n'était pas très loin. Le matin, alors qu'elle se préparait pour le travail, je me levai nu et marchai jusqu'aux toilettes sur le palier.

Puis, mes horaires de travail ayant changé, je commençai plus tard et donc j'étais toujours à la maison lorsqu'elle se préparait.

Elle était gestionnaire dans une grande entreprise dans la ville voisine. Elle se levait à 7 heures pour partir au travail à 8 heures.

Donc je pris l'habitude de laisser ma porte de chambre ouverte la nuit afin de la voir passer le matin pour aller de sa chambre à la salle de bain.

Alors que normalement j'avais un aperçu d'elle, une courte serviette enroulé autour de ses gros seins, au bout de quelques semaines, je remarquai un changement subtil dans son comportement. Elle allait à la salle de bain avec juste une nuisette puis en revenait en culotte et soutien-gorge. Un jour, elle n'avait qu'une petite culotte, ce qui me permit d'admirer sa belle poitrine nue.

Puis un matin, un mercredi car je me souviens que nous étions en milieu de semaine, attendant que Christine se lève, je poussai ma couette afin que mon sexe soit bien visible. Puis, tout en faisant semblant de dormir, je me tournai de telle sorte qu'elle puisse bien voir.

Lorsqu'elle passa dans sa nuisette, elle jeta un coup d'œil mais continua jusqu'à la salle de bain. Puis j'entendis la douche. Mais à la différence des autres jours, lorsqu'elle est revenue, elle s'est arrêtée un court instant, ses yeux se posant sur ma verge. Ce matin-là, elle passa devant la porte à huit reprises, soit trois fois plus que d'habitude, tout en s'arrêtant pour jeter un coup d'œil. La sixième fois, la porte grinça un peu alors qu'elle essayait d'avoir une meilleure vue. La septième fois, entre mes paupières presque closes, je la vis dans ma chambre presque au pied de mon lit. Elle y resta près d'une minute puis disparue dans sa chambre.

Lorsqu'elle en ressortit, complètement habillée, de nouveau elle jeta un regard insistant sur mon lit puis elle se tourna vers les escaliers, avança puis s'arrêta. Je suppose qu'elle combattait la petite voix dans sa tête qui lui disait de revenir en arrière pour regarder encore.

Redémarrant, et attrapant la rampe de l'escalier, elle s'arrêta de nouveau, se retournant pour regarder la porte de ma chambre.

En fin de compte, la voix coquine dans sa tête eut raison d'elle, femme négligée sexuellement depuis trois ans. Doucement, elle revint dans ma chambre, la chambre du petit ami de sa fille, et s'approcha à moins d'un pas de ma nudité.

C'est alors que j'ai ouvert rapidement mes yeux. Christine sauta en reculant. Mais ma main droite réussit à saisir son poignet avant qu'elle ne fuit.

Ma main gauche saisit ma bite et commença à coulisser afin de la faire grossir devant ses yeux.

Aucun de nous deux ne parla jusqu'à ce que mon sexe soit debout, en totale érection, 18 cm de long et aussi large que le poignet de Christine. Alors que ses yeux étaient posés sur mon membre elle déclara :

- Je ne devrais pas être ici, je dois aller travailler.

Pourtant je ne sentais pas beaucoup de résistance alors que je tenais toujours son poignet.

- Christine? Vous savez bien que si vous êtes ici c'est que vous voulez être ici!

- Non, je dois y aller! répondit-elle

Mais comme elle n'essayait pas de retirer son poignet je savais que ses mots étaient en contradiction avec ses envies.

- Nous savons bien tous les deux que vous ne voulez pas partir au travail n'est-ce pas?

Elle ne répondit pas cette fois-ci et n'essaya pas non plus de s'éloigner. Je décidai alors de ne pas laisser passer l'occasion.

Lentement, tout en lui parlant, je l'ai tiré vers moi afin qu'elle se tienne à côté du lit au niveau de ma poitrine, ma main droite tenant toujours son poignet gauche.

- Maintenant, Christine, vous allez prendre ma bite avec votre main droite

Elle hésita, mais leva lentement la main, la déplaça vers mon membre tendu. Alors qu'elle était à moins de 5 centimètres, elle arrêta son geste, le doute se glissant dans son esprit, la raison se débattant avec la voix coquine dans son esprit. Mais une fois de plus, la voix gagna. Sa main ouverte se déplaça et je sentis ses doigts fins et lisses entourer ma verge pour la première fois. Alors qu'elle fermait sa main sur mon membre, je fus fier de constater qu'il y avait encore un écart entre son pouce et son index.

En regardant sa main lisse avec ses ongles peints en rose, je libérai son poignet.

Comme je l'espérai, Christine n'a pas bougé ni lâché ma bite.

- Maintenant, branlez-moi Christine! ai-je demandé.

De nouveau elle hésita, mais seulement une fraction de seconde. Puis elle serra légèrement sa prise puis tira vers le bas, libérant la tête de mon gland, sur lequel il y avait une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire. Sa main remonta jusqu'à couvrir le bout de ma queue puis elle redescendit.

Gardant cette technique en rythme pendant quelques minutes, le résultat fut que j'éjaculai. Mon membre ainsi que la main et les doigts de la femme deviennent visqueux.

Durant tout ce temps le regard de Christine était resté sur mon bas-ventre si bien qu'elle s'est à peine rendu compte que ma main droite était maintenant entre ses jambes.

Inconsciemment, elle a écarté un petit peu ses pieds et mes doigts ont eu un accès plus facile aux plis de sa chatte.

A ce stade, je décidai de retirer ma main afin de tirer sur la fermeture éclair qui ferme sa jupe grise. Puis en tirant un peu sur celle-ci, elle descendit et tomba sur le sol à ses pieds.

Pour la première fois, elle baissa les yeux mais je vis dans son regard qu'elle ne voulait pas stopper ce qu'il se passait. Avec plus de vigueur, elle recommença à me branler afin que mon membre regrossisse.

Je pris un moment pour admirer ses jambes gainées de bas noir ainsi que son cul magnifique dans une petite culotte de dentelle noir.

- Arrêtez de me branler Christine et enlevez votre veste et votre chemisier!

Même si je devais stopper, pendant quelques minutes, le plaisir qu'elle me donnait, j'avais trop envie de voir ses seins. Elle enleva sa veste grise puis déboutonna son chemisier bleu.

Alors que chaque bouton était défait, son décolleté impressionnant s'ouvrit sur un soutien-gorge noir assorti à la culotte. Enfin le chemisier rejoignit la jupe sur le sol.

- Vous êtes magnifique, à faire bander un eunuque! Rapprochez-vous un peu!

Elle enleva la jupe autour de ses chevilles et s'avança au niveau de ma tête, sa petite culotte mouillée à courte distance de ma bouche.

- Inclinez-vous!

Elle se pencha en avant. Je détachai son soutien-gorge et fut étonné de voir ses seins tomber sur ma poitrine. Je lui dis de rester penchée alors que je laissai le soutien-gorge rejoindre le reste des vêtements à terre.

J'ai approché ma tête de ses nichons puis j'ai pris son mamelon gauche dans ma bouche afin de le sucer. Elle laissa échapper un petit gémissement. Ma langue travailla son petit téton qui devint très dur.

Quand je me retirai, son mamelon était engorgé et pointait au milieu de l'auréole sombre de son sein.

En lui montrant ma bite gonflée par les derniers événements, je lui dis :

- Maintenant je veux que vous vous releviez et que vous vous tourniez vers mon engin!

Tout en poussant son dos avec la paume de ma main afin qu'elle comprenne ce que je voulais, j'ajoutai :

- Penchez-vous et sucez-moi Christine!

J'eus le sentiment qu'elle n'aurait plus aucune hésitation maintenant alors que je voyais qu'elle baissait volontairement la tête et que ces lèvres recouvertes de rouge à lèvres s'ouvraient pour ma bite.

Moi-même je gémis quand la mère de ma copine engouffra mon membre dans sa bouche. C'était délicieux. Je levai à nouveau la tête afin de la regarder faire. Elle utilisa sa main droite pour saisir la base de ma queue puis elle ouvrit la bouche très largement afin d'essayer de faire entrer mon sexe à l'intérieur de sa bouche humide et chaude. Finalement, après environ deux ou trois minutes et un peu de salive, en étirant bien ses lèvres, 12 ou 15 centimètres de ma bite étaient dans sa bouche alors que ses lèvres touchaient sa propre main.

Je suis retombé en arrière dans le lit et j'ai savouré cette fellation pendant cinq bonnes minutes. Puis j'ai attrapé sa culotte pour la descendre au niveau des genoux et je lui ai demandé d'écarter ses jambes autant que sa culotte lui permettait.

Elle a ouvert ses jambes jusqu'à ce que sa culotte soit tendue entre ses deux genoux. Je mis ma main entre ses cuisses, et je pris le temps de frotter avec mon index les plis charnus de sa chatte humide puis ayant trouvé son clitoris, je poussai mon doigt dessus.

Sortant ma bite de sa bouche, elle hurla subitement et bruyamment comme une adolescente qui n'avait jamais été touchée auparavant.

- Continuez à me sucer! Lui dis-je

Elle se remit au travail immédiatement.

Je continuai à doigter son clito alors que mon pouce pénétrait son trou humide. J'étais surpris de sentir comment sa chatte était serrée après deux enfants. Je voulais en profiter et la baiser.

- Votre chatte est fantastique Christine. Je ne peux pas attendre, je veux vous pénétrer.

Elle n'a même pas arrêter de sucer pour protester ou m'interdire de la baiser. Un autre signe qui me montrait que toute résistance avait complètement disparue.

Pendant cinq minutes, nous nous sommes faits mutuellement plaisir, elle avec ma queue dans sa bouche, et moi avec un doigt coincé en permanence sur son clitoris alors que deux autres doigts investissaient sa chatte.

Puis je lui ai demandé de se mettre à cheval sur mon visage. Je voulais goûter son jus avant de la pénétrer.

Elle se leva, finit d'enlever sa culotte pour la jeter avec les autres vêtements. Puis elle monta sur le lit afin d'abaisser sa chatte sur ma bouche.

- OH PUTAIN OUI! déclara-t-elle bruyamment.

Ce fut les premières paroles de Christine qui indiquaient son plaisir. Mais un instant plus tard, elle cria de jouissance alors que ma langue avait trouvé son clitoris. Elle serra ma tête avec ses cuisses poussant son bassin afin que ma langue s'enfonce profondément dans son trou. Pendant 10 secondes l'orgasme la fit trembler. Tant d'années de frustration et refoulement s'effacèrent dans son cri.

Alors que je sentais le doux arôme de sa chatte, je sus que ce ne serait pas la dernière fois que je la goutterais.

Alors que Christine baissa la tête et aspira ma bite le plus profond qu'elle pouvait au fond de sa gorge, je lui demandai :

- Savez-vous que vous avez un goût incroyable Christine?

Elle ne répondit pas. Et cela ne me dérangea pas alors qu'elle faisait glisser sa bouche rapidement de haut en bas le long de mon membre. Je sentis que je ne pourrais pas tenir encore longtemps si elle continuait sur ce rythme.

Mais je voulais me trouver dans une position où je pourrais avoir le contrôle. Alors je l'ai poussée sur le côté, afin qu'elle glisse à genoux sur le côté du lit. Puis je me suis levé au-dessus d'elle pour la première fois.

Ses grands yeux bruns se levèrent sur ma bite qui se balançait au niveau de son visage. Je vis dans son regard que l'excitation était toujours là.

- Sucez-moi encore!

Elle se releva légèrement sur les genoux et recommença à me sucer avec la même vigueur qu'auparavant. Moins d'une minute plus tard, j'étais de nouveau près de l'explosion. J'ai failli lui dire que j'allais éjaculer mais en fin de compte je décidai que la surprise serait plus excitante.

Alors qu'elle enfonçait ma queue au fond de sa gorge, j'utilisai ma main gauche pour tenir sa tête en place. Elle me regarda comme si elle savait ce qui allait se passer. J'éjaculai une première décharge de sperme et ses yeux s'agrandirent alors que sa bouche se remplissait.

En sortant ma bite de sa bouche, je luis dis :

- Avale!

Puis une autre décharge sortit de mon sexe, atterrissant sur le côté droit de son nez, couvrant le coin de l'œil et glissant au-dessus de sa lèvre supérieure.

Enfin, tenant ma verge droite, la dernière décharge tomba sur son menton et ses seins.

- Tu as l'air encore plus sexy avec mon sperme sur ton visage Christine. Maintenant, remets ma bite dans ta bouche!

Elle n'accorda pas d'attention aux fluides sur son visage et se relevant légèrement sur ses genoux, elle recommença à sucer ma bite qui n'avait pas perdu toute sa dureté.

Je voulais récupérer un peu et quoi de mieux que la mère de votre amie, le visage recouvert de sperme, pour être excité. J'étais maintenant prêt à enfiler sa chatte pour la première fois.

- Lève-toi et allonge-toi sur le lit les jambes écartées afin que ton sexe négligé retrouve une vraie bite!

Sans parler ou protester, elle s'allongea en travers de mon lit, son derrière près du bord. Puis elle ouvrit les jambes et les tira en arrière utilisant ses mains derrière ses genoux.

Je mis mes paumes sous ses fesses pour la tirer un peu plus près du bord, vers mon membre, excité à la perspective d'entrer à l'intérieur de son sexe humide.

Je guidai mon gland jusqu'à l'ouverture mouillée, puis le frottai le long de sa fente pour venir buter sur son clitoris.

Christine tressaillit alors que ma bite frottait son clitoris puis elle retint son souffle alors que je levai ma queue pour frapper par trois fois son clito. Enfin, je déplaçai mon sexe vers le bas, et trouvant l'ouverture, je rentrai juste la tête. Je savais que ma bite allait la remplir entièrement.

En regardant Christine dans les yeux, lentement, j'avançai les hanches et poussai mon membre dans cette mère de famille. Ce fut une sensation incroyable de sentir cette chatte ouverte et serrée autour de mon bâton alors qu'elle avait le visage en arrière et les yeux fermés. Ses doigts étaient blancs alors qu'ils serraient ses cuisses.

- AHHHHHHHHH! AHHHHHHHHHHH! AHHHHHHHH! cria-t-elle

Elle gémit profondément jusqu'à ce que ma bite soit totalement entrée en elle, mes couilles battant son anus. Je regardai sa chatte, étant ravi qu'elle soit complètement remplie, son clito pointant vers moi. J'eus l'idée de le rouler entre mon pouce et mon index.

- OHHHHHHHHH! Baise-moi! gémit-elle

Elle répéta sa demande alors que je continuais à taquiner son clitoris.

- Tu veux bien te faire baiser maintenant Christine? lui demandai-je

- Oui! dit-elle doucement.

C'était ce que je voulais entendre. Alors je retirai un peu ma bite sans la sortir complètement pour la rentrer violemment de nouveau le plus profondément possible. Ce qui fit hurler de façon incontrôlable la mère de famille.

Je répétai le mouvement quatre ou cinq fois, la faisant crier de plus en plus.

La sixième fois, elle lâcha ses jambes pour les mettre autour de mon dos, me tirant ainsi plus profond dans son sexe affamé.

Alors qu'elle me tenait, elle jouit et sa chatte se serra sur ma bite pendant un moment. Son visage était de côté mais ses yeux étaient ouverts alors que de nombreuses années de frustration disparaissaient.

Alors que son corps se détendait, je commençai des vas et vient soutenus dans sa chatte. J'ai donné tout ce que je pouvais pendant dix à quinze minutes jusqu'à ce que je dégouline de sueur sur ses gros seins.

Pendant toute la session, nos yeux se rencontrèrent et je pensai qu'elle était fantastique avec mon sperme sur le visage et ma bite en elle.

Je savais que je n'étais pas loin de l'éjaculation alors je repoussai ses jambes en arrière vers sa tête afin de m'enfoncer encore plus profondément.

- OHHHHHHH! OHHH MON DIEU! JE JOUIS! OHHHHH cria-t-elle en serrant les dents.

Cette fois-ci je ne la laissai pas entourer mon corps de ses jambes mais au contraire, je poussai ses jambes encore plus loin en arrière alors qu'elle inondait ma bite de son jus.

- Es-tu prête à recevoir ma semence Christine? Lui demandai-je.

- Pas en moi s'il vous plaît! Répondit-elle.

- Qu'est-ce que tu croies? Je vais te remplir!

- Pas en moi! Sur mes seins plutôt! Demanda-t-elle de nouveau.

- Je ne pense pas!

Alors que je lui répondais, je poussai ma bite tout au fond et je la regardai dans les yeux alors que mon sexe crachait mon sperme dans son ventre. Je restai dans cette position le temps que mes bourses se vident puis je souris tout en lui essuyant le sperme sur sa lèvre supérieure.

Puis je me penchai sur elle et je l'embrassai, ma langue forçant sa bouche jusqu'à ce qu'elle me rende mon baiser. Pendant ce temps, je retirai mon membre de sa grotte humide.

Saisissant ses vêtements elle dit :

- Je dois aller au travail!

Elle enfila sa culotte sur son sexe détrempé par le mélange de nos fluides puis courut à la salle de bain pour nettoyer son visage. Ensuite elle disparut rapidement dans les escaliers. Puis j'entendis la voiture s'éloigner.

Je roulai sur le lit avec un grand sourire de satisfaction. J'étais impatient d'être en soirée pour voir revenir Christine et savoir le tour qu'allait prendre notre relation.

A suivre...

Susan et les bidouilleurs de PC Ch.01

Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

Une jeune femme tombe dans le piège tendu par 2 ados.

Elle appelait frénétiquement tous ses amis à la recherche de quelqu'un capable d'intervenir sur son PC. Elle ne savait pas ce qu'elle avait fait, mais elle avait effacé des fichiers importants pour les affaires de son mari.

Elle avait quasiment épuisé toutes ses ressources lorsque qu'une membre de l'association informatique local l'appela. Elle lui demanda si elle connaissait quelqu'un susceptible de régler ses problèmes, la femme répondit non de prime abord, puis se souvint d'une connaissance de son fils. Elle poursuivit qu'elle pourrait en toucher un mot à son fils, mais son ami lui semblait bizarre et elle n'aimait pas trop le voir chez elle.

Madame Hutchinson n'avait pas vraiment écouté ses réserves et lui dit qu'elle serait très heureuse s'il parvenait à remettre en ordre son PC.

De retour des magasins le matin suivant, un message la prévint qu'un jeune homme nommé Gary l'appellerait dans la journée et verrait ce qu'il pouvait faire pour elle. Juste après le repas, la sonnette de la porte carillonna. Deux jeunes d'environ 18 ans se tenaient sur le palier.

- Bonjour madame, Je suis Gary. Vous avez un problème d'ordinateur ?

- Oh oui ! Je vous en prie, entrez !

Ils la suivirent,

- L'ordinateur est dans la chambre d'ami si vous voulez bien me suivre.

Les deux jeunes se poussèrent du coude en reluquant sa croupe moulée dans son jean étroit.
Elle les introduisit dans une petite chambre meublée d'un lit à deux places, l'ordinateur se trouvait sur une table le long du mur. Gary prit place sur une chaise, son pote Ray s'assit sur le lit. L'ordinateur allumé, il s'enquit du problème.

- Croyez-vous pouvoir y remédier ?

- On peut toujours essayer, et maintenant si vous descendiez nous préparer une bonne tasse de thé.

- L'insolent. Pensa-t-elle avant qu'ils l'appelent à nouveau.

- Et n'oublie pas les biscuits.

Quand elle revint, apportant le thé et les biscuits, Gary l'interrogea :

- Hé bien, madame Hutchinson, vous avez vraiment fait fort.

- Oh non, pensez vous pouvoir réparer ma bêtise, oui ou non ?

-J'espère bien y arriver, mais vous mériteriez une bonne punition ! Ricana-t-il railleur.

- Vous avez raison. Rit-elle nerveusement.

- Mais j'ai besoin de m'en servir avant le retour de mon mari qui rentre demain. Pourrez vous le réparer aujourd'hui ?

- Je ne peux pas vous répondre comme ça.

- S'il vous plaît, réparez-le, j'en ai besoin aujourd'hui même. Je vous paierai bien.

- Bien, bien, bien, on va voir ce qu'on peut faire.

- Oh merci. Dit-elle soulagée en posant une main légère sur l'épaule de Gary.

- Je suis en bas si vous avez besoin de moi.

- Ok madame Hutchinson, on vous appellera dès qu'on aura besoin de vous.

Le problème était facile à résoudre, mais ils jouèrent sur le PC tout en peaufinant leur plan.

- C'est bon, appelle là, on va lui mettre le marché en main.

Il se pencha au dessus de la rampe et la héla :

- Madame Hutchinson, on a besoin de vous dans la chambre.

- J'arrive,

- Vous feriez mieux. Glissa-t-il sourdement à son copain.

Elle apparut dans la chambre.

- Avez vous réussi ? Les interrogea-t-elle anxieuse.

- Venez ici et asseyez-vous, nous allons vous montrer. Dit Gary en désignant le lit du doigt.

Il se leva pour la laisser passer. Elle s'assit sur le lit à coté de Ray, Gary occupant la chaise de bureau. Celui-ci cliqua sur quelques icônes et forma une liste de fichiers pour l'impressionner.

- Vous voyez ? Lui demanda-t-il.

- Non pas vraiment, mais je suis très contente que vous ayez pu réparer ma bêtise et je paierai un bon prix pour vous remercier.

- C'est d'accord en ce qui me concerne. Répliqua Gary.

- Mais avant nous aimerions que vous nous fassiez une faveur.

Toute surprise elle répéta :

-Une faveur ? Qu'entendez-vous par là ?

- Puisque nous te rendons un grand service, nous aimerions que pour nous remercier tu nous montres ton adorable petit cul et tes nichons.

- Quoi !!!!! Hurla-t-elle sautant sur ses pieds.

- Comment osez-vous me proposer ça ? Et maintenant laissez-moi passer ou ça va faire mal !

Gary restait assis calmement, il s'attendait à cette réaction.

- Avant de monter sur tes grands chevaux, tu ferais mieux de jeter un coup d’œil sur ceci madame Hutchinson. Lui rétorqua-t-il désignant l'écran.

Elle se tut et regarda.

- Cette liste contient tous les fichiers présents sur ton ordinateur, je peux aisément les effacer définitivement. Comment expliqueras-tu ça à ton mari ?

- Je... Je suis désolée de vous avoir offensé. Je suis flattée de votre demande, mais je ne peux pas… ET je ne veux pas... Qu'en dites vous ?

- Rassieds toi ! Lui intima-t-il.

- Discutons d'un bon prix. Dit- elle en reprenant sa place sur le lit.

Gary ouvrit un fichier qui ne contenait que du texte avec pour en-têtes des noms de hauts fonctionnaires.

- A partir de cet instant, madame Hutchinson, on va faire un petit jeu.

- Laissez tomber les gars, je veux juste discuter du prix de votre intervention.

- Vous feriez mieux d'écouter les règles madame Hutchinson. La prévint sèchement Ray.

- Mais... Je... 

- Vous voyez ces 10 fichiers ? Ce sont les plus importants dans cet ordinateur. Et maintenant on va te poser quelques questions madame Hutchinson.

- Que... Quelle sorte de questions ?

- Des questions dont tu connais les réponses, mais si tu refuses de répondre, j'efface un fichier. A ce moment je pourrai encore revenir en arrière si tu réponds correctement à la question posée et aux suivantes. Comprends-tu bien ?

Le tutoiement instaurant un rapport de dominant à dominé lui était venu tout naturellement, et comme justement ils voulaient plier cette chère madame Hutchinson à toutes leurs volontés...

- Non, non pas vraiment.

- Tu comprendras mieux en jouant. Pour commencer quel est ton prénom ?

- Susan.

- C'est ça, mais tu aurais du employer la formule correcte : Je m'appelle Susan. T'as compris ?

- Je crois que oui.

- Bon, et bien alors Susan, qu'elle est la taille de tes nichons ?

- Quoi ! Vous ne pouvez pas me demander des choses comme ça ! S'insurgea-t-elle en croisant instinctivement les bras sur sa poitrine.

- Mauvaise réponse. Commenta-t-il en effaçant deux fichiers.

- On non. Haleta-t-elle éperdue.

- Dans ce jeu on peut te poser toutes les questions qu'on veut. Et maintenant aimerais-tu que je rappelle les fichiers disparus ?

- Oh oui, remettez les en place. Je vous en prie . Le supplia-t-elle misérablement.

- Alors réponds à ma question, et correctement, quelle taille font tes nibards ?

Elle savait qu'en fait elle n'avait pas vraiment le choix.

- Ça va, ça va. Du 100 C je crois...

- C'est bien et maintenant tes autres mensurations ?

- Je ne suis pas sûre, mais je pense que ce doit être 90-62-90 où quelque chose comme ça.

- Voilà c'est mieux. Tu sembles en forme Susan, et maintenant c'est au tour de Ray de te poser quelques questions.

- Bon, à nous deux Susan. Quand t'es tu faite baiser pour la dernière fois ?

- Vous êtes fous ou quoi ? IL n'est pas question que je réponde à ce genre de question.

- Mauvaise réponse . Grinça calmement Gary en effaçant 3 fichiers.

- A toi de jouer Susan, il sont encore en balance.

- S'il vous plait...

- Un click et ils disparaissent à jamais.

- D'accord. Soupira-t-elle pitoyablement.

- Vendredi de la semaine dernière.

- C'est tout ? Je veux que tu répondes en y mettant les formes ma douce.

- Je pense que j'ai baisé pour la dernière fois vendredi de la semaine dernière.

Elle ne parlait jamais de ces choses avec qui que ce soit et elle n'avait jamais utilisé le terme baiser. Elle ne comprenait pas le sens de tout ceci, elle frissonna d'appréhension.

- Par qui ? L'interrogea Ray.

- Mon mari bien sur !

Les questions des deux jeunes se faisaient plus intimes.

- As-tu joui ? Lui demanda alors Ray.

Elle vit la souris pointer un fichier.

- Non je n'ai pas joui ! Répliqua-t-elle rapidement.

- Ton mari te fait-il encore jouir ? Ajouta Gary, qui venait de souligner un fichier en surbrillance en guise d'avertissement.

- Il me fait parfois jouir.

- Cela arrive-t-il souvent ?

- Assez rarement, Dut-elle concéder.

Ray reprit :

- Comment une jeune femme aussi sexy que toi le supporte-t-il ? te masturbes-tu ?

- Dois je vraiment répondre à cette question? Demanda-t-elle bien que connaissant déjà la réponse.

Gary bougea la souris.

- Eh oui, il m'arrive de me masturber.

Ils ne pouvaient plus revenir en arrière désormais.

-Quand tu te donnes du plaisir ma chère Susan, te sers-tu de tes doigts ou d'autres choses ?

Elle répondit :

-Je me sers parfois de mes doigts, et parfois de…

Elle s'arrêta net.

- Oui Susan ? De quoi ? 

- Mon... Mon vibromasseur.

- Bordel, t'as un vibromasseur. Où se trouve-t-il ? Se réjouit Ray hilare.

- Quoi ?

- Où est il ? Jusqu'ici, je n'en ai vu que sur internet.

- Dans le tiroir de mon bureau. Dit-elle le désignant du doigt.

- Sors le qu'on voit à quoi ça ressemble en réalité.

Elle se leva et se pencha sur le bureau alors qu'ils se souriaient l'un à l'autre dans son dos. Elle se rassit, le vibro entre les mains. Ray s'en empara.

- Ainsi c'est ton petit pénis artificiel. Qu'en pense ton mari ?

- Il n'en sait rien,

- Très bien. Je suppose que cela ne te pose aucun problème de t'en servir ?

- Non.

- Quand t'en es tu servi la dernière fois Susan ?

- Je m'en suis servi pour la dernière fois hier !

Sur ces mots, Gary quitta le bureau et s'assit sur le lit à coté d'elle.

- Tu as bien fait de répondre Susan, tu as tous les fichiers sous les yeux. Te rappelles-tu qu'au départ on réclamait une faveur ?

- Non. Mentit-elle sans vergogne.

- Tu mens Susan, je suis sûr que tu t'en rappelles.

- Vous vouliez me... toucher.

- Pas seulement te toucher, mais te palper tout le corps.

- Mon ventre, mes tétons, et mes fesses.

- Bien, es-tu prête à nous accorder cette faveur maintenant ?

- Effacerez-vous les fichiers si je refuse ?

- Peut-être bien qu'oui, peut-être bien que non, c'est à toi de voir Susan, mais tu n'as pas toute la journée pour te décider.

Elle savait qu'elle aurait pu tenter de les bluffer, mais elle avait l'esprit confus, et une certain part d'elle-même voulait savoir jusqu'où ils iraient,

- C'est d'accord. Souffla-t-elle misérablement.

- C'est d'accord pour quoi ma petite Susan ?

- Vous... Vous pouvez me palper les nichons.

- Bordel à cul !. S'esclaffa Ray en posant le vibromasseur alors qu'ils la regardaient avec attention.

Elle inclina la tête et ferma les yeux alors qu'ils prenaient chacun un de ses nibards en main et entreprenaient de les peloter lascivement.

- Ce n'était pas supposé me donner du plaisir. Pensa-t-elle fugitivement.

Elle sentait des sensations aussi excitantes que coupables la gagner. Elle n'avait pas remarqué que Ray avait extirpé le bas de son corsage de la ceinture de son jean. Elle revint sur terre en réalisant que Gary déboutonnait son chemisier. Elle était déjà ouverte jusqu'au nombril lorsqu'elle lui saisit la main.

- Non, non vous ne devez pas faire ça.

- Tu as bien dit qu'on pouvait te peloter les seins Susan ?

- Oui... Mais... Mais cela ne voulait pas dire...

Comme elle retenait la main de Gary bloquée sur son ventre, Ray saisit cette opportunité et dégrafa le clip de son soutien-gorge dans son dos.

- Hey. Grogna-t-elle cherchant à le réagrafer.

Comme elle tâtonnait, Ray déboutonna tranquillement les trois derniers boutons de son corsage. Ils lui enlevèrent vivement son soutien gorge, anéantissant tous ses efforts pour le garder. Ils reprirent ses tétons en main alors qu'elle laissait retomber ses bras le long de son corps.

- Couche toi sur le dos ! Lui intima Ray.

Ils l'allongèrent sur la couche et prirent chacun un de ses bras qu'ils lui bloquèrent au-dessus de la tête.

- Reste étendue pendant qu'on s'occupe de tes nibards. Lui conseilla Ray.

- Mais…

Ce fut sa seule protestation. Ils ne se servaient pas que leurs doigts, mais aussi de leurs lèvres, de leurs dents, de leur langue. Elle avait toujours eu les tétons très sensibles, et elle aurait aimé que son mari leur prête plus d'attention. Elle se mordit les lèvres cherchant à refréner le gémissement qui lui venait aux lèvres. Gary lui mignotait un nibard avec tendresse, alors que Ray se montrait plus rude, mordillant et étirant celui qu'il avait en bouche. Sa tête roulait de droite à gauche alors que le plaisir la gagnait.

Elle remarqua soudain qu'une main s'était posée sur chacun de ses genoux et rampait sur ses cuisses. Elle resserra fortement les jambes. Elle comprit alors comment les choses allaient tourner. Le fait de resserrer ses cuisses n'avait pas arrêté les deux jeunes. Leurs mains palpaient avidement, et soudainement, remontèrent jusqu'à son entrejambe qu'elles empoignèrent brusquement.

- Ohhhhh… Gémit-elle incapable de retenir ses soupirs.

- Non... Nonnnnn... Vous ne devez pas me toucher... Ohhhh... A cet endroit de mon corps...

Comme ils travaillaient ses nichons, elle put descendre ses mains le long de son corps. En dépit de ses protestations, ses jambes s'étaient légèrement écartées,et Ray lui frottait la fourche.

- Pourquoi serres tu les cuisses Susan, n'aimerais-tu pas ça ?

- Vous aviez dit... Mes... Mes nichons...Mais pas... Cet endroit.... Pas ça.

- C'est vrai ma chérie. Mais tes tétons sont si durs qu'on suppose que ton chaton aussi a faim de caresses. Commenta Ray se désintéressant soudain de son nibard.

- Je parie que ta chatte est trempée. Je vais le vérifier.

Sur ces mots il descendit la fermeture éclair de son jean.

- Non, oh non...

Elle aurait pu le repousser, mais elle se contenta de lui presser faiblement la main en accompagnant son geste. Elle ne montra pas plus de résistance lorsque sa main glissa dans l'ouverture et pénétra dans sa petite culotte.

- Oh non.…  S'il vous plaît... Pas ça... Je ne veux pas... Protes-ta-t-elle mollement, le corps en désaccord total avec sa conscience,

Comme elle n'opposait aucune résistance réelle, Ray dégrafa sa ceinture et déboutonna son jean. Ses mains exploraient sa petite culotte. Il se pencha à son oreille et lui susurra :

- Juste comme je le pensais, ta chatte est douce et trempée.

Elle ne réalisait pas qu'elle tendait le bassin vers lui alors que Gary imperturbable continuait, à lui mignardiser les seins.

- Et si je descendais ton jean en bas de tes jambes pour atteindre pus facilement ta petite chatte ma petite chienne ?

N''attendant aucune réponse à sa remarque, il lui attrapa la taille.

- Je... je ne veux pas... Répéta-t-elle faiblement tout en relevant les fesses pour lui faciliter l'opération.

Il voyait maintenant clairement sa petite culotte rose. Elle se laissa docilement écarter les cuisses. Il écarta le fond de la petite culotte et se mit à lui caresser rudement les babines la rendant folle d'excitation.

- Aaaaaaaaaah... Oooooooooh... Mon Dieuuuuuu... Oh ouiiiiiiiiiiiii…

Il faisait rouler son clito sous son pouce lui demandant :

- T'es tu déjà fait bouffer la chatte ?

- Nonnnnnnnnn... Ohhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnn...

- Aimerais-tu que je te bouffe la chatte ?

- Ohhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Il sourit et entreprit de léchouiller son clito enflé. Elle cria, submergée à nouveau par un orgasme insensé, alors que tout en mignotant son clito il la doigtait tendrement.

- Prends-tu la pilule ? L'interrogea Gary.

- Oui. Rétorqua-t-elle oppressée.

- J'en suis bien content parce l'on va te baiser ma chérie, tu l'avais bien compris n'est pas ?

- Oui.

- T'as envie de te faire baiser n'est ce pas Susan ?

- Oui, oh ouiiiiiiiiiiiii !

Elle ne parvenait pas à croire ce qu'elle disait. Elle n'était qu'une paisible ménagère, mais ces deux petits salauds l'avaient tellement excitée.

- Relève-toi et enlève tes derniers vêtements qu'on te baise confortablement. Lui intima Gary.

Elle se leva comme un robot et laissa choir son corsage et son soutien-gorge au sol. Elle jeta un œil sur les deux copains qui se déshabillaient prestement et elle glissa sa petite culotte au bas de ses jambes.

- Garde tes bas ! L'instruisit Ray, se redressant dans sa somptueuse nudité.

Elle remarqua que sa bite était bien plus épaisse que celle de son mari. Et lorsqu'il la rejoignit elle vit ses énormes testicules qui pendaient entre ses cuisses.

- Écartes tes cuisses ! Lui demandèrent-ils.

Elle s’exécuta servilement. Cette fois c'est Gary qui jouait avec sa chatoune alors que Ray s'occupait de ses nibards et leurs gros tétons. Elle espérait que cela ne dure pas trop longtemps, tant elle se sentait faible sur ses jambes.

- Tu veux baiser maintenant ?

- Oh oui... Ouiiiiiiiiiii...

- On a rêvé de cet instant depuis que l'on te suit quand tu montes des escaliers. On était pas sûr de te persuader de coucher avec nous. Et maintenant c'est toi qui en a une folle envie.

- C'est vrai 

- Suces-tu la bite de ton mari ?

- Non je ne l'ai jamais fait.

- As-tu déjà sucé d'autres bites ?

- Non. Soupira-t-elle.

- Tu te rends compte Gary, elle n'a jamais fait de pipes ! Elle est encore pucelle de la bouche !

- Eh oui, mais plus pour très longtemps. Parce qu'elle va sucer ma bite ! Répliqua Ray allongé sur le lit sa bite en main.

- Tu ferais mieux de grimper entre mes genoux pour me sucer, et si tu t'occupes bien de moi Gary te fourrera sa bite dans la chatte en même temps.

- Non... Non Je ne peux vraiment pas faire ça.

- Si tu n'as plus besoin des fichiers sur ton PC.

- Non, je vous en prie... Non... Pas ça...

- Alors grimpe sur le lit et commence ta première pipe !

Comme un petit animal soumis, elle grimpa sur le lit et prit sa grosse bite en main.

- C'est ça.... Tu l'embrasses et tu te mets à la lécher.

- Oh ouiiiiii... Maintenant enfourne là dans ta bouche de salope et suce.

- Oh ouiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... On fera d'elle une suceuse experte Gary !

Fesses saillantes en arrière il s'enfouit dans sa bouche docile alors que Gary la prenait en levrette.

- Mmmmmmmp... Mmmmmmph...  Grommelait-elle alors qu'elle allait et venait sur sa bite érigée.

Ray explosa le premier dans sa bouche asservie.

- Aaaaag... Oui comme ça... Prends tout... Avale mon foutre...

Elle n'avait pas le choix de toute manière, il la maintenait contre son ventre en lui agrippant les cheveux. La crème épaisse coula dans sa gorge. Elle haleta cherchant sa respiration lorsqu'il la relâcha. Gary lui inonda alors soudainement la chatte alors que quelques gouttes de sperme suintaient à la commissure de ses lèvres.

Elle s'écroula sur le lit épuisée, elle nageait en pleine confusion et à sa grande surprise les deux jeunes hommes reprenaient déjà de la vigueur. Ils s'agenouillèrent de chaque côté d'elle.

- Aide nous à bander à nouveau. Lui intima Ray.

Et pour la première fois de sa vie elle se retrouva à branler simultanément deux hommes.

- T'es devenue notre petite salope. La complimenta Ray tout en titillant lascivement son clito.

- On va te remplir un nouvelle fois de foutre avant de te quitter. C'est bien ce que tu veux petite salope ? Poursuivit-il.

- Hemmmm... Oui je sais que vous allez encore me baiser.

Gary remonta vers la tête du lit prenant place contre les oreillers et la tête de lit. Il proposa un oreiller à son copain. Gary saisit une poignée de ses boucles brunes et ramena son visage tout contre sa bite qu'il frotta sur sa bouche. Elle l'ouvrit.

-T u as des réflexes de bonne suceuse maintenant. Vas-y puis-que c'est ce que tu voulais.

- Oh ouiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii!..,

Ray avait repoussé l'oreiller sous ses fesses. Il prit ses chevilles sur ses épaules et la pénétra profondément. Si profondément en fait qu'elle poussa immédiatement un long cri de plaisir incontrôlable.

- Aaaaaaaaah... Ouiiiiiii... Aaaaaaaah... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii...

Il se mit à jouir à gros bouillons tout en coulissant dans sa chatte pour enfin se retirer aspergeant de foutre sa toison et son ventre. Il empoigna alors le vibromasseur et entreprit de la travailler avec. Elle devenait folle de luxure tout en suçant son copain. Il lui saisit la main.

- Je veux voir comment tu t'en sers.

Elle le repoussa, le forçant à se retirer de sa chatte embrasée. Elle ne le vit pas relever sa petite caméra digitale. Il la régla en position automatique pour la prendre en train de sucer son pote pendant qu'il se remettait à la fourrer avec le vibro.

- Oh oui, je vais jouir. Dit Gary.

- Ouvre bien grande ta bouche... Aaaaaaaaaaaah... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii... Aaaaaaaaaaaaaaaah...

Il projeta des torrents de foutre chaud dans sa bouche grande ouverte, alors qu'un orgasme d'une violence inouïe la terrassait. Elle s'écroula épuisée et pantelante sur le lit. Ils se servirent de sa petite culotte et de son soutien-gorge pour se nettoyer la queue et se rhabillèrent. Elle s'était endormie couverte de foutre sur le lit. Ils se penchèrent sur elle pour lui donner un dernier baiser sur ses adorables tétons et partirent.

Elle avait du s'assoupir, la seule chose dont elle se rappelait c'était la voix de sa fille l'interpellant :

- T'es en haut maman ?

Elle sauta du lit, rassembla de son mieux ses effets et se rua dans la salle de bain.

- Oui. Répondit-elle.

Et elle ajouta :

- Je vais prendre une douche.

Elle se réjouit vraiment de prendre cette douche, mais l'eau la faisait frémir de milles fourmillements. En se lavant elle réalisa que son corps était toujours aussi réceptif. La culpabilité la frappait alors qu'elle jouissait une dernière fois en se triturant le clito.

A suivre...

vendredi 15 février 2019

Mon aventure Ch. 10

Mon aventure - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Petite fête à l'école.

Mon père me dit que Jack leur avait tout expliqué. Il ne voulait pas qu'ils soient surpris lors de leurs visites. Jack avait pensé que c'était la meilleure façon de leur présenter mon nouveau rôle. Mon père rigola et me dit que le dîner de nouvel an se passerait différemment. Il me dit qu'il était fier de moi et que la maison n'avait jamais été aussi bien entretenue.

Mon cœur se gonfla de fierté et j'allai lui faire un câlin. Mais ce câlin fut plus que ce que j'attendais. Mon père passa un doigt entre mes jambes et il le poussa dans ma chatte humide.

C'était mon père! Immédiatement je jouis sur cette intrusion. Je me sentis à la fois soulagée et honteuse. Je me tins contre lui. Étant moins grande, je posai ma tête sur sa poitrine alors que mes jambes tremblaient.

Il retira son doigt et le porta à ma bouche. Je le léchai. Il me poussa et me mit à genoux. Un petit choc me traversa. Il me demandait de sucer sa bite une nouvelle fois. Je fus déterminée à faire un meilleur travail cette fois-ci. J'utilisai toute mon expérience, ma tête se balançant de haut en bas sur sa queue. Je léchai et suçai ses couilles. Ma langue tourbillonna autour de son gland. Et J'engloutis complètement son sexe.

J'avalai son sperme pour la deuxième fois puis je nettoyai sa bite avec ma bouche. Il me tira vers le haut et il m'embrassa, serrant ma poitrine pendant que sa langue s'introduisait dans ma bouche. Je fus électrisée et je faillis jouir une nouvelle fois. Mon père me dit qu'il avait hâte de me baiser.

Septembre était dans l'encadrement de la porte quand je levai les yeux. Elle souriait. Mon père alla jusqu'à elle et lui souleva sa jupe. Elle ne portait pas de culotte et elle avait la poitrine à l'air. Mon père pris son temps pour lui caresser sa chatte et lui sucer les seins. Ma fille lui dit qu'il n'avait pas besoin d'attendre pour baiser, qu'il pouvait avoir sa chatte quand il voulait. Mon père sourit et me regarda.

Puis il chuchota à l'oreille de Septembre avant de partir. Ma fille me dit alors que mes privilèges oraux étaient rétablis. Je pouvais à nouveau servir la famille. Elle ajouta que cela concernait aussi mes privilèges de salle de bain. Je compris le sens et je lui donnai un bain. Je passai la demi-heure suivante à laver les cheveux, le corps de ma fille. Puis je la rasai, je la séchai et je lui frottai le corps avec une lotion. Enfin je séchai et coiffai ses cheveux.

Septembre alla dans sa chambre et je la suivis. Elle enfila une petite nuisette qui couvrit à peine son sexe. Ses petites lèvres roses étaient bien visibles et ses mamelons pointaient sous le fin tissu. A ce moment-là j'étais vraiment excitée. Je sentis un petit filet de liquide couler le long de ma cuisse. Ça aurait pu être de la sueur comme nous étions dans la salle de bain chaude, mais je pensai qu'il s'agissait sûrement de ma chatte qui était assez humide pour couler le long de ma jambe. J'avais envie d'être baisée.

Avril arriva et me repoussa. Elle dit à sa sœur :

- Jolie!

Puis elle lui donna un gros bisou. Elle dégagea un des seins de sa sœur puis commença à le sucer. Espiègle, elle repoussa Septembre sur le lit. Ma fille aînée rigola et ouvrit ses jambes. Avril embrassa la chatte de sa sœur et donna un coup de langue sur les petites lèvres. Puis elle se tourna vers moi et dit :

- Allons-y!

Je répétai mes tâches de salle de bain sur ma fille Avril. Puis dans sa chambre elle enfila une paire de bas. Ils étaient en résille blanche. Elle était très sexy avec. Elle mit une nuisette comme sa sœur. Le tissu était noir et soyeux. Et elle était aussi courte que celle de Septembre. La zone entre le haut des bas et le bas de la nuisette était une invitation au viol. Elle s'approcha de mon visage et me laissa embrasser son clitoris et lui donner un coup de langue avant de se détourner et sortir.

Comme je m'y attendais, Janvier arriva peu de temps après. Quand elle enleva ses vêtements, je fus surprise. Ses tétons étaient percés et des petits anneaux en argent y pendaient. Elle vit ma réaction étonnée et elle gloussa. Puis elle écarta les lèvres de sa chatte pour me montrer une petite bague en argent traversant son clitoris.

- Ça fait mal mais c'est bon. Peut-être que je te le ferais faire aussi. Dit-elle.

Un frisson traversa ma colonne vertébrale. Elle me dit en tordant un de mes mamelons :

- Je l'ai payé avec ton corps. Je vais t'y emmener cette semaine pour payer cette dette.

Je réfléchis à ses mots pendant que je la lavai. Ses cheveux étaient plus courts que ceux des autres filles alors ils demandaient moins d'attention. Elle me demanda de lui laisser un petit peu de poils pubiens au-dessus de sa fente. La petite marque en « V » accentuait ses petites lèvres.

Janvier mit des bas noirs et une jupe qu'elle avait modifiée elle-même. Elle avait fendu les coutures de chaque côté jusqu'à la ceinture. C'était devenu plus un pagne qu'une jupe. Elle sortit un chemisier très fin et très transparent. Elle le mit et on pouvait voir à travers. Ses seins n'étaient pas très bombés mais on voyait bien ses gros tétons roses. Elle rigola et dit :

- Nous allons à l'école. Ça devrait être amusant. Je t'aurai bien demandé de venir mais il y aura beaucoup d'occasion plus tard.

Tout en riant, elle s'approcha de mon entrejambe. J'écartai mes jambes, debout devant ma fille. Elle s'assit devant sa coiffeuse tout en frottant ma chatte. Je fermai les yeux pendant que ses doigts jouaient avec mon sexe. Et je me rappelai ces cinq derniers jours. Ma fille devint cruelle, tordant et tirant mes petites lèvres. Elle enfonça deux doigts dans ma chatte et je faillis m'évanouir. Je gémis et j'eus un orgasme sur ses doigts. Elle leva sa main et je léchai ses doigts pour les rendre propre.

Tout mon corps tremblait.

- Merci Maîtresse! Réussis-je à dire avant de reculer.

- Nettoie la salle de bain et fais-toi jolie. Papa a des amis qui viennent. Et tu vas être le divertissement.

En sortant de la pièce, je sentis mon excitation grandir et j'espérai que j'allais prendre des bites ailleurs que dans ma bouche. Je me laissai transporter par mes émotions et l'anticipation de la soirée pendant que je me douchai.

Les trois sœurs partirent à l'école. Plusieurs événements s'y déroulaient. Il y avait une journée portes ouvertes pour que les parents puissent voir comme leurs enfants se débrouillaient pendant l'été. Il y avait une orientation pour les premières années où les parents pouvaient rencontrer les enseignants pour la prochaine année. Il y avait aussi une réunion de l'équipe de football. Bien que la saison ne fût pas commencée, l'équipe se réunissaient pour avoir leurs postes et les horaires d'entrainement.

Les filles étaient parties pour plusieurs raisons. D'abord, M. GRAINGER avait mis le vice-directeur dans la confidence. Janvier avait voulu s'assurer d'avoir de bonnes notes toute l'année. Mes filles ciblaient aussi deux femmes à l'école, une enseignante et un étudiant. Janvier voulait aussi récompenser le concierge pour l'avoir aidé et l’entraîneur de football. Mes filles attendirent patiemment que le parking visiteurs se vide.

Une fois qu'il n'y eut plus personne dessus, elles vérifièrent aussi le parking de l'école. Il restait moins de 10 voitures, mais il y en avait une vingtaine dans le parking des étudiants. Les filles sortirent de la voiture et marchèrent avec confiance vers l'école comme si elles en étaient propriétaires. Elles allèrent directement vers le bâtiment abritant les joueurs de football. L’entraîneur avait congédié plus de la moitié de l'équipe, gardant seulement une douzaine de jeunes hommes dans le vestiaire. L’entraîneur venait de leur faire subir des exercices pour évaluer leur condition.

Maintenant, les garçons discutaient en se douchant et en s'habillant. Les filles s'étaient réfugiées dans une salle et gloussaient pendant que les autres s'étaient éloignés. Puis elles entrèrent dans le vestiaire avec désinvolture. Elles furent accueillies avec un silence stupéfait. Tous les yeux s'étaient posés sur elles, la plupart fixés sur les chattes exposées. Les filles minaudèrent en jouant avec leurs ourlets, les soulevant pour exposer leur sexe aux joueurs.

Septembre quitta ses deux sœurs pour pénétrer dans le bureau de l’entraîneur. Celui-ci attendait patiemment. Il était à moitié assis, à moitié appuyé contre le devant de son bureau. Son pantalon était déjà baissé au niveau des genoux et il ne portait pas de sous-vêtement. Septembre pris sa main pour la poser sous sa chemise de nuit et immédiatement il enfonça un gros doigt dans sa chatte.

- Pas maintenant et pas moi. Souffla-t-elle dans son oreille.

Et elle ajouta :

- Je vous promets que je reviendrai un jour et que nous baiserons, mais ce soir, je veux que vous baisiez deux autres chattes blanches.

Septembre joua avec ses couilles en parlant. Elle s'accroupit et commença à sucer la grosse bite noire. A ce moment, le concierge entra et rigola :

- Puis-je en avoir un peu?

Septembre rit et dit à l’entraîneur :

- Dites lui le plan, je reviens vite.

En passant devant le concierge, elle l'embrassa et lui donna un coup de coude. L'homme sourit, sentant sa bite grossir.

- Petite chatte chaude de blanche. Dit-il en glissant une main entre les jambes de ma fille pour sentir son humidité.

Septembre se dégagea et sortit de la pièce. Ses sœurs s'amusaient avec les joueurs. Elles se déplaçaient de l'un à l'autre en caressant leur chatte et leurs seins. Elles embrassèrent les garçons et se frottèrent contre eux jusqu'à que chaque queue soit dure comme du roc. Septembre fit un signe et Avril la suivit. Janvier dit aux jeunes hommes :

- Elles vont revenir dans quelques minutes. Et elles amèneront deux filles sexy pour que vous jouiez avec. Voici le plan...

Avril se dirigea vers Stacy. La capitaine des pom-pom girls mettait des papiers dans son sac à dos. Avril l'attrapa par les cheveux et gronda :

- Tu viens avec moi chienne!

Stacy avait torturé Avril pendant toute l'année de lycée et elle ferait surement la même chose à Janvier. Cette fille pensait qu'elle dirigeait l'école. Elle avait de longs cheveux blonds et un joli visage. Elle avait aussi de gros seins et un cul bien rond qu'elle utilisait pour séduire les gens qu'elle aimait et torturer ceux qu'elle n'aimait pas.

Stacy était une blanche de pure souche. Elle évitait de parler ou même de regarder des noirs. Elle avait eu un problème avec un professeur noir, l'accusant de l'avoir mal regardé. Il avait été obligé de partir enseigner dans une autre école. Avril aimait bien cet enseignant et elle avait découvert que Stacy avait exagéré car il lui avait donné une mauvaise note. Stacy n'aurait jamais envisagé de sortir avec un homme noir ou alors d'avoir une fille noire dans son équipe de pom-pom girls.

Avril traîna la jeune fille par les cheveux dans le couloir. Septembre était là pour l'aider mais la blonde ne faisait pas le poids contre Avril. Septembre suit, juste au cas où. Stacy avait deux ans de moins mais était à l'école avec Septembre et avait rejoint les pom-pom girls quand Septembre en était la capitaine. Stacy avait été détestable, essayant de prendre la place de Septembre à la tête de l'équipe. Et quand ma fille fut diplômée Stacy prit le relais.

Toujours dans sa tenue de pom-pom girl, la jeune blonde fut poussée à travers la porte. Elle atterrit en tas aux pieds de deux grands joueurs noirs de football. Ils la soulèvent et la plie sur une table. Les deux hommes sont complètement nus, avec de grosses bites bien épaisses qui se tiennent au garde-à-vous. L'un des noirs prit les poignets de Stacy pour la tenir. L'autre remonta sa mini-jupe et retira sa petite culotte.

Debout, mais penchée en avant, la jeune fille fulmine, impuissante et effrayée.

- Enlève tes mains de mon corps négro! Cria-t-elle.

Tous les hommes la regardaient, amusés, pendant qu'elle essayait de se libérer de l'emprise de l'homme qui lui tenait les poignets devant elle. Le noir derrière frotta sa chatte avec sa main et rigola :

- Elle est toute mouillée.

Il se pencha et murmura à l'oreille de Stacy :

- Tu me supplieras de te baiser avec ma bite de négro avant que j'en finisse avec toi.

Septembre et Avril remplacèrent le joueur qui tenait les poignets de la jeune fille. Elles tirèrent dessus, soulevant son cul sur la table. Le joueur de football derrière Stacy regarda longuement le cul bien bombé. La jeune blonde essaya de garder les jambes bien fermées, mais le jeune garçon arriva facilement à les écarter puis il aligna ma tête de sa bite avec le vagin de la blonde. Il poussa et sa queue glissa entre les lèvres de la chatte et l'ouvrit. Stacy cria sous l'invasion soudaine.

Une minute plus tard, après que le gars eut enfoncé toute sa bite en elle, Stacy gémissait et secouait ses cheveux blonds d'avant en arrière. Septembre et Avril relâchèrent les poignets de la jeune fille qui, aussitôt, agrippa les bords de la table. L'esprit et le corps de Stacy se livrait une bataille perdue d'avance. Elle criait « non » dans sa tête mais sa chatte répondait à la grosse bite enfouie en elle.

Soudainement, Stacy se sentit très humide et très vide. Cela arriva si vite qu'elle cligna des yeux en face des deux sœurs. Elle vit alors la caméra vidéo et reçut un nouveau choc quand un autre joueur noir se plaça derrière elle et la pénétra avec sa grosse queue. Celle-ci était plus épaisse. L'homme remplit si bien Stacy et il la baisa si fort qu'elle réagit immédiatement.

Un orgasme massif la traverse et il frappe si fort que Stacy se raidit tout en tremblant de partout. Puis elle retombe tout molle. Avril regarde Septembre et dit :

- Merde, je crois que nous l'avons tuée.

- Pas de chance! Rigola Septembre en continuant de filmer la scène.

Mais elle ajoute :

- Elle vient juste d'avoir son premier orgasme et elle s'est évanouie.

L'homme noir continuait de baiser la jeune fille blonde. La jupe de pom-pom girl était relevée et il regardait sa queue entrer et sortir de la petite chatte blanche.

Il gifla le cul devant lui et obtint un petit gémissement de Stacy. Tout autour, les autres joueurs étaient nus et se masturbaient. Alors qu'ils attendaient leur tout, la porte s'ouvrit. Janvier entra, suivie d'une femme d'une trentaine d'années. Celle-ci stoppa net quand elle vit la scène. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais janvier la poussa vers le bureau de l’entraîneur.

Celui-ci avec le concierge regardaient par la fenêtre la pom-pom girl se faire baiser. Ils se retournèrent quand la porte s'ouvrit et ils détaillèrent la professeure. Elle était grande avec de beaux seins et un beau cul. Sa taille était fine et elle était vêtue d'une tenue d'enseignant type, un chemisier blanc et une jupe noire arrivant aux genoux. Elle était belle, avec une chevelure noir corbeau et des yeux bleus perçants.

Elle regarda par la fenêtre alors que le jeune joueur noir éjaculait dans la pom-pom girl. Angela WRIGHT, professeure d'histoire, cligna des yeux et déglutit difficilement. Elle se tourna vers le concierge et l’entraîneur et commença à protester. Le coach leva la main pour l'arrêter :

- J'ai une douzaine de joueurs qui veulent profiter de ce cul.

Puis il regarda le concierge.

- De plus vous n'êtes que deux. Si tu veux la sauver, il va falloir que tu prennes sa place.

Angela déglutit une nouvelle fois difficilement, regarda les hommes puis la fille. Stacy était immobile, le cul en l'air, la tête à plat sur la table. L'enseignante se retourna vers les deux hommes noirs et leur fit un petit signe de tête. L’entraîneur s'assit sur une chaise et lui dit d'enlever ses vêtements. Angela déboutonna lentement son chemisier. Le concierge regardait fixement les gros seins à peine contenus dans le soutien-gorge de dentelle blanche avec des petites fleurs bleues.

L’entraîneur baissa les yeux et Angela dégrafa sa jupe. Après l'avoir enlevé complètement elle se tourna pour faire face au coach. Celui-ci apprécia le spectacle. La grosse poitrine se soulevait et sous la culotte assortie, il put voir une touffe sombre de poils. L'enseignante posa sa jupe sur une chaise et défit lentement son soutien-gorge. Il lui fallut une minute entière pour l'enlever avant que les hommes n'aperçoivent les gros mamelons roses.

Les mains de la femme couvrirent ses seins et elle baissa les yeux, rouge d'embarras. L’entraîneur lui demanda d'approcher. Elle obéit et il prit ses mains pour les écarter de sa poitrine. Il prit doucement les gros seins et pinça les tétons raides. Puis il passa un doigt entre les jambes de la femme, pressant doucement la culotte, sentant la petite fente. Il tira la culotte vers le bas et afficha sa toison pubienne.

Le concierge se lécha les lèvres en regardant son acolyte poser ses grosses mains sur le cul d'Angela. L’entraîneur attira la femme vers lui jusqu'à ce que ses jambes s'ouvrent et qu'elle soit à califourchon sur lui. Le noir libéra son sexe qui se leva droit comme un i et visa la chatte. Angela baissa les yeux et haleta quand elle vit la bite qui allait la pénétrer.

Le gourdin noir se posa à l'entrée de sa chatte et l’entraîneur tira l'enseignante vers le bas, sa queue ouvrant son sexe. Ses petites lèvres se séparèrent et elle retint son souffle. L'homme sentit de la résistance et regarda son visage. Elle retourna son regard et commença à dire :

- Je suis vier...

Mais l'homme la tira d'un coup sec et la pénétra. Angela eut mal.

L’entraîneur l'abaissa sur lui jusqu'à ce que sa bite soit complètement à l'intérieur d'elle. Il se serra contre elle, pressant ses seins contre sa poitrine. Puis il la souleva et la reposa, une fois, deux fois, trois fois et la douleur disparut. Elle se pressa complètement contre lui, et il sentit qu'elle embrassait son cou. Alors il recommença à la soulever et abaisser sur sa queue. Puis elle prit elle-même l'initiative et bougea sa chatte de haut en bas sur la bite noire. Dans le temps, l’entraîneur avait brisé quelques filles. Il vit tout de suite que celle-ci allait devenir une cochonne pour black.

Il la baisa violemment pendant qu'elle l'embrassait. L'enseignante eut une drôle de sensation dans son ventre mais elle ne voulait pas que ça se termine. Mais son corps fut bientôt hors de son contrôle et elle gémit alors qu'un orgasme la frappa. Sa chatte se serra sur la grosse bite et elle se laissa aller pour qu'elle la pénètre le plus profondément possible. L’entraîneur sourit à cette réaction.

- Je vais jouir maintenant. Murmura-t-il à son oreille.

Elle gémit d'excitation mais chuchota :

- S'il te plaît, n'éjacule pas en moi.

Elle embrassa son cou. L’entraîneur sourit et déchargea son sperme dans son ventre. Elle soupira et continua à embrasser son cou. Plusieurs minutes s'écoulèrent et il la tint empalée sur lui. Elle respirait fort. Finalement elle ouvrit les yeux quand sa queue commença à débander.

Angela fut attrapée par derrière par les grandes mains du concierge. Il la berça dans ses bras tout en la portant dans le vestiaire. Elle pouvait sentir le sperme de l’entraîneur s'échapper de sa chatte ouverte. Elle leva les yeux et vit la caméra vidéo dans les mains de Janvier. Elle commença à dire quelque chose quand elle fut allongée sur le dos sur la table à côté de la pom-pom girl.


Elle regarda la caméra, ne sachant pas trop que dire tout en sentant qu'on la pénétrait à nouveau. Elle était vaguement consciente d'être baisée alors que son esprit réfléchissait sur le fait qu'elle était filmée. Quelqu'un s'approcha de sa tête et elle sentit des mains sur ses seins. Ses jambes furent poussées vers le haut et écartées par le concierge. Il la baisa lentement, savourant cette petite chatte serrée.

Angela leva les yeux et vit le visage d'un jeune joueur noir. Il jouait avec ses seins et elle sentait sa grosse bite noire contre sa joue. Elle regarda la pom-pom girl toujours immobile. Tout en étant baisée par le concierge, elle n'était pas complètement consciente de l'être même si elle le savait. Ses pensées allaient à la vidéo et à la jeune fille à côté d'elle. Elle commença à sentir un frémissement dans son corps et elle le va les yeux vers la caméra juste au moment où un orgasme la traversa.

L’entraîneur avait récupéré, il bandait à nouveau. Il entra dans le vestiaire. Le cul de la pom-pom girl semblait l'inviter. Il s'approcha et écarta ses fesses pour voir la chatte humide et ouverte. C'est lui qui avait surement la plus grosse queue de tous les hommes présents. Il positionna son gland à l'entrée de la chatte de la jeune blonde. Puis il poussa et entra facilement. Il sentit Stacy bouger et haleter alors qu'il conduisait sa queue dans les profondeurs de la jeune fille.

Il la baisa rudement et il sentit un mouvement sous lui. Stacy était dans un état entre l'inconscience et la conscience. Elle savait que son corps était utilisé à nouveau. Elle était presque inanimée mais pas au point de ne pas pouvoir profiter du traitement. Elle était une poupée de chiffon avec une chatte chaude et humide, disponible pour tous ceux qui voulaient en profiter.

Angela avait cédé. Elle était amoureuse de ce traitement. Elle n'était plus vierge et l'idée de rester intacte pour son mari et sa nuit de noce disparut. Elle sentit la grosse bite noire se raidir alors qu'il déchargeait une nouvelle quantité de sperme dans son ventre. Cela l'excita. Elle savait qu'elle allait être partagée à d'autres hommes mais ses sentiments pour l’entraîneur devinrent profonds.

Tandis que le concierge se vidait, elle regarda le coach. Elle sentit qu'elle lui appartenait et qu'elle remplirait tous ses désirs aussi longtemps qu'il le voudrait. Tout au long de sa vie, elle avait entendu des histoires sur ces filles qui avaient gardé leur virginité et qui étaient tombées amoureuses du premier gars qui les avait baisées. Elle était restée vierge pour cette raison. Aujourd'hui, elle se retrouvait attachée à un homme de vingt ans son aîné et elle ne savait pas où cela allait la mener.

Le concierge avait fini avec elle et elle se sentait vide. Elle regarda l’entraîneur baiser la pom-pom girl, voyant son visage grimacer pendant qu'il se vidait dans le ventre de Stacy. L'homme sourit à Angela qui lui rendit son sourire. Elle n'avait pas bougé. Elle était allongée sur le dos sur la table, les jambes ouvertes, le sperme coulant le long de son cul. Le coach tira la jeune fille vers le haut et il défit sa petite robe, la faisant glisser sur ses épaules. Il défit le soutien-gorge, découvrant de petits seins et des tétons qui durcirent sous l'air froid.

Il emmena la jeune fille vers la douche et fit signe à Angela de les suivre. L'enseignante se releva lentement de la table et regarda autour d'elle. Elle réalisa qu'elle était surveillée par les joueurs de l'équipe. Ils fixaient sa beauté nue alors elle accéléra pour échapper à leurs regards. Elle rattrapa l’entraîneur et glissa sa main dans la sienne alors qu'il conduisait la pom-pom girl, toujours sur ses jambes tremblantes, sous la douche.

- Occupe-toi d'elle! Dit-il à Angela avant de les laisser seules.

Les trois sœurs avaient enregistré toute l'action. Elles s'étaient frottées contre certains joueurs et avaient caressé quelques queues. Maintenant, les deux autres filles parties, elles étaient le centre d'attention. Janvier baissa la caméra et vit ses deux sœurs s'embrasser. Avril caressait la chatte de Septembre. Janvier sourit, sachant que le spectacle était pour les garçons.

Janvier entendit un gémissement et se tourna vers celui-ci. Un des gars éjaculait sur le sol. La scène avait été trop longue pour lui. Janvier courut vers lui mais pas assez vite. Elle s'accroupit devant le garçon et prit sa bite dans sa bouche. Il gémit quand elle goûta son sperme.

Septembre prit un garçon par sa bite et l'amena à la table. Elle enleva sa nuisette et s'allongea sur la table. Elle écarta les jambes et sourit au grand footballeur noir.

- Mange-moi et baise-moi! Ordonna-t-elle en écartant les lèvres de sa chatte avec ses doigts.

Il n'eut pas besoin de plus d'encouragements et il fut sur elle en un éclair. Il posa sa langue sur les lèvres de la chatte excitée.

Avril vint à la table et se pencha comme Stacy l'avait été. Elle remua son cul et gloussa :

- Qui est le suivant?

Deux garçons se percutèrent presque en courant pour la pénétrer. L'un d'eux fourra sa bite dans la chatte et commença à la marteler. Il releva la nuisette jusqu'aux nichons et il lui tint le cul pour pouvoir mieux la pilonner.

Janvier enleva sa jupe et déboutonna sa chemise q après avoir été attrapée par deux gars. Elle se laissa embrasser et caresser pendant une minute avant de prendre l'initiative. Leurs mains maladroites lui firent comprendre qu'ils étaient inexpérimentés. Elle poussa un des gars pour qu'il soit assis sur un banc. Puis elle recula sur lui et elle guida sa chatte sur la bite bien raide.

Une fois qu'elle fut complètement installée sur la queue, elle attira l'autre garçon vers elle. Il était tout juste à la bonne hauteur pour que sa bouche enveloppe sa queue. C'était elle qui avait l'initiative en montant et descendant sur la queue sous elle. Elle laissa le garçon devant elle baiser sa bouche. Aucun des deux n'avait une très grosse bite et de la façon dont ils se tortillaient, elle savait qu'ils ne résisteraient pas encore très longtemps. Janvier prit la queue dans sa main et se pencha pour sucer les couilles.

Le garçon gémit et eut un sursaut. Son premier coup partit avant qu'elle ne puisse le reprendre en bouche. Mais il vida le reste de son foutre dans sa gueule. Elle suça et avala jusqu'à ce qu'il n'ait plus une goutte. Le gars sous elle restait immobile et elle se demanda ce qu'il se passait. Elle tourna la tête et réalisa que le premier coup du gars devant elle avait tapé sa joue et l'homme derrière elle.

Le jeune joueur noir essayait d'enlever le foutre de son visage sans attirer l'attention. Personne ne le regardait, même pas celui qui avait éjaculé. Janvier vint à sa rescousse en se tournant sur son sexe pour se mettre face à lui. Elle lécha le sperme sur son visage et quelques secondes plus tard il était propre. Elle put recommencer à chevaucher fougueusement sa bite.

Le jeune homme put se retenir un petit moment et il accompagna son chevauchement avec ses hanches. Mais bientôt, elle le sentit se raidir et elle comprit qu'il jouissait. Elle se leva et rechercha un peu plus d'action. Janvier aimait bien passer du temps avec des jeunes de son âge pour les baiser, mais après avoir été utilisée par des hommes plus âgés et expérimentés, elle savait qu'il y avait peu de chance qu'elle ait un orgasme. Alors elle se résigna à s'amuser seulement.

Avril était en train de se faire prendre par derrière. Elle accompagnait avec ses hanches le joueur qui la pilonnait. Elle respirait fort et regardait sa sœur être baisée à côté. Septembre était sur le côté opposé de la table, les jambes tirées vers le haut et grandes ouvertes pendant qu'un autre joueur noir pénétrait sa chatte avec une longue queue mince. Les deux gars jouirent presque en même temps, remplissant les deux filles de sperme.

- J'ai besoin de quelqu'un pour me sodomiser. Déclara Septembre.

Du sperme était descendu jusqu'à son cul. Le garçon qui s'approcha n'avait jamais sodomisé une fille. Il regarda Septembre dans les yeux et poussa sa bite contre le petit œillet. Le foutre ayant suffisamment lubrifié le petit trou du cul, la bite glissa sans problème à l'intérieur. Septembre le sentit la pénétrer et lui pomper le cul. Un autre garçon avait pris possession de la chatte d'Avril et elle sentit un petit orgasme la traverser alors qu'elle se caressait. Janvier était très sexy, le chemisier ouvert, les bas à mi-cuisses. Elle s'était empalée sur un gars allongé sur le banc et elle tirait sur ses tétons pour essayer d'avoir un orgasme.

Sous la douche, Angela avait amoureusement lavé la jeune pom-pom girl. Elle lui avait lavé les seins, le ventre et la chatte, puis le dos et le cul. Elle glissa ses doigts dans la chatte de la jeune fille. L'enseignante ne savait pas ce qui allait arriver mais elle se sentit attirée par Stacy.

La jeune fille revint à la vie et commença à embrasser la professeure. Elles s'embrassèrent et se serrèrent dans les bras l'une de l'autre puis se caressèrent. Stacy avait ses petites lèvres rasées avec juste une petite bande de poils au-dessus.

- J'aime que l'on tire mes cheveux. Murmura-t-elle à l'oreille d'Angela.

L'enseignante attrapa la chevelure de Stacy et tira dessus tout en embrassant son cou.

- Pas seulement là! Souffla Stacy.

Angela se pencha et tira sur les poils pubiens de la jeune fille. Stacy gémit et ferma les yeux, savourant le moment.

Elles se lavèrent l'une l'autre, puis Stacy repoussa l'enseignante. Angela attendit, assise sur le sol de la douche, jambes écartées. La pom-pom girl tailla la toison de la professeure et rasa ses petites lèvres. Angela regarda la petite touffe de poils juste au-dessus de ses petites lèvres roses et gonflées. Elle pensa que c'était vraiment sexy. Elles prirent le temps de se rincer et de se sécher l'une l'autre.

Au moment où elles sortirent de la douche, tout se terminait. La plupart des jeunes joueurs étaient partis. Un seul était encore occupé. Septembre suçait sa bite. Trois autres étaient en train de s'habiller. Angela vit la bite de l'un d'entre eux encore dure et lisse. Elle comprit qu'il venait juste de finir.

L'enseignante et la pom-pom girl étaient main dans la main, restant sur le côté pendant que les gars restants partaient avec un grand sourire sur le visage. Stacy avait toujours les jambes tremblantes alors qu'elle prenait sa robe et l'enfilait. Elle regarda les sœurs et leur demanda :

- Pourquoi?

- Parce que tu es une chienne. Et que nous en avons marre de toi. S'exclama Avril.

- A partir de maintenant tu feras ce que nous te dirons de faire. Dit Janvier.

Puis elle montra la caméra et ajouta :

- Si tu ne le fais pas, maman et papa verront leur petite fille en action.

Ensuite Janvier pointa son doigt sur Angela et dit :

- Toi! Tu n'es pas là parce que tu es une chienne mais parce que quelqu'un te voulait.

Janvier regarda derrière elle et Angela suivit son regard. L’entraîneur sourit. L'enseignante sentit un frisson de désir l'envahir.

Avril revint à Stacy et lui dit :

- Tu n'as pas encore fini. Tu vas nous nettoyer du sperme.

Elle s'assit sur le banc, ouvrant les jambes bien larges. La jeune fille blonde regarda le foutre qui sortait de la chatte ouverte. Elle se mit à genoux entre les jambes et commença à lécher les cuisses collantes.

- Tu peux y aller! Déclara janvier à la professeure.

Angela se rendit dans le bureau du coach. Pendant qu'elle rassemblait ses vêtements, l’entraîneur s'approcha d'elle. Il tendit la main et caressa ses seins par derrière, les pressant et tirant sur les tétons. Son autre main trouva sa chatte et il frotta un doigt sur les lèvres lisses. Il sourit intérieurement, se demandant ce qu'il s'était passé sous la douche sachant qu'elle était poilue en y entrant.

L’entraîneur la tourna pour qu'elle lui fasse face et il l'embrassa durement. Elle répondit au baiser en pressant son corps nu contre lui. Il lui prit son soutien-gorge et sa culotte.

- Je les garde. Dit-il.

Angela se sentit fière de lui appartenir.

- Maintenant tu peux sucer ma bite.

L'enseignante était inexpérimentée. Et sa tentative de fellation se tourna en une bonne baise de la bouche. Tout en lui remplissant la gorge de sperme, l’entraîneur noir lui dit qu'il lui apprendrait à sucer une bite.

Du sperme dégoulina du coin de la bouche et l'homme l'enleva avec son doigt qui lui donna à nettoyer. Elle suça son doigt pour le rendre propre. Puis elle s'habilla lentement pendant que l’entraîneur la regardait. Même en prenant sn temps, il ne lui fallut pas longtemps pour enfiler sa jupe et son chemisier. Elle voulait dire au revoir correctement, embrasser encore et encore l'homme. Mais il la congédia en lui disant qu'il la verrait demain. Son cœur était à la fois exalté et un peu blessé.

Angela se fraya un chemin vers la sortie sur ses jambes tremblantes. Sa tête était remplie d'émotions diverses. Il y avait une certaine tristesse d'avoir été vaincue par la luxure et une terreur profonde mélangée avec du désir et un sentiment d'appartenance. Elle était tendue de partout et elle sentit l'humidité entre ses jambes. Ses tétons poussaient presque douloureusement contre son chemisier. Son cerveau était gelé, elle ne savait ce qu'il fallait qu'elle fasse. Ses émotions l'embrouillèrent. Son côté rationnel la voyait sur la vidéo, en se donnant volontairement pour être baisée comme une pute.

Elle avait l'impression de balancer entre plusieurs solutions. Elle ne voulait pas admettre qu'elle voulait voir où ce chemin mènerait. Une partie d'elle-même voulait punir ses agresseurs. Une autre partie voulait qu'elle parte, qu'elle déménage dans une nouvelle ville, qu'elle recommence sa vie. Différents scénarios traversèrent son esprit. Au moment où elle ouvrit la porte d'entrée, elle comprit que s'en aller n'était pas la solution. La vidéo d'elle, postée sur internet, la suivrait toujours.

La plus grosse question qu'elle se posait était le rôle qu'elle avait joué dans les événements. Elle avait profondément honte mais elle était fière aussi d'avoir été désirée. Punir ses agresseurs ne serait pas juste. Elle s'était donnée trop rapidement et la vidéo le prouvait. Un frisson d'excitation la traversa quand elle pense qu'elle serait prise et utilisée chaque fois que le concierge noir aurait envie d'une chatte blanche. Il lui suffit de penser à une grosse bite noire dans sa chatte pour qu'elle mouille encore plus.

Elle décida de prendre les choses comme elles viendraient. Après un long bain et deux verres de vin, elle se coucha. Elle se mit au lit, complètement nue pour la première fois de sa vie. Pendant quelques minutes elle malmena ses propres seins, les pinça, tordit ses mamelons et elle frotta son clitoris avec vigueur. Elle perdit le contrôle. Après son orgasme, épuisée, l'enseignante tomba dans un profond sommeil. Sa dernière pensée fut que ça serait long d'attendre jusqu'à demain.

Le sort de Stacy avait été décidé par les sœurs. Elles la conduisirent à sa maison. Sue le chemin, Janvier s'amusa avec les tétons de la jeune fille. On lui rappela la vidéo. Mais même l'épisode de la douche avec l'enseignante pouvait gâcher sa vie. Il fallait qu'elle trouve le moyen de cacher tout cela. Son salut était de donner confiance aux sœurs en faisant ce qu'elles demandaient. Elle serait libérée après avoir obtenu son diplôme et pourrait vivre sa vie comme elle le souhaitait, avec sa propre sexualité. La pom-pom girl accepta sans réticence que Janvier tire sur ses mamelons et l'embrassa profondément.


Stacy se considérait comme une dur de dur. Elle faisait semblant de tout accepter tout en réfléchissant à sa revanche. Tout en se couchant, elle eut un sourire cruel. Les menaces des trois sœurs la tenaient en échec pour le moment, mais cela lui donnait le temps de réfléchir à un plan pour reprendre le dessus. Elle les punirait. L'enseignante, l’entraîneur, les joueurs de football et le concierge souffriraient avec les trois sœurs. Ils ne la verraient jamais venir.

FIN