Payer le loyer - récit érotique domination soumission viol chantage
Traduction d'un récit de Craig88.
**************
Le gros voisin.
Je me brosse les dents tellement de fois que mes gencives commencent à saigner. Je mâche chewing-gum après chewing-gum, mais je n'arrive pas à me débarrasser du goût dégoûtant de ma bouche. Je vomis encore et encore tout le reste de la journée. Je me sens si dégradée et humiliée.
Je me regarde dans le miroir de ma chambre. J'ai été si occupée à être malade et à me laver les dents que je ne m'étais pas encore regardée.
Mon mascara a coulé le long de mes joues. Il s'est mélangé à mes larmes et au sperme giclé sur mon visage. Mes cheveux blonds sont complètement emmêlés, le clochard avait bien tiré dessus. Ma robe en latex brillait de tout le sperme des vagabonds, tout comme mes bottes.
J'enlève ces vêtements et je me retrouve nue devant le miroir. Je me rends compte que j'ai des ecchymoses sur les hanches, là où mes tourmenteurs m'ont tenue pendant qu'ils se relayaient et me baisaient comme une salope. J'ai du sperme séché partout sur mes seins et à l'intérieur de mes cuisses. Pour compléter les dégâts, ma chatte et mon trou du cul étaient dégoulinants de foutre.
Je passe ma main sur mon anus et c'est très douloureux. J'ai perdu ma virginité anale avec des clochards, des hommes écartés de la société. Je masse légèrement mon cul et je sens l'humidité du sperme. Je regarde ma main et je m'aperçois qu'il y a un peu de sang mélangé avec le sperme, du sang du viol brutal de mon cul.
J'entre dans la douche et je frotte ma peau rudement. J'ai besoin de laver tous les endroits qu'ont touchés les clodos. Je frotte si fort que ma peau rougit et devient douloureuse. Je suis soulagée en pensant que mon mari Steve n'ira pas au travail ces prochains jours. Ce qui signifie que je vais avoir un peu de repos avant que mon propriétaire revienne me chercher.
Nous avons des relations sexuelles Steve et moi, mais pour une raison étrange, je ne peux en profiter. Après ce qui vient de m'arriver ces derniers jours, comment pourrais-je être excitée?
- Ça va Hélène? Que se passe-t-il? Me demande-t-il doucement.
Je lui dis simplement que je ne suis pas d'humeur et nous en restons là. J'espérais qu'il essaie de m'exciter un minimum, mais il ne le fait pas. Alors nous nous blottissons simplement l'un contre l'autre.
Une autre pensée me vient : Ma chatte m'a trahi toute la semaine alors pourquoi elle ne veut pas de sexe maintenant?
Puis Steve commence à m'embrasser. Il roule sur moi et explore ma bouche avec sa langue. En même temps, il met sa main entre mes cuisses pour les séparer. Il aligne sa queue sur l'entrée de ma chatte et me pénètre lentement. Je ressens de la douleur, car je ne suis pas prête, je suis trop tendue.
Lentement il me fait l'amour. Je reste allongée mais tout ce que je ressens c'est de la douleur dans mon sexe.
Je veux pleurer. J'ai essayé toute la semaine de ne pas profiter des moments de débauche, de ne pas les apprécier, mais ma chatte, elle, en a profité. Et maintenant, alors que je voudrais faire l'amour avec mon mari, mon sexe ne me le permet pas.
Il ne faut pas longtemps avant que Steve se vide en moi avec un long gémissement. Mais ma chatte n'est toujours pas excitée.
- Oh oui, tu prends du plaisir Hélène?
Je le regarde dans les yeux et je prévois sa déception si je lui réponds non. Alors je souris et lui dis :
- Mais oui, bien sur!
Il me regarde, perplexe et dit :
- Mais tu n'as pas gémi?
- C'est parce que je me mordais les lèvres pour ne pas faire de bruit. Dis-je avec un sourire forcé.
Il me sourit en retour et nous en restons là. Cette nuit-là, j'ai beaucoup pleuré en silence.
Les deux jours avec mon mari s'écoulent trop rapidement. Et je me retrouve bientôt, assise sur mon canapé, en train d'attendre M. ALLEN.
Je sais qu'il veut que je m'habille comme il le veut. Alors je mets les bas noirs avec le porte-jarretelle noirs, un haut noir échancré et des hauts talons puis je m'assois sur le canapé pour attendre son arrivée.
Je ressens de la peur et de la tristesse. C'est alors que je sens que ma chatte réagit. Elle mouille. Je suis en colère. Pourquoi? Pourquoi ma chatte n'a-t-elle pas réagi suite aux efforts de mon mari? Ça doit être en prévision de ce qui va m'arriver. Quels actes sexuels dégoûtants vais-je encore devoir subir? Quoi qu'il en soit, ma chatte ne peut pas attendre. Je suis tellement dégoûtée qu'une partie de mon corps réagisse ainsi, comme une pute.
Quand le propriétaire arrive, il est extrêmement content de ma tenue. Il me dit :
- Bien Hélène, tu es devenue une vraie petite pute, n'est-ce pas?
C'est vrai. Ma chatte me rend folle. Et une chaleur m'envahit quand M. ALLEN me traite comme une prostituée.
- J'ai une surprise pour toi Hélène...
Je lève les yeux.
-Il y a quelqu'un dehors qui donnerait sa vie pour ta chatte. Tu vois, tu as déjà des admirateurs.
J'ai peur. Je lui demande :
- Combien de personnes savent?
- Euhhh. Quelques-unes des femmes de cet immeuble sont conscientes de tes obligations pour ta dette. Répond-il en riant.
Je le regarde avec un air choqué.
- Mais ne t'inquiète pas Hélène, elles ont leurs propres ennuis financiers pour ne pas s'occuper de toi.
- Vous voulez dire qu'il y a d'autres femmes dans cet immeuble qui ne vous paient pas le loyer et que vous abusez?
Il sourit.
- Eh bien, si elles ne peuvent pas me donner d'argent, elles doivent payer autrement. La plupart des femmes vivant dans le quartier ne peuvent payer le loyer alors je m'assure qu'elles comprennent que ce n'est pas gratuit.
Il dit cela avec une telle froideur que je frissonne littéralement. Et il continue :
- Mais je vais te dire une chose qui va rester entre nous. Certaines femmes ici aiment être traitées comme de complètes et totales prostituées. Au début, elles ne veulent pas, mais elles prennent goût à l'humiliation, c'est merveilleux à voir.
Il lève les yeux vers le ciel. Puis il sort de ses pensées et se souvient de son « ami » qui donnerait sa vie pour ma chatte. Il dit assez fort :
- Vous pouvez entrer maintenant!
Je retiens mon souffle et regarde en direction de la porte.
- Oh mon Dieu, s'il vous plaît, pas lui! Dis-je discrètement tout en pleurant.
Dans l'encadrement de la porte, se trouve mon voisin qui habite juste en dessous de nous. Dire qu'il est bizarre est un euphémisme. Il ne quitte jamais son appartement et lorsqu'il le fait il laisse une odeur fétide derrière lui. Il est gros et moche. C'est le genre de type qui vit avec sa mère jusqu'à l'âge de 40 ans et qui passe sa vie devant un écran d'ordinateur, ou quelque chose dans ce genre.
Il a des cheveux noirs, gars et emmêlés, une barbe crasseuse. Il porte de grosses lunettes noires. Ses dents sont à la fois jaunes et noires. Il porte un tee-shirt orange, sur lequel est marqué « JE SUIS SPARTACUS » qui moule son corps et laisse apparaître son ventre et ses nichons. Il devrait acheter un soutien-gorge, pensé-je. Il me regarde, bouche bée. J'ai oublié que j'étais en bas avec porte-jarretelle et talons hauts.
- Marcus m'a payé un peu pour avoir ta compagnie pendant un moment. Rit M. ALLEN.
- Et je ne verrai pas un sou de cet argent alors que je me fais baiser?
Je devrais vraiment apprendre à me taire. Mes plaintes ont toujours été récompensés par une claque. Et ce n'est pas différent cette fois-ci.
Alors que je m'assois sur mon canapé en frottant ma joue douloureuse, M. ALLEN s'assoit en face et dit :
- Tu peux entrer Marcus, et fermer la porte. Elle est à toi.
Mon voisin s'approche et s'assoit à côté de moi. Son odeur me fait instantanément oublier ma joue brûlante. Il se penche en avant et essaie de m'embrasser. Son souffle est horrible. Je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose.
Je sens son visage s'approcher et il m'embrasse doucement les lèvres. Sa barbe crasseuse chatouille ma figure. Il pose ensuite une grosse main joufflue sur ma cuisse, la faisant glisser sur le bas. Je me débats, mais il pousse sa languie dans ma bouche. Sa salive au goût fétide coule sur ma langue et dans ma bouche.
Après ce qu'il me semble une éternité, il retire finalement sa langue de ma bouche. Le goût est encore plus horrible après. Il place ses mains de chaque côté de mes hanches et il tire mon string vers le bas, exposant ainsi ma chatte rasée.
Il retire mon string noir jusqu'à mes chevilles et me l'enlève. Puis il le porte à son nez et prend une longue bouffée de l'odeur résiduelle. Écœurée, je regarde ce reclus social sentir mes sous-vêtements. Puis quand il est satisfait, il met le string dans sa poche.
Pendant ce temps-là, M. ALLEN reste assis avec un grand sourire sur son visage et un piquet de tente dans son pantalon.
Marcus passe alors ses mains sous mon haut et sort mes seins. Il se penche en avant et passe sa langue sur mes tétons raidis. En même temps, il met une main entre mes cuisses et commence à fouiller ma chatte.
Je pense qu'il n'a jamais eu de femme dans sa vie car il n'a pas la moindre idée de ce qu'il cherche. Il tâtonne en essayant de trouver l'ouverture de mon sexe. Je ricane légèrement.
Il lève les yeux vers moi. Je vois de la fureur dans son regard. J'ai peur. Il me claque le visage avec une force considérable.
- Ha Ha, c'est ça Marcus, si elle veut être garce, donne-lui une leçon!
Marcus me gifle encore plusieurs fois avec sa main ouverte. Puis il se penche en avant, prend un de mes tétons dans sa bouche et le mord fortement.
- AIIIIIEEEE Salaud! Crié-je de douleur.
Une autre gifle sur la figure me fait reculer. Puis il se lève et tire son tee-shirt au-dessus de sa tête. Son ventre flasque rebondit avec le mouvement. Puis il tire son pantalon vers le bas. Celui-ci tombe en pile autour de ses chevilles.
- Oh mon Dieu! Soupiré-je.
M. ALLEN rigole :
- Ça c'est pour toi maintenant.
Je reste bouche bée devant la taille du pénis de Marcus. Il est énorme. Je n'en ai jamais vu un aussi gros de toute ma vie. Son sexe pend, il fait bien 30 centimètres. Il est beau et bien épais. Je sens une brûlure dans ma chatte. Elle veut ce sexe, ma chatte mouille à sa vue, elle a besoin de cette grosse bite. Elle veut être remplie par ce gros membre de chair, tout le temps. Ma chatte veut cette longue et grosse queue. Moi aussi.
À suivre...
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Le gros voisin.
Je me brosse les dents tellement de fois que mes gencives commencent à saigner. Je mâche chewing-gum après chewing-gum, mais je n'arrive pas à me débarrasser du goût dégoûtant de ma bouche. Je vomis encore et encore tout le reste de la journée. Je me sens si dégradée et humiliée.
Je me regarde dans le miroir de ma chambre. J'ai été si occupée à être malade et à me laver les dents que je ne m'étais pas encore regardée.
Mon mascara a coulé le long de mes joues. Il s'est mélangé à mes larmes et au sperme giclé sur mon visage. Mes cheveux blonds sont complètement emmêlés, le clochard avait bien tiré dessus. Ma robe en latex brillait de tout le sperme des vagabonds, tout comme mes bottes.
J'enlève ces vêtements et je me retrouve nue devant le miroir. Je me rends compte que j'ai des ecchymoses sur les hanches, là où mes tourmenteurs m'ont tenue pendant qu'ils se relayaient et me baisaient comme une salope. J'ai du sperme séché partout sur mes seins et à l'intérieur de mes cuisses. Pour compléter les dégâts, ma chatte et mon trou du cul étaient dégoulinants de foutre.
Je passe ma main sur mon anus et c'est très douloureux. J'ai perdu ma virginité anale avec des clochards, des hommes écartés de la société. Je masse légèrement mon cul et je sens l'humidité du sperme. Je regarde ma main et je m'aperçois qu'il y a un peu de sang mélangé avec le sperme, du sang du viol brutal de mon cul.
J'entre dans la douche et je frotte ma peau rudement. J'ai besoin de laver tous les endroits qu'ont touchés les clodos. Je frotte si fort que ma peau rougit et devient douloureuse. Je suis soulagée en pensant que mon mari Steve n'ira pas au travail ces prochains jours. Ce qui signifie que je vais avoir un peu de repos avant que mon propriétaire revienne me chercher.
Nous avons des relations sexuelles Steve et moi, mais pour une raison étrange, je ne peux en profiter. Après ce qui vient de m'arriver ces derniers jours, comment pourrais-je être excitée?
- Ça va Hélène? Que se passe-t-il? Me demande-t-il doucement.
Je lui dis simplement que je ne suis pas d'humeur et nous en restons là. J'espérais qu'il essaie de m'exciter un minimum, mais il ne le fait pas. Alors nous nous blottissons simplement l'un contre l'autre.
Une autre pensée me vient : Ma chatte m'a trahi toute la semaine alors pourquoi elle ne veut pas de sexe maintenant?
Puis Steve commence à m'embrasser. Il roule sur moi et explore ma bouche avec sa langue. En même temps, il met sa main entre mes cuisses pour les séparer. Il aligne sa queue sur l'entrée de ma chatte et me pénètre lentement. Je ressens de la douleur, car je ne suis pas prête, je suis trop tendue.
Lentement il me fait l'amour. Je reste allongée mais tout ce que je ressens c'est de la douleur dans mon sexe.
Je veux pleurer. J'ai essayé toute la semaine de ne pas profiter des moments de débauche, de ne pas les apprécier, mais ma chatte, elle, en a profité. Et maintenant, alors que je voudrais faire l'amour avec mon mari, mon sexe ne me le permet pas.
Il ne faut pas longtemps avant que Steve se vide en moi avec un long gémissement. Mais ma chatte n'est toujours pas excitée.
- Oh oui, tu prends du plaisir Hélène?
Je le regarde dans les yeux et je prévois sa déception si je lui réponds non. Alors je souris et lui dis :
- Mais oui, bien sur!
Il me regarde, perplexe et dit :
- Mais tu n'as pas gémi?
- C'est parce que je me mordais les lèvres pour ne pas faire de bruit. Dis-je avec un sourire forcé.
Il me sourit en retour et nous en restons là. Cette nuit-là, j'ai beaucoup pleuré en silence.
Les deux jours avec mon mari s'écoulent trop rapidement. Et je me retrouve bientôt, assise sur mon canapé, en train d'attendre M. ALLEN.
Je sais qu'il veut que je m'habille comme il le veut. Alors je mets les bas noirs avec le porte-jarretelle noirs, un haut noir échancré et des hauts talons puis je m'assois sur le canapé pour attendre son arrivée.
Je ressens de la peur et de la tristesse. C'est alors que je sens que ma chatte réagit. Elle mouille. Je suis en colère. Pourquoi? Pourquoi ma chatte n'a-t-elle pas réagi suite aux efforts de mon mari? Ça doit être en prévision de ce qui va m'arriver. Quels actes sexuels dégoûtants vais-je encore devoir subir? Quoi qu'il en soit, ma chatte ne peut pas attendre. Je suis tellement dégoûtée qu'une partie de mon corps réagisse ainsi, comme une pute.
Quand le propriétaire arrive, il est extrêmement content de ma tenue. Il me dit :
- Bien Hélène, tu es devenue une vraie petite pute, n'est-ce pas?
C'est vrai. Ma chatte me rend folle. Et une chaleur m'envahit quand M. ALLEN me traite comme une prostituée.
- J'ai une surprise pour toi Hélène...
Je lève les yeux.
-Il y a quelqu'un dehors qui donnerait sa vie pour ta chatte. Tu vois, tu as déjà des admirateurs.
J'ai peur. Je lui demande :
- Combien de personnes savent?
- Euhhh. Quelques-unes des femmes de cet immeuble sont conscientes de tes obligations pour ta dette. Répond-il en riant.
Je le regarde avec un air choqué.
- Mais ne t'inquiète pas Hélène, elles ont leurs propres ennuis financiers pour ne pas s'occuper de toi.
- Vous voulez dire qu'il y a d'autres femmes dans cet immeuble qui ne vous paient pas le loyer et que vous abusez?
Il sourit.
- Eh bien, si elles ne peuvent pas me donner d'argent, elles doivent payer autrement. La plupart des femmes vivant dans le quartier ne peuvent payer le loyer alors je m'assure qu'elles comprennent que ce n'est pas gratuit.
Il dit cela avec une telle froideur que je frissonne littéralement. Et il continue :
- Mais je vais te dire une chose qui va rester entre nous. Certaines femmes ici aiment être traitées comme de complètes et totales prostituées. Au début, elles ne veulent pas, mais elles prennent goût à l'humiliation, c'est merveilleux à voir.
Il lève les yeux vers le ciel. Puis il sort de ses pensées et se souvient de son « ami » qui donnerait sa vie pour ma chatte. Il dit assez fort :
- Vous pouvez entrer maintenant!
Je retiens mon souffle et regarde en direction de la porte.
- Oh mon Dieu, s'il vous plaît, pas lui! Dis-je discrètement tout en pleurant.
Dans l'encadrement de la porte, se trouve mon voisin qui habite juste en dessous de nous. Dire qu'il est bizarre est un euphémisme. Il ne quitte jamais son appartement et lorsqu'il le fait il laisse une odeur fétide derrière lui. Il est gros et moche. C'est le genre de type qui vit avec sa mère jusqu'à l'âge de 40 ans et qui passe sa vie devant un écran d'ordinateur, ou quelque chose dans ce genre.
Il a des cheveux noirs, gars et emmêlés, une barbe crasseuse. Il porte de grosses lunettes noires. Ses dents sont à la fois jaunes et noires. Il porte un tee-shirt orange, sur lequel est marqué « JE SUIS SPARTACUS » qui moule son corps et laisse apparaître son ventre et ses nichons. Il devrait acheter un soutien-gorge, pensé-je. Il me regarde, bouche bée. J'ai oublié que j'étais en bas avec porte-jarretelle et talons hauts.
- Marcus m'a payé un peu pour avoir ta compagnie pendant un moment. Rit M. ALLEN.
- Et je ne verrai pas un sou de cet argent alors que je me fais baiser?
Je devrais vraiment apprendre à me taire. Mes plaintes ont toujours été récompensés par une claque. Et ce n'est pas différent cette fois-ci.
Alors que je m'assois sur mon canapé en frottant ma joue douloureuse, M. ALLEN s'assoit en face et dit :
- Tu peux entrer Marcus, et fermer la porte. Elle est à toi.
Mon voisin s'approche et s'assoit à côté de moi. Son odeur me fait instantanément oublier ma joue brûlante. Il se penche en avant et essaie de m'embrasser. Son souffle est horrible. Je ferme les yeux et essaie de penser à autre chose.
Je sens son visage s'approcher et il m'embrasse doucement les lèvres. Sa barbe crasseuse chatouille ma figure. Il pose ensuite une grosse main joufflue sur ma cuisse, la faisant glisser sur le bas. Je me débats, mais il pousse sa languie dans ma bouche. Sa salive au goût fétide coule sur ma langue et dans ma bouche.
Après ce qu'il me semble une éternité, il retire finalement sa langue de ma bouche. Le goût est encore plus horrible après. Il place ses mains de chaque côté de mes hanches et il tire mon string vers le bas, exposant ainsi ma chatte rasée.
Il retire mon string noir jusqu'à mes chevilles et me l'enlève. Puis il le porte à son nez et prend une longue bouffée de l'odeur résiduelle. Écœurée, je regarde ce reclus social sentir mes sous-vêtements. Puis quand il est satisfait, il met le string dans sa poche.
Pendant ce temps-là, M. ALLEN reste assis avec un grand sourire sur son visage et un piquet de tente dans son pantalon.
Marcus passe alors ses mains sous mon haut et sort mes seins. Il se penche en avant et passe sa langue sur mes tétons raidis. En même temps, il met une main entre mes cuisses et commence à fouiller ma chatte.
Je pense qu'il n'a jamais eu de femme dans sa vie car il n'a pas la moindre idée de ce qu'il cherche. Il tâtonne en essayant de trouver l'ouverture de mon sexe. Je ricane légèrement.
Il lève les yeux vers moi. Je vois de la fureur dans son regard. J'ai peur. Il me claque le visage avec une force considérable.
- Ha Ha, c'est ça Marcus, si elle veut être garce, donne-lui une leçon!
Marcus me gifle encore plusieurs fois avec sa main ouverte. Puis il se penche en avant, prend un de mes tétons dans sa bouche et le mord fortement.
- AIIIIIEEEE Salaud! Crié-je de douleur.
Une autre gifle sur la figure me fait reculer. Puis il se lève et tire son tee-shirt au-dessus de sa tête. Son ventre flasque rebondit avec le mouvement. Puis il tire son pantalon vers le bas. Celui-ci tombe en pile autour de ses chevilles.
- Oh mon Dieu! Soupiré-je.
M. ALLEN rigole :
- Ça c'est pour toi maintenant.
Je reste bouche bée devant la taille du pénis de Marcus. Il est énorme. Je n'en ai jamais vu un aussi gros de toute ma vie. Son sexe pend, il fait bien 30 centimètres. Il est beau et bien épais. Je sens une brûlure dans ma chatte. Elle veut ce sexe, ma chatte mouille à sa vue, elle a besoin de cette grosse bite. Elle veut être remplie par ce gros membre de chair, tout le temps. Ma chatte veut cette longue et grosse queue. Moi aussi.
À suivre...