Traduction d'un texte de Black demon par Coulybaca (2007)
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Nathalie et la vedette de l'équipe.
- Maman, on s'est entraîné ce matin, l'entraînement prévu cet après-midi est annulé. L'entraîneur doit participer à l'entraînement des seniors. Je suis certain qu'il va faire très chaud cet après-midi, puis-je inviter trois copains à venir se relaxer en ma compagnie autour de la piscine au retour du match ? La vedette de l'équipe doit s'occuper des jeunes cet après-midi, il passera nous prendre. demanda Brian tout excité.
Nathalie était toute heureuse de voir son fils prendre du bon temps, elle lui accorda la permission d'inviter ses copains. Cependant savoir que le conducteur serait un des jeunes sportifs l'inquiétait un peu, mais finalement le terrain d'entraînement ne se trouvait qu'à quelques kilomètres de la maison.
Nathalie travaillait dans une agence d'assurance. Ayant largement dépassé son quota du mois, elle pouvait s'accorder quelques heures de congé. Aussi donna-t-elle son accord lui disant qu'elle leur prendrait quelques sandwichs sur le chemin du retour.
De retour chez elle, Nathalie vit une voiture de sport garée dans le virage, elle supposa qu'elle appartenait au joueur qui devait se charger des jeunes ados. Puis elle entendit des éclats de rire venant de l'arrière-cour où se trouvait la piscine. S'y rendant elle fut accueillie joyeusement par son fils et ses trois équipiers qui habitaient dans leur voisinage. Nathalie leur sourit saluant d'un geste les jeunes pataugeant dans la piscine, puis elle vit un colosse assis sur le bord, dans l'ombre.
- Oh... C'est "la cigogne"... Je veux dire Tyrone... Il joue dans l'équipe première et il nous encadre aujourd'hui. dit Brian lui présentant le musculeux athlète qui se levait pour la saluer.
Nathalie frémit à la vue de jeune homme à peine plus vieux de quelques années que son fils et ses amis et qui avait pourtant l'air d'être bien plus mature. Tyrone sourit et la salua, la toisant des pieds à la tête, il lui sembla que ce jeune homme la déshabillait littéralement du regard. Et de fait Tyrone s'imaginait cette ravissante jeune femme entièrement nue.
Comme les jeunes s'étaient avérés trop fatigués pour rentrer à pied, ils les avaient ramenés escomptant en tirer un avantage quelconque. Puisque les jeunes s'amusaient dans la piscine, il se préparait à quitter les lieux une fois sa canette de bière vide.
Tyrone avala sa salive, finalement c'était une chance qu'il ait ramené ces jeunes gaillards et qu'il ait consommé une boisson fraîche. Il convoitait déjà le petit cul de cette mignonne jeune femme blanche, il jugea qu'elle devait avoir aux alentours des 35 ans et devait peser quelques soixante kilos pour une taille de 1,75 m. Elle ressemblait à un ange, la blondeur de ses cheveux soulignant le bleu de ses yeux.
Tyrone ne s'imaginait pas rencontrer une si jolie jeune femme, elle avait un fils de treize ans et de longues jambes nacrées. Il s'imaginait déjà ses longues jambes se verrouiller dans son dos alors qu'il la baisait à couilles rabattues. Alors qu'il la lorgnait avec convoitise, elle tourna les talons et se dirigea vers la porte coulissante, il grommela son dépit de la voir partir, alors que sa bite palpitait. Il adorerait planter son plantoir dans son jardin fertile et faire un petit frère ou une petite soeur à Brian.
Dans sa cuisine, Nathalie reprenait son souffle, sa sérénité avait volé en éclat sous le regard pénétrant du jeune joueur. Se secouant, elle prépara des jus de fruit et sortit les sandwichs. Elle tira la porte coulissante et interpella son fils :
- Brian, peux-tu venir m'aider à apporter votre petite collation !
- Tout de suite maman ! répliqua-t-il instantanément.
Tyrone saisit illico cette opportunité d'approcher la ravissante mère du jeune garçon.
- Reste dans la piscine Brian, je vais aider ta mère, je ne suis pas mouillé moi ! dit-il au jeune garçon.
"Je ne suis pas mouillé pour l'instant, mais je suis disposé à imprégner mon pantalon de son jus intime !" pensa-t-il hilare.
Nathalie avait le dos tourné lorsqu'elle entendit la porte de la cuisine coulisser, elle supputa que c'était son fils qui venait à son aide. Un étrange émoi s'empara d'elle en sentant une présence inattendue dans son dos. Elle se retourna et frissonna en voyant le colosse à quelques centimètres d'elle, il ne portait qu'un maillot de bain rouge.
- Comment puis-je vous aider madame Stevens ? demanda-t-il à la jeune beauté visiblement très émue.
Nathalie resta muette, incapable de proférer le moindre mot. Tyrone poursuivit :
- Savez-vous pourquoi ils me surnomment "la cigogne" madame Stevens ? Ce n'est pas à cause de ma taille mais bel et bien parce que j'engrosse toutes les femmes que je baise, et j'adore me faire de ravissantes jeunes femme blanches. Vous êtes très belle madame Stevens !
Nathalie ouvrit la bouche pour le rabrouer, mais aucun son ne franchit ses lèvres. Elle reprenait avec peine ses esprits lorsqu'il lui prit la taille, l'attira à lui et entreprit de lui caresser lascivement la poitrine au travers de son corsage. Ses tétons s'érigèrent illico. Feulant son émoi, elle ferma les yeux, frémissant sous les caresses inconvenantes que ce jeune noir lui imposait dans sa maison.
- Oh ! S'il vous plait. Ohhhhhhhh... Je vous en prie. Nonnnnnn... pleurnichait la jeune femme éperdue, alors qu'il continuait à lui peloter les seins.
Puis il se saisit de sa main et la posa rudement sur la bosse déformant son maillot de bain, elle sentait combien son membre était imposant.
- Caresse ma bite, tu apprécieras mieux sa taille ! lui suggéra-t-il suavement.
Il sut qu'il la tenait lorsqu'il la sentit glisser sa petite menotte blanche dans son maillot, la refermant sur son sexe qu'elle mit à l'air tout le caressant machinalement.
Elle avala sa salive, et écarquilla les yeux de surprise, elle n'avait jamais vu bite aussi grosse, elle n'avait d'ailleurs jamais vu de bites noires. L'impudicité de ses caresses était soulignée par le contraste entre ses fines mains blanches et l'épaisse colonne noire qu'elle manipulait machinalement, inconsciemment, elle le branlait d'ailleurs de plus en plus vite.
Sur le point d'éjaculer, il troussa la jupe bleue de la jeune femme, saisit l'élastique de sa petite culotte de dentelle et la baissa livrant sa blonde toison à sa concupiscence. Puis grognant sourdement il gicla à gros bouillons visant ses boucles moussues qu'il englua copieusement. Il relâcha alors l'élastique du cache sexe dont le fond s'empesa immédiatement au contact de l'épaisse substance grasse qui s'écoulait de son pubis marécageux.
Nathalie baissa les yeux sur la bite mollissant dans ses mains engluées de foutre. Elle la relâcha immédiatement comme elle l'aurait fait avec une patate brûlante. Elle soupira longuement se refusant à croire ce qu'elle venait de faire. Lorsqu'il avait lâché l'élastique de sa culotte, elle avait nettement senti le foutre empeser le fond de son cache sexe.
Un ultime soubresaut, et il projeta un dernier jet gluant sur l'avant de sa petite culotte, larme de semence qui ne tarda pas à s'épandre sur la face interne de ses cuisses.
Elle se retourna et se rua dans sa salle de bain dégoûtée par ce qu'elle venait de faire avec ce jeune inconnu noir dans sa propre cuisine. Bien en sécurité dans la salle de bain principale, Nathalie avait fermé la porte et s'appuyait contre le temps de récupérer de son épreuve. Elle jeta un oeil sur ses mains souillées et grimaça en voyant le foutre qui souillait ses ongles manucurés. Elle sanglota en sentant l'odeur pénétrante du sperme qui engluait ses mains et son pubis. Elle se plaça face miroir, retroussa sa jupe pour voir sa petite culotte vert tendre, elle était imprégnée de son foutre visqueux, foutre qui s'épandait doucement lui poissant les cuisses. Elle enleva ses chaussures, puis se déshabilla rapidement, elle prit une douche brûlante pour se débarrasser des salissures qui souillaient son corps. Elle se récura à la brosse cherchant désespérément à effacer cet épisode dégradant de son corps, et de son esprit.
Jamais elle n'avait enduré un acte aussi dégradant, jamais elle n'avait même pensé pouvoir tromper son mari, de plus avec un ado et sous son toit une jeune étudiant noir qui fréquentait encore le lycée. Submergée par la honte et l'indignation, elle se mit à pleurer.
Pendant ce temps, Tyrone avait amené la collation et les boissons fraîches aux jeunes toujours fourrés dans la piscine. En un rien de temps tout eut disparu, apparemment les copains de Brian habitaient le proche voisinage.
Bien que très jeunes, ils étaient fondus de jeux vidéos, et l'un d'eux dit aux autres qu'il avait reçu un tout nouveau jeu. Ils étaient tout excités par cette nouvelle, et ils décidèrent de se rendre au domicile de l'heureux détenteur de ce nouveau jeu pour l'essayer.
Tyrone saisit cette opportunité d'accroître son emprise sur la jeune femme :
- Les jeux vidéos ne m'intéressent pas beaucoup ... dit ils aux jeunes ados, les encourageant à se distraire chez leur copain.
- Je vais aller m'entraîner...
Sur ces mots, les quatre amis se précipitèrent vers la maison de l'heureux détenteur du nouveau jeu.
Tyrone feignant de se diriger vers sa voiture, tourna les talons dès qu'ils eurent disparu derrière la clôture. Souriant, il prit la caméra de l'entraîneur dans son sac de sport et revint vers la porte du patio. De retour aux alentours de la maison, il referma la porte du patio dans son dos. Il était maintenant seul avec la jeune et ravissante mère qui ne se doutait pas de cette situation. Hilare il pensait :
"Je vais faire un petit frère à Brian... Je vais me faire sa mère et lui fourrer un polichinelle noir dans le tiroir..."
Tandis qu'il suivait le vestibule où il avait vu disparaître Nathalie, il sentit sa bite reprendre de l'ampleur et palpiter de manière anticipée. Il tourna le bouton de porte de la chambre et y jeta un coup et remarqua le large lit couvert d'un couvre lit blanc de valeur. La chambre entière respirait l'élégance, la classe, c'était l'écrin rêvé pour cette jeune femme classieuse.
Entendant l'eau de la douche s'arrêter, il entra dans la chambre. Juste à l'instant où il refermait silencieusement la porte, il entendit s'ouvrir celle de la salle de bain. Il se précipita dans le petit cabinet près de la fenêtre. Il se branla machinalement anticipant les événements à venir. Il plaça la caméra en haut de la garde-robe, dissimulée par une boite à bijoux et l'orienta de façon à capturer tout ce qui se passerait dans la pièce.
Les yeux gonflés, Nathalie tentait de refouler des larmes d'humiliation et de honte. Elle s'était séchée frottant âprement son corps pour le débarrasser des dernières souillures et avait enfilé une sortie de bain blanche. Elle entra dans la chambre. Surprise de plus entendre de bruit dans le patio, elle jeta un oeil par la fenêtre et soupira d'aise en voyant le patio vide, elle se réjouissait particulièrement de savoir que l'étudiant noir était parti. D'une voix sourde, elle se dit :
- Oh mon Dieu... Comment avez-vous pu permettre qu'un acte aussi dégradant m'arrive... Et de plus avec un jeune étudiant noir... Et sous mon toit...
Elle sanglota de honte alors que les larmes se remettaient à couler.
- Oahhhhhhhhhhhhhh ! s'effaroucha-t-elle soudain sentant deux grosses mains la saisir aux hanches.
Pantelant de peur, incapable de crier, elle jeta un oeil vers le bas, et vit une paire de grosses mains noires se déplacer sur sa robe blanche. Elle se tenait immobile frémissante alors qu'il déboutonnait sa robe de chambre, en écartant les pans.
- Oohhhhhhh... S'il vous plait ! balbutia-t-elle alors que la main rugueuse se promenait sur sa douce peau blanche.
Elle ferma les yeux alors que les grosses mains la caressaient lentement.
- Oohhhhhhhhhhhh, nonnnnnnn... Mon Dieu, nonnnnnnn. Ohhhhhhhhhh ! sanglota-t-elle alors qu'il manipulait maintenant ses tendres tétons entre ses doigts.
Les grosses mains empaumaient parfaitement ses seins triturant tendrement ses sensibles tétons qui s'érigèrent illico. La sortie de bain blanche chut bientôt aux pieds de Nathalie, incapable de faire un geste. Elle ne pouvait que retenir son souffle, elle était incapable de s'enfuir, incapable de faire cesser ces enivrantes caresses. Elle frémit en sentant ses doigts saisir la bande élastique de sa petite culotte, puis rouler le cache sexe sur ses cuises avant de le laisser tire-bouchonné sur ses chevilles. Elle haleta alors que ses jambes s'ouvraient livrant un accès aisé à la main noire qui rampait sur sa toison d'or.
- Oohhhhhhhhhhh ! Mon Dieu ! gémit-elle tandis qu'un doigt fureteur explorait les replis intimes de sa chatte et qu'un pouce impérieux pressait son clito affolé.
- Ononnnnnnnn... Ahhhhhhhhhhhhhhhh ! mugit-elle, secouée par un orgasme convulsif.
C'était la première qu'un orgasme d'une telle intensité la submergeait aussi vite et aussi radicalement, après quelques manipulations anodines. Elle s'abattit mollement dans les bras musclés de Tyrone. Hébétée Nathalie se laissa transporter sans mot dire sur le lit qu'elle partageait habituellement avec Dave, son tendre époux.
Il rejeta le couvre-lit révélant les draps immaculés qu'elle avait mis le matin même.
Elle le regarda placer l'oreiller au centre du lit, puis il l'étendit sur le lit, l'oreiller sous les hanches, la cambrant à l'entière merci de son jeune assaillant noir.
- Oohhhhhhhhh... Je vous en prie... Nonnnnnnnn... Gémissait Nathalie s'arquant sur les hanches alors que la bouche de Tyrone se refermait sur un de ses délicats tétons si sensibles.
Plantant ses pieds dans le matelas, elle ouvrit les cuisses en grand et empoigna les cheveux crépus de Tyrone, elle s'arc-boutait sur les talons avide d'un plaisir que son esprit réprouvé. Dave ne l'avait jamais caressée de façon aussi vulgaire, et même s'il avait essayé, elle l'aurait rabroué vertement l'accusant d'être pervers pour oser des choses aussi dégoûtantes.
- Oohhhhhhhhh... Je... Je vais jouir. grogna Nathalie éperdue alors que son cul soubresautait spasmodiquement.
Un second orgasme, tout aussi intense, la foudroya. Elle faisait régulièrement l'amour avec son mari, mais elle n'avait jamais ressenti de tels orgasmes. Et tout ça se passait dans sa maison, avec un jeune à peine âgé de quelques années de plus que son fils, mais c'était un ado musculeux qui ressemblait plus à un homme qu'à un enfant.
Allongée sur son lit, Nathalie était incapable de se défendre contre ses assauts lubriques, sans défense lorsqu'elle l'entendait hennir de joie, sans défense alors qu'il rampait sur son corps. Nathalie baissa les yeux fixant avidement l'épais mandrin dont il entretenait la vigueur d'une main nonchalante, elle distinguait une goutte de pré-sperme suinter de son méat.
A la vue de sa bite massive, qu'elle avait déjà eue en main plus tôt, il lui revint à l'esprit la raison pour laquelle on l'avait surnommé la cigogne.
- Oh S'il vous plait... Je vous en prie. Non... Non... Ne me... Ne m'engrossez pas... je vous en prie... balbutia-t-elle dune voix geignarde.
Paniquée, Nathalie sentit le colossal ado fouiller de sa bite sa toison moussue, puis ouvrir sa fente juteuse et presser son épais bourgeon en son centre. Réalisant qu'il lui était impossible d'empêcher ce viol, elle tenta de se protéger d'éventuelles fâcheuses conséquences de cette union prohibée.
- Ooh, S'il vous plait... je vous en prie. Il y a des préservatifs dans le tiroir de la table de nuit... plaida-t-elle pleine d'espoir.
Tyrone lui adressa un sourire grimaçant tout en parcourant du gland sa fente embrasée de l'anus au clito. Goguenard il tonna :
- Hey madame Stevens, je veux conserver ma réputation... Je suis fier de mon surnom et je veux en démontrer la véracité... Tu feras une bonne mère pour notre bébé.
- Oohhhhhhhh. Owwwwwwww... Oh, nonnnnnn... Arrêtez... Vous êtes bien trop gros... Hurla Nathalie en cherchant à le repousser des deux mains.
Sa bite monstrueuse la distendait incroyablement. Bien qu'elle ait fréquenté la même fac que Dave, elle était restée vierge jusqu'au jour des épousailles. Même si elle avait admis des caresses intimes de la part de son amoureux elle était arrivée vierge à l'autel. Elle n'avait touchée, jusqu'à ce jour, que la queue de Dave qui s'avérait deux fois moins grosse et moins longue que celle que ce jeune ado enfouissait de force dans son ventre.
- Oaieeeeeeeeeeeeeeee... Ohhhhhhhhhhhhhhhhh ! s'époumona-t-elle lorsque Tyrone la saisit aux hanches pour s'enfouir impitoyablement, jusqu'aux couilles, dans sa chatte rétive.
C'était le moment que Tyrone préférait entre tous, la première fois qu'il baisait une jeune femme blanche sur son lit conjugal. Puis il se mit à aller et venir dans sa foufoune s'enfouissant profondément à chaque coup de boutoir, sa chatte s'adaptant peu à peu à ses mensurations, il coulissait de plus en plus aisément dans son ventre.
Le lit conjugal couinait comme jamais il n'avait couiné auparavant, frappant durement le mur, menaçant de s'effondrer sous cette sauvage activité.
Les longues poussées succédant aux lents retraits affolaient les sens de Nathalie, ses muscles vaginaux ne tardèrent pas à étreindre d'une main d'acier la rigide hampe à chaque profond enfouissement au fin fond de son utérus. Elle avait relevé ses blanches cuisses les posant de chaque coté de ses fesses, et elle s'ouvrait en grand aux assauts de son assaillant, orteils tendus en bouquet de violettes.
- Oohhh ! Ohhhh ! Ohhhh ! Ohhh ! Ohhhh ! palsmodiait Nathalie au diapason des allées et venues dans son sexe embrasé.
Puis il ralentit son martèlement lui faisant apprécier la profondeur de chaque coup de boutoir de sa grosse bite noire.
- Oohhhhhhhhhhhh ! S'exclama Nathalie verrouillant ses chevilles dans son dos pour amplifier encore l'enfouissement de la bite dans sa caverne enfiévrée.
A ce moment, la seule chose que souhaitait âprement Nathalie était de parvenir à éteindre le brasier qui la consumait, l'obligeant à arquer son corps à chaque coup de boutoir de la bite qui la pilonnait.
Tyrone sourit, il sentait le corps de sa partenaire se raidir, puis elle fut secouée de soubresaut convulsifs tandis qu'elle criait :
- Mon Dieu... Mon Dieu... Je jouissss..."
Attirant ses fesses frémissantes contre lui, il se logea jusqu'à la garde dans sa foufoune, prenant un énorme plaisir à voir cette ravissante blanche submergée par un orgasme d'une intensité folle.
Il fallut cinq bonnes minutes pour que cessent ses soubresauts et Nathalie était loin des éventuelles conséquences de cette séance de baise. Epuisée elle libéra le torse de Tyrone, ses jambes se desserrèrent et retombèrent mollement sur le lit. Il était toujours étroitement imbriqué en elle, ses soyeuses muqueuses formaient un chaud cocon dans lequel sa bite palpitait lentement.
Cinq nouvelles minutes passèrent, Tyrone demeurait immobile attendant patiemment qu'elle sorte de sa stupeur et reprenne ses esprits. Elle battit alors des paupières, puis son visage afficha un air terrifié tandis qu'elle se remémorait les derniers événements.
Tyrone la poignarda d'un brusque coup de boutoir, l'invitant à se rappeler vivement qu'il était toujours en elle, elle replongea immédiatement dans la réalité. Cette bite qui venait de lui donner tant de plaisir lui faisant éprouver un orgasme insensé, ne provoquait plus que honte et répulsion dans son esprit tourmenté. Ses yeux s'emplirent de larmes, larmes de honte tandis qu'elle cherchait désespérément à repousser l'athlétique ado allongé sur elle.
Tyrone la laboura alors vigoureusement, empoignant ses hanches pales, il la martela consciencieusement. Pendant une bonne minute elle se démena lui frappant les épaules de ses petits poings, le bourrant de coups de pieds. Sachant qu'elle ne pourrait lui échapper, il gronda :
- Que dirais monsieur Stevens s'il rentrait chez lui à cet instant, à la vue de sa ravissante femme baisant avec un nègre ? Tu devrais avoir honte madame Stevens de te faire baiser par un jeune noir dans ton lit conjugal. Peut-être même as-tu déjà un petit polichinelle noir dans le tiroir madame Stevens. Vas-tu encore jouir sous les assauts de l'ado noir madame Stevens ?
Ses sarcasmes l'affolaient, elle réalisait qu'il pourrait fort bien l'engrosser. Elle essaya encore de le repousser alors qu'il lui agrippait les fesses amplifiant encore son pilonnage sans aucune pitié.
- Je vais jouir dans ton ventre madame Stevens. Je vais faire un petit frère à Brian. Grommela-t-il en lui tenant fermement les cuisses grandes écartées alors qu'il giclait à gros bouillon dans sa moule enfiévrée.
- Oohhhhhhhhhh... Défaillit soudain Nathalie étreignant fiévreusement son agresseur comme il lui inondait le vagin.
Ereinté, Tyrone restait étendu sur la geignarde jeune femme, la bite toujours emboutée dans sa foufoune.
- Bordel, y a rien de mieux qu'une bonne séance de baise comme celle là ! Je suis sûr de t'avoir fait jouir S'exclama-t-il allégrement.
Il adorait torturer les jeunes beautés, au point de les faire pleurer de honte.
Se relevant, il jeta un oeil sur Nathalie recroquevillée en position foetale, qui continuait à geindre, le foutre s'écoulant de sa chatte engorgée détrempant peu à peu l'oreiller de son mari.
- Elle a un de ces cul ! Je peux pas laisser passer cette occasion de m'le faire ! Médita-t-il sournoisement.
Sur son ordre, l'esprit vide, elle se mit à quatre pattes, il allait la monter comme une chienne en chaleur. Sentant le gland presser son petit oeillet affolé, elle supplia :
- Oh non... S'il vous plait. Je n'ai jamais fait ça ! .Mon Dieu il va me tuer !
Tyrone sourit, l'empoigna solidement aux hanches se disposant à lui ravir sa fleur anale. Juste au moment où il plaçait son gland dans l'axe de son petit trou, des rires et des cris résonnèrent dans l'arrière cour. Tendant le cou, Tyrone jeta un oeil par la fenêtre et vit Brian et ses amis sauter la clôture pour se jeter à l'eau.
- La vache... Ils sont revenus trop vite ! Jura Tyrone.
Il voulait entendre les plaintes de Nathalie lorsqu'il lui casserait le cul, mais il savait que ses hurlements provoqueraient l'intrusion des enfants. Il lui claqua les fesses et lui dit :
- Je vais devoir reporter ton dépucelage anal madame Stevens. Mais puisque j'ai encore envie de baiser, fais-moi juter si tu veux que je te quitte. Ou bien je te casse le cul ce qui alertera les enfants qui viendront voir ce qui se passe !
De crainte de se faire dépuceler l'anus, de peur de voir les gosses découvrir que leur ami noir l'avait violée, elle empoigna prestement sa bite et se mit à le branler consciencieusement.
- Ohhhh chérie. C'est ça madame Stevens. Ohhhh, tes mains sont si douces. Oh, oui ma chérie, j'ne vais plus tarder à juter ! Grommelait-il extasié.
Branlé par ses blanches mains soyeuses, Tyrone haletait. Soucieuse de le faire juter le plus rapidement possible, Nathalie examinait sa bite qui tressautait entre ses mains.
- Prends-la en en bouche ma délicieuse madame Stevens. Pompe mon foutre ! lui intima-t-il soudain.
A sa grande satisfaction elle grimaça, horrifiée. Elle le supplia alors :
- Oh non... S'il vous plait... Non, laissez moi vous faire juter avec mes mains... Je vous en prie... Je n'ai jamais fait de chose aussi répugnante !
Tyrone n'en croyait pas ses oreilles, son mari devait vraiment être stupide, encore un de ces connards qui ne connaissait que la position du missionnaire. Il était très proche de la vérité. Toutefois, le mari de Nathalie avait tenté plusieurs fois d'obtenir de sa femme qu'elle le suce, ou qu'ils adoptent d'autres positions, mais il s'était toujours heurté à des refus obstinés.
- Ou tu suces ma queue, ou je hurle pour rameuter Brian et ses amis ! La contra-t-il sèchement.
Rien qu'à la vue de l'épaisse mentule qu'elle branlait mécaniquement, Nathalie était secouée de hauts le coeur. Pourtant la pensée de son jeune fils et de ses amis, la contemplant nue dans son lit en compagnie de leur ami noir, la faisait frissonner de terreur. Elle sut qu'elle devrait obtempérer servilement. Fermant les yeux, elle entrouvrit les lèvres et se pencha sur lui. Elle frémissait de dégoût en absorbant la redoutable bite qui lui souillait la langue.
- Oh oui madame Stevens. Comme ça... C'est bon... Continue à pomper... Avale mon foutre... Prends le bien dans ta bouche ou j'appelle Brian et ses amis ! La menaçait-il à nouveau.
Sa mentule glissait ente ses lèvres s'enfouissant au plus profond de sa bouche.
- Ca y est chérie... Je jute. Ouiiiiiiiiii ! Explosa-t-il soudain.
Nathalie tentait désespérément de le repousser des deux mains pour échapper au flot de foutre qu'il lui projetait dans la gorge. Mais cela ne servit qu'à faire redoubler son excitation. Nathalie frissonnait de dégoût, à l'idée d'avaler la repoussante potion, mais elle se rappela l'horrible menace. Elle ouvrit la bouche le plus possible espérant que le foutre s'écoulerait dans son cou, mais ses lèvres étaient si serrées sur la hampe de l'ado noir que rien ne pouvait filtrer au dehors de sa bouche. Elle frémissait alors que jet après jet il lui remplissait la bouche de ses horribles secrétions. Elle ne pouvait pas attendre qu'il extirpa sa bite de sa bouche ce qui lui aurait permis de recracher l'ignoble purée. Frissonnante de dégoût elle jeta un oeil sur Tyrone pour voir s'il avait fini d'éjaculer ce qui lui permettrait de se ruer dans la salle de bain pour tout recracher dans l'évier.
Tyrone sourit à la vue de la terreur inscrite dans ses yeux, il la voyait frémir de dégoût alors qu'il lui emplissait la bouche de ses chaudes émissions. Il se moqua d'elle :
- Tu oublies d'avaler madame Stevens !
Il prenait un grand plaisir à voir cette ravissante femme fermer les yeux et grelotter de honte et de dégoût, il savait qu'elle aurait préféré mourir plutôt que de devoir savourer son foutre. Il lui empoigna les cheveux lui interdisant de reculer la tête pour recracher le foutre qui emplissait sa gorge. Il la vit trépider lorsque finalement elle dut se résoudre à avaler la gluante potion. Il lui lâcha les cheveux et il éclata de rire en la voyant ramper sur le lit secouée de hauts le coeur pour atteindre la poubelle la plus proche.
Tyrone se rhabilla, saisit sa caméra filmant son petit cul vierge alors que, cassée sur la poubelle, elle cherchait à recracher le sperme qu'elle avait avalé. Il lui casserait le cul bientôt, très bientôt. Se dirigeant vers la porte de devant, il rangea sa caméra dans son sac de sport. Puis il gagna l'arrière-cour où s'ébattaient les jeunes joueurs.
- Hey Brian ! appela-t-il anxieux de le saluer.
Les petits gars s'enquiérèrent des raisons de son retour.
- Je pensais à la façon d'accroître votre efficacité en match, je passerai vous prendre un soir de la semaine prochaine, je revenais pour vous prévenir !" mentit Tyrone justifiant sa présence.
Brian était très excité à l'idée de s'entraîner avec la vedette de l'équipe, il l'invita à venir quand il voudrait, Jeudi soir serait certainement le mieux, son père travaillait tard et sa mère ne rentrait que vers 8 heures du soir, à l'issue d'une réunion de associative.
Tyrone lui répondit qu'il tenterait de venir vers 7 heures et quart.
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La semaine qui suivit, Nathalie évolua largement à coté de ses pompes, elle se gourmandait de ne pas avoir giflé Tyrone dans la cuisine. Comment avait-elle pu le laisser s'emparer de sa main pour la glisser dans son short ? "Peut-être bien que cela lui aurait épargné le viol dans sa chambre", se blâmait-elle, consciente de ne pas avoir réagi d'emblée. Elle espérait ne jamais revoir ce suppôt de satan.
Le jeudi soir, Nathalie rentrait de la réunion mensuelle de l'association des habitants du quartier. La nuit était si sombre qu'elle ne remarqua pas la voiture de Tyrone garée dans le virage. Elle pensait toujours aux horribles événements de la semaine précédente, elle priait pour que la douche vaginale ait porté ses fruits éliminant la totalité des spermatozoïdes que "la cigogne" avait déposé dans son vagin en période de fertilité.
Sortant de la voiture, des rires et des bruits d'eau lui parvinrent provenant de la piscine. Elle allait passer un sacré savon à Brian pour avoir invité des copains un soir de semaine réservé au travail scolaire.
En arrivant aux abords de la piscine, elle se préparait à les disputer lorsqu'elle vit un visage noir émerger de la piscine, elle frissonna de peur, les mots moururent dans sa bouche.
- Oh maman, Je sais que je devrais faire mon travail de classe, mais "la cigogne" s'est gentiment arrêté et m'a montré quelques astuces pour renforcer mon jeu !
Brian la salua de ces mots.
- Bonjour madame Stevens ! La salua Tyrone toisant la jeune femme qui se tenait raide comme un bout de bois devant lui, dans son élégante jupe blanche et son chemisier blanc.
- Venez nous rejoindre Madame Stevens. L'eau est drôlement bonne !
Nathalie murmura :
- Non... Non je ne peux pas...
Et elle se retourna pour entrer dans sa maison..
- Madame Stevens ! Votre fils m'a dit que vous étiez agent d'assurance. J'aimerais que vous jetiez un coup d'oeil sur cette police, et que vous me disiez quoi faire ! Je l'ai là ! S'exclama Tyrone lui tendant une grande enveloppe brune.
Nathalie avala sa salive, elle ne pouvait pas se payer le luxe de lui faire une scène devant Brian. Comme elle se penchait pour prendre l'enveloppe, alors que Brian était à l'autre bout de la piscine, elle entendit Tyrone lui ordonner d'une voix sourde mais impérieuse :
- Va enfiler un petit maillot sexy et presse toi de te fourrer les fesses dans l'eau salope !
Nathalie frissonnait de peur en rentrant dans sa maison, mais elle était déterminée à affronter ce jeune bâtard. Machinalement, elle ouvrit l'enveloppe en gagnant sa chambre. Assise sur son lit, elle regarda son contenu : une clef, une note écrite à la main, des consignes certainement :
"Sois à l'adresse notée ci dessous demain à 9 heures juste. Ce sera ton assurance que personne ne verra ces photos..." et c'était signé Tyrone.
Nathalie, paniquée, frémit, frôlant l'évanouissement lorsqu'elle jeta un oeil sur d'incroyables photos. On voyait clairement que c'était elle sur ces clichés tirés de la bande vidéo. Yeux fermés, bouche grande ouverte, elle avait les chevilles et les poignées verrouillées dans le dos de Tyrone, et dans sa chambre qui plus est. Pas besoin de beaucoup d'imagination pour deviner ce qu'en conclurait d'éventuels visionneurs.
Accablée, Nathalie se déshabilla avec résignation, puis elle choisit un petit bikini sexy dans un tiroir de la commode. Elle avait peur de les rejoindre dans la piscine vêtue de ce bikini, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas se permettre de contrarier son démoniaque jeune maître chanteur.
Tyrone siffla lourdement lorsqu'elle regagna le patio, Brian était ébahi de voir sa mère porter ce petit bikini si sensuel, elle se refusait toujours à plonger dans la piscine en présence de ses amis. Le sifflement de Tyrone gênait un peu Brian, bien qu'il doive admettre que sa mère était des plus sexys, et plus particulièrement dans ce mini maillot de bain.
Elle plongea rapidement dans l'eau pour dérober son corps aux regards concupiscents de Tyrone. Elle nagea jusqu'à l'autre bout de la piscine s'éloignant des deux garçons. Mais elle savait qu'elle ne pourrait pas esquiver les volontés de Tyrone qui dit alors à Brian :
- Attrape moi ce ballon... si t'es si malin !
Tyrone jetait délibérément le ballon loin de la piscine, à chaque fois Nathalie tressaillait de peur
Chaque fois que Brian lui tournait le dos ou sortait de la piscine pour aller chercher le ballon, elle sentait Tyrone lui caresser impatiemment la taille glissant ses doigts dans son maillot pour la doigter furtivement. Puis Brian hurla :
- Hey "La Cigogne", veux-tu que je fasse réchauffer une pizza et que je prépare des pop-corns ?
- Cela me ferait plaisir Brian ! Répliqua Tyrone se tournant goguenardement vers Nathalie alors que, désespérée, elle suggérait :
- Je vais vous préparer tout ça les enfants !
A son grand désarroi, Brian répondit :
- Ne te tracasse pas maman, je m'en occupe !
Juste à cet instant le téléphone sonna, Brian le prit :
- Maman, c'est papa, il vreut te parler !
Nathalie nagea vers le bord de la piscine, tandis que Brian lui tendait le téléphone sans fil. Il lui donna le combiné et dit à Tyrone qu'il partait mettre les pizzas au four. Lorsque Brian franchit la porte du patio, Nathalie nageait vers l'autre bord de la piscine cherchant à s'éloigner de Tyrone. Elle aurait voulu dire à Dave de se presser de rentrer, mais il s'excitait lui disant qu'il était sur l'affaire de l'année. Elle soupira sombrement et frémit alors que la familière main de Tyrone lui saisissait les hanches la repoussant contre le bord de la piscine. Elle paniquait surveillant la porte du patio alors qu'elle discutait avec son mari. Elle ne pouvait rien faire, elle ne pouvait même pas se plaindre à voix haute alors qu'il descendait son maillot sur ses cuisses. Bientôt la culotte du bikini s'enroula autour de ses chevilles. Nathalie couvrit de la main le combiné en sentant l'outil de chair chercher sa fente toute moite.
- Ohhhhhhh... Gémit-elle doucement comme sa chatte s'entrouvrait pour admettre le visiteur entêté.
Elle était choquée de voir la monstruosité de Tyrone s'enfouir si aisément en elle, ça ne ressemblait en rien au viol de la semaine dernière. Elle réalisa alors à quel point il lui avait distendu la chatte. Gardant la main sur le combiné, elle ne pouvait l'aider, mais donna des coups de rein pour enfourner plus vite la bite impatiente. Finalement la conversation prit fin et Nathalie put enlever sa main du combiné.
- C'est d'accord chéri, je te verrai tout à l'heure. Je t'attendrai !
Puis elle balbutia :
- Oh Je... Je... Je t'aime... Mon amour... Ohhhh... Oui... C'est bon... J'ai juste à me cambrer pour te sentir encore mieux !
Nathalie ne s'étendait pas sur son mari, elle s'était courbée pour mieux recevoir la monstrueuse bite de Tyrone tandis que son corps se tordait sou l'impact d'un premier orgasme.
Un bon moment plus tard, Brian revint dans la piscine avec les pizzas et le pop-corn.
Tyrone était allongé la tête sur le bord de la piscine, flottant mollement au gré des vagues artificielles. Pendant ce temps, Nathalie se démenait à l'autre bout de la piscine pour retrouver sa culotte de bikini. Alors qu'elle nageait vers la partie la plus profonde de la piscine elle avait tenté désespérément de se curer la chatte, avec les doigts, pour se débarrasser des dépôts fertiles laissés par Tyrone, goutte à goutte sa semence s'écoulait dans les eaux claires.
Une demi-heure plus tard, rentrant chez lui, Dave retrouva son fils et un ami finissant leur pizza sur les bords de la piscine. Il fut extrêmement surpris de voir sa femme dans la piscine, sachant qu'elle détestait dévoiler son corps devant des étrangers. Il fut d'autant plus surpris que l'étranger était un musculeux athlète noir, Brian le lui présenta comme la vedette de l'équipe universitaire. Alors Dave interpella sa femme :
- Chérie, je vais me changer, et je te rejoins dans la piscine...
Tyrone les remercia pour la pizza et les quitta sans plus attendre. Brian dit à ses parents qu'il allait prendre une bonne douche, et qu'il en aurait pour une bonne heure. Dave lui demanda de ne laisser que la lumière du patio allumée, il voulait demeurer dans l'obscurité avec son adorable femme. Voir sa femme en bikini rose avait fortement avivé sa libido, il la rabroua cependant :
- Tu ferais mieux de ne pas enfiler de tenue aussi sexy en présence de cet athlète noir ! Encore heureux qu'il n'ait pas cherché à te violer !
- Oh, oh chéri, ne sois pas idiot ! Répliqua Nathalie, néanmoins satisfaite que l'obscurité dissimule son visage écarlate.
- Oh Dave... Nonnnn... Pas dans la piscine. On pourrait nous voir ! Grommela-t-elle alors que Dave qui l'avait rejointe la dépouillait de son haut lui triturant les mamelons.
Mais ils savaient tous deux que personne ne pouvait les voir dans l'obscurité recouvrant la piscine. Nathalie était encore excitée, elle se remettait seulement de son récent orgasme, et lorsque son mari glissa la main dans sa culotte et lui mal-mena son petit clito, elle défaillit incapable d'empêcher quoi que ce soit. A nouveau elle se retrouva culotte enroulée aux chevilles, on la poussa à nouveau sur le rebord de la piscine, des mains puissantes lui empoignèrent à nouveau les hanches, et à nouveau un pénis impatient s'inséra dans sa chatoune. La seule différence, c'est que lorsque son mari eut enfourné toute sa longueur, même en contractant ses muscles vaginaux, elle sentait à peine son mari si amoureux se mouvoir dans sa foufoune distendue.
Dave frissonna de plaisir, pour la première fois sa femme se laissait faire dans la piscine, adoptant une autre position que la sempiternelle position du missionnaire. Il bourra frénétiquement son innocente et prude jeune femme, il ne comprenait pas comment l'eau pouvait la rendre aussi réceptive, aussi mouillée, aussi habile, mais c'était vraiment le cadet de ses soucis, il ne pensait qu'à profiter de cette opportunité.
Désirant désespérément sentir la bite de son mari dans sa cramouille, elle agrippait sa hampe de ses muscles vaginaux crispés à l'extrême. Malheureusement, lors d'un mouvement brusque, elle laissa échapper sa petite queue.
- Oohhhhh. nonnnnnn ! .Meugla-t-il sourdement, sa maigre émission se dissipant rapidement dans les eaux de la piscine.
Le lendemain à neuf heures, anxieuse, Nathalie se rendit à l'adresse indiquée par Tyrone. Ce n'était pas le meilleur quartier de la ville, mais elle voulait récupérer la bande vidéo et les photos. Elle avait enfilé une jupe noire sur un corsage blanc. Elle ne savait pas ce qu'il exigerait en échange des photos, mais elle priait pour ne pas devoir à nouveau satisfaire ses appétits luxurieux. Si elle avait su qu'elle était filmée depuis son arrivée au parking, elle se serait bien plus inquiétée encore.
Elle utilisa la clef qu'elle avait trouvé dans l'enveloppe et entra dans ce qui lui sembla être un local commercial. En fait c'était une pièce bien décorée, Nathalie ignorait qu'elle se trouvait dans un studio de tournage de films pornos. De nombreuses caméras, très bien dissimulées, pouvaient filmer ce qui se passait dans la pièce. Un technicien les monitorait dans une pièce adjacente. Elle ignorait qu'elle allait être la vedette d'un film intitulé "Une jeune beauté soumise au chantage". Nathalie, penaude, vit alors Tyrone totalement nu, assis sur un sofa jaune, flattant sa longue queue noire. Il sourit et la salua :
- Juste à l'heure madame Stevens ! J'ai loué cet endroit à un copain, aussi nous pouvons ne pas perdre de temps pour apprendre à bien nous connaître...
Nathalie soupira et baissa la tête résignée,. Jetant un oeil sur la table basse devant elle, elle geignit en voyant étalée plusieurs photos d'elle brutalement baisée par Tyrone.
Il pressa un bouton commentant allégrement :
- Et encore, ça ce n'est rien chère madame Stevens... Regarde plutôt ce film !
Elle ouvrit une bouche ébahie en voyant la scène qui se déroulait sur l'écran, il s'agissait d'une vidéo de son viol dans le lit conjugal. Cependant, en l'entendant grogner et gémir alors qu'elle verrouillait chevilles et poignets dans son dos, il lui serait bien difficile de prétendre qu'il s'agissait véritablement d'un viol.
En fait Nathalie se trouvait dans ce studio à cause de ses dettes de jeu de Tyrone. Son bookmaker était aussi propriétaire de ce studio Tyrone ne pouvait se permettre de laisser traîner des dettes, si cela venait à se savoir sa carrière pourrait s'en trouver gravement compromise, mais il ne pouvait pas rembourser les 1.000 $ de dettes de jeu qu'il avait accumulées. Il ne savait que faire pour amadouer Milo son bookmaker, tout ce qu'il savait c'est qu'il risquait de se faire briser bras et jambes s'il ne le remboursait pas. S'étant rendu au studio de Milo, il avait vu les nombreux films édités par ce dernier et avait appris beaucoup de choses sur lui. Il savait que Milo payerait des sommes folles pour casser le cul de ravissantes jeunes femmes, de préférence blanches et mariées avec un blanc. La ravissante Nathalie semblait réunir toutes les conditions.
Lorsque Tyrone avait récupéré sa caméra sur la garde-robe de la chambre de Nathalie, il s'était emparé d'une photo de son mariage avec Dave. Il avait montré cette photo à Milo lui garantissant qu'elle était encore vierge du trou du cul, il la lui proposait en échange de ses dettes.
Les caméras tournaient alors que Nathalie enlevait vêtement sur vêtement selon les ordres de Tyrone. Enfin elle se retrouva nue, sa petite culotte blanche entortillée sur ses hauts talons noirs, puis il lui fut intimé de se débarrasser de ses chaussures et de s'agenouiller au sol.
S'agenouillant, Nathalie savait qu'elle ne tarderait pas à déguster la semence de son agresseur, qu'elle allait s'en goinfrer une bonne pinte. Nathalie ignorait totalement que, dissimulé par le paravent dans le coin de la pièce, le bookmaker de Tyrone avait savouré son strip-tease.
Tyrone glissa ses doigts dans sa chevelure, lui appuyant sur la nuque, il la força à se pencher sur sa bite palpitante, lui interdisant tout retrait. Soudain deux mains inconnues lui saisirent les hanches, il y avait quelqu'un d'autre dans son dos, mais il lui était impossible de lever la tête.
Tyrone relâcha la pression sur sa nuque, lui permettant de jeter un oeil dans le miroir accroché au mur. Elle y vit l'image d'un géant noir, le plus grand et le plus gros nègre qu'elle n'ait jamais vu. Tremblant comme une feuille, Nathalie regardait le colosse se positionner dans son dos. Elle crut s'évanouir à la vue de son énorme bite de Milo, bien plus grosse et plus épaisse que les calibres courants. Elle paniqua en le sentant presser son gland contre son petit oeillet affolé. Elle était bien incapable de résister, Milo lui bloquait les hanches alors que Tyrone la maintenait penchée sur sa bite.
Milo caressa ses soyeuses fesses avec ses grosses pattes suantes.
- Quelle magnifique pute ! .Je vais adorer me faire cette somptueuse salope blanche ! Marmonna-t-il sourdement.
Sa bite frémissait d'envie de casser son petit cul vierge. Il se positionna face au petit orifice plissé, jetant un oeil sur Tyrone, il assura sa prise sur ses hanches, puis fit un signe de tête prêt à ranger son salami dans son garage.
- Oaieeeeeeeeeeeeeeeeeee... mon Dieuuuuuuu... Ahhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuu... Hurla Nathalie à plusieurs reprises en relevant la tête.
Heureusement que le studio était insonorisé, sinon l'aurait clairement entendu hurler quelques immeubles plus loin. Cependant ils étaient repris sur la bande-son du futur best seller. Il lui avait défoncé son petit cul sans aucune pitié.
Ils la baisèrent et l'enculèrent tout l'après midi, elle était si excitante, que même le technicien fit une pause pour venir l'enculer.
L'année suivante, Nathalie se plia à plusieurs reprises au chantage de Tyrone et elle paya plusieurs fois ses dettes de jeux à Milo avec son cul. Elle était très heureuse du succès de sa douche vaginale initiale, cela lui avait évité de se faire engrosser.
A son insu les vidéos qu'elle avait tournées devinrent très populaires, d'abord commercialisées sur les marchés étrangers, on pouvait maintenant les trouver dans les sex-shops locaux. Jusqu'aux jeunes amis de Brian, ceux qui étaient à avec eux à la piscine le jour où tout démarra qui se dégotèrent une copie de la vidéo originale.
Un jour que Brian et son père étaient partis à la pêche, ils se payèrent le luxe d'une petite visite amicale à sa mère. Cet après-midi là, Nathalie dut acheter le silence des trois jeunes ados en les dépucelant.
Soudain Tyrone avait surgi de façon tout à fait impromptue dans la chambre, il décida de perfectionner les trois jeunes amis, à partir de ce jour elle dut satisfaire les appétits de Tyrone et des trois jeunes garçons.
Six semaines plus tard elle découvrit que sa chance avait tourné. Un coup d'oeil au calendrier lui suffit pour comprendre qu'il s'agissait d'une séquelle du jour où contrainte et forcée elle avait initié les trois jeunes aux plaisirs de l'amour.
Le bébé pouvant aussi bien être noir que blanc, elle priait pour que le géniteur soit l'un des trois copains de Brian.
A suivre...
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