lundi 5 mai 2025

Rumeurs vicieuses Ch. 02

Traduction d’un texte de Iwroteathing

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La directrice fait le spectacle.

Gladys enclenche l’enregistrement sur son téléphone et s’assoit devant l’objectif dans sa chambre. Elle sort de sa réunion à l’école et elle porte toujours sa tenue professionnelle. Toutefois des mèches de cheveux s’échappent de son chignon, son maquillage est abîmé et ses vêtements froissés. C’est une vidéo qui marque son désespoir.

Elle fixe la caméra sans sourire effronté, sans envie, mais avec une peur profonde et réelle qu’elle n’a jamais ressentie auparavant. Même lorsqu’elle a fait des choses qui dépassaient son imagination, il y avait toujours de l’excitation qui couvrait la peur et la poussait à aller de l’avant. Maintenant elle est effrayée, et sanglote presque alors que la réalité la rattrape.

- Je fais cette vidéo pour m’adresser à ceux qui viennent de s’abonner à mon compte SkankBank . Je parie que vous avez été aussi surpris  de savoir que j’étais réelle que moi de savoir que quelqu’un avait découvert mon secret. A présent je suis sûre que vous avez regardé une grande partie de mes vidéos et que vous avez aimé. Si je fais cette vidéo c’est pour passer un accord avec vous. Vous voyez, je n’ai jamais voulu que quelqu’un me regarde faire ces choses, je voulais juste un public potentiel, imaginaire. Et maintenant, comme j’ai utilisé mon vrai nom et le nom de l’école où je suis directrice, vous avez mon avenir dans la paume de votre main.

Gladys prend une profonde inspiration tremblante.

- Si ces vidéos viennent à avoir un public plus large, je nierai tout et je dirai que c’est juste une personne qui me ressemble. Ça peut fonctionner comme ça peut ne pas fonctionner, mais vous perdrez votre laissez-passer pour accéder à mes vidéos. Toutefois, si vous gardez mon secret, alors il n’y a pas de raison pour que je ne puisse pas continuer à télécharger de nouvelles vidéos. Je dirais même que ça pourrait en améliorer la qualité de savoir que quelqu’un les regarde. Je vais donc passer la soirée à créer des comptes en double pour essayer d’empêcher d’autres personnes de découvrir mon secret comme vous l’avez fait. Et tant que le nombre d’abonné reste à un sur ce compte, et tant que je n’aurais pas d’indication que ces vidéos ont été montrées à d’autres, vous continuerez à avoir des mises à jour de mon exhibitionnisme.

Gladys sait qu’elle prend un risque énorme. Elle aurait dû fermer son profil tout de suite, mais comme elle était coincée dans une réunion toute la journée, qui sait combien de captures d’écran ont pu être faites. Et encore mieux, ils pourraient avoir des copies des vidéos s’ils étaient suffisamment compétents en informatique pour contourner les mesures anti-piratage de SkankBank. Son choix était soit de minimiser les risques et espérer que ça ne lui explose pas au visage, soit d’espérer que l’intérêt de la personne s’étant abonnée soit suffisamment grand pour qu’il garde son secret en échange d’un accès exclusif.

Alors qu’elle prend quelques respirations sanglotantes supplémentaires, elle réalise qu’elle doit surmonter ses peurs et demander d’une façon plus correcte pour que ça ait une chance de réussir.

- Attendez une seconde, je crois que j’ai fait une erreur ! Dit-elle avant d’arrêter l’enregistrement.

Lorsque la vidéo reprend, elle commence à filmer l’environnement en faisant un panoramique autour d’elle de la salle du personnel de l’école. Elle prend soin d’arrêter la caméra sur l’horloge pour montrer qu’il n’est que 17h30. La plupart des enseignants sont partis à 17h00 et ceux qui font les gardes de nuit prennent généralement leur repas dans un restaurant voisin qui leur offre une réduction. Toutefois il est toujours possible qu’un enseignant en retard entre.

Alors que la caméra finit son panoramique, elle se pose finalement sur le corps nu de Gladys, descendant lentement de son cou à ses seins, son torse et sa chatte, permettant ainsi au spectateur de lire le serment qu’elle a écrit sur son corps avec un feutre :

« Moi, Gladys Quedir, directrice du pensionnat St Bernard et salope incurable, je m’engage à continuer d’enregistrer et de partager mon comportement déviant en échange de votre discrétion. Je serai votre jouet exclusif de branlette aussi longtemps que vous trouverez agréable ma descente dans la folie sexuelle »

Son engagement est signé d’un X sur sa chatte. Elle remonte la caméra jusqu’à son visage pour envoyer un baiser à son spectateur, puis elle éteint le téléphone.

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Gladys passe les jours suivants à avoir peur. Elle passe toutes ses nuits à créer de faux comptes et à parcourir les sites pornographiques à la recherche d’éventuelles copies de ses vidéos. Son ouïe de chauve-souris est désormais focalisée sur quiconque discuterait de ce qu’elle avait fait. Au bout de quelques jours, elle commence à croire que son abonné a dû accepter ses conditions , ce qui fait que son oreille est désormais tournée à la recherche de nouvelles rumeurs qu’elle pourrait utiliser pour produire du contenu nouveau pour son fan ?

- Beurk, tous les matins je dois enlever le chewing-gum de ma chaussure, pourquoi ce concierge a-t-il encore du travail ? Se plaint un garçon.

- Peut-être qu’il fait chanter la directrice Quedir ? Après tout, si quelqu’un pouvait la surprendre en train de se masturber à l’école, c’est bien lui !

Gladys prend un moment pour imaginer le concierge s’occuper d’elle avec malveillance. « Et s’il était l’abonné de SkankBank ? » se dit-elle. «  Non, où un concierge trouverait-il 2047 euros à dépenser sur un profil qui aurait pu être une arnaque ? ». Son esprit bourdonne en pensant au concierge et tous le travail qu’il avait eu pour nettoyer tous les graffitis dans l’école. « Il doit bien y avoir un moyen de le récompenser » Pense-t-elle.

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Gladys commence à enregistrer avec son téléphone. Elle le pointe vers elle. Elle se trouve dans les couloirs de l’école, mais elle est entièrement habillée.

- Bonjour mystérieux abonné, juste une petite vidéo pour te tenir au courant de mon exhibitionnisme. J’ai décidé que le concierge méritait de voir mon corps nu. Bien sûr je ne veux pas qu’il sache que c’est moi, donc voilà ce que j’ai fait !

Gladys brandir une feuille de papier avec le titre « Feuille de travail de biologie KS3 ». remplir ce papier était un exercice demandant aux élèves de remplir les étiquettes du dessin qui est un corps féminin nu, la tête coupée, debout impassible avec une poitrine de bonnet E et une silhouette toute en courbes.

Comme si mettre son corps nu dans une fausse fiche de biologie n’était pas suffisant, Gladys en avait également profité pour couvrir la feuille de graffitis enfantins. Ses seins étaient étiquetés comme « mamelles de salope », un pénis avait été dessiné près de sa chatte, et une tête  avec une bite dans la bouche avait été dessiné au-dessus du corps. Tout cela fait au crayon à papier pour ne pas obscurcir son corps, mais seulement le profaner.

Une fois qu’elle a montré la feuille à la caméra, elle la pose sur le sol, face vers le haut, à l’extérieur de la classe de biologie. Puis elle se cache à l’angle du couloir. Elle place le téléphone de façon qu’il filme le couloir à moitié et de l’autre moitié la réaction de Gladys lorsque le concierge tourne au coin avec son aspirateur.

Gladys doit se cacher la bouche pour ne pas crier lorsque le concierge remarque le papier et le ramasse avant qu’il se coince dans son aspirateur. Il prend un moment pour regarder la feuille puis laisse échapper un petit rire avant de la jeter à la poubelle et de continuer son travail. Gladys profite du bruit de l’aspirateur pour s’enfuir en courant.

Le film s’arrête puis redémarre avec Gladys maintenant dans un bureau sombre.

- Je suis tellement excitée que j’ai pensé que je devrais faire autre chose. Ces armoires contiennent les copies originales des feuilles de travail utilisées et photocopiées par les enseignants lorsqu’ils veulent donner un devoir à la classe. J’ai pensé que la classe de biologie pourrait avoir besoin d’une feuille de travail supplémentaire ! Dit Gladys à la caméra tout en se filmant en train de glisser une copie fraîchement imprimée de sa feuille de travail dans l’armoire.

- Imaginez, dans un avenir pas trop lointain, un professeur qui peut photocopier mon corps nu et le distribuer par inadvertance à sa classe. Aucun des élèves ne se rendra compte qu’ils voient les seins de leur directrice.

Elle pousse un petit cri en fermant la porte de l’armoire et en éteignant la caméra.

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Le moment où le concierge regarde son corps nu sur la feuille tourne en boucle dans l’esprit de Gladys. Mais elle sent aussi une certaine frustration en pensant que cette aventure n’a peut-être pas été aussi excitante pour l’homme qu’elle l’a été pour elle. Elle reste donc à l’écoute de toute rumeur particulièrement juteuse. Aujourd’hui, elle traîne dans le couloir des cours de biologie, non seulement parce qu’elle imagine que les étudiants vont voir sa feuille, mais aussi parce que c’est le jour d’un cours d’éducation sexuelle qui va sûrement susciter des commentaires :

- Tu lui montres ce préservatif et elle ne va pas en croire ses yeux !

- J’ai entendu dire que Quedir pouvait te les mettre simplement avec la bouche !

- Il paraît que Quedir garde en collection tous les préservatifs du cours d’éducation sexuelle. J’espère que tu lui as laissé un cadeau dedans !

La directrice se demande ce qu’elle pourrait faire de préservatifs étirés sur des concombres. Et elle se pose la question si leur professeur est assez négligent pour les étudiants enfile ces préservatifs sur leur bite.

Alors qu’elle tourne à un coin du couloir, elle entend son nom dans une autre conversation :

- J’ai entendu dire qu’elle vit maintenant à la ferme en bas de la route !

- Oui, le fermier l’a prise pour une vache et a trait ses grosses mamelles jusqu’à ce qu’elle crie de douleur. Maintenant elle y retourne tous les soirs pour se faire traire !

Gladys se demande ce que ça lui ferait d’être traite (même si la nature lui dit que ça n’apporterait pas grand-chose étant donné qu’elle n’est pas enceinte). Et elle se dit que même le fermier le plus myope de la terre ne pourrait la prendre pour une vache.

Elle continue sa recherche de rumeur dans l’école et elle entend des garçons revenant du cours d’éducation physique.

- C’est vraiment sadique de nous demander de monter à cette corde. C’est impossible.

- Mais notre prof l’a fait !

- Oui, mais c’est un gorille en short de sport ! J’aimerais voir quelqu’un de normal essayer. Il faut demander à Quedir de remuer son gros cul et de la faire montre la-haut. Après tout, c’est elle qui a engagé ce sadique.

- Bah, elle a déjà du mal à faire décoller ses gros nichons du sol.

- Ouais, mais je parie que si la corde était attachée autour de ses seins, elle aurait moins de problèmes. Une chienne vicieuse aux gros nichons comme elle, je parie qu’elle a déjà été pendue par les seins.

- Ce n’est pas comme ça que fonctionne la résistance à la traction. Même si ses seins sont gros, ça ne veut pas dire… Commence l’un des garçons.

Mais le Gladys n’entend pas le reste de la conversation, car son esprit est déjà en pleine effervescence.

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Gladys se tient nue au milieu de la salle de sport plongée dans l’obscurité. Elle murmure devant son téléphone, mais sa voix résonne dans l’espace caverneux. Nerveusement elle dit :

- Bonsoir mon abonné spécial. Un de mes étudiants a supposé que j’étais une salope si masochiste que j’avais déjà dû me suspendre par mes gros seins. Je ne pense pas qu’il soit vraiment possible que je sois suspendue ainsi, mais je ne suis pas arrivée là où je suis aujourd’hui en évitant les challenges.

Gladys filme fièrement son installation. Une corde d’escalade est prête et une série de petites cordes y pendent juste au-dessus de la hauteur de sa poitrine. En dessous, se trouve un tremplin réglable pour la gymnastique avec une corde attachée au levier de réglage sur le côté. Elle éloigne la caméra pour obtenir une vue large, puis, en guise de démonstration, elle monte sur le tremplin et tire sur la corde et tire sur la corde, dans un sens puis dans un autre, pour montrer qu’en changeant le réglage, son corps monte et descend et qu’elle peut ainsi ajuster sa hauteur par rapport au sol à volonté. Elle prend une profonde inspiration et se prépare à ce qui l’attend.

La corde la plus petite qui pend de la corde d’escalade a été mesurée avec précision dans un but très clair. Gladys se met sur la pointe des pieds et enroule cette corde en huit autour de ses seins, puis elle enroule cette corde en une bouche plus grande pour attacher les deux seins et les serrer ensemble. Puis elle fait d’autres huit avec l’autre petite corde attachée à la corde d’escalade. Elle sait maintenant que les cordes ne se déferont pas, chaque mouvement et chaque frémissement de son corps faisant resserre ces cordes. Elle regarde la caméra et essaie de faire bonne figure, prête à la conclusion redoutée.

- Prêt à voir mes seins de pute s’étirer ? Dit-elle en gémissant alors qu’elle se laisse tomber sur la plante des pieds.

Elle sent son dos se cambrer tandis que ses seins s’étirent vers le haut, les cordes se resserrant autour et les faisant gonfler vers l’extérieur. Avec ses pieds à plat sur le tremplin, elle sent déjà la douleur dans sa poitrine. Pourtant Gladys pense que la douleur vient surtout du serrage des cordes et qu’une seule petite partie de son poids est supporté par ses seins torturés.

Elle saisit la corde attachée au réglage du tremplin et elle tire dessus, réduisant ainsi la hauteur de celui-ci. Elle sent les cordes se resserrer, mais elle sent aussi une chaleur émerger à la base de sa poitrine et la sensation de ses seins qui commencent à s’éloigner de son corps. Elle tire un peu plus et un couinement s’échappe de sa bouche alors que la douleur irradie ses seins sous l’effort. Elle se met alors sur la pointe des pieds pour essayer de soulager la pression sur ses seins de plus en plus brûlants. Elle décide de continuer et elle prend la corde à deux mains pour la tirer fermement et continuellement malgré les objections douloureuses de sa poitrine.

Gladys commence à respirer lourdement, chaque expiration se transforment en cri alors que le tremplin se baisse et amène un poids supplémentaire sur ses seins qui agonisent. Elle commence à sentir que le bout de ses orteils commencent à ne plus toucher le sol.

Lorsqu’elle sent qu’elle ne peut plus le supporter, elle tire une dernière fois sur la corde. Un de ses pieds se soulève du sol et elle reste suspendue en criant et en se balançant devant la caméra. Dans son esprit, elle compte jusqu’à dix alors qu’une grande partie de son poids est supporté par ses seins. Elle sait qu’elle ne pourra jamais être totalement suspendue de cette façon, mais elle sent que la plus grande partie de son poids repose sur sa poitrine plutôt que ses pieds.

Après avoir fini de compter jusqu’à dix, elle dénoue rapidement ses seins et soupire de soulagement lorsque la pression est relâchée et que la douleur s’estompe un peu. Elle prend un moment pour reprendre son souffle avant de se tourner vers la caméra et dire :

- Regardez ces seins torturés !

Elle se penche pour que la caméra les voit pendre devant elle. Elle espère alors qu’elle ne les a pas vraiment étirés, même si elle en a l’impression à ce moment.

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Gladys passe quelques jours à soigner ses seins palpitants. Elle n’a pas vraiment apprécié jouer sur cette rumeur, mais elle espère que son mystérieux abonné, lui, a aimé, au moins assez pour lui donner le temps de trouver d’autres rumeurs. Au moment où la douleur sourde dans ses seins commence à s’atténuer, elle retourne à son ancien passe-temps favori, qui consiste à laisser des indices de sa perversion.

Elle voudrait laisser des photos d’elle nue sur le site internet de l’école, mais elle sait qu’elle n’est pas la seule à avoir un accès administrateur et que les photos seront visibles dans la bibliothèque d’images du site. Au lieu de ça, elle crée un collage de photos de son profil SkankBank (avec un lien vers le profil lui-même) sur un site web qu’elle contrôle avec un non de domaine compliqué, non répertorié et pas devinable. Ensuite, elle crée des redirections vers cette page pour quiconque tape la bonne extension à l’adresse du site de l’école. Elle commence avec des codes hexadécimaux, mais bientôt elle passe à la vitesse supérieure où il suffit de taper « /salope », « pute » ou « /directrice porno » après l’adresse du site de l’école pour arriver au collage de photos.

Ensuite, pour alimenter la machine à rumeurs, elle commande un lot de sous-vêtements sexy en dentelle. Gladys a le sentiment qu’elle a besoin de sous-vêtements plus sexy de toute façon, mais ce n’est pas le but. Le vrai but est d’en porter tous les jours sur le campus de l’école, puis s’assurer, lors de ses promenades nocturnes, d’enlever sa culotte sexy et la laisser dans un endroit bien en vue. Comme ça elle deviendra la suspecte numéro un. Et la machine à rumeur redémarre.

- T’as vu l’autre culotte en dentelle aujourd’hui ? A gauche, sur le poteau d’entrée des dortoirs !

- T’as vu sa taille ? Un seul cul peut rentrer dans une culotte aussi grande. C’est sûrement celle de la directrice Quedir !

- Pourquoi qu’elle laisse sa culotte derrière elle ? Tu crois qu’elle se fait baiser devant les dortoirs ?

- Ou du moins, elle se masturbe et nous laisse un cadeau.

- Je pense qu’elle est plus aventureuse que ça. J’ai entendu dire que c’est une salope exhibitionniste. Je parie qu’elle ne porte pas de vêtements chez elle. Au début elle devait se déshabiller juste devant sa porte, mais maintenant elle commence à se foutre à poil de plus en plus loin.

Gladys pense que cette théorie est facile à réfuter, le fait qu’ils n’aient trouvé que sa culotte démontre qu’elle ne fait pas ça. Mais ça ne signifie pas qu’elle ne peut pas commencer à le faire.

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- Bonjour abonné secret ! J’ai entendu une de rumeurs les plus délicieuses aujourd’hui et j’ai décidé de la mettre en pratique. J’ai peur que ce ne soit pas une expérience formidable pour vous, mais j’espère que cette idée vous permettra de patienter jusqu’à ce que je puisse télécharger des vidéos plus intéressantes. Les étudiants de l’école pensent que je suis nue tout le temps quand je ne suis pas avec eux. C’est une excellente idée, alors je me suis demandée si je n’avais pas le droit porter des vêtements à la maison ou si je n’avais pas le droit de porter des vêtements après 21 heures. Et je me suis dit : pourquoi pas les deux ?

Elle fait tourner la caméra pour montrer qu’elle est dans une salle de classe, l’horloge sur le mur indiquant 21h05. Puis elle éloigne la caméra pour montrer son corps nu assis sur l’une des chaises des élèves.

- Bien sûr, personne ne m’oblige à faire ça, donc je dois me fixer une punition si je ne respecte pas mes engagements. Mais comme je suis une vraie salope déviante, que pouvais-je bien proposer comme punition ? Et puis je me suis souvenue de ma peur lorsque j’ai découvert que j’avais un abonné. Donc, pour chaque minute que je passe habillée, que ce soit chez moi ou après 21h00 et avant 7h00 du matin, je réduirai le coût de l’abonnement à mon compte SkankBank de un euro. Cela devrait me garder motivée si j’oublie mon statut de sale pute qui n’a pas le droit de dire non.

La punition est fixée au moment où les paroles quittent la bouche de Gladys. Elle réfléchit et ça ne lui semble pas trop risqué, donc elle prévoit de maintenir ce défi jusqu’à la fin de l’année scolaire. De plus, il y aura des situations où elle aura besoin de porter des vêtements chez elle ou après 21h00. Malgré le risque, la peur et la frustration, Gladys est toujours extrêmement excitée et elle termine sa vidéo en se masturbant devant la caméra dans las salle de classe.

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Ce nouvel arrangement est dur pour Gladys. C’est facile les soirs de semaine où elle peut rentrer tôt à la maison, et parfois pendant les quarts de nuit où elle peut trouver un coin tranquille pour se déshabiller. Mais il y a déjà eu des infractions à la règle. Par exemple, des collègues l’avaient invitée au pub pour fêter un anniversaire, et elle n’avait pas pu se déshabiller avant d’avoir pu partir et d’être hors de vue à 22H46. Elle avait senti une larme coulée sur sa joue lorsque qu’elle avait baissé le prix de l’abonnement SkankBank de 2047 euros à 1941. Il y avait eu aussi des occasions où elle avait dû rentrer chez elle rapidement pour prendre une chose et ressortir en courant. Elle avait baissé le prix de l’abonnement d’un euro à chaque fois.

Sa maison étant suffisamment éloignée pour que personne ne vienne à moins vraiment de venir la chercher, elle n’a pas hésité à déplacer toute sa garde-robe dans le cabanon du jardin pour avoir un endroit où se changer à l’extérieur de la maison où les vêtements sont interdits. Elle se dit qu’elle a bien dû être vue, car elle passe énormément de temps nue sur le campus. Mais si c’est le cas, la personne l’a gardé pour elle.

Néanmoins le développement le plus intéressant survient après qu’elle a annoncé qu’elle ne fera plus de réunions dans son bureau à domicile. Une fois de plus, les rumeurs commencent à circuler.

- Elle a dû transformer son bureau chez elle en salle de baise ou quelque chose comme ça, non ?

- Soit ça, soit elle fait tellement l’amour que toute la pièce sent l’odeur de sa chatte et elle n’arrive pas à la faire partir.

- J’ai entendu dire qu’elle aime se comporter comme une chienne quand elle est seule. Elle a dû transformer son bureau en chenil.

Gladys fredonne doucement d’excitation.

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La vidéo commence avec une vue du sol de la cuisine de Gladys. Elle est à quatre pattes, ses gros seins pendants et elle commence à parler à l’objectif :

- Donc, sur l’idée de mes élèves, je vais modifier quelques règles sur ma nudité. Quand je reviens à la maison, je ne vais pas seulement me mettre nue. Comme je suis une vraie chienne, j’ai acheté ce collier et je vais le porter en permanence. Et comme vous pouvez voir, j’ai maintenant une queue.

Gladys montre son collier en cuir clouté rouge, puis elle se retourne pour que la caméra puisse voir son nouveau plus anal avec une queue attachée.

- Tant que je serai à la maison, je ne marcherai qu’à quatre pattes, toutes les pauses toilette se feront dans le jardin arrière, et je dormirai dans une grande cage pour chien que j’ai installé dans mon bureau.

Tous ces plans rendent clairement Gladys honteuse et excitée.

- Enfin, chaque fois que je devrais manger un repas à la maison, je le mangerai dans cette gamelle pour chien sans mes mains. Maintenant, je sais ce que vous pensez, vous vous demandez comment je suis censée cuisiner si je n’ai pas le droit de me tenir debout ? Eh bien c’est pour ça que j’ai rempli le placard du bas.

Gladys l’ouvre pour montrer à la caméra, les piles de boites de nourriture pour chien qu’elle a stockées. Elle lance à la caméra un regard vicieux et elle décide que la chose la plus appropriée à faire est de remuer la queue.

- Bien sûr, chaque fois que cette chienne est vilaine et n’obéit pas aux règles, je retirerai 1 euro du prix d’abonnement à mon profil SkankBank. Je suis sûre que vous avez déjà remarqué la baisse de prix. Si ça baisse encore plus…

Elle passe sa main entre ses jambes pendant un moment avant de se rappeler pourquoi elle fait cette vidéo.

- Je me suis dit que vous aimeriez me voir manger de la nourriture pour chien pour la première fois, regarder la petite chienne souffrir avant d’apprécier les morceaux de viande en sauce.

Elle prend la boite la plus proche et elle l’ouvre. Immédiatement elle recule devant l’odeur qui lui frappe le nez. Elle retourne la boite au-dessus du bol et elle regarde les morceaux tomber avec un gruit sourd et humide. Elle lance un regard dégoûté à la caméra avant de baisser son visage dans le bol et attraper délicatement le morceau le plus proche.

Gladys relève la tête et tente désespérément de réprimer son envie irrésistible de vomir. Elle prend conscience de la tache de sauce sur son nez et de la viande granuleuse qui repose sur sa langue. Elle prend une profonde aspiration et mord dedans avant de mâcher en s’étouffant presque. Finalement elle avale sa première bouchée.

- Beurk, argh, c’est horrible, absolument dégoûtant.

Elle fait une pause pour se calmer.

- Vous voulez me revoir faire ça ?

C’est un processus compliqué, mais la détermination de Gladys ne faiblit pas. Bouchée après bouchée, elle avale le contenu dégueulasse du bol avant de lécher le fond et lancer à la caméra un regard de réussite.

- Peut-être qu’avec un régime à base de nourriture pour chien, je ne serais plus une aussi grosse salope à l’avenir ! Plaisante-t-elle tandis que la sauce dégouline sur son menton.

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Gladys s’habitue maintenant à sa double vie bien établie. Les étudiants n’ont pas idée que chaque soir leur directrice rentre chez elle et s’humilie, vivant dans sa maison comme un simple chien. Malgré sa volonté, elle n’arrive pas à prendre goût pour la nourriture pour chien. En fait, elle essaie de prendre le plus possible de repas dehors pour éviter le goût dégueulasse de cette nourriture. Toutefois, lorsqu’elle se sent d’humeur à être bien humiliée, elle essaie de manger le mélange dégoûtant sans s’étouffer. La nouveauté de la situation dans laquelle elle s’est mise prend ses semaines à s’estomper au point qu’elle ne frotte plus sa chatte à vif dans un humiliation érotique quotidienne.

Elle s’accorde un peu de temps, même si le besoin de télécharger des vidéos sur SkankBank lui tourne dans la tête, mais ne devient pas trop pressant. Finalement, le calendrier scolaire lui offre l’occasion suprême de faire des bêtises. Gladys s’assure de rédiger une annonce en conséquence.

« un dernier avis avant que vous retourniez en classe. Les cours se termineront plus tôt vendredi prochain alors que nous préparons la collecte de fonds annuelle pour notre école. Des invitations ont été envoyées à tous les parents et anciens élèves pour la soirée dansante, le dîner raffiné et la fantastique vente aux enchères pour collecter des fonds. Toutes les choses mises aux enchères sont répertoriées sur le site web de l’école, mais nous avons quelques lots surprise secrets. La seule façon de savoir est de venir. Donc si vos parents ne se sont pas encore inscrits, assurez-vous de leur dire qu’il n’y a pas tout sur le site. Je donnerai quelques coups de fil vidéo au cours des prochains jours pour réunir le plus de personnes possible pour financer votre avenir ».

Naturellement, la nature des lots surprise devient l’objet de toutes les rumeurs qui circulent dans l’école.

- Je pense que tout le monde sera d’accord, l’un des gagnants des lots surprises va pouvoir baiser la directrice Quedir !

- Peut-être, mais rappelle-toi de tes cours d’économie, l’excès d’offre fait baisser les prix. Sa chatte ne vaut pas plus que cinq euros.

- Peut-être, et qui sait ce qu’elle peut bien fourrer dedans. J’ai entendu dire qu’elle est si salope qu’elle utilise sa chatte usée comme porte-monnaie.

- Qu’est-ce que ça veut dire ? Demande un gars, interrogation partagé par Gladys.

- Peu importe, parlons de ce qui peut être possible. Elle ne peut pas vendre sa chatte aux enchères, mais elle peut appeler en vidéo tous les anciens élèves en ne portant rien en dessous du nombril !

Gladys glousse doucement. Elle prévoit déjà d’appeler en vidéo les anciens élèves en ne portant rien d’autre qu’un collier et le plug anal avec la queue, faisant tout ce qui est en son pouvoir pour garder son téléphone portable avec son objectif au-dessus du cou.

- Moi je crois sincèrement qu’un ou deux coups de « vieux cogneur » sur son gros cul feraient un bel objet de vente aux enchères.

Les yeux de Gladys s’illuminent. Le « vieux cogneur » est un morceau de l’histoire de l’école. Elle n’a aucune idée de comment ce gamin le sait. C’était au début l’une des rames d’un bateau qui avait remporté un championnat d’aviron terriblement important à l’époque. Brisée, raccourcie puis lissée, elle était devenue un genre de raquette utilisée par divers entraîneurs sportifs pour punir les mauvaises performances. Naturellement ce fut interdit et elle devint un instrument de bizutage. Finalement elle fut confisquée, mais comme le directeur de l’époque était un ancien élève qui aimait le « vieux cogneur », la raquette resta dans le placard des trophées.

- Donc le lot 1 serait une fessée avec le « vieux cogneur », le lot 2, une baise dans sa vieille chatte. Et je pense que le lot numéro 3 pourrait être une série de photos compromettantes, en gros un pack de chantage gratuit. Donnez suffisamment d’argent et vous aurez la Directrice comme esclave.

- Mon Dieu, imaginez-vous des choses qu’elle ne voudrait pas faire et la faire chanter pour qu’elle le fasse quand même.

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- Ouaf, ouaf, bonjour mon abonné ! Commence Gladys.

Elle a décidé de filmer cette vidéo dans son bureau, enfermé dans sa cage.

- J’ai donc une mise à jour et une proposition pour vous. Vendredi prochain, nous organisons la vente aux enchères annuelle pour la collecte de fonds pour notre école. Comme il n’y aura que des adultes, je me suis dit que j’allais un peu me laisser aller. Je vais porter une tenue sexy. L’un des lots secrets va être d’offrir mon cul pour une fessée avec le « vieux cogneur ». D’autre part, une personne ne le sait pas encore, mais si elle renchérit beaucoup, elle recevra par mail une photo de moi nue. Il y a de quoi avoir envie, mais ce n’est pas pour cela que je fais cette vidéo.

Gladys s’arrête un long moment, semblant réfléchir, puis elle se force à aller de l’avant comme elle lavait convenu.

- Je n’arrête pas de me traiter de pute et de salope, mais comment puis-je l’être alors que je n’ai jamais trompé mon mari ? Alors je vous propose de me rencontrer et de me baiser. Le soir de la vente aux enchères, des tas de gens vont et viennent dans le hall principal si bien que personne ne remarquera que quelqu’un se faufile par la porte de derrière si je laisse celle-ci déverrouillée. Je vais donc m’éclipser et m’enfermer dans mon bureau. Puis je me couvrirai les yeux avec un bandeau, je ne suis qu’un jouet à baiser, je n’ai pas besoin de connaître votre identité. La clé de mon bureau sera cachée sous l’extincteur à côté de la porte arrière. Entrez et faites de moi ce que vous voulez !

La cage tremble un peu alors que Gladys frissonne.

- J’ai hâte que vous fassiez de moi la pute que tout le monde sait que je suis.

 *****

Gladys est assise dans son bureau, écoutant le flot ininterrompu des arrivées pour l’évènement de la collecte de fonds. Sa soirée est planifiée, mais elle regarde avec anxiété les piles de vêtements posés sur son bureau. La première pile est une tenue d’écolière, clairement un peu trop osée, mais qui ira bien avec la punition de la fessée. L’autre pile est une tenue de fête qu’elle a acheté, mais dans laquelle elle ne se sent pas à l’aise. C’est une robe de cocktail violette sans bretelles, bien renforcée au niveau de la poitrine pour pouvoir la porter sans soutien-gorge, serrée au milieu pour qu’elle colle son torse, le bas cachant très peu de ses cuisses avec une fente sur le côté qui ruine le peu de pudeur qu’il lui reste. Cette robe sera bien sûr portée avec des collants et des talons hauts, mais sans sous-vêtements.

Finalement Gladys pote pour la robe de soirée, car, même si elle est un peu scandaleuse, elle n’est pas ouvertement aussi sexy et sexuelle que la tenue d’écolière, ce qui lui permet de rester un peu respectable. Toutefois, à mi-chemin de l’enfiler elle a une idée. « Il n’y a aucune raison pour que je ne puisse pas me changer avant le spectacle avec le « vieux cogneur » » pense-t-elle avant d’attraper la tenue d’écolière et la ranger dans un sac qu’elle mettra près de la scène. «  On ne sait jamais, quelqu’un pourrait me voir en train de me changer et jeter un œil à ma chatte usée «porte-monnaie ». Gladys ne sait pas pourquoi cette phrase reste ancrée dans son esprit.

Elle sent de nombreux regards se braquer sur elle alors qu’elle s’occupe des formalités nécessaires pour que les riches donateurs se sentent chez eux. Les parents des étudiants actuels ont une réaction mitigée à sa tenue, mais les quelques anciens élèves qui se souviennent d’elle pendant leurs années étudiantes sont vraiment ébahis par la façon dont cette ancienne directrice austère est si détendue et insouciante à plus d’un titre.

Comme d’habitude, le dîner est exceptionnel. Le personnel de cuisine, grassement payé, a l’occasion de montrer son talent sans avoir à se soucier du budget et de la production en masse. Don il fournit des plats que même les plus aisés trouvent délicieux. Finalement Gladys monte sur scène et lance la vente aux enchères.

Il s’agit toujours de vendre un ramassis d’objets donnés, dans une bataille de riches et de vantardises entre anciens élèves qui achètent les lots chers pour récolter beaucoup d’argent. Gladys fait office de commissaire-priseur et s’assure de se pencher en avant de manière discrète, afin que son décolleté colossal inspire des enchères élevées. Les papillons dans son estomac gagnent en force à chaque lot qui passe.

- Vendu à l’homme élégant avec la cravate verte. S’il vous plaît, n’oubliez pas de me donner votre adresse mail afin que je puisse vous envoyer les billets d’hôtel. Annonce Gladys en pensant qu’elle va « accidentellement joindre une photo d’elle normalement destinée à son mari » lorsqu’elle lui enverra un mail demain.

- Et maintenant, il est temps pour le dernier lot de la soirée, un lot secret, mais celui-ci nécessite un peu de préparation, donc je reviens tout de suite.

Les mains de Gladys tremblent lorsqu’elle quitte la scène. Elle avait l’intention de s’amuser de manière coquine, mais saine avec son idée. Mais au fur et à mesure qu’elle avance, elle commence à s’inquiéter et se dire que ça va peut-être un peu trop loin. Néanmoins, elle continue à avancer, se déshabillant rapidement pour enfiler la tenue d’écolière un peu trop petite. La jupe à carreaux lui arrive à peine aux fesses et pendant un moment elle envisage de laisser les sous-vêtements derrière elle, mais son esprit rationnel reprend le dessus et elle enfile la culotte d’écolière avant d’attacher ses cheveux en couette et de se pavaner sur scène en portant le « vieux cogneur » sur son épaule.

Dès ses premiers pas, toutes conversations s’arrêtent. Un silence emplit la salle pendant quelques secondes avant que des sifflements et des cris du public ne le rompt. Le bruit devient assourdissant et il faut un certain temps à Gladys pour convaincre son auditoire de se taire avant qu’elle annonce le lot final.

- Vous aimez ma tenue ? Demande-t-elle au public avec insolence.

Elle regarde les gens applaudir avec joie avant de continuer :

- Je portais quelque chose de similaire quand j’étais écolière. Bien sûr, à l’époque, la pire punition que je pouvais recevoir c’était des remontrances sévères. Ce n’était pas comme à l’époque du « vieux cogneur » que j’ai ici. Levez la main si vous étiez à St Bernard quand cet objet était utilisé.

Quelques membres du public, les plus âgés, lèvent la main.

- Eh bien, le dernier lot de ce soir est la chance de pouvoir me donner 10 coups avec le « vieux cogneur ». A combien commençons-nous les enchères ? Demande-t-elle en se mordant la lèvre face aux murmures enthousiastes de la foule.

- Cinq mille euros ! Crie l’un des hommes les plus âgés qui a levé la main plutôt pour indiquer qu’il avait connu l’usage du « vieux cogneur »

- Euhh… dix mille euros ! Crie un jeune homme.

Gladys le reconnaît comme un de ses anciens élèves qui est désormais patron d’une entreprise technologique.

- Quelqu’un pour onze mille ? Demande-t-elle.

Elle est un peu étonnée de la valeur donnée à un lot qui va lui rougir les fesses. Les enchères continuent et elle est de plus en plus surprise de la valeur donnée à la punition de son cul. Finalement trois hommes se disputent cette enchère : Un riche gentleman assis à côté de sa femme rouge de rage, son ancien étudiant et un homme plus grand qu’elle ne connaît pas.

- Quelqu’un renchérit sur vingt mille ? Demande-t-elle en regardant les enchérisseurs.

L’ancien étudiant s’éclaircit la gorge et parle maladroitement :

- Euhh… Je dis… quarante mille euros !

Son annonce provoque un mélange d’exclamations et de surprise. Gladys n’en revient pas. C’est le double de son salaire annuel quand elle avait commencé à enseigner et cela juste pour se faire rougir le cul.

- Une enchère de quarante mille euros ! Dit-elle d’une voix rauque.

Les têtes des autres enchérisseurs se balancent de gauche à droite pour lui dire qu’ils arrêtent.

- Vendu pour quarante mille euros ! Monte sur scène Hugo ! Dit-elle en se souvenant juste à temps du nom de son ancien élève.

Il a un grand sourire sur le visage alors qu’il saute sur scène et regarde autour de lui. Gladys lui tend le « vieux cogneur » et elle se penche sur la table qui avait accueilli auparavant les autres lots en mettant sa main devant sa bouche comme si elle était une jeune fille effrontée. Hugo hésite et Gladys en profite pour relever sa jupe, le public applaudissant à la vue de sa culotte bouffante.

Hugo fait tomber l’ancienne rame d’un coup sec et Gladys sent une chaleur douloureuse se répandre sur ses fesses. Le public applaudit et elle rougit. Mais alors que les acclamations s’estompent, elle entend un homme d’un certain âge exprimer son mécontentement.

- Non, non, non… Hurle-t-il en montant sur scène, s’appuyant lourdement sur sa canne.

- En tant qu’ancien de St Bernard qui a déjà ressenti la piqûre du « vieux cogneur », je vous dis que ça ne va pas du tout. Aucun professeur ne m’a jamais laissé la possibilité de garder mon slip. Je sais que ce n’est plus politiquement correct, mais comment les enfants peuvent-ils apprendre s’ils ne ressentent pas la piqûre de la punition sur leurs fesses nues ?

La foule applaudit, plus pour ce qu’elle veut qu’il arrive à Gladys que pour les vues désuètes du vieil homme sur la discipline. Gladys se cache le visage avec les mains et pousse un cri perçant à l’idée de ce qu’elle doit faire.

La foule crie frénétiquement lorsque Gladys met ses mains sur l’élastique de la culotte pour la tirer vers le sol avant de reprendre sa place à la table et se pencher pour donner au public une vue dégagée sur ses fesses nues. « vieux cogneur » tombe une fois de plus sur son cul et la foule applaudit en voyant les fesses de la directrice onduler sous le coup. Gladys a à peine le temps de crier avant que Hugo ne frappe encore. La foule en réclame plus.

Le temps semble s’étirer à l’infini tandis que Gladys savoure la douleur et l’humiliation de son cul nu fessé devant les parents d’étudiants et les anciens élèves. Ce n’est plus un fantasme ou une séance de masturbation, elle est vraiment exposée.

Après dix coups, elle se relève rapidement et remonte sa culotte. Elle se précipite hors de la scène vers son bureau. Les invités prennent cela pour de l’embarras et de la honte, alors qu’en vérité Gladys est impatiente de retrouver son abonné mystère.

Gladys peut encore entendre le brouhaha qu’elle laisse derrière elle lorsqu’elle entre dans son bureau et verrouille la porte. Elle lève les yeux vers l’horloge.

« Merde, 22h48, je dois penser à déduire… Euh… 108 euros de mon prix d’abonnement la prochaine fois que j’aurais accès à un ordinateur » Pense-t-elle en se déshabillant aussi vite que possible.

Elle est nue dans son bureau, regardant autour d’elle, réfléchissant à ce qu’elle doit faire ensuite. Elle avait prévu de s’attacher, donc elle a de la corde et des élastiques, mais elle ne sait pas trop comment faire. Tout ce qu’elle a vraiment prévu, ce sont les mots « à votre service » qu’elle a écrit sur son pubis et un préservatif qu’elle a volé au cours d’éducation sexuelle et qu’elle a laissé en évidence sur son bureau.

Elle s’assoit d’abord sur le fauteuil de son bureau, les jambes aussi écartées que le permettent les accoudoirs. Elle se dit que c’est la bonne position pour s’attacher, puis elle se demande si ses jambes sont assez écartées pour accueillir un homme en elle. Elle essaie de plier ses jambes sous les accoudoirs et cela ouvre ses jambes plus largement, mais du coup, sa chatte est trop loin du bord. En se déplaçant, elle manque de glisser, mais ce faisant, elle se retrouve dans la position parfaite.

Gladys fait passer une corde autour du dossier du fauteuil, attachant une extrémité à chacune de ses jambes, la forçant à se contorsionner dans une pose courbée avec sa tête à la base du dossier du fauteuil et sa chatte et son cul pendant au bord du fauteuil. Ensuite elle attache ses genoux aux accoudoirs pour l’empêcher de simplement lever ses jambes par-dessus le dossier du siège. Elle installe des bandes élastiques à l’extrémité des accoudoirs, pour pouvoir bloquer ses bars en place. Cependant, avant de pouvoir faire cette dernière étape, elle enroule un foulard autour de sa tête pour en faire un bandeau et se plonger dans l’obscurité. Enfin elle place ses bras à l’extérieur du fauteuil et elle les glisse dans les élastiques pour les maintenir en place.

Gladys prend plaisir à savourer son impuissance. « d’un instant à l’autre, un inconnu va entrer dans mon bureau et me baiser, et je ne peux rien y faire » pense-t-elle. Ce n’est pas tout à fait vrai, parce que même si les élastiques tiennent en place ses bras, ils sont suffisamment extensibles pour qu’elle puisse libérer ses mains si quelque chose ne va pas. Mais Gladys s’amuse à penser que ce n’est pas le cas.

La position dans laquelle Gladys s’est attachée n’est pas confortable, ses fesses lui font encore mal à cause des coups de raquette, et alors qu’elle se tortille d’inconfort, elle craint qu’il ne vienne pas vraiment. Elle lui a déroulé comme un tapis de bienvenue, mais elle n’est pas sûre qu’il ait accepté ses conditions. Elle était tellement investie dans le fait de surmonter son aversion à être une prostituée infidèle qu’elle n’avais jamais pensé à ce que cela ferait à son égo d’offrir son corps à un inconnu et d’être refusée. Un moment, elle envisage de se détacher, mais son cerveau nageant dans l’embarras lui dit de continuer.

Après ce qui lui semble une éternité, Gladys entend le grincement révélateur d’une clé dans la serrure. Elle se tortille et gémit en entendant la porte s’ouvrir et des pas dans son bureau. L’homme ne dit rien, mais elle sent des mains saisir brutalement ses seins, les pétrissant et les secouant. Puis l’homme cesse de la tripoter et elle se retrouve une fois de plus à gémir de désir dans l’obscurité. Elle se demande ce qu’il fait maintenant. Prend-il des photos pour sa collection privée ? Ou peut-être prépare-t-il quelque chose de pire pour elle. Sa question trouve une réponse lorsqu’elle sent qu’il lui attrape la main et commence à entourer une corde autour, enchaînant rapidement avec l’autre main. Il avait dû examiner comment elle était attachée, et se rendre compte qu’elle pouvait se détacher rapidement. Alors il vient de s’assurer qu’elle soit totalement piégée.

Soudainement, Gladys sent l’un de ses stylos de son bureau glisser sur sa poitrine. Elle essaie de savoir ce qu’il écrit, mais elle est distraite par le pur frisson de la dégradation. Finalement elle le sent saisir fermement le fauteuil pour le déplacer. Le sol gronde sous les roulettes alors qu’elles passent du tapis moelleux de son bureau au parquet du couloir de l’école.

- Attendez, qu’est-ce que vous faites… Commence-t-elle à crier.

Il la fait taire calmement, mais fermement, et à sa grande surprise, elle obéit.

Finalement le roulement s’arrête. Elle ne peut dire où elle est, mais chaque petit bruit résonne de manière inquiétante. L’homme se remet à jouer brutalement avec ses seins, les serrant aussi fort qu’il le peut, puis suçant ses tétons jusqu’à ce qu’elle pense qu’ils vont éclater. Alors qu’il relâche sa poitrine et que ses seins hurlent de soulagement, elle sent sa bite commencer à se presser contre sa chatte vulnérable.

Gladys est tellement mouillée qu’elle n’oppose pratiquement aucune résistance lorsque la bite glisse en elle. Elle gémit de honte et de satisfaction lorsque l’inconnu commence à la baiser. Et elle jouit. Ses gémissements de plaisir résonnent dans la pièce que son abonné a choisie pour la pilonner. Elle le fait enfin, elle trompe son mari en ayant une relation sexuelle avec un anonyme, donnant son corps comme la pute que ses étudiants pensent qu’elle est.

- Oui, Baise-moi ! Baise-moi comme la salope idiote que je suis ! Hurle-t-elle avant de sentir l’homme éjaculer en elle.

Alors qu’il retire sa bite, elle sait qu’il a porté le préservatif. Mais quelques instants plus tard, il vide son contenu sur ses seins et l’essuie contre ses lèvres qu’elle lèche avidement. Elle peut entendre sa respiration lourde alors qu’il remonte son pantalon. Puis dans un murmure, en essayant clairement de modifier sa voix pour ne pas être reconnu, son mystérieux abonné lui dit la seule chose qu’il allait lui dire ce soir :

- Ce bandeau compte comme un vêtement.

Horrifiée, Gladys écarquille les yeux en entendant ses pas s’éloigner et disparaître dans la nuit.

Gladys hurle. Elle est complètement attachée quelque part dans l’école, avec du sperme en train de sécher sur ses seins et une horloge qui avance et enlève 1 euro du coût de l’abonnement à son profil SkankBank pour chaque minute passée. Il faut qu’elle se libère, sans compter que si elle n’arrive pas à s’échapper, elle va finir par être découverte, peut-être par le personnel ou les étudiants le lendemain matin. Son esprit est encore embrumé par son orgasme, mais il la garde excitée à l’idée d’être piégée et découverte. Gladys sait qu’elle doit trouver un moyen de sortir de cette situation.

« Allez Gladys, arrête de penser à ton porte-monnaie bien baisé et pense à ta survie » pense-t-elle, se demandant même dans une situation désespérée pourquoi cette histoire de porte-monnaie lui reste en tête. Elle se tortille dans tous les sens, testant les liens de tous ses membres pour savoir qu’elle est le plus détendu. Ses mains sont soigneusement attachées, l’inconnu s’en est assuré, mais Gladys a elle-même attaché ses jambes au milieu d’une crise d’excitation. Alors elle se balance d’un côté à l’autre et elle sent la corde glisser un peu sur sa jambe gauche si elle arrive à la tendre autant qu’elle le peut.

Elle se tortille et tourne, hurlant de besoin d’une souplesse qu’elle n’a jamais eue auparavant. Puis, après un grognement d’effort, elle sent la corde rouler jusqu’à sa cheville, arrêtée par l’autre corde enroulée autour du fauteuil. Elle fait une longue et douloureuse flexion de sa jambe jusqu’à ce qu’elle sente la corde glisser par-dessus l’autre et enfin détacher son membre. Le relâchement soudain de la corde lui permet de libérer son autre jambe. Elle se retrouve maintenant confortablement assise sur son fauteuil, les pieds sur le sol avec beaucoup de corde emmêlée. Ensuite Gladys se met au travail sur les nœuds qui entravent ses mains.

Cela lui prend beaucoup de temps, Gladys ne cherche pas à couper la corde, elle mord et tire dessus pour essayer de défaire le nœud avec sa bouche. Il lui semble qu’il lui faut des heures avant d’arriver à se fins et de sentir la corde se desserrer. Elle rugit de triomphe  en sentant la corde tomber au sol. Ses mains libérées arrachent le bandeau pour qu’elle visualise l’étendue de sa situation.

Gladys se trouve dans le hall d’entrée, toujours décoré pour la collecte de fonds, bien que sombre et silencieux, juste de l’autre côté des doubles portes emblématiques de St Bernard. Si elle était restée ici, elle aurait été le centre d’attention de quiconque qui serait entré le lendemain matin.

Elle baisse les yeux et voit le sperme séché s’écailler sur ses seins, à l’endroit où l’inconnu a écrit l’adresse complète de son profil SkankBank. Avec appréhension elle regarde l’horloge sur le mur ? Il est 1h39. Gladys fait quelques calculs rapides dans sa tête et calcule que l’abonnement à son profil va coûter 279 euros de moins en une seule nuit d’aventure. Elle frissonne et se dit qu’à ce rythme-là, il va devenir gratuit.

Elle regarde autour d’elle, seule dans l’école et elle repère l’une des boites de dons de l’évènement.

- Je n’arrive pas à croire que l’on ait oublié cette boite. Je ferais mieux de rapporter l’argent à mon bureau. Peut-être que je pourrais le mettre dans mon « porte -monnaie » baisée. Dit-elle tout haut.

Dans l’obscurité de l’école vide et malgré tout ce qui vient de se passer Gladys se prépare à enfourner dans sa chatte autant de pièces que possible, sa détermination à confirmer les rumeurs étant encore plus forte que son épuisement et sa peur résiduelle de ne pouvoir se détacher. Alors qu’elle titube maladroitement dans le couloir, elle se pose des questions :

- Est-ce que j’ai été totalement brisée ?

 ****

Epilogue.

Gladys met son téléphone sur haut-parleur tandis qu’elle regarde le bol de nourriture pour chien qu’elle a préparé pour le petit-déjeuner du samedi matin. Le président du conseil d’administration de l’école l ‘appelle pour lui parler des évènements survenus lors de la collecte de fonds.

- L’école était remplie de gens qui regardaient notre directrice, la première personne de pouvoir au sein de l’établissement se faire fesser son cul nu avec une rame. Comme pensiez-vous que nous allions réagir ? Hurle-t-il au téléphone.

- Avec gratitude ! Il fallait récolter des fonds pour l’école. Quarante mille euros, un seul lot des enchères, nous permet de payer le personnel de cuisine jusqu’à la fin de l’année.

- Je suppose que si ça pouvait rapporter de l’argent à l’école, ce serait bien de vous installer à un coin de rue, non ? Dit-il sans se rendre compte que l’idée alimente l’imagination de Gladys.

- Calmez-vous Edmund, je ne suis pas perverse. Ment Gladys, espérant pouvoir en finir vite avec cet appel pour pouvoir manger la nourriture pour chien et se masturber en paix.

- J’ai vu pire dans des films classiques, c’était juste un peu de divertissement grivois.

- Malheureusement, les autres membres du conseil d’administration pensent comme vous. Je crois que le succès de cette collecte de fonds efface leur sens des convenances. J’attends avec impatience l’évènement de l’année prochaine, où vous pourrez peut-être collecter autant d’argent que possible sans vendre votre corps.

- L’année prochaine, je compte récolter le double de ce que j’ai récolté hier soir. Attendez et vous verrez ! Répond Gladys.

- Vous savez, après votre performance d’hier soir, ça m’inquiète un peu ? Qu’allez-vous faire ? Transformer la salle des professeurs en un bordel pour la nuit ? Peu importe, je ne vous comprends pas. Assurez-vous d’appeler votre enchérisseur, il vous a fessé, mais nous n’avons toujours pas reçu le chèque.

Le président du conseil d’administration de l’école raccroche avant que Gladys ne puisse répondre. Elle soupire, étant obligée de faire quelque chose avant de déjeuner. Mais alors qu’elle cherche le numéro de son ancien élève, Hugo, son téléphone sonne à nouveau. C’est son mari cette fois.

Elle a tout d’abord une conversation banale et habituelle avec son mari qui devient une figure distante avec sa nouvelle double vie. Une fois les banalités passées, son mari passe à la raison de son appel.

- Je discutais avec Greg ce matin et il m’a dit que l’évènement de ta collecte de fonds d’hier soir avait été très intéressante.

- Ah oui, le truc avec « vieux cogneur » !

- Mon Dieu Gladys, qu’est-ce qui t’as pris ? Il m’a même envoyé une photo de ma femme habillée en écolière, se faisant fesser devant un public comme une strip-teaseuse ! Hurle son mari.

- Calme-toi ! C’était juste un petit moment de divertissement grivois, et en plus, ça a permis de récolter beaucoup d’argent pour l’école. Intervient Gladys en essayant de contenir sa colère.

- Gladys, nous sommes un couple connu. Grâce à mes liens avec le monde des affaires et ta position prestigieuse, nous pouvons faire presque tout ce que l’on veut. Je pensais faire de la politique un jour. Tu ne crois pas que tes « plaisirs obscènes » affectent notre avenir. Quant à l’argent nous en avons beaucoup, donc tu n’as pas besoin de faire ça, demande-moi simplement.

- Personne ne m’a forcé et c’était plutôt amusant. Et si tu me fessais avec le « vieux cogneur » un jour ? Je crois que tu changerais d’avis.

- Je suis si près de réaliser mes ambitions. Je n’ai donc pas besoin que la presse découvre et publie tes déviances sexuelles.

- C’est tout ce qui t’intéresse ? Ton image et ton avenir ? Et si je veux être déviante hein ? J’ai passé ma vie à être convenable… Et si je voulais que quelqu’un me fesse le cul ? Commence à crier Gladys.

Elle touche un point sensible chez son mari. Même avant sa double vie, ses fantasmes sexuels étaient bien trop osés pour lui. Elle l’avait entraîné dans des pratiques fétichistes assez modérées. Mais elle est agacée par son ressentiment qu’il dévoile tout le temps.

- Je ne peux pas te parler quand tu es comme ça. Et si je venais te rendre visite le mois prochain ?

- Parfait ! Et que penseras-tu si je me fais percer les tétons d’ici là ?

Il y a un long silence, empli de colère.

- Je te verrai le 4 avril ! Répond-il sèchement avant de raccrocher.

Gladys grogne de frustration. Tout, sauf leur vie sexuelle, est parfait avec son mari. Mais ses besoins sexuels deviennent une grande part de son identité, si bien qu’elle ne sait pas comment sa vie maritale va évoluer.

Elle est prête à prendre son petit-déjeuner, mais elle se rappelle qu’elle doit appeler son ancien élève, Hugo. Elle se dit qu’un appel vidéo avec l’image coupée au niveau du cou la mettra dans l’ambiance pour son petit-déjeuner ;

- Bonjour Hugo, désolée de t’appeler un samedi, as-tu un moment à m’accorder ? Demande gentiment Gladys.

- Oh bien sûr, que puis-je faire pour vous, Madame Quedir ? Répond-il, encore plus gêné et nerveux qu’il ne l’avait été en la fessant.

- Eh bien, il s’agit de votre enchère d’hier soir. Je ne l’oublierai pas de sitôt, mais il semble que vous ayez oublié d’envoyer les 40000 euros que vous aviez promis.

- Ah bon ? J’aurais juré les avoir envoyés ! Peut-être que je me suis trompé de compte, vous devriez vérifier. Suggère-t-il, la voix pleine de nervosité.

Gladys fait l’effort de maintenir son téléphone pour qu’il ne filme que sa tête alors qu’elle ouvre l’application bancaire et qu’elle s’y connecte.

- C’est bizarre, on dirait que ça a été versé sur mon compte personnel.

Gladys se tait, stupéfaite en regardant son compte. Il contient un dépôt de 40000 euros effectué grâce à la fonction paiement de SkankBank.

- Attends, tu….

- Votre mystérieux abonné, oui c’est ça en quelque sorte. Le truc c’est que SkankBank est l’un des sites web appartenant à mon entreprise informatique. Tous les comptes dont les paiements sont fixés au maximum, à 2047 euros sont transmis à une modération manuelle que je fais personnellement. Je connais donc votre compte et je regarde vos vidéos depuis le premier jour.

Le monde semble s’effondrer autour de Gladys alors qu’elle voit son ancien élève la regarder avec un désir familier, et une connaissance profonde de ses déviances.

- Je me suis abonné après avoir culpabilisé d’avoir regardé vos défis de Noël sans que vous le sachiez.

- Alors… Hier soir… C’était toi ?

- Oui. Je n’arrive pas à croire que j’ai pu vous baiser. Saviez-vous que j’ai le béguin pour vous depuis que vous avez commencé à travailler à St Bernard ? C’est probablement pourquoi j’ai suivi attentivement vos cours et que j’ai si bien réussi en informatique.

- Eh bien, je n’aurais pas cru que tu sois le genre de personne qui m’attache plus que je l’étais, me baise dans le hall d’entrée de l’école, puis me laisse me débrouiller au risque que je sois découverte nue.

- Ce n’était pas si terrible. Je n’étais pas loin et si vous ne vous étiez pas détachée au bout d’une heure ou deux, je serais venu vous libérer. Je suis désolé, mais vous aviez marqué « A votre service » et j’ai juste…

- Allons, allons Hugo ! Tu n’as pas besoin de t’excuser. Au contraire ça devrait être à moi de m’excuser.

Gladys pose son téléphone et recule, voyant l’expression surprise sur le visage de son ancien élève alors qu’il la voit, totalement nue à l’exception d’un collier de chien, un plug anal avec une queue dans son cul et sa chatte luisante d’anticipation perverse.

- Cette salope a mis son jus de chatte dégoûtant partout sur ta bite la nuit dernière et je me sens mal à cette idée.  J’étais sur le point de manger mon petit-déjeuner de nourriture pour chien, mais si tu veux, tu peux me punir d’abord.

Hugo semble vraiment gêné. Il est plus facile de regarder une vidéo de Gladys ou de la baiser alors qu’elle a les yeux bandés. Mais là c’est son béguin d’enfance qui le supplie de la punir. Il s’éclaircit la gorge :

- Euhh oui… Comment… Comment osez-vous être une telle salope ? Heu… Vous méritez une punition…

Il fait une longue pause, sa tête remplie d’idées mais incapable d’en énoncer une seule. Finalement Gladys comprend que si elle n’intervient pas, elle va mourir de faim. Elle pince ses tétons pour se remplir d’idées vicieuses et de volonté de les mettre en pratique avant de parler.

- Je parie que tu penses que cette salope infidèle ne mérite même pas de la nourriture pour chien propre. Ce serait vraiment une punition si tu lui ordonnais de pisser dans son petit-déjeuner avant de le manger. Grogne-t-elle d’excitation.

- Oh mon Dieu, oui, faites ça ! Répond Hugo, sa bite dans la main.

Alors que Gladys s’accroupit au-dessus de la gamelle pour chien, son esprit commence à tourbillonner d’idées pour l’avenir.

A suivre…

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