mardi 27 mai 2025

Nathalie - Ch. 02

  Traduction d'un texte de Black demon par Coulybaca (2007)

*****

Dépucelés par la jolie mère de leur meilleur copain.

Nathalie Stevens réfléchissait aux événements qui avaient secoué et transformé sa vie depuis un an, rien ne pouvait être plus compliqué que de trouver une porte de sortie. Si elle voulait préserver son mariage elle avait juste à se plier au chantage qu'on exerçait sur elle.

Ayant accueilli chaleureusement les amis de son fils depuis des années, elle n'aurait jamais cru à ce qui était arrivé la semaine dernière. Elle revint à ce foutu week-end, lorsque Bryan invita Dave à une partie de pêche avec son fils, dans une cabane prêt du lac.

Elle se remémorait les pensées exactes qu'elle avait eu ce jour là, elle avait toujours encouragé ces sorties père/fils, pensant que c'était une bonne chose pour tous deux. Après tout, Bryan entrait dans sa seizième année, il délaisserait bientôt son père, préférant la compagnie des copains, ou bien même des petites amies. Heureusement, Dave pourrait aider Bryan à mûrir, bon sang, tous ses copains semblaient plus mûrs que lui, plus spécialement encore quand il s'agissait de rencontrer des filles.

Cette dernière pensée la ramena à ce dernier week-end, alors que Bryan avait invité ses copains à une partie de piscine. Il était copain avec Sam, Josh et Tim depuis sa plus tendre enfance, mais maintenant, ils semblaient bien plus mûrs que lui, peut-être même un peu trop mûr à son goût personnel.

Leurs compliments l'avaient un peu gêné ce jour-là, ils ne lui avaient jamais fait de telles déclarations auparavant, et cela l'avait toute étonnée, puis elle avait attribué cette attitude à une poussée d'hormones.

Bryan aidait son père surveillant les grillades lorsque que Nathalie plongea dans la piscine pour se rafraîchir, sous ce soleil ardent. Elle avait souvent nagé avec les jeunes et son mari, cela n'avait jamais provoqué de commentaires particuliers, en fait la règle était, lorsqu'ils étaient plus jeunes, de toujours attendre que Nathalie ou Dave soient avec eux pour aller se baigner, ils avaient toujours eu peur du possible accident. Elle portait un maillot de bain une pièce des plus classiques. Nathalie se rappelait avoir rougi, lorsque Tim, le plus timide des trois, lui avait dit :

- C'est sûr madame, vous avez des jambes très sexy madame Stevens !

et Josh, le plus hardi du groupe ajouta qu'il n'avait jamais vu des jambes supportant la comparaison...

Elle se rappelait avoir balbutié :

- M... merci les garçons...

Elle se rappelait s'être dit que jamais elle n'aurait supposé qu'ils lui feraient des compliments aussi hardis, je pensais qu'ils étaient encore trop jeunes pour voir en elle une femme, elle se sentait nerveuse lorsque Sam conclut :

- Ce n'est que la vérité madame Stevens... Elles sont plus belles que celles de la plupart des femmes que j'ai vu dans Play... Dans des magazines... Heu... Des magazines pour hommes...

Et hilare, Josh commenta :

- Tu veux dire dans Playboy, n'est ce pas ? En tout cas il a raison madame Stevens. Vous êtes bien plus excitantes que ces starlettes qui posent dans Playboy.

Nathalie était resté sans voix, elle n'avait su que rougir d'embarras en se voyant comparée par ces adolescents aux femmes de Playboy, un magazine de femmes nues. Bien qu'elle se soit sentie flattée qu'ils la comparent à de tels sex-symboles, y repenser la faisait serrer les cuisses.

Le lendemain Bryan et Dave partirent pour la cabane, Nathalie pensa que le temps était idéal pour se relaxer dans la piscine, et s'assurant d'un regard panoramique que rien ne pouvait venir troubler sa sieste, elle s'installa vêtue de son petit bikini jaune, elle avait caché ses cheveux sous un bonnet, pour ne pas les mouiller. Elle plongea dans la piscine se dirigeant vers la zone la plus profonde, faisant la planche pour se relaxer paresseusement. Elle s'assoupissait lorsqu'elle entendit les cris des copains de Bryan, ils l'appelaient !

- Madame Stevens... Madame Stevens...

Avant même qu'elle eut le temps de leur répondre, ils escaladaient la clôture, fortement excités, lui criant :

- Vous n'allez jamais croire ce Josh a parié de faire...

- On voudrait qu'il nous prouve ce qu'il a dit...

- Cela prendra juste quelques minutes dans votre piscine...

- C'est d'accord ?

Nathalie aurait aimé ne pas être dérangée, spécialement par ces trois adolescents, quand bien même ils étaient les meilleurs amis de son fils. Réalisant qu''elle portait son petit bikini, elle rougit, se remémorant leurs commentaires de la veille, alors qu'elle portait un une pièce des plus classiques. Elle était contente d'être dans l'eau, elle espérait que la distorsion de l'eau les empêcherait de voir sa tenue. Les jeunes se trouvant déjà sur la pelouse, il lui était difficile de refuser.

- Oui... Je suis d'accord... Si cela ne prend que quelques minutes. Répondit-elle hésitante.

A la vue des trois gars se glissant dans l'eau, sans savoir pourquoi, Nathalie se sentait gênée de se trouver seule, à la piscine, avec les trois meilleurs amis de son fils. Elle vit alors le visage de Josh surgissant de l'eau face à elle. Avec un large sourire, il commenta :

- Wahou Madame Stevens...Vous êtes bigrement sexy dans votre petit bikini jaune.

Elle rougit à ce commentaire, tandis que les deux autres ados plongeaient à leur tour sous l'eau. Ils revinrent à la surface, confirmant les dires de Josh, en en rajoutant même.

- Madame Stevens, Josh prétend pouvoir rester sous l'eau pendant 2 minutes sans remonter à la surface. Croyez vous que ce soit vrai Madame Stevens ? questionna Sam.

Alors Josh répondit :

- Puisque je vous dit que c'était bien plus dur de le faire dans le canal. Je l'ai fait plus d'une fois. Et à chaque fois je suis resté immergé plus de deux minutes. Une seule fois j'ai été contraint de remonter parce que je n'avais plus d'air...

Sam, Tim et même madame Stevens éclatèrent de rire en le voyant gesticuler rouspétant parce que personne ne le croyait.

- Je le jure... Et je vais vous le prouver...

- Préparez vos chronomètres ! Madame Stevens vous serez témoin.

Nathalie rit et dit alors qu'elle allait aussi le chronométrer. Josh respira plusieurs goulées d'air frais avant d'accomplir son exploit.

- Allez les gars.... On fait comme on a dit hier....ne commencez que lorsque ma tête aura disparu sous l'eau.

Nathalie regardait Josh prendre une profonde aspiration se préparant à plonger. Elle n'avait pas de montre, aussi regardait-elle passer les secondes au chronomètre d'un des deux ados lorsqu'il plongea sous l'eau. Dès qu'il eut disparu sous l'eau, les deux à ses cotés s'agitèrent brusquement.

Totalement prise au dépourvu, elle sentit Tim et Josh lui immobiliser les deux bras. Avant même qu'elle ait poussé un cri, Tim la bâillonnait d'une main, et Sam lui enlevait son bonnet de bain étalant ses longs cheveux sur ses épaules. Musclés par des années d'entraînement de football, les deux adolescents l'entraînèrent de force contre le mur au fond de la piscine, plaçant leurs bras de chaque coté du dévidoir. Elle chercha à se défendre, mais elle ne pouvait rien faire contre ces deux adolescents plus forts qu'elle. Elle frissonna soudain violemment en sentant des mains saisir son petit bikini par la ceinture. Quelques instants plus tard son bas de maillot flottait à une encablure d'elle. Elle frémit encore en entendant Tim s'exclamer :

- Josh fait du bon boulot... Il a déjà épluché la chérie... Voyons s'il parvient à lui bouffer le minou sous l'eau !

C'était allé si vite que Nathalie ne comprit pas ce qu'il voulait dire, ce n'est que lorsqu'elle sentit Josh lui écarter les cuisses qu'elle comprit ce que ce jeune ado de 18 ans prétendait lui faire. Se débattant de toutes ses forces, cherchant à se libérer, elle se figea bientôt et frissonna longuement.

- Ohhhhhh... ahh... ahhh... ahhhhh... ohhhhhh... Ça ne peut pas m'arriver... Ce sont les meilleurs amis de Bryan... Ce petit salaud de Josh... Il me broute le gazon.

Entendant les soupirs de madame Stevens, Sam lui avait libéré la bouche.

- Ahhh... ahhhhh... ahhhh... Mon dieu... je... je vais jouir... Ahhhhhhhhh... ohhhhh... Grand Dieu ! Se plaignait madame Stevens à haute voix.

- Mon Dieu... Il lui bouffe vraiment la moule  ! lâcha Sam continuant à tenir madame Stevens par les bras.

- Vas y Josh... Continue à lui bouffer la moule... s'écrièrent-ils de concert.

- Ahhhhhhhhh... ohhhhh, Mon Dieu ! Ahhhhhhhhh... ohhhhh... Mon Dieu... S'époumonait Nathalie perdant tout contrôle.

Quelques secondes plus tard, Josh surgit de l'eau, balayant ses lèvres d'un revers de langue, il commenta :

- C'est la moule la plus juteuse et la plus goûteuse que j'ai testé depuis longtemps.

Elle semblait ne pas se rendre compte qu'ils lui avaient enlevé le haut de son maillot, jouant avec ses mamelons. Elle semblait encore flotter dans l'espace, incapable de fixer son esprit sur quoi que ce soit. En fait son corps flottait dans la piscine, les deux gars l'entraînant paresseusement le long du mur, vers l'endroit le plus profond.

Lorsque ses pieds touchèrent le mur, elle revint soudain sur terre, prenant conscience de ce qui venait d'arriver, elle se débattit à nouveau entre leurs bras.

- Comment avez vous pu me faire cette horrible chose ?Alors que je pensais que vous me respectiez ! sanglota-t-elle.

- Vous êtes pires que des animaux.Vous allez voir ce qui va vous arriver lorsque je raconterai ce que vous m'avez fait ! Renifla-t-elle misérablement.

- Mais Madame Stevens... Nous vous respectons profondément... On pense beaucoup de bien de vous... S'étonna Tim.

- Oh oui Madame Stevens, On pense beaucoup à vous... Chaque nuit quand on se branle dans notre lit... Hennit Sam.

- On pense tellement à vous madame Stevens, qu'on vous a choisi pour nous apprendre à baiser correctement... ajouta Josh.

A ces mots, Nathalie crut s'étrangler de fureur.

- Ne croyez pas nous échapper, on sait que vous avez baisé avec "la cigogne" ! L'avisa Josh.

Nathalie frissonna de peur, réalisant qu'ils avaient découvert son terrible secret. Elle savait que son monde venait de s'écrouler, elle se trouvait sous le contrôle total des meilleurs amis de son fils.

- Eh oui chère madame Stevens.. On a rencontré "la cigogne" la semaine dernière. Il nous a dit comment il vous avait baisé dans la cuisine. Il nous a même donné la preuve de tout cela. Aussi en rentrant à la maison, on a réfléchi. Avec cette preuve on pourrait sûrement vous baiser comme on voudrait... Chaque fois qu'on le voudrait... La défia Sam.

- Et maintenant tu nous obéis... Ou bien on verra quelle tête feront Dave et Bryan à la vue de tes exploits. Lui souffla Tim hilare.

- Dis-toi bien que tant que tu feras nos quatre volontés, Dave et Bryan ignoreront tout de cette cassette. Poursuivit Josh.

Sanglotant éperdument, cherchant à cacher sa nudité de ses mains, Nathalie réalisa qu'elle n'avait pas d'autre choix que d'obéir.

Elle sortit lentement de la piscine, et honteuse, dégouttante d'eau, elle prit la direction de la chambre conjugale. Là, elle se laissa tomber mollement sur le lit, fermant les yeux pour ne pas voir les amis de son fils s'approcher d'elle leurs attributs à la main.

Elle se demandait lequel oserait le premier la violer, elle comprit comment le sort allait décider en les entendant prendre des pièces de monnaie sur la coiffeuse, ils allaient jouer à pile ou face le spécial honneur de se faire dépuceler le premier, ayant tous la secrète envie d'être désigné par le sort.

Yeux fermés, Nathalie chercha à préparer son corps à l'épreuve qui l'attendait. Elle voulait rester inerte, ils satisferaient leurs hormones mais elle ne vibrerait pas sous leurs corps.

- Oouiiiiii ! Entendit-elle Sam hurler, apparemment c'est lui qui avait gagné le tirage. 

Il serait le premier à se faire dépuceler. Elle frissonna, se mordant les lèvres en le sentant escalader le lit, lui écartant les cuisses pour la positionner selon ses voeux.

- Ohhhh... owwwww... grogna Nathalie, lorsque le jeune affamé escaladant son corps lui mordit férocement un de ses tendres téton. 

Il était pressé de devenir un homme, et la bite à la main, il farfouillait dans sa fente, cherchant l'orifice convoité.

- Ohhhhh... Grogna-t-elle à nouveau, lorsque le furieux la pénétra tout de suite, sans aucun préliminaire.

- Ca y 'est... Oh Ouiiiii... je suis dans sa chatte... C'est fantastique... Je suis un vrai baiseur... S'exclama Sam. 

Il commença alors à la labourer de toute sa puissance, baisant la jolie mère de son meilleur ami, la baisant sur le rytme d'un marteau-piqueur. Sam entendait ses copains l'encourager :

- Vas-y Sam... Vas-y... Fais un p'tit frère à Bryan...

Sam grognait de plaisir, la bite serrée dans la chatte de madame Stevens.

-Oh ouiiiii... Je vais jouir dans la chatte de madame Stevens... Ouiiiii ! s'exclama Sam projetant pour ma première fois sa chaude semence dans un ventre féminin.

Nathalie était demeurée en place sur le lit comme elle l'avait planifié mais elle pouvait pas empêcher les muscles de sa chatte de répondre aux sollicitations de ces jeunes corps vigoureux. Elle aurait bien ri lorsque Sam s'écroula sur elle, mais elle ne voulut pas l'accabler, ignorant quelle serait sa réaction, n'empêche qu'elle commençait juste à réagir quand il avait giclé dans son utérus. Il n'avait pas tenu deux minutes, se marra-t-elle intérieurement.

Elle vit des mains agripper Sam, le repoussant. Un grand "Ouiiiii" la prévint alors que Josh lui succéderait, elle le sentit escalader à son tour le lit. Bien qu'horrifiée par ce qu'ils lui faisaient faire, cédant au chantage des meilleurs amis de son fils, elle ne pouvait pas entièrement les blâmer. Elle réalisait qu'étant à leur place, jeunes ados inexpérimentés, ayant l'opportunité de faire chanter une jolie jeune femme, elle aurait fait de même. Elle voulait rester inerte sous eux, mais elle voulait savoir combien de temps les autres se contrôleraient avant de gicler à leur tour dans sa cramouille.

Tim s'était emparé son mamelon sensible, Nathalie se mordit les lèvres pour garder son calme. Des larmes perlèrent à ses yeux en voyant le second des amis de son fils prêt à satisfaire sa lubricité dans son corps. Des sensations enivrantes naissaient dans son mamelon, se répandant dans tout son corps, elle comprit alors l'urgence de l'amener à dégorger son poireau.

Josh était nerveux, anxieux, il adorait sucer les tétons de la jolie madame Stevens mais il était si impatient d'avoir sa première baise, qu'il craignait de cracher son foutre avant même de la pénétrer tant il était pris par le spectacle qu'elle leur offrait involontairement. Il se voyait déjà se mettre en position, bite en main pénétrant d'une bite conquérante la belle madame Stevens.

- Oh... Mon dieu... C'est trop bon... ahhhhh... ahhhhhh... je vais jouir... S'exclama-t-il labourant le corps frissonnant de sa partenaire. Après une douzaine de va et vient, il sentit soudain les muscles du con de sa partenaire enserrer sa bite en une étreinte puissante, provoquant immédiatement son orgasme.

-Ohhh... Ouiiii... Je jute... Je jouis... Cria-t-il à son tour éclaboussant son utérus de jets abondants.

Josh avait épié madame Stevens, regardant comment elle s'y prenait pour les forcer à jouir si rapidement, sans même frissonner, sans montrer aucune émotion.

Il essayait de bander son énergie, déterminé à ne montrer pas plus d'émotions qu'elle. Il voulait la forcer à vibrer à nouveau, forcer son corps à se rappeler ses caresses dans la piscine, lorsque elle cadenassait ses cuisses dans son dos, jouissant sous ses lèvres.

Il repoussa Tim écroulé sur son torse, puis Josh, aidé de Sam qui avait récupéré sur ces entrefaits, disposa madame Stevens à sa convenance. L'agrippant par les hanches, Josh attira à lui la femme de ses rêves, il disposait d'elle, là sur le lit qu'elle partageait avec son mari. Il savait qu'elle s'efforcerait de demeurer inerte sous ses assauts, ainsi qu'elle l'avait fait sous les assauts de Sam et Tim.

S'il voulait parvenir à ses fins, il devait l'exciter auparavant, aussi empauma-t-il ses seins, les caressant tendrement avec ses pouces. Sollicités par ces caresses voluptueuses, ses tétons ne tardèrent pas à darder, sa respiration se fit plus lourde. Lentement sa main descendit le long de son corps caressant amoureusement son ventre, puis ses cuisses, il la sentit alors frissonner, elle dut reprendre haleine. Il savait qu'il atteignait maintenant un tournant, il fallait bien le négocier pour affoler ses sens.

Il sourit en entendant sa respiration s'appesantir encore, alors qu'il farfouillait dans sa toison pour enfin dénicher son clito encore encapuchonné. Il mignotait son clito d'une main, tenant sa grosse bite de l'autre, prêt à s'engouffrer dans sa chatte lorsqu'il l'estimerait nécessaire.

- Ohhhhhhhhhhhhh... gémit-elle lorsqu'il s'engouffra dans sa délectable fente.

Elle était mûre, suffisamment réceptive pour qu'il la fasse jouir sous lui. La saisissant aux hanches il la pénétra vigoureusement, savourant pleinement sa première intromission dans une chatte trempée, il était ravi de l'entendre gémir avouant une amorce de plaisir.

- Ohhhhhhhhh... ohhhhhhhhhhhh... roucoulait une Nathalie très receptive.

- Ohhhhhhh, Josh... t'es un vrai homme maintenant... baise-moi... Encore... Fais moi jouir ! s'exclamait-elle le saisissant aux hanches pour approfondir ses intromissions.

- Ohhh, oui madame Stevens. Cela fait des nuits que je rêve de vous. Ohhh, mon rêve est enfin exaucé. Je veux vous faire un bébé... un p'tit frère pour Bryan. S'époumonait Josh la serrant étroitement contre lui.

La réplique de madame Stevens précipita son orgasme :

- Oh, oui Josh... baise-moi... Jute dans ma chatte... Fais-moi un enfant... Ohhhhhh, Je jouis... Crache ton foutre dans mon ventre !

 Et Josh s'exécuta, projetant en abondance son foutre juvénile au tréfonds de son utérus.

S'écroulant sur le lit, Nathalie renifla pitoyablement, déchirée de honte, réalisant ce qu'elle venait de lui dire sous l'emprise de sa jouissance. Pourquoi lui ai-je répondu ça ? A l'image d' une salope en chaleur, j'ai supplié un des meilleurs amis de Bryan de me baiser. De me faire un enfant, se disait-elle honteuse. Josh, étendu sur elle, était toujours enfoncé dans son sexe, elle banda ses muscles vaginaux étreignant vigoureusement sa bite pour en extraire les dernières gouttes.

Un éclat de rire narquois les fit sursauter tous quatre : c'était "La Cigogne" qui ajoutait ironiquement :

- Alors les gars... C'était bon... Vous v'la des hommes...

Il enleva alors short et chemise leur annonçant :

- Et maintenant les gars, je vais vous montrer comment un véritable homme s'occupe d'une jolie femme... Ouvrez bien les oreilles et écoutez ses cris quand je la baiserai jusqu'à l'os !

Les jeunes adolescents étaient prêts à observer leur héros en pleine action, ils voulaient savoir s'il disait la vérité, s'il allait vraiment faire hurler de plaisir madame Stevens, s'il allait la faire jouir avec sa grosse queue noire. Ils l'avaient vu faire sur la cassette, mais c'était bien plus excitant de vraiment assister à cette séance de baise. Ils la voyaient maintenant supplier "La Cigogne" de la baiser.

Une fois son caleçon enlevé, "La Cigogne" demanda à Sam de se mettre à sa gauche pour laisser madame Stevens venir s'empaler sur sa monstruosité dressée.

Il la fit jouir à gorge déployée, puis la leçon commença, chaque ado apprit comment se servir de ses trois trous, elle ne jouit pas à chaque fois, mais eut tout de même quelques fulgurants orgasmes.

Le lendemain, vers midi, Nathalie vérifia que tout était en bon ordre, ses visiteurs l'avaient quitté une fois leurs sandwiches prêts. Elle était très fatiguée n'ayant pu que somnoler entre les parties de baise avec ces jeunes.

La veille, ils avaient dîné d'une pizza mais auparavant, chaque ado avait essayé ses trois trous.

Ils avaient pris tout leur temps, profitant du repas pour récupérer quelques forces, puis ils avaient voulu la baiser, chacun leur tour dans l'intimité, sans spectateur. Elle avait apprécié, cette soirée où chaque jeune l'avait pris selon leur volonté dans l'intimité de la chambre, sans spectateur superflu.

Virant le dessus de lit et les draps, elle refit le lit qu'elle partagerait avec Dave cette nuit. Puis elle nettoya la cuisine, et lava tous les ustensiles dont ils s'étaient servis. Puis elle nettoya le salon où ils avaient attendus leur tour en regardant la télé. En contemplant les dégâts, elle n'eut qu'une pensée : ce ne sont vraiment que des crétins d'ados qui se comportent en ados, ils n'avaient même pas pris la peine de ranger les bouteilles vides et les sachets de chips et de pop corn !

Nathalie prit une bonne douche, l'eau chaude relaxant son corps, ses mains erraient sur son corps se rappelant chaque morceau de peau touché par ses jeunes amants.

Elle en profita pour se laver ses cheveux encore englué par les jets de sperme reçu lors de l'ultime séance collective, elle ne risquait pas de l'oublier cette dernière séance. Allongée sur le dos, elle s'était empalée sur la bite de "La Cigogne", mais les trois jeunes voulaient aussi participer, elle avait sucé Tim tout en branlant Josh et Sam, ils avaient juté de concert dans sa longue chevelure blonde tandis que Tim lui inondait une fois de plus la gorge et "La Cigogne" la moule.

Elle enfila un short et un corsage, puis elle attendit le retour de ses hommes, finalement satisfaite d'avoir été besognée toute la nuit par ses visiteurs. Une fois Dave et Bryan de retour de pêche, elle s'informa, avec un naturel désarmant, sur le déroulement de leur partie de pêche. Alors qu'elle était dans la cuisine préparant des boissons rafraîchissantes pour Dave et Bryan, elle entendit son mari l'appeler dans l'arrière-cour. Elle frissonna en l'entendant lui demander :

- Chérie, comment se fait-il que ton bikini jaune flotte dans la piscine ?

Et elle vit alors Dave tenant les deux piéces de son bikini jaune qu'il venait de récupérer. Tendant la main pour les récupérer, elle rougit et mentit :

- C'est rien chéri. Hier je me relaxais dans la piscine, et comme il n'y avait personne en vue, j'ai pris un bain nue, j'étais distraite et j'ai du rentrer dans la maison en oubliant mon maillot dans l'eau. 

Bien sûr son mari l'a crue.

Une paire de mois plus tard, tout en prenant leur repas, Dave dit à sa femme :

- Bon sang , ça semble difficile en ce moment de réunir toute l'équipe, il y a toujours quelque chose qui fait qu'un des jeunes manque à l'appel, pour une raison ou pour une autre d'ailleurs. Il rit, ajoutant :

- Comme tous les ados de leur âge, ils s'affairent de plus en plus. Chacun doit avoir sa petite amie avec laquelle il passe du temps en tête à tête.

Sans commenter, Nathalie continuait son repas, s'accordant pourtant une large inspiration lorsque Dave continua :

- Il faudra que je demande à Bryan si c'est cela. Lorsqu'un de ses copains s'excuse, il doit en profiter pour grandir.

En réalité, lorsque l'un deux s'absentait, les deux autres s'occupaient de tenir Bryan éloigné de son domicile, permettant ainsi au troisième larron d'accéder en toute tranquillité au lit de sa mère.

Neuf mois s'étaient écoulés depuis la visite mémorable de "La Cigogne" et des trois amis de son fils. Allongée dans son lit, à la maternité, Nathalie encourageait son nouveau né à téter, elle pouvait remercier dieu, elle avait accouché d'un bébé blanc de peau, elle aurait juste voulu savoir lequel des trois amis de Bryan était le père du petit Tyler.

Elle méditait : remerciant Dieu de lui avoir donné un bébé pesant moins de six livres, il serait plus facile de ce fait de faire croire à Dave qu'il était prématuré d'un mois.

Tout au long de sa grossesse, elle avait craint que "La Cigogne" n'en soit le père, bien sûr il était bien plus simple que l'un des copains de Bryan en soit le géniteur, car un bébé noir n'aurait pas été le bienvenu, elle n'avait pas voulu se faire avorter, aussi avait-elle du réfléchir profondément pour solutionner un tel problème si...

Il lui avait fallu convaincre Dave qu'il l'avait mise enceinte un mois plus tard.

Par chance, ses meilleurs amis, une amitié datant des années collège, vivaient dans une ville éloignée d'une centaine de kilomètres. Julie avait été sa compagne de chambre ses deux dernières années d'étude, elles avaient été inséparables, jusqu'au mariage de Julie. Nathalie lui avait souvent sauvé la mise la tirant de situations embarrassantes, et maintenant, Julie lui avait rendu la pareille.

Elle rit revenant en arrière, à l'époque où Julie s'était fiancé avec Ryan qui était journaliste. Un soir, alors que Ryan était supposé rentrer le lendemain, il s'était débrouillé pour revenir plus tôt. Ouvrant la porte, Nathalie avait réagi immédiatement, l'informant que Julie avait vainement cherché à le contacter pour lui dire qu'elle travaillerait tard ce soir.

En fait, Julie était à l'étage, dans son lit, mais pas seule, elle couchait avec un de ses ex dont elle était encore un peu amoureuse. Lorsque Julie avait accouché de Jimmy, son premier enfant, Nathalie s'était doutée que Ryan n'était pas le véritable père. Julie lui avait confié qu'elle croyait que c'était son ex qui l'avait engrossée le jour où Ryan était revenu trop tôt, de ce fait Julie avait fait tout son possible pour aider Nathalie. Elles avaient concocté une histoire selon laquelle Julie avait de graves ennuis de santé et requérait la présence de sa meilleure amie pour l'aider à passer ce cap.

Et maintenant, Nathalie était allongée dans son lit à la maternité, alors que tout le monde croyait qu'elle disposait encore d'un mois avant l'accouchement, Julie s'était débrouillée pour mettre le médecin accoucheur dans la confidence, s'il en était besoin, il certifierait que l'enfant était prématuré d'un mois.

Au cas ou l'enfant aurait été noir, à la demande de Nathalie, elles s'étaient informées des préliminaires permettant à un couple d'adopter le bébé. Un couple de jeunes noirs désirait adopter un enfant noir, si c'était "La Cigogne" qui l' avait engrossé, elle aurait ainsi réglé le problème, elle aurait simplement dit à Dave et à Ryan que suite à des complications l'enfant était mort-né. Elles avaient donc pris des dispositions leur permettant de répondre à tous les cas de figure.

Dave Stevens avait donc appris par téléphone que sa femme victime d' une mauvaise chute avait accouché prématurément, mais il était rassuré la mère et l'enfant se portaient bien, il était maintenant le fier papa d'un petit Tyler. Il fit ses bagages et se mit en route pour faire sortir femme et enfant de la maternité.

Ils étaient à peine rentrés à la maison, avec le nouveau né, que déjà Bryan leur donnait le cadeau offert par ses copains lorsqu'ils avaient su qu'il avait un petit frère. Dave et Bryan était surpris par la valeur du cadeau, alors qu'ils n'en étaient qu'à mi-temps de leurs travaux d'été, ils avaient acheté un siège de voiture pour petit bébé, un des plus chers, des plus sécures. Mais ils étaient si heureux de faire ce présent, après tout, l'un d'entre eux était le vrai père de l'enfant.

Une semaine plus tard, alors que Monsieur Stevens avait repris le travail, et que Bryan travaillait sur un projet scientifique, ses trois amis avaient fait leur première visite au petit Tyler.

Chaque père éventuel voulait serrer le petit bébé dans ses bras, et tandis qu'il jouait chacun à leur tour avec le petit, les autres suçaient les mamelons turgescents de la mère qui allaitait Tyler.

Durant la journée elle eut tout loisir de regarder les photos de prime enfance des trois amis, dans ce large éventail elle tomba sur une photo de Josh bébé, Tyler en était le portrait craché.

A suivre...

dimanche 25 mai 2025

Passeport pour le plaisir.

 Traduction d’un texte de Tony King.

 ****

Mon entreprise avait été mandatée par un État africain pour installer des caméras de surveillance discrètes dans des endroits stratégiques. Le gouvernement en place était préoccupé par le niveau de corruption local qui semblait avoir un effet néfaste sur le tourisme.

C’est mon deuxième mois dans ce pays et suite à des plaintes de touristes pour harcèlement et même viol, j’installe discrètement des caméras dans les salles d’interrogatoire des douanes et dans le centre de rétention de l’aéroport. En fait, les soi-disant salles de détention sont juste une rangée de trois blocs de cellule.

J’installe secrètement les caméras durant la nuit, chacune n’étant pas plus grosse qu’une pointe de stylo. Je configure les moniteurs ainsi que le matériel d’enregistrement dans un bâtiment adjacent. Alors que le dernier moniteur s’allume, je peux clairement voir le bureau des arrivées, la salle d’interrogatoire et toutes les cellules. L’une d’elle est déjà utilisée comme annexe de la prison locale et elle est occupée par des prisonniers indisciplinés, des voyous noirs, costauds, en sueur.

Un moment plus tard, mon attention est attirée par un groupe arrivant des États-Unis. Ce sont pour la plupart des natifs du pays, mais parmi la foule, deux visages blancs se détachent. Je regarde attentivement alors qu’une belle blonde approche du bureau des arrivées. Elle est grande, vêtue d’un haut licou et d’une jupe courte genre safari. De la façon dont ses seins rebondissent, il est évident qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses nichons, je veux dire ses gros seins, veulent s’évader et pendant qu’elle se déplace, tous les hommes la fixent. Elle est vraiment stupéfiante, mais se doute-t-elle de l’attention qu’elle attire.

Son mari a l’air plutôt nerveux face à cette attention, alors il lui prend le bras et l’entraîne vers la vérification des passeports.

- Votre nom ? Demande l’homme derrière le comptoir.

- Jim et Judy... 

Je n’entends pas le reste à cause d’un grésillement. Je note qu’il faut que je change le microphone sur cette caméra. 

- Et quel est le but de votre visite ?

- Ma femme est moi sommes des archéologues.

L’agent du contrôle des passeports prend son téléphone et quelques minutes plus tard un grand noir vêtu d’un costume minable apparaît. Ce gars est laid et paraît menaçant avec une grande cicatrice violette sur une joue et une autre au-dessus de son œil droit.

- Venez avec moi ! Dit-il au couple.

Il les conduit dans la salle d’interrogatoire et les fait se tenir dos au mur du fond.

- Attendez là ! Ordonne-t-il sèchement avant de quitter la pièce.

- Qu’est-ce qui se passe Jim ? Dit la jolie blonde en s’accrochant au bras de son mari.

- Oh ne t’inquiète pas ! Tu sais à quoi ressemble ces pays du tiers monde, ils n’ont probablement jamais vu de passeport américain auparavant. Ça ira, tu verras.

Quelques minutes plus tard, l’homme aux cicatrices revient, mais il est accompagné de quatre soldats qui portent les bagages du couple. Les soldats sont mal vêtus, mais ils portent chacun un fusil. Ils regardent tous Judy en entrant et rient en parlant dans leur propre langue. Le grand noir ouvre la première valise et fouille dans les affaires de Jim. Il empoche l’argent et d’autres objets. Puis il examine les affaires de Judy en sortant tous ses sous-vêtements sexy pour que les autres les voient.

- Hé, qu’est-ce qui se passe ? Demande Jim.

L’homme aux cicatrices s’approche de lui et lui demande d’écarter les bras. Jim refuse. Le noir fait un signe de tête et deux soldats poussent brutalement l’Américain contre le mur.

- OK, OK ! Dites-moi juste ce qui se passe ! Dit Jim en écartant les bras. 

Il est fouillé de la tête aux pieds avant d’être poussé brusquement de l’autre côté de la pièce. 

- A vous ! Dit l’homme en faisant un signe à Judy.

- Attendez ! Écoutez Monsieur… Dit Jim alors que le gars pousse Judy contre le mur.

Mais il ne peut dire autre chose, car un soldat lui donne un coup de crosse de fusil dans le ventre et lui coupe le souffle.

Jim regarde avec horreur le grand homme noir passer ses mains sur le corps voluptueux de sa femme. Après les avoir passés sur l’extérieur des vêtements, il commence à devenir plus audacieux. Avec un énorme sourire affichant une rangée de dents blanches, il glisse sa main sous le haut et attrape le sein gauche. Il passe un long moment à le tripoter et à jouer avec le mamelon tout en parlant avec les soldats qui rigolent. Judy reste les yeux fermés alors qu’il continue à la tripoter. Puis l’homme défait le nœud du licou pour exposer sa poitrine aux soldats moqueurs. Judy lève ses mains pour empêcher le tissu de tomber, mais immédiatement ses bras sont saisis par deux soldats et sont forcés dans son dos.

Comme rien ne l’arrête, l’homme aux cicatrices abaisse le haut. Les seins de la blonde sont magnifiques, gros et droits avec des tétons rouge vif de la taille d’un sou. Le grand noir saisit les deux seins et tire sur les mamelons, faisant hurler la jeune femme de douleur. Puis c’est le tour de la jupe courte. Un bouton est arraché et tombe au sol et la jupe s’ouvre. Jim a un gémissement de désespoir quand il voit le grand noir poser sa main sur la chatte de Judy. L’homme aux cicatrices pousse ses doigts dans la fente et force le tissu de la culotte disparaître à l’intérieur. Alors qu’il s’amuse avec la chatte de la blonde américaine, les deux soldats qui tiennent la femme jouent avec ses seins tout en rigolant et parlant dans leur langue.

Se remettant du coup porté à l’estomac, Jim se libère des hommes et se précipite sur le grand noir en train d’agresser sa femme. Et tant qu’ex-militaire, il est encore en forme, alors en quelques secondes, il écarte l’homme. Il s’en prend aux deux soldats, mais tombe assommé au sol. L’un des autres gardes vient de le frapper à la tête avec la crosse de son fusil.

Pendant un court instant, les soldats ne savent pas trop que faire, mais l’homme à la cicatrice s’approche et commence à leur crier des instructions. Ils prennent Judy et la poussent dans une cellule vide. Elle n’est plus vêtue que de sa paire de talons hauts et d’une petite culotte noire. Jim est jeté dans la cellule adjacente, entre celle de sa femme et celle contenant d’autres prisonniers. Il y a beaucoup de cris et de sifflements de la part des autres détenus. Un soldat jette un seau d’eau froide sur Jim pour qu’il reprenne conscience.

- Alors tu veux jouer avec nous ! Dit l’homme à la cicatrice avec un sourire méchant.

- Bien, nous aimons nous aussi nous amuser ! Ajoute-t-il.

Il crie des ordres aux soldats qui sortent Judy de sa cellule et la jette dans celle des autres détenus. Pendant quelques instants, il y a un silence de mort. Judy se tient le dos contre les barreaux et essaie de couvrir sa poitrine avec ses bras. Les six condamnés se trouvent de l’autre côté de la petite cellule, ils ne savent pas trop que faire. Puis finalement le silence est brisé et les hommes se rapprochent de la femme terrifiée.

- S’il vous plaît, non… Jim, aide-moi… Nonnnnn….

Elle est traînée au milieu de la cellule et jetée sur une table en bois sale. Sa culotte est arrachée de force et ses jambes sont écartées dévoilant ainsi les petites lèvres roses de son sexe. Depuis sa cellule, Jim hurle, mais personne n’y prête attention. Tous les yeux sont rivés sur Judy, étalée sur la table et entourée de si hommes affamés de sexe qui s’apprêtent à abuser son beau corps à la chair blanche. Un mec est déjà en train de lui doigter l chatte, tout d’abord avec deux doigts, puis avec quatre. Elle crie alors que d’autres maltraitent ses seins déjà douloureux Son mari, Jim, regarde avec horreur les prisonniers commencer à se déshabiller.

- Vous allez voir comment nous traitons les trafiquants de drogue ! Dit l’homme à la cicatrice à Jim.

Il semble apprécié la terreur de l’Américain.

- Que voulez-vous dire en parlant de trafiquants de drogue ? Demande l’époux désespéré qui n’arrive pas à détacher les yeux de sa femme. 

Un cri de Judy interrompt le dialogue. Un grand black bien musclé se tient entre ses jambes, les premiers centimètres de sa grosse bite d’ébène pénétrant la chatte exposée. Sans aucun remord et aucune pensée pour la femme blanche devant lui, il regarde Jim alors qu’il enfonce lentement vingt centimètres de sa bite noire. Si les doigts n’avaient pas auparavant lubrifié la chatte de Judy, elle aurait été fendue en deux. En quelques coups de reins il est au fond de sa chatte et tout en lui tenant les jambes en l’air il la pistonne et la fait crier de douleur à l’invasion brutale de son corps. D’autres prisonniers sont occupés à lui malaxer durement les seins alors que l’un d’eux force la belle bouche de l’Américaine avec sa bite sale et malodorante.

Jim est désespéré, mais ne peut rien faire pour aider sa femme. Les hommes se relaient pour baiser sa chatte ou sa bouche jusqu’à ce qu’elle reste allongée et immobile comme une poupée de chiffon dans vie. La scène dure plus d’une heure avant que les gardes ramènent Judy dans sa propre cellule et la jette sur le lit. Jim s’agenouille près d’elle et lui caresse les cheveux à travers les barreaux.

- Tout va bien Chérie, tiens bon, je vais nous sortir d’ici ! Dit-il alors que des larmes de frustration et de rage coulent sur son visage.

L’homme à la cicatrice revient une heure plus tard accompagné à nouveau de quatre soldats. 

- Écoutez Monsieur, je ne sais pas ce que vous voulez, mais je vous donnerai tout ce que vous voudrez. Mais laissez-nous partir ! Supplie Jim.

- Signez ceci ! Dit le noir en passant une feuille de papier à travers les barreaux.

Jim lit le document et se met en colère :

- Bordel, qu’est-ce que c’est ? Vous savez bien que nous ne sommes pas des trafiquants de drogue. Si vous croyez que je vais signer cette fausse confession, vous pouvez aller vous faire voir !

Les dents blanches de l’homme apparaissent à nouveau alors qu’il sourit à Jim.

- Va te faire foutre ! Dit celui-ci.

- Pas tout de suite ! Mais nous allons nous occuper de ta femme !

La cellule adjacente est déverrouillée et Judy, dans un état semi-conscient, est entraînée dans la zone des gardes.

- D’accord, d’accord, je vais signer. N’importe quoi, mais ne lui faites pas mal à nouveau, s’il vous plaît !

- Trop tard mon ami ! Tu as eu ta chance, mais maintenant mes gardes veulent s’amuser. Ricane l’homme à la cicatrice.

Les quatre soldats couchent Judy sur une table et lui écartent à nouveau les jambes. Jim peut alors voir la quantité impressionnante de sperme s’écouler de sa chatte aux petites lèvres rouges et enflées.

Un des soldats pousse le canon de son fusil de quelques centimètres dans son sexe, puis il regarde Jim, son doigt sur la détente. 

- NONNNNNNN ! Hurle Jim qui craint pour la vie de sa femme.

CLIC ! L’homme appuie sur la détente. Le fusil n’était pas chargé. Alors que Jim n’est pas loin de la crise cardiaque, les gardes éclatent de rire à leur mauvaise blague.

- Lève-toi salope ! Dit l’homme à la cicatrice en tirant Judy sur ses pieds. 

De nouveau il passe ses mains sur son corps.

- Embrasse-moi salope blanche et fais le bien !

Il attrape les cheveux de Judy pour tourner sa tête sur le côté. Tout en regardant Jim, l’homme place ses grosses lèvres noires sur celles de la femme et il enfonce sa langue dans sa bouche. Il embrasse sa proie longuement et durement tout en continuant de regarder Jim. Puis il arrête est se lèche les lèvres.

- Hmmm, elle a bon goût pour une fille blanche !

Chaque soldat embrasse à son tour la femme de Jim. Judy est engourdie et reste immobile debout, les jambes écartées alors que les hommes doigtent sa chatte ou tirent ses tétons.
 
- Maintenant, nous allons bien la baiser ! Déclare l’homme à la cicatrice.

Un soldat s’allonge sur la table et Judy est hissée au-dessus de son membre engorgé. Elle s’empale facilement dessus grâce au foutre des prisonniers. Un autre soldat se place face à elle et lui tire les cheveux pour lever sa tête. Il glisse sa queue dans sa bouche puis au fond de sa gorge, la faisant suffoquer. 

Mais le pire est à venir. Alors que Jim regarde, totalement impuissant, l’homme à la cicatrice crache sur le petit trou vierge et serré de Judy. Il pousse sa salive avec un doigt sale. Judy et Jim gémissent de désespoir alors que l’homme noir ajoute un deuxième doigt dans le trou du cul.

Finalement, il remplace ses doigts par sa queue et enfonce de force les premiers centimètres. Judy crie de douleur alors que l’homme l’encule. L’homme à la cicatrice continue à s’enfoncer jusqu’à ce que s bite soit complètement enterrée dans le cul de la pauvre femme. Judy a maintenant une bite dans chacun de ses trous, et même la plus petite est deux fois plus grosse que celle de son mari. Elle a l’impression que son corps est en feu alors que chaque homme s’enfonce en elle. Alors qu’ils prennent un certain rythme à la baiser, Judy sent les picotements du désir enfler au creux de son estomac. « NON! » Crie-t-elle mentalement alors que le plaisir enfle. «  S’il te plaît mon Dieu, ne me laisse pas avoir du plaisir ! »

Sans relâche les soldats la baisent et le plaisir continue d’augmenter. Elle peut entendre des gémissements bruyants et elle réalise soudain que ça vient d’elle. Les hommes l’entendent et, en riant aux éclats, ils redoublent d’efforts.

- Je crois que ta femme a un penchant pour les bites noires ! Crie l’homme à la cicatrice à Jim en sodomisant Judy aussi violemment qu’il le peut

- Oh mon Dieu, nooonnnn, nooonnnn, s’il vous plaît, ne me faites pas jouir…

Ses paroles se transforment en un gémissement profond quand l’orgasme la frappe. Il débute au creux de son estomac et se fraie un chemin à travers ses tétons et sa chatte pour se terminer dans son clitoris et au fond de son cul. Vague après vague, le plaisir la submerge et elle ne pense plus qu’aux trois bites qui prennent possession de son corps. Elle se sent si bien qu’elle ne veut pas que ça s’arrête.

D’autres orgasmes suivent le premier jusqu’à ce que, finalement, les hommes se vident en elle. Le premier à jouir est celui qui est dans sa bouche. Pour la première fois de sa vie, Judy suce avec ardeur une bite et elle savoure le goût du foutre chaud et crémeux qui remplit sa bouche. Elle se retrouve à faire tourner le sperme dans sa bouche avec sa langue pour déguster la texture crémeuse et épaisse tout en profitant des deux bites qui continuent à marteler son corps. Elle se sent totalement dominée et humiliée, mais, pour une raison inconnue, elle adore ça. 

La bite dans sa chatte enfle et explose, envoyant une sensation gluante et chaude dans les profondeurs de son ventre.

Le meilleur est pour la fin. l’homme à la cicatrice attrape ses hanches et pilonne son cul comme un marteau-piqueur. 

- Oui… OUI… Ne t’arrête pas s’il te plaît ! Baise-moi fort, baise mon cul, OUIIII…. !

Elle ressent chaque explosion de chaleur alors qu’il remplit son cul de son foutre chaud de noir. Elle serre son cul pour essayer d’obtenir chaque goutte que l’homme peut lui donner.

Lorsque les deux soldats restants prennent le relais, elle les accepte volontiers dans sa chatte et son cul tout en regrettant que sa bouche reste vide. Mais le problème est vite résolu quand l’homme à la cicatrice et un garde sortent Jim de sa cellule, le déshabille et le place devant sa femme excitée. Ne réalisant pas à qui appartient la queue devant elle, Judy se met à la sucer comme une pro chevronnée. Malgré sa réticence, Jim bande à la vue des deux noirs baisant en sandwich sa femme. Involontairement il bouge ses hanches au rythme qu’imposent les deux soldats. Bientôt il ne peut plus se retenir. Tout en tenant la tête de son épouse entre ses mains, il enfonce profondément sa bite dans sa bouche et il éjacule. Comme auparavant, elle avale chaque goutte et lèche la bite et ses lèvres comme pour en demander plus. 

Épuisé, Jim ne peut que regarder son adorable femme crier des encouragements aux deux hommes qui la baisent. Un autre garde, qui bande à nouveau, remplace Jim à la bouche de Judy. Une fois de plus, elle a plusieurs orgasmes alors que chacun de ses trous est rempli.

Ils continuent à baiser jusqu’à ce qu’ils soient tous épuisés, mais Judy qui a atteint les profondeurs de la dépravation et dont l’esprit nage dans le plaisir et l’envie, crient pour en avoir plus. Au cours de leur onze ans de mariage, le couple n’avait jamais essayé la pluralité, ni même un trio. Et bien que Judy en rêvât, elle avait toujours refusé d’essayer par peur des MST. Mais maintenant elle semble s’en ficher, son cul, sa chatte et sa bouche avides de sperme frais. Elle ressemble à une pute affamée de bites.

Maintenant que les soldats sont trop fatigués pour continuer, ils enferment Jim et Judy dans la cellule des prisonniers. En quelques secondes les hommes sont de nouveau sur la femme. Jim est forcé de s’agenouiller, la tête au niveau de la chatte ravagée de sa femme. Quelqu’un lui tire les cheveux et alors qu’il ouvre la bouche pour crier, une grosse bite noire s’enfonce dans sa gorge. Il est forcé de sucer chaque bite avant et après qu’elle a baisé un des trous de sa femme. Ils lui font lécher le foutre qui s’écoule du cul et de la chatte de Judy. Puis ils le forcent aussi à se joindre à eux pour la baiser. Jim ne peut pas prétendre qu’il n’est pas excité, car sa queue est plus raide que jamais. D’une certaine manière, il tire une satisfaction perverse d’être utilisé et abusé et de voir sa femme agir comme une salope totalement incontrôlable.

Son esprit torturé pense que comme il ne peut rien faire pour empêcher cela, ni lui, ni Judy ne sont à blâmer.  Sa femme s’est délectée de ce viol et quand les hommes se sont tous vidés, elle continue à sucer des bites en espérant les faire bander à nouveau. 

Finalement, Jim et Judy sont conduits dans un bloc de douche. Après s’être lavé, leurs vêtements leur sont rendus à part la culotte de Judy. Le couple s’habille, et Jim signe la confession.

- Bien ! Maintenant, si jamais vous revenez dans mon pays, vous serez arrêtés. Si vous portez plainte, bien sûr nous nierons tout et nous montrerons vos aveux signés. Votre avion sera là dans trente minutes. Au revoir et merci d’avoir passé un séjour passionnant ! Dit l’homme à la cicatrice en souriant.

Après avoir doigté une dernière fois la chatte de Judy, il quitte la pièce.

 ****

Je ne savais pas trop que faire, mais le bon sens a prévalu. J’ai déjà vendu plus de cent exemplaires de cet enregistrement et j’attends avec impatience la prochaine voyageuse blanche imprudent qui visitera ce beau pays. 

FIN

vendredi 23 mai 2025

La dette - Ch. 12

 Texte de Claude Lamour (2010)

*****

La revanche du cocu.

- Moi, je ne change rien à mes plans ! Je pars demain matin avec Amandine !

J’ai entendu Cathy pleurer la moitié de la nuit. Qu’est ce qu’elle espérait ? Que j’attendrais bien sagement toute une semaine, qu’elle veuille bien descendre avec nous à Saint Raphaël ?

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ses petits rendez vous, ses petits jeux avec Sir Jefferson, ne me dérangent plus. Bien au contraire. Elle a retrouvé, ou s’est découvert, une passion pour le sexe. Elle a retrouvé un sourire que je ne lui connaissais plus. Elle a retrouvé une joie de vivre. L’état de cocu, dans lequel elle m’a enfermé, ne me dérange plus non plus. L’imaginer ou la voir avec d’autres hommes m'ont rendu jaloux et malheureux, au début. Aujourd’hui, ça m’excite comme un fou. Je me masturbe comme un forcené dès que j’en ai l’occasion, en imaginant Cathy dans les bras d’un autre. Mais là, c’en est trop. Me laisser tomber à la veille de partir, pour répondre à l’appel de Jefferson… non !

Je m’installe dans le studio que nous louons tous les ans. Amandine ne pose pas de question. J’en suis étonné, mais heureux. Que dire à cette enfant ?

Le lendemain, direction la plage. Ma fille dans l’eau, moi en mode bronzage, tout va bien, sinon, bien sûr, l’absence de mon épouse. Elle me manque terriblement.

Il fait un temps superbe et la plage est bondée. Une jeune adolescente s’installe près de moi. Elle pratique les seins nus. Bien sûr, je ne suis pas contre, mais je trouve que pour une ado, ce n’est pas très prudent. Le monde est fou. Mais je ne suis pas son père.

Donc, pour ne pas risquer de passer pour un satyre, je ne la regarde pas. Mais…

- Excusez-moi, monsieur ! Mon portable n’a plus de batterie. Pourriez-vous m’autoriser à utiliser le votre ? Juste deux minutes ?

Elle a la voix douce et sucrée. Elle habille sa frimousse d’un sourire ravageur. Comment dire non.

- Ho ! Merci monsieur, c’est très gentil !

Elle prend mon portable et s’éloigne vers l’eau, pour être plus tranquille. Je ne pense pas qu’elle se sauve avec mon téléphone, surtout les seins nus et en laissant son sac près de moi.

Je m’allonge et me laisse glisser de nouveau dans mes pensées.

- Monsieur ! Monsieur ! Houlàlà ! Je suis désolée ! Qu’est ce que j’ai fait ! Qu’est ce que je peux être conne des fois !

Je sursaute. La jeune fille est à genoux près de moi, mon portable à la main.

- Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ?

- Vous allez gueuler ! Je l’ai fais tomber dans l’eau. Je suis navrée, vraiment !

Elle me tend mon appareil, dégoulinant de flotte.

- Ha ! Ben bravo ! Tu ne pouvais pas faire gaffe ! Merde !

- Je vous promets, je vais arranger ça !

- À part me le rembourser, je vois pas comment tu pourrais arranger ta connerie !

- Je suis responsable d’une boutique spécialisée dans la téléphonie mobile. Je vais vous en trouver un tout neuf !

- Bien sûr ! Et moi, je suis Napoléon ! Tu veux me faire croire qu’une gamine de seize ans est déjà responsable de magasin ? Me prends pas pour un con, veux-tu ?

Elle fouille dans son sac et en sort une carte d’identité ainsi qu’une carte de visite.

- Sabrina Bouchon, responsable de magasin et j’ai vingt cinq ans ! Convaincu ?

Elle penche sa tête sur le coté, faisant couler ses long cheveux auburn sur son épaule, en arborant le plus beau des sourires.

- Heuu ! Je suis désolé d’avoir été un peu brusque, mais vous faites si jeune !

- Oui, c’est ce que l’on me dit tout le temps.

- Dans quelques années, Vous serez vieille que vous serez encore désirable.

Elle me donne une tape sur l’épaule.

- Arrêtez ! Charmeur !

Du coup, je m’autorise à la détailler un peu plus, en commençant bien sûr par ses seins. Un beau quatre- vingt-dix B, je pense. Ils se tiennent bien et semblent fermes. Sa peau est couleur pain d’épice. J’y planterais mes dents volontiers.

- Bon, revenons à nos moutons !

Elle s’allonge sur le ventre. Je regarde le long canal qui creuse son dos au niveau de sa colonne vertébrale. Il prend naissance au bas de son joli petit cou, là ou il y a encore un léger duvet, puis glisse entre les omoplates qui roulent et ondulent sous sa peau soyeuse. Il descend ensuite le long de son dos. Comme j’aimerai y faire courir ma langue de haut en bas. Puis il disparait dans le maillot de bain, à la naissance de deux jolis et menus hémisphères. Deux fossettes créent une légère dépression dans le bas du dos de part et d’autre de la colonne vertébrale.

- Hum ! Vos fossettes sacro-iliaques sont superbes !

Elle éclate de rire.

- Mes quoi ?Je suis fière de ma science, même si c’est une des seules choses que je connaisse de l’anatomie. Mais ça, je me garderais bien de lui dire.

- Fossettes sacro-iliaques. Ce sont ces deux petits trous là !

Je les effleure du bout du doigt. Sa peau trahit une jolie chair de poule. Elle frissonne. La jeune femme est sensible. Elle se sent un peu gênée, je le vois.

- Revenons à nos moutons ! J’ai dis !

Décidément, son sourire est ensorceleur. J’ai une envie terrible de l’embrasser. Je suis frustré. Soudain Amandine déboule, me sortant de ma léthargie.

- Bonjour madame ! C’est qui, dis papa ?

- C’est une dame qui va changer mon téléphone. Elle travaille dans un magasin.

- Ha oui ? Et tu vends des consoles de jeux, aussi ?

- Oui, bien sûr !

- La mienne, mon père il arrive pas à la faire marcher sur la télé d’ici ! C’est nul !

- Amandine ! Ne parle pas comme ça !

- Ben quoi ? C’est vrai ! Tu viendras me la brancher, dis ?

- Amandineee ! Excusez-la, je suis désolé !

- Ben non, pourquoi ? Je la comprends ! ça doit être frustrant d’avoir des jeux et de ne pas pouvoir s’en servir.

Avant même que je ne réagisse, ma fille donne notre nom et notre adresse.

- Bon ! Promis, je viendrais et j’amènerais le téléphone de ton papa en même temps.

Amandine lui saute au cou et lui fait un gros bisou.

- T’es trop géniale, toi !

Puis elle court de nouveau jouer dans l’eau.

- Ne vous sentez pas obliger de satisfaire ma gamine. Elle est en vacances. Ce n’est pas pour se planter devant la télé.

- Des orages sont annoncés. Il faudra bien qu’elle s’occupe ! À bientôt !

Elle se sauve, ne laissant comme seule trace que sa carte de visite sur le sable et une effluve de parfum.

La journée se passe et le visage de la douce Sabrina peuple mon esprit tourmenté. J’en oublie presque Cathy. Mais elle, au moins, est présente. Je sais que je me cache derrière de faux prétextes, mais cette fille m’a envoûté. 

Sous le couvert de fausses courses, j’entraîne Amandine dès le lendemain, dans les rues et les ruelles de Saint Raphaël, espérant tomber, par le plus grand des hasards, sur la boutique de Sabrina. Sans résultat.

A la plage, je guette toutes les silhouettes féminines, espérant apercevoir les courbes de ma belle. Pas mieux. Dépité, je rentre tôt, sous la désapprobation d’Amandine.

- Bon, allez ! Ne fais pas la tête et on commande une pizza, d’accord ?

- J’veux la plus chère !

- La plus chère, ok ! 

Je commande.Une demi-heure plus tard, on sonne à la porte.

- Tient, voilà les pizzas !

J’ouvre la porte.

- Coucou ! Je ne dérange pas ?

- Ouaiiiis ! Tu viens brancher ma console ?

- Si ton papa veut bien que je jette un coup d’œil, alors oui !

- Hein ? Heu, oui, bien sûr !

- Ben pousse-toi ! Laisse-la passer !

- Hein ? Oui ! Où ai-je la tête ? Entrez !

Je suis ridicule. On dirait que je n’ai jamais vu de fille de ma vie. Faut dire aussi… Non seulement, elle fait ado, mais elle s’habille comme une ado. Deux longues couettes pendouillent sur un tee-shirt noir moulant. Sur le devant, en rouge, on peut y lire "JE NE SUIS PAS UNE FILLE FACILE !", et dans le dos "C’EST MOI QUI CHOISIS !". Son joli fessier est enfermé dans un short en jeans, si petit que la naissance de ses fesses est très largement visible. D’une taille moyenne, elle se grandit sur des sandales à talons hauts. Elle est plus que sexy, elle est… bonne ! Je sens mon cœur qui s’emballe et ma bouche s’assécher.

- Vous boullez un perre ? Vous bouvez un verre ? Vous avez soif ?

- Hihihi ! Oui, je veux bien un perre ! Hihihi !

Je me sens rougir comme jamais auparavant. Qu’a-t-elle compris ? Qu’a-t-elle dit ? A-t-elle joué sur mon bégaiement ou a-t-elle dit "Oui, je veux bien un père !" ?

On sonne de nouveau à la porte. Cette fois, ce sont bien les pizzas. En revenant dans la salle, je manque de les laisser tomber. Sabrina est à quatre pattes, la tête derrière le téléviseur. Ce petit cul moulé dans ce mini short… J’en peux plus et mon membre gonfle malgré moi.

- Tu vois, papa ! Sabrina a trouvé, elle ! Tu t’es trompé dans les branchements !

- Voilà ! Ca devrait fonctionner ! 

Elle recule pour se sortir de derrière le téléviseur. Moi, je pose rapidement les pizzas sur la table basse et m’assois dans le canapé, les bras croisés sur mon émoi.

- Ca va ? Vous êtes tout pâle ?

- Oui, ça va ! Sans doute la chaleur. Amandine, tu ne veux pas nous servir un verre ma chérie ?

- Ho non, papa ! Je joue !

Aille ! Je suis foutu ! Je me lève d’un bond et je me précipite au placard, en espérant qu’elle n’ait rien remarqué. Je respire calmement et j’arrive à faire tomber cette foutue pression dans mon pantalon.

- Les pizzas sont énormes, vous resterez bien manger, non ?

- Volontiers. Ha ! J’oubliais !

Elle fouille dans son grand sac de toile et en ressort une boite qu’elle me tend.

- C’est le tout dernier modèle. Voilà ma bêtise réparée et encore toute mes excuses.

- Il est magnifique, mais c’est beaucoup trop ! Vous savez, l’autre n’était plus tout jeune. Comment puis-je vous remercier ?

- Disons… une bonne part de pizza et un autre "perre" ! Hihihi !

La voilà qui recommence. Et moi qui ne sais toujours pas si c’est du lard ou du cochon. Je rougis une fois de plus et elle semble beaucoup s’en amuser.

La soirée est excellente. Nous rions énormément et l’ambiance est très détendue. Amandine, fatiguée par une longue journée, finit par s’endormir.

- Vous avez une fille très mignonne et très drôle. Pas de maman ? Vous êtes divorcé ? 

Qu’est-ce qui me prend. Voilà que je vide mon sac et raconte tout ce qui ce passe dans ma vie depuis quelques mois. Didier, Sylviane, les trois Maîtres et les deux soubrettes, le jeune neveu de Jefferson, les absences de Cathy, mon cocufiage. Tout, je dis tout, je ne cache rien. Sabrina ne dit rien. Elle écoute avec attention, ses yeux plongés dans les miens.

- Voilà toute l’histoire. Alors j’ai décidé de venir à Saint Raphaël, sans elle.

- Hé bien ! Quelle histoire ! C’est complètement fou, même si je trouve tout cela très excitant. Mais c’est bien malheureux de voir un beau couple voler ainsi en éclat. Je suis navrée pour vous, vraiment navrée.

- C’est gentil Sabrina. Mais vous-même… pas d’homme dans votre vie ?

- Ha non ! Je les aime trop pour m’enchaîner à un seul ! La vie est courte, je veux en profiter.

La soirée a été longue et c’est sur ces paroles que nous nous quittons.

- Sabrina, nous reverrons nous ?

- Vous avez mon téléphone ? Appelez-moi, c’est avec plaisir que je prendrais un "père" célibataire.

Bonsoir. Cette fois, pas de doute. Elle vient de me faire une proposition. Je regrette déjà de ne pas l’avoir retenue.

*****

- Allo, Sylviane ? Oui, merci, tout va bien. Ecoute, Cathy insiste pour que tu viennes passer quelques jours avec nous. Bien sûr nous t’offrons le train. Ok ? Super ! Je te prends à la gare dès ton arrivée. Appelles sur mon portable, celui de Cathy est en panne.

Je n’ai pas l’habitude de mentir, mais elle ne serait jamais venu si je lui avais dis que Cathy n’était pas là.

Elle est arrivée le lendemain matin. Bien sûr elle a été furieuse de mon mensonge, mais j’ai tout de même obtenu qu’elle ne téléphone pas à Cathy pour lui dire. Je ne lui ai pas dis non plus que c’était pour être plus libre, mais seulement qu’il m’était difficile de m’occuper seul d’Amandine. Je ne me savais pas autant menteur.

Le soir même, je suis en tête à tête avec Sabrina, dans un gentil et romantique restaurant du port. Elle porte une mini-jupe et un caraco à fleurs, très léger et très décolleté. Ses cheveux détachés encadrent son joli visage. Sur la table, une bougie. La flamme de celle-ci danse dans ses yeux et éclaire son sourire d’adolescente. Au milieu du repas, j’ose poser ma main sur la sienne. Nos doigts se découvrent, se caressent, s’entremêlent.

- Sabrina, j’ai terriblement envie de toi.

- Humm ! Moi aussi Eddy ! J’ai envie d’un père célibataire. Je vous l’ai dis. La preuve ! Regardez comme je bande des seins.

Avec un doigt, elle écarte le décolleté de son caraco et dégage un sein, discrètement. Son téton est fièrement dressé. Il ne semble attendre que mes lèvres, mais en attendant, je tends mon bras et le fais rouler entre mes doigts. Sabrina semble apprécier cette première caresse et ferme les yeux en se mordant légèrement les lèvres. Bien calée dans un angle du resto, la belle tourne le dos à la salle et personne ne peut la voir dégager son autre sein. Elle empoigne celui-ci et le malaxe sans ménagement. Je bande comme un fou, à en avoir mal. La vision de cette jeune fille, presque nue et dans cet endroit, ne peut que rendre fou de désir.

Elle délaisse son sein et glisse sa main sous la table.

- Qu’est ce que tu fais ?

- J’ai envie de jouir ! J’ai envie de me masturber ! Branlez-vous aussi ! Allez-y ! Vous allez voir, ça va être bon !

Je vois déjà son bras s’activer de l’autre côté de la table. J’imagine sa main glisser entre ses cuisses, écarter son string et astiquer son clito. La nappe est longue. Personne ne devrait me voir. Je passe ma queue raide et mes couilles gonflées par-dessus l’élastique de mon short. La sensation est fantastique et terriblement enivrante.

- Hummm ! Je me pénètre ! J’ai deux doigts en moi. Je suis trempée. Et vous ?

Ses yeux brillent. Son visage reflète la luxure et le dévergondage. Je ne la reconnais pas. Ce n’est plus la mignonne petite ado de la plage, mais une femme licencieuse, vicieuse et perverse qui se branle devant moi, sans aucune retenue.

- Tu me rends fou ! Je n’ai jamais bandé si fort ! Je ne tiendrais pas très longtemps !

- Ho ouiii ! Jouis, mon salaud, jouiiiis !

A mes paroles, elle parait encore plus excitée et semble oublier où elle est. Elle se laisse glisser sur le bord de sa chaise pour poser sa nuque sur le haut de son dossier. Je l’imagine les jambes très largement ouvertes et au mouvement de son bras, je sais qu’elle se masturbe avec force. De son autre main, elle se caresse les seins comme une démente, pinçant et étirant ses pointes.

J’ai très peur que l’on se fasse prendre, mais ivre de plaisir et d’excitation, je continue à m’astiquer de mon coté.

- Sabrina ! J’en peux plus ! Je vais jouir ! Viens, sortons, je vais te baiser comme une reine.

Perdue dans sa folie sexuelle, je ne crois pas qu’elle comprenne tout ce que je lui dis.

- Hummm ! Moi aussi, je viens ! Ouiii ! Jouiiis ! Jouiiis avec moiii !

Elle parle la mâchoire serrée, sans doute pour ne pas crier. Soudain, je sens qu’elle ressert ses jambes et je vois ses yeux se révulser. Elle a toutes les difficultés du monde à contenir un violent orgasme qui l’emporte brusquement.

Je sens ma queue se contracter. Je la lâche immédiatement et je me concentre pour ne pas jouir. Mais trop tard. J’ai sans doute fait une ou deux caresses de trop. Elle est prise de spasmes et largue soudain sa cargaison liquide en de grands jets, sous la table.

Sabrina ouvre de grands yeux, étonnée tout d’abord, satisfaite ensuite. Elle se redresse sur sa chaise, reprenant une position moins équivoque, à mon grand soulagement.

- Humm ! C’est chaud !

- Quoi donc ?

Elle se penche un peu et remonte une de ses mains qui était restée sous la table.

- Ça !

Sur son index, un gros paquet de foutre blanc ne demande qu’à couler, en long filet, dans son assiette.

- Merde ! J’ai éjaculé sur tes jambes ?

- Mais, c’est bien ce que j’espérais. Hihihi !

Elle porte le doigt à sa bouche et me déguste avec gourmandise. Elle répète l’opération plusieurs fois, sans me lâcher des yeux, tout en arborant un petit sourire triomphateur.

Je finis de m’essuyer avec une serviette en papier tandis qu’elle savoure son troisième ou quatrième doigt de foutre, quand soudain…

- Vous désirez un dessert ?

Perdu dans notre folie passagère, je n’ai pas remarqué le serveur revenir à notre table. Je me penche en avant, les mains sous la table pour cacher mon sexe sorti et la serviette maculée que je tiens encore. Sabrina sursaute et croise ses bras sur sa poitrine toujours exposée aux regards. C’est plus fort que nous. Nous explosons de rire. Sous le regard énervé du serveur qui pense qu’on se moque de lui, je commande deux banana split.

Sabrina rigole tellement qu’elle en pleure mais elle parvient tout de même à dire :

- Hahaha ! Avec plein de Chantilly ! Hahaha !

Le serveur s’éloigne, furieux. Il nous faut plusieurs minutes pour retrouver notre calme.

Lorsque nos desserts arrivent, nous présentons nos excuses, expliquant que nos rires ne lui étaient pas destinés.

Lorsque nous sortons, j’enlace Sabrina devant le restaurant et nous échangeons notre premier baiser. La jeune fille se frotte et ondule contre moi, réveillant mon ardeur instantanément. Je sens son corps si frêle entre mes bras, qu’il me semble que je pourrais la casser, en la serrant trop fort.

- Venez ! Je voudrais vous montrer un endroit que j’adore.

Nous grimpons dans sa petite voiture et nous sortons de Saint Raphaël. Je ne peux pas détacher mon regard de ses cuisses bronzées qui se soulèvent chaque fois qu’elle change de vitesse.

Nous roulons un bon moment, puis la voiture s’arrête sur un petit terre-plein surplombant la mer. L’endroit est sombre et désert. Nous descendons et nous nous installons sur un banc. La vue est magnifique. On peut voir toute la ville et ses lumières se reflétant dans l’eau.

- Peu de gens connaissent cet endroit. Ca vous plaît ?

- Non seulement ça me plait, mais en plus en ta compagnie, ca devient carrément idyllique.

Je l’enlace et l’embrasse longuement. Je glisse une main sous le caraco et la douceur de ses seins dans mes mains, me fais bander de nouveau. Elle fait glisser le bout de ses doigts sur ma cuisse, me provoquant de longs frissons. Puis, elle plonge sa main dans mon short et extirpe mon membre dressé. Elle me branle lentement, le long de mon ventre.

- Humm ! Vous avez une belle queue !

- Tu la veux ? Elle est à toi !

Mais soudain, de petits cris se font entendre derrière une bordure faite d’arbustes. Sabrina déchiffre tout de suite les sons qui nous parviennent.

- Ça… c’est une fille qui jouit ! Venez, allons voir !

- Je ne sais pas si… 

Mais elle me tire déjà vers les arbustes. Nous passons entre deux et à ma grande surprise, je vois une fille, totalement nue, allongée dans l’herbe et se faisant prendre par un homme, tandis qu’un autre l’embrasse et lui caresse la poitrine.

Accroupis, nous regardons le trio s’éclater.

- Ça, ça m’excite ! Venez, allons les rejoindre !

- Ha non ! Je te veux toi ! Rien que toi !

Elle me fait un grand sourire.

- C’est trop mignon ! Venez, retournons à ma voiture.

Discrètement, nous rebroussons chemin jusqu’à la voiture. Elle pose ses petites fesses sur le capot et m’enlace de nouveau. Habilement, elle ressort mon sexe et le frotte sur son string sous sa jupette relevée.

- J’en peux plus ! Donne-moi ta chatte !

Je la pousse sur le capot et remonte ses jambes sur mes épaules. J’écarte le string et pose mon gland sur un joli petit vagin, aussi bien taillé qu’une pelouse de golf.

- Ho ouiii ! Prenez-moi fort ! Tapez dans mon ventre, bien au fond ! Baisez-moi fort !

Ce que je fais. Je la pénètre d’un violent coup de reins et je sens mon gland frapper l’utérus. Elle fait une grimace, mais je répète le mouvement encore et encore. Cette fille est une vraie fontaine. Sa mouille éclabousse mes couilles dans d’extraordinaires clapotis.

- Ha ouiiii ! C’est bonnnn ! Défoncez-moiiii ! Ouiii ! Haaaaa !

Elle crie fort et bien sûr, le trio ne peut faire autrement que d’entendre. Nous entendons les feuillages bouger et les trois amants s’approchent de nous. Sabrina, au bord de l’explosion, laisse enfin tomber le vouvoiement.

- T’arrête pas ! Pilonne-moi bien à fond ! Ne t’arrête pas ! Laisse-les venir, baise-moiiii ! Haaaaa !

- T’aime ça putain ! T’aime te faire voir, hein ? T’aime te montrer ? Ça t’excite, salope ?

Elle tend un bras vers la fille encore nue.

- Viens ! Embrasse-moi chérie !

La fille s’approche et se penche sur le capot, écrasant ses seins sur le métal chaud, pour atteindre les lèvres de Sabrina. Voir ces filles mélanger leurs langues augmente encore mon envie de la remplir.

Un type s’approche de la fille et profite de sa position pour la prendre. Le troisième larron caresse les seins de ma salope, semblant attendre son tour.

Il n’attendra pas longtemps. J’explose dans le ventre de mon amie dans de longs jets de foutre chaud. Je suis à peine retiré, que déjà, le type la prend de nouveau. Je me sens tout à coup inutile et je m’assois sur le bord du banc. Ça ne m’était jamais arrivé, mais je crois bien être victime de la petite dépression qui peut survenir à un homme, après sa jouissance. Je me sens triste. J’en aurais presque envie de pleurer. J’aimerai tellement que ma Cathy soit là, pour me consoler et me câliner.

Les hommes se vident dans les filles avec des beuglements ridicules. Sabrina, épuisée, reste allongée sur le capot. La fille s’accroupit et lui lèche le minou de longues minutes, offrant un nouvel orgasme à Sabrina. Puis, le trio s’en va après nous avoir remerciés pour cette agréable fin de soirée. La belle vient s’asseoir sur mes genoux et me prend dans ses bras.

- Qu'y a-t-il ? Ça n’a pas l’air d’aller

.- Un peu de cafard. Rien de grave.

- Ta femme ? Ne pense pas à elle. Ce n’est pas bien ce qu’elle t’a fait. Tu ne mérites pas ça !

- Merci Sabrina. Tu es gentille. Nous nous voyons demain soir ?

- Je pars demain matin pour le cap d’Agde, pour quinze jours. Viens avec moi, si tu veux. Je loue un studio.

*****

Sylviane dort à point fermé sur le canapé, couchée de coté. Elle est juste vêtue d’une nuisette noire transparente qui laisse voir ses seins, et d’un tout petit string. Je m’assois près d’elle et caresse son bras nu. Dommage que cette fille soit lesbienne. Elle est jolie et super bandante.

Cathy, Sabrina, les vacances, l’amour, le sexe. Perdu dans mes pensées, je m’égare et pose ma main sur la cuisse de Sylviane. Sa peau est douce, chaude. Je la caresse, plus fort, plus entreprenant.

- Qu’est ce que tu fais ?

Elle sursaute, et s’allonge sur le dos en se frottant les yeux.

- Ho ! Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller.

- Mais oui, c’est ça ! Tu voulais juste me peloter dans mon sommeil ! Hein !

- Mais non ! Je voulais juste te réveiller pour te dire que… je pars. Ne t’inquiète pas, je suis sûr que Cathy sera là dans quelques jours. Je vais te laisser de l’argent.

Je m’apprête à me lever, mais elle me retient par le poignet et pose ma main sur sa poitrine.

- Tu sais Eddy ? Si tu veux me baiser… il suffit de le dire !

A SUIVRE…

mercredi 21 mai 2025

Miss Travel - Tome 1 - 1ère partie.

 Bande dessinée de Chris.

*****
A suivre...

lundi 19 mai 2025

Maryse, naissance de la perversion - Ch. 01

 Texte de Lecteur (2009)

*****

La déchetterie.

En cette belle journée d’été, Maryse se console d’être encore devant son écran d’ordinateur en se disant qu’il ne lui reste qu’une heure avant de quitter son bureau. On est mercredi, son travail et ses horaires lui permettent d’avoir sa demi-journée, ce qui était très pratique lorsque ses enfants étaient plus jeunes. Maintenant qu’ils ont treize ans pour le dernier et seize ans pour sa fille aînée, elle profite de ce temps pour vaquer à ses occupations. Mais d’abord elle doit finir sa comptabilité si elle ne veut pas avoir son chef sur le dos le reste de la semaine. Ce dernier déboule dans son bureau, sans frapper comme toujours, accompagné d’un stagiaire à tout faire :

— Maryse, pourriez-vous me rendre un service ? Il faut que nous nous débarrassions de quelques cartons d’archives et je crois que la déchetterie est sur votre chemin…

Et sans lui laisser le temps de répondre :

— Bref, j’ai demandé au petit Martin de vous aider à charger les quelques cartons dans votre voiture. À demain !

Le pauvre « petit » Martin ne sait plus où se mettre, le chef comptable M. Ribière vient de le laisser en plan dans le bureau de cette dame qu’il connaît à peine avec une mission qui ne doit pas l’enchanter. Maryse laisse la surprise passer, puis elle demande au jeune homme de la rejoindre devant son bureau dans une demi-heure pour l’aider. Il lui reste peu de temps, mais elle réussit à prendre de l’avance sur son travail. Elle retrouve le jeune Martin devant son bureau.

— Vous a-t-il dit au moins quels cartons devaient être jetés ?

— Oui, madame.

— Bon, je vais chercher la voiture et vous, vous commencez à sortir les cartons.

Les cinq cartons chargés, Maryse se dit que vraiment Ribière exagère, quel goujat. Mais par les temps qui courent, mieux vaut garder son emploi. Et puis la déchetterie est sur son chemin. Elle rentre sa voiture sur le terrain, voit deux utilitaires garés. Deux hommes sont en train de jeter leur détritus, un à la benne de recyclage des déchets organiques et l’autre à la ferraille. La casse de voitures se trouve juste à côté. Un homme en tenue de chantier s’approche d’elle.

— Bonjour M’dame, vous avez votre carte ?

Maryse reste un moment interdite. Quelle carte ? De quoi parle-t-il ? En plus il a un regard lubrique, il la dévore des yeux.

— Euh bonjour… de quelle carte parlez-vous ?

— Ben, je dois savoir si vous habitez le coin et si vous avez bien payé vot’taxe pour jeter vos ordures chez moi !

Maryse se dit qu’en plus d’être lubrique, le bonhomme n’est pas très aimable…

— J’habite la ville d’à côté, d’habitude mon mari se charge de ça, mais là on m’a demandé de jeter des vieux dossiers…

— Ouais OK, j’ai pas toute la journée. Montrez voir votre carte d’identité et vous reviendrez demain avec vot’carte pour que je valide.

Elle fouille son sac, sous le regard de l’employé qui n’en perd pas une miette. Pourtant elle est habillée sobrement comme toujours. Sa robe à motif vert est fraîche, mais elle la couvre jusqu’au cou. Elle lui tend sa carte d’identité.

— OK c’est bon, pour le papier, c’est la dernière benne. Par contre, faut revenir demain avec votre carte si vous voulez pas recevoir une amende.

— Merci.

Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle se dépêche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons étant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l’ouverture se trouve un peu au-dessus de son visage. 

L’employé ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n’est pas si souvent qu’une femme vient lui rendre visite. Celle-là dans sa robe verte lui plaît bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l’appétit. Les deux autres non plus n’en ratent pas une miette. D’ailleurs ils se font quelques commentaires imagés qui ne laissent aucun doute. L’un d’eux s’adresse à l’employé :

— Eh Francis ! T’en reçois du beau monde aujourd’hui ! Tu nous avais caché ce joli petit lot.

— Moi, je lui p’loterai bien les nichons !

Et Francis de répondre :

— Ouais, tu peloterais n’importe quoi toi de toute façon !

S’ensuivent des éclats de rire bien gras. Les hommes n’ont pas été très discrets et Maryse a tout entendu de l’échange et des premiers commentaires échangés. Et elle est mal à l’aise. Elle n’ose rien dire. Son cœur bat la chamade. Son souffle est plus court : « Les efforts pour jeter ces fichus dossiers » se dit-elle. Mais elle sait qu’il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n’ose y croire, mais elle est excitée par les commentaires de ces vicieux. Il faut qu’elle se reprenne. Francis l’employé s’approche d’elle.

— Madame, n’oubliez pas de revenir demain. J’ouvre à 8 heures et je ferme à 17 heures 30. Sauf le mercredi où je ferme à 14 heures. D’ailleurs l’heure approche, faudrait vous dépêcher !

Le bonhomme s’en va sans même l’aider. « Quel goujat » pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braqué sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tétons tendent outrageusement le tissu de sa robe à travers son soutien-gorge.

Les derniers papiers jetés, elle quitte la déchetterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s’empêcher de repenser à ces derniers moments dans ce lieu. Elle a été troublée par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. Arrivée chez elle, elle prend un bon bain, se prélasse puis s’occupe de la maison en attendant le retour de son mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet épisode qu’elle essaie d’oublier.

Le lendemain matin, elle décide de repasser à la déchetterie car elle ferme trop tôt le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dévore des yeux. Aujourd’hui, elle est habillée d’un pantalon et d’un chemisier assez ample. Comme la veille, son regard est attiré par ces deux lobes qui bougent en cadence quand elle marche. Son regard la gêne, elle-même n’ose pas le regarder trop longtemps comme si elle risquait de libérer les pulsions de l’autre en le regardant.

— M’dame.

— Bonjour, je vous ai ramené ma carte.

— C’est bien, ça. Voyons voir…

il inscrit son nom sur son registre.

— Il me faut votre téléphone aussi, Madame Lépie.

— Pourquoi ?

— C’est comme ça. J’fais pas le règlement.

Elle lui donne son numéro de portable machinalement.

— Merci bien.

Elle s’apprête à remonter en voiture quand Francis l’interpelle :

— Eh M’dame Lépie, la prochaine fois faudrait venir habillée plus sexy !

Elle est abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre. Elle ne sait quoi répondre. Et il lui tourne le dos et s’en va dans la casse de voitures. Elle se dit que cet homme est un véritable goujat, vulgaire et répugnant. Et pourtant, le reste de la journée elle repense encore à cette phrase et au regard de Francis qui la déshabille, la transperce…

 ******

Une semaine passe dans la monotonie de son travail. Son mari lui annonce :

— Maryse, ma chérie, je suis désolé, mais dans trois semaines je dois partir en déplacement pour le boulot.

— Ce sera long ? Cela tombe mal, les enfants sont justement chez leurs amis à cette période, cela nous aurait permis d’être juste tous les deux…

— Je sais, je suis désolé, mais je ne peux pas faire autrement. Je me ferai pardonner, promis.

Oui, mais elle, elle doit rester à la maison seule. Cela obscurcit un peu sa journée. Elle repense encore à sa discussion avec son mari quand son chef déboule dans son bureau :

— Maryse, puisque vous connaissez la déchetterie, il faudrait y retourner aujourd’hui pour jeter encore quelques archives. À demain !

Encore ! Il a osé lui refaire le coup soi-disant avec humour ! Elle s’en prend à Martin qui est resté dans l’encadrement de la porte, en lui disant sèchement :

— Revenez dans une heure pour charger les cartons !

Le pauvre n’y est pour rien, mais il fallait qu’elle passe ses nerfs sur quelqu’un ! Les cartons chargés, elle remonte en voiture et se dirige vers la déchetterie. En route, elle repense à sa dernière visite et la dernière remarque de Francis se répète sans arrêt. Aujourd’hui, elle est habillée encore une fois de manière assez classique. Une jupe qui lui arrive aux genoux, un chemisier blanc fermé jusqu’au cou, des chaussures à petits talons. « Mais pourquoi passe-t-elle en revue sa tenue ? Cela n’a aucun sens » se dit-elle. Mais une autre voix lui dit qu’elle pourrait ouvrir quelques boutons de son chemisier. Elle s’arrête sur le bord de la route. Elle regarde autour d’elle, pas une voiture. Ce n’est pas étonnant à cette heure-là. Il est plus de 13 heures. D’ailleurs il faut qu’elle se dépêche. Elle défait ses deux premiers boutons et puis un troisième. Elle se regarde dans le rétroviseur. Son cœur bat à nouveau la chamade. Est-il possible qu’elle soit excitée à ce point-là ? Elle redémarre et arrive à la déchetterie. Cette fois elle est seule, il n’y a pas d’autre voiture. Elle s’arrête devant la benne de papiers et commence à jeter ses dossiers. Elle n’entend pas arriver Francis derrière elle et elle sursaute quand il lui adresse son salut :

— M’dame Lépie. J’espère que vous avez votre carte aujourd’hui.

— Bon… Bonjour, M. Francis. Oui, je l’ai, la voici.

Elle lui tend la carte sous son regard. Il peut voir la naissance de ses seins et le sillon entre les deux. Il a un sourire en coin. Elle est de nouveau bouleversée par ce regard libidineux. Elle n’a plus de doute sur son excitation. Pourtant l’homme qui se trouve en face d’elle, dans sa tenue de travail tachée, n’est pas son type. Il n’est pas très grand, il commence à avoir une petite bedaine. Il est mal rasé et coiffé n’importe comment. Bref il n’est absolument pas son type d’homme. Après avoir noté les informations dont il a besoin, il la laisse en plan. Elle recommence à jeter ses dossiers.

— Je ferme dans dix minutes !

— Oui, oui, je me dépêche.

« Toujours aussi aimable » se dit-elle. Mais son trouble est bien là, elle en tremble ! Elle quitte l’endroit quelques minutes avant qu’il ferme. Sur le chemin, elle reçoit un SMS sur son portable.

— La prochaine fois encore plus sexy !

À nouveau elle ressent une boule dans son estomac. Les battements de son cœur s’accélèrent. Elle ne peut voir le numéro, mais elle sait que c’est M. Francis qui lui a envoyé ce message. Elle l’efface et rentre chez elle. Elle décide de se calmer avec un bon bain, un thé et une sieste sur la terrasse au soleil.

 ****

Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers événements ont beaucoup perturbé Maryse. Elle n’a rien dit à personne et son mari met son attitude sur le compte de son déplacement qui approche. 

Le mercredi matin, elle s’habille plus légèrement. Les températures sont chaudes et elle a fait quelques emplettes ce week-end pour renouveler un peu sa garde-robe. Elle choisit de mettre une petite robe plissée avec un beau décolleté qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans être vulgaire tout en camouflant son petit ventre. Elle se regarde dans la glace et est très contente de son effet. Elle se doute que son chef va encore débouler dans son bureau pour l’envoyer à la déchetterie. Il est tellement prévisible. Elle sent une pointe d’excitation à l’idée de cette nouvelle rencontre.

Et son chef ne manque pas de lui demander d’aller à la déchetterie. Martin en chargeant la voiture ne manque pas de la regarder à la dérobée. Cela la conforte sur son apparence. Confortée certes, mais son trouble grandit au fur et à mesure qu’elle approche du lieu. Sa respiration est courte. Elle se demande même ce qu’elle est en train de faire. Puis elle se dit qu’elle ne fait rien de mal. Elle arrive enfin à la déchetterie qui est une nouvelle fois déserte. 

Elle gare sa voiture. Cette fois, elle ne veut pas se laisser surprendre par M. Francis qui ne se montre toujours pas. Elle est déçue de ne pas le voir. Elle ne peut pas partir sans s’être enregistrée, cela ne serait pas très honnête. Elle décide de partir à sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassées et ne tarde pas à entendre un bruit. Une sorte d’écoulement. Elle regarde à travers les portières d’une voiture écrasée par les cinq ou six autres qui sont au-dessus et se fige sur place.

Elle s’arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l’impression que son cœur bat tellement fort qu’on peut l’entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l’autre côté M. Francis en train d’uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l’homme, duquel s’échappe un gros jet d’urine. Il a retroussé la peau de son gland et une fois qu’il a fini d’uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe son sexe dans son bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu’elle l’a vu, mais comment faire pour retourner à sa voiture sans éveiller ses soupçons ? Le temps qu’elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard.

— Alors, ça te plaît de me mater en train de pisser ?

Elle est tétanisée. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec son sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l’autre est sur sa hanche.

— Alors, ça t’a plu ?

Elle réalise qu’il la tutoie.

— Je suis désolée, je ne voulais pas… je venais me faire enregistrer…

— Ouais, je vais t’enregistrer, t’en fais pas.

Elle est toujours tétanisée.


— Bon, je vais fermer, rejoignez-moi à ma caravane derrière ce tas de bagnoles là. J’ai laissé ma pointeuse là-bas.

— Euh oui, euh mais…

Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu’il s’en va fermer la grille de la déchetterie. Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu’il logeait ici. Et toujours cette boule dans l’estomac et sa respiration qu’elle ne contrôle plus. Un bref regard dans son rétroviseur lui révèle le regard d’une proie affolée.

— Venez !

Elle n’a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent son regard sur elle. Elle sait qu’il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figée quand elle voit les posters aux murs de la caravane. Là des femmes nues, exhibant leurs seins énormes et leur sexe rasé dans des positions impudiques, ici des femmes habillées de latex et un autre poster montrant une femme à la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe énorme qui lui gicle sur le visage une grosse quantité de sperme.

— Rentrez, soyez pas intimidée.

Il referme la porte derrière lui.

— Alors Maryse, tu m’as pas répondu ! Ça t’a plu de me mater ? Moi, j’aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd’hui. Ça te plaît de m’exciter, je le sais. Et je suis sûr que tu es toute excitée, toi aussi.

Maryse est tétanisée, elle est sous l’emprise de cet homme commun, vulgaire, qu’elle n’aurait jamais regardé, qui ne l’aurait jamais intéressée, elle en est sûre, mais la voilà seule dans cette caravane avec cet homme.

— Fous-toi à poil !

Que fait-elle là ? Elle regarde autour d’elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mécaniquement elle défait la fermeture éclair qui se trouve sur le côté de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaître un sein prisonnier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l’autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches. Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu’en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant son voyeur. Lui observe sa proie avec son petit sourire en coin. Il est fasciné par le spectacle. Il n’en rêvait pas autant. Il aime ses courbes, son petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s’approcher et de la peloter. Il veut qu’elle s’abandonne à lui.

— Le reste aussi.

Sans rien dire, les yeux baissés, elle défait son soutien-gorge. Et elle est obligée de lui montrer sa poitrine pour retirer sa culotte couleur chair. Ses seins pendent quand elle se penche pour enlever le dernier morceau de tissu qui la protège du monde extérieur. Il adore ce qu’il voit. Elle a de belles aréoles roses. Et ses tétons sont tendus, il sait que la température n’y est pour rien, elle est excitée !

— Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement.

Elle s’exécute, elle tourne sur elle-même dans l’espace confiné de la caravane.

— T’es vachement bien foutue, tu sais. Faut que je prenne quelques souvenirs !

Ses yeux s’agrandissent ! Là, cela va trop loin, mais elle a à peine le temps de répondre qu’elle voit un premier flash, puis un second.

— Vas-y, tourne ! Et prends des poses comme les salopes sur les posters ! Fais pas ta mijaurée, t’es comme elles, sauf que tu le sais pas encore, eh eh eh !

Maryse ne pense plus ou pense trop vite. Elle est perdue. Le souffle lui manque. Elle est très excitée par la situation et elle finit par l’admettre. Elle commence par tourner sur elle-même sous les flashes de l’autre. Il prend autant de photos qu’il peut. Elle commence à prendre des poses. D’abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face à lui et se malaxe les seins. Ils sont lourds sans être trop fermes. Les tétons sont tendus. Elle se caresse la toison qu’elle a fourni. Se retourne et écarte les jambes. Elle lui offre une vue des plus érotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s’ouvre et M. Francis peut voir qu’elle mouille en abondance. Elle se tient à la paroi d’une main et se caresse le clitoris de l’autre. Et elle jouit bruyamment sous les flashes de cet homme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Elle se retourne et s’assoit devant son voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir ! Il est heureux, jamais il n’aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiévrée.

— C’était vachement bien ! Tu m’as excité à mort. Regarde !

Elle regarde son entrejambe. Son bleu est déformé par son membre tendu. Il baisse sa fermeture éclair et lui exhibe son sexe tendu. De taille normale, mais tout veiné, ce qui excite Maryse. Il s’approche. Elle sait ce qu’il va lui demander. Son regard passe de son sexe au regard de la brune qui se fait éjaculer dessus. Elle sait qu’elle va finir comme elle. Elle veut voir sa bite éjaculer. Il arrive à hauteur de son visage.

— Suce !

Elle lui prend la tige et commence à le branler. Il continue à prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitée pour s’en faire et cela participe à son excitation. Elle se découvre une nouvelle facette, l’exhibitionnisme. Mais elle n’a pas le temps de penser. Elle veut qu’il lui éjacule dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement. Elle sent la bite se tendre dans sa main. Il prend des photos par pur réflexe et soudain c’est l’explosion ! Un gros jet vient s’écraser sur son front et ses cheveux. Puis un autre finit sur sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu’elle a ouverte de surprise. Le dernier se dépose sur son sein gauche. Il grogne sa jouissance. Il reprend peu à peu ses esprits. Il prend quelques photos de Maryse couverte de son sperme. Elle goûte son sperme au goût fort, elle se sent… salope. Et cela lui plaît.

— Putain c’était bon ! Mais la prochaine fois quand je te dis suce, tu suces ! Sinon…

Elle ne répond pas. Elle est encore sous le choc de ce qui vient de se passer.

— Mets tes fringues… Non, pas tes sous-vêtements ! Ça, je les garde ! Va falloir faire encore mieux la semaine prochaine à la même heure. J’en ai pas fini avec toi !

Maryse se rhabille après s’être essuyée du mieux qu’elle le pouvait. Et quitte la caravane en compagnie de M. Francis qui va lui ouvrir la grille. Il faut maintenant qu’elle se dépêche de rentrer pour prendre une douche. Le retour est à nouveau rempli de visions de ce qui vient de se passer. L’excitation ne la quitte pas.

A suivre...