mercredi 29 décembre 2021

Possédée

 Traduction d'un texte de 62_goo

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Je m'appelle Jody Morrison. Je suis mariée à James, l'homme le plus merveilleux et le plus doux du monde. Je l'aime profondément. Nous avons un enfant, Bonnie, une fille de neuf mois.

Nous sommes une famille classique. Mon mari apprécie son travail donc il a obtenu des promotions rapides. Il est le directeur régional d'une chaîne de magasins d’électronique. Il est donc obligé de voyager, mais il est absent la nuit que lorsque c'est nécessaire.

Notre vie sexuelle est merveilleuse. Mon mari est un amant doux et attentionné. Son but principal est de s'assurer que je suis satisfaite. Même après l'arrivée de notre fille, il a toujours compris mes besoins. Il a été très prudent et doux lorsque nous avons fait l'amour pour la première fois après la naissance.

J'ai tout ce que je veux, mais je suis prête à tout abandonner en un instant.

Très jeune j'ai compris que j’étais une personne soumise. J'ai eu des petits amis qui l'avaient compris et qui ont pris un grand plaisir à m'humilier en public. J'avais tellement honte, mais ça m'excitait énormément.

J'ai rencontré mon maître il y a deux ans. Je me promenais sur internet dans des salles de chat BDSM, quand j'ai trouvé un homme qui semblait pouvoir être le maître auquel je pouvais appartenir. J'ai commencé à dialoguer avec lui et nous avons découvert que nous vivions dans la même ville. Immédiatement nous avons débuté une conversation en privé. Dès le début, il m’a ordonné de me déshabiller.

J’étais chez moi, sur mon ordinateur portable. C’était tôt le soir et mon mari allait bientôt rentrer. Bonnie faisait la sieste. Ma chatte était humide. J'ai enlevé tous mes vêtements.

L'homme a alors écrit : « Prends une photo et envoie-la moi ! MAINTENANT ! »

J'ai fait ce qu'il voulait. Ma chatte dégoulinait d'excitation.

« Très bien salope » fut son prochain message suivi immédiatement de « Maintenant filme-toi en train de te masturber et envoie-moi l'enregistrement ».

J'ai tout de suite obéi. J'ai allumé la caméra vidéo et j'ai commencé à me toucher. Il ne m'a pas fallu longtemps avant d'avoir un orgasme. Il fut un des plus intenses depuis mon mariage. Ensuite, j’ai posté le film avec mon prochain message.

« Bien salope ! Tu peux te rhabiller, je te contacterai demain. »

Et ce fut tout. En moins de dix minutes, cet homme m'avait ordonné de me déshabiller et de me masturber, et j'avais obéi. C’était excitant. Je venais de finir de m'habiller quand j'ai entendu la voiture de mon mari. J'ai nettoyé du mieux que j'ai pu. Bonnie se réveillait alors je suis allée la chercher. James mon mari était dans le salon quand je suis revenue avec notre fille. Il m'a embrassé sur la joue et a pris notre bébé.

Notre soirée fut relativement normale, même si je ne pus m'empêcher de penser à l'homme d'internet. Après avoir mis Bonnie au lit pour la nuit, James et moi étions trop fatigués pour faire l'amour. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.

Le lendemain, dès que James fut parti travailler, je me suis mise sur mon ordinateur. Et bientôt j'ai reçu un message :

« Salope, sois à l'adresse 1640 Mouton Drive avant 9h30 ce matin. Tu ne porteras rien sous une robe moulante. Et tu seras épilée. Je veux que tu sois maquillée comme une salope. Ne sois pas en retard et apportes des vêtements de rechange avec toi ! »

J'ai regardé l'horloge, il était presque 8h30. J'avais un peu plus d'une heure pour me préparer et me rendre à ce rendez-vous. Mais j'ai commencé à paniquer, il me faudrait plus d'une heure pour m’épiler et m'habiller. Je savais quelle robe j'allais porter. Je possédais une robe de soirée bien serrée qui faisait bien ressortir mes courbes.

Je me suis douchée et épilée en un temps record. Je me suis maquillée aussi rapidement, yeux sombres et fumés, beaucoup de fard à joues et un rouge à lèvres rubis. Je suis montée dans ma voiture et je suis partie pour ce rendez-vous. A mi-chemin, j’ai réalisé que je n'avais même pas pensé à ne pas y aller. En fait, ma chatte dégoulinait par anticipation.

Je suis arrivée à l'adresse et je me suis retrouvée devant un manoir. J'ai garé ma voiture et je me suis avancée jusqu’à la porte d’entrée. Avant que je ne puisse frapper, elle est ouverte par le plus bel homme noir que je n'aie jamais vu.

- Bienvenue chez moi salope ! Tu es juste à l'heure ! Entre ! Donne-moi tes clés de voiture, va dans la pièce là, enlève ta robe et agenouille-toi face au bureau, les mains dans le dos !

J’ai fait ce qu’il m'a demandé et j'ai attendu ce qui m'a semblé être une éternité. Puis j'ai entendu la porte se fermer. J'ai senti qu'il était juste derrière moi. Il m’a chuchoté à l'oreille :

- Bonne salope !

Sur ce, il m'a menottée. Puis il m’a fait plier à la taille jusqu’à me faire poser le front sur le sol. J’ai senti ses mains sur mes fesses qu'il a retirées cinq secondes plus tard. J'ai entendu un bruissement et quelques instants après mon cul a ressenti une grande douleur. Il m'avait fouettée. Je savais que je n'aurais pas dû pleurer, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.

- Ne pleure JAMAIS en ma présence salope. Tu viens de mériter une raclée.

Il m'a fouettée encore et encore. J'ai rapidement perdu le compte du nombre de fois où il m’a frappée. Mon cul était en feu, mais ma chatte dégoulinait. Il l'a vu quand il a fini de me punir. Il a doucement joué avec ma chatte jusqu’à ce que j'aie un orgasme massif. Je pense que je me suis évanouie, mais je sais que j'ai giclé sur sa main.

Quand j’ai repris mes esprits, il a mis sa main près de ma bouche. J'ai compris qu’il voulait que je nettoie sa main de mon jus. Je l'ai fait avec empressement, en léchant sa paume et en suçant ses doigts un par un.

- Bonne petite salope ! Dit-il.

Je rayonnai de joie.

- Maintenant suce ma bite ! Et ne laisse pas une goutte s’échapper.

Il a baissé son pantalon et j’étais face à une énorme queue noire. Elle mesurait bien 25 centimètres et elle était aussi épaisse que mon poignet. J'ai engouffré son membre avec impatience. Je l'ai sucé en essayant d'en prendre le plus possible dans ma gorge. Ça m'a pris du temps, mais j'ai réussi. Puis il a donné des coups de reins. Chaque poussée a cogné son ventre contre mon visage, durement. Ma gorge était en feu, mais j'ai adoré ce traitement. C’était ma place. C'est ainsi que je devais être traitée. J’étais sur le point de jouir sans que l'on touche mon sexe.

Soudain, l'homme s'est raidi et a poussé encore plus fort sa bite dans ma bouche. Puis des litres de sperme sont descendus directement dans mon gosier. Je n'en ai pas perdu une goutte. Quand il s'est retiré, j'ai suivi sa queue pour la nettoyer. Je voulais qu'il me baise brutalement alors j'espérais qu’il continue de bander.

Il m’a contourné et a fourré sa bite dans ma chatte. J'ai gémi de bonheur alors qu’il me pilonnait. Il était brutal. Il m’a traitée comme une poupée de chiffon. Il m’a baisé plus violemment que ce que j'ai connu auparavant. C’était animal et j'ai aimé chaque minute de ce traitement.

Soudain, il a ralenti et a demandé :

- Qui est ton Maître ?

- Vous.

- Que vas-tu faire pour moi ?

- Tout ce que vous me demanderez.

- N'importe quoi ?

- N'importe quoi. Je serai votre putain. N’arrêtez pas ! Je ferai n'importe quoi pour que vous me fassiez. Je ferai tout ce que vous voudrez.

- Tu feras tout ce que je te dis ? Même si je veux donner ton cul de salope ?

- Oh oui, je vous en prie, faîtes de moi une pute. Faites-moi baiser par n'importe qui, du moment que vous me baisez aussi.

- Tais-toi salope ! Je te baiserai si ça me plaît, pas si tu le souhaites. Tu es là pour mon plaisir, et seulement pour le mien.

- Je comprends Maître, je ferai tout ce que vous me demanderez. Je me consacrerai à vous et à votre plaisir. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec moi.

- Ne parle plus de toi en disant « je ». Tu n’es plus rien. Tu parleras de toi à la troisième personne, compris ?

- Votre salope vous comprend Maître. S’il vous plaît, baisez votre salope pour s’être trompée.

- Bien salope !

Il attrape ensuite mes cheveux et recommence à me pilonner. Je suis baisée au-delà de ce que je souhaitais. Et je jouis continuellement du traitement brutal que je reçois.

Il éjacule en moi, me gifle et s’en va en disant simplement :

- Ne bouge pas !

Je peux sentir son sperme couler sur mes jambes. J’ai le souffle court comme une chienne en chaleur. Et c’est merveilleux. Pendant qu’il me baisait, j’avais l’impression d’être morte et d’être montée au paradis. Il est tout ce que je veux chez un Maître. j’ai oublié que je suis une femme et une mère, mais je sais que je quitterai cette vie dans la seconde si mon Maître me le demande.

Il revient un peu plus tard avec un groupe d’amis. Immédiatement je recommence à être baisée. L’un d’eux enfonce sa bite dans ma bouche pendant qu’autre investit ma chatte. J’aime ça. Je suis malmenée et contusionnée, mes poignets sont à vif là où les menottes frottent contre ma peau, mais je suis là où je voulais être.

Ça dure toute la matinée. Personne ne me parle, ils se contentent de me baiser. Je les fais jouir, mais je ne suis rien à leurs yeux. Je suis une chose, un jouet sexuel, une pute.

Quand ils ont tous fini, ils me pissent dessus à tour de rôle. Mon Maître m’ordonne de tout boire, mais j’en renverse beaucoup. Je suis fouettée pour ça. Je suis tellement excitée que je jouis lorsque le fouet tombe sur ma chatte.

Après que les hommes soient partis, le Maître me fait prendre une douche et me rend ma robe. Puis il me fait monter dans sa voiture et me dit :

- J’ai une surprise pour toi, mais je dois d’abord savoir quelque chose. Es-tu ma salope ?

- Oui Maître, cette salope est à vous et à vous seul.

- Et ton enfant et ton mari ?

- Cette salope est à vous Maître. Peu importe le reste.

- Bonne salope !

Il me conduit en ville et nous entrons dans un salon de tatouage. Il m’ordonne de soulever ma robe pour que le tatoueur puisse travailler. Celui-ci siffle quand il voit que je ne porte pas de culotte.

Il me tatoue ces mots : Esclave d’Antwan.

Je pense que j’ai joui pendant qu’il le faisait. J’étais si heureuse qu’un homme me croit digne d’être marquée d’une manière qui montrait mon dévouement envers lui. La douleur de l’opération n’a fait qu’améliorer l’expérience.

Le Maître me ramène ensuite chez lui. Il m’ordonne de prendre mes vêtements de rechange et de rentrer chez moi. Je suis dévastée :

- Maître, cette esclave a-t-elle fait quelque chose de mal ?

- Non salope !

- Mais Maître, je veux rester ici avec vous.

Il me gifle durement au visage et me coupe la lèvre. Un peu de sang coule.

- Ce que tu veux n’a pas d’importance, c’est ce que je veux qui importe. Je veux que tu rentres chez toi en sachant que je veux que ton tatouage reste loin des yeux de ton mari. Je t’ordonne de le baiser ce soir. On va voir s’il remarque quelque chose.

- Oui Maître, tout ce que vous voulez.

Je rentre à la maison. Ma petite fille est heureuse de me voir et la nounou peut rentrer chez elle. Je passe le reste de la journée à revivre tout ce qui s’est passé. Maintenant que je suis à la maison, j’ai peur. Et si mon Maître ne voulait plus vraiment de sa salope ? Et si mon mari découvre ce que j’ai fait et ne veut plus de moi ?

J’essaie d’agir normalement quand mon mari est de retour à la maison. Sachant que mon Maître veut que je le baise ce soir, je me montre particulièrement amoureuse. 

Nous nous sommes couchés nous avons fait l’amour. Nous n’avons pas baisé, nous avons fait l’amour. Sa petite bite trouve son chemin dans ma chatte, mais je ne sens rien du tout. Après quelques secondes, mon mari éjacule et me demande si j’ai joui. Je lui mens et je lui dis qu’il est merveilleux et que j’ai joui. Ne m’a-t-il pas toujours fait jouir ? Ajouté-je.

Plus tard dans la nuit, je reçois un message de mon Maître : «  Salope, sois chez moi à 9 heures du matin. Pas de sous-vêtements et une robe moulante. »

Mon cœur bondit. Il veut encore de moi. Je m’endors, un sourire sur le visage.

Le lendemain je suis à l’heure. Mon Maître me fait pénétrer à l’intérieur, m’oblige à m’agenouiller et baise ma bouche. J’ai du mal à respirer , mais il insiste jusqu’au moment où il se vide dans ma gorge.

Ensuite, il me traîne dehors jusqu’à ma voiture et me dit :

- Monte et conduis !

Il me donne des instructions et nous retournons au salon de tatouage. Cette fois-ci , je dois me faire tatouer un pique noir sur le sein droit afin de montrer mon amour pour la bite noire.

Nous allons ensuite au club préféré de mon Maître, un club de strip-tease. Il m’emmène dans une chambre privée où il m’ordonne de me déshabiller et de faire tout ce voudront les personnes qui entreront.

Je passe les quatre heures suivantes à me faire baiser dans tous les sens. J’ai des queues dans ma chatte, des queues dans mon cul et des queues dans ma bouche. Tous les hommes qui entrent me dégradent d’une manière ou d’une autre. En plus de me baiser, ils m’insultent, me traitent de chienne sans valeur, de vide-couilles ou de salope stupide. A chaque fois qu’ils me traitent mal, une vague de plaisir me traverse. Chaque fois qu’une bite abuse de moi, j’ai un mini orgasme. Je sais que c’est là que je dois être et c’est ma vie maintenant. M’en rendre compte me fait jouir.

Puis mon Maître Antwan m’ordonne de rentrer à la maison et de baiser à nouveau mon mari. Il m’ordonne aussi de lui cacher mes tatouages.

J’essaie, mais je pense qu’il soupçonne que quelque chose se passe. Quand nous faisons l’amour, je garde mon haut au lieu de l’enlever comme d’habitude. Heureusement mon mari ne dit rien et moi non plus.

Plus tard je reçois un message de mon Maître : « Salope, tu es à moi. Demain, amène toutes tes affaires chez moi. Tu vivras ici maintenant. Tu feras tout ce que je te dis. Ne dis rien à ton mari ».

Je frissonne de joie. Je suis sur le point de quitter un homme que j’aime et qui sait m’aimer ainsi que mon bébé pour être l’esclave d’un Maître noir. Je ne peux pas attendre.

Je dors à peine cette nuit-là, mais je ne suis pas tout à fait réveillée lorsque mon mari part travailler. Il embrasse ma joue et s’en va. Je me lève immédiatement et j’emballe tous mes vêtements et effets personnels dans deux valises que je mets dans ma voiture. Quand la nounou est arrivée, j’embrasse ma petite fille et je pars pour ma nouvelle vie avec mon Maître.

FIN

lundi 27 décembre 2021

Paiement de loyer - Ch. 05

 Texte de gkcdqho

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Léa baise avec Mario, son voisin.

Je veux cette grosse bite, elle me fait envie. Je ne peux me retenir de me pencher en avant et de prendre ce gourdin dans ma main. Je crois que les deux hommes sont étonnés de ma réaction, car ils ne disent pas un mot. Je me mets à genoux et je fais courir ma main le long de cette virilité impressionnante.

Je n'ai plus le contrôle de mon corps. Mon esprit me dit d'arrêter, mais je ne peux pas. Ma libido est maintenant hors contrôle et je suis une pauvre femme sans défense.

Je tire son prépuce pour admirer son gland. Il sent l'urine, mais je m'en fiche. Je place mes lèvres autour de la pointe du sexe et lentement j'abaisse ma bouche sur cette queue. Comme elle est épaisse, j'ai du mal à écarter mes lèvres pour la faire pénétrer. Puis, je ne peux pas avaler plus de quinze centimètres de cette bite avant qu'elle ne tape le fond de ma gorge et m'étouffe.

Sa queue est de plus en plus lubrifiée avec ma salive. Alors je commence à accélérer ma fellation. Ça glisse plus facilement dans ma bouche. Je balance ma tête de haut en bas en essayant de sucer le plus de longueur possible. Sa queue est si belle qu'elle mérite d'être bien traitée. Mario pose ses mains derrière ma tête et me pousse plus bas sur son sexe. Il me pousse le plus loin possible avant de se retirer afin que je puisse retrouver mon souffle, puis il replonge son membre dans ma gorge.

- HUMM !! AAAGNNE ! OUUUAIIS ! Gémit-il en se baisant dans ma bouche.

Pendant que je le suce, mes doigts courent sur ma grotte, je frotte mon clitoris, je glisse un ou deux doigts à l'intérieur de ma grotte. Je mouille beaucoup.

Mario sort alors sa bite de ma bouche et la glisse entre mes seins. Je maintiens les globes ouverts pour lui permettre de glisser toute la longueur. Puis je ferme mes seins autour de sa queue et je le laisse se masturber dans ma poitrine.

De temps en temps, il la retire pour la remettre dans ma bouche afin qu'elle soit lubrifiée par ma salive. Puis il la remet entre mes seins que je serre fort pour faire plaisir à ce salaud. Je suis devenue une vraie salope, une vraie pute. Je me suis laissé humilier par des clochards, qu'y a-t-il de plus dégueulasse que ça ?

Mario me pousse brutalement sur le sol puis il me penche sur le canapé. Je relève bien mon cul pour que ma grotte soit grande ouverte pour sa monstrueuse queue. Il avance et je le sens contre mes cuisses. Il tripote mon cul avec ses mains puis il me donne une grosse claque. Je gémis.

- Oh ! Oui, vas-y, claque moi le cul, tape-moi fort !

Il claque mes fesses plusieurs fois ce qui fait que ma moule devient de plus en plus humide. Puis il aligne son énorme engin entre les lèvres mouillées de ma moule et lentement il s'enfonce dans mon puits d'amour. Jamais auparavant, je n'ai senti les parois de ma grotte aussi tendues. Ma moule déborde de plaisir pendant que cette grosse queue s'enfonce et j'aime ça. Mario s'enfonce au plus profond de moi. Je suis tellement humide qu'il le fait avec aisance. J'agrippe le canapé et je pousse un cri de plaisir.

Lentement, il commence à me baiser dans un rythme régulier. C'est bon, tellement bon que je sens que je vais jouir rapidement.

- Oh mon Dieu ! Oh ! Oui ! AAAARRRF ! OUUII ! Baise-moi fort !

Je crie de plaisir sous ses coups de reins. Il accélère tout en saisissant mes hanches. Il s'enfonce encore plus en moi. Je peux sentir que toute sa queue est dans ma grotte d'amour. Ma libido est une salope, une pute, je la déteste pour avoir trahi mon mari. Mais que cette bite est bonne !

- Oh Mon Dieu, je vais JOUIR ! OUI ! Oui ! OOUUUIIIIIIII !

Je crie sous l'orgasme. Mario ralentit pour me permettre de bien profiter. Puis je sens que sa queue se retire de ma grotte. C'est une sensation incroyable de sentir une chose aussi énorme glisser hors de moi. Sa queue tombe avec un bruit mouillant. Il s'assoit sur le divan tout en tenant son gourdin dans la main.
Il me regarde en haussant les sourcils et en agitant son beau braquemart. J'ai compris et j'en ai envie. Je m'agenouille devant lui et je passe ma langue tout le long de son sexe, puis je le reprends en bouche. Mon jus se mélange avec l'odeur de sa bite mal lavée mais c'est bon. Je nettoie consciencieusement sa verge puis je me lève pour le chevaucher.

Mario pose ses mains sur mes hanches pendant que je prends son sexe et que je le guide vers ma moule baveuse. Je tends la main pour saisir sa queue à la base. Elle est si épaisse que je ne peux pas l'encercler entre mon pouce et mon index. Je place l'engin entre les babines de ma moule et je me baisse dessus. Je me laisse glisser lentement sur son formidable pieu d'amour, très lentement pour pouvoir profiter de cette sensation d'être remplie peu à peu. Finalement je m'arrête quand je suis assise sur ses cuisses, chaque centimètre de sa bite est en moi.

Je lève les yeux au plafond et je laisse échapper un long soupir quand Mario enfouit son visage entre mes gros seins. J'ai la totalité de ses trente centimètres en moi, je me sens tellement bien. Je reste un bon moment sans bouger pour profiter de cet instant de plénitude. Enfin Mario pose ses mains sur mes fesses et me soulève légèrement. Puis il me laisse retomber. Je commence à bouger en rythme avec lui et je le chevauche avec bonheur.

-UUUGGG!!OOOOH ! AAH...AAAFFFF !! OOUUIII !!

Nous baisons avec énergie. Je n'arrive pas à croire que je vais de nouveau avoir un orgasme.

- OOOOH....OOUUUIIII.....OOUUU !! C'est tellement bon !!!

Je cambre le dos sous l'effet de l'orgasme. Ensuite je mets mes mains sur la poitrine de mon gros voisin puis je me balance sur lui. Je suis une vraie salope car j'en veux encore plus. 

J'ai complètement oublié que Mr Alain est assis derrière moi, mais je prends rapidement conscience de sa présence. Je sens des mains sur mes hanches et quelque chose qui pousse contre mon trou de balle, quelque chose de peu dur. Mon propriétaire frotte sa bite sur mon anus et essaie de s'y introduire lentement. Mon trou du cul n'est plus si serré que ça, car il a bien été utilisé quelques jours plus tôt. De sentir une queue dans le puits de mes reins incite ma moule à avaler plus de bite.

Mario me soulève sur environ six centimètres puis il entre et sort de mon sexe sans difficulté avec rudesse. En fin de compte la bite dans mon anus est agréable, car mon trou de balle étant plus serrée que ma grotte, je sens mieux la bite de Mr Alain.

Cela dure étonnamment longtemps. Je suis baisée par deux queues, une dans le cul et une dans ma grotte. J'assiste à ma déchéance. Je suis habillée en dessous sexy, bas résille et je suis baisée comme une pute par deux hommes gros, laids et puants. Je crois que c'est ce qu'aime ma libido. Je suis une sorte de salope de bonne famille qui aime baiser les classes inférieures. J'aime cette idée.

Mr Alain ne peut se retenir plus longtemps. Il se vide dans mon cul puis se retire. Je peux sentir son sperme sortir lentement de mon cul, ça coule sur la bite et sur les couilles de Mario.

- Baise-moi plus fort Mario ! Je veux ton sperme au fond de mon puits d'amour ! Oh oui salaud, baise-moi, rempli moi !

Je deviens vraiment la reine des salopes et je parie que tous mes voisins peuvent entendre. Mais là je m'en fous. Mr Alain se déplace de l'autre côté du canapé et avance sa bite vers mon visage. Je me penche en avant et je nettoie son sexe couvert de sperme avec l'odeur de mon boyau. Il attrape mes seins et les sert pendant que je m'applique.

Mario se met à gémir bruyamment. Je devine qu'il n'est pas loin de gicler. Sans prévenir, il sort sa bite et me renverse sur le canapé. Puis il se met au-dessus de moi en branlant férocement son énorme sexe. Je ne peux me retenir de dire :

- Oh oui ! Mario ! Vas-y, joui ! Donne-moi tout que j'avale ta semence !

- HMMMMM, NNNNGGAARR, OUUAAIIIIIIII! Crie-t-il.

J'ouvre la bouche pour essayer de recueillir son sperme. Mais il est sans pitié, jets après jets, il rate ma bouche et recouvre littéralement chaque centimètre de mon visage. Il a un goût vraiment salé. Je joue avec son sperme dans ma bouche, le tournant avec ma langue et le laissant déborder sur mon menton. J'ai vraiment aimé.

Une heure plus tard, je me regarde de nouveau dans le miroir. Je regarde la salope que je suis. Je regarde le foutre qui recouvre mon visage. Et le pire, c'est que ça m'excite. Alors je plonge la main sous le lit, je sors le gode noir de trente centimètres et je me baise avec. Mais cet objet est inutile, la bite de Mario elle, m'étire comme nulle autre chose. Je me sens assez salope pour me dire que ma grotte ne veut pas autre chose qu'une vraie grosse bite de mâle.

Il est seize heures, je me suis lavée, mais je suis encore dans ma tenue sexy. Je n'arrive pas à me sortir de la tête la taille de la bite qui vient de me faire extrêmement jouir. Il faut que je fasse quelque chose à ce sujet, alors je le fais. Dans ma tenue de pute, j'ouvre ma porte d'entrée, et je sors. Je descends les escaliers, mes talons claquant bruyamment sur le sol en béton. Je m'approche de l'appartement numéro quatre et je frappe. La porte s'entrebâille. Alors je le supplie en lui disant que j'en veux encore plus. Mario ouvre la porte en grand et me laisse entrer.

Je me sens salope, une sale pute. Et j'aime. Je ne peux attendre ce que le lendemain va m'apporter. 

A suivre...

samedi 25 décembre 2021

Livraison de cadeaux

 En cette période, il ne faut pas oublier sa lettre au Père Noël. Peut-être serez-vous exaucé ?

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Jean-Pierre a 30 ans. C'est une homme viril, mais, dans son plus jeune âge, il adorait jouer aux Barbie, alors par nostalgie il en a commandé une cette année.
Le 25 en se levant, il se dit qu'il va bien s'amuser. 

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Olivier, 35 ans, célibataire, en a marre de se masturber sur internet. Il a décidé de commander pour Noël une poupée gonflable.
Le matin, il s'aperçoit que son vœu est réalisé et que son cadeau est réactif à ses envies.

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Eric adore se faire sucer, mais sa femme n'aime pas ça. Alors il a commandé une bonne suceuse.
Et le matin du 25, il ne peut s'empêcher de tester tout de suite son cadeau.

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Robert, 50 ans, vieux garçon bougon, a décidé de commander une jolie fille pour Noël. Il la voulait blonde, mince, jeune avec une grosse paire de seins.
Pensez-vous qu'il a été assez sage durant l'année ?

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Beaucoup verront leurs vœux réalisés, et vous ?

















jeudi 23 décembre 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 13

 Auteur inconnu.

Ahmed, mon collègue, appelle des amis.

- Dans une heure, je serai à nouveau prêt, mais maintenant je suis out !  Vas me chercher mon tél. j’ai un truc à faire. Dit Ahmed.

- Attends, tu peux le faire. Dis-je soudain.

 Il baissa le regard… En direction de Sarah qui lui pompait la queue pour la nettoyer.

- Je vais quand même pas arrêter le nettoyage que me fait la plus grosse des chiennes blanches que je connaisse.

Je repris son téléphone. Je voyais alors qu’il avait eu une conversation avec son frère et des potes où il avait mis des photos de Sarah et clairement on se faisait insulter, elle de pute à africains, sac à foutre, petite pute videuse de couilles d’arabes,  moi de PD de blanc-bec juste utile à acheter des fringues de luxe à leur pute. Je le tendis à Ahmed qui remettait son sexe en place dans son pantalon.

- Tiens ! Sonne mon frère et dit lui que j’ai trouvé une pute à arabe qui suce et baise gratos !

- T’es bien certain de ce que tu fais ? J’avais un espoir qu’il dise qu’il rigolait.

- T’inquiète ! Et demande-lui de ne pas venir seul.

Sarah me regarda comme un extra-terrestre et se retourna sur elle-même. Ahmed pris le combiné et parla quelques instant en arabe puis raccrocha.

- Ok ! Ils arrivent et je t’avertis bien car une fois que mon frère sera là… Pas question d’annuler ! Ok ? Tu restes tranquille, tu admires les boss faire avec la salope si tu veux.

Un quart d’heure suffit avant que la sonnette retentisse et que je fasse signe à Sarah d’aller ouvrir. Entretemps, j’avais nettoyé le visage de ma femme pour enlever la sauce tomate. J’entendis clairement l’expression étonné de Jamal lorsque Sarah ouvrit la porte.

 - Putain ! Quel morceau !

 - Aaaaaah ! fit Sarah.

Un groupe de trois hommes et Sarah tenue par les cheveux et pliée en deux firent leur apparition dans le salon.

- C’est elle la truie ? Demanda Jamal.

- Oui ! Et vous pouvez vous en servir comme vous voulez ! Précisai-je étonné moi-même de mes paroles.

Ce qui suivit pendant les trois heures qui suivirent sont assez difficiles à décrire mais les trois hommes baisèrent ma Sarah par tous ses trous. Peu importe le moment, elle avait toujours une queue à sucer. Elle semblait prendre un plaisir fou à être utilisée comme un morceau de viande. Tous les membres étaient bien gros, longs et larges, bien plus que la moyenne. Cela rendait la scène encore plus surréaliste.

Régulièrement Sarah devait se déplacer à quatre pattes. Ils s’amusèrent à la prendre chacun leur tour en allant le plus vite en se bloquant à la limite de la jouissance avant de laisser la place à un coéquipier. Un relais qui dura plus de 15 minutes emmenant la soumise aux limites possibles de la jouissance. Le pire c’est qu’ils le firent une fois dans la chatte puis plus tard dans son cul. 

Jamal me demanda :
 - Eh cocu va nous chercher du champagne. Ca fatigue de fourrer ta dinde de femme.

- J’en ai pas.

- Si Marc, on en a dans la cave, il y a deux cartons. Dit Sarah en sortant la grosse queue noire qui sondait sa gorge.

Ahmed vient me voir :

- Allez Marc, déconne pas, les mâles ont soif. En plus ça se fête de transformer ta femme en pute à blacks.

- Mais tu as perdu la raison. Répondis-je.

- C’est simple. Déjà ta femme n’est plus à toi et si tu veux pas que ça soit encore plus brutal ne m’oblige pas à leur dire qu’elle est juive. Les blacks et les arabes, on les ravage les petites feuj.

Soumis je ne pouvais qu’obéir. Et quand je remontais,  l’appartement sentait le sexe comme jamais.  Sarah avait enfilé une tenue secrétaire ultra sexy. Et Jamal m’invectiva :

- Eh cocu, tu nous avais pas dit que ta femme était feuj. J’adore les petites comme elle. On va bien tout lui donner !!!

- Ahahah carrément  ! Rigolaient ses potes.

- Tu sais ce qu’on fait avec les petites putes de ton espèce ? dit Omar.

- On leur fait des doubles bien profondes. Rigola le dernier mec.

La seule réponse de Sarah fut :

- HUMMPFFFFFF !!

Il faut dire qu’avec la queue de Jamal totalement dans la gorge, c’était pas facile de répondre.

Les compères jouissaient régulièrement sans mollir par la suite, tout simplement incroyable !!! La nuit continua avec les quatre mâles qui usaient et abusaient de leur jouet sexuel. Sarah était la plus active possible dans son viol. Elle répondait par des sourires, des remerciements et des encouragements aux insultes, crachats, claques, fessées et autres étranglements. Je ne reconnaissais plus ma femme. Quel cauchemar !!! 

Tout y passa, en faisant même des doubles pénétrations et finissant par une double anal, une bite dans le vagin et Ahmed dans la bouche. Chaque homme put ainsi jouir à plusieurs reprises dans ma femme et, c’est couverte de sperme que je retrouvai ma Sarah lorsque les quatre hommes partirent.

Jamal, me donna ordre d’amener Sarah vendredi soir suivant chez lui et que j’avais intérêt à ne pas faire faux bond. Je lui promis une Sarah en pleine forme et prête à obéir à ses ordres. Je refermai la porte sur eux et les jambes flageolantes je regagnai la chambre.

Sarah était allongée sur le dos, couverte de sperme, sa bouche, son vagin et son anus dégorgeant du foutre épais.

- Putain ! Qu’est-ce qu’elle a pris la salope ! Dis-je tout haut.

- Ils…. Ils…. Ils… sont… par…tis ? Demanda-t-elle péniblement.

 - Oui ma petite pute, mais ils reviennent la semaine prochaine.

 - Oooooh !

Sarah tomba dans une inconscience réparatrice. Je la laissai ainsi sur le lit et partis dormir dans le salon. Sarah dormit jusqu’à trois heures de l’après-midi du samedi et lorsqu’elle se leva, elle tituba jusqu’à la salle de bain et fit couler l’eau de la douche avant de s’écrouler au fond du bain. Elle resta ainsi laissant l’eau chaude couler sur elle pendant plus d’une heure, puis elle se lava lentement et péniblement. L’eau à peine coupée, elle chercha une grande serviette et s’enroula dedans. Sarah arriva au salon au même moment que la sonnette d’entrée retentit.

- Va ouvrir ! Dis-je. Je suis occupé et si c’est un mendiant propose-lui une bonne pipe !

- ….

Sarah ne me répondit pas et alla ouvrir !

 - Oh ! Fit-elle.

 Puis, un silence s’installa et dura de longue seconde. Intrigué, je me levai et allai voir à la porte d’entrée. Le spectacle était hallucinant. Abdel, un des potes de Jamal était debout devant Sarah à genoux et se faisait sucer sur le palier. Derrière lui se tenait un autre type que je ne connaissais pas.

- Salut Mec ! Dit Abdel. J’ai amené un pote qui voulait absolument connaître la feuj si généreuse !
 
- Heu ! Ou…Oui... Bien sur... Entrez donc !

En tenant la tête de Sarah par les cheveux et sans sortir son sexe de la bouche de ma femme, les deux hommes entrèrent jusqu’au salon. Je ramassai la serviette de bain que Sarah avait laissé dans le hall et revint au salon pour voir le copain d’Abdel, sortir un sexe qui n’avait rien à envier à celui d’Ahmed.

Il frottait son gland sur le sexe de Sarah, toujours pliée en deux et suçant le sexe d’Abdel. Sarah essayait bien de branler Abdel, mais son copain lui attrapa les bras et prenant, dans une main, les deux fins poignets de Sarah, se servit de ce moyen pour tirer Sarah sur son sexe.

Je vis le sexe de ce type entrer facilement dans le vagin de Sarah malgré les dimensions dantesques et directement il commença des va et vient brutaux. Ces brusques chocs amplifièrent la pipe que faisait Sarah sur Abdel faisant entrer le sexe de l’arabe bien profondément dans la gorge martyrisée de ma femme.

Je m’assis dans un fauteuil et regardai les deux hommes violer ma femme avec un plaisir pervers. Le spectacle dura plus ou moins vingt minutes pendant lesquelles les deux hommes échangèrent leur place mais éjaculèrent tous deux dans la bouche de Sarah qui avala sans réticence une quantité phénoménale de sperme.

- Tient-là au chaud, j’ai des potes qui vont arriver et Jamal leur a donné ton adresse pour qu’ils puissent baiser ta femme pendant la semaine.

 - Ah ! Fis-je, surpris en entendant cela.

- Oh tu regardes le foot ? On va rester avec Mamad et la pute va pouvoir nous pomper OKLM !

- Carrément poto. Par contre on va aller la saper comme une actrice de cul, la blanche bourgeoise. C’est trop un kif ça ! Dit Mamad.

Je regardai Sarah qui reprenait son souffle et constatai dans son regard qu’elle venait de jouir de ce viol. Ils allèrent dans la chambre et je restais avec Abdel. Ils restèrent un long moment et on entendait hurler Sarah en disant de l’enculer plus fort. Abdel me disait que c’était fini, que pour Sarah c’est « Go black never go back ».

Elle finit par revenir avec la lingerie que je lui avais offerte pour son anniversaire, un ensemble string soutif porte-jarretelles qui m’avait couté une vraie fortune. Les blacks et les arabes se sont succédés une bonne partie de la journée et Sarah dut subir leurs assauts. Sa tenue ne résista pas, j’ai fini par la retrouver pleine de sperme et déchirée.

Depuis ce jour-là j’ai compris que je ne voulais plus la partager. Sauf que Sarah n’était pas de cet avis…

A suivre...

mardi 21 décembre 2021

Carole - Tome 1 - 3ème partie

 Bande dessinée de Ricardo Garijo (dessin) et Evaristo Mambru (scénario).


 *****
A suivre...


dimanche 19 décembre 2021

Une leçon pour Miss ROBERTS

Traduction d'un texte de PAS publié en 2001 sous le titre A Lesson for Miss Roberts

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Sharon ROBERTS est enseignante à l'université depuis dix ans. C'est une jolie femme de 36 ans qui mesure 1m70 avec de longs cheveux bruns. Elle garde son corps bien proportionné en allant dans une salle de sport trois fois par semaine après les cours. C'est quelque chose qu'elle s'oblige à faire après son divorce il y a quatre ans. Elle est fière d'être restée en forme, et surtout d'avoir gardé sa poitrine et ses fesses aussi fermes qu'une femme ayant dix ans de moins. Toutefois elle sort rarement. Son travail d'enseignante à lui fournit juste de quoi vivre. C'est pour cela qu'elle travaille aussi les étés et tous les deux week-ends en tant que caissière dans l'une des grandes boutiques de bricolage du centre commercial. Avec tout ça, elle a très peu de temps pour elle.

Une de ses collègues a loué la maison voisine au début de l'année. Lisa est une jolie fille avec de longs cheveux blonds et un corps élancé. Elle est diplômée depuis peu d'un établissement peu connu et elle est embauchée à l'université depuis le début d'année. Sharon aime bien Lisa, mais elles ont peu de choses en commun. L'aînée pense que la jeune professeure n'a pas encore établi de distances avec ses étudiants et qu'il faut qu'elle mûrisse avant de devenir une bonne professeure.

L'une des choses que Sharon n'aime pas chez Lisa, c'est son penchant pour l'organisation de fêtes bruyantes. Plusieurs fois depuis le début de l'année la jeune professeure a reçu des amis chez elle et ils ont été assez bruyants pour garder Sharon éveillée pendant des heures. Celle-ci a évité de faire des remarques à sa consœur en espérant que ces fêtes s'arrêteraient en cours d'année. Mais la nuit dernière, la jeune fille a abusé. Sharon a entendu beaucoup de bruits sortir de la petite maison voisine dont certains semblaient de nature sexuelle. Mais ce qui a le plus inquiété Sharon, c'est qu'elle pense avoir vu un étudiant quitter la maison. Elle n'en est pas sûre à cent pour cent qu'il soit encore étudiant, mais elle sait qu'elle lui a enseigné auparavant. Ce soir-là, Sharon décide donc qu'elle doit parler à Lisa une fois pour toutes au sujet de ces fêtes.

Le samedi soir, quand Sharon rentre de son boulot de caissière, elle voit que Lisa organise une autre fête. Il y a deux voitures garées devant chez elle et la chaîne stéréo est à fond. Sharon est fatiguée et ne veut rien de plus que passer une soirée paisible. Elle n'est pas prête à supporter une autre nuit de chahut à côté. Elle pense qu'elle peut appeler la police, mais elle ne veut pas qu'ils viennent s'il y a une chance qu'un étudiant soit chez Lisa. Il en résulterait rien de bon. Alors Sharon dépose son sac à main sur le comptoir de la cuisine, sort par la porte latérale pour traverser la cour de Lisa et parler à la jeune professeure.

A l'intérieur de la maison, Lisa est assise nue sur la canapé avec Roger à genoux en train de lui lécher la chatte. Ce garçon est un des étudiants qui est devenu un des habitués des fêtes de Lisa. Sur le sol au milie de la pièce, Erin s'agenouille entre les jambes de Léo et baisse la tête sur son membre. Erin est une belle blonde qui s'est récemment liée d'amitié avec Lisa. Elle avait raté les festivités précédentes, mais avait entendu parler des soirées sexuelles de son amie. Donc elle est venue ce soir quand Lisa l'a invitée. Toutefois, même si elle veut du sexe, elle est fatiguée. C'est la quatrième fellation qu'elle fait ce soir et elle a déjà été baisée deux fois. Elle voit Franck assis sur une chaise qui la regarde en se caressant. Sa bite est déjà bien dure et Erin sait qu'il voudra recommencer à la baiser.

Tout le monde dans la pièce sursaute quand ils entendent la voix de Sharon crier :

- Qu'est-ce qui se passe ici?

L'enseignante est entrée par la porte de la cuisine qui était légèrement entrouverte. Elle est entrée dans la pièce sans se douter de l'orgie qu'elle y trouve. Sa collègue est avec quatre étudiants. Ils sont tous nus.

Alors qu'elle avait un orgasme, Lisa est ramenée à la réalité par l'intrusion de sa voisine.

- Sharon? Que fais-tu ici?

- Qu'est-ce que je fais ici? Ce n'est pas la bonne question Lisa. Et toi que fais-tu? Tu sais que tu peux aller en prison pour ça?

Lisa se lève du canapé sans prendre la peine de se couvrir et elle répond :

- Sharon, ils ont tous 18 ans, donc je n'enfreins aucune loi.

- Peut-être qu'ils ne sont pas mineurs. Mais ce sont des étudiants et tu perdras ton travail si ça se sait. Le règlement de l'université interdit de faire des orgies avec ses étudiants. En plus tu leur permets de boire et ils ont moins de 21 ans.

Lisa est nerveuse.

- Allez Sharon, ce n'est pas si grave. Je suis célibataire et j'ai seulement trois ans de plus que ces gars. Alors quel mal y a-t-il à s'amuser un peu.

Sharon regarde Lisa dans les yeux.

- Tu ne comprends pas hein? Eh bien je vais stopper tout ça, tu peux faire une croix sur ta carrière d'enseignante.

- Sharon s'il te plaît! Supplie Lisa en la voyant partir.

Sharon se retourne et dit :

- Je suis désolé Lisa, mais je dois le signaler.

Soudain Sharon est saisie par-derrière. Elle n'a pas vu Franck se glisser derrière elle. Il la prend par les épaules et la tire contre son torse.

- Vous ne le direz à personne Mlle ROBERTS. Dit-il.

Sharon essaie de se libérer de l'emprise du garçon en criant :

- Lâche-moi salaud!

- Franck, que fais-tu? Demande Lisa encore plus nerveuse.

Le jeune garçon la regarde et lui dit :

- Nous ne pouvons pas la laisser parler de ça. Non seulement tu seras renvoyée, mais nous aurons tous de gros ennuis. Je suis déjà sur la sellette et cette histoire va me causer encore plus d'ennuis.

- Et je vais perdre ma bourse si je suis impliqué. Nous devons faire en sorte qu'elle se taise. Dit Roger.

- Laisse-moi partir tout de suite ou tu auras pire que des petits ennuis jeune homme! Ordonne Sharon.

Franck la tient fermement alors que Roger s'approche d'eux. Lisa, Léo et Erin regardent avec une inquiétude croissante.

- Nous avons un petit problème Miss ROBERTS. Et la seule façon de le régler c'est de nous promettre de vous taire. Mais comme pourrons-nous être sûrs que vous teniez votre promesse? Mais j'ai trouvé, si vous participez vous aussi, vous ne vous risquerez pas de le dire à qui que ce soit, ou vous aussi aurez des ennuis.

- Va te faire foutre! Hurle Sharon.

Roger la regarde et dit :

- Je me souviens avoir suivi vos cours il y a quelques années Mademoiselle ROBERTS. Mon Dieu vous m'avez souvent fait bander avec votre silhouette. Que diriez-vous si nous regardions de plus près.

Le garçon commence alors à déboutonner son chemisier. Lorsque Sharon crie, il demande aux autre de monter le son de la chaîne stéréo. Il ouvre le chemisier pour révéler la poitrine couverte d'un soutien-gorge en dentelle.

- Putain que c'est joli! Dit-il en prenant les seins dans ses mains.

Sharon se débat sous ses tâtonnements indésirables.

- Que quelqu'un attrape l'appareil photo numérique! Dit Roger en baissant les balconnets du soutien-gorge.

Les seins de Sharon apparaissent fermes et fiers, libérés du tissu contraignant.

- Merde, regardez-ça! Il faut que je la baise!

- Roger! Non! Dit Lisa, ne voulant pas être accusée de viol.

- Couchons-la par terre! Ordonne Roger.

Franck donne un coup de pied aux jambes de Sharon et la fait tomber au sol. Léo se précipite pour se joindre à eux et les trois gars luttent avec Sharon pour lui enlever tous ses vêtements.

Malgré ses efforts, l'enseignante se retrouve vite nue et épinglée sur le sol. Des mains tripotent ses seins et caressent sa chatte exposée.

- Nous allons prendre des photos de vous mademoiselle Roberts en train de nous sucer et de nous baiser. Ensuite, si vous vous plaignez, nous affirmerons simplement que vous avez voulu participer.

Sharon crie quand Roger grimpe sur elle et enfonce sa bite dans sa chatte. Ça fait plus de deux ans que personne ne l'a baisée. Elle est surprise de constater que la pénétration est facilitée par l'humidité qui se développe déjà dans sa chatte. Le garçon commence à la pilonner avec de grands coups de reins. Elle voit alors Léo prendre des clichés avec l'appareil photo. Elle donne des coups de pied et essaie de lutter, mais elle n'arrive pas à échapper au poids du garçon sur elle. Elle se résigne alors à rester allongée et subit les coups de bite de Roger.

Pendant ce temps, Franck prend Erin par la main et la conduit sur le sol à côté de Sharon. Il la met à genoux afin qu'ils puissent voir tous les deux le viol de l'enseignante. Puis Franck prend Erin par-derrière. Il baise l'étudiante sans quitter Roger et Sharon des yeux.

Alors que les deux couples s'activent devant elle, Lisa commence à sentir sa chatte brûler de désir. Comme Léo est occupé à prendre des photos, elle s'assoit sur le canapé et commence à titiller son clitoris. Elle attend son tour d'être remplie par une jeune bite.

Sharon pousse un cri en sentant les coups de rein de Roger s'accélérer. Elle peut sentir à la façon dont il s'active qu'il va bientôt jouir. Elle le supplie alors de s'arrêter, car elle ne veut pas qu'il éjacule en elle. Mais Roger ignore ses plaintes et continue de la baiser de plus en plus vite. Puis avec un cri de triomphe, ses hanches claquent violemment sur l'enseignante et sa bite explose en elle. Giclées après giclées, le sperme inonde son ventre. Sharon est horrifiée par l'idée que cet étudiant la viole et la met peut-être enceinte. Finalement le garçon finit de se vider et se relève lentement.

Franck, qui baisait consciencieusement la chatte consentante d'Erin en regardant la scène devant lui, voit Roger se lever. Alors immédiatement il se retire de la jeune fille et se précipite vers Sharon pour prendre la place de son copain. l'enseignante commence à se lever pour s'enfuir, mais elle se retrouve plaquée au sol par un autre étudiant. La bite déjà luisante de jus féminin s'enfonce dans sa chatte. Il commence à la pilonner alors que d'autres photos sont prises.

Erin est déboussolée par la perte soudaine du sexe en elle. Elle était si près de l'orgasme, qu'elle ne peut s'empêcher de se mettre sur le dos et de passer ses doigts sur son clitoris gonflé.

Roger s'assoit. Il est satisfait de la façon dont il vient de baiser son ancienne professeure. Mais la vue des deux autres femmes se doigtant commence à le faire bander à nouveau.

Alors que Roger a baisé Sharon avec vigueur, mais habileté, Franck la martèle comme un marteau-piqueur. Mais ça a quand même un effet sur sa chatte. L'enseignant avait été soulagée quand Roger s'était relevé, car ses coups de rein avaient commencé à éveiller en elle un désir qu'elle n'aurait pas cru possible lors d'un viol. S'il était resté en elle plus longtemps, elle avait craint de jouir avant lui. Et la dernière chose qu'elle souhaite actuellement, est de donner la satisfaction à ces gars de la faire jouir.

Toutefois, le martèlement constant de la bite un peu plus grosse de Franck commence également à la rapprocher de l'orgasme. Elle combat le plus possible cette montée de désir, tout en sentant que l'orgasme approche.

Mais Franck laisse échapper un long gémissement et sa bite crache le contenu de ses couilles dans sa chatte. Elle a oublié tout risque de grossesse. Elle ne pense qu'à lutter pour résister à l'envie de jouir. Toutefois, elle craint que si Léo la monte lui aussi, elle ne puisse pas se retenir plus longtemps.

Celui-ci tend l'appareil photo à Roger et s'agenouille. Il saisit Sharon et la tourne. Elle réalise qu'il veut la prendre en levrette. Elle est trop traumatisée pour essayer de s'échapper alors qu'il se positionne derrière elle. Sa queue frotte les lèvres de sa chatte puis s'enfonce en un instant dans la chatte bien humide. Mais il se retire aussitôt en disant :

- Je ne veux pas de votre chatte Mademoiselle ROBERTS.

Sharon hurle en sentant le gland glisser entre ses fesses. Elle a compris ce que veut le jeune garçon. C'est quelque chose qu'elle n'a jamais permis à personne auparavant.

Elle tente alors de s'échapper, Mais Franck avance et l'attrape pour la tenir fermement. Léo lui tient les hanches et presse son gland contre son petit trou. Sharon se contracte, mais elle ne peut empêcher l'invasion de son trou du cul par le jeune homme. Avec un grand effort, la bite de Léo perce son anneau anal vierge. Sharon crie de douleur alors que la queue s'enfonce plus profondément dans son cul. Elle a l'impression d'être coupée en morceaux, alors que Léo s'efforce, centimètre par centimètre, d'enfoncer sa bite complètement dans son cul.

Sharon ne peut croire à quel point elle souffre. Et elle ne peut pas comprendre comment une chose aussi douloureuse peut être agréable pour son partenaire. Elle crie de nouveau quand Léo commence un va-et-vient dans son cul. Son corps tremble de façon incontrôlable alors que l'agression sur son cul continue.

Roger prend quelques photos de l'enseignante sodomisée, puis il décide que sa bite a encore besoin d'attention. Il se tourne vers Lisa et Erin qui travaillent toujours sur leur chatte et dit :

- Besoin de toi Lisa!

- Tu veux m'enculer? Demande-t-elle.

- Pourquoi pas! Répond Roger.

Lisa se laisse tomber à quatre pattes à côté de Sharon et Léo. Roger se place derrière elle et insère lentement sa bite dans son cul. Erin regarde le spectacle d'une enseignante acceptant volontiers une bite dans son cul alors que l'autre se débat et hurle tout le temps.

Roger a l'impression que sa queue est aspirée par une minuscule paire de lèvres alors qu'il baise lentement le cul de Lisa. Il tend la main et joue avec sa chatte. Pendant ce temps, à quelques centimètres de là, Sharon gémit comme un bébé tandis que Léo continue à la sodomiser. Erin regarde la scène avec trois doigts enfouis dans sa chatte en se demandant si l'un des hommes va prendre son cul ensuite.

Sharon pense ne pas pouvoir supporter plus longtemps ce viol anal. Son esprit s'égare alors que la bite de l'étudiant cogne de plus en plus fort dans son cul. Ses couilles poilues giflent sa chatte à chaque poussée. Puis Léo accélère et bientôt se vide dans ses entrailles. Une fois qu'il a fini, il commence à se retirer du cul violé. Sharon a l'impression que ses boyaux sortent avec la queue du jeune gars quand il se retire.

Mais il est complètement sorti. Elle reste tremblante, ses doigts serrés fermement dans les fibres du tapis. Sharon se rend compte alors que sa chatte la brûle. Le claquement constant des couilles de Léo contre sa chatte avait continué le travail commencé par les deux autres bites qui l'avaient baisée plus tôt. Bien que Sharon veuille en refuser l'éventualité, elle sait que son corps est à deux doigts d'un orgasme libérateur.

Elle sent alors quelqu'un se mettre derrière elle. Elle jette un coup d'œil par-dessus son épaule pour voir Franck, sa bite en main. Elle voit aussi Lisa se faire enculer par Roger.

- a mon tour de prendre ce gros cul! Dit Franck d'un air suffisant.

Sharon ne peut pas prendre une autre bite dans son cul, surtout celle de Franck, plus grosse. Et pire, elle a besoin d'un queue dans sa chatte. Alors elle murmure :

- S'il te plaît, ne fais pas ça!

Et, à la grande surprise de ses propres oreilles, elle ajoute :

- Baise ma chatte s'il te plaît!

- Quoi? Demande Franck.

Sharon perd toute fierté.

- Baise ma chatte! J'en ai besoin! s'il te plaît!

- Merde, elle en redemande! s'exclame le garçon.

Alors il ne perd pas de temps et enfonce son gros membre dans la chatte de l'enseignante. Dès qu'il commence à la baiser, Sharon gémit et crie de plaisir alors qu'elle sent sa chatte se resserrer sur le sexe en elle. Quelques instants plus tard, un orgasme secoue tout son corps. Elle bouge ses hanches le plus fort qu'elle peut contre la bite en elle. Franck est tellement surpris de son comportement qu'il ne peut se retenir et jouit en même temps qu'elle. Des larmes d'humiliation aux yeux, Sharon continue de pousser ses hanches pour essayer de faire durer son orgasme. Et elle a des regrets quand l'étudiant se retire d'elle.

Roger finit de jouir dans le cul de Lisa en regardant Franck se retirer de l'enseignante plus âgée. Lisa supplie que quelqu'un vienne lui remplir la chatte, mais Roger a une autre idée.

- Amenez-la ici! Commande-t-il.

Franck et Léo attrapent Sharon et la traînent où Lisa est allongée.

- Lèche sa chatte! Ordonne Roger.

Les deux enseignantes lèvent les yeux de surprise. La garçon ajoute alors :

- Oh, ne me dis pas que tu n'as jamais voulu qu'une femme te broute la chatte Lisa?

Lisa ne peut nier cette pensée. Mais elle n'avait jamais donné suite. Toutefois, elle a besoin de jouir. Et elle est prête de se laisser aller aux mains ou à la langue de sa voisine.

Sharon a une réaction de dégoût à cette idée. Elle n'aurait jamais pensé être impliquée dans un tel acte. Mais on lui enfonce la tête entre les jambes de Lisa. Et elle commence à lécher les lèvres gonflées de sa collègue. Celle-ci commence à bouger les hanches lorsque la langue de Sharon trouve son clitoris.

Roger voit Erin se doigter, alors il lui dit :

- Viens ici! Rejoins-nous!

Erin n'hésite pas. Elle a déjà expérimenté le lesbianisme et elle est prête à recommencer. Les garçons la place de façon à former un triangle. Sharon lèche Lisa. Lisa lèche Erin et Erin lèche Sharon.

Erin adore et Lisa trouve l'expérience agréable. Sharon est humiliée au-delà de l'imagination d'avoir été forcée de lécher la chatte de sa collègue plus jeune alors qu'une étudiante la lèche elle. La pensée que Lisa apprécie ce traitement est dégoûtante pour Sharon.

Mais bientôt Lisa a un orgasme sous la langue de l'enseignante plus âgée et elle éclabousse son visage de son jus. Erin jouit aussi rapidement. Et malgré son dégoût, Sharon sent sa chatte reprendre vie sous la langue de l'étudiante. Et quelques secondes plus tard, elle a un nouvel orgasme.

Lorsque les trois femmes se remettent de leurs émotions, Sharon reste immobile, ne sachant à quoi s'attendre. Elle sent des mains tripoter ses seins. Elle ouvre les yeux pour voir de qui il s'agit et elle voit Roger au-dessus d'elle.

- Prête pour un peu plus? Demande-t-il.

Sharon est toujours sous le choc, mais elle se retrouve à hocher de la tête. Elle n'arrive pas à croire qu'elle est prête à laisser ce garçon la baiser à nouveau.

- Montez sur moi Mademoiselle ROBERTS! Dit Roger.

Il s'allonge sur le dos et Sharon grimpe sur sa bite raide. Elle commence à le chevaucher quand elle sent des mains sur ses épaules.

- Pas encore Mademoiselle ROBERTS! Attendez que je sois prêt moi aussi.

- Que... Quoi? Demande-t-elle.

Elle sent alors Franck se placer derrière elle et positionner son gland contre son petit trou douloureux.

- Oh mon Dieu non! Laisse-t-elle échapper.

Mais elle ne peut rien faire. Les deux garçons la tiennent fermement alors que Franck l'encule. C'est beaucoup plus facile maintenant que Léo a facilité le passage. Sharon sent les deux bites à l'intérieur d'elle, frottant contre la fine paroi séparant sa chatte et son cul. Involontairement elle commence à balancer ses hanches à la grande satisfaction des deux garçons.

Puis elle voit Léo se placer à côté d'elle. Il attrape sa tête et force sa bite dans sa bouche. Les trois gars commencent à baiser ses trois trous. Jamais auparavant elle ne s'est sentie utilisée de cette manière. Elle perd tout contrôle de son corps alors que les queues la remplissent.

Enfin elle sent les langues de Lisa et Erin qui commencent à lécher et sucer ses mamelons gonflés. Les sensations la submergent. Tous ses sens prennent vie alors que son corps picote de partout. Les langues sur ses mamelons la rendent folle. Son clitoris frotte contre la bite dans sa chatte alors que le gland frotte son point G. la bite dans son cul finit de la remplir.

Elle suce goulûment le membre dans sa bouche. Le plaisir fait perdre la raison à Sharon. Elle baise et suce comme une femme possédée. Son esprit sait qu'elle est toujours violée, mais son corps s'en fout. Et c'est si bon de sentir qu'elle a perdu la capacité de faire autre chose que d'en profiter. Ses gémissements de plaisir s'échappent autour du sexe dans sa bouche. Sharon sent qu'un nouvel orgasme explose dans son corps. Quelques minutes plus tard, alors que les bites continuent à la malmener, elle jouit une nouvelle fois.

Puis c'est Léo qui éjacule dans sa bouche. Elle avale chaque goutte de son sperme et continue à le sucer alors qu'il débande. Ensuite c'est Franck qui se vide dans son cul. Et elle a un autre orgasme quand Roger jouit dans sa chatte. Sharon n'en peut plus et perd connaissance.

Quand elle se réveille, elle est toujours nue par terre. Il ne reste que Lisa. Sharon ne sait pas depuis combien de temps les autres sont partis. Sa collègue s'agenouille à côté d'elle quand elle ouvre les yeux.

- Est-ce que ça va Sharon?

L'enseignante plus âgée la regarde. Elle ne sait que penser. Elle déteste Lisa pour l'avoir laissée se faire violer. Mais elle n'a jamais été aussi satisfaite de sa vie. Elle ne sait pas quoi faire. Elle se lève et regarde autour d'elle. Elle attrape ses vêtements éparpillés et commence à s'habiller.

- Qu'est-ce que tu vas faire? Demande Lisa.

Sharon regarde sa collègue et répond :

- Que puis-je faire Lisa? Vous avez des photos de moi. Si je dis quelque chose, je me condamne moi-même.

Lisa a l'air nerveuse, ne sachant plus que dire. Sharon lui dit alors :

- On va faire un marché Lisa. Tu gardes cette fichue chaîne stéréo éteinte pour que tes soirées ne me dérangent pas et je ne dis rien. Mais à une condition.

- Quelle condition? Demande Lisa.

- Que je puisse participer quand je le veux.

FIN.

vendredi 17 décembre 2021

Paiement de loyer - Ch. 04

Texte de gkcdqho

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Le propriétaire livre Léa à un de ses voisins.

Je me brosse les dents tellement de fois que mes gencives commencent à saigner. Je mâche chewing-gum après chewing-gum, mais je n'arrive pas à me débarrasser du goût dégoûtant de ma bouche. À chaque fois que je pense a leurs bites qui se vident dans ma gorge, je vomis encore et encore toute ma bile. Je me dégoûte d'être si vulnérable et d'avoir autant joui, d'être aussi humiliée.

Je me regarde dans le miroir de ma chambre. J'ai été si occupée à être malade et à me laver les dents que je ne me suis pas encore regardée. Mon mascara coule le long de mes joues. Il se mélange à mes larmes et au sperme qui est sur encore mon visage. Mes cheveux sont complètement emmêlés, à cause du clochard qui a bien tiré dessus. Ma robe en latex brille du sperme des clodos, tout comme mes bottes.

J'enlève ces vêtements et je me regarde nue devant le miroir. Je me rends compte que j'ai des ecchymoses et des griffures sur les hanches, là où les chiens et leur maître m'ont tenue pendant qu'ils me baisaient comme une salope. J'ai du sperme séché partout sur mes seins et à l'intérieur de mes cuisses. Pour compléter les dégâts, ma grotte d'amour et la petite entrée de mes reins sont dégoulinants de foutre.

Je passe ma main sur mon anus et c'est très douloureux. J'ai perdu ma virginité anale avec ces clochards. Je masse légèrement mon anus et je sens l'humidité du sperme. Je regarde ma main et je m'aperçois qu'il y a un peu d’excrément mélangé avec le sperme, mes intestins gargouillent.

J'entre dans la douche et je frotte ma peau rudement. J'ai besoin de laver tous les endroits qu'ont touchés les clodos. Je culpabilise, je me douche encore et encore avec des tonnes de savon, pour effacer la honte. Je frotte si fort que ma peau rougit et devient douloureuse. Je suis soulagée en pensant que mon mari Léo n'ira pas au travail ces prochains jours. Ce qui signifie que je vais avoir un peu de repos avant que mon propriétaire revienne me chercher.

Nous avons des relations sexuelles Léo et moi, mais pour une raison étrange, je ne peux en profiter. Après ce qui vient de m'arriver ces derniers jours, comment pourrais-je être excitée ?

- Ça va Léa ? Que se passe-t-il ? Me demande-t-il doucement.

Je lui dis simplement que je ne suis pas d'humeur et nous en restons là. J'espérais qu'il essaie de m'exciter un minimum, mais il ne le fait pas. Ma libido m'a trahi toute la semaine alors pourquoi elle ne veut pas de sexe maintenant ? Alors nous nous blottissons simplement l'un contre l'autre.

Je ne dis rien à personne. Je me sens coupable, avilie, salie et plus encore parce que j’ai aimé, j’ai aimé à fond et plus les jours passent, plus mon désir me pousse à regretter de ne pouvoir recommencer. La nostalgie fait place à la honte et mes rêves sont faits d’hommes vigoureux et de meutes en rut qui me couvrent des heures durant en m’entraînant toujours plus loin dans l’orgasme.

Le lendemain soir au lit, Léo commence à m'embrasser. Il roule sur moi et explore ma bouche avec sa langue. En même temps, il met sa main entre mes cuisses pour les séparer. Il aligne sa queue sur l'entrée de mon puits d'amour et me pénètre lentement. Je ressens de la douleur, car je ne suis pas prête, je suis trop tendue. Lentement, il me fait l'amour. Je reste là allongée, mais tout ce que je ressens, c'est de la douleur dans mon sexe. 

Je veux pleurer. J'ai essayé toute la semaine de ne pas profiter des moments de débauche, de ne pas les apprécier, mais ma libido, elle, s'est vautrée dans le plaisir pour bien que j'en profite. Alors que maintenant que je veux faire l'amour avec mon mari, ma libido reste éteinte. Il ne faut pas longtemps avant que Léo se vide en moi avec un long gémissement. Mais ma moule n'est toujours pas excitée, elle reste presque sèche.

- As-tu eu du plaisir ma chérie ?

Je le regarde dans les yeux et je prévois sa déception si je lui réponds non. Alors je souris et lui dis :

- Mais oui, bien sûr !

Il me regarde, perplexe et dit : 

- Mais tu n'as pas gémi ?

- C'est parce que je me mordais les lèvres pour ne pas faire trop de bruit. Que je réponds avec un sourire forcé.

Il me sourit en retour et nous en restons là. Cette nuit-là, je pleure en silence.

Les deux jours avec mon mari s'écoulent trop rapidement. Et je me retrouve bientôt, assise sur mon canapé, en train d'attendre Mr Alain. Je m'habille comme il me l'a ordonné. Je mets les bas noirs avec le porte-jarretelle noirs ainsi que le string, un haut noir échancré et des hauts talons puis je m'assois sur le canapé pour attendre son arrivée.

Je ressens de la peur et de la tristesse. C'est alors que je sens que ma moule réagit. Je mouille ? Mais  Pourquoi ? Pourquoi ma moule n'a-t-elle pas réagi suite aux efforts de mon mari ? Ça doit être en prévision de ce qui va m'arriver. Quels actes sexuels dégoûtants vais-je encore devoir subir ? Quoi qu'il en soit, ma moule est impatiente. Je suis outrée qu'une partie de mon corps réagisse ainsi, comme une vraie salope.

Quand le propriétaire arrive, il est extrêmement content de ma tenue. Il me dit :

- Bien Léa, tu es devenue une vraie petite pute, n'est-ce pas ?

C'est vrai. Ma grotte me rend folle. Une chaleur m'envahit quand M. Alain me traite comme de prostituée.

- J'ai une surprise pour toi ma chère Léa !

Je lève les yeux.

-Il y a quelqu'un dehors qui donnerait sa vie pour ta chatte. Tu vois, tu as déjà des admirateurs.

J'ai peur. Je lui demande :

- Combien de personnes savent ?

- Mmmmm ? Quelques-unes des femmes de cet immeuble sont conscientes de tes obligations pour ta dette. Qu'il me répond en riant.

Je le regarde avec un air choqué.

- Mais ne t'inquiète pas Léa, elles ont leurs propres ennuis financiers pour ne pas s'occuper de toi.

- Vous voulez dire qu'il y a d'autres femmes dans cet immeuble qui ne vous paient pas le loyer et que vous en abusez ?

Il sourit.

- Eh bien ? Si elles ne peuvent pas me donner d'argent, elles doivent payer autrement. La plupart des femmes vivant dans le quartier ne peuvent payer le loyer alors je m'assure qu'elles comprennent que ce n'est pas gratuit.

Il dit cela avec une telle froideur que je frissonne littéralement. Et il surenchérit :

- Mais je vais te dire une chose qui va rester entre nous. Certaines femmes ici aiment être traitées comme de complètes et totales prostituées. Au début, elles ne veulent pas, mais elles prennent goût à l'humiliation, c'est merveilleux à voir.

Il lève les yeux vers le ciel et dit assez fort :

- Vous pouvez entrer maintenant !

Je retiens mon souffle et regarde en direction de la porte.

- Oh ! Mon Dieu ! S'il vous plaît, pas lui ? Dis-je discrètement en suppliant.

Dans l'encadrement de la porte se trouve mon voisin qui habite juste en dessous de nous. Dire qu'il est bizarre est un euphémisme. Il quitte rarement son appartement et lorsqu'il le fait il laisse derrière lui une odeur de renfermé. C'est le genre de type qui passe sa vie devant un écran d'ordinateur.

Il a des cheveux noirs, gras et emmêlés, une barbe crasseuse. Il porte de grosses lunettes noires ainsi qu'un tee-shirt jaune qui moule son corps et laisse apparaître sa poitrine. Il devrait acheter un soutien-gorge, que je me dis. Il me regarde, bouche bée. J'ai oublié que j'étais en bas avec porte-jarretelle et talons hauts.

- Mario m'a payé un peu pour avoir ta compagnie pendant un moment. Dit Mr Alain.

- Moi ! Je ne verrai pas la couleur de cet argent alors que je vais me faire baiser ? C'est ça ?

Je devrais vraiment apprendre à me taire. Mes plaintes ont toujours été récompensés par une claque. Et ce n'est pas différent cette fois-ci. Alors que je m'assois sur mon canapé en frottant ma joue douloureuse, Mr Alain s'assoit en face et dit :

- Tu peux entrer Mario, et fermer la porte. Elle est à toi.

Mario s'approche et s'assoit à côté de moi. Son odeur me fait instantanément oublier ma joue brûlante. Il se penche en avant et essaie de m'embrasser. Son souffle est horrible. Je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose.

Je sens son visage s'approcher et il embrasse doucement mes lèvres. Sa barbe crasseuse chatouille ma figure. Il pose ensuite une grosse main sur ma cuisse, la fait glisser sur le bas. Je tente de le repousser, mais il force sa langue dans ma bouche. Sa salive au goût acre coule sur ma langue et dans ma bouche.

Après ce qu'il me semble une éternité, il retire finalement sa langue de ma bouche. Ça me laisse un goût horrible dans la bouche. Il place ses mains de chaque côté de mes hanches et il tire mon string vers le bas, exposant ainsi ma grotte rasée. Il retire mon string noir jusqu'à mes chevilles et me l'enlève. Puis, il le porte à son nez et prend une longue bouffée de l'odeur résiduelle. Écœurée, je regarde ce reclus social sentir mon sous-vêtement. Puis quand il est satisfait, il met le string dans sa poche.

Pendant ce temps-là, Mr Alain reste assis avec un grand sourire sur son visage, sa bite tend son pantalon.

Mario passe alors ses mains sous mon haut et sort mes seins. Il se penche en avant et passe sa langue sur mes tétons raidis. En même temps, il met une main entre mes cuisses et commence à fouiller ma chatte.
Je pense qu'il n'a jamais eu de femme dans sa vie, car il n'a pas la moindre idée de ce qu'il cherche. Il tâtonne en essayant de trouver l'ouverture de mon sexe. Il lève les yeux vers moi. Je vois de la fureur dans son regard. J'ai peur. Il me claque le visage avec une force considérable.

- AH ! AH ! C'est ça Mario, donne-lui une leçon à cette salope ! 

Mario me gifle encore plusieurs fois avec sa main ouverte. Puis il se penche en avant, prend un de mes tétons dans sa bouche et le mord fortement.

- AIIIIIEEEE !! Salaud ! Crié-je de douleur.

Une autre gifle sur la figure me fait reculer. Puis il se lève et tire son tee-shirt au-dessus de sa tête. Son ventre flasque rebondit avec le mouvement. Puis, il tire son pantalon vers le bas. Celui-ci tombe en pile autour de ses chevilles.

- Oh mon Dieu ! Soupiré-je.

Mr Alain rigole.

- Ça, c'est pour toi maintenant.

Je reste bouche bée devant la taille de la bite de Mario. Elle est énorme. Je n'en ai encore jamais vu une aussi grosse. Son sexe pend, il fait bien trente centimètres de long. Je le trouve beau et bien épais. Je sens une chaleur poindre dans mon puits d'amour. Ma grotte mouille à sa vue, elle veut ce sexe, elle a envie de cette grosse bite. Elle veut être remplie par ce gros membre de chair, elle a envie de cette longue et grosse queue. Moi aussi.

A suivre...

mercredi 15 décembre 2021

Une Chaude Prof Asservie - Ch 01

Traduction  en 2008 par Coulybaca d'un texte anonyme.

Lucy, une prof de 43 ans doit rembourser les dettes du fiston.


Madame Lucy Harper, du haut de ses 43 ans était fière de ses formes académiques. Faire classe était sa vocation !

La semaine précédente, elle avait pris un de ses élèves à tricher lors d'un test sous les sifflements admiratifs de ses condisciples lorsqu'elle tourna le dos. Elle avait l'habitude de ces sifflets d'admirateurs mâles lorsqu'elle se déhanchait devant eux en rentrant chez elle. Il n'y avait pas de miracle, son 95C faisait tourner bien des têtes d'autant plus qu'elle portait souvent des sweaters très moulants, qui mettaient ses miches en valeur, et des jupes courtes. 

Cependant les sifflements admiratifs de ces élèves forts impertinents étaient inacceptables. Elle espérait que le jeune John, du haut de ses 18 ans, tirerait une bonne leçon de cet incident.

Lucy appréciait sa vie rangée avec un mari qui réussissait dans son travail et son adolescent de fils. Ils formaient une famille unie, respectable. Le seul nuage était les penchants de son fils pour le jeu.

Quelques semaines après avoir surpris et sanctionné John, elle découvrit que son fils Brian devait beaucoup d'argent à un gang de la ville connu pour sa violence. Il avait perdu au jeu et le gang menaçait de le tuer s'il ne payait pas rapidement ses dettes. Il s'agissait d'une très grosse somme, et elle se demandait encore comment il était tombé dans les griffes de ce gang.

Elle accepta de rencontrer deux membres du gang dans un café pour négocier un arrangement. 

Mais à l'insu de Lucy, John était membre de ce gang et, en fait c'était lui qui avait entraîné Brian à jouer et perdre de fortes sommes. C'était une façon de préparer sa revanche sur sa vieille pute de prof !

- Tiens, tiens, tiens, comme on se retrouve madame Harper... Ricana-t-il au grand embarras de Lucy qui lui faisait face, vêtue d'une longue veste brune, de sa jupe aux chevilles, et d'un chemisier blanc.

Il lui offrit alors :

- Pour vous montrer que je n'ai pas de rancune je vous offre un café !

Prenant sa tasse, il feignit de lui mettre de la crème et du sucre alors qu'en fait il versait une puissante drogue induisant une dépendance immédiate qui la ferait tomber en possession du gang.

Lucy sirota plusieurs rasades de son café pour se relaxer puis intervint :

- Brian vous doit 20.000 $... Il ne peut pas payer une telle somme ! Je ne le peux pas non plus ! Peut-on trouver une solution ?

- Mais oui ma chère madame Harper, nous pourrons peut-être négocier un arrangement, mais pourquoi ne termineriez-vous pas votre tasse de café... Nous pourrons alors faire une promenade dans le parc, nous pourrons discuter de notre problème en dehors de toutes oreilles indiscrètes !

En fait, John attendait que la drogue agisse.

Lucy avala nerveusement le fond de sa tasse. Elle n'aimait pas l'idée d'aller n'importe où avec ces voyous, mais elle avait besoin d'aider Brian à s'en sortir... En entrant dans le parc, Lucy se sentait étrange, confuse, excitée... Pourquoi ? Elle ne comprenait pas... Elle sentait ses jambes faiblir, la tête lui tournait.

Ouvrant ses yeux, Lucy se retrouva dans une sale petite pièce mal entretenue, une douzaine de jeunes hooligans l'entouraient. Ce devait être le repaire du gang. Comment avait-elle donc pu atterrir dans cet endroit ? Elle était à genoux, ses poignets menottés à une chaîne qui pendait du plafond. Sa veste jonchait le sol.

- Oh mon Dieu que lui arrivait-il ?

Elle releva la tête et cracha misérablement :

- Que me voulez-vous ? Je vous en prie laissez moi partir... Je me débrouillerai pour trouver l'argent ! Je vous en prie...

Elle se débattait pour se relever. Une gifle vicieuse lui incendia la joue. John lui sourit :

- Tout d'abord on va s'amuser avec toi ! Puis nous trouverons un moyen pour te permettre de GAGNER l'argent que tu nous dois... Rappelle toi bien : l'intérêt est de 20 % par semaine, aussi as-tu vraiment beaucoup de fric à GAGNER pour nous rembourser.

Lucy bafouilla :

- Gagné ? Comment ? Que voulez-vous ? Laissez-moi partir !

Ses jambes ne la soutenaient plus, la tête lui tournait, étrangement tout cela lui arrivait depuis leur arrivée au parc...

- J'espère que tu as apprécié ton café... J'y avais versé quelque chose de spécial... Ricanait maintenant John.

Cet aveu éclaira Lucy :

- VOUS M'AVEZ DROGUE ? Laissez moi partir... Je vous en prie... Le suppliait misérablement Lucy alors que sa poitrine la brûlait et ses tétons raidissaient.

Son visage lui semblait écarlate. Son entrecuisse était trempé de cyprine. Qu'y avait-il dans son café ?

Le plus grand, à l'air de brute, 20-25 ans se posta face à elle, souriant d'une oreille à l'autre. Il lui caressa la joue. Sa main glissa sur son chemisier, et il lui arracha violemment exposant sa fière poitrine enveloppée dans un joli soutien-gorge de dentelle, celui-la même qu'elle avait acheté pour allumer son tendre mari. Ses nichons durcirent, pointant au travers du fin tissu.

- Matez-moi les nichons de cette vieille prof ! Magnifiques non ? Elle est chaude comme l'enfer... On va voir ce qu'elle cache encore la dessous ! Poursuivit la grosse brute alors que les spectateurs éclataient de rire.

Ils la mataient tous avec concupiscence. Accrochée à sa chaîne elle ne pouvait se défendre. Ses miches la brûlaient. Elle avait une sensation de chaleur entre les cuisses. Oh mon Dieu ! Quelle sorte de drogue cela pouvait-il bien être ?

La même brute dégrafa sa très élégante jupe marron, elle chut au sol, les rires redoublèrent.

- Hey les gars ! La petite culotte de la maîtresse d'école est trempée ! Voyons ça de plus près...

La brute épaisse lui arracha alors sa petite culotte exhibant aux yeux de tous son buisson fourni protégeant sa féminité. Elle haleta alors qu'un doigt fureteur forçait l'entrée de sa caverne et s'agita dans sa grotte embrasée. Extirpant son doigt de sa chatte engorgée de cyprine, il le montra à tous.

- Regardez les gars... Elle est trempée... Vieille mais drôlement chaude la prof ! Allez prof, il est temps de gagner de quoi payer les intérêts de cette semaine... On va s'amuser avec toi !

Les rires redoublèrent à ces mots. Les hooligans se levèrent d'un même mouvement et se mirent à poil agitant railleusement leurs bites érigées. John laissa tomber la chaîne et l'altière et fière Lucy s'écroula au sol. Puis les voyous dénudés s'approchèrent d'elles, lui arrachèrent son soutien-gorge, pinçant, étirant, triturant ses mamelons. D'autres plongeaient profondément leurs doigts dans sa chagatte la malmenant sans vergogne. Etonnement sa cramouille était très lubrifiée. Des bites la frôlaient de toutes parts. Et ils continuaient imperturbablement à la peloter, la caresser, la rudoyer.

- Je vous en prie arrêtez... Pas ça... Arrêtez... Arrêtez... S'il vous plait... Non, pas ça... Je vous en prie... Je vous en prie, n'arrêtez pas... N'arrêtez pas... Nonnnnnn...

Les lamentations désespérées de Lucy n'étaient ni écoutées, ni entendues. Elle pouvait toujours se plaindre. Un à un, les membres du gang lui écartèrent les cuisses, plongèrent leurs épaisses bites dans sa moule et lui remplirent l'utérus de foutre. Certains lui souriaient, un lui cracha à la figure, trois lui triturèrent brutalement les miches, puis éjaculèrent sur son visage et dans ses cheveux un flot épais de foutre qui coula ensuite sur ses joues. Deux autres la retournèrent et l'enculèrent sauvagement alors que deux autres, tour à tour se vidaient les couilles dans son arrière-gorge l'étouffant à moitié quand elle dut avaler leur semence onctueuse.

Incapable de les faire arrêter, Lucy sentait que la drogue ingurgitée amenait son corps à se réjouir de ses abus. Les grosses bites coulissaient à leur aise dans sa chagatte embrasée, elle se rendait compte que leurs grosses mentules risquaient de la mener tout droit à l'extase. Lucy, cette femme si dévote, frissonnait sous les vagues de plaisir qui couraient dans son corps drogué. Chaque fois qu'un des membres du gang plantait sa bite dans sa cramouille et la violait, de nombreuses ondes de plaisir la remplissaient d'extase.

Le dernier éjacula dans sa chevelure, rit à gorge déployée et se recula, la regardant tremblante de honte et d'humiliation. Puis ils lui tinrent bras et jambes tandis que John s'approchait un rasoir à la main. Bientôt son mont de Venus fut aussi glabre que le mont chauve. Une autre brute s'approcha tenant en main un appareil garni d'aiguilles, qui vibrait. Il traita longuement le mont de Venus rasé de Lucy et lorsque finalement il se recula pour mieux apprécier son œuvre il s'exclama :

- J''espère que tu aimeras ton tatouage... C'est l'emblème de notre gang... Tu porteras toujours notre blason... Un oeil injecté de sang !

- C'était ton premier paiement... La drogue crée une forte dépendance... Tu en mourras si on arrête de t'en fournir... Tu devras faire d'autres remboursements trois fois par semaine, parfois plus si ça s'avère nécessaire ! De nombreux clients adorent les femmes mures dans ton style. Si tu satisfais leurs appétits tu devrais pouvoir rembourser les intérêts hebdomadaires et peut-être même une petite partie du principal... Ricana le chef du gang.

Puis il ajouta :

- Ramenez-moi cette pute dans le parc !

Elle se réveilla dans le parc, nue, le corps marqué de marques rouges. Baisant les yeux elle vit le tatouage qui ornait maintenant son bas ventre rasé de près. Sa veste brune et sa jupe gisaient à courte distance, mais aucune trace de sa petite culotte, de son soutien-gorge de dentelle et de son chemisier. Son cœur s'emballa au souvenir ce qui lui était arrivé. Qu'allait-il se passer maintenant ? Allaient-ils de nouveau venir la menacer ? Pouvait-elle en parler à son mari ?

"OH MON DIEU.... NON... " Réfléchissait-elle la bouche imprégnée de leurs flagrances masculines.

A suivre...