Récit d'Alicia.
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Mais tout de même, un jour que l'un de mes cours à la fac avait été annulé, je décide de rentrer plus tôt. Je descends du car, je parcours à pied les quelques centaines de mètres qui séparent l'arrêt de la maison, et en arrivant je vois de loin ma mère, sur le pas de la porte, en conversation avec trois hommes.
Elle est habillée comme pour sortir, jupe et veste de tailleur et chaussures à hauts talons (c'est vrai que pour ce qui est du look, si on cherchait un exemple pour définir le mot "bourge" dans le dictionnaire, on ne trouverait pas mieux que ma mère).
Elle fait rentrer les trois hommes et, lorsque j'arrive moi-même devant la maison, un pressentiment m'empêche de sonner à la porte. A la place, je fais le tour pour aller regarder par la fenêtre dans le salon. Je suppose que c'est là que ma mère les a fait entrer.
En effet, ils sont tous là. Ce qui m'étonne est qu'elle ne les a pas fait asseoir. Ils sont tous debout autour d'elle, et elle est juste au-dessous d'un crochet qui avait été mis au plafond par l'ancien propriétaire de la maison, pour accrocher un lustre, mais nous on n'a jamais eu de lustre. Elle a les deux poignets attachés avec une corde, et le bout de la corde est fixé au crochet. Comme il est un peu court, elle doit se tenir sur la pointe des pieds, ce qui ne doit pas être confortable avec ses talons hauts.
Un des trois types se met juste devant elle, lui prend le menton et l'embrasse longuement sur la bouche, je vois même la joue de ma mère remuer sous la pression de sa langue. Après, il lui dit quelque chose. A travers la fenêtre, je n'entends pas beaucoup - d'autant que j'essaie de regarder le plus discrètement possible - mais je devine "aimer ça", puis un mot en "-asse", peut-être "pétasse" ou "pouffiasse".
Ensuite il glisse la main à l'intérieur de sa veste et commence à lui peloter les seins. Un deuxième type se met derrière elle et l'embrasse et la mord dans le cou, tout en la tenant par les hanches et en plaquant son sexe (qui j'imagine doit commencer à être bien raide) contre ses fesses. Après, celui de devant déboutonne la veste de ma mère et en écarte les pans. En dessous elle ne porte qu'un soutien-gorge qu'il dégrafe, le faisant tomber par terre, il n'y a pas de bretelles. Il dit encore quelque chose que j'entends assez bien en approchant mon oreille de la vitre.
- Ça commence à dégringoler, tout ça ! Il est temps qu'on s'en occupe !
Là, c'est une méchanceté gratuite. A quarante et quelques années, ma mère a de très jolis seins, retroussés au bout et pointus avec une aréole très large, qui donne l'impression qu'elle s'est trempé les tétons dans du café au lait. L'idée du café doit d'ailleurs inspirer le type, parce qu'il fléchit les jambes de façon à ce que sa bouche soit à la hauteur des seins de ma mère, et il commence à en sucer un puis l'autre.
Pendant ce temps l'autre derrière se colle plus que jamais. Puis celui de devant s'accroupit complètement et relève la jupe de ma mère. A ma surprise, dessous, elle a des bas et un porte-jarretelles, avec un slip, le tout de couleur noire. Les deux types, celui de devant et celui de derrière, coincent les pans de sa jupe dans sa ceinture, pour qu'elle reste relevée, et lui enlèvent son slip, découvrant ses boucles intimes. Puis, accroupis chacun de leur côté, ils commencent à fouiner dans la chatte et le petit trou de ma mère avec leurs langues.
Pendant ce temps, le troisième, qui jusque là était resté dans son coin avec un calme olympien (il ne se branlait même pas, rien...) s'approche et à son tour lui suce et lui mordille les seins. Ma mère a l'air de sacrément apprécier, à voir l'expression de son visage, et en imaginant ce qu'elle doit éprouver je ne peux m'empêcher de me frotter par-dessus ma jupe.
Puis comme à un signal donné, les trois types s'écartent, laissant ma mère pendue, un peu de mouille frustrée dégoulinant sur sa cuisse. Sans doute pour que ça ne salisse pas, le gars de devant lui défait ses jarretelles et roule ses bas jusqu'aux genoux. Le deuxième gars lui relève son tailleur par derrière et lui en fait passer les pans par-dessus les épaules, lui laissant le dos nu.
Puis le gars de devant (qui apparemment est celui qui décide) va jusqu'à un tiroir et en retire deux "sticks", vous savez, ces espèces de cravaches qui servent pour l'équitation. Ne me demandez pas ce qu'elles font là, je ne les y ai jamais vues, et personne dans la famille n'a jamais fait de cheval.
Il donne une cravache au deuxième gars et garde l'autre pour lui. Il commence à en caresser le visage et les seins de ma mère, en lui disant à voix basse quelque chose de sûrement très prometteur (je perçois les mots "aimer" et "salope"). Puis soudain il s'écarte et balance un grand coup de fouet sur les seins de ma mère. Je retiens mon souffle alors que les coups tombent sur son ventre, son bas-ventre et ses cuisses, pendant que l'autre derrière en met autant sur son dos et ses fesses. Ma mère est en larmes, à chaque coup j'entends un cri à travers la vitre, en plus les deux types coordonnent leurs coups: par exemple, lorsque celui de devant frappe le ventre, ma mère se recule instinctivement mais exactement au même instant celui de derrière frappe les reins et elle a tout de même très mal. Ils ne vont pas jusqu'au sang, mais elle a tout de même bientôt de sacrées marques rouges. Au bout d'une vingtaine de coups, celui de devant lui balance vicieusement la lanière entre les cuisses, elle pousse un hurlement de bête, heureusement pour elle après ça ils s'arrêtent de frapper.
L'un des types monte sur un tabouret pour détacher le bout de la corde. Après ce qu'elle a reçu, ma mère ne tient pas debout, elle tombe à genoux au milieu d'eux, les poignets toujours attachés. Les trois types se mettent à se déshabiller, puis l'un, le troisième, celui qui n'avait pas de cravache, se couche sur le dos, les deux autres attrapent ma mère par les aisselles et la font accroupir sur sa bite. Le chef de la bande se met devant elle et lui fourre son truc dans la bouche, tandis que le troisième s'agenouille derrière elle et envahit le dernier orifice resté libre... et ça y va.
J'entends le chef qui répète :
- Tu aimes ça, hein salope ?
Il a peut-être de l'imagination pour tirer son coup, mais pour la conversation bonjour. De fait, j'imagine le pied que se prend ma mère à être ainsi envahie par trois mandrins en même temps, et non des moindres, d'après le peu d'éléments de comparaison dont je dispose. D'ailleurs je l'imagine bientôt tellement bien que je dois me glisser quelques phalanges sous le slip.
Mais peu après, les trois types, qui visiblement ont eu ce qu'ils voulaient, se relèvent, font lever ma mère, lui détachent les poignets et l'emmènent dans la pièce à côté, c'est-à-dire sa chambre. Je rampe façon commando pour arriver jusqu'à la fenêtre qui va bien, et j'arrive à temps pour la voir entourée par le trio, enlevant sa veste, sa ceinture, sa jupe, ses chaussures, ses bas et son porte-jarretelles.
Puis les types la font s'étendre sur le plumard et l'attachent à nouveau, cette fois en X aux quatre montants du lit, mais en laissant assez de jeu aux cordes pour qu'elle puisse plier les jambes. Et elle a intérêt à pouvoir les plier, parce que le type qui tout à l'heure se faisait faire une pipe s'agenouille entre ses cuisses, pendant que celui qui l'enculait se met à la tête du lit et lui donne son engin à sucer (beurk !). De mon côté, j'ai recommencé à activer mes doigts, excitée à mourir de voir ce que ces deux mecs font avec ma mère.
...DEUX mecs? Où est passé le troisième ?
Juste au moment où je me fais cette réflexion, je me sens attrapée par les épaules, traînée jusqu'à la porte, dans l'intérieur de la maison et jusque dans la chambre.
- Regardez ce que j'ai trouvé: une petite mateuse qui se tripotait en nous regardant faire ! Maintenant qu'elle a bien profité du spectacle, elle voudra sûrement apporter sa contribution ?
Les deux autres descendent de sur ma mère, ce qui lui rend l'opportunité de parler.
- Arrêtez, bande de salauds, c'est ma fille !
Les types s'écartent de moi comme si j'étais une ligne à haute tension tombée par terre. Sans me laisser abattre, je m'adosse au mur et je commence à remonter mon débardeur au-dessus de mon nombril, en prenant mon air le plus "venez ici jeune homme". Vous verriez la tête de maman...
- Allez, les mecs, vous n'avez pas envie de voir si la fille est aussi salope que la mère ? Comme vous n'avez pas pris de précautions avec elle, je présume que tout le monde ici est en bonne santé ?
- En parlant de précautions, dit le chef de la bande tout de suite intéressé, l'autre salope, geste du menton vers ma mère, est déjà passablement défraîchie, mais si bientôt, avant de la sauter, on doit se dire qu'elle est grand-mère, plus personne ne voudra d'elle ! No problemo, vous arrivez juste le bon jour.
Ces détails pratiques réglés, en un clin d'œil je me retrouve à poil, entendant la voix suppliante de ma mère :
- Va-t'en Alicia, n'aie pas peur, ils ne te feront rien.
Ce qui me ferait vraiment peur, au point où on en est, ce serait qu'ils ne me fassent rien ! Je me retrouve bientôt dans la posture où était ma mère tout à l'heure, accroupie et empalée sur l'un des mecs, pendant que le chef se dresse devant mon visage.
- On va se la faire tous les trois en même temps, cette petite salope qui se tripote en regardant sa mater se faire sauter ! Tiens, goûte ça, ça vient tout droit de la foune de ta mère.
J'ai déjà fait ça avec mon petit copain, et j'apprécie les différences, dues à la taille (mon copain x 2, au moins) et peut-être aussi aux sécrétions dont la chose est enduite. La pensée de ce que va faire le troisième type me donne quelques inquiétudes : ça aussi je l'ai fait avec mon mec, juste une fois, "pour voir". J'ai vu, et j'ai senti surtout. Alors, recommencer avec une bite deux fois plus grosse...
Mais je suis tellement échauffée, surtout avec les deux autres qui s'activent, qu'après un peu de préparation avec ses doigts et sa langue, ça rentre comme dans du beurre. Et ça y reva... Dans la mesure où ma position le permet, je risque un œil vers ma mère, qui a fermé les yeux et se retient visiblement de pleurer. Mais bientôt mon attention est détournée par le fait que, pour la première fois de ma vie (je suis de la génération capote), je sens du sperme gicler en moi... jusqu'au fond de mes trois orifices en même temps, de surcroît !
Les trois types me libèrent, je me remets debout et sors de la pièce en annonçant :
- Je vais prendre une douche, pendant ce temps vous pouvez continuer avec ma mère.
Lorsque je reviens de la salle de bains, les types sont partis. Ils ont laissé ma mère attachée écartelée sur le lit, après s'être vidé la bite sur elle, et, d'après l'odeur qui règne dans la chambre, ils ne se sont pas vidés que de sperme. Elle a encore les marques de la cravache, des seins aux cuisses. De surcroît elle est en larmes, et ça ne s'arrange pas en me voyant arriver.
Je la détache, je l'essuie comme je peux, je l'embrasse sur la joue.
- Allez, maman, va prendre une douche pendant que je mets les draps à laver. Et arrête de pleurer, on a pris un pied d'anthologie toutes les deux, et je suis plutôt contente de te ressembler. Moi aussi, je sens que je vais aimer me conduire comme une pute.
- Une pute ? dit-elle naïvement. Mais c'est moi qui les ai payés !
Je m'écroule sur le lit, secouée par le fou rire, en tenant ma tête à deux mains.
- Maman, je crois qu'il va falloir t'expliquer deux ou trois choses. Pour commencer, tu es toujours d'accord pour que j'amène des copains à la maison ?
FIN
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