Margot est une salope - récit érotique domination soumission professeur viol
Texte de Erosxx.
Ma mère se prostitue.
Quelques
mois se sont écoulés depuis les dernières frasques de Margot. Pendant ce laps
de temps, je me suis trouvé une copine et j’ai décroché quelques temps de Marguerite.
Hélas, ma copine et moi nous sommes disputés au sujet d’une broutille et nous
voici séparés. Du côté de Margot, elle vaque à ses occupations à savoir, ses
cours de français et ceux de danse du jeudi soir.
J’avais donc
laissé tomber petit à petit mes perversions sur elle et mon chantage mais
depuis peu, je suis en manque de sexe et étant redevenu célibataire, me voici
contraint d’assouvir mes perversions via le net. Je reste plus chez moi et je sors
moins, bossant et surfant sur des sites pornos. Je remarque aussi que ma mère
rentre très tard certains jours de la semaine : Le mercredi et le Jeudi. C’est
à ce moment que je commence me poser des questions et surtout celle-là : A-t-elle
un nouvel amant ?
Mercredi
soir, je sors chez des potes faire la fête. Il est prévu que je reste dormir là-bas
mais la copine d’un ami propose de me déposer vu qu’elle n’a pas bu. Arrivé
dans ma cité, je me mets à marcher en titubant un peu à cause de l’effet des
nombreuses vodkas que j’ai sifflé. Je connais l’endroit et pas besoin de
réfléchir pour retrouver mon chemin. J’utilise l’ascenseur et me voilà en face
de la porte de l’appartement.
Afin de pas
déranger ma mère en train de dormir, je ne fais pas de bruit pour ouvrir la porte.
En pénétrant à l’intérieur, j’entends de la musique en bruit de fond et des
cris ou plutôt des gémissements répétés, le bruit régulier des ressorts d’un
lit. Ça vient de la chambre de ma mère.
J’avance à
petits pas en essayant de faire le moins de bruit possible et c’est là que je
découvre le pot au rose. Sur le lit, je vois allongé un homme. Il est habillé
et son pantalon est baissé. Il est en train de faire des va et vient sur une
femme nue avec des seins énormes. Cette femme, il ne me faut pas longtemps pour
le reconnaître. C’est ma mère, Margot.
Ils ne m’ont
pas vu, trop occupé à leur plaisir. L’homme émet des grognements en même temps
qu’il la baise tandis que ma mère, gémissante, écarte largement ses cuisses
musclées pour l’accueillir. Elle serre le dos de l’homme avec ses mains. L’inconnu
malaxe l’opulente poitrine tout en la baisant. C’est brutal car l’homme la
bourre à grand coups de bite. Je vois le visage de maman, la bouche ouverte et
les yeux fermés. Au bout d’une bonne minute, elle s’aperçoit de ma présence et
écarte les yeux stupéfaite :
- Eeeh, dis
donc Sylvain !
L’homme se
retourne vers moi en faisant la moue. Il est brun, le teint mat, mal rasé et
environ la trentaine. Il ne dit rien et remonte son froc lentement.
- Je croyais
que tu devais dormir chez tes amis.
- Désolé
maman, mais je pensais pas te déranger.
Agacée, ma
mère s ‘assoit mollement sur le lit. Elle est ruisselante de sueur. L’homme
sort un paquet de cigarettes sans rien dire et lui en propose une ainsi qu’à moi.
- Merci, je ne
fume pas.
Ma mère s’empare
de la cigarette et l’allume. Depuis peu, elle fume à bloc et boit beaucoup. La
cigarette aux lèvres, elle se lève, toujours à poil et file à au salon pour se
servir un verre de whisky. En se déplaçant, ses seins lourds bougent mollement
et on reste à fixer sa chatte et son cul. L’homme me regarde et me dit :
- T’as de la
chance d’avoir une mère comme ça. Une vraie salope avec un corps de pute. Tu l’as
déjà baisé ?
- Oui !
- Ça ne
m’étonne pas. Ton père il sait pour ta mère ? Je veux dire qu’elle le fait
cocu à fond ? Que c’est une véritable salope ?
- Non et
heureusement.
- Oui, il
faut garder le secret et tu peux éventuellement la faire chanter avec ça.
- C’est déjà
fait.
- Héhé ! T’es
un sacré pervers toi, dis donc. Faire chanter sa mère pour la baiser. On va
pouvoir s’entendre.
Je suis
comme attiré par ce gars que je ne connais pas. Maintenant, je sais qu’avec
lui, on va pouvoir bien s’éclater. Ma mère, encore nue, s’est vautrée dans le
canapé du salon, buvant et fumant à volonté. On discute un peu de cul et sur
nos préférences. On a un point commun : les gros nibards et lui aime bien les
femmes noires. Il dit qu’il a connu Margot par un copain à lui dont la copine
assistait au cours de danse.
- Je crois
que sa paire de nibards fait son succès à ta mère ! Tu ne peux pas t’imaginer
le nombre de mecs qui voudraient se la faire.
- Pas besoin
de l’imaginer, j’ai déjà vu leur regard quand je l’accompagne des fois à son
cours.
On la
regarde en train de finir son verre et sa clope. Elle se retourne et nous voit
la mater. On se lève et on la rejoint. Dylan, c’est son prénom, se glisse entre
ses cuisses et moi derrière elle. Je place mes mains sur ses gros melons tandis
que mon nouveau pote lui broute le minou. Elle se laisse faire avec plaisir,
heureuse de pouvoir remettre ça mais avec deux hommes maintenant et en plus l’un
des deux est son propre fils. La langue de Dylan est bien habile et s’introduit
dans le sexe béant et humide de Margot qui écarte un maximum les cuisses. Moi,
je suis derrière elle, palpant sa grosse poitrine. Stimulée, elle finit par
émettre des gémissements de bonheur. Chaque sein est énorme et je m’en rends
compte en les soulevant. Dylan, tout en fouillant la chatte fournie de ma mère,
monte une main tentant de peloter un des gros melons. Il place les deux jambes
de maman sur ses épaules et finit par lui lécher le nombril. La tête renversée,
instinctivement, ma mère me roule une pelle de chienne en chaleur. Son haleine
n’est pas top à cause du mélange tabac et alcool mais elle compense par sa
technique. Sa langue s’enroule autour de la mienne. On sent le plaisir dans son
regard. Sa langue fouille ma bouche ; cette même langue qui a léché les glands,
taillé des pipes à de nombreuses occasions. On continue à la palper ainsi pendant
un temps. Enfin de compte, on finit par la baiser à deux puis chacun son tour
pour le reste de la nuit.
Le
lendemain, ma mère part quand même dispenser ses cours de français mais avec
une tête fatiguée que même le maquillage outrancier a du mal à masquer. En plus
de ça quelques nausées due à l’alcool. Mais elle a pris soin de mettre une
belle chemise blanche, classe et une jupe noire style secrétaire, des bas
transparents et des mules. Malgré le sous tif, ça bouge dur dans la chemise.
Ses élèves peuvent aisément deviner la taille de sa poitrine opulente par les
formes qui ressortent de sa chemise. A ce propos, je pense qu’ils doivent être
nombreux à se branler en pensant à elle.
Dylan
fouille dans son sac et en sort un débardeur magnifique noir avec de petites
bretelles. Il est brodé et moulant. Mais lorsqu’il le déplie entièrement, on
voit que le décolleté est gigantesque et que le débardeur, laisse apparaître le
ventre de celle qui le porte, un peu comme un body. Maman et moi, restons les
yeux rivés sur ce débardeur qui se résume finalement à un magnifique bout de
tissu fin noir, ce tissu ne servant qu’à cacher la poitrine de la femme voulant
le porter. Pour finir, et devant ma mère stupéfaite, il sort une mini-jupe et une
paire de sandales noires, très très fines. Il pose le tout doucement sur la
table du petit salon.
- Voilà, c’est
pour toi Margot. Tu vois que je pense à toi.
- Dylan, je
suis contente mais tu comprends que je ne peux pas porter ça à l’extérieur.
- Tu fais ce
que tu veux mais bon, je connais d’autres femmes qui le feront et qui n’attendent
que moi.
- Quoi ?
Tu me quitterais pour ça ?
- Je veux
bien te faire plaisir mais toi tu ne veux pas.
Je prends
Dylan à part, un peu en colère.
- Putain, tu
fais du chantage à ma mère !
- Oui, et
toi je te fais une proposition. Je connais une copine noire avec de gros seins.
Une baiseuse sénégalaise.
- Et ?
- Je te
branche avec si tu demandes à ta mère de porter ça.
- Attends, c’est
trop exagéré ! C’est sûr que c’est top bandant mais ?
- A toi de
voir ! Mais pense à Sonia : c’est son nom. Sa poitrine est presque aussi grosse
que celle de ta mère et en plus, c’est une superbe noire.
- Tu fais
chier Dylan ! Mais de toute façon, maman refusera.
- A toi de
jouer ! Pense à Sonia, c’est tout
Il rit car
il devine bien mon envie de rencontrer cette fameuse Sonia. Depuis le temps que
je rêve de faire l’amour à une noire avec de gros seins, l’occasion est trop
évidente.
Le mercredi
suivant, Dylan propose d’aller en boite y rejoindre des potes à lui. Il tient
une fois de plus à ce que Margot s’habille avec la petite tenue qui lui a
offerte. Mais même maman avait ses limites en termes de provocations. Cette
mini-jupe était vraiment trop courte et trop moulante. Ce n’est pas le fait de
la mettre qui la gêne mais surtout par rapport aux autres dans la rue. A ma
connaissance, je n’ai jamais vu de filles mettre ça en ville et j’ajoute même
que les rares prostituées que j’ai pu observer ne sont pas habillée aussi
court.
- Je ne suis
pas d’accord pour que maman mette ça non plus ! Il y’a une différence entre
sexy et provocation. Qu’elle le mette ici c’est bon mais pas dehors, merde.
- Je
comprends que tu ne veuilles pas qu’il arrive des problèmes à Margot mais bon,
si on y va en voiture, c’est bon.
- Non,
Dylan, ici, c’est chaud et je ne veux pas non plus qu’on me voit comme ça. Et
même en boite, ce n’est pas décent. Je n’ai pas envie de passer pour une espèce
de pute. Sans compter que je risque de tomber sur des élèves à moi.
Je ne dis
rien mais je n’en pense pas moins. Margot a déjà une sale réputation dans la
cité, en plus elle est prof. Mais je sais que Dylan, considère déjà ma mère
comme une pute et que ses réticences ne lui font rien du tout. Dylan est
contrarié et me reparle de l’opportunité de baiser Sonia, la sénégalaise. Sa
façon de la décrire est vraiment excitante et il me fait vraiment envie. Mais
accepter un tel marché, c’est aussi risquer de provoquer des embrouilles pour
ma mère, et de grosses embrouilles. On décide d’annuler la sortie pour cette
semaine mais je dis à Dylan que je vais réfléchir à une solution.
Comme d’habitude,
ma mère et moi rentrons à la maison de campagne rejoindre mon père. Encore un
dîner de famille avec ma tata, mon oncle et mes grands-parents. Chaque fois, c’est
la honte vis à vis d’eux de les regarder comme ça sachant les perversions que
ma mère et moi effectuons. Une honte mais aussi une espèce de plaisir pervers
de briser les tabous. Ah, s’ils savaient que Margot, qui parle si bien à table
et qui se comporte bien avec eux est une véritable salope.
Le samedi
soir, je sors avec de vieux amis en boite. Ma mère reste avec mon père. Peut-être
baisent- ils ? En tous cas, nous, on ne fait pas grand-chose à part
consommer des alcools fort hors de prix. On rentre vers deux heures. Je passe
le reste de la nuit à calculer la proposition de Dylan. J’entends du bruit dans
la cuisine. Je me lève. C’est maman qui est en nuisette transparente. On voit
tout à travers. Elle va au bar se verser sa ration d’alcool. Je crois bien qu’elle
devient alcoolique petit à petit. Elle me voit.
- Alors,
Sylvain, ta soirée ?
-Bof et toi ?
Tu as baisé avec papa ?
- Chut
Sylvain, ça ne va pas. Ne parle pas si fort. On a fait l’amour mais bon, ce
n’était pas le top.
- C’est à
dire ?
- Eh bien ça
dure dix minutes, voilà.
Je n’en
revenais pas. Mon père avait une femme superbe et bandante et il la baisait à
peine. Je prends un verre de whisky aussi et le vide cul sec. Puis je fixe la
grosse poitrine de ma mère dont on devine la pointe des seins et les auréoles
sombres. On voit aussi sa chatte sombre à travers la nuisette. Je plaque mes
mains sur ses deux gros seins.
- Sylvain,
non pas ici, tu es fou, ton père, il dort en haut.
Elle tente
de me repousser mais je suis trop excité, j’arrache même le décolleté de sa
nuisette pour en extraire un des énormes seins. Je la soulève et la pose sur la
table en soulevant le bas de la nuisette pour avoir accès à sa chatte. Elle
résiste un peu, la peur d’être surprise en flagrant délit d’inceste par mon
père. Mais je finis par la pénétrer. La situation est si excitante que je la
bourre comme un animal sur la table de la cuisine. Ça fait du bruit car la
table bouge en même temps que je fais des va et viens. Rapidement, elle gémit
et s’abandonne totalement, les pattes écartées. Je sens que je vais me lâcher alors
je me retire d’elle. Je lui enlève sa nuisette comme on ferait à une poupée et
je la jette. Je la retourne alors et lui écarte les jambes. Je la sodomise sans
lubrifier mais à quoi bon. Son anus a suffisamment été pénétré pour supporter
ça. Là, je la bourre à nouveau par le cul. Ses seins sont aplatis sur la table
mais ils sont si gros qu’on a l’impression que ma mère se trouve sur un coussin
et qu’elle rebondit dessus. Là, elle gémit. Dire que je baise maman, à poil sur
la table de la cuisine, dans la maison familiale. Mon bonheur est de courte durée
car je finis par juter en elle, remplissant son cul de sperme. Quel bonheur. Je
me lâche jusqu’à la dernière goutte. Je me refroque et aide ma mère à se
relever. Elle est à poil. Son cul dégoulinant de sperme. Elle remet sa nuisette
et file se coucher. Les couilles vidées, je rejoins ma chambre aussi.
Le
lendemain, on retourne à la cité. On discute de la soirée dans la voiture.
- Ecoute
Sylvain, ne refais plus jamais ça dans la maison de campagne.
- Bof, on
n’a pas fait trop de bruit.
- Si ton
père se réveille tu imagines les conséquences.
- Oui, m’an
je sais mais j’avais trop envie de baiser.
- Eh bien
retiens toi un peu et je ne suis pas à ta disposition pour que tu te vide les
couilles sans arrêt. Retrouve-toi une copine.
Je ne réponds
rien mais une fois arrivé à l’appart, je ferme la porte.
- A poil,
maintenant !
- Quoi ?
- A poil, n’oublie
pas le chantage.
- Sylvain,
arrête ça. J’ai des copies à corriger pour demain.
- Bon, tant
pis, je vais diffuser tes exploits sur le net.
- Non, non,
sylvain, non !
- Alors à
poil.
Ma mère ôte
ses fringues une à une. Elle se retrouve en sous-vêtements.
- Garde ton
string mais enlève ton soutien-gorge que je puisse voir tes gros seins à ma
guise.
Elle s’exécute.
Montrer ses seins ne la gêne plus.
- Voilà, tu
restes comme ça tout ce soir et soit prête à me satisfaire si j’ai envie de me
vider les couilles.
Elle part
corriger ses copies avec pour seul vêtement, son string. Si ses élèves savaient,
plus d’un seraient heureux de voir la scène. C’est vers 22H00 que j’ai une
soudaine envie de baiser. Je la prends par derrière sur son bureau, ses gros
seins plaqués contre les copies. Surprise car elle était concentrée, je la sens
réticente. Je lui baisse son string et me met à la pénétrer. Mon excitation est
extrême et le bureau bouge sous mes coups de sexe. Ses seins énormes frottent
contre les copies pendant que je la bourre. Désireux qu’elle me suce, j’enfourne
alors ma bite dans sa bouche et dans l’excitation, je lui jute en plein visage.
Hélas, du sperme éclabousse les copies ce qui met fin à notre baise. En colère,
elle me repousse.
- C’est pas
vrai, du sperme sur mes copies.
Déjà, les
encres se diluent avec mon foutre. Le visage tout gluant, elle se met
machinalement à essuyer les copies. Je file à ma chambre en laissant ma mère se
débrouiller avec ça. Je me demande quelles excuses elle donnera à ses élèves.
Le
lendemain, je décide de sécher les cours et je reçois un appel de Dylan. On se
donne rendez-vous dans un café. Je fais plus connaissance avec lui. Il est
chômeur et donc passe son temps à baiser ses amantes en journée. La plupart du temps,
ce sont des femmes mariées, mères au foyer qui s’ennuient chez elle. Leur mari
étant au travail et leurs enfants à l’école, elles se trouvent des amants par internet.
C’est comme ça qu’il les rencontre. Ce gars est vraiment un pervers baisant des
femmes de 20 à 60 balais. Il m’avoue que ma mère est l’un des meilleurs coups qu’il
ait eu et qu’il pense aller très loin avec elle. Je lui raconte aussi mes histoires
avec elle et ce qu’elle m’a dit sur son passé.
- Elle me l’a
raconté aussi. Une vraie salope. C’est vrai aussi qu’elle a failli tomber
enceinte avec des militaires ?
- Elle m’a
dit aussi et qu’avant, elle prenait pas trop ses précautions et effectivement elle
a failli tomber enceinte plusieurs fois.
- Eh ben,
une vraie chaudasse ! Au fait t’as réfléchi alors ?
- Ouais, je
suis d’accord mais faudra la convaincre elle.
- Force la
avec ton chantage.
- C’est
vrai, je n’y avais pas pensé. On va la voir et lui mettre la pression à deux.
- C’est
bien, si ça marche, je te fais baiser avec Sonia.
- Par contre
je ne sais pas ce que tu veux faire. L’exhiber en boite, c’est assez banal
finalement et la plupart des filles sont fringuées sexy.
- Toi, tu ne
dois penser qu’à Sonia.
Le soir, on
attend ma mère , vautrés sur le canapé. On lui explique le topo.
- Bande de
salauds ! j’en ai marre de cette situation. Eh ben, ok, je vais le faire !
Hein, Sylvain, tu es content que ta mère ressemble à une pute, eh bien je vais
le faire. Voilà.
Elle va s’envoyer
un verre et file à sa chambre. On fixe le rendez-vous le mercredi soir. Dylan
passe directement à l’appart habillé pour faire la fête, jean moulant, tee-shirt
blanc. Ma mère s’est enfermée dans la salle de bain et se prépare. Elle en ressort
au bout d’un quart d’heure mais ça valait le coup d’attendre. On reste à la
regarder en silence, la bave aux lèvres. Attifée de la sorte, ma mère à l’air d’une
vraie pute.
- Alors,
vous êtes contents ?
On regarde
Margot, cette femme mature de 44 ans, au visage méditerranéen et le teint mat,
maquillée comme une pute avec ses cheveux mi longs et noirs qui descendent au
niveau des épaules. Son corps est un appel au sexe cru. Son débardeur noir avec
de petite bretelles lui va à merveille sauf que ses seins sont si énormes que l’on
se demande comment de si petites bretelles peuvent tenir une telle paire de
loche. Le décolleté est gigantesque et limite raisonnable. Elle n’a pas mis de
soutien-gorge et donc, ses gros seins sont soumis à la gravité et pendent
mollement. Le bout de ses tétons déforme le tissu et pointe vers le bas. Son
ventre est à nu. L’âge lui a fait prendre un peu de ventre mais ça reste
honnête car avec la danse, elle a su garder la ligne. Sa mini-jupe est
incroyablement moulante comme si Dylan l’avait pris taille en dessous. Comme
elle a un string, on dirait que chaque fesse est moulée. La mini-jupe est à ras
la chatte et on peut voir les longues jambes nues et musclées dont les mollets
sont mis en valeur par les talons aiguilles de ses sandales fines.
On a très
envie de la baiser là, mais on se retient et je sens que Dylan a une idée
derrière la tête. J’ai une gaule d’enfer et en plus je me mets à penser à ma
récompense : Sonia la noire. Je demande à ce que maman porte une veste pour
éviter les embrouilles avec la cité où on habite. En regardant Dylan, j’ai l’impression
qu’il s’en fout que ma mère risque le viol et qu’il serait content. Mais obsédé
par Sonia, je laisse tomber. On finit par sortir sans problème. Le manteau est
long et on passe inaperçu. Par contre, Dylan nous conduit dans une boite
louche. Elle est en sous-sol déjà et rien n’indique que ça en est une. En bas,
c’est enfumé, bourré de monde. On se trouve un coin et Dylan va commander et revient.
Ma mère enlève sa veste et c’est l’effet immédiat.
- Je me sens
mal, là. J’ai l’impression d’être une proie pour des pervers.
- Mais non
Margot.
Dylan voit
que je commence à pas être trop ok. Et il s’éclipse puis revient avec une noire
plantureuse.
- Voilà Sonia.
- Voilà Sonia.
Je reste
muet devant cette noire aux gros seins. Habillée un peu comme maman, mais en
moins court, elle est terriblement excitante. Avec un accent africain, elle
nous dit bonjour. Les cheveux tressés et teint en blond, sa bouche semble vraiment
insatiable. Je reste fixé sur ses lèvres. Nous restons à discuter. Les verres
se succèdent, l’ambiance s’échauffe. Ma mère commence à rire bêtement et Dylan,
malin comme un pou, l’emmène danser. Sonia alors me fait du pied et m’invite à
aller à côté, un couloir avec des chambres cote à cote. Je comprends tout de
suite. Sonia est une pute. Mais bon, rien à foutre et tant mieux. Elle me met
la main sur mon sexe après avoir commencé à déboutonner mon pantalon. Puis elle
m’entraîne au fond, son lieu de travail. Elle vire son sous tif et me pousse
sur le lit. Là, après m’avoir grimpé dessus, elle me fouette le visage avec ses
gros seins noirs en riant. Elle sort mon sexe gonflé à bloc. Je ne fais rien, c’est
elle qui fait son truc. En vraie pro, elle me suce le gland après l’avoir
soigneusement décalotté. Entre deux suçages, on se tape un verre de whisky et
rapidement je suis saoul. Elle me pompe le dard et je reste là, à me faire
sucer par une pute, à la merci de son professionnalisme. J’en profite pour
masser se seins noirs aux tétons démesurés. Elle finit alors par s’empaler sur
mon sexe et à faire des va et vient en gémissant. Saoul et trop excité, je jute
rapidement, en déchargeant tout ce que j’ai. Puis trop crevé, je finis par m’endormir,
la bite à l’air.
Il doit être
dix heures quand je me réveille. Sonia n’est pas là. Je me refroque et vais au
bar. Les chambres sont occupées. J’entends des rires venant du bar. Là je vois
Dylan et trois nanas dont Sonia. Ils m’invitent à prendre un verre. Sonia me
paraît un peu plus grosse que hier. Je devais être bien allumé.
- Alors, il
paraît que Sonia s’est bien occupée de toi ?
Je souris et
elle rit fortement.
- Oui.
Je demande
un café.
- Au fait,
où est maman ?
- Elle doit
être dans une des chambres à dormir.
- Quoi ?
- Ta mère, c’est
une vraie pro.
Ils rient tous.
- C’est quoi
cette histoire ?
- Ben disons
que je sais pas ce qu’il lui a pris mais elle a voulu faire la pute hier.
- Ma mère,
faire la pute ? C’est toi qui monté le coup, je suis sûr.
- Demande
aux filles !
Elles
acquiescent. Quelques épaves sortent des chambres. Les filles rient. Je crois
que je suis tombé sur une espèce de bar à putes pas très légal. Au bout d’une
heure, ma mère émerge, détruite.
- Dylan,
espèce de Salaud, tu m’as prostitué !
- Non, c’est
toi qui est allé de ton plein gré.
Elle me regarde
et je pense que Dylan ment. Mais comment le prouver.
- La preuve,
j’ai ton fric.
Il sort les
billets. On se demande combien de mecs sont passés sur ma mère vu la somme. Ma
mère s’empare des billets.
- Salaud, je
vais les garder !
Sonia dit :
- Pas la peine
de s’énerver, Margot.
- Mon
string, un pervers a dû l’emporter, je suis nue en dessous ma minijupe.
Elle fond en
larme. Elle n’est même pas sûr qu’elle ne soit pas responsable de sa prostitution.
Elle se fait verser une bonne dose de whisky. Ma mère récupère sa veste et on
repart à la cité. Pas un mot dans la voiture et Dylan conduit tout peinard. Je
sais que c’est un coup monté par Dylan. Il m’a payé une pute pour m’endormir et
prostituer ma mère en profitant de son ivresse. Tout était calculé. Une fois à
l’appart, ma mère boit un verre et va sous la douche.
- T’es qu’un
salaud Dylan !
- Et alors t’as
pris ton pied avec Sonia.
- Oui.
- Te plains
pas. Je t’ai dit, ta mère c’est une pute de toute façon. Qu’elle le veuille ou
non.
Dylan a
raison et je le sais. C’est pour ça que je crise pas.
- Allez, de
toute façon, tu pourras revenir au bar quand tu veux. Tu es le bienvenu.
- Merci.
- Et ta mère
aussi. J’ai rarement vu autant de mec demander une femme comme ça. Y’a du fric
à se faire avec elle.
- Salaud !
Il rit et s’en
va. Ma mère sort en peignoir, nue en dessous.
- Mais quel
porc, quel salaud !
Je lui fais
un café.
- Tu crois
que je suis une pute, Sylvain ?
- Non.
- Dis le moi !
- Bon oui,
je pense que tu en es une de toute façon. Et même si je sais que Dylan n’est pas
étranger à ta prostitution.
Ma mère boit
son café et va se coucher. Je sais qu’elle est nue dans son lit. Je fonce à sa
chambre et retire la couette. Elle n’est pas encore endormie. Je décide alors
de la baiser furieusement.
FIN.