jeudi 15 mai 2025

Rumeurs vicieuses Ch. 03

Traduction d’un texte de Iwroteathing

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De gros changements dans la vie de Gladys.

Gladys tressaille de frustration. Connaître l’identité de son abonnée lui a certainement enlevé un poids. Hugo lui a assuré que son secret était en sécurité et que rien de mal ne se produirait. Mais Gladys ne peut s’empêcher de penser que chaque conversation qu’elle avait avec Hugo était comme un cours qu’elle lui donnait, le guidant à travers un sujet qu’il ne comprend pas.

- Mon mari arrive vendredi et reste pour le week-end, mais tu peux voir que ça va poser des problèmes si je dois me comporter comme un chien à la maison. Explique Gladys.

- Oui, absolument ! Acquiesce Hugo, distrait par le fait que Gladys se tienne nue dans les toilettes de l’école pendant leur conversation téléphonique.

- Je me demande si je peux être autorisée à porter des vêtements et à ne pas être une salope pendant la visite de mon mari ?

- Cela semble raisonnable ! Répond Hugo.

Gladys laisse échapper un soupir de déception que même son ancien élève ne peut manquer.

- C’était une mauvaise réponse ? Demande-t-il.

- Tu n’as pas besoin d’être raisonnable. N’oublie pas que je suis une catin idiote dont tu tiens le destin dans ta main. Tu peux obtenir tout ce que tu veux en échange de sauvegarder mon mariage. Explique Gladys.

- Oh d’accord, je vois… répond Hugo

Immédiatement son esprit bouillonne d’idées trop nombreuses à exprimer, l’excitation et la peur donnant à son visage l’air de quelqu’un qui aurait trouvé un billet de loterie gagnant sur le sol lors des funérailles de sa femme. Gladys reconnaît  ce regard et sait que sans conseils, Hugo va être coincé pendant un certain temps. Elle prend son téléphone et commence à taper un SMS à son ancien élève pour pouvoir le guider sur la suite des choses sans ruiner ses fantasmes.

« Soyez en colère parce votre esclave a oublié sa place, puis exigez qu’elle le demande correctement avant même de considérer sa demande ».

Hugo lit le texte, puis son visage se tord de nervosité.

- Ecoute salope ! C’est moi qui contrôle la situation, tu n’es qu’une pute qui fait ce qu’on lui dit de faire. Tu dois te souvenir de ta place. Alors demande-moi correctement et j’envisagerai peut-être de te laisser faire semblant d’être humaine ! Bégaie-t-il, affichant un faible sourire à la fin.

- je suis vraiment désolée, Maître. J’ai eu tort de vous parler comme si nous étions égaux.

Gladys place la caméra sur le côté pour pouvoir prendre place à genoux entre deux urinoirs, ses seins bombés se serrant entre la porcelaine alors qu’elle se penche en arrière et pose ses fesses sur ses chevilles.

- S’il vous plaît Maître, laissez-moi sauvegarder mon simulacre de mariage ! Laissez-moi garder mon mari cocu dans l’ignorance que sa femme est une sale pute. J’attendrais ici jusqu’à ce que vous me répondiez.

Hugo hoche la tête, stupéfait, et raccroche. Au moment où il le fait, Gladys saisit son téléphone et commence à taper une liste de contraintes pas lesquels elle pourrait se rattraper auprès de lui, lui disant d’en choisir trois.

Gladys se remet alors à genoux entre les urinoirs en attendant sa décision. Elle a commencé à téléphoner assez tard dans la nuit et elle passe son temps à imaginer ce qui peut lui arriver si Hugo ne lui répond pas à temps. Peut-être qu’il s’est endormi en examinant sa liste, ou peut-être qu’il découvre soudainement son côté sadique et qu’il ne la laissera pas partir avant le début des cours du lendemain matin. Inévitablement, elle est un peu déçue lorsqu’il lui envoie un SMS peu de temps après avec les contraintes qu’il a choisies, son seul acte de réflexion indépendante étant la punition qu’il a rédigée si elle désobéit.

«  Chaque fois que vous passerez une journée sans effectuer aucune des tâches répertoriée, je modifierai les frais d’accès à votre compte Skanbank et les mettrai à un euro pendant vingt-quatre heures. »

Il va y avoir du travail, mais au moins, il apprend.

 *****

Gladys serre fort son mari dans ses bars alors qu’il s’efforce de transporter sa valise de sa voiture à la maison. Il regarde l’environnement d’un air désapprobateur. La vieille maison est modeste comparée au manoir qu’ils partagent et aux hôtels de luxe dans lesquels il séjourne régulièrement. Mais son humeur s’améliore quand il voit à quel point Gladys est excitée de lui faire visiter la prestigieuse école.

Partager une maison rappelle à Gladys et son mari pourquoi ils sont mariés. Ils cuisinent tous les deux sans se gêner et préparent un repas qu’ils vont apprécier tous les deux. Ils ne se disputent pas sur la façon de se répartir les taches. C’est ce qui compte dans leur relation, pas les hauts et les bas parfois colériques, mais le confort de passer du temps ensemble, et même de ne rien faire. Gladys souhaiterait désespérément pouvoir redevenir la personne qui trouvait ça suffisant.

Après le dîner, ils s’installent dans le salon, la télévision allumée pour créer un bruit de fond entre les longs silences pensifs de leur conversation. Ils rattrapent le temps perdu alors que Gladys finit sa bouteille de vin plus vite que son époux finit ses bières. Finalement, la patience de son mari est épuisée, il veut discuter de choses importantes.

- Je vais devoir vendre notre maison bientôt. Commence-t-il.

Gladys a l’air nerveuse, mais le sourire de son mari la rassure.

- Personne ne le sait encore, mais un député va prendre sa retraite avant les nouvelles élections. Et certains de mes amis hauts placés veulent que je prenne sa place. Cependant, cela signifie que je vais devoir déménager pour me faire une réputation dans la région du député.

Gladys répond alors avec sincérité :

- Chéri, c’est une nouvelle fantastique. Tout va bien pour nous. Auras-tu besoin de mon aide pour déménager ?

- Pas vraiment en fait, c’est même une chance que tu aies ce logement à l’école. Comme je vais pouvoir déménager tranquillement sans me soucier de te faire vivre ça. Du moment que tu es prête à vivre seule un peu plus longtemps.

L’esprit de Gladys s’emballe et imagine toutes les dépravations qu’elle va pouvoir réaliser.

- Tant que ça ne te dérange pas d’être séparée de ça ! Répond-elle en posant ses mains sur ses seins.

Son mari sourie poliment, comme un enfant qui reçoit un cadeau de Noël d’un parent âgé et éloigné. Gladys connaît ce regard et dit immédiatement :

- Je vois que tu es fatiguée, donc je ne vais pas t’allumer pour que l’on batifole sexuellement.

- Merci.

Son époux finit sa bière et se dirige vers le lit. Sa femme reste assise seule dans le salon, lui laissant tout le temps pour qu’il s’endorme profondément.

Au bout d’une heure, elle sait qu’il est si bien endormi que rien au monde risque de le réveiller. Elle met alors son plan à exécution. Elle programme son téléphone en vision nocturne et le pose face au lit dans lequel dort son mari, sa masse étant la pièce maîtresse de sa vidéo.

- Regardez ce cocu, il dort alors qu’il a une salope en chaleur pour femme. Murmure Gladys, se sentant un petit peu coupable d’insulter l’amour de sa vie.

Mais elle ne culpabilise pas assez pour s’empêcher  de s’agenouiller derrière sa tête et ouvrir sa chatte pour la caméra. Avec précaution, pour ne pas faire bouger le lit, elle se met à jouer avec son clitoris en suçant ses tétons pour contenir ses gémissements. Une fois qu’elle est bien préparée, elle passe au plan principal.

Elle se retourne et se déplace maladroitement pour que sa chatte et son cul flottent juste au-dessus de la tête de son mari endormi. Puis elle prend le plug anal qu’elle a préparé et l’introduit lentement en elle.  Ensuite, elle saisit un gode et commence à le faire entrer et sortir de sa chatte, se baisant à quelques centimètres au-dessus du visage de son mari endormi. Elle essaie de ne pas faire de faux mouvements pour le réveiller et avoir à trouver une explication innocente à la situation. Elle mord le matelas pour contenir ses gémissements alors qu’elle se baise de plus en plus vite, regardant de temps en temps par-dessus son épaule la petite led rouge de son téléphone qui lui rappelle qu’elle humilie autant son mari qu’elle-même, tout cela pour Hugo. Elle hurle dans l’oreiller et s’éloigne de son mari alors qu’un orgasme traverse son corps.

Son époux n’a même pas bougé.

 *****

Le week-end qui suit est idyllique et romantique. Le samedi, Gladys part en promenade avec son mari et ils visitent quelques sites historiques locaux avec de nombreuses légendes. Ce soir-là, ils ont un dîner romantique dans le restaurant le plus chic de la région. Même s’il s’agit d’un pub gastronomique haut de gamme, il est à la hauteur des exigences du mari de Gladys, avec des plats d’origine locale cuisinés par un chef espérant obtenir une étoile Michelin un jour.

Une fois que son époux est profondément endormi à la fin de cette journée, rêvant de son avenir parfait avec sa charmante épouse, celle-ci en profite pour s’enfuir de la maison avec rien d’autre que son téléphone, un sac et les clés de la voiture de son mari. Sa mission est de prendre des selfies nus dégradants à chaque endroit qu’ils ont visité plus tôt dans la journée.

Sur les routes de campagne, les fesses nues sur le siège en cuir, la ceinture de sécurité maladroitement nichée entre ses seins nus, Gladys réfléchit à toutes les choses qui pourraient mal se passer. « Et si je me fais arrêter par la police ? », « Et si quelqu’un travaille encore dans les endroits où je vais ? », « Et si mon mari se réveille et remarque que sa voiture a disparu ? ». Tous ces questionnements s’évanouissent quand elle se gare sur le parking du château visité dans la journée. Elle est heureuse de voir que ce parking est vide, l’une de ses autres inquiétudes étant de se garer nue sur un parking qui aurait pu être un lieu de rencontre pour exhibitionniste.

Gladys a déjà un plan pour cette première photo :
Devant le château se trouve un groupe de piloris destinés aux touristes. Pendant la journée, Gladys et son époux s’étaient tous deux moqués de ceux qui se précipitaient sur ces piloris qui n’étaient même pas historiquement exact. Gladys sort nerveusement de sa voiture et s’approche de l’un de ces appareils en bois.

Il lui faut un certain temps pour trouver un endroit où poser son téléphone afin d’avoir une bonne vue d’elle dans l’engin. Finalement elle peut le poser sur une poubelle à proximité, régler le zoom de l’appareil photo ainsi que le retardateur. Elle appuie sur le bouton et sprinte jusqu’au pilori, tenant sa poitrine généreuse pour l’empêcher de trop rebondir. Une fois qu’elle atteint l’appareil, elle insère ses poignets et son cou dans les fentes appropriées et elle rabat maladroitement le dessus en bois. Puis elle attend.

Gladys sait qu’elle doit attendre pour que la photo soit prise, mais elle ne peut s’empêcher de s’imaginer coincée dans le pilori. Et s’il ne s’ouvrait pas ? Elle serait alors bloquée là, jusqu’au matin, jusqu’à ce qu’un inconnu vienne la libérer, après, peut-être, avoir obtenu un paiement en échange de sa libération. Elle se relève sur ses pieds et sent la planche au-dessus de sa tête bouger, ce qui brise son fantasme. Un lieu touristique ne peut sûrement pas prendre le risque que quelqu’un se retrouve coincé dans un de ces engins. Gladys attrape son téléphone et court vers sa voiture en riant. Une fois à l’intérieur, elle envoie la photo à Hugo.

L’étape suivante de sa tournée est un point de vue au sommet d’une grande colline que Gladys avait gravi avec son mari. C’est certainement plus facile de s’y rendre en voiture et Gladys peut trouver une place de parking. Malheureusement, la nuit, le point de vue n’est pas aussi spectaculaire, mais cela n’empêche pas la directrice de garer soigneusement son véhicule devant l’un des panneaux indiquant le point de vue, d’équilibrer son téléphone sur un muret et de prendre une photo d’elle, étalée sur le capot de la Mercedes de son mari comme un mannequin dans les calendriers de nus dans un garage.

Son dernier arrêt est celui qui l’inquiète le plus. C’est le pub gastronomique où ils ont mangé plus tôt dans la journée. Le pub est situé sur une route traversant une ville assez calme, dans une zone construite et pavillonnaire, avec des logements où des gens pourraient voir Gladys effectuer sa mission exhibitionniste. Ce pub n’a pas de parking réservé aux clients, étant donné que ceux-ci peuvent se garer sur la route. Toutefois, la voie n’est pas assez large pour que les voitures se garent des deux côtés et les résidents ont déjà pris toutes les places disponibles. Gladys passe un certain temps à parcourir les rues en essayant de trouver le meilleur endroit pour se garer avant de soupirer et de s’arrêter à mi-chemin dans un cul-de-sac tranquille à quelques maisons du restaurant.

Le cœur de Gladys commence à s’emballer alors qu’elle sort de la voiture. Elle ouvre rapidement le coffre pour attraper un sac qu’elle avait préparé plus tôt avec quelques accessoires, puis elle se met à marcher rapidement dans la fraîche nuit de printemps  en direction du pub. Il est très tard, mais Gladys espère pour son avenir que personne dans ces maisons tranquilles ne souffre d’insomnie, ne travaille tard, ou aucune des douzaines de raisons qui pourraient pousser quelqu’un à regarder dans la rue et la voir marcher nue en public. Ses pieds nus font un léger bruit de claquement sur le bitume. Elle tourne au coin de la rue et voit la façade du pub, entièrement éclairé, même à cette heure tardive.

Elle se dirige vers la porte d’entrée, ses yeux scrutant les alentours à la recherche d’un rideau qui bouge, d’une fenêtre qui s’ouvre, de toute indication que son exhibition ne sera pas seulement pour son appareil photo. En venant jusqu’ici, dans la voiture, son choix de pose et de photo s’était formé dans son esprit et était resté ancré. Comme la plupart des pubs de campagne, celui-ci avait un petit poteau à l’extérieur, spécialement installé pour qu’après leur promenade, les propriétaires de chien puissent y attacher leur animal dehors alors qu’ils allaient boire un café. Gladys fixe ce poteau en sortant son collier, sa laisse et son plug anal de son sac.

Elle attache la laisse au poteau, prête à être attachée à son collier une fois qu’elle aurait réglé le retardateur de son téléphone portable. Elle aurait pu prendre la photo dans la voiture arrêtée devant le pub, mais le fait de devoir se mettre à quatre pattes sous les lumières vives augmente son humiliation et son excitation. Elle appuie sur le bouton de l’appareil et elle se précipite vers le poteau, attache la laisse, se met à quatre pattes comme un chien, la langue pendante, attendant que son téléphone prenne la photo.

Gladys est sur le point de déclarer son défi réussi et de rentrer chez elle lorsqu’elle remarque du coin de l’œil une chose qui mérite une autre photo. Pas loin du poteau se trouve une gamelle en plastique sur laquelle est écrit « eau pour chien » au marqueur noir. Elle jette un œil à l’intérieur et voit l’eau pas très propre. Elle sait instantanément qu’elle veut faire une photo avec.

Elle déplace la gamelle, règle à nouveau son téléphone sur retardateur, mais en mode rafale pour prendre une succession de photos. Une fois le minuteur en marche, elle se déplace rapidement dans trop réfléchir ni hésiter, elle attache de nouveau la laisse et se place en diagonal par rapport à l’objectif si bien que lorsqu’elle se penche sur la gamelle, la queue sur le plug et sa chatte humide sont clairement dans le champ. Son visage est aussi dans le champ. On peut clairement voir ses yeux plissés de dégoût alors qu’elle tire la langue et commence à laper l’eau sale dans la gamelle.

Après avoir entendu l’appareil photo émettre une série de clics, elle décide que sa mission est accomplie. Elle jette un dernier coup d’œil autour d’elle en ramassant ses affaires et elle s’enfuit vers sa voiture. Une fois qu’elle est en sécurité à l’intérieur, elle regarde les photos et se masturbe jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme puissant. Puis elle transmet toutes les images à Hugo avant de rentrer chez elle.

Le lendemain matin, devant sa fatigue apparente, son mari lui demande combien de temps elle est restée éveillée. Gladys n’a pas de réponse à lui donner.

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Le dimanche, le couple continue ses visites, mais la ballade ne peut pas durer trop longtemps étant donné que Gladys, ce soir-là, doit faire une ronde dans les couloirs de l’école. Le seul problème est que son mari veut venir avec elle.

- Désolé chéri, mais tu dois passer une série de vérifications pour entrer dans l’école. Mais ne t’inquiète pas, tu ne rates rien. Explique Gladys qui tient à la main son sac qui contient son plug avec sa queue et son collier.

- Mais j’ai fait ces vérifications en prévision de visite des écoles pour ma campagne pour être député. Allez, je peux bien te tenir compagnie…

- Bien alors. Répond Gladys, des papillons dans le ventre.

Elle avait accepté le défi de Hugo de faire un tour de l’école à quatre pattes, mais elle pense que ça ne sera pas possible avec son mari à ses côtés.

La ronde de nuit se déroule lentement. La compagnie de son mari est agréable, mais Gladys ressent de la tristesse à l’idée de manquer à ses devoirs. Après un certain temps à faire visiter l’école à son époux, adorant le visage réjoui de celui-ci alors qu’elle lui explique l’histoire qui imprègne chaque couloir, son mari lui demande d’aller aux toilettes.

Alors qu’il entre dans les toilettes des garçons, Gladys se demande s’il y restera assez de temps pour qu’elle s’échappe et effectue son défi. Toutefois il ne lui faut pas longtemps avant qu’il sorte.

- Gladys, tu devrais voir ça, il y a plein de graffitis grossiers à ton sujet ici !

Il insiste et Gladys entre et ne peut s’empêcher d’avoir une réaction de sa chatte à l’idée de se retrouver dans les toilettes des garçons qui est souvent le lieu de ses jeux dégradants. Sa culotte s’humidifie tandis que son mari la conduit vers la cabine qu’elle connaît bien. Au-dessus de la cuvette un étudiant a écrit : « Je veux enfouir ma bite au fond du cul de Quedir », espérant clairement relancer l’habitude que cette cabine devienne le défoulement des élèves. Gladys voir que son époux la regarde, s’attendant sûrement à la voir embarrassée et en colère, mais au lieu de ça il la voit avec une lueur malicieuse dans l’œil.

Gladys attrape son mari et le jette contre le mur de la cabine, sa bouche verrouillée sur la sienne alors qu’elle commence à déboutonner son haut.

- Gladys, je n’ai pas encore utilisé les toilettes ! réussit à expliquer son conjoint entre deux baisers.

Elle jette son soutien-gorge sur le côté et répond :

- Parfait ! Tu devrais pisser sur mes gros seins de salope !

Elle retire rapidement et furieusement sa jupe et ses collants, mais son mari ne bouge pas, l’air inquiet.

- Vas-y ! Je veux être ta buveuse de pisse !

- Gladys ! Qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? Hurle son époux en reculant.

Elle voit son regard et, pendant un instant, elle est capable d’apaiser son désir brûlant. Pour la première fois depuis longtemps, elle se sent profondément gênée par sa perversion.

- Nous allons en devoir en parler, n’est-ce pas ?

Gladys est assise nue dans les toilettes des garçons et commence une conversation profonde avec son époux sur la place de sa déviance dans leur relation. Au cours de la conversation, il devient clair que son mari n’est pas seulement hétérosexuel, mais plus que ça.

- Tu es asexuel ! Réalise Gladys, en lisant entre les lignes de ses pensées vicieuses.

- Je crois que j’ai toujours eu l’impression que j’avais des relations sexuelles avec toi pour satisfaire tes désirs , pas les miens ! Admet son mari en regardant ses chaussures.

- Ce n’est pas grave, l’asexualité n’est pas une honte. Notre relation est bien plus que ce qui se passe ou ne se passe pas dans notre chambre à coucher. Le console Gladys en posant sa main sur son épaule.

- … Ou dans les toilettes des garçons de ton école.

Gladys soupire et admet :

- Je suppose que c’est à moi de me confier maintenant. Peut-être qu’à un moment donné, quelqu’un a aspiré toutes tes envies et les a mises en moi. J’ai l’impression d’avoir une libido très élevée, et je passe mes soirées à faire des choses très perverses pour la satisfaire.

- Il y a eu combien d’autres hommes ?

- Aucun ? Ment Gladys.

Elle réalise que même dans ces moments de conversation ouverte, il est préférable de ne pas donner de détails sur Hugo et SkankBank.

- C’est un fantasme de masturbation extrême. Je fais semblant d’être une artiste sur un site pornographique en me filmant alors que je réalise des défis déviants. Puis je regarde ces films chaque fois que je veux revivre ce fantasme.

- Que veux-tu dire par « défis » ?

- la plupart du temps je me mets nue et masturbe dans des endroits où je ne devrais pas être.

- Bon sang Gladys ! Et si quelqu’un te voyait ? Cela détruirait notre vie et nos rêves : Explose son mari.

- Fais-moi un peu confiance, je n’ai pas encore été attrapé. Je suis prudente et intelligente.

- Et il y a cinq minutes, tu me suppliais de te pisser dessus. J’en sais assez sur les tentatives de séduction jetées aux riches et aux puissants pour savoir que les gens excités ne pensent pas clairement. Crie son époux, toujours en colère.

- Attends ! Maintenant il n’y a que trois conclusions aux choses que je t’ai dites. Un, tu essaies de m’arrêter, moi et mon seul exécutoire pour ma libido, alors je finis par te détester, te cacher des choses et notre fabuleux mariage s’effondre. Deux, tu mets fin à notre mariage, ici et maintenant dans ces toilettes et tu détruis tout parce que tu ne peux être compréhensif. Ou trois, tu acceptes d’avoir épousé quelqu’un avec des désirs déviants, et même si tu ne les partages pas, tu accordes suffisamment d’importance à ton mariage pour laisser ta femme avoir de genre de libération sexuelle.

Gladys prononce ces mots d’une manière forte et puissante malgré le fait qu’elle soit nue dans des toilettes de garçons. Son mari prend une profonde inspiration et réfléchit.

 ******

- Bonjour mes abonnés ! Annonce Gladys, toujours dans les toilettes des garçons, mais portant maintenant son collier et son plug avec sa queue, une larme coulant sur sa joue.

- La vidéo d’aujourd’hui va être spéciale. Vous voyez, plus tôt dans la journée, j’ai dit à mon mari cocu qu’il était marié à une salope insatiable. Je lui ai dit que mon corps ne lui appartenait plus , mais qu’il était au service des abonnés qui ont payé pour ça. Je lui ai dis aussi qu s’il voulait être utile, il pouvait tenir la caméra.

L’objectif est retourné afin que son mari, mal à l’aise, puisse saluer :

- Salut… Je… Je suis… Je suis l’époux de… de cette salope… Explique-t-il nerveusement avant de retourner l’objectif sur Gladys.

- Qu’est-ce que ça te fait de voir ta femme avec qui tu es mariée depuis huit ans, se prostituer devant des inconnus sur internet ? Gémit-elle en caressant ses seins avec ses mains.

- Euhhh, je ne vais pas mentir… Ça me met mal à l’aise…

- Je suis sûre que mes abonnés vont adorer ça. Quoi qu’il en soit, j’ai accepté de faire le tour de l’école à quatre pattes comme la chienne que je suis. Voyons ce que ça peut donner avec quelqu’un qui tient la caméra ! Dit Gladys avant de sortir à quatre pattes des toilettes des garçons, son mari filmant derrière elle.

Libérée de la contrainte de tenir son téléphone, Gladys rampe plus lentement et de manière plus sensuelle, s’assurant que son époux puisse bien filmer ses fesses se tortillant et ses seins se balançant à chaque pas. De temps en temps, elle s’arrête pour faire un autre commentaire salace ou pour monter sa chatte luisante Finalement elle atteint son bureau et décide de continuer sa déchéance.

- C’est donc ici que je prétends être une femme prude et décente. Explique Gladys.

Puis elle fit signe à son mari.

- C’est aussi là que je garde mes marqueurs à encre permanente. Alors, mon gentil mari cocu, je veux que tu prennes celui-là et que tu écrives des choses horribles sur ma peau. Je veux que tu m’insultes tout en demandant à d’autres hommes de baiser ma chatte et mon cul. Peux-tu faire ça ?

Son mari la regarde, complètement effaré, mais malgré cette situation, son sourire le désarme et il se force pour rendre service à sa femme. Il prend un des marqueurs et Gladys est heureuse de pouvoir se doigter pendant qu’il écrit sur sa peau.

« S’il vous plaît, baisez ma putain de femme » est rédigé sur son torse.

Gladys lit ces quelques mots et commente joyeusement :

- Bon début chéri ! Mais n’oublie pas que tu me connais mieux que quiconque. Je veux que tu exploites mes faiblesses, que tu écrives des choses que tu n’oserais jamais me dire en face. Je te promets que je le prendrai comme la pute que je suis.

L’homme réfléchit un instant, puis dessine quelque chose sur son sein gauche avant d’écrire : « Bonjour, je suis Marguerite ».

- Oh c’est tellement méchant ! S’exclame Gladys, son doigt ne quittant pas sa chatte.

- Pour ceux qui ne comprennent pas, quand j’étais à l’école, des filles méchantes m’ont surnommée Marguerite après que mes gros pis de vache aient poussé.

Gladys a soudainement une idée.

- Tu te souviens comment cet homme dans un pub m’a appelée avant que tu le frappes ? Demande-t-elle tandis que son mari commence à écrire sur son sein droit.

« Grosse truie suceuse de bites »

- Oui bien ! Je veux maintenant que tu écrives sur mon ventre, le résultat de mes tentatives de perte de poids l’année dernière ! Ordonne Gladys.

- Je n’arrête pas de te dire que tu n’es pas si grosse que ça… Commence son mari avant de voir le regard de sa femme qui lui fait comprendre que ce n’est pas ce qu’elle veut entendre.

«  Weight Watchers est en faillite depuis mon régime »

- Oui, oui !! Maintenant je veux que tu me fasses comme un tatouage de pute. Sur le bas de mon dos, écris ce que j’ai entendu ton père dire le Noël avant notre mariage. Dit Gladys en se retournant et en sortant son cul.

- Il ne t’a jamais appelé comme ça, il a juste dit qu’il espérait que tu ne sois pas…

- Ecris-le tout simplement ! Répond Gladys.

Son époux obéit et marque « Pute à fric » là où elle lui a demandé.

- J’ai demandé un tatouage de pute au bas du dos, car je voulais garder mes fesses libres pour la fin. Mon mari sait qu’elle est la chose la plus blessante que quelqu’un m’ait jamais dite ? L’histoire que je t’ai racontée les larmes aux yeux après être rentrée de l’hôpital où j’avais dit au revoir à mon père.

L’inquiétude traverse le visage de son mari, mais Gladys se donne quelques claques sur le cul pour l’encourager. Alors il écarte la queue attachée au plug et écrit : « Je suis déçu que quelqu’un d’aussi intelligente que toi se marie pour l’argent. En fin de compte, tu n’es pas différente d’une prostituée ».

- Je parie que mes abonnés paieraient cher pour pouvoir m’enculer avec la désapprobation de mon père écrit sur mes fesses ? Mon Dieu, imagine s’il pouvait me voir maintenant, sa précieuse fille réduite à une salope en chaleur…

- Bon Gladys, ça va un peu trop loin ! Retournons aux toilettes des garçons pour que tu puisses remettre tes vêtements ! Intervient son mari, sentant qu’elle commence à s’énerver.

Il l’accompagne aux toilettes et lui tend ses vêtements.

- Merci pour ce souvenir. Je ne ferai plus jamais une chose pareille. Promets-moi juste que tu acceptes mon passe-temps secret ! Supplie Gladys en regardant son époux droit dans les yeux.

- J’ai toujours l’intention de passer le reste de ma vie avec toi, mais je ne ferai jamais partie de ce monde de fantasmes que tu as construit. Je dois veiller à mon avenir. Si tu te fais prendre ou si tu commences à avoir des relations sexuelles avec d’autres hommes, je mettrai fin à notre couple. Dit son mari.

Ils rentrent chez eux, bras dessus, bras dessous, espérant que cette nouvelle entente leur donnera à tous les deux ce dont ils ont besoin pour continuer à préserver leur mariage.

 *****

Lundi matin, alors que Gladys part à l’école, elle dit au revoir à son mari en sachant qu’il ne sera pas à la maison à son retour. Son aventure de la veille l’a revigorée et elle passe la journée en sachant que son corps est couvert de graffitis honteux et vulgaires alors qu’elle marche dans les couloirs comme la figure d’autorité de l’école. Elle garde les oreilles ouvertes pour toute rumeur qui pourrait aiguiser son appétit.

- Tu as vu la jolie Mercedes que conduisait le mari de Quedir ?

- Je parie qu’il y a plein du jus de chatte de la directrice sur le siège arrière !

- Que penses-tu qu’ils ont fait ce week-end ?

- Sûrement pas des parties de scrabble ! Tu crois quoi, il est riche et elle est nympho, ils ont dû baiser non-stop !

- Trop ennuyeux ! Je parie qu’elle a fait venir un tas de gars pour la baiser pendant qu’il regardait, caché dans le placard.

- Non je ne pense pas, je parie que ce type ne sait pas à quel point Quedir est une salope. Elle a donc dû se comporter comme une fille sage et c’est ce soir qu’elle va se transformer en nymphomane et baiser à tout va !

- Ouais ! Je parie qu’elle l’a fait dormir dans une autre chambre pour qu’il ne découvre pas qu’elle a les tétons et le clitoris percés.

- Ouais, mais si quelqu’un voulait percer ces énormes nichons, il lui faudrait une perceuse de chantier et une semaine de boulot !

- Francis , es-tu bête au point de croire qu’un piercing traverse la poitrine ?

Alors que la discussion se transforme en moqueries enfantines envers leur ami, Gladys ressent quelque chose de familier dans son estomac, une sensation de chose inévitable.

 *****

- Je suppose que tu as vu ma dernière vidéo ? Demande Gladys à son téléphone, étrangement à l’aise avec le fait d’être à nouveau nue sur le sol de sa cuisine.

- Putain oui, je n’arrive pas à croire que votre mari soit d’accord avec ça ! Dit Hugo avec avidité.

- Il n’est pas d’accord avec tout ça ! Il pense que je fais juste semblant de me produire pour des abonnés imaginaires, et il ne sait pas que ma chatte a sali ta bite.

Ils sourient tous les deux en pensant à leur secret commun.

- Alors maintenant qu’il est d’accord, il y a quelque chose que je voulais faire depuis un moment, mais que je ne faisais pas parce qu’il ne savait pas. Il y a une rumeur que j’ai entendue de temps en temps et qui vient de resurgir plus tôt dans la journée. Je veux des piercings sur mes tétons et mon clitoris.

- Waouhh ! Remarque Hugo en laissant Gladys légèrement frustrée qu’il ne dise pas autre chose.

- Tu vois, si j’écris sur mon corps, j’aime aller à l’école le lendemain en sachant que des grossièretés sont toujours sur ma peau, ce qui indique que je suis toujours une salope cachée sous mes vêtements. Avec des piercings, ce sera définitif.

- je me disais qu’un tatouage serait une meilleure solution, mais si vous pensez….

- Oh Hugo, tu es vraiment un Maître sadique ! Tu m’obliges à me faire tatouer en plus de me faire percer ? Interrompt Gladys avant que Hugo ne puisse revenir sur sa suggestion.

Son ancien élève ne sait pas quoi répondre, mais il voit le visage impatient de Gladys et il devine quoi répondre :

- Bien sûr que oui ! Balbutie-t-il.

- Bon, très bien, si tu l’ordonnes, je ne peux pas dire non. Quel genre de tatouage veux-tu que je me fasse faire ? Demande-t-elle en espérant désespérément qu’Hugo soit à la hauteur de la situation.

- Euhh… Vous pourriez faire quelque chose comme… Euhhh….

Il recommence à patauger alors Gladys doit intervenir :

- Je sais à quoi tu penses, le logo de SkankBank, juste au-dessus de ma chatte. Comme ça, tous ceux qui le verront sauront que je suis une salope pour l’argent. Qu’est-ce que tu en penses ? Demande-t-elle en n’attendant rien d’autre qu’un accord de sa part.

- Waouhhh, bien sûr, ce sera comme un cadeau d’anniversaire pour moi ! Dit Hugo.

- C’est quand ?

- Le 25 mai !

- C’est à peu près dans un mois et demi. Je vais devoir planifier quelque chose de spécial pour toi une fois que j’aurais embelli mon corps. Dit Gladys en se mettant à réfléchir.

 ******

Gladys se gare dans la grande ville al plus proche de l’école. C’est à une demi-heure de route, mais ça n’empêche pas les enseignants ou les élèves d’y aller pour faire du shopping dans un centre commercial ou profiter de toutes les choses que l’on ne peut pas trouver dans un village près de l’école. L’une de ces choses est un salon de tatouage et de piercings. Gladys a réservé à l’heure du déjeuner un mardi pour s’assurer que personne de son école ne la voit.

Elle porte un grand chapeau et des lunettes de soleil alors qu’elle marche vers le salon. Sa démarche est bizarre, car elle s’est rasée la chatte la nuit précédente et elle ne s’habitue pas encore au frottement de son pubis nu contre sa culotte. Une fois arrivée à la boutique , elle jette un regard autour d’elle dans la rue, puis elle se faufile par la porte, sursautant à la sonnette de la porte d’entrée. A l’intérieur, elle prend un moment pour examiner l’endroit et admirer les expositions de photos de tatouage sur les murs. Elle attend un peu avant qu’un homme élancé habillé de cuir ne sorte de l’arrière boutique nonchalamment.

- J’ai rendez-vous aujourd’hui pour un piercing et un tatouage. Dit-elle maladroitement.

Gladys a toujours eu l’impression d’avoir deux identités : la Directrice froide et la salope insatiable. Mis pour parvenir à ses fins, elle doit combiner les deux. Il faut qu’elle ait la tête froide pour avoir la capacité de prendre des rendez-vous et l’excitation pour avoir la volonté de le faire. Il s’agit d’avoir un état d’esprit qui s’adapte à ce genre de choses qui est bien en dehors de sa zone de confort .

- Ah oui ! Jade Marton c’est ça ? Répond l’homme.

Gladys grimace en entendant le faux nom qu’elle a donné.

- Suivez-moi dans la salle de consultation.

Gladys accompagne l’homme jusqu’à un petit espace derrière une cloison avec un lit médical. Elle regarde les murs tandis que les photos deviennent plus osées. Elle se sent rougir à la vue de piercings sur des tétons, des clitoris ou des pénis, sans parler des tatouages les plus inavouables.

- lors de la réservation, vous avez dit que vous vouliez vous faire percer les deux tétons, puis le clitoris et enfin un tatouage de trois ou quatre centimètres, le tout en une seule séance. Je ne peux que vous le déconseiller, car pour quelqu’un qui n’a jamais fait ça auparavant, la douleur pour être un peu trop forte, même avec un petit tatouage.

- Je peux le gérer… C’est juste que… Supplie Gladys

Elle réalise qu’elle ne peut pas continuer dans son état d’esprit habituel. Il faut qu’elle redevienne la salope insatiable qui peut faire ce genre de choses. Sans prévenir, elle commence à se déshabiller, se mettre nue et s’allonger en frissonnant sur le lit froid.

- Comme vous pouvez le voir, je me suis rasée la chatte et je ne peux plus passer une minute sans que mes seins de salope aient un piercing.

L’homme a l’air choqué, mais il ne semble pas dépassé par les évènements.

- Donc, vous avez dit que vous vouliez que le logo de SkankBank soit tatoué au-dessus de votre vagin, mais juste en dessous de la ceinture du bikini. C’est un tatouage assez simple, le tout ne devrait prendre que deux heures pour le faire correctement. Y a-t-il autre chose que vous voudriez ?

Gladys, maintenant nue et en confiance, décide d’ajouter une chose :

- J’aimerais que des photos de mon corps nu avant et après soient prises, et je vous paierai une prime pour que vous les affichiez sur le mur.

L’homme a tellement l’habitude qu’il ne lève pas les yeux au ciel, il connaît parfaitement ce genre de femmes qui viennent pour leur propre plaisir sexuel. Il sait comment en tirer profit.

- Les photos coûteront cent euros de plus. Si vous en ajoutez encore cent, je les mettrais sur mes comptes sur les réseaux sociaux.

Il y a vingt secondes, quand Gladys était habillée et calme, elle aurait refusé, mais maintenant, allongée nue devant l’homme elle n’a qu’une seule réponse.

- D’accord !

Avec calme, l’homme attrape son téléphone et se penche vers elle pour prendre la photo avant. Il est assez habitué avec ce genre de femme pour ne pas laisser apparaître son visage sur la photo. Il montre à Gladys son corps nu attendant qu’il travaille. Celle-ci frissonne d’anticipation, la chair de poule recouvrant sa peau. Elle ressent un mélange de sensation, le froid du lit médical, la nervosité à l’idée des modifications permanentes qu’elle va faire et l’excitation de se retrouver là.

L’homme saisit alors son pistolet de tatoueur. Il sait qu’il est moins risqué de commencer par là, les piercings ne pouvant être laissés à moitié faits si le client change soudainement d’avis.

Gladys gémit en sentant les picotements de l’aiguille bourdonnante opérer juste au-dessus de sa chatte, laissant derrière elle des petites piqûres douloureuses qui la marquent de façon permanente. Après environ une demi-heure, l’homme essuie le pubis de Gladys et lui dit qu’il a terminé. Gladys baisse les yeux et ne sait pas si les larmes qui emplissent ses yeux sont de joie ou de tristesse. Le logo de SkankBank est deux lèvres rose vif, une langue tendue de luxure, avec les initiales SB écrites en bleue dessus. Le tatoueur a parfaitement recréé le logo.

- Comment vous sentez-vous ? Demande-t-il de la voix la plus neutre possible, tout en essayant de faire croir qu’il se soucie de la femme.

- Sur un nuage ! Répond Gladys.

- Alors vous voulez qu’on continue avec les piercings ?

- Absolument.

L’homme range son matériel de tatouage et tire vers lui un chariot à roulettes qui contient le pistolet de perçage et des piercings. Il y a une sélection de petites barres parmi lesquelles choisir. Gladys prend des barres chromées avec des petits cœurs rose vif à chaque extrémité et une barre incurvée pour son clitoris. Une fois son choix fait, elle s’allonge sur le lit, ferme les yeux et respire profondément en sentant l’homme mettre le pistolet en position.

Il y a un petit clic, immédiatement suivi d’une explosion de chaleur douloureuse provenant de son mamelon gauche. Gladys émet un petit couinement, mais réussit à rester immobile en attendant le perçage de l’autre mamelon. L’homme recharge rapidement son pistolet et bientôt la directrice sent une autre explosion de chaleur douloureuse dans son autre sein. Puis Gladys sent que l’homme tire sur un levier du lit pour lever et séparer ses jambes en vue du piercing final. Elle sent ses mains froides gantées écarter ses petites lèvres pour donner l’accès au pistolet à son clitoris. Elle retient son souffle.

Gladys pousse un cri et l’entend se transformer en gémissement tandis que l’éclair soudain de douleur laisse la place à une douleur sourde et qu’elle sent le piercing chromé et froid reposer sur ses parties les plus intimes.

Après avoir attendu un moment, l’homme redresse le lit pour pouvoir prendre la photo « après ». Gladys entend le vrombissement de l’imprimante en arrière-plan pendant que le tatoueur lui explique les soins à prodiguer après ces opérations. Elle n’écoute qu’à moitié et pense qu’il faudra qu’elle fasse des recherches sur Google lorsque son esprit sera plus clair. Toutefois une phrase s’imprime dans son cerveau :

- … Le piercing clitoridien guérira assez vite, mais vous devez vous abstenir de rapports sexuels ou de tout ce qui pourrait gêner la cicatrisation pendant 6 semaines.

Ces mots résonnent dans son esprit. Cette expérience l’a excitée et elle ne s’est pas soulagée depuis au moins quinze jours. Et il faut qu’elle tienne trois fois plus longtemps. Elle ne sait pas comment elle va faire. L’homme lui montre les photos avant et après qu’il va afficher sur son mur. Gladys ne peut que prendre une photo avec son téléphone en se demandant désespérément combien de temps il lui faudra avant qu’elle ne puisse se remémorer cette exposition et se faire plaisir en se remémorant ce souvenir. Elle remercie l’homme, le paie, s’habille à la hâte et s’en va.

 *****

- Tu aurais dû voir dans quel état j’étais à l’école aujourd’hui. Je sentais les piercings frôler mes vêtements et m’exciter à chaque pas que je faisais. Mais je ne pouvais rien y faire. A ce rythme, ma frustration va s’accumuler jusqu’à ce que j’explose.

- Je suis désolé d’entendre ça ! Répond Hugo au téléphone.

Gladys se renfrogne en pensant qu’il la soutient au lieu de profiter de sa faiblesse. Son ancien élève continue :

- Si cela peut vous aider, la salon de tatouage a mis vos photos sur tous ses réseaux sociaux. Les gens du monde entier regardent votre corps. Et vous devriez lire les commentaires.

- Oh qu’est-ce que tu es vicieux ! Tu sais à quel point ces choses m’excitent, mais aussi à quel point je ne peux rien y faire. Gémit Gladys pour l’encourager.

Elle feuillette son agenda sur son téléphone pour voir ce que les prochaines semaines lui réservent, lorsqu’elle aperçoit la date d’anniversaire d’Hugo. Un idée folle lui vient.

- Hugo, ton anniversaire est dans environ 6 semaines, n’est-ce pas ?

- A ce propos…

- Bon, ça règle le problème. Que dirais-tu si j’organisais une fête d’anniversaire pour toi ? Et juste pour la rendre plus spéciale, je m’engage à ne pas avoir d’orgasme avant ton anniversaire, même si mon piercing sur mon clitoris cicatrise rapidement. Chaque jour qui va passer, je vais être de plus en plus frustrée, donc j’aurais de plus en plus besoin de me libérer et je serais donc de plus en plus disposée à accepter des choses horribles juste pour te faire plaisir.

- Ah… Euhh… D’accord… Acquiesce Hugo.

- Génial, ce soir tu m’enverras une liste de tous les plaisirs déviants auxquels tu peux penser et je m’en chargerai, peu importe à quel point c’est vicieux ou les efforts que je devrais fournir pour l’organiser. Explique Gladys, impatiente de voir quels sont les pires envies d’Hugo.

Plus tard dans la soirée, Gladys est impatiente d’ouvrir le message envoyé par Hugo, mais elle découvre une liste de choses aussi extrêmes et déviantes qu’un bain tiède. Il veut du sexe, c’est évident, mais la plupart de ses envies concernent des costumes différents. A un moment donné il y a une légère flagellation, mais c’est tout. Gladys soupire. « Qu’est-ce qui ne va pas avec ce mec ? » se demande-t-elle. « Il a eu le béguin pour moi pendant des années, et maintenant qu’il m’a, il veut juste... ». Gladys a une révélation et elle appelle immédiatement Hugo pour la confirmer. Son ancien élève répond nerveusement au téléphone et Gladys ne lui laisse pas le temps de parler.

- Hugo, est-ce que tu me considères comme ta petite amie ? Demande-t-elle sérieusement.

Son ancien élève regarde le sol nerveusement, ne sachant que répondre à cette question. Alors Gladys continue :

- Tu aimes que je sois sexuellement ouverte avec toi, mais je pense que tu veux quand même me protéger. C’est pourquoi tu as gardé un œil sur moi après m’avoir attachée dans le couloir de l’école, c’est pourquoi tu t’es senti malhonnête de regarder mon contenu gratuitement. Oh mon Dieu, je viens de comprendre pourquoi tu as enchéri sur le lot du « vieux cogneur ». Même si tu aurais pu faire ce que tu voulais de mon cul cette nuit-là, tu ne voulais pas que quelqu’un d’autre soit méchant avec moi.

- Euhhh… Attendez… Si être traitée de cette façon vous rend heureuse…

- Je suis ta salope que tu peux humilier et faire chanter, tu ne devrais pas te soucier de ce qui me rend heureuse. Explique Gladys en essayant de garder son sang-froid.

- Si tu ne comprends pas ça maintenant, je vais organiser une fête d’anniversaire pour toi qui fera en sorte que tu le comprennes.

  ******

Hugo est assis dans son salon, les yeux fixés sur la porte, attendant que la sonnette retentisse et annonce le début d’une soirée mémorable. Il ne voulait pas suivre le plan que Gladys lui avait donné, mais il sait qu’il n’a pas le choix. Le premier invité arrive et, avec un soupir, il se lève pour l’accueillir.

- Joyeux anniversaire Gizmo, tu es prêt à faire la fête ! Hurle un homme portant une chemise criarde en entrant dans l’appartement luxueux.

Hugo frissonne en entendant le surnom qu’on lui avait donné à l’école, mais il sourit . Au cours de l’heure suivante, cinq autres hommes arrivent, tous ayant le même point commun : ils sont tous d’anciens camarades d’école d’Hugo. Celui-ci bavarde avec eux aussi longtemps qu’il le peut, mais inévitablement il sait qu’il doit mettre le plan de Gladys à exécution.

- Bon voilà, comme c’est mon anniversaire, que diriez-vous de boire un peu de champagne ? Mon esclave d’anniversaire, 6 coupes s’il te plaît ! Crie-t-il nerveusement.

L’appartement devient silencieux et tous les yeux s’ouvrent en grand à la vue de Gladys entrant dans le salon. Elle porte une cagoule noire sur la tête pour cacher son identité. Elle porte également une tenue de femme de chambre française, noire avec des bordures blanches en dentelle. Toutefois il y a des endroits où il n’y a rien sous la bordure en dentelle. Et les gros seins de Gladys avec ses piercings sont clairement visibles ainsi que sa chatte rasée avec le logo SkankBank apparaissant à travers la fine dentelle. Elle porte maladroitement un plateau avec les coupes de champagne , espérant ne pas être déséquilibrée sur ses talons de 15 centimètres qu’elle avait décidé d’enfiler. En regardant autour d’elle, elle reconnaît chacun des hommes. Ils sont tous d’anciens élèves qu’elle a invité.

- Putain Gizmo, il était temps que tu commences à profiter des ressources de ton entreprise. Plaisante l’un des hommes en s’avançant pour prendre une coupe de champagne.

- C’est vraiment ton genre celle-là. Regardez ces seins et ce cul ! Tu les as toujours aimés énormes.

- Ouais, vous vous souvenez du béguin qu’il avait pour Madame Quedir ?

- Ne soyez pas méchant avec lui, s’il n’y avait pas eu une grosse nana comme Madame Gros Nichons, il n’aurait jamais fait autant d’efforts pour assister aux cours informatiques et donc il n’aurait pas de site web pour recruter notre divertissement de ce soir.

- D’accord, alors quelles sont les règles avec elle ce soir ?

Hugo déglutit. Il se remémore le script que Gladys lui a fait apprendre et il le répète mot pour mot.

- je l’ai louée pour la nuit comme cadeau pour vous tous. Elle obéira à tous les ordres que vous lui donnerez. Mais il y a certaines règles à respecter : pas de photos ou de vidéos, rien qui ne puisse lui nuire, vous ne pouvez pas lui enlever son masque et vous devrez porter un préservatif si vous voulez la baiser.

Des murmures et rires se font entendre alors que les hommes réalisent ce qu’ils peuvent faire. Gladys reste aussi immobile qu’elle le peut, mais elle n’arrive pas à réprimer les tremblements de son corps.

- Putain Gizmo, c’est dingue. Je ne pensais pas que tu étais du genre à organiser  ces sortes de fêtes. Reconnaît l’un d’eux, décidant de tâter le terrain en tripotant brutalement Gladys qui gémit pour couper la réponse d’Hugo qui risque de dire qu’il ne l’est pas.

- Alors esclave de fête, montre à nous tous ton trou du cul !

Le corps de Gladys réagit et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle se penche en avant et écarte ses fesses sous les acclamations de ses anciens élèves.

- Je pense que nous allons tous avoir besoin de quelques verres supplémentaires et d’un peu de temps pour réfléchir à ce que nous allons faire de toi. Va nous chercher des bières et enlève tous tes vêtements à part tes talons et ton porte-jarretelle ! Ordonne un autre membre du groupe à Gladys pour l’envoyer à la cuisine.

Quand elle revient, toute la bande est assise sur les canapés en train de discuter. Le sujet de la conversation est le béguin d’Hugo pour son ancienne professeure.

- ...Mais derrière cet air sévère, on pouvait dire qu’elle était vicieuse.

- Ouais, c’était quelque chose dans ses yeux. Sans parler des rumeurs qui se répandaient à l’école à son sujet. J’ai entendu dire qu’elle se prostituait.

- Une prof d’informatique avec des gros nichons de salope comme ça, elle a dû les mettre sur internet !

Hugo rit nerveusement tandis que Gladys se lèche les lèvres.

- J’ai entendu dire qu’elle avait un site web sur lequel elle acceptait toute demande. Il fallait le trouver, mais si vous y arriviez, vous l’aviez à votre botte.

Gladys avait commencé à écouter la conversation en attendant avec impatience de nouvelles rumeur. Mais elle commence à s’inquiéter du fait qu’elle a déjà fait tous ce qu’ils suggéraient.

- J’ai entendu dire qu’elle avait laissé toute l’équipe de football la baiser. Mon Dieu, j’aurais aimé qu’elle nous laisse, à nus les ringards, essayer de la baiser.

Gladys sourit.

- Et puis elle est directrice maintenant, donc il est clair qu’elle a couché avec tous les membres du conseil d’administration.

- Bon les gars, vous êtes tellement occupés à fantasmer sur une salope à gros nichons que vous ignorez celle que nous avons là !

Un des gars se lève et passe ses mains de haut en bas sur le corps de Gladys.

- Qu’en dis-tu ma chérie ? Tu as envie d’être Madame Quedir pour nous ce soir ? Demande-t-il.

Gladys glousse, elle ne peut pas laisser passer une occasion comme ça.

- Oui Monsieur ! Répond-elle en enlevant sa cagoule.

La surprise fige la pièce. Hugo semble sur le point de s’évanouir. Elle avait prévu de se démasquer, mais elle n’avait pas averti son ancien élève. L’homme qui faisait courir ses mains sur le corps de Gladys tombe littéralement en arrière. Le temps semble s’être arrêté jusqu’à ce que Gladys brise le silence.

- Allez les gars, ne me dites pas que vous ne pensiez pas que toutes les rumeurs étaient vraies : Plaisante-t-elle en espérant une réaction.

- Qu… Quoi ? Réussit à balbutier l’un des hommes.

- Et bien, c’est comme vous l’avez dit, votre ancienne prof est aussi une grosse salope. Grâce à mes plaisirs déviants imprudents, j’appartiens à Hugo. Ce logo de SkankBank n’est pas peint, c’est un tatouage permanent qui dit que je suis une pute en vidéo pour le site web d’Hugo. Cette fête est mon idée, je ne peux pas supporter l’idée que d’anciens élèves pensent que je suis une femme respectable. Alors je suis ici pour faire tout ce que vous voulez.

- Même si on veut vous baiser ?

- Si tu veux salir ta bite sur moi, ma bouche, ma chatte et mon cul sont à ta disposition ! Ronronne Gladys en jetant un coup d’œil à Hugo qui est clairement sur le point de faire une crise cardiaque.

- Hugo, ça te va ? Demande un des gars en percevant clairement le choc et l’horreur qui paralyse son ami.

Gladys rejoint Hugo et l’entoure de ses bras, le berçant contre ses seins nus en lui murmurant à l’oreille :

- Ce n’est pas grave. Je vois que je t’ai poussé trop loin et je suis désolée. Si tu ne veux pas que ça continue, dis-le-moi et je courrai me cacher dans la chambre jusqu’à ce que la soirée soit terminée.

Gladys essaie d’apaiser son ancien élève, sa voix remplie d’inquiétude et de regret. Hugo l’entend et comprend à quel point elle le considère faible. Alors il prend une profonde inspiration et décide de se montrer fort, pour Gladys et pour lui-même. Il se lève, attrape les cheveux de Gladys et l’oblige à se tourner pour qu’elle soit face au groupe.

- Je vous connais tous depuis longtemps. Je sais qu’Édouard fantasmait sur Madame Quedir presque aussi souvent que moi. Tu peux rire, Tristan, Mais je sais qu’elle était un de tes personnages principaux dans la bande dessinée érotique des institutrices qui font une orgie. Toi Damien, je sais que tu la détestais tellement que tes parents ont menacé l’école de ne plus faire de dons si tu n’étais pas transféré dans une nouvelle classe. Sans parler de toutes ces semaines que Grégory a passées dans les toilettes pour éviter d’aller à ses cours. Et toute la période où Vincent était en colère, car elle lui avait confisqué son téléphone. Tout le monde ici aime ou déteste Madame Gladys Quedir. Mais aujourd’hui, le jour de mon anniversaire, je peux montrer ma plus grande réussite. J’ai apprivoisé la chienne de l’école privée St Bernard si totalement, qu’à mon ordre, elle est maintenant prête à se dégrader de la manière que vous jugerez appropriée. Donc maintenant, voulez-vous simplement rester assis là ou voulez-vous régler vos problèmes avec cette connasse ?

Alors que les autres hommes applaudissent et crient, Gladys ressent un mélange confus de fierté, d’excitation , d’humiliation et de peur.

- Bien, on dirait que tu es une vilaine garce. Tu te souviens de ce que tu nous faisais quand on était pas sage ? Demande l’un des hommes.

Gladys hésite à répondre, lui laissant répondre à sa place :

- Tu nous faisais sortir de la classe. Alors va attendre dans le couloir jusqu’à ce que nous trouvions quoi faire de toi.

- Mais pourquoi la faire sortir dans le couloir ? Je veux la baiser maintenant !

- Nous devons nous concerter, sinon nous n’aurons pas tous la chance de faire ce que nous voulons. Et quel meilleur moyen de faire souffrir cette garce que de la mettre nue dans le couloir ?

- Oui, mais je peux penser à un tas de meilleures façons de…

C’est alors qu’Hugo les interrompt.

- Je suis d’accord que nous devons nous concerter. Je suis également d’accord que cela ne signifie pas que mon esclave peur se reposer tranquillement pendant que nous discutons. J’aimerais l’envoyer à l’extérieur, mais le couloir est trop calme. Salope, va nous attendre dans l’un des ascenseurs, j’espère qe nous ne mettrons pas trop de temps à discuter de ton sort.

Gladys est ébahie. Elle est sur le point d’objecter quand elle regarde Hugo dans les yeux et voit sa détermination. Elle comprend que si elle répond autre chose que « Oui Monsieur », elle va passer une nuit encore pire.

- Oui Monsieur ! Répond-elle en titubant vers la porte d’entrée, grimaçant aux différentes claques que ses fesses reçoivent en chemin.

Hugo vit dans un grand et impressionnant immeuble dans un quartier chic. Cet immeuble possède deux ascenseurs de luxe. Gladys appuie sur le bouton d’appel, puis se dirige vers l’ascenseur qui arrive. Elle grimace quand les portes se referment. Elle frissonne en voyant son corps nu se refléter à l’infini dans les miroirs collés sur les parois. A moins de fixer les portes de l’ascenseur, elle ne peut éviter de se voir sous tous les angles. L’ascenseur bourdonne tandis que Gladys essaie de contenir sa peur d’être emportée dans un autre étage du bâtiment.

Le temps passe alors qu’elle attend. A un moment donné, elle pousse un cri aigu au bruit des engrenages en mouvement. Mais ce n’est que l’ascenseur voisin. Son estomac se noue en se demandant combien de temps Hugo et ses mais vont passer à décider de son sort. Soudain elle sent ce qu’elle redoutait. Accompagné d’un vrombissement mécanique, son ascenseur commence à descendre. Quelqu’un l’a appelé et maintenant, elle va devoir expliquer ce qui se passe. Ses dents claquent littéralement de peur lorsqu’elle entend le ding mécanique et qu’elle voit les portes s’ouvrir en coulissant.

De l’autre côté, l’un des amis d’Hugo l’attend. Gladys se souvient de son nom. C’est Damien, et à en croire Hugo, il la détestait.

- Ha ! Je savais que tu aurais la trouille si j’appelais l’ascenseur d’un autre étage. Allez salope, on a décidé ce qu’on allait faire de toi ! Dit-il en montant dans l’ascenseur avec Gladys et en appuyant sur le bouton de l’étage d’Hugo.

Damien passe tout le trajet à pincer et tordre les tétons de Gladys, s’amusant de ses cris de douleur avant de la ramener à l’appartement.

- Nous avons décidé que comme nous sommes six, nous aurons chacun une demi-heure avec une pause de dix minutes entre chaque pour que tu puisses te rafraîchir ! Annonce Hugo.

- Après cela, nous ferons une photo commémorative que j’enverrai à mes amis après la fête. Si tu te comportes bien, ton visage sera flouté, mais si l’un d’entre nous entend le mot « non » passer entre tes lèvres de suceuse de bites, la photo ne sera pas censurée et tu auras six maîtres chanteurs au lieu d’un seul.

Gladys sent la peur l’envahir et elle déteste à quel point elle aime cette sensation.

- Nous avons un jeu à boire lors de nos fêtes. Et nous avons décidé que celui qui remporte la manche peut t’utiliser. Comme tu peux probablement le deviner, Damien a gagné, il a donc la première demi-heure avec toi. Vas-y Damien !

L’ami d’Hugo décide qu’il veut un peu d’intimité avec Gladys alors il la traîne dans la chambre d’amis où Gladys avait passé du temps avent la fête pour disposer une gamme impressionnante de jouets sexuels et d’instruments d’humiliation.

- Tout d’abord, je veux que tu dises que tu es désolée. Tu as toujours été une garce avec moi, alors je veux t’entendre t’excuser d’avoir été une vraie connasse. Grogne Damien.

- Maître Damien je ne dis pas non, je suis vraiment disposée à m’excuser. Mais ne serait-il pas plus amusant que vous me fassiez regretter ? Vous avez une demi-heure pour me faire regretter toutes les fois où j’ai été méchante avec vous, puis vous pourrez vous moquer de moi pendant je vous demande pardon.

- Tu es vraiment dans la merde, putain ! Mais non, tu vas t’excuser maintenant, mais je n’accepterai pas tes excuses tant que je n’estimerai pas que tu as été convenablement punie. Dit L’homme.

Il examine la variété de matériel à sa disposition puis il choisit une courte chaîne.

- Commence à t’excuser, salope !

Gladys se souvient que Damien était un petit con gâté. Ses parents donnaient suffisamment d’argent à l’école pour l’aider à fonctionner, alors le moindre problème était accueilli avec colère, et l’école cédait toujours. Le département informatique était particulièrement dépendant des dons pour pouvoir acheter les dernières technologies, donc même la célèbre et sévère Madame Quedir marchait sur des œufs avec lui. Pourtant, ce crétin visqueux s’opposait à ce qu’on lui enseigne plutôt qu’à ce qu’on le dorlote. Et il vait fini par changer de classe, une décision qui avait fait baisser considérablement la tension artérielle de Gladys.

- Ah… je suis vraiment désolée Maître, j’ai eu tort de me comporter comme une garce envers vous.

Gladys crie alors que Damien attache la chaîne à ses piercings et commence à la tirer par les tétons. Il rit de ses cris et de ses mouvements brusques.

- Tu ne sembles pas assez désolée. Répond Damin en la traînant derrière lui jusqu’à ce qu’il trouve la raquette qu’elle avait laissée sur une commode.

- oh, je suis vraiment désolée et j’accepte ma punition en sachant que mon gros cul doit être fessé pour mes fautes. Répond-elle en se penchant sur une chaise sans qu’on lui demande.

Damien caresse lentement ses fesses avec la raquette, la taquinant un peu trop longtemps avant de lui claquer les fesses.

- Aie ! Je suis désolée Monsieur ! S’il vous plaît, continuez à me fesser, mon cul doit devenir rouge pour ma punition.

Damien frappe le cul de Gladys avec la raquette. Ses coups sont plus durs et plus intenses que ce qu’a pu connaître Gladys auparavant. Ses fesses rougissent et à chaque coup elle ressent une explosion de chaleur et de douleur alors que son corps recule sous l’impact. Finalement Damien en a assez de fesser sa victime, alors il la tire par les cheveux jusqu’à ce qu’elle soit à genoux devant lui.

- Supplie, salope ! Ordonne-t-il en défaisant son pantalon.

- Je suis vraiment désolée. Vous étiez un étudiant intelligent et talentueux. Et j’étais tellement occupée à penser à quel point j’étais une salope déviante pour le remarquer. J’aurais dû sucer votre bite il y a des années, car vous êtes clairement supérieur à moi. Est-ce que je peux sucer votre bite maintenant ?

Damien tient sa queue raide dans sa main, mais il choisit de gifler négligemment le visage de Gladys avec.

- Je ne sais pas si tu peux ! Répond-il.

Il pose son pied sur la chaîne entre les tétons  de Gladys et la pousse pour la forcer de sorte qu’elle soit prostrée devant lui.

- La grammaire correcte est « Puis-je sucer votre bite ? ». Tu nous faisais tout le temps ce genre de remarques. Mais ton cerveau doit être éteint quand tu es excitée.

- Désolée monsieur, je suis en effet une pute stupide. Puis-je sucer votre bite pour me faire pardonner des horribles traitements que j’ai pu vous imposer ?

Damien enlève son pied de la chaîne et laisse Gladys se redresser. Elle est agenouillée devant lui, alors il hoche la tête en signe d’accord et elle enroule avidement sa bouche autour de sa bite.

Son sexe est à peu près de la même taille que celui de son mari. Mais comme il n’avait jamais vraiment aimé les fellations, Gladys n’était pas habituée à ce qu’une bite bien dure s’enfonce dans sa gorge. Elle a un haut-le-cœur, mais attrape les hanches de Damien. Lui, continue à tirer sa tête malgré ses objections gargouillantes. Si bien qu’à chaque fois qu’elle se penche en avant elle sent ses couilles venir battre son menton. Gladys n’a jamais fait jouir son mari lors de ses fellations, c’était juste des préliminaires. Alors elle est étrangement surprise lorsque qu’elle sent Damien se raidir et du foutre chaud envahit sa gorge.

- Avale tout ! Ordonne Damien alors que d’autres giclées de son sperme remplissaient la bouche de Gladys.

Elle trouve la texture désagréable, mais pas plus que le nourriture pour chien, alors elle n’a aucun mal à avaler tout son foutre avant qe sa bite molle ne sorte de sa bouche.

- Je n’arrive pas à croire que je puisse me venger comme ça !

- J’espère que vous avez suffisamment apprécié pour me pardonner ? Dit Gladys en se léchant les lèvres.

Damien prend un moment pour reprendre son souffle et remonter son pantalon. Il réfléchit un instant à ce qu’il va faire ensuite, puis il crache au visage de Gladys.

- Excuses acceptées ! Dit-il en gloussant avant de sortir de la pièce.

Gladys regarde l’heure et voit que Damien a fini cinq minute plus tôt. Ça lui donne quinze minutes pour se nettoyer et être prête pour celui qui va être le prochain. Elle entre dans la salle de bain de la chambre d’amis et utilise une serviette pour essuyer la salive sur son visage avant de retoucher son maquillage défait. Elle se gargarise avec un bain de bouche et envisage de retirer la chaîne entre ses seins avant de voir son reflet dans le miroir et d’admirer son corps.

Gladys n’a pas eu d’orgasme depuis un mois et demi. Ces humiliations l’ont mise dans un état d’excitation extrême. Et alors qu’elle fixe son corps nu de salope, prêt pour une nuit de servitude sexuelle avec ses anciens élèves, elle doit utiliser toute sa force mentale pour s’empêcher de se masturber sur le champ.

Finalement, elle arrache son regard du reflet dans le miroir et retourne dans le salon où se déroule la prochaine partie du jeu.

- Tu es une petite fêtarde impatiente, n’est-ce pas ? Ton prochain service est dans cinq minutes. Dit Hugo en posant négligemment une carte sur la table.

- les prostituées que l’on fait chanter n’ont pas de congés ! Répond-elle en prenant un verre et regardant avec impatience la partie pour savoir qui serait le prochain.

L’homme le plus grand, nommé Edouard, claque sa dernière carte et pousse un cri de joie. Il avait toujours été un élève calme, ne voulant jamais attirer l’attention sur lui. Gladys l’avait toujours trouvé attachant et s’était mise à beaucoup le féliciter et l’appeler « Eddie » à chaque fois qu’elle travaillait avec lui. Edouard la prend par la main et la raccompagne calmement dans la chambre d’où elle vient de sortir.

- Très bien madame Quedir ! Quelles informations Hugo a-t-il sur vous ? Je ne peux pas vous sortir de là ce soir, mais peut-être que je pourrais vous libérer si nous travaillons ensemble. Dit-il en colère, détournant ses yeux du corps nu de Gladys et inspectant la pièce.

- Eddie, calme-toi… Commence Gladys.

Mais elle ne parvient pas à dire plus.

- Est-ce qu’il a mis des micros chez vous ? Ou bien vous avez été piratée ? Peut-être que si nous trouvons quelque chose pour le faire chanter en retour, nous pourrons…

- Edouard ! Hurle Gladys, retrouvant son personnage de professeure sévère malgré sa nudité.

- Regarde-moi et écoute-moi attentivement !

Edouard se retourne, mais utilise ses mains pour couvrir sa vue du corps nu de Gladys, comme si ses seins étaient une lumière trop vive pour ses yeux.

- Le chantage fait partie d’un jeu que Hugo et moi avons. La vérité, c’est que j’ai dû le convaincre de me laisser me prostituer ce soir….

- Vous avez pas besoin d’essayer de m’expliquer, à moins que…

Edouard baisse la voix et murmure :

- Est-ce qu’il vous surveille en ce moment ?

Gladys lui tape dans les mains et lui répond sévèrement :

- Edouard, tu ne m’écoutes pas… Assieds-toi, respire profondément et je t’expliquerai tout.

Edouard lui obéit et ils s’assoient l’un à côté de l’autre sur le lit. Puis, quand elle sent qu’il s’est suffisamment calmé, Gladys se lève et lui fait face, ignorant ses grimaces d’inconfort face à son corps nu tout près.

- Eddie, tu dois savoir que je suis, et que j’ai toujours été une salope très perverse. L’image de Madame Quedir que tu as mise sur un piédestal n’existe pas. Seule existe la femme Gladys Quedir qui est une femme dépravée, avec qui tu as vingt-cinq minutes pour lui faire tout ce que tu veux.

Pour souligner ses propos, Gladys prend ses maisn et les pose lentement sur ses seins.

- J’ai toujours eu le béguin pour vous… Commence Edouard.

- Je sais ! L’interrompt Gladys en posant ses lèvres sur les siennes, appuyant son corps nu contre lui, sentant son pantalon se raidir contre son entrejambe.

- Alors oublions la fête, oublions mes déviances et faisons l’amour comme tu en as rêvé toutes tes années d’école.

Elle lance à Édouard un sourire qui le fait fondre sur place. Ses défenses baissées, il la tire contre lui et commence à caresser son corps.

Gladys le pousse en arrière sur le lit. Elle ouvre son pantalon et laisse échapper un petit cri devant le monstre qu’elle vient de libérer.

- Mon Dieu Eddie, c’est la plus grosse bite que j’ai jamais vue ! S’exclame-t-elle.

- Oh, c’est ce que vous dites… Répond-il timidement en retirant ses vêtements

- Non c’est vrai ! Répond sincèrement Gladys, à peine capable de mettre sa main tout autour de la bite, alors qu’elle la regarde attentivement.

-Ne bouge pas Eddie, je veux voir si je peux mettre tout ce monstre en moi.

Gladys arrive tant bien que mal à couvrir la bite d’Edouard d’un préservatif. Puis elle s’accroupit sur lui et se baisse lentement jusqu’à ce que son gland perce ses petites lèvres. Elle gémit en sentant le membre envahir de plus en plus sa chatte. Quand elle pense qu’elle ne peut plus en supporter davantage, elle détend ses jambes et sent ses cuisses claquer contre son cul alors qu’elle est pénétrée plus profondément qu’elle ne l’a jamais été. Elle commence à gémir de plaisir et de douleur en bougeant de haut en bas sur l’énorme bite avant de crier dans un orgasme refoulé en sentant sa bite palpiter en elle.

Après avoir passé un moment à reprendre ses esprits, Gladys se laisse tomber sur le côté et se blottit contre Edouard.

- Tu m’as encore pour cinq minutes, que puis-je faire d’autre pour toi ?

- Tout est parfait. Je ne veux pas vous humilier, je veux juste sentir votre corps nu contre le mien. Dit-il.

Gladys est triste d’entendre ça, mais au moins le petit Eddie a eu quelque chose de sympa dans cette soirée.

Lorsque Gladys revient dans le salon avec Edouard, elle découvre que le groupe a de nouveau joué. Elle peut donc passer à son prochain Maître. Elle a juste le temps de boire une coupe de champagne qui traîne.

La nuit se transforme en une tournée rapide des différentes envies fétichistes et problèmes d’enfance que les amis d’Hugo veulent satisfaire. Le prochain ancien élève lui demande de jouer avec sa bite en utilisant ses pieds. Elle enlève alors ses talons pour sentir la bite se frotter à ses bas. Après un moment, il lui demande de branler sa queue avec les pieds et il finit par couvrir ses bas d’une quantité impressionnante de sperme. N’ayant plus de réserve, Gladys retourne à la fête complètement nue.

C’est ensuite au tour de Tristan qui lui dit que dans sa bande dessinée, elle est toujours dominatrice. Gladys se sent bizarre qu’on lui demande de dominer quelqu’un. Mais au moins elle a un autre orgasme en s’asseyant sur son visage et en lui fouettant la bite jusqu’à ce qu’il jouisse douloureusement.

Le suivant est un gay qui n’assume pas. Gladys passe la demi-heure à le serrer dans ses bras et lui assurer que tout va bien.

Puis c’est Hugo qui l’emmène dans sa chambre plutôt que dans la chambre d’amis. Dès que la porte est fermée, Gladys peut oser la question à laquelle elle a réfléchi toute la nuit.

- Et maintenant ? Est-ce ton opinion sur moi a changé pour plus mauvaise qu’avant ? Demande-t-elle en regardant Hugo dans les yeux pour trouver un indice.

- Euhhh… Ouais. Répond-il sans vraiment savoir.

Gladys ne le croit pas. Il a fait des pas de géant ce soir, acceptant ses désirs et les satisfaisant mieux qu’avant, mais ce n’est encore qu’un jeu, elle peut voir dans ses yeux qu’il se soucie toujours d’elle.

- Ce sont des conneries ! Ordonne-moi de faire quelque chose que je refuserais si j’avais le choix ! Répond-elle.

- Est-ce qu’il y a vraiment quelque chose pour laquelle tu dirais non ? Demande sincèrement Hugo.

- Si j’y pense, je dirais probablement oui. Tu dois donc sortir des sentiers battus et me dégrader d’une façon que mon égo ne me permettrait jamais de le faire.

Hugo reste silencieux, son esprit une fois de plus figé par toutes les possibilités, son arrogance auprès de ses amis, perdue dans la pression du moment.

- Disons bien les choses. Si je crois que tu es toujours amoureux de moi, alors je ne pense pas que tu me dégraderas si je désobéis. Donc je vais sortir par cette porte tout de suite. Comment penses-tu que tes amis vont réagir si ton jouet sexuel t’humilie le jour de ton anniversaire ?

Hugo reste figé alors que Gladys se retourne et marche vers la porte. Sa main touche à peine la poignée quand Hugo crache :

- Appelle ton mari !

Gladys se fige.

- Qu… Quoi ?

- Tu as dit que ton mari pense que tout ça n’est qu’un fantasme pervers. Je veux que tu lui fasses un appel vidéo pendant que je t’enculerai. Et puis nous n’avons qu’une seule occasion de bien faire ça. Alors je veux que tu ailles dans le salon et que tu demandes si quelqu’un veut participer à cet appel à ton mari, s’il veut participer à l’expérience.

Finalement Gladys regrette son comportement.

 *****

Le mari de Gladys regarde sa nouvelle maison. Elle est aussi grande que l’ancienne, et pleine de promesses. Sa nouvelle vie, sa nouvelle carrière, tout ce qu’il a voulu construire, vont se construire dans cette maison. Il n’y a pas encore de meubles, donc le bourdonnement de son téléphone résonne dans le couloir. Il sourit lorsque qu’il voit la photo de la personne qui l’appelle, cette photo montre Gladys, riant à côté de lui sur une photo qu’ils ont prise le jour de leur mariage. Il a hâte de lui montrer tout ce qu’il a fait depuis leur dernière conversation.

La caméra s’ouvre sur un gros plan du visage de Gladys, un sourire douloureux indiquant que quelque chose ne va pas.

- Bonjour chérie… Gladys, ça va ?

La caméra fat un zoom arrière jusqu’à ce que ses seins qui rebondissent soient dans le champ, la chaîne reliant ses deux mamelons cliquetant en rythme. Gladys ne répond pas, car on lui a ordonné de sourire et de rester silencieuse pendant toute la conversation téléphonique.

- Tu t’es fait percer les tétons ? Je croyais…

La caméra fait encore un zoom arrière et on peut voir écrit sur son torse la phrase « Si vous raccrochez ou détournez le regard dans les cinq prochaines minutes, nous enverrons ces images à la presse. »

- Que se passe-t-il ? Comment oses-tu…

La caméra zoome encore un peu pour montrer sa chatte et son jus qui dégouline sur les genoux de l’homme en dessous d’elle, sa bite enterrée profondément dans son cul alors que Gladys continue à monter et descendre dessus. Son sourire lutte avec ses lèvres tremblantes alors qu’apparaît à la caméra deux hommes qui s’approchent d’elle, chacun ayant sa bite dans la main pour se branler près de son visage. Gladys saisit une bite dans chaque main et continue de les branler. Le mari de Gladys reste silencieux pendant que la caméra tourne pour filmer un autre homme qui entre en scène sur le côté et commence à baiser violemment le visage de sa femme.

Les bruits des haut-parleurs du téléphone du mari de Gladys résonne dans la maison vide. Il entend le bruite de sa femme qui s’étouffe, mêlé au claquement de ses fesses sur les cuisses de l’homme. Il voudrait raccrocher, mais il n’oublie pas le chantage des amants de sa femme. Il reste donc immobile, bouche bée, tandis que l’homme qui se fait sucer la bite fait un pas en arrière et gicle des filets de foutre sur le visage de Gladys. Dès qu’il s’éloigne , l’un des hommes qu’elle branle prend sa place et ne montre aucune pitié envers sa bouche et sa gorge. Il ne lui pas beaucoup de temps avant qu’il se retire de sa bouche et tapisse sa figure de son foutre. Un gémissement vient de l’homme sous Gladys et le mari suppose que l’homme vient de jouir dans le cul de sa femme. Puis le dernier homme repousse la main de Gladys et se branle jusqu’à ce qu’il arrose le visage déjà bien couvert de son sperme chaud.

Malgré tout, Gladys garde son sourire douloureux sur son visage tandis que le sperme coule sur ses lèvres. La caméra se déplace un moment vers son cul pour montrer un filet de sperme s’échappant de son petit trou. Puis l’objectif revient sur le visage profané de Gladys qui dit les seuls mots qu’elle est autorisée à prononcer !

- Désolé chéri, tu as épousé un sac à foutre !

L’appel vidéo cesse, l’écran devient noir.

 ******

Gladys est assise dans le train, se sentant délicieusement salope. Elle souffre encore d’une nuit passer à danser au gré des caprices de la fête. De temps en temps, quand elle est sûre que personne ne regarde, elle affiche la photo commémorative sur son écran, avant de le remettre dans sa poche et de laisser son esprit dériver vers le week-end qu’elle vient de passer.

Un autre coup d’œil à la photo la fait crier de plaisir embarrassé. Hugo n’a pas simplement partagé la photo avec ses mais, il l’a mise aussi sur la page d’accueil de SkankBank. Tous ceux qui se connectent au site peuvent voir son corps nu dégradé.

Elle est assise nue sur le sol, les jambes écartées, la chatte ouverte par ses mains, le logo tatoué au centre du cadre. Son torse est un peu rouge à cause de l’effaçage de la phrase de menace à l’intention de son mari qui avait été remplacée par « Je suis une pute de SkankBank ». Ce qui a le plus étourdi Gladys, c’est leur méthode pour dissimuler son identité. Ils lui ont mis une perruque blonde pour cacher ses cheveux noirs caractéristiques et ils ont caché son visage sous une épaisse couche de leur sperme.

Gladys y jette encore un œil. Elle se dit que sûrement quelqu’un parmi les milliers de personnes qui se fréquentent ce site va la reconnaître. Le foutre et la perruque  font leur boulot pour cacher son identité, mais elle se demande ce qui pourrait arriver si quelqu’un la reconnaît. Elle pense au temps que les adolescents passent sur les sites pornographiques. Il est presque certain que son corps nu sera vu par des élèves de son école, la question état de savoir s’ils la reconnaîtront ou pas.

Non, ce n’est pas vraiment la question. Avec tout ce qu’elle sait sur ses élèves, elle est certaine que la rumeur selon laquelle « Madame Quedir est la prostituée de SkankBank » finira par se répandre. Gladys sait aussi qu’elle peut encourager la rumeur avec un graffiti à l’endroit stratégique. La question qu’elle se pose est de savoir combien d’élèves vont croire à cette rumeur.

Ces pensées tourbillonnent dans son esprit, mais s’arrêtent immédiatement lorsque le taxi s’arrête devant sa maison et qu’elle voit la Mercedes de son mari garée devant…

 *****

Epilogue.

Les derniers mois ont été difficiles pour Gladys. Son mari a décidé qu’un divorce dans son milieu était moins handicapant qu’avoir une femme qui est une pute insatiable. Il a dit à Gladys que si elle se battait en justice pour quoi que ce soit, il montrerait des vidéos au conseil d’administration de son école et que ça lui coûterait sa carrière.

Au bout du compte, il ne reste plus à Gladys que son travail et l’école, mais en ce qui la concerne, c’est tout ce dont elle a besoin. Il fut un temps où elle voulait être puissante et riche, mais son passe-temps ne nécessite rien de cela.

C’est les vacances d’été et tous les élèves sont rentrés chez eux. Gladys est assise, nue, derrière la scène dans la grande salle, elle réfléchit à son avenir. Un bourdonnement de conversations emplit la grande salle et Gladys est trop excitée pour continuer à réfléchir sur son destin. Elle monte sur scène et se place derrière le pupitre, tandis qu’une trentaine d’hommes murmurent d’étonnement. Hugo avait invité tous ceux en qui il pensait pouvoir avoir confiance pour une école d’été pour les anciens de St Bernard. Une bonne partie des hommes avaient pensé qu’il mentait, mais ils voient maintenant le corps nu de leur ancienne enseignante sur la scène où se passaient des assemblés.

- Calmez-vous messieurs ! Bienvenue à l’école d’été. Le programme est le suivant ! Annonce Gladys.

Elle appuie sur un bouton et un diaporama commence à défiler.

Lundi : Biologie

(Une capture d’écran de Gladys s’étouffant avec un concombre alors que deux autres sont dans son cul et sa chatte)

Mardi : Histoire

(la photo prise par Gladys dans les piloris devant le château)

Mercredi : Géographie

(Une capture d’écran de Gladys nageant nue dans l’étang de l’école)

Jeudi : Informatique

(collage photo que Gladys a caché sur le site web de l’école et le lien vers son profil SkankBank)

Vendredi : Économie domestique

(capture d’écran de la vidéo de Gladys, huilée et en train de cuire au four)

Samedi : Éducation physique

(capture d’écran de la vidéo de Gladys se suspendant par les seins)

Dimanche : Écriture

(un collage des différentes choses horribles qui avaient été écrites sur la peau de Gladys)

- J’attends de vous tous que vous fassiez de votre mieux. Et je vous rappelle que pour répéter cette école d’été, il faut préserver mon secret. Donc aucune photo n’est autorisée et mon compte SkankBank sera supprimé à la fin de la semaine.

Les hommes murmurent entre eux tandis que Gladys quitte le pupitre et descend de la scène pour rejoindre ses étudiants.

FIN.

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